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L'Anti-Justine; ou, Les Delices de l'amour

French 123,635 words 2060h 35m read Oct 7, 2008

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Project Gutenberg's L'Anti-Justine, by Nicolas-Edmť Restif de la Bretonne

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Title: L'Anti-Justine
ou, Les Delices de l'amour

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Project Gutenberg's L'Anti-Justine, by Nicolas-Edmť Restif de la Bretonne This eBook is for the use of anyone anywhere at no cost and with almost no restrictions whatsoever. You may copy it, give it away or re-use it under the terms of the Project Gutenberg License included with this eBook or online at www.gutenberg.org Title: L'Anti-Justine ou, Les Delices de l'amour Author: Nicolas-Edmť Restif de la Bretonne Release Date: October 7, 2008 [EBook #26804] Language: French Character set encoding: ISO-8859-1 *** START OF THIS PROJECT GUTENBERG EBOOK L'ANTI-JUSTINE *** Produced by Daniel Fromont [Transcriber's note: Nicolas-Edmť Restif de la Bretonne (Nicolas Restif dit Restif de la Bretonne) (1734-1806), _L'Anti-Justine_ (1978), ťdition de 1798 A classic French erotic novel of the 18th century Orthographe de l'ťdition 1798 conservťe Il n'y a pas de chapitre 29; il y a deux chapitres 31.] L'ANTI-JUSTINE, OU LES DELICES DE L'AMOUR. Par M. LINGUET, Av. au et en Parlem. Avec LX Figures. [PremiŤre Partie.] AU PALAIS-ROYAL Chez feue la Veuve GIROUARD, trŤs-connue. 1798. Quelle Excuse peut se donner ŗ lui-mÍme, l'Homme qui publie Un Ouvrage, tel que celui qu'On va lire? J'en ai cent, pour Une. Un Auteur doit avoir pour lui le bonheur de ses Lecteurs.. Il n'est riťn qui contribue autant au bonheur, qu'Une lecture agrťable. Fontenelle disait: "Il n'est point de chagrin qui tiťnne contre une heure de lecture". Or, de toutes les lectures la plŁs entraÓnante, est celle des Ouvrages Erotiques, surtout lorsqu'ils sont acompagnťs de Figures expressives. Bl‚sť sur les Femmes depuis longtemps, la JUSTINE de Dsds me tomba sous la main. Elle me mit en feu; je voulus jouir, ťt ce fut avec fureur: je mordis les seins de ma Monture; je lui tordis la chair des bras... Honteux de ces excŤs, effets de ma lecture, je me fis moi-mÍme un Erotikon savoureux, mais nůn cruel, qui m'excita au point de me faire enfiler une Bossue-Bancroche, haute de 2 piťds. Prenťz, lisťz, ťt vous en ferťz autant. L'ANTI-JUSTINE. Persone n'a ťtť plus indignť que moi des sales Ouvrages de l'infame DsDs; c'est-ŗ-dire, de Justine, Aline, le Boudoir, la Theorie du Libertinage, que je lis dans ma prison.. Ce Scelerat ne prťsente les delices de l'amour, pour les Hommes, qu'accompagnťes de tourmens, de la mort mÍme, pour les Femmes. Mon but est de faire un Livre plus savoureux que les siťns, et que les Epouses pourront faire lire ŗ leurs Maris, pour en Ítre mieux servies; un Livre oý les sens parleront au coeur; oý le Libertinage n'ait rien de cruel pour le Sexe des Graces, et lui rende plutŰt la vie, que de lui causer la mort; oý l'amour ramenť ŗ la nature, exempt de scrupules et de prťjugťs, ne prťsente que des images riantes et voluptueuses. On adorera les Femmes, en le lisant; on les chťrira, en les enconnant: mais l'on en abhorra davantage le Vivodissequeur, le mÍme qui fut tirť de la Bastille avec une Longue Barbe blanche le 14 juillet 1789. Puisse l'Ouvrage enchanteur que je publie, faire tomber les siťns! Mauvais Livre fait dans de bonnes vues. Moi, Jean-Pierre-Linguet, maintenant detenu ŗ la Conciergerie, declare, que je n'ai composť cet Ouvrage, tout savoureux qu'il est, que dans des vues utiles; l'inceste, par exemple, ne s'y trouve, que pour ťquivaloir, au goŻt corrompu des Libertins, les affreuses cruautťs, par lesquelles Dsds les stimule. Floreal, an 2. I Chapitre. Chapitre De l'Enfant qui bande. Je suis nť dans un Village prŤs de Reims, & je me nomme CUPIDONET. DŤs mon enfance, j'aimais les jolies Filles. J'avais surtout un faible pour les jolis piťds & les jolies chaussures; en quoi je ressemblais au Grand-Daufin, fils de Louis-XIV, & ŗ Thevenard, acteur de l'Opťra. La premiŤre Fille qui me fit bander, fut une jolie Paysane, qui me portait ŗ vÍpres la main posťe ŗ nŻ sur mes fesses; elle me chatouillait les couillettes, & me sentant bander, elle me baisait sur la bouche avec un emportement virginal: car elle ťtait chaude, parcequ'elle ťtait sage. La premiŤre Fille ŗ laquelle je fis des attouchemens, en-consťquence de mon goŻt pour une jolie chaussure, fut ma premiŤre PuÓnťe, qui s'appelait Jenovefette. J'avais huit Soeurs, cinq aÓnťes d'un premiťr lit, & trois puÓnťes. La Seconde de Celles-lŗ, ťtait jolie au-possible; il en sera question: La QuatriŤme avait le poil du Bijou tellement soyeux, que c'ťtait une voluptť seulement de le toucher. Les Autres ťtaient laždes. Mes PuÓnťes ťtaient toutes-trois provoquantes. Or ma MŤre prťferait Jenovefette, la plus voluptueusement jolie, & dans un voyage qu'elle fit ŗ Paris, elle lui aporta des souliťrs delicats. Je les lui vis essayer, & j'eķs une violente ťrection. Le lendemain Dimanche, Jenovefette mit des bas fins blancs & neufs de coton, un corpset qui lui pinÁait la t‚ille; & avec son lubrique tour-de-cýl, elle fesait bander, quoique si jeune, mon PŤre lui-mÍme; car il dit ŗ ma MŤre de la renvoyer. (J'ťtais cachť sous le lit, pour mieux voir le souliťr & le bas de la jambe de ma jolie CadŤte)... DŤs que ma Soeur fut sortie, mon PŤre renversa ma MŤre, & la carillona sur le piťd du lit sous lequel j'ťtais, en lui disant: -- HŰ! prenťz-garde ŗ votre Fille cherie! Elle aura un furieux temperament, je vous en avertis... Mais elle a de quÓ tenir; car je baise biťn! & voila que vous m'en donnťz, du jus de Con, come une Princesse-... Je m'aperÁus que Jenovefette ťcoutait & voyait... Mon PŤre avait raison. Ma jolie CadŤte fut depuis dťpucelťe par son Confesseur; ensuite foutue par tout le Monde. Mais elle n'en est que plus sage ŗ-prťsent... Dans l'aprŤsdÓnťe, Jenovefette vint au jardin, oý j'ťtais seul. Je l'admiraŪ; je bandaŪ. L'ayant abordťe, je lui pressaŪ la t‚ille, sans parler; je lui touchaŪ le piťd, les cuisses, un Conin imberbe & joli, s'il en fut jamais! Jenovefette ne disait mot. Alors, je la fis mettre ŗ-quatre; c'est-ŗ-dire, sķr les mains & sur les genoux, &, ŗ l'imitacion des chiťns, je la voulais enfiler ainsi, en hennequinant & saccadant de toutes mes forces, comme fait le chiťn, & lui comprimant fortement les aÓnes de mes deux mains: je lui fesais cambrer les reins, de sorte que son Conin ťtait aussi ŗ ma portťe que le trou de son cýl: je l'atteignis donc & je mis le bout entre les lŤvres, en disant: "Hausse, hausse le cýl, que j'entre". Mais On sent aussi qu'un conichon aussi jeune, ne pouvait admettre un vit, qui ne dťcalotait pas encore: (Il me falait Une Conasse, come je l'auraŪ biťntŰt). Je ne pus qu'entr'ouvrir un peu les lŤvres de la fente. Je ne dechargeaŪ point; je n'ťtŗis pas assťz formť... Ne pouvant enfiler, je me mis, aussi ŗ l'imitacion de mes ModŤles, ŗ lŤcher le jeune Conin... Jenovefette sentit un chatouillement agreable sans-doute; car elle ne s'ennuyŗit pas du jeu, & elle me dona cent baisťrs sur la bouche, lorsque je fus debout. On l'appela, & elle courut. Come elle n'avŗit pas encore de gorge: dŤs le lendemain elle se mit des tetons postiches, sans-doute parcequ'elle avŗit oŁi vanter ceux de sa MŤre, ou de ses AÓnťes. Je les remarquaŪ: je la fis chausser, & l'ayant placťe commodťment sur son lit, je m'escrimaŪ prŤs de deux heures. Je crois en-vťritť qu'elle ťmit; car elle s'agitait comme une petite Enragťe ŗ mon lŤchement de Con... DŤs le surlendemain, On l'envoya en apprentissage ŗ Paris, oý elle remplit l'horoscope tirť par mon PŤre. II Chapitre. Chap. Du Con soyeux. Mes autres Soeurs ťtaient l'Une serieuse; elle me retint dans les bornes; mais j'aŪ depuis foutu ses deux Filles ŗ Paris: Ma TroisiŤme ťtait encore trop jeune: «'a ťtť Une superbe Fille ŗ dixhuit ans! Je me rejetaŪ neanmoins sur cette Enfant, lorsque je m'aperÁus que Cathos, jumelle de Jenovefette, ťtait inabordable. Il me falait un Con, depuis que j'en avais palpť Un: je patinaŪ Babiche. Enfin un Dimanche, qu'elle ťtait biťn arrangťe, & que ma MŤre l'avait baignťe, je la gamahuchaŪ. Ce fut ŗ cette benigne operation, que je fus surpris par l'ardente MadelŤne au Con soyeux. Elle nous examina longtemps avant de nous troubler, & voyant que la Petite avait du plaisir, elle fut tentťe. Elle parla. Nous nous remimes dťcemment. MadelŤne ne dit mot: Elle renvoya Babiche. Puis elle hazarda de badiner avec moi. Elle me renversa sur la p‚ille de la grange, oý j'avais attirť Babiche; & lorsque je fus par-terre, elle me chatouilla, passant par-dessus moi, jambe de-Áŗ, jambe de-lŗ. Par-hazard, je portaŪ la main sous ses jupes, & j'y trouvaŪ l'admirable Con soyeux. Ce poil divin determina mon goŻt pour elle. Je devins fou du Con de MadelŤne-LingŁet: je lui demandaŪ ŗ le baiser? -- Petit coquin! (me dit-elle), attens un moment-. Elle ala au puits, tira un seau d'eau, & s'accroupit dessus... Elle revint, & badina encore. Enfl‚mť, hors de moi, je lui dis, dans ma petite fureur ťrotique, -- Il faut que je lŤche ce joli trou-. Elle se mit sur le dos, les jambes ťcartťes: je lťchai; la belle MadelŤne hocha du cýl: "Darde ta langue dedans, cher petit Ami"! (me disait-elle). Et je dardais, & elle haussait la mote. Je fourgonnais avec rage!... Elle eķt tant de plaisir, qu'elle se recria. Je bandais come un petit carme: & come je ne dechargeais pas, j'avais toujours la mÍme ardeur. Aussi m'adorait-elle. Obligťe de me quitter, MadelŤne me dona des friandises, que je mangeaŪ avec Babiche. Un-soir, ma Soeur au Con soyeux me dit: -- Cupidonnet! ta jolie Broquette est toujours biťn roide, quand tu me lŤches! Il me semble que si nous ťtions dans le mÍme lit, tu pourrais la faire entrer dans la bouche de ma petite Marmote, que tu aimes tant ŗ sucer, & dont le poil est si doux! j'aurais sŻrement biťn du plaisir! & peutÍtre toi aussi? Viťns Á'te nuit-... Quand tout le monde fut endormi, je me glissaŪ dans le lit de ma grande Soeur. Elle me dit: -- J'ai vu mon PÍre, un-jour qu'il venait de caresser ma Soeur la belle Marie, qui partait pour Paris, courir sur ta MŤre, sa grosse broche biťn roide, & lui fendre la Marmote: je vas te montrer; tu feras comme lui. -- Et moi aussi, je l'aŪ vu. -- Bon! bon-! Elle se disposa, me plaÁa sur elle, me dit de pousser, & riposta. Mais elle ťtait pucelle, & quoique bandant roide, je ne pus introduire; je me fesais mal. Pour MadelŤne-LingŁet, elle dťchargea sans-doute; car elle se p‚ma. HŰ! que je regrettaŪ ce joli Con soyeux, que je lťchais & fourgonnais depuis 6 mois! Mon PŤre, ClŰde-LingŁet, qui ne me ressemblait pas, ťloignait ses Filles, dŤs qu'elles l'avaient fait bander. On prťtend que MadelŤne avait tentť de se le faire mettre par lui... Quoi qu'il en soit, trois jours aprŤs, elle partit pour la Capitale, oý notre FrŤre-aÓnť l'Ecclesiastique, lui avait trouvť une place de Gouvernante d'Un Chanoine de Sainthonorť. Ce Caffard ne tarda pas ŗ connaÓtre ce qu'elle valŗit: Il y avŗit Une porte derobťe, de lui-seul connue, qui donnait dans la chambre de ses Gouvernantes, qu'il alait patiner durant la nuit. Mais il n'avait jamais trouvť de con aussi joli, que le Con soyeux de Mlle LingŁet! Il voulut le voir. Sa beautť le ravit, & il n'eķt plus de repos, qu'il ne l'eŻt foutu. Une nuit, qu'elle dormait d'autant plŻs fort, qu'elle en fesait semblant, il la gamahucha. Elle dťchargea sensiblement. AussitŰt le Chanoine monte sur elle, & l'encone. Elle le pressa dans ses bras, en remuant du cýl. --H‚! Mignone! (lui dit-il), que tu as le mouvement bon!... Mais n'as-tu pas de mal? car je te crois un-peu Putain-?... Sa chemise & les draps ensanglantťs, lui prouvŤrent qu'elle ťtait pucelle Il l'adora! Elle foutit saintement avec ce saint Homme pendant deux ans, & le mit au tombeau. Cependant il la dota: Ce qui fit qu'elle ťpousa le Fils du premiťr Mari de ma MŤre. III Chapitre. Chap. De la MŤre foutue! Comme aprŤs le mariage de MadelŤne, & son retour ŗ Reims j'ťtais un-peu plŁs formť, je desiraŪ vivement de le lui mettre. Depuis plus de deux ans, j'en ťtais reduit ŗ patiner & gamahucher ma Soeur Babiche, avec quelques-unes de nos Cousines-germaines. Mais, ou mon vit grossissait, ou tous ces conins imberbes retrťcissaient... Je demandaŪ un rendťz-vous nocturne ŗ la nouvelle Mad. Bourgelat? Elle me l'accorda pour le soir-mÍme: Nous ťtions ŗ notre Ferme, & son Mari venait de partir, pour se rendre ŗ Reims, oý une affaire l'appelait. Je ne sais par quelle avanture, cette mÍme nuit, mon Pťre se trouva incomodť. Ma MŤre, aprŤs l'avoir secouru, craignant de le gÍner, ala se mettre auprŤs de sa BrŁ. Celle-ci la voyant endormie, se leva doucement, pour venir coucher avec moi, tandis que de mon cŰtť, j'alŗis ŗ elle. Nous ne nous rencontrames pas, malheureusement!... Je me mis ŗ-cŰtť de la Femme que je trouvaŪ dans le lit. Elle ťtait sur le dos: je la montaŪ, toute-endormie; & l'enconaŪ. J'ťtŗis surpris d'entrer aussi largement! Elle me serra dans ses bras, hŰcha quelques coups-de-cýl, moitiť assoupie, en disant: "Jamais! jamais vous ne m'avťz donnť tant de plaisir-!... Je dechargeaŪ aussi: mais je m'ťvanouis sur ses tetons encore fermes, parcequ'elle n'avŗit pas nourri, & qu'On ne les lui avŗit jamŗis patinťs. Mad. Bourgelat revint auprŤs de nous, au moment oý je m'ťvanouissais. Elle fut biťn ťtonnťe des mots que venait de prononcer sa doublement Bellemťre! Elle comprit que je l'avais foutue, & elle me reporta dans mon lit encore ťvanoui... Ainsi donc c'est dans le Con maternel que je venais d'ťmettre ma premiťre semence!... Ma Mťre, entiťrement ťveillťe, dit ŗ MadelŤne: -- Mais, que faites-vous donc, ma Fille-? J'ťtais revenu ŗ moi. Ma Soeur retourna au lit de ma Mťre, qui lui dit tout-bas: -- Ma BrŁ! vous avťz de drŰles de faÁons? -- Mon Mari (rťpondit Mad. Bourgelat), me fait souvent mettre dessus; je rÍvais, & je l'ai fait. Eveillťe, je suis sautťe du lit-. Ma Mťre crut cela. Cependant le coup porta: Mad. LingŁet devint grosse, & accoucha secrettement d'un Fils, beau come Adonis; & elle eķt l'adresse de le substituer ŗ Un Garson de son Fils, cet Enfant ťtant mort en naissant. C'est de Lui dont il sera un-jour question, sous le surnom de Cupidonnet, dit Petitcoq, mon neveu. Huit jours s'ťcoulťrent. AprŤs quoi, biťn remis de mon ťvanouissement, j'eķs un autre rendťz-vous. Mais admirťz mon malheur! Nous avions ťtť entendus d'Une grosse Tetonniťre, notre moissonneuse, qui dormait dans la grange. Comme Mad. Bourgelat devait venir dans mon lit, Mammelasse qui m'aimait, car elle se branlait souvent ŗ mon intention, & qui dailleurs n'ťtait pas mťchante, se contenta de dire ŗ mon FrŤre, de fermer les nuits la porte de sa chambre ŗ la clťf, & de la cacher, pour cause... Il le fit. Mais jugťz de mon ťtonnement, quand aulieu d'un Con soyeux, & de tetons ronds & delicats, je patinaŪ Une Connasse ŗ crins de cheval, & deux gros ballons biťn gonflťs. Elle se le mit; je poussaŪ, & j'eķs assťz de plaisir. Mais je fus encore prÍt ŗ m'ťvanouir. Enfin, je le mis ŗ MadelŤne, dans le greniťr-ŗ-foin. J'alais come un fou, en l'enconnant. Mais au troisiŤme coup-de-cýl qu'elle donna, je m'ťvanouis...... IV Chapitre. Chap. D'un aķtre Beaufrťre Cocu. MadelŤne ťvita de m'accorder des faveurs, dont les suites l'effrayaient! Mais je ne sentis pas longtemps cette privation: Huit jours aprŤs la derniťre scŤne, je partis pour venir ŗ Paris. J'y alais pour apprendre: Mais il ne sera pas ici question de mes ťtudes. Je fus logť chťz la belle Marie, la seconde de mes AÓnťes. J'avais, pour mon pucelage, fait cocŁ mon Pťre: j'avais cornifiť mon Frťre Uterin, en fesant dťcharger, & foutant enfin avec ťmission Une Soeur-Paternelle, qu'il avait ťpousťe, & que j'engrossaŪ: car Bourgelat n'a jamŗis eķ que cet Enfant, venu au monde 9 mois aprŤs ma fouterie au greniťr-ŗ-foin. Mais j'avais encore biťn de l'ouvrage, avec huit Soeurs, dont six, ou du-moins cinq, ťtaient souverainement enconables. Mais revenons ŗ Marie, la plŻs belle de toutes... Un-jour de Vierge, Marie ťtait parťe, chaussťe avec cŤ goŻt particuliťr aux jolies Femmes, & Un superbe bouquet ombrageait ses blancs tetins. Elle me fit bander. J'avais quatorze ans; j'avais deja foutu & engrossť trois Femmes; car Mamelasse avait Une Fille, qu'elle se vantait que je lui avais faite, & qui ressemblait comme deux goutes-d'eau ŗ Jenovefette-LingŁet. Ainsi, je n'eķs pas des desirs vagues; je tendais directemt au Con de ma provoquante AÓnťe. AprŤs le dÓnťr, elle ala dormir, dans Un alcove obscur, & s'ťtendit sur le lit conjugal. Elle avait vu bander son Mari, dont la culote blanche ťtait juste, & elle voulŗit lui donner le plaisir de le lui mettre parťe. Je me cachaŪ, pour les guetter. Mais mon Beau-Frťre, aprŤs avoir pris les tetons & le Con de ma Soeur, avoir admirť ce derniťr, en ťclairant l'alcove, se reserva sans-doute pour la nuit suivante: il se retira doucement; je lui vis prendre sa canne, son chapeau, & sortir. J'alaŪ pousser Un verrou. En revenant, je refermaŪ les rideaux; le Mari les avait laissťs ouverts, & sa Femme troussťe. Je me mis sur elle deculotť, biťn bandant, & j'enfilaŪ sa fente, suÁant tantŰt ses tetons decouverts, tantŰt ses lŤvres entr'ouvertes. Elle me croyŗit son Mari. Un bout de langue me chatouilla. J'ťtais entrť tout calotť. Le filet, que je n'avais pas encore coupť, recourbait mon vit, & le fesait paraÓtre gros comme celui de l'Epoux. Je poussaŪ. Ma Belle s'agita, & mon long vit atteignit le fond. Alors ma Soeur demi-p‚mťe, se trťmoussa. Je dechargeaŪ,... & je m'ťvanouis.... Ce fut ce qui me fit reconaÓtre. La Belle savoura les derniťres oscillations de mon vit. Mais dŤs qu'elle eķt ťprouvť tout le charme d'une copieuse decharge, elle se deconna en me jetant sur le cŰtť; elle ouvrit les deux rideaux de l'alcove; & me regardant: "H‚! Grand-Dieu! c'est Cupidonnet! Il m'a dechargť tout au fond! Il s'est ťvanoui de plaisir"!... Je revenais ŗ moi. Elle me gronda, en me demandant, Qui m'avait appris cela? -- Ta beautť (lui dis-je), adorable Soeur. -- Mais si jeune-? Je lui racontaŪ alors toute ma vie: Comme j'avais patinť, lťchť le conin de Jenovefette: comme j'avais gamahuchť, enfin enfilť le con soyeux de MadelŤne; foutu Mad. LingŁet, la croyant Mad. Bourgelat: comment Mamelasse s'ťtait fait enconner par moi: comment ne pouvant me passer de Con, je lťchotais le conichon de Babiche: comment j'avŗis engrossť les trois Femmes que j'avŗis enconnťes. --H‚-Ciel!... Mais tu es biťn indiscret! -- Je ne le suis avec toi, que parceque tu es ma soeur-aÓnťe, que je t'aŪ foutue (le recit que je venais de dťbiter, les tetons de ma Soeur, sa chaussure me fesaient rebander), & que je vais, divine Marie, te foutre encore. -- Mais mon Mari... -- J'aŪ poussť le verrou-... Elle me pressa la tÍte contre son beau sein, en me disant tout-bas: -- Petit coquin, fais-moi aussi Un Enfant-?... Je la re-enconnaŪ, j'ťmis sans m'ťvanouir. La belle Marie n'avait pas encore eķ d'Enfans: je fus pťre de Mlle Beauconin, fille Unique de mon Beaufrťre de ce nom. [Je passerai toutes les fouteries communes; ce n'est qu'ŗ-force de voluptť, de tableaux libidineux, tels que les savoureuses jouissances qui vont suivre, qu'on peut combattre avantageusement dans le coeur & l'esprit des Libertins bl‚sťs, les goŻts atroces ťveillťs par les abominables Productions de l'infame & cruel Dsds! Ainsi, je reserve toute ma chaleur, pour decrire des jouissances ineffables, audessus de tout ce qu'a pu inventer l'imagination esquisement bourrelle de l'Auteur de Justine. V Chapitre. Chap. Du bon Mari spartiate. Il faut nťanmoins, avant de passer aux tableaux que je viťns de promettre, rapporter en peu de mots, Une Avanture extraordinaire, que jeķs, ruŽ Sainthonorť, ŗ 20 ans accomplis, en fesant mon droit. J'ťtais voisin vis-ŗ-vis d'Un vieil Orlogťr, qui avait Une Femme jeune et charmante. C'ťtait sa troisiŤme. La PremiŤre l'avait rendu parfaitement heureux pendant douze ans; c'ťtait une ivresse. La seconde, durant dix-huit ans, ŗ-l'aÓde d'une Soeur plŁs jeune, par laquelle la Dame se fesait remplacer au lit dans ses moindres indispositions, pour que son Mari ne foutÓt jamŗis avec dťgoŻt. Cette excellente Epouse ayant cessť de vivre, l'Orlogťr avait ťpousť, ‚gť de soixante ans, la jolie, la delicieuse FIDELETTE, putative d'Un Architecte, ťt fille-naturelle d'Un Marquis. La beautť de cette troisiŤme Femme n'avait pas d'ťgale, pour le moŽlleux ťt le provoquant. Son Mari l'adorait; mais il n'ťtait plus jeune! Cependant comme il ťtait riche, il lui prodiguait tout ce qu'elle paraissait desirer. Mais il n'atteignait pas le but, ťt Fidelette ťtait chaque jour plŻs triste. Enfin un-soir, ce bon Mari lui dit: "Mon Ange! je t'adore, tu le sais? Cependant tu es triste, ťt je crains pour tes jours prťcieux? Tout ce que je fais ne te flatte en rien? Parle? c'est Un Ami tendre qui t'en conjure? Dis-moi ce que tu desires? Tout, tout ce qui sera en mon pouvoir, va t'Ťtre accordť? "HŰ! tout (dit la jeune Femme). "Oui, tout, fŻt-ce... Est-ce ŗ ton coeur? est-ce ŗ ton divin conin, qu'il manque quelque-chose? "Tu remplis mon coeur, cher Mari! Mais j'ai des sens trop chauds, et quoique blonde-cendrťe, mon Bijou a des demangeaisons... terribles! "T'est-il indifferent qui le satisfasse; ou aurais-tu un goŻt? "Sans aimer, j'ai un goŻt.. un caprice... Mais je n'aÓme que toi. "Qui excite ta main, que je vois en ce moment chercher ton gentil petit Chose? "Tiťns? ce Voisin... qui me regarde... ťt dont... je me suis deja plainte... "J'entens!... Tu as dŻ me trouver biťn boŻchť!... Passe au bain, mon Ange adorť.. je reviťns dans l'instant". Il courut me trouver. "Jeune voisin? On dit que vous aimťz Mad. Folin l'OrlogŤre? "Ma-foi, On dit vrai; je l'adore. "Venťz. "Il en arrivera ce qu'il pourra. Alons". Il me prit la main, ťt nous alames chťz Lui. "Deshabillťz-vous; passťz dans ce bain, que ma Femme quitte: Voila de mon linge. Regalťz-la en Nouvelle mariťe- ou menagťz-vous pour differentes nuits; ŗ votre choix ťt au siťn.... J'adore ma Fidelette: mais pour cette Epouse cherie: Je suis content, dŤs que je la vois satisfaite, heureuse. Quand vous l'aurťz foutue, qķe son petit Connin aura biťn dechargť, je l'enconnerai ŗ mon tour, pour lui porter mon petit prťsent". Et il me fit entrer dans le lit oý sa Femme ťtait depuis le bain. Il s'en-alait. "Mon cher Mari! (s'ťcria cette timide Colombe), tu me laisses seule avec Un Inconnu! HŰ! reste! ťt si tu m'aimes, sois temoin des plaisirs que je ne devrai qu'ŗ Toi"?... Et elle nous baisa tous-deux sur la bouche... Le Lit ťtait vaste: Le bon Folin s'y mit avec nous... Je grimpai sur le ventre de la jeune Epouse, aux flambeaux alumťs, au vu du Mari, ťt j'enconnai roide... Elle repercutait avec fureur. "Courage, ma Femme! criait l'excellent Mari, en me chatouillant les bourses)... Decharge, ma Fille! hausse le cýl!.. darde ta Langue... ton Fouteur va t'inonder!... Toi, jeune Vit, plonge.. plonge!... Lime.. Lime-la"... Nous dechargeames comme deux Anges... Je la foutis six-fois dans la nuit, ťt les deux Epoux furent trŤs-contens de moi...... J'ai eŁ cette jouissance celeste ťt plŻs-qu'humaine, jusques aux coŻches de Fidelette, qui perdit la vie, en la donnant au Fruit de notre Fouterie. VI Chapitre. Chap. De l'Epouse qui se fait enculer. Je passerai sous silence mes conilleries avec ma Femme clandestine, puisque je n'ai jamais avouť ce mariage. Conquette-EllŤs ťtait Une jolie GrÍlťe, faite-au-tour, ayant Un Con tellement insatiable, que je fus obligť de lui mettre la bride sur le cou, & de la laisser foutre avec quÓ elle voudrait. Elle ťtait fille d'Un Traiteur de la ruŽ Saintjacques, & soeur du libraire PetiteBeautť: Elle est morte syfillisťe, longtemps aprŤs m'avoir donnť deux Filles... H‚! qu'elle foutait biťn! jamais Femme enconnťe n'a brouettť son Cavaliťr comme ConquŤte!... Elle est la seule Crťature que j'aye enculťe, mais sur son invitation, quand sa santť fut douteuse. Elle me donna ensuite le cýl de sa Soeur-cadette, en me disant que c'ťtait encore le siťn. Et je le croyais. Mais la jeune Persone se fesant enconer, je m'aperÁus de la tricherie, dont je ne tťmoignaŪ riťn..... Cela fut delicieux! mais ce n'est que de la fouterie ordinaire... Quand ma Bellesoeur fut mariťe, ma Femme seduisit sa CoÓfeuse, ŗ laquelle elle recomanda biťn de se faire enculer, allťguant que j'y ťtais accoutumť. Mais cette Fille m'ayant averti dans la journťe, je l'enconnaŪ la nuit, sans que Conquette s'en aperÁŻt. J'eķs ainsi successivement six CoÓfeuses, toutes jolies, pendant douze ans, ma Femme, qui les payait, croyant me cacher par ce moyťn, qu'elle avait la verole. Ce fut ainsi que j'attendis les Conins delicieux qui m'ťtaient destinťs par la nature... C'est aprÍs la derniťre CoÓfeuse, que Conquette mourante ayant remarquť, qu'Un de mes Cadets courtisait ma fille-niŤce-Beauconnin, qu'On ne voulait pas lui donner, & qu'il en ťtait aimť, proposa ŗ Mariette de se le laisser mettre par son Amant? Mais craignant que le Jeunehome ne pŻt la dťpuceler, elle me dit, que la derniŤre CoÓfeuse m'envoyait Une de ses ElŤves, qu'il falait enconner, & sans parler, parceque ma NiŤce couchant dans la chambre voisine, il y avait des raisons, pour ne pas envoyer l'ElŤve-coÓfeuse dans la miťnne... Pourvu que je foutÓsse Un jeune Con, que m'importait? J'alaŪ nu au lit: je trouvaŪ des tetons naissans, Un Conin qui tressaillait. Je dťpucelaŪ... J'avais enconnť trois-fois, lorsqu'on vint me faire retirer. Je crus que c'ťtait la convention. Mais ayant ťcoutť, je fus trŤs-ťtonnť d'entendre ťperonner de-nouveau ma Monture, & ma Femme instruire, en les encourageant, son Neveu & sa NiŤce?... Je me remis dans mon lit tout-pensif... Le lendemain, je demandaŪ une explication ŗ Conquette. -- Hť-biťn, quoi? (me rťpondit-elle), vous avťz dťpucelť votre NiŤce Beauconnin, avant que son Cousin le lui mÓt; parceque je craignais qu'il ne pŻt la dťflorer-... Je fus enchantť! j'avais eķ les prťmices de la Fille que j'avais implantťe un jour de Vierge dans le Con de la belle Marie-LingŁet. Mais je dissimulaŪ ma joie. C'ťtait un excellent pronostique pour les plaisirs dont je me flatais de jouir depuis longtemps! & dont le moment approchait. J'y touche enfin. VII Chapitre. Chap. Du Conin au Poil-Follet. On saŪt que j'avais deux Filles, ou que dumoins ma Clandestine les avait: car je me rappelle qu'elle prťtendait, que ses vťritables Filles ťtaient mortes en Nourrice, & que... & que... Elle parlait du Roi... d'une Princesse.... Mais elle ťtait si menteuse, que Á'eŻt ťtť une folie de la croire. CONQUETTE-INGENUE, ma fille-aÓnťe, me causait des desirs dŤs l'‚ge de dix ans. Pendant que sa Mťre non encore vťrolťe couchait & foutait avec Un Galant, elle envoyait Conquette dans mon lit. Cette Enfant avait la plŁs jolie conque. Je me fis une rŤgle dŤslors de la lui baiser tous les soirs, aprŤs lui avoir ťcartť les cuisses, durant son premiťr sommeil. J'introduisais lťgŤrement la langue, mais sans lŤcher. Je m'endormais ensuite, elle remise sur le cŰtť, ses fesses sur mes cuisses, & mon vit pressť entre les siťnnes. Dans le jour, j'enconais, ou la MaÓtresse d'Un certain MiviŤre, Avocat, ou Une jolie Bossue toujours biťn chaussťe, qui demeurait dans la maison; ou Une BoÓteuse des deux cŰtťs, mais d'une delicieuse figure, & prÍte ŗ se marier: Elle s'ťtait laissťe dťflorer par son Futur, & depuis ce temps-lŗ, elle ne mťnageait plus un trŤs-joli con blond. Quand ces trois Fouteries me laissaient chomer trop longtemps, je fourgonnais le vit serrť entre les cuisses de Conquette-Ingťnue, qui se sentant gÍnťe, l'empoignait toute-endormie, & me fesait ťjaculer. Elle avait onze ans. Elle sentit quelque-chose, & parla. On la mit dans un cabinet fermť. Elle apprit ŗ dessiner. Lorsqu'elle eķt treize ŗ quatorze ans, aprŤs une interruption de plŁs de deux ans, je me trouvaŪ veuf, & elle revint ŗ la maison. Elle coucha dans une petite chambre ŗ-cŰtť de la miťnne.. Elle ťtait grandie, faite-au-tour: elle avait le piťd le plŁs parfait. Je la fis chausser par l'Artiste le plŁs habile, sur la forme de sa Mťre, qui ťtait celle de la Marquise-de-Marigni. Puis je devins ťperdķmment amoureux de mon Ouvrage. Mais Persone jamais ne fut plŁs chaste que cette celeste Fille; quoique ses Mťres, soit rťelle ou putative, fķssent putains, & soient toutes-deux mortes de la vťrole. Conquette-Ingťnue ne souffrait pas qu'On prÓt sur elle la moindre libertť... La Providence le voulut sans-doute, pour qu'elle en fŻt un-jour plŁs desirable & plus voluptueuse... Ainsi je me trouvaŪ rťduit ŗ la gamahucher pendant son sommeil, qu'elle avait profond, heureusement! Je profitais de son premiťr somme, pour la decouvrir, admirer son delicieux Connin, qu'un joli Poil-Follet commenÁait d'ombrager, & la gamahucher moderťment. Ce ne fut qu'ŗ la dixiŤme nuit, que je la sentis me riposter: je redoublaŪ les coups de langue, & elle ťmit.... La lumiťre ťtait ťteinte, quand Ingťnue s'ťveilla, en disant: "H‚! h‚! h‚! Áa me chatouille! h‚h!"....... Elle crut qu'elle avait rÍvť. Cependant elle dagua sa jeune Soeur, couchťe avec elle, de plusieurs coups-de-coude, comme si elle eŻt pensť que cette Enfant l'avait chatouillťe. Je me remis dans mon lit, enchantť que ma Fille eŻt dechargť. Cette ťmission me fit esperer, qu'ayant ťveillť son tempťrament, je pourrais l'enconner biťntŰt, en faire ma MaÓtresse, & me trouver le plŁs heureux des Hommes. Mais que j'ťtais loin de compte? & combiťn de Vits devaient tenter de matyriser ce divin Connin, avant le mien! hÍlas! il fut prÍt d'essuyer Une Iliade de malheurs!..... Quoi qu'il en soit, Á'a ťtť ma vťritable inclination, la plŁs constante, la plŁs voluptueuse, que cette adorable Fille, qui n'a eķ de Rivale, que sa Soeur... Non (je le dis, d'aprŤs l'expťrience), il n'est pas au monde de plaisir comparable ŗ celui de plonger son vit bandant, jusques au fond du Con satinť d'Une Fille cherie, surtout si remuant du cýl avec courage, elle dťcharge copieusement! Heureux! heureux qui cocuffie, & fait cocuffier Un Gendre ťgalement dťteste de tous-deux! Conquette-Ingťnue eķt ses rŤgles la semaine suivante de celle oý elle avait enfin dťchargť. Ainsi elle ťtait parfaitement nubile. Mais ťveillťe, je ne pouvais lui ravir aucune faveur essentielle. Ma Soeur Marie, qui me connaissait, la mit en apprentissage de Modes & du commerce de la Bijouterie, chťz Une jolie Marchande, dont le Mari ťtait chef de Bureau; & le Bijou de la belle Conprenant me dedomagea, mais sans m'en consoler, des rigueurs de celui de ma Fille. Je le mis aussi ŗ ma NiŤce Beauconnin, alors mariťe ŗ son Cousin. Et sans ce double soulagement, aurais-je pu m'empÍcher de violer la provocante Conquette-Ingťnue? EperdŻment amoureux d'elle, n'osant lui prendre de-jour son joli Poil-Follet, & ne l'ayant pas la nuit, je me contentais de la faire regarder dans la ruŽ, par une fenÍtre ŗ large rebord; ce qui lui mettait ŗ-dťcouvert un piťd exquisement chaussť, une partie de la plŁs belle jambe; desorte qu'en me baissant, je voyais la cuisse, & le Connin dans certains mouvemens, ou lorsqu'elle se disposait ŗ descendre. Je bandais comme Un Carme. Mais en ce moment arrivaient ŗ-point-nommť, ou la MaÓtresse de Conquette-Ingťnue, ou ma jolie NiŤce Beauconnin, que j'alais enfiler dans ma chambre, aprŤs avoir dit ŗ ma Fille de se remettre ŗ la fenÍtre, pour les voir arriver; & au-moyťn de ma porte entr'ouverte, je voyais le piťd provoquant, la jambe voluptueuse de Celle qui me fesait bander, en foutant soit sa MaÓtresse, soit sa Cousine. Quatre ans s'ecoulťrent ainsi; & je n'eķs plus de fouteries. Alors, plŁs amoureux que jamais de Conquette-Ingťnue, qui ťtait superbe ŗ dixhuit ans, je rťsolus de la faire coucher quelquefois chťz Moi, en la retenant tard, sous prťtexte d'une indisposition subite. Elle avait toujours le sommeil aussi profond: Ainsi, dŤs qu'elle ťtait endormie, je la gamahuchais, & je la faisais copieusemt dťcharger. Elle avait une Motte superbe, ombragťe d'un poil noir doux & soyeux. Je brŻlais d'envie de le lui mettre. Mais elle s'ťveillait toujours en dechargeant. Aussi me disait-elle: -- Je ne fais que chťz vous de singuliťrs rÍves, qui me rendent toute je ne saŪs coment--!... La seule chose que je me permÓsse, ťtait de demander ŗ baiser son joli piťd chaussť; quelquefois sa jambe: j'alaŪ un-jour, en la tourmentant beaucoup, jusqu'ŗ obtenir de toucher le poil-satin de son Bijou: Mais elle fut ensuite si fort effarouchťe, craignant que je ne parvÓnsse ŗ la dťflorer avant mariage, qu'elle prťcipita, aÓdťe de sa MaÓtresse Mad. Conprenant, un mauvais ťtablissement avec Un Infame. Ce fut ce que j'ai eķ tant de peine ŗ lui pardonner!... Mais la pauvre Enfant en a trop souffert... elle s'en est assťz rťpentie... son charmant Connin a depuis trop biťn-mťritť de Moi, pour que des torts de jeunesse & d'inexperience ne soient pas oubliťs. J'y ťtais obligť dailleurs par un autre motif: c'est que je dois ŗ cet execrable mariage d'indicibles delices (comme On va le voir), ainsi que ma fortune prťsente. VIII Chapitre. Chap. Des Conditions de mariage. Le Dimanche suivant, Conquette-Ingťnue ťtant chťz moi, suivant son usage, elle ne put s'empÍcher de voir, que je bandais ŗ n'en pouvoir plus! Elle tremblait pour sa virginitť!... Je lui avŗis baisť le piťd, la jambe; mais elle avŗit dťfendu son connin. Tout-ŗ-coup je me lŤve, & m'appuyant sur le dossiťr de sa chaise, je plonge les deux mains dans son corpset; je lui prens les tetons.... H‚! qu'ils ťtaient jolis!... petits, mais fermes! & d'une blancheur.... Elle ne put se dťrober... Elle me dťclara pourlors sťrieusemt, qu'elle voulait se marier. A ce mot, je passaŪ devant elle, le vit ŗ l'air et biťn bandant. Elle devint rouge comme une cerise: Elle bouillait. Enfl‚mť d'amour & de luxure, je lui notifiaŪ, que je ne signerais riťn, qu'ŗ la condition de la dťpuceler auparavant. Elle se recria!... Je lui pris le Con par force. Elle se recueillit, & me dit: -- Signťz dumoins pour ceci? -- Oui; si je te gamahuche-. Elle ne m'entendait pas. Je m'expliquaŪ, ajoutant: -- Et jusqu'ŗ la dťcharge, ou le plaisir, de ta part, inclusivement-? Elle reflťchit... Puis soupirant: -- H‚! combiťn vous me l'avťz fait! Mes rÍves ťtaient causťs par vous-!.... Elle se mit ŗ la renverse sur le lit, en me disant: -- Satisfaites-vous! &.. ne me.. trompťz pas!... gamahuchťz.. mais je veux Ítre pucelle le jour de mon mariage avec M. VitnŤgre; c'est Un Home veuf, & Mad. Conprenant dit qu'il s'y connaÓt-. Pendant ce discours, je rassasiais mes Ôeux dabord de la vue du plŁs ravissant des Connins; de celle d'un ventre uni comme l'ivoire; d'une cuisse d'alb‚tre; d'un cýl de satin. -- DepÍchťz-vous? -- J'inventorie ce que nous devons livrer ŗ ce M. VitnŤgre, & tout est biťn conditionnť, une chose que je te diraŪ exceptťe. Gamahuchons-. J'etais enragť! Je la lŤchais avec fureur, guettant l'instant de l'ťmission de sa liqueur virginale, pour me jeter sur elle, & l'enfiler. Elle ťmit dŤs le sixiŤme coup de langue; desorte que je ne le pouvais croire. Mais biťntŰt ses tremoussemens m'en convainquirent. Alors, quittant le Conin, je me jetaŪ sur elle. Enivrťe de plaisir, il est certain qu'elle m'aurait laissť tout faire: mŗis son jeune Connichon, quoique biťn humectť de son foutre & de ma salive, ne put Ítre penetrť. L'experience qu'il faut, pour enfiler certaines Pucelles, de la pomade ou du beurre-fraÓs, ne m'ťtait pas encore acquise... A la fin, elle me saisit le vit, pour me debusquer. Pressť de sa main douce & blanche, il dťchargea, & couvrit d'Un Foutre azurť, son con, son ventre, ses cuisses & sa main. Propre comme elle le fut toujours, elle se debarrasse, & court se laver. -- Qui ne dirait (m'ťcriaŪ-je) en la voyant s'ťponger cýl, cuisses & Coniche, que je l'aŪ enconnťe!... -- H‚! si vous ťtiťz raisonable!.. (rťpondit Conquette-Ingťnue), ce joli gamahuchage, tant que vous voudriťz; car j'aŪ eķ biťn du plaisir! -- Voila un joli mot-! Et je lui fis darder la langue dans ma bouche, Moi lui tenant le Conin. -- Mais (reprit-elle), pas ce qui M'a salie, dans ce que je viťns de laver! je veux ťtre honnťte-femme. -- Tu dois ton joli Con ŗ ton PŤre, ma charmante Fille! -- Si vous ťtiťz plŻs riche, je renoncerais au mariage, & je me dťvouerais ŗ vos plaÓsirs. Mais il me faut Un Mari, pour cesser de vous ťtre ŗ charge-. Touchť, je la baisaŪ des piťds ŗ la tÍte, souliťr, jambe, front, oeil, bouche, cou, tetons, cuisses, cýl, enfin motte, jusqu'ŗ ce qu'elle dťcharge‚t... Ensuite, je signaŪ tout ce qu'elle voulut... Elle ťtŗit adorťe, en ce moment.. Elle se maria, sans Me revoir, & M'ťvita pendant trois mois. Une pareille conduite Me rendit furieux contr'elle, & je juraŪ de la foutre & faire-foutre, si elle retombait entre mes mains, Mille-&-Une-Fois, avant que de lui pardonner!... Mais savais-je alors qu'elle ťtait malheureuse? IX Chapitre. Chap. Des Dedommagemens. VICTOIRE-CONQUETTE, ma seconde Fille, ťtait en Province, depuis la mort de sa Mťre, chťz sa Tante Jenovefette, alors mariťe avec son derniťr Entreteneur. N'ayant plus de Con ŗ ma devotion, je redemandaŪ Victoire. En attendant qu'elle arriv‚t, je m'accomodaŪ de deux petits Conins encore imberbes, ou dumoins ŗ Poil-Follet, que je parvins ŗ perforer, en les pomadant. C'ťtaient la Soeur & la MaÓtresse de mon Secrťtaire, qui lui-mÍme Me les livra, comme On le verra par la suite. Nous foutions jusqu'ŗ sa vieille Bellemťre; ne voulant pas aler aux Putains. DŤs que Victoire fut arrivťe, je la fis chausser comme sa Soeur, ŗ talons minces-ťlevťs; & cette Enfant, qui atteignait quinze ans, me fit autant bander que son AÓnťe. Mais je ne cherchaŪ pas ŗ la dťflorer, elle ne me servŗit qu'ŗ Me mettre en humeur, & ŗ me faire enconner plŻs vigoureusement & Minone, & Conette, Soeur & MaÓtresse de Tražtdamour mon secrťtaire, ou leur Bellemťre. Pour cela, quand Victoire rentrait parťe, chaussťe, je la saisissais par la jupe, & je l'assťyŗis sur mes genoux, ŗ-crŻ, Moi deculotť, quand je le pouvais: je me fesais caresser, donner de petits coups de langue. Si j'ťtais ŗ-crŻ, mon vit lui alait entre les cuisses comme le batant d'une cloche: si elle n'ťtait pas troussťe, comme elle ťtait fort-innocente, je Me fesais empoigner le vit, en lui disant: "Mignone, serre-moi le doigt, fort! fort"! Minone, Conette, ou la Bellemťre arrivŗient toujours, Tražtdamour en alant chercher Une, dŤs qu'il me voyait m'enfermer avec Victoire: En les entendant, je remettŗis la charmante Enfant dans sa chambre par une porte-derobťe; j'ouvrŗis, & je foutŗis delicieusement, les couilles chatouillťes par Tražtdamour. Il enconnait ensuite la MÍme, Soeur ou Bellemťre, & je lui maniais les couilles. Je Me serŗis contentť de cette vie pendant longtemps, quoique toujours amoureux de Conquette-Ingťnue, devenue Mad. VitnŤgre, si mes Soeurs Marie & Jenovefette n'eķssent trouvť indecent que je gardasse Victoire seule chťz Moi. Elles M'obligťrent ŗ la mettre en apprentissage pour le linge, chťz des Devotes qu'elles M'indiquŤrent. Mad. Beauconnin l'y conduisit. Heureusement que la chŤre Fanfant M'avait, depuis quelques jours, donnť la conaissance d'Une grande & superbe Femme-separťe, son Amoureuse ťperdue, sans que la naÔve Victoire s'en dout‚t, & que cette Belle-femme M'en croyant amoureux aussi, foutit sous Moi avec fureur. Car elle M'appelait alors son Papa, & Me disait: -- Enconne; enconne... enconne ta... provocante Victoire! ta... passionnťe, ta... tendre Fille-! X Chapitre. Chap. De l'infame Mari. Mais le moment approche, oý je dois recouvrer Conquette-Ingťnue.. Mon desir le plŻs vif, mÍme dans les bras de Mad. Moresquin (l'Amie de Victoire), ťtait de faire VitnŤgre cocý! Un-jour, ma Conquette me rencontra sur le pont-Notredame. Elle ťtŗit malheureuse: elle vint se jeter dans mes bras. Je fus si ťmu, que toute mon anciťnne colŤre s'ťvapora. Ma delicieuse Fille ťtait encore embellie dans les douleurs. Mon premiťr mouvement fut de lui prendre le con. Mais nous ťtions dans la ruŽ... J'alaŪ la voir dŤs le lendemain-soir, ŗ l'heure oý elle M'avait dit que son Mari, ou plŁtŰt son Monstre, n'y ťtait jamais. Je la trouvai seule en-effet; & dŤs cette premiťre visite, elle m'avoua qu'elle avait Un Amant. Ravi de cette confidence, qui M'annonÁait le cocķage de VitnŤgre, je la flatŠi, je l'amadouŠi; je l'engageŠi ŗ se le laisser mettre par Timori (son Galant). Mais je compris biťntŰt que c'ťtait des deux cŰtťs, un amour absolument Platonique, oý Conquette-Ingťnue se consolait auprŤs d'un Bandalaise, des brutalites d'un DťbaŻchť. Elle aimait ŗ parler de son Amant: Et comme j'ťtais le seul, avec quÓ elle le pŻt en sŻretť, que je promis de leur procurer des entrevues, je fus cheri. A la seconde visite, Conquette me dťcouvrit quelques infamies rťcentes de VitnŤgre. Un-jour qu'elle se baissait, pour ramasser quelque-chose, il lui fit prendre le con par Un de ses Amis. Elle s'ťcria. -- Ce n'est riťn qu'un con de pris (dit froidement VitnŤgre)... (ŗ son Ami): -- Ne t'avais-je pas biťn dit, qu'elle avait le poil du con plķs satinť que de la soie?... Hť-biťn, le dedans est plķs doux encore-... Conquette voulut se retirer. Il la retint brutalement, la fit mettre sur lui, la troussa jusqu'aux cuisses, & lui tint le con, s'efforÁant de le faire voir, ou de la branler, pendant tout le temps qu'il fut ŗ raconter, combiťn, quand elle le voulait, elle donait de plaisir ŗ son Caresseur. -- Mais (ajouta-t-il), elle est comme les Putains; il faut la rosser, pour lui faire-faire son devoir-. Il voulut ensuite lui decouvrir la gorge. Elle s'ťchappa. Mais il l'atteignit d'un coup de piťd.... Quelques-jours aprŤs, le Meme ťtant venu dÓner, aprŤs le caffť, VitnŤgre s'ťtant aperÁu que sa Femme, aprŤs avoir pissť, avait fait bidet, dit ŗ Culant son ami: -- Voila un con biťn propre! il faut le gamahucher tous-les-deux, d'adresse ou de force? Mais dans ce derniťr cas, ne t'ťtonne pas du bruit!... Pour le premiťr, voila une clťf; elle ouvre la porte du cabinet qui donne sur le corridor. Tu entreras, quand lassť, je dirai trŤs-haut: -- Alons, Madame, faites-moi beau con, & recommenÁons-. Et donne-t-en! car je voudrais que toute la Terre foutÓt la Garse: elle n'est pas assťz large-... Conquette fut rappelťe. Le Mari la fit asseoir au milieu devant le feu, mit ŗ l'air son vit, ses couilles de Mul‚tre, & dit ŗ son Ami d'en faire autant. Comme il hesitait: -- Decýlote-le tout-ŗ-l'instant, Bougresse, ou je t'arrache les poils du con ŗ la poignee-! Et il y porta la main. Elle fit un cri. Culant mit aussitŰt ŗ l'air son vit & ses couilles, en demandant gr‚ce pour elle. -- Alons, Bougresse, branle-nous tous-deux, Un de chaque main?... Je suis son MaÓtre (ajouta le Scelerat); elle m'est abandonnťe-. Conquette pleurait. L'Ami demanda encore gr‚ce pour elle... -- Hť-biťn, qu'elle me suce le vit, lŗ, ŗ-genoux devant moi, que je lui decharge dans la bouche? Je dechargeais dans celle de ma premiŤre Femme, qui en est morte, & c'ťtait mon delice. Culant observa, que ce serait g‚ter la plķs jolie des bouches. -- Hť-biťn donc, je vais la gamahucher. -- Je banderais trop! (dit Culant): passťz dans ce cabinet-. VitnŤgre y poussa Conquette, & se substitua Culant. Puis il sortit pour aler jouer. Culant gamahucha, & n'osa foutre Conquette, ayant le vit si petit, qu'il ne pouvait Ítre pris pour VitnŤgre. Mais il dechargea six fois, & Conquette le double. Il se retira, en lui donnant un coup-de-poing, afin qu'elle fŻt persuadťe que c'ťtait VitnŤgre. Mais le soir, ŗ sa rentrťe, le Monstre dit ŗ sa Femme: -- Hť-biťn, Bougresse? as-tu ťtť assťz gamahuchťe? ce n'ťtait pas Moi; je ne t'aurais fait l'honneur de decharger six fois; c'ťtait mon Ami. Mais, Garse, tu l'as reconnu, puisque tu en as dechargť douze, & que tu ne bandes pas pour Moi. Et le bon coup-de-poing qu'il t'a donnť, hťin? l'as-tu senti? (l'Infame ťclata de rire). Alons, Garse de b‚tarde d'Avocat, te voila putain; j'entens que ton con me rapporte-. Effrayťe, Conquette se promit de le quitter. Ce fut le lendemain qu'elle me rencontra, & de ce moment elle prit de la fermetť contre le Monstre Ce recit de ma Fille, quoique plŻs gazť dans sa bouche, m'avait revoltť! je lui promis un prompt secours.... Mais en-mÍme-temps il me fesait bander en Carme, comme tous les recits de brutalitťs libidineuses. Je demandŠi des faveurs? On rougit; mais On Me laissa baiser un joli souliťr vert, qu'On portait pour la premiťre-fois. Je M'en tins lŗ. Cependant ŗ la visite du lendemain, je glissŠi en riant, une main dans son dos; insensiblement j'en vins aux tetons, qu'elle defendit, mais qui me restŤrent enfin. Je me fis ensuite donner de ses cheveux; puis voulant voir jusqu'oý je pouvais la mener, sans l'effaroucher, je la tourmentaŪ pour avoir une petite touffe des poils de son con soyeux. Elle me la donna; mais en tremblant que son Mari ne s'en aperÁŻt! Pour la remettre, je la fis parler de son Amant; & pendant cet entretiťn, de libertťs en libertťs, je parvins au con. Elle ťtait si parfaitement Š son sujet, que je crois en-veritť qu'elle s'imagina que c'ťtait Timorž qui lui tenait la motte!... Je lui dis, en la patinant, que je lui avais trouvť une pension, pour quand elle aurait quittť VitnŤgre. Elle rougit de plaisir, & m'embrassa. Je lui dardaŪ ma langue, & elle me fit sentir la sienne... Ravi, j'alais lui demander le Recit de la Maniťre dont elle avait ťtť depucelťe? Quand VitnŤgre s'ťtant fait entendre, je me jetaŪ dans le cabinet obscur, me proposant de m'ťvader par la porte du coridor. Mais je fus ťtrangement surpris de voir un Moine introduit par cette porte! Il ne m'aperÁut pas; je me cachaŪ derriťre un grand sofa. VitnŤgre entra aussitŰt par la porte de la piŤce que je quittais. -- Mon Reverend-Pťre, voulťz-vous la foutre avant dÓner-? Le Moine, qui devorait des Ôeux la belle Conquette ŗ-travŽrs les vÓtrages, parut concentrť... Aubout d'un moment, il repondit: XI Chapitre. Chap. Pucelage des inť aux gros Vits, pris par un petit. -- Non: Comme nous en sommes convenus, passťz dans la chambre ťclairťe; faites-moi voir, en badinant avec elle, tetons, cýl & con: je me reserve pour la nuit. -- HŰ! ce coup-ci serait pardessus le marchť. -- Non: j'aime ŗ foutre au lit, ŗ suÁoter langue & tetons; ŗ enconer, enculer, entetonner, &c. ŗ mordre, arracher les bouts... Alťz... Ayťz le vit ŗ l'air, & qu'elle soit biťn chaussťe... De la brutalitť-! VitnŤgre rentra deculotť auprŤs de sa Femme toujours tremblante devant lui. Alons, Bougresse, il me faut du plaisir? Voi comme je bande, ŗ la vue de ce joli soulier vŽrt?... J'aŪ entendu hier un Jeanfoutre derriťre toi, qui disait, qu'il aurait voulu decharger dedans... A-bas ce fichu, que je voye tes tetons.. Comme ils sont jolis! blancs!... fermes! H‚! Garse! j'arracherais ce joli bouton, si je ne craignais de les g‚ter!... Marche.... Quel tour de croupion foutatif!... Troussťe, Putain, audessus des reins & du nombril, que je voye ce mecanisme-lŗ?... Marche en avant, prťsentant le con... Retourne-t-en montrant le cýl... H‚! le joli mouvement!... Continue, Garse-ŗ-cul & ŗ con, jusqu'ŗ ce que je te dise, HŰla... (Elle fit ainsi cent tours, montrant alternativement son cýl, son con)... Cependant le Moine disait: -- Ce Bougre lŗ n'a pas le vit si gros que moi, & il n'a pu la depuceler! HŰ! comme elle criera cette nuit!... Mais je n'y tiťndrais pas; je la tuerais; elle crierait ŗ faire venir le Voisinage... Je m'en-vais-. Et il sortit doucement, en murmurant: Elle est ŗ tuer; elle le sera-!... Au mÍme instant VitnŤgre dit, Hola, Garse engarsťe-. Et il vint dans le cabinet. -- Qu'en dites-vous? (dit-il): la voulťz-vous essŠyer? Je bandais ŗ n'en pouvoir plus; je rťpondis biťn bas pour le Mone. -- Oui-. VitnŤgre ala chercher sa Femme; & la poussant brutalement, -- Alons, de-par-Dieu, Garse, Putain, que je te foute... H‚! comme tu vas crier! Mais songe, s crť Conin de Poupťe, ŗ ne pas faire venir ici les Voisines! ou je les laisse tous entrer, sans me deranger de sur ton sacrť ventre-!... En achevant ces mots, il me la renversa troussťe sur le foutoir mis lŗ exprŤs, & se retira. Je me prťcipitaŪ sur ma Fille, qui se sentant enfiler presque sans douleur, ne criait pas. -- Crie donc! (lui dis-je biťn-bas). Et elle cria ŗ-tue-tÍte, en se reconnaissant enconnťe par un Etrangťr. DŤs que j'eķs dechargť delicieusement, en lui fesant osciller le con, je m'ťchappaŪ, avant que les Voisines arrivassent; & comme elle continuait ŗ crier, je les envoyaŪ ŗ son secours. On la trouva debout. -- C'est ma Femme que je baisais (dit VitnŤgre). Regardťz y; il en est encore tout barbouillť. Mais elle est du naturel des Chates; elle mord & crie, quand On la fait biťn-aise-. Les Voisines rirent, & se retirŤrent. VitnŤgre dÓna, & fut assťz honnÍte; il craignait que sa Femme n'eŻt connu qu'elle ťtait foutue par un Moine, & qu'elle ne parl‚t.. Je dÓnais dans un cabaret en face. Je le vis sortir, & aussitŰt je retournŠŪ chťz ma Fille, qui me conta tout. Je me tus dabord. Je lui fis raconter la maniŤre dont je croyais qu'elle avait ťtť depucelťe; parceque ce recit avait du haut-gout pour moi, & qu'il me ranimerait assťz, pour me la faire foutre encore. Elle le fit, dŤs que je l'eķs mise en goŻt, en lui rapelant de son Amant. -- Notre premiŤre nuit et les trois suivantes, ont valu chacune cinq-cents louis ŗ VitnŤgre, ŗ ce qu'il m'a dit par la suite. DŤs que nous fumes arrivťs ŗ sa demeure, il alluma quatre bougies, qu'il mit autour du lit, sur lequel il me renversa troussťe jusqu'aux reins. Il me tourna, retourna, m'examinant, me baisant partout: Il me fesait lever les jambes en l'air, puis mettre debout sur le lit. -- Remue du cul (me disait-il), ainsi, ainsi (me montrant), comme si je te foutais-. Je lui observai, que cela ťtait indecent. -- Bast! une Femme est la Putain de son Mari-... Il me gamahucha. Il s'ťcria de toutes ses forces: Elle decharge-! Et il me fit empoigner son gros membre, de la couleur & de la grosseur de celui d'un Cheval. -- Alons! alons, que je te foute, ŗ-prťsent-. Il se jeta sur moi. Mais il ne put riťn. -- Foutre! Celles qui disent que ton PŤre t'a depucelťe, sont des Garses! tu es pucelle comme quatre. Je voudrais que tout le monde fŻt-lŗ, pour en ťtre temoin-...... Il me pomada... devant, derriŤre. Il ťteignit les bougies (mon pucelage ťtait vendu), & il parut se coucher. Mais ce fut Un-autre; car toute la nuit je fus tourmentťe par un gros membre, qui ne put riťn-... [Depuis le mot de son recit, Elle decharge! elle decharge! j'avais glissť une main entre les cuisses de ma Fille, sans qu'elle s'en plaignÓt. Ici, je lui h‚pŠi le Con. -- H‚! Papa! ne me menagerez-vous donc pas plŻs que les Autres, un-jour oý... j'a ťtť depucelťe! -- Depucelťe! h‚! celeste Fille!... Est-il biťn vraž? -- Jamais On n'est entrť... dans ce que vous me tenťz... qu'aujourd'hui! -- O Fille adorťe! je suis un Dieu, & non pas un Home... Mais tu m'as fait trop bandťr: ta prťcieuse faveur?... ou.. j'aurais... une colique spermatique ťpouvantable-! Et je l'enlevŠi vivement dans mes bras; je la portai dans le cabinet obscur. XII Chapitre. Chap. Du plus delicieux des Incestes. -- Vous voila tous! (me dit-elle); & mon Papa lui-mÍme ne me rechŤrche que pour ce trou-lŗ! -- Et pour ton cýl, tes tetons, ta bouche, tes Ôeux, ta t‚ille voluptueuse, ton tour provocant, ta jambe, ton piťd foutatif, ton ‚me naÔve & virginale, malgrť tout ce qu'on a fait, pour te rendre putain-. En parlant ainsi, je la troussais par derriŤre, courbťe qu'elle ťtait sur le foutoir, & je me disposais ŗ le lui mettre en levrŤte: mais il la falut pomader. Elle reprit: -- Mais c'est ma faute! ces recits-lŗ enfl‚ment tous les Hommes: Timorž n'a ťtť prÍt ŗ me deflorer qu'une seule-fois; & ce fut aprŤs ce mÍme recit moins detaillť-. Cependant elle faufuyait, pour que je ne l'enfilasse pas. Je m'en plaignis tendrement: -- Tu veux donc me rendre malade, ma chŤre Fanfant-? Elle s'attendrit; ses beaux grands beaux Ôeux bleus devinrent humides: elle se cambra, pour me l'inserer elle-mÍme, & me dit, en me secondant, malgrť quelque douleur, adoucie par la pomade: -- Quand ma Soeur & moi nous voŁs l'avons vu tant de fois mettre ainsi ŗ ma MŤre, sur le piťd de votre lit, vous criiez de plaisir!.... n'alťz pas en faire autant! VitnŤgre peut revenir-? Je lui promis le silence, telles delices que j'ťprouvasse... J'enconnais. Ma Belle fesait de petits mouvemens de contraction du Conin. Jamais satin ne fut aussi doux que l'interieur de ce Conin celeste: Conin encore imberbe n'est pas plŁs ťtroit! -- H‚! si ton Gueux avait connu le prix de ton divin Con, il t'aurait defoncťe, eķsses-tu dŻ en perir. -- Non: comme il l'a trop gros, il craignait de m'avachir: Il se branle, ou me fait le branler, en me tenant le poil, ou une fesse, & decharge... en... blasphemant-. (Elle se contracta, et dechargea). Je partis alors delicieusement, en me recriant, malgrť ma promesse. -- Remue du croupion (ne cessais-je de dire), remue du Conin, mon Ange?... Bon,.. bon!.. encore? encore-?... Et elle se contractait, en redechargeant, au-point que le fond de son Con me pinÁait, & me suÁait le bout du vit.... Je dechargeai trois-fois, sans deconner: & elle, peutÍtre dix-fois. Ce que je sentais ŗ ses tremoussemens convulsifs. Enfin, elle se p‚ma... Je deconnai, dŤs qu'elle cessa d'ťmettre. Elle se lava aussitŰt, craignant que VitnŤgre, en arrivant, ne lui prÓt & ne lui flair‚t le Con, suivant son usage, mÍme devant le monde qu'il amenait. Pour nous reposer, nous alames causer ŗ la lumiŤre. Je lui revelai lŗ toute l'avanture du Moine, pour lequel VitnŤgre lui avait fait si longtemps tenir en vue tetons, cýl, Conin: je lui peignis la grosseur du vit du Moine, le double de celui de son Monstre: la joie barbare qu'avait marquťe l'execrable Moine, ŗ-cŰtť duquel j'ťtais cachť, de la pourfendre & de la tuer, la nuit prochaine, avec son vit comme un timon de carosse... Elle se jeta dans mes bras: -- O mon cher Papa? sauve-moi? & je te suis devouťe ŗ jamais? -- Je te sauverai.. Je lui expliquai comment, & pourquoi le gros Moine s'en ťtait alť; l'assurant que je l'aurais poignardť, s'il avait entrepris de la violer sur-le-champ. Je lui detaillai comment son abominable Mari me l'avait livrťe, comptant la donner au Moine, auquel elle ťtait vendue. -- Tu sais, ma ravissante Fille comme je te l'ai mis? c'est moi, contre tout espoir & toute vražsemblance, qui ai ravi ŗ nos Ennemis, ton celeste pucelage-? ConquŤte me donna un joli baisťr sur la bouche. -- Mais comment me sauveras-tu? -- Je viendrai te prendre dans une heure; je t'emmŤnerai; tu coucheras dans ta pension: AussitŰt que tu seras en sŻretť, je ferai entrer dans le cabinet obscur, avec ta clťf, & coucher dans ton lit, la jolie Putain du Port-au-blťd, deja prťvenue, comme pour y coucher avec moi. Je guetterai: DŤs que VitnŤgre & le Moine seront arrivťs, je m'ťchapperai. J'ťcouterai; et nous verrons demain-. Ma Fille fut ravie.. Je la sauverai: mais j'aurais dŻ l'emmener au moment mÍme. Aulieu de cela; je m'amusai ŗ lui faire raconter la seconde et la troisiŤme nuit de son mariage. XIII ChapÓtre. Chap. Du Con & du Cul vendus. Voici comme ma celeste fille reprit la narration que je dťsirais: -- Le second soir, VitnŤgre recomenÁa les mÍmes choses. Il me prenait legŤrement la gorge: -- Ferme comme un gland-! (disait-il)... Il me plaÁait comme s'il m'avait montrťe ŗ Quelqu'un (ce qui n'ťtait que trop reel!) AprŤs avoir mis en vue ma Conque, il me tournait pour faire voir mes fesses. -- Elle est encore pucelle (dit-il, comme s'il se fŻt parlť ŗ lui-mÍme): pour la perforer, il faudrait la pomader en diable, & se pomader ŗ soi-mÍme le v...-. Il me gamahucha violemment; & quand j'eķs ťmis suffisamment, selon lui, il me laissa reposer. AprŤs un court sommeil, je m'ťveillai couchťe sur le ventre, ayant sur moi un Homme, qui s'efforÁait de m'introduire dans le fondement un fort gros membre. Mais quoiqu'il n'eŻt aucun ťgard ŗ mes soupirs douloureux, il ne put jamais s'ouvrir le passage par la rosette de mon anus (ce fut son expression, prononcťe trŤs-bas ŗ Quelqu'un). J'entendis ensuite, dans cette piŤce-ci: -- Il faudrait qu'un v... moins gros que le miťn, me la fraye... Voyons, toi! Trop gros, de beaucoup-!... Je n'y comprenais riťn. Je m'endormis, & ne m'ťveillai plus. Le lendemain, dans la journťe, VitnŤgre m'ayant beurrť la rosette, & plongť son membre dans l'huile d'olive, me fit coucher sur le ventre & retrousser. Il se mit sur moi, en disant: -- Il faut que j'en t‚te de ce ragoŻt de Bougre-. Je lui reprťsentai, qu'il m'avait essayťe toute la nuit. -- «a va jusqu'ŗ toi (me repondit-il), & Áa te passe.... H‚! que d'argent me vaudraient ces deux Bijoux-lŗ, s'ils ťtaient connus-! Il fit tous ses efforts, me martyrisa deux heures durant sans succŤs, & finit, parcequ'une copieuse dech--ge... lui Űta sa roideur & ses forces.... Le troisiŤme soir, il repeta encore tout ce qu'il m'avait fait... A mon reveil, dans mon premiťr somme, je me trouvai sur le dos, ayant un Homme sur moi, qui m'attaquait le Bijou de toutes ses forces. Je m'ťcriai! VitnŤgre me dit: "Decharges tu, ma Fille"? On me quitta, & VitnŤgre ajouta: -- Si tu cries comme au feu, dŤs que je voudrai te le mettre, nous voila biťn!.. Alons, empoigne-moi le vit, que je dech--ge... Chatouille-moi les coui-les de l'autre main... Tiťns, comme je fais ŗ ton C-n. Va, va, va... vaah-. (Il ne m'appelait encore ni Putain, ni Garse; ce ne fut qu'aubout de six semaines). Mais ce n'ťtait pas lui que je maniais; j'en ai fait l'observation depuis. On ťmit six fois de suite, je secouai cet Homme plŻs d'une heure. Il en fut une autre ŗ me gamahucher. Je n'en pouvais plus!... Il me fit ensuite lui pisser dans la bouche, & n'en perdit pas une goutte, il avala tout. Il me laissa enfin.... Si je n'avais pas ťtť dans une securitť parfaite, je me serais biťn aperÁue, que VitnŤgre le reconduisait, en disant. -- L'operation, l'operation-! Mais me doutais-je de riťn?... Je rebandais, malgrť quatre decharges, et deja je disais ŗ ma Fille: -- Conin celeste, je n'en puis plus?... Je ne te cacherai pas, ma delicieuse Amie, qu'outre ma passion pour toi, qui est inexprimable comme ta beautť, j'ai un excitatif puissant: c'est de faire cocu VitnŤgre. Je voudrais, s'il ťtait possible sans triturer tes charmes divins, que toute la Terre te pass‚t par le con, pour qu'il fŻt le cornard universel... Viťns me donner le bonheur-? Et je l'emportais, quand nous entendimes tourner la clťf. Je me cachai aussitŰt dans le cabinet obscur.. C'ťtait VitnŤgre, qui rentrait avec un Jeunehomme. Nous entendimes clairement, qu'il lui disait avant d'entrer: -- Tu as le Vit cumme il le faut: c'est ce qui me fait te donner pour six bougres de louis, un pucelage qui en vaut mille. Il est essenciel que je te surprŤnne, et veuille la tuer: Tu me supplieras, et je n'accorderai sa gr‚ce, qu'autant qu'elle te secondera, pour l'enconner. Mes gros Vits s'ennuient de ne pouvoir la Foutre ou l'Enculer. Ils me paient une grosse pension: Aussi je la nourris biťn, et tu vois comme elle est mise. Tu me l'enconneras dabord: c'est le plus pressť: Demain, tu l'enculeras. Sache que son Mari l'adore; s'il la rudoie, c'est pour la rendre souple ŗ toutes ses volontťs. Elle me vaut trente-mille francs, en trois mois de mariage. Entrons: elle va te ravir: mais point de pitiť-? Tel fut le discours du Monstre.... Je poussai Conquette devant moi; je la conduisis ŗ sa pension, d'oý elle revint avec moi. Il ťtait nuit. Je pris Conillette la putain, arrangťe, appetissante. Conquette nous prťcedait. Rassurťe par ma prťsence, elle ouvrit le Cabinet obscur. Elle entra. Nous la suivions. Je dis ŗ Conillette de s'ťtendre foutativement sur le pied du lit... Cependant ma Fille se prťsentait. Elle fut reÁue avec transport? Le Jeunehomme, appelť Lenfonceur, et VitnŤgre lui-mÍme, la couvrirent de louanges. On ne lui baisa que la main. VitnŤgre neanmoins, qui (de mÍme que les trois Fouteurs ŗ gros vits, et le Moine), ťtait fou de sa chaussure ŗ talons minces ťlevťs, lui baisa le piťd. Il lui dit ensuite: -- Ha-Áa, ma Fille, alons-y par la douceur: Il serait malheureux pour moi de renoncer ŗ te le mettre: il faut se faire une raison: mon Vit est trop gros: non prťparťe, il te dechirerait: Voici un vit mieux proportionnť, qui va te perforer, sans decharger: ainsi percťe, mon gros Vit penetrera cette nuit au fond de ton con: Voi-moi ce vit-lŗ-?... Et il mit ŗ l'air le vit de l'Enfonceur, ou plŁtŰt de Timori... Il falait que VitnŤgre eŻt decouvert, on ne sŠit comment, l'inclination de sa Femme inspirťe par le beau Blond, pour en user come on va le voir. XIV Chapitre. Chap. Le Jeunehomme, la Fille, le Moine. Ma Fille, en reconnaissant son Amant, que son Mari lui amenait pour l'enconner, avait rougi de pudeur, ou de desir. Elle trouva moyen de venir ŗ moi, pour me dire: -- Faites disparaÓtre la Fille; on ne l'emploiera que cette nuit-. Je vis biťn qu'elle voulait Ítre foutue par son Galant. Je cachŠi la Putain. Voici maintenant le recit de ce qui va se passer: DŤs que Conillette se fut comodťment arrangťe derriŤre le grand sofa, Conquette retourna auprŤs des deux Homes, qui la rapportŤrent au foutoir, assise ŗ cýl-nu sur leurs mains unies. "Alons, ma Petite Garse de Femme, (lui disait VitnŤgre), tu vas pourtant Ítre depucelťe, foutue! Mais ce n'est riťn! c'est quand tu auras Un gros Vit, cette nuit"!... Il la troussait, l'arrangeait. "Lenfonceur, que je te mette le vit dedans? "Non, non; ma Belle se le mettra elle-mÍme, "Tu as raison: Il faut qu'elle s'y accoutume". VitnŤgre sortit, ťt j'observai qu'il laissait la porte ouverte. J'en augurai quelque noirceur: Mais j'ťtais lŗ... Timorž, biťn-bas, dit ŗ ma Fille: "Vous le mettrai-je, ma bonne Amie? "Non, non! il est alť chercher des Ecoutans [ce mot glaÁa Timorž]. "Mais il vous estropiera? "Je ne couche pas ici". Alors l'Amant satisfait, se mit ŗ la gamahucher doucement. Cependant la Voluptueuse dechargea... Elle ťtait aux Anges, quand j'entendis VitnŤgre revenir. Je crus qu'il amenait le Moine. Il entra, passa rapidement, suivi de trois Voisines, auxquelles il disait, -- Je vas vous montrer-Áa-. Effectivement, il Leur montra que que-chose dans sa chambre... Cependant mon amoureuse Fille, gamahuchťe par Un Amant aimť, fit un profond soupir. Les trois Voisines prťtŤrent l'oreille. "Ce n'est rien (dit VitnŤgre); ma Femme est rentrťe, ťt je ne le savais pas. C'est pour elle cette ťtofe-lŗ. "HŰ! il faut la Lui montrer! (s'ťcriŤrent les trois Voisines). Le Monstre retint Celle qui alait La chercher. Il prit la lumiŤre, en disant. "Je vais auparavant voir si elle ne dort pas". Il ne fut qu'ŗ la porte, oý il s'arrÍta d'un air de surprise ťt d'horreur!... Il recula. Mais les trois Voisines avaient vu comme lui, pardessus son ťpaule, Conquette troussťe, ťtendue ŗ la renverse sur le piťd du lit, la tÍte d'Un Homme entre ses cuisses... Il Les fit sortir par le corridor, en se frappant le front... Il avait rempli son but. Si sa Femme criait pendant la nuit, les trois Voisines, qui se croyaient biťn au-fait, y mettraient les Autres: Sž Mad. VitnŤgre perissait ťcalventrťe par le timon du Moine (qui ťtant extrÍmement riche, devait La payer 60-mille francs, ťt qui en avait deja tuť plusieurs, choisissant toujours les plŁs ťtroites), ce serait la Morte qui aurait tort... Cependant VitnŤgre rentrait auprŤs des deux Amans, qui avaient changť de position: Lenfonceur, aprŤs avoir dechargť par terre, s'ťtait remis sur le ventre de ma Fille: "Hť-biťn? (dit l'infame Mari), est-elle enfilťe? biťn enconnťe?... Dechargťz vous? decharge-t-elle? "Nous avons dechargť (repondit Timorž-Lenfonceur). "Je vas sortir (reprit VitnŤgre): Ramone-la moi encore pendant une bonne demi-heure, que je serai dehors... Et ne vous ťtonnez pas de ce que vous alťz entendre: J'ai mes raisons". Il ala dans le corridor, dont il ouvrit doucement la porte, ťt se mit ŗ crier sourdement, comme s'il avait bourrť sa Femme ŗ coups-de-piťds, "H‚ Garse! h‚ Putain!... Tu fous, sacrťe Salope! Quand je suis sorti, tu raccroches!... Je vais chťz le Commissaire"! Il ouvrit la porte bruyamment, ťt la referma de-mÍme. Mais il dit tout-bas, avant de s'ťloigner: "Remue du cýl, ma Petite Femme!... Courage; Lenfonceur! fraye-moi la biťn"! "Voila un rusť Scelerat! (dis-je ŗ ma Fille, pendant que Timorž observait la sortie de VitnŤgre): Le Moine t'aurait tuťe, ťt il ne neglige riťn pour motiver ta mort. "Sauvons-nous! (me dit-elle). "Non, non: nous sommes assťz pour te defendre. Feins ŗ Timorž que j'arrive-... Le Jeunehomme rentra. "Voici mon Papa, arrivť a-propos! "H‚-oui! (repondit Timorž), sa prťsence pare ŗ tout; car j'alais proposer de nous enfuir. Mais ŗ-prťsent, voyons ce qui arrivera". Je Lui montrai Conillette, ťt je lui fis entrevoir notre plan, que Timorž trouva merveilleux!... Le temps s'ťcoula vite. Nous entendimes revenir. Timorž reporta la lumiŤre dans la chambre; nous nous cachames ma Fille ťt moi; tandis que le Jeunehomme s'ťtendait sur le ventre de Connillette troussťe... "Que ton vit ne m'approche pas! (lui dit-elle), je suis g‚tťe; que tes couilles ne me touchent pas le poil; jai des Morpions-!..... VitnŤgre entrait, suivi du Moine, que le Voisinage aux fenÍtres prit pour le Commissaire. XV Chapitre. Chap. Du Fouteur ŗ la Justine. Le Moine Űta dabord sa robe. Mais nous l'avions tous vu. Il mit ensuite ŗ l'air un vit, si monstrueux, que ma Fille tremblante m'ťtreignit dans ses bras "HŰ! qu'il est gros (dit VitnŤgre). "Il a tuť deux de mes Soeurs Religieuses, qui avaient fait chacune deux Enfans de notre Prieur: J'ai tuť toutes les Femmes que j'ai enconnťes: il n'y a que ma MŤre que je n'ai pas ťcalventrťe; mais je n'eŁs pas de plaisir; La Vieille Garse ne saigna presque pas! j'eŁs peu de plaisir... Pour ta Femme... h‚. quelle rage!... Mais elle est foutue... elle sera morte avant que j'aye achevť de l'enconner... Je l'enculerai expirťe... Je t'en apporte le prix: 60-mille francs en billets de la caisse.... Vitnegre le compta; les serra. "Si je pouvais l'enconner une pauvre fois! "Tu te fous de moi!... Apres, aprŤs: elle sera encore chaude".... Je fremissais! et comme j'avais deux Pistolets chargťs, je fus tentť de brŻler la cervelle ŗ ce Monstre: mais il alait avoir la verole... "Voulťz-vous, avant qu'elle soit abÓmťe, lui voir le con? sa jolie figure? "Non! cela m'amollirait le vit.... Conduis-moi sans lumiŤre". Ils vinrent ŗ t‚tons. VitnŤgre prťcedait, pour ťloigner Lenfonceur. Trouvant une Femme seule, ťt troussťe, il voulut Lui mettre, en soupirant, sa langue dans le Con. Elle L'en empÍchait, quand le Moine faillit de l'ťcr‚ser, en tombant sur la Fille. VitnŤgre fut obligť de se retirer a quatre -- Le 1ťr acte du PŤre Foutŗmort (comme VitnŤgre Le nomma), ce fut de mordre le bout des tetons de sa Monture, en Lui dardant son engin, qui ne pouvait entrer dans ce vaste Con, encore ťlargi par une ťponge, que la Fille venait d'en Űter. ConillŤte fit un cri perÁant! et se sentant dechirer le Con, elle voulut se derober, en ťgratignant des deux mains. Foutŗmort, qui savait biťn qu'elle ne pouvait en ťchapper, ťt dont le plaisir ťtait d'autant plŁs grand ŗ tuer une Femme, qu'elle ťtait plŁs belle ťt plŁs ťtroite, ne la menagea pas: tout en l'ťcartelant, il lui arracha le bout des seins avec ses dents. Un profond ťvanouissement, ou la mort, fit cesser ses cris... Je me repentis de n'avoir pas dabord tirť un coup de pistolet ŗ bout-portant dans la tÍte du Moine... Mais les Voisins au bruit auraient peutÍtre enfoncť les portes: ce fut ce qui me retint... Foutŗmort parvenu au fond du Con de la Fille ťcalventrťe, dechargea enfin en jurant ťt rugissant. "Fous un coup (dit-il ŗ VÓtnŤgre), avant que j'encule la Garse"? Le Scelerat vint: mais sentant un cadavre plein de sang, il se retira. "Elle est morte! (dit-il). Foutŗmort la t‚ta: "Non; le coeur bat encore: vite que je l'encule". Le cýl de ConillŤte ťtait biťn plŁs ťtroit que son con; le Moine haletait. Il en vint cependant ŗ-bout: car il dit ŗ VitnŤgre: "Je n'ai fait qu'un trou des deux". Et il dechargea horriblement!..... Ma Fille ťpouvantťe, m'ťtreignait par le milieu du corps. VitnŤgre pleurait: "Ma pauvre Femme! je t'ai livrťe ŗ ton Bourreau! "Ne te L'ai-je pas payťe? (dit le Moine): Elle est biťn ŗ moi... Ainsi, va te coucher, ťt fous tes 60-mille livres: tu me gÍnes. Pour moi, pendant qu'elle est encore chaude, je vas, pour mon argent, foutre cinq ŗ six fois le cýl ťt le con de ma Putain". VitnŤgre ala se coucher dans un petit cabinet, oý il s'enferma. AussitŰt Foutamort s'acharna inťpuisablemt sur sa Victime expirťe.... Enfin ťpuisť, il ala chercher la lumiŤre, pour en repaÓtre ses cruels regards... J'ai dit que la Fille ťtait jolie. "Elle est belle encore! (dit le Monstre): Mais la figure de la Putain est toute bouleversťe; elle ne se ressemble plus ŗ elle-mÍme... Il lui regarda le Con, en lui soulevant le cýl... Il la laissa retomber, en ťclatant de rire: "Ma-foi, la Gueuse n'a plus qu'un cýl, ou qu'un Con... je ne sais lequel... Mais est-elle biťn morte"?... Il la deshabilla, l'emporta nue dans l'autre piŤce, la mit sur une grande table; ala prendre un vaste saladiťr; tira un bistouri [Nous Le voyions par la cloison vÓtrťe]: "Decharnons-La". Il lui cerna la partie charnue des seins, la motte tout-entiŤre, la chair des cuisses; lui fendit le ventre, lui arracha le coeur, les poumons, le foie, La vessie, La matrice; La retourna, LuÓ enleva la chair des fesses, lui coupa les piťds chaussťs, qu'il mit dans une poche, les mains, qu'il serra dans l'autre. Il La retourna encore; Lui coupa la langue, la tÍte, Űta la chair des bras. Il vint ensuite chercher sa chemise ťt un drap du lit, en disant: "Voila un bon regal pour nos Moines ťt pour moi". Le terrible Anthropophage mit le saladiťr dans la chemise; ensevelit le corps dans le drap; fit lever VitnŤgre pour le coudre; puis il Lui dit de publier le lendemain, que sa Femme se mourait; de La mettre le soir dans une biťre, ťt que Lui Moine se chargeait de La faire enterrer. Et aprŤs Lui avoir recomandť de biťn effacer au grand jour toutes les traces de sang, il sortit vŽrs les 3 heures du matin, emportant son saladiťr de chair humaine. VitnŤgre pleura dabord. Mais nous ayant entendu remuer, pour sortir, le L‚che eŁt une frayeur si grande, qu'il ala s'enclore dans son petit cabinet. Nous sortimes donc tout ŗ notre aise. Comme nous traversions la petite cour, nous entendimes les Voisins qui disaient fort-bas: "Il ne l'a pas tuťe; voilŗ qu'On l'emmŤne"!... Nous nous mimes ŗ fuir par de petites ruŽs, dŤs que nous fumes dehors, de-peur d'Ítre suivis. Et biťn ŗ-propos! nous entendimes courir. Mais On ne prenait pas notre chemin. Je remenai ma Fille ŗ sa pension, laissant lŗ Timorž, pour observer, ťt lui promettant de revenir dans une demi-heure. "Voila donc (me dit-elle), quel serait ŗ-prťsent mon sort, si, en vous accordant mes faveurs, je n'avais pas reculť votre depart! O mon cher Papa! tout mon corps est ŗ vous, pour en faire ce que vous voudrťz"! Je lui demandai sa bouche. Elle me darda sa langue; et nous arrivames. Je lui dis de se coucher. "Non, non! ťt mes malles.. mes bijoux; si nous pouvions les avoir"? J'admirai sa prťsence d'esprit!... Il ťtait prŤs de 5 heures. Je courus rejoindre Timorž, qui se promenait devant la porte. "Riťn encore" (me dit-il). Un instant aprŤs, nous vimes sortir VitnŤgre. Timorž le suivit, ťt j'alai chercher ma Fille, sa prťsence nous ťtant necessaire, si d'officieux Voisins nous arrÍtaient. A mon retour avec ma Fille, ťt deux Crocheteurs, je retrouvaž Timorž, qui nous dit que VitnŤgre avait passť le boulevard. Ma Fille ouvrit: Nous chargeames quatre malles prťparťes, mais cachťes, nous sortimes sans Ítre vus, ťt nous alames par des rues detournťes, chťz mes Affidťs. Ce fut alors que ma ConquŤte fut tranquille! Elle se coucha, ťt nous alames reposer chacun chťz nous Timorž ťt moi XVI Chapitre. Chap. Foutoir: Petit Magasin: Enterrement: Amour. Nous en sommes aux fouteries par excellence; ŗ celles qui vont agu rrir ma delicieuse Conquette-Ingenue, ma ravi sante Victoire-Conquette, faire leur fortune, la miťnne, en leur Űtant une fausse delicatesse, & decouvrir une chose admirable, qu'On ne verra qu'ŗ la fin. La route que je vais prendre; pour former ces deux Belles & leurs Compagnes, ťtonnera dabord! mais en toutes choses, il faut attendre le derniťr resultat... Reprenons ce charmant Recit, en fesant prťceder quelques fouteries prťparatoires, qui amŤneront les grandes. Mais il n'y aura plus dans le reste de l'Ouvrage, aucune horreur qui ressemble ŗ celle du Moine Foutamort. Les horreurs ŗ la Dsds sont aisťes ŗ prťsenter; c'est la peinture de la douce voluptť, qui est le chťfd'oeuvre du Genie. La premiŤre visite que reÁut ConquŤte, le lendemain, jour de son enterrement, ťt ŗ la mÍme heure, fut celle de Timorž. Il La trouva chťz ses Hůtes. Il venait Lui raconter, comment, aprŤs ťtre morte la nuit prťcedente, elle venait d'ťtre enterrťe. Mais Il ne pouvait parler devant le monde. Or, j'avais dans cette mÍme maison, ŗ quelques marches au-dessous, mais sur le derriŤre, un petit Magasin, oý je cachais chaque Nį de mes ANNALES, que supprimait le Gouvernement d'alors. Ma Fille y devait faire mettre son lit, le soir mÍme: il y aurait sans-doute ťtť deja; mais elle ne fesait que de se lever. J'y avais placť pour mon usage, celui de mon Secrťtaire, de sa Soeur, de sa MaŪtresse ťt de sa BellemŤre, un Foutoir comode, dans le ventre duquel on pouvait parfaitement se cacher. [VitnŤgre en avait un tout pareil, dans lequel il se mussait, quand Un de ses trois Payeurs venait, pour essayer de depuceler le Con ou le cýl de sa Femme, qu'il appelait, sa Poule aux oeufs d'or: il voulait tout voir, craignant qu'Un des Trois ne la Lui enlev‚t: C'ťtait aussi par voluptť; il ťtait passionnť pour la chaussure de sa Femme: Lors donc que tendrement gamahuchťe par Un des trois Bougres (car ils l'adoraient, ťt ils vont biťn La regretter); elle ťmettait, il lui tirait un souliťr, qui se trouvant ťtroit vŽrs la pointe, lui servait de cou: Aussi disait-il ŗ ses Intimes: "Je n'ai jamais foutu ma Femme qu'en souliťr"]. Conquette sentant biťn que Timorž avait biťn des choses ŗ luž dire, ťt qu'il ne pouvait parler, prťtexta qu'elle avait laissť dans mon magasin une Lettre ŗ Lui montrer. Elle avait une double clťf: Ils y descendirent ensemble. Je venais d'y arriver. J'entendis la marche de ma Fille, sa voix basse, ťt celle de Timorž. Je me cachai dans le Foutoir. Ils entrŤrent. Conquette ferma soigneusement la porte, la couvrit du matelassement qui empÍchait qu'On ne fŻt entendu audehors, ťt ils s'assirent sur Moi. "H‚! Madame (dit Timorž), quelles scenes!... Il avait decouvert que je vous aimais, ŗ mes regards, ťt parcequ'un-jour ťtant avec Lui chťz vous, pendant qu'Un de vos Acheteurs vous caressait sous son nom, il me vit baiser ŗ la derobťe une de vos chaussures. Mais il paraissait ignorer non-seulement que vous m'aimiťz, mais que je vous fusse connu. HiŽr, ŗ 3 heures, m'ayant trouvť au Caffť, il me dit: "Je ne saurais depuceler ma Femme; j'ai le Vit trop gros: Tu es beau garson; je tai choisi, pour La depuceler aujourd'hui, ŗ l'instant; je te demande seulement six louis, qu'elle aura pour ses ťpingles". Je les Lui donnai surlechamp, ťt nous partŪmes... Vous savťz le reste... Ce matin, aprŤs vous avoir quittťe, j'ai ťtť me reposer jusqu'a 10 heures, que j'ai ťtť ŗ mon Bureau. Mažs passant devant sa porte, j'y ai frappť. J'ai entendu deux Voisines qui se disaient fort-bas: "Le Confesseur y est! ce n'est donc pas elle qu'On a emmenťe cette nuit".... L'infame m'a ouvert. L'horrible Moine ťtait avec lui. Un FrŤre avait apportť la biťre biťn enveloppťe, et il recitait tout-haut des priŤres auprŤs du Cadavre dans le cabinet obscur. "C'est un Ami (a dit VitnŤgre)... Ma pauvre Femme est morte! "Morte! (ai-je dit). "Elle est expirťe dans les bras du Reverend PŤre" J'ai fremi de l'expression!... Le Moine a dit: "J'ai fait toutes les demarches: nous avons la permission de l'enterrer sans bruit: ce sera pour 3 ou 4 heures". Je suis sorti... En revenant de dÓner, vŽrs les 4 heures, je suis repassť. Deux PrÍtres, quatre Porteurs, le Moine ťt le FrŤre, ont emportť le corps, sans chanter. Il est inhumť. Nous verrons la suite des ťvŤnemens... Je les observerai. Ma belle Amie! On vons croit morte: vous Ítes libre: M'accorderťz-vous vos prťcieuses faveurs? "Mon Ami! (repondit modestemt Conquette), je commence par vous remercier de l'important service que vous m'avťz rendu! mais Un-autre m'en a rendu un plŁs important encore: seul il m'aurait sauvťe: Si mes faveurs ťtaient encore ŗ Moi, elles seraient ŗ vous. Mais elles sont a mon premiťr Amant, qui cachť, a decouvert toute la trame: Il venait de me deflorer; il me l'a mis encore aprŤs. C'est votre unique Rival: mais il est adorť: son nom, que je važs vous dire, va vous prouver toute mon estime, ťt que vous avťz toute ma confiance: C'est mon Papa"... A ce mot, Timorž tomba aux genoux de son Amante: "Fille angelique! Fille divine! (Lui dit-il), je reconnais lŗ votre piťtť filiale ťt la beautť de votre ‚me! Foutťz avec votre PŤre; que lui-seul vous enconne! Vous seriťz digne de foutre avec Dieu, si Dieu foutait!... Mais je demande ŗ vous gamahucher, ťt si votre Papa le permet, ŗ vous enculer? "Mon aimable Ami! (lui repondit Conquette, en le caressant de la main), vous Ítes biťn raisonnable"!. Timorž se deculota, Lui mit dans la main un vit ŗ pucelage, plŁs petit que le miťn, se fit chatouiller les couilles, ťt La voulut branler. Elle s'y refusa. Alors Timorž La renversa, La troussa, ťt lui supa savoureusement le Con... Non, jamais l'On n'entendit de pareils soupirs!... "H‚! Timorž.. ta langue vaut un vit". Elle avait ťmis dŤs le troisiŤme coup de langue, ťt dans son delire, elle ťlevait ses jambes en l'air, fesait claquer ses jolis talons, haussait du cýl, pour favoriser l'application de la bouche de son Gamahucheur, ťt l'intromission de la langue qui lui chatouillait le clitoris. Elle imitait sa MŤre, dans ce claquement de talons: car je ne foutais Celle-ci que de jour, soit en Con, soit en cýl. soit en bouche, pour Ítre excitť par ce qu'elle avait de mieux, la jambe ťt le piťd: Je lui demandais le claquement des talons, parcequ'il imitait la marche de Femme, son qui me fesait toujours bander... Lorsque ma Fille eŁt amplement dechargť, elle ťcarta Timorž. XVII Chapitre. Chap. Du Pucelage du Cul: Le PŤre enconneur. La celeste Conquette-Ingenue fut toujrs aussi juste que belle & sensible: qu'On ne soit donc pas surpris de ce qui va suivre. Elle se mit sur le ventre, ťt lui dit: "Mon second Amž! pommade-moi: Mon premiťr Ami a eŁ le pucelage de mon Bijou; il est juste que tu aies celui de ma RosŤte; mon Papa sŻrement m'approuvera? "O Deesse! (repondit Timorž, en lui inserant de la pomade dans l'anus avec une canule), que tu es raisonable! Il aura le Conin, Moi la RosŤte, ťt nous jouiront chacun d'une fouterie ŗ nous-seuls". Timorž enfonÁa, malgrť quelques petits cris de ma chŤre Fille, et aprŤs de vives saccades, il dechargea, en s'ťcriant: "Foutre! foutre! quel cýl.. quel plaisir des Dieux"! Et il se p‚ma... Il fut ťpuisť, ťt de sperme ťt de forces, par ce coup seul... Aussi se rapela-t-il, ŗ mon grand contentement, qu'il ťtait atendu ŗ 7 heures. Il laissa l'amoureuse ConquŤte-Ingenue ťtendue sur le lit, aprŤs l'avoir remise sur le dos, afin de Lui donner quelques coups de langue au Con, pour baisťr d'adieu. Il aluma sa bougie, sortit, ťt tira la porte. AussitŰt je quittai ma cachette, ťt je m'ťlanÁai sur mon adorable Fille, que les trois dardemens de langue avaient ťmue, ťt dont le Con oscillait vivement. "Quoi! vous ťtiťz lŗ? "Oui, ma Divine. Il encule; moi j'enconne. Tu me causes une ťrection terrible! "Adorť Papa, foutťz... foutťz-moi! (ťt c'est la premiŤre-fois de sa vie qu'elle prononÁait ce mot); je n'en puis plus moi-mÍme"... Elle me saisit le vit, ťt se le mit dans le Connin: "Pousse! (me disait-elle): Il entre.. Pousse! vit de Dieu! vit paternel! ťmets du foutre dŠns le Con de ta Fille"!... En parlant ainsi, elle remuait tellement du cýl, que je me trouvai biťntŰt au fond de son Connin. Vive la fouterie ordinaire! c'est la meilleure maniŤre des quarante! J'avais la bouche, la langue, les blancs tetins de ma Fille, ses caresses, la vue de son charmant visage, toujours joli au double dans Une Femme qu'On fout, ses doux propos: "ChŽr Vit! Vit divin! comme il me chatouille le Con!... Pousse!.. H‚! Bougre! je me p‚me... Je dechar...arge du fou...outre!... Ta langue! chŽr Amant! Enconneur adorť!... HÚ je redecharge, Fous Sacrťbougre! Suce... mordille-moi les tetons"!;;; Je dechargeai delicieusemt ŗ la seconde ťmission de ma celeste Fille. Au fond de son ťtroit Connin, je me sentis adorablement pincť par ce que le Vulgaire appelle le clitoris, ťt les Gens de l'art, le bas du conceptoire ou de la Matrice; cet organe de voluptť, qui n'est atteint que par un vit long, me suÁait le bout de l'engin dechargeant... Et cette idťe delirante, en me voyant sur la plŁs belle des Femmes, renversťe sur le dos, biťn enconnťe, se p‚mant de plaisir, "Je fous ma Fille... Je lui decharge dans le Con... Nos foutres mÍlťs peuvent lui faire un Enfant tout de moi... Je fais cocý le gueux, le scelerat de VituŤgre! Je fous sa Femme, qu'il croit morte, qu'il n'a jamais foutue... Nous La foutons, Timorž ťt Moi, l'Un en Con, l'Autre en cýl, tandis que le vil Jeanfoutre se branle le vit ŗ sa divine intention... Il la croit ťcartelťe par le Vit-timon de son exťcrable Moine... ťt son ťtroit Conin decharge avec nous, comme celui d'une Princesse, foutue par Un Jeune Garde-du-corps!... Ces idťes, rapidement roulťes dans mon imagination, doublaient, triplaient ma voluptť..... Ma Fille me fit dťconner: "J'en suis pleine, me dit-elle; le devant, le derriŤre; il faut que je me purifie". Je courus lui chercher de l'eau tiŤde chťz son HŰtesse, Mad. Brideconin, que je trouvai seule auprŤs du feu, des tetons blancs comme neige dťcouverts. Je les baisaŪ, pris l'eau qui chauffait pour elle. Son Mari me dit: "Je viťns de le Luž mettre, ŗ l'intention de votre Fille, la charmante Mad. Poilsoyeux (nom que je lui avais donnť, pour qu'elle ne port‚t pas celui de son žnfame Mari). Je rentrai. Je lavai moi-mÍme avec une fine ťponge les charmes secrets de ma DeÔtť. Il y avait un peu de sang ŗ la rosette, ťt mÍme au Conin. "Hť! quoi, ma Delicieuse, tu as donc encore souffert? "Oui, mon chŽr Bourreau: mais le plaisir l'a toujours emportť, mÍme en cýl"... Conquette purifiee, me dit: "J'ťtais si pressťe de jouir avec vous, que je n'ai pas pris le temps, Papa-Sauveur, de vous demander votre sentiment sur ce qui s'est passť entre Moi ťt Timorž? "J'ai aussi biťn des choses ŗ vous dire lŗ-dessus, mon Ange: mais nous alons souper. Vous avťz besoin de repos, ťt Moi aussi; ce sera pour demain"... Je lui donnai la langue; elle me darda la siťnne; je baisaŪ les boutons rose de ses tetons, ťt nous alames nous mettre ŗ table. Pendant le soupťr, je racontai ŗ M. ťt Mad. Brideconin ce qu'il falait qu'ils sÁussent de la prťtendue mort de Mad. Poilsoyeux, afin qu'ils ne la compromÓssent jamais. Pendant le repas, notre Porteur-d'eau ťt sa Femme placŤrent le lit de ma Fille dans mon magasin; ťt dŤs qu'il fut arrangť, nous y descendimes ensemble. Ma belle Amie me dit: "Je crois que j'aurai peur: priťz Mad. Brideconin de venir coucher avec Moi"? "Je vais rester, ma Reine. "H‚! j'aime biťn mieux cela! non pour jouir; mais pour que mon Amant-papa s'endorme sur les tetons de la Femme de VitnŤgre, pendant qu'il se morfondra, ou qu'il ne .. qu'un de mes vieux souliťrs. "Ma divine Fille? (repris-je), je vais, dŤs ce soir, te dire ce que je voulais remettre ŗ demain. Couchons-nous". Je deshabillai ma Deesse come Une Nouvelle-mariťe, baisant tout ce que je decouvrais. Tous-deux au lit, je l'assis sur mon vit: XVIII Chapitre. Chap. Des Avis paternels, tenant sa Fille enconnťe. Ami Lecteur! j'ťprouve encore les oscillations de la plŁs savoureuse voluptť, en me rappelant ces momens enchanteurs, que m'a procurťs ma Conquette-Ingenue-L**! "Appuie lentement, ma Reine; que je t'enfile sans limer"? Elle le fit. Lorsqu'elle fut parfaitement enconnťe, je lui dis: "Tu sais, trŤs-cherie Fille, que j'ai tout vu, tout entendu. Tes sentimens divins ŗ mon ťgad, m'ont penetrť de reconnaissance ťt d'admiration... J'approuve entiŤrement que tu ayes donnť ŗ Timorž le pucelage de ton beau cýl. J'accepte avec transport ton dťvoŻment pour Moi. Mais, celeste Fille! c'est ŗ ton interÍt, ŗ ton bonheur, que je me propose de le faire servir. Je ne prťtens pas, tel qu'Un Sultan, te garder pour mes plaisirs exclusifs. Tu auras Un Payeur. Lequel des trois Hommes auxquels ton pucelage ťtait vendu, aurais-tu prťferť? "Le plŁs honnÍte, incomparable Papa: mais c'est justement Celui quž l'a le plŻs gros. "Je te ferai donc ťlargir le Bijou par Un gros Homme de ma connaissance: Il n'est pas aimable: mais Un Homme aimable pourrait t'ťpuiser, en te fesant trop decharger; outre qu'il pourrait te prendre le coeur; ce qu'il ne faut pas; Un Fouteur prťparatoire ne doit te prendre que le con... Ni Moi, ni Timorž ne te suffirions point; nous n'avons pas le vit assťz gros; ce ne sont que des vits ŗ pucelage. Mais j'ai plusieurs Ressources... Je sonderai Celui que tu prťfŤres; puis les deux Autres, s'il ne fait pas ton affaire. Je les ai ťpiťs: Je sais leur adresse; je ne nous compromettraŪ pas. Je ne te demande que de la soumission? "EntiŤre! divin Papa". Elle se tremoussa un peu, ťt dechargea. "S'il te surviťnt beaucoup de temperament, comme je crois l'entrevoir, j'aurai soin que tu ne manques pas de vits. Tu verras comme tu seras rťgalťe!.... Je ne suis plus d'un ‚ge ŗ te rassasier de voluptť. Ainsi, je te le ferai mettre par de jolis Jeunesgens, graduant la grosseur des vits". Ici, ma provocante Fille s'agita, en me disant: "Mon cher Vit-papa! permets que je foute en con ŗ l'intention de Timorž, le Vit de mon cýl? Tu m'as convertie; il m'enconnera, mais en ta prťsence. "Oui. oui"... Je la saccadai. Elle s'ťcria: "Fourgonne.. Vit de mon cher Timori! fourgonne mon Con! Fais-moi p‚mer! Bougre.. foutre.. Ramonne.. ramonne!... ze deÁarze! Et elle dechargeait, en se roidissant: "Hahaha, mon Papa! hahaha! hahahŠh"! (avec un lŰng soupir)... Je n'ai jamais eŁ tant de plažsir, qu'ŗ cette decharge... Nous avions de la lumiŤre: ma Fille se mit sur le bidet, pour se rafraÓchir le Bijou, tandis que je me mettais le vit ťt les couilles dans l'eau froide, pour me faire debander. Je demandai ŗ ma Fille, Qui lui avait appris les expressions dont elle s'ťtait servie, en dťchargeant? "Des la troisiŤme semaine de notre mariage (me rťpondit-elle), VitnŤgre fit coucher avec lui sa Filleule, femme d'Un Espion de Police: cette Femme, par les ordres de son Parein, feignait de delirer, quand il l'enfilait; ťt voila quels ťtaient ses propos, avec beaucoup d'autres, qui n'auraient pas ťtť placťs pour nous, comme Gros-bondon, Chiťn de Vit de mulet, Foutŗmort le cadet! etc" Nous nous remimes au lit, ťt nous nous endormimes enlacťs. Le matin, je renouvelai mes instructions ŗ ma Fille. On frappa. C'ťtait Mad. Brideconin, qui parla. Je me cachai dans le foutoir. Elle apportait le dejeķnťr de Mad. Poilsoyeux. "On cherche Une Fille du Port-au-blťd (dit-elle), disparue depuis avanhier-soir. Une de ses Pareilles a dit, qu'elle devait aler coucher avec Un Homme de 40 ans, qu'elle avait dit Avocat, mais qui est Chirurgiťn; qu'ils l'ont tuťe ŗ deux pendant la nuit, ťt dissequťe. C'est peutÍtre votre histoire, qu'On denature comme Áa? Mon Mari doit aler s'informer". Elle sortit; ťt je vins dejeŻner avec ConquŤte. Je la laissai, en promettant de la voir ŗ dŪnťr. Je fus exact. Brideconin ťtait sorti. C'ťtait effectivement de ConillŤte, dont il ťtait question. Le Commissaire ťt les Mouchards visitaient toutes les maisons de la ruŽ: mais On ne trouvait riťn. Je changeai de costume par prťcaution... Je revins le soir, ťt ne couchai pas. Je me reposai trois nuits, et laissai reposer Conquete-Ingenue. On sait que j'aimais ma Fille autant pour elle-mÍme, que pour mon plaisir, ťt que je n'entendais pas rŤgler son appťtit de 19 ans, sur mes forces de 40. Mais j'avais encore d'autres raisons. Je vais me conduire en-consequence. XIX ChaÓtre. Chap. Du PŤre Juste, & du Vit Grisonnant. On sera sans-doute surpris de ce qu'On va lire, d'aprŤs les sentimens que je viťns de professer!... Ne me prťjuge pas, Temerŗire! Pour me connŗÓtre & prononcer, attens. Je connaissais Un de ces Gourmets de plaisir, gros homme vigoureux, lubrique ŗ l'excŤs, nommť Montencon. Il m'avait donnť souvent ŗ dÓnťr, rue Troussevachť, oý il demeurait, m'y avait fait enconner la Petite VitsuÁŤte, sa maÓtresse, en me La tenant lui-mťme: Il m'avažt mÍme procurť la Fille de son Hůtesse, Petit Bijou, sťduite par Un Noble, appelť De-Fout‚ne, qui L'avait ensuite rendue Putain. Elle nous amusa toute une aprŤsdinťe: Montencon ayant grisť la Jolie AdelaÔde-HŰchepine, il eŁt la politesse de me la faire enconner le premiťr, ťt chatouiller les couilles par sa MaÓtresse: Ensuite il l'encula, ťgalement chatouillť par VitsuÁŤte. Je La refoutis, aprŤs que la VitsuÁŤte de Montencon me l'eŁt lavťe. Mais Celui-ci nous dit: "J'ai mes raisons: J'embouche la jolie Garse". L'ayant embouchťe, ťt lui ayant fait avaler son foutre, en haÓne de Fout‚ne, j'en fus degoŻtť, ainsi que de la VitsuÁŤte, dite la Baiseuse, ŗ Laquelle il en fesait autant: Je n'y ťtais plus retourne. Ce fut cet Homme que j'invitai ŗ dÓnťr dans mon petit Magasin, pour aguerrir ťt m'ťlargir un-peu ma Fille: (Car j'avais fait donner separťment aux trois Payeurs ŗ gros Vits de VitnŤgre, MM. Lťlargisseur, PerÁecŁl ťt Cognefort) l'espoir de la retrouver, ou sa Pareille. Montencon ťtait connu de ConquŤte, dont il avait foutu la MŤre avant la verole: Il n'en avait que plŁs envie de le mettre ŗ la Fille. Je le trouvaž dans l'escaliťr, en arrivant Moi-mÍme. Je l'introduisis. Il demeura immobile de joie ťt d'admiration, en voyant Une Femme si belle!... J'avažs affŗire; je ne restai qu'un moment, en lui disant, que je lui laissais ma Fille pour compagnie. Il balbucia, en me reconduisant: "Elle est ravissante! Quel goŻt dans sa parure! Comme elle est chaussťe! ťt quel dommage qu'Un VitnŤgre ait eŁ ce pucelage-lŗ? "VitnŤgre? Elle est pucelle. "O mon Ami! puis-je y tenter? ťt t‚cher de mettre aumoins une corne ŗ ce Gredin-lŗ? "Fais-y ce que tu pourras: Mais je doute du succŤs, avec ton poil gris: Il n'y a que les Catins bl‚sťes, qui souffrent les Barbons vigoureux ťt libertins: avec les Pucelles sages, il faut Ítre tendre; ťt tu as la figure d'Un Satyre, ou d'Un Reprouvť. Mais tente-s-y". AprŤs mon depart, Montencon essŗya dabord de la galanterie. Mais n'y g‚gnant riťn, il culbuta ConquŤte ŗ l'improviste sur le FOUtoir; ťt comme il ťtait vigoureux, il lui approcha, en la contenant d'une main, le vit des lŤvres du Con... Cependant il ne put l'enfiler; Un coup de cýl en arriŤre le debusquait... Il alait La menacer de La poignarder, lorsque je rentrai. ConquŤte se rajusta, sans marquer d'humeur. Je dis tout-bas ŗ Montencon: "Le pucelage? "C'est Un Diable! J'en serai reduit ŗ me branler! "Tu la foutras". Nous nous mimes ŗ table. ConquŤte parla comme ŗ l'ordinaire ŗ son Vellivioleur, ťt rit mÍme avec lui. Tout-haut, devant Moi, il lui demanda, D'oý-viťnt elle ne s'ťtait pas laissťe enconner? "Fi-donc! (repondit-elle). Hť! d'oý-viťnt l'aurais-je souffert? "Parceque je bandais comme Un Carme. "Vous parlťz comme Un VitnŤgre"... Montencon ne m'en raconta pas moins ses entreprises, en termes savoureux: Il loua la beautť de la Conque, le soyeux du poil, la blancheur des fesses, la fermetť des tetins, le rosť du bouton, l'ťburnitť ou l'ivoire du ventre ťt des cuisses: Il extolla le piťd, la jambe de la Belle... ConquŤtee, ainsi louťe, rougissait, ťt n'en ťtait que plŁs modeste. Je repondis, Que j'ťtais le seul qui foutÓt ma Fille, ŗ laquelle j'avais sauvť la vie, ťt que j'avais deflorťe, il y avait 8 jours. Et je racontai toute l'histoire. "Vous La foutťz? "Hť! qui donc La foutra? Je suis deux-fois son PŤre"... Montencon se mordit les lŤvres. ConquŤte m'embrassa. Pendant tout le dÓnťr, nous admirions le voluptueux tour de hanches de Mad. Poilsoyeux, ŗ chaque fois qu'elle se levait, pour aler demander un plat, ou qu elle donnait des assiŤtes. Elle avait un joli souliťr rose ŗ talons vŽrts, ťlevťs, minces; des bas de soie blancs neufs, ŗ coins roses. Je Lui demandai, Si elle ťtait jarretťe audessus du genou? "Certainement! (repondit-elle); toujours. "En ce cas (repris-je), montrťz-nous la plŁs jolie jambe qui soit au monde"? Elle refusait Mais nous l'en pressames tant, que pour se debarrasser de nos priŤres, elle mit le piťd sur une chaise, ťt nous montra, jusqu'au dessus du genoux, une jambe ŗ faire bander Un Moribond.... Nous entrames en rut, Montencon ťt Moi: mais nous nous moderames. Cependant le grisonant Ribaud, dans un moment oý ma Fille ťtŗit sortie, me proposa de l'enivrer, en mettant du champagne, qu'il avait apportť, dans son vin-rouge, aulieu d'eau? Je feignis d'y consentir: Mais avant que ConquŤte rentr‚t, j'alai audevant d'elle, ťt l'avertit de-tout. Puis j'ajoutai: "Ma raisonnable Fille: il faut qu'Il te le mette; je l'ai amenť exprŤs pour cela; mais je ne savais comment faire; J'y reflechissais, quand sa proposition m'a tirť d'embarras. Tu feindras de t'enivrer: J'en ferai autant; ťt par ce moyťn, jamais il n'aura un piťd sur toi. Il a l'engin assťz gros, quoique moyťn. AprŤs lui, je t'aurai Traitdamour., mon anciťn secretaire, Un joli Garson, qui achŤvera de t'ťlargir suffisamment; pour l'engin du Payeur que tu prťfŤres... Il est averti de ton ťxistance, ťt je n'ai demandť que quelques semaines, pour Lui procurer ta vue. Laisse-toi donc faire, ma Reine: j'empÍcherai tout ce qui ne conviťndrait pas. "Je vous suis soumise; disposťz de Moi (repondit-elle): Je me suis trop mal trouvťe de vous avoir desobťÔ"!... Nous rentrames. Entre les deux portes, elle se decouvrit un teton, ťt me le fit baiser. Montencon avait arrangť la caraffe en vin de Champagne: ConquŤte prťvenue le remarqua; s'en procura une autre d'eau, ťt reserva le vin, pour griser Montencon lui-mÍme. Mais le Ribaud ťtait inenivrable, autrement que par les beaux Ôeux et les autres charmes de ma voluptueuse ConquŤte-Ingenue. XX Chapitre. Chap. Du, H‚, comme elle fut foutue! DŤs que Mad. Poilsoyeux, qui affectait une ivresse aimable, parut dans l'ťtat oý Le Montencon La desirait, je la saisis, la premiŤre-fois qu'elle se leva, par la t‚ille d'une main, ťt de l'autre, je Lui pris le con. (Outre que je desirais vivement sa possession, je La voulais enhardir, ťt prťparer son Bijou ŗ l'admission d'un plŁs gros Membre que le miťn). Je la renversai, en demandant un morceau du beurre-frais restť sur la table. Je lui en mis gros come une noix ŗ l'orifice; ťt je poussai. "Laissťz, laissťz-moi donc! (me disait-elle doucement). Cependant elle remuait admirablement de la charniŤre, ťt le foutoir craquait sous nous... Je dechargeai, en me recriant de plaisir!...... "A toi, Bougre".... Montencon debout, son gros Vit bandant ŗ la main, nous admirait!... J'eŁs ŗ-peine deconnť, qu'il se prťcipita sur ma Fille, dont le conin oscillait encore: ťt doublement favorisť par mon foutre ťt par le beurre fražs, il penetra. ConquŤte fit un cri! Je m'avanÁai alarmť: Mais elle me sourit aussitŰt. "Enfonces-tu? (dis-je au Fouteur). "Oui, oui! sacredieu! (me repondit-il), ťt avec delices!.. Elle me pince le Vit!... Mais.. quel connin!.. C'est un satin!... H‚!... h‚!.. je fous!.. Remue du cŁl, celeste Houri!... Re..mue, divine Bougresse!... Con delicieux! remue... sous Moi!.. saccade.. saccade!.. Je pa..ars!.. je decha..arge!... H‚‚h!...! Le Grisonnant se p‚ma sur les tetons de ma Fille, qui elle-mÍme nageŗit dans le foutre ťt la voluptť. J'avŗis craint qu'elle ne remu‚t pas assťz avec Un Etrangťr: mais dŤs qu'elle fut limťe, elle se mit ŗ remuer, ŗ saccader, ŗ osciller des reins, ŗ decharger avec des soupirs ťt des cris... Montencon se remit ŗ la fourgonner, sans deconner, criant, heurlant de luxure, ťt murmurant par intervales: "Divine Garse!.. fais-toi Putain.. ťt.. je te rťpons. de ta fortune!.... Il recommenÁa ainsi trois-fois sans desarÁonner. Enfin, il deconna. "Voila un coup qui en vaut dix, ťt un con qui vaut cent, ťt mille-fois tous ceux que je t'ai fait enconner, mÍme ma Petite HŰtesse! On ne le quitte qu'ŗ regret!..... Mais refous-la, mon Ami: Une Femme vaut seize Hommes au jeu couillard; ne la laissons, ni refroidir, ni ch mer". A ce mot, ConquŤte-Ingenue, restťe immobile, ťt se contractant seulement un-peu, comme si On la tenŗit encore bourrťe... d'un vit, sauta du foutoir, ťt courut se laver. Elle trouva de l'eau tiŤde prťparťe. Nous fumes aussitŰt ŗ genoux devant notre Divinitť, ťt nous lui ťpongeames l'Un le cýl, l'Autre le con, les fesses ťt les cuisses: car elle ťtait pleine de foutre et d'un-peu de sang, prenant garde de mouiller ni sa chemise, ni ses bas; nous la fesions se tenir troussťe audessus des reins.... AprŤs une scrupuleuse ablution, nous l'avons admirťe: car elle ťtŗit ravissante ŗ cýl ťt ŗ con decouverts? Nous l'avons fait marcher ainsi, ťt nous avons vu la magie de son divin tour de-cýl... "Moi (disŗit le Grison), en la regardant venir ŗ nous), ce qui me transporte, c'est ce con noir, sur une peau de lis; ce poil soyeux, ťt cette raie de corail, quž le sťpare en deux ťgales parties"!... La Belle se retourna, ťt montra d'autres charmes: "H‚! (s'ťcria Montencon ravi), le beau cýl! il n'est pas inferieur ŗ l'admirable conin"! Elle revenait. "H‚! le beau con! Il est digne du divin cýl"! Quand ma Fille fut auprŤs de nous, Il lui bŗisa le conin: Puis se levant: (car nous ťtions restťs ŗ genoux pour mieux voir). il l'emporta sur le foutoir, en me demandant la permission de gamahucher tous ces charmes-lŗ, avant que je les refoutisse?... H‚! comme elle fut gamahuchťe!... Il lui chatouilla de sa langue la Rosette, ŗ la faire tressaillir. Puis il vint au Con. La Belle chatouillťe, se tremoussa, puis ťmettant, elle hennissŗit, comme Une jeune Cavale, dans la vulve de laquelle On insŤre pour la premiere fois l'engin terrible ťt perforant de l'Etalon vigoureux: les fesses potelťes de la Jument pucelle tremblotent; elle frťmit de tout son corps, ťt rťpond, par l'ťmission de son hippomanŤs, aux flots de sperme que lui lance le Dominateur des haras... Telle ťtait ma voluptueuse Fille, seulement gamahuchťe... Montencon deboucha, ťt Moi, me prťcipitant sur ma Fouterie, cambrťe, tenant son cýl ŗ trois doigts du foutoir, je plongeai brutalement: Elle ne fesait que doucement osciller. Ce qui ne s'accordant pas avec ma ribaude impatience, je dis ŗ Montencon: "Arrache-lui sa chaussure, ťt chatouille moi la sous les piťds"? Il le fit: Mais le Coyon s'amusait ŗ les flaÓrer, en disant: "C'est Cypris, ťt le dedans de ses chaussures sent l'ambrosie. "Chatouille donc, Jeanfoutre"? Il chatouil-La; ťt au second soubresaut; je dechargeai copieusement!... Dans mon ťxt‚se de plaisir, j'ťlevai mon ‚me vŽrs la Divinitť: "Mon Dieu! je vous remercie de m'avoir donnť Une Fille si parfaite, dont le conin trťmoussant viťnt de me donner une idťe du delice que vous ťprouvťz vous-mÍme, en foutant votre Fille la Nature!... "Dieu de mon Conin! (balbucia ConquŤte), sois beni! je re-decharge encore! le cri de mon PŤre a fait entrer son vit plŻs avant! "HŰ! quel digne PŤre! quelle pieuse Fille"! (s'ťcria Montencon ťdifiť)..... Je deconnai. "Mais d'oý viťnt (me demanda le vigoureux Grison, en se remettant sur ma Fille, ťt l'enconnant sans laver), m'as-tu fait chatouiller le dessous des piťds de ta celeste Fouteuse! "Je tiťns cette recette d'Un Imprimeur foutant la Femme de son ConfrŤre de l'aveu du Cocý: "Que lui avťz-vous donc fait, qu'elle m'a donnť tant de plaisir ŗ la fin? "Vous avťz biťn vu qu'elle ťtait dechaussťe? Or j'ai ouÔ-dire, Que les Fils de mesd. Quillenpoche et Radball, ‚gťs de huit ans, ťtant entrťs dans la chambre oý Un Avocat ťt Un Procureur vitoeuvraient mesd. leurs MŤres; les petits Babouins ne voulant pas les dťranger, leurs ŰtŤrent ŗ chaqu'une une mule delicate, ťt leur chatouillŤrent le dessous des piťds: Ce qui fit faire aux deux Dames des soubresauts, qui leur procurŤrent autant de plaisir qu'elles en donnaient ŗ leurs Opťrateurs Aussi depuis se firent-elles toujours chatouiller les piťds, en pareille circonstance. "Tu vas me rendre la pareille"... Il saccadait. "Alons, le foutre de ton PŤre.. ce foutre dont tu est faite, amalgamť au tiťn dans ton sacrť conin de Poupťe, doit te le pomader! Et j'ai de la peine"!... Je vis ŗ la rougeur de ma Fille, qu'elle souffrŗÓt. "Deconne, Bougre (dis-je ŗ l'Enfonceur), ton vit d'Ane, ton vit de Mulet donne les bouchťes trop grosses ŗ ce conichonnet"! Il deconna, ťt je mis un boulŤte de beurre-frais ŗ l'orifice du Bijou de ma Fille. "HŰ! Áa me le rafraÓchit" (dit l'aimable Enfant)... Montencon re-enconna avec fureur. Il entra mieux, ťt toucha le fond, ConquŤte ayant saquť du cýl: "H‚! je te sens, petit joli chiťn de pinÁoir! Alons, VitnŤgrŤte, encorne ton Jeanfoutre de VitnŤgre! Pince.. ťt remue du cýl, Garse"! Ces mots grossiŽrs me mirent en fureur ťrotique; je chatouillŗi sans pitiť les piťds de ma Fille, en lui disant: "Fous, Deesse! Donne-nous ton joli foutre!... Et toi, Sacrebougre, inonde-la! As-tu jamais percť con ou conin, qui vaille le connin, le connichet de ma celeste, de cette divine Putain"?... ConquŤte saccadait ŗ desarÁonner son Enconneur (comme fesait Mlle Timon sous le Grand-homme MIRABEAU): Mais Montencon se tenait ferme. Cependant elle eŁt une decharge si convulsive, qu'il fut presque-deconnť. Mais en retombant, le frottement serrť du connin veloutť, le fit decharger avec ravissement... Il lima quatre-fois sans deconner, ťt ŗ la quatriŤme, lui ayant chŗtouillť les couilles, il ťmit aussi copieusement qu'ŗ la premiŤre. Mažs il fut ťpuisť. "H‚! comme VitnŤgre es cocý! (disŗit-il en deconnant); car sa Fouteuse de Femme a dechargť le triple de Moi". ConquŤte sourit. "Combiťn? (lui demandai-je). "HŰ! dans les neuf, trois fois-neuf". Je la baisai sur le front, ťt elle ala au bidet. Je vis par-lŗ qu'elle aurŗit un vigoureux temperament. Ainsi, je resolus de la faire un-peu bl‚ser, avant de La livrer ŗ son gros Vit. Mad. VitnŤgre voulant se rafraÓchir quelque-temps le con dans sa cuvŤte ŗ bidet, nous pria, avec une modeste rougeur, de La laisser libre? Nous La saluames aussi respectueusement qu'Une Deesse biťnfesante, ťt nous sortimes. Montencon me dit: "Je vous rens gr‚ces: Je serais plŁs glorieux d'Ítre son PŤre, que de la Reine Marie-AntoinŤte. Elle est autant audessus des Fouteries ordinaires, que Mlle CONTAT, ou Mlle LANGE sont audessus d'une Putain des Pauvres, qui branle les vits derriŤre les charrŤtes sur le quai du Louvre". Nous nous separames, ŗ ces mots. "H‚! (disait Montencon, s'ťloignant), comme elle a ťtť foutue"! XXI Chapitre. Chap. Du Ressouvenir, & De l'Episode. Ho! que les Puristes ont dŻ se recrier au ChapÓtre prťcedent!... Hť-biťn, Puristes, je m'en fous. Le lendemŠin, je m'attendais ŗ un-peu de bouderie, ou de sťrieux. Non: Ma ConquŤte me parla comme ŗ l'ordinaire... Je fus huit jours, sans cherchťr ŗ le Lui mettre.... Le Samedi, son Bijou biťn retabli des fatigues donnťes par Sourcilsgris, dit Montencon, elle y sentit un chatouillement. Elle se ressouvint alors de ce que je Lui avŗis dit, qu'elle pourrŗit se laisser enconner par Timori. Elle fit une toilŤte de voluptť, se couvrit d'une calťche, ťt sortit le soir. Mais je L'observŗis, ťt La fesŗis soigneusement observer par Mad. Brideconin, ou comme je l'appelŗis en badinant, Mad. CONBRID…. Je fus avertŪ; je La suivis, pour La prťserver de malheur. Elle monta. J'ecoutai ŗ la porte; ťt j'entrevis mÍme par une fente... ConquŤte se jeta dans les bras de Timorž. Mais il ťtŗit malade: La Belle fut gamahuchťe seulement. Timorž, aulieu de la caresser, comme elle s'y attendait, se mit ŗ Lui racontťr la suite des ťvŤnemens relatifs ŗ VitnŤgre, ŗ Foutŗmort, ťt ŗ ConillŤte: "J'ai ťtť voir VitnŤgre aujourdhui, aulieu de me rendre ŗ mon Bureau, ťtant malade. Je l'ai trouvť malade lui-mÍme, tant il avait ťtť hiŽr effrayť des menaces de son Moine. Celui-ci l'avait fait demandťr. VitnŤgre est accouru. Il a trouvť toute la Communautť ŗ l'Infirmerie. Parvenu au lit de Foutŗmort, Celui-ci lui a dit: "Gueux! si j'en avais la force, je t'ťtoufferais... Mais si je suis pour en mourir, comme On l'assure, je declarerai tout au Lieutenant-de-Police, ťt tu seras pendu... Tu m'as vendu ta Femme: Elle ťtait si belle, que j'ai eŁ un plaisir... infini... ŗ la faire expirer dans des douleurs plŁs fortes que celles de l'accouchement... J'en bande encore, mais avec des douleurs insupportables... Elle ťtait si belle, que j'ai voulu en manger: je me suis fait accomoder son con, sa matrice, ses poumons ses tetons ťt sa tÍte, que j'avais deguisťe: Nos Moines ont mangť, sans le savoir., son cŁl, ses fesses, ses mollets, ses piťds, ses bras, ses mains, ses ťpaules, son coeur, son foie, etc... Tous, eux ťt moi, nous avons la verole! Or, ta Femme, belle, fraÓche, pucelle encore, ne l'avait pas.... Voici ce que tu as fait, Coquin: Touchť d'une fausse compassion, tu as fait ťvader ta Femme, que je t'avais payťe pour la foutre ŗ mort, ťt tu lui as substituť une Putain... C'est une insigne coquinerie... Si j'en reviťns, j'aurai ta Femme; si je meurs, tu seras pendu"... VitnŤgre s'est donnť ŗ tous le Diables que c'ťtait vous qu'il avait livrťe. Le Moine, qui venait d'Ítre frottť de mercure, ťt dont la langue enflait, a fait signe qu'il n'en croyait riťn. Le Chirurgiťn a tirť Vitnegre ŗ-part: "Avťz-vous quelqu'affaire ŗ regler avec ce Scelerat? il n'a pas 2 heures ŗ vivre, ŗ la maniŤre dont enfle sa langue. Il a une verole si terrible, que j'ai ťtť obligť de le froter au triple ds Autres, que voila dans leurs lits, ťt qui commencent ŗ saliver. Je le connais; c'est Un Monstre ŗ Űter du monde, ťt tout-ŗ-l'heure, il ne pourra parlťr. "EmpÍchťz qu'il n'ťcrive? "HŰ! ne craignťz riťn! l'enflure luž.. g‚gne les Ôeux; il n'y voit plus, ťt la langue commence ŗ lui sortir de la bouche... Il.. souffre.. (lui t‚tant le pouls) comme un Damnť.. ťt il n'a pas une demi-heure ŗ vivre"... Alors, VitnŤgre enhardi, a dit au Moine; "Gueux! Infame!... c'est la Putain ConnillŤte, que je t'ai donnťe, que tu as fait manger ŗ tes Moines, ťt dont tu as dťvorť la matrice verolťe"! Le Moine s'est soulevť, ťt a lancť ŗ VitnŤgre un si terrible coup de poing, qu'il l'aurait tuť, si la colonne du lit n'avait pas amorti une partie du coup, qui cependant a renversť VitnŤgre. On l'a fait sortir. Mais il a appris ce matin, par le Chirurgiťn, que la langue du Moine, devenue grosse comme celle d'un Boeuf, l'avait ťtouffť un quart-d'heure aprťs... On a brŻlť sans lire, tout ce qu'il avait ťcrit durant sa maladie. Voila ce que VitnŤgre tranquilisť, viťnt de me raconter. Il est tard: je ne saurais vous reconduire: Partťz, ma belle Amie". Tel fut le recit de Timorž, fait ŗ ma Fille, que j'entendis tout-entier, ťt qu'elle me repetera. Elle s'en revint la tÍte remplie d idťes noires. Je La suivŗis ŗ vingt pas, La couvant des Ôeux, pour La prťserver de toute mauvaise rencontre. Je bandais comme Un Carme, en voyant son joli tour de hanches... Elle rentra. Je La prťcedai dans mon magasin, ťt je me cachai. Elle revint avec de la lumiŤre ťt de l'eau tiŤde. Elle se lava la motte, ťt soupira, en se disant ŗ elle-mÍme: "Il n'existe plus, le Scelerat!... Je suis encore effrayťe"! Je frappai un petit coup sur une comode. ConquŤte leva les Ôeux, ťt me vit. Je Lui contai tout ce qu'elle venŗit de fŗire. Je Lui causai un effroi salutaire, qui La guerit de l'envie de retourner seule chťz Timorž, en Lui disant, que j'avŗis aperÁu VitnŤgre sur le quai des Ormes. J'ajoutai: "Vous aliťz pour Ítre bŗisťe; vous le serťz; car je couche avec vous". Elle begueulait, disant que le recit de Timorž Lui avŗit Űtť ses desirs. Je ne L'ťcoutai pas; je me mis au Lit, ťt elle vint se coucher auprŤs de moi. XX Chapitre. Chap. De la Fouteuse mise en appÍtit. L'appÍtit viťnt en mangeant (dit le Proverbe): & l'On va voir combiťn il a raison, pour ConquŤte! DŤs que ma Fille fut ŗ ma portťe, je m'encrai sur ses appas, Lui suÁai les tetons, ťt L'enconnai. Je ne sais par quel motif, humeur ou voluptť, ma divine Enfant ne remua pas. Je fis de-mÍme, ťt La tins emmanchťe, sans me donner aucun mouvement... Je m'endormis, aprŤs m'Ítre mis sur le cŰtť, sans dťconner. ConquŤte, qui s'y ťtait prÍtťe, s'endormit comme moi, sans-doute; puisqu'en m'eveillant, sur les 2 heures, je me retrouvai dans son Bijou. Je m'agitai pour-lors. Elle me serra dans ses bras, remua vivement du cýl, ťt me dit: "ChŽr Amant? pou..ousse". Et elle saccada de toute la force de ses rein... Elle dechargea... J'ťmis aussi... "H‚.. mon Dieu (dit-elle), c'est mon Papa, qui me.. caracole... "Qui te fous, ma Deesse. "Ah.. il n'y a que vous, pour ces choses-lŗ... Je ne vous contrarierai plus; car vous avťz plŁs d'esprit que moi... J'ai eŁ un plaisir.... que je ne dois qu'ŗ vous... ChŽr Papa, recommencťz; que je decharge ŗ votre intention? Je vous adore... Je La re-enconnai vigoureusement, en Lui disant: "Et fous comme tout-ŗ-l'heure, ŗ l'intention de ton Amant"... Elle remua du cýl comme Cleop‚tre ou Messaline, ťt elle se mit ŗ dire, en saccadant: "Bougre de Timori.. fous... fous... fous-moi... Fous ta Garse... fais cocu mon sacrť-gueux de Pere... dont je suis la Femme.. la MaÓtresse.. la Putain... Ah.. je sens ton vit, au fond de mon con... Ta langue... ta langue?... Je me p‚me... Je de...cha.arge.... Foutre... Ah-a-a-ah... je n'en puis plus........... Et en finissant, elle ala se laver le con...... DŤs qu'elle fut de retour, je remontai sur elle. "Remue du cýl, du con! (Lui dis-je): Trťmousse des fesses... Je sens ton pinÁoir... HŰ! que tu fous biťn, Fille de mon Vit, pour Une Novice!... Ayťz un mouvement encore plŻs rapide?... Bon... excellent!... Quels reins ťlastiqs"!.... Elle fit trois soubresauts, ťt dťchargea, en disant: "O mon Dieu! mettťz une tŰne de foutre dans les couilles de mon PŤre, ťt que son vit divin le decharge au fond de mon con"! Dieu l'exauÁa, car j'ťmis aussitŰt, ťt nos foutres se mÍlŤrent. J'en esperai Un Adonis... Elle resta ensuite immobile, ťt moi aussi. Elle fit une copieuse ablution. Je me rafraÓchis le vit ťt les couilles; puis nous nouz recouchames. Je La re-enconnai. Je fus-lŗ plŁs d'une heure, Lui suÁotant ses boutons de roses, Lui dardotant ťt Lui fesant dardoter la Langue; La fesant dechargeoter, p‚moter, chatouilloter mes couilles. Je ne pouvais me rťsoudre ŗ dťconner.... Tout-ŗ-coup ma Fille, que je croyais ťpuisťe, se met ŗ trťmousser du cýl, ŗ convulsionner du con, comme fesait autrefois sa MŤre, mais mieux que Celle-ci... Je rebandai roide, mais loin de la decharge.! Desorte que je La limai tant qu'elle voulut... Elle me disait: "Papa! je ne parlerai pas d'Un VitnŤgre, qui n'a de plaisir sur Une Femme, qu'autant qu'il brutalise sa Monture: mais vous foutťz plŁs tendremt plŁs delicieusement, que Timorž ne caresse: Vous limťz mon con comme Un Dieu!... A votre intention cette decharge-ci... Papa! Papa, fourgonne! tu es dans le con de ta Fille! Remue du cýl, Papa! Tu me fous.. tu me fous.. tu m'enco..onnes!... Fous, Bougre! fous ta Fille! Incestue, Jeanfoutre!... Enfonce, enfon..once,.. dans le con..on de ta Fi..ille.. p‚..‚mťe"!... Et elle resta comme morte, pendant une longue decharge..... Je La relimai, voulant dťcharger aussi, pour la derniŤre-fois de cette nuit-lŗ. Elle se ranima: "Fous, Maquereau! Je suis ta Putain, ta Raccrocheuse... ta sacrťe-Salope... ta passionnťe Fouteuse.., ta tendre Fille... Engrosse-moi? (remuant du cýl avec fureur): mets-moi dans le con un Garson.. une Garse! si une Fille, tu La.. dťpuceleras un-jour... si un Fils, il me foutra... "Adorable fureur! (m'ťcriai-je)... Tiťns, Fille adorťe, voila du fontre". J'ťmis delicieusement; ťt ma Fouteuse dechargea plŁs delicieusement encore... "H‚! quelle nuit! (me dit-elle)... Timorž ne me l'aurŗit pas donnťe si voluptueuse"...... Elle s'ablua: je lavai, ťt nous endormimes. XXIII Chapitre. Chap. De la Tendresse Filiale: Amour paternel. Etre reservťe, modeste, ou voluptueuse & fouteuse ŗ-propos, c'est la vťritable sagesse. Je ne raconte pas les bagatelles... Montencon ne put le re-mettre ŗ Mad.. Poilsoyeux, ťt il en fut trŤs-ťtonnť! Elle ťtŗit aussi modeste, aussi retenue avec Lui, qu'avant qu'il l'eŻt foutue. C'est qu'elle suivŗit mon avis, de ne pas laisser prendre un piťd sur elle, par les faveurs accordťes, ou ravies.... Un-jour qu'elle se baissait, pour arranger le feu, il lui prit le con. Elle Lui donna un soufflet. Je dis ŗ Montencon: "Moi, qui la connais, je ne Lui touche jamais les fesses, ou le poil du conin, sans sa permission, ťt sans qu'elle m'ŗit dit: "Hť-biťn, faites donc vÓte"! Quand je Lui demande cette faveur, elle est parťe, chaussťe comme les Gr‚ces.. Je commence par Lui demander ŗ Lui baiser le piťd. Puis Lui glissant la main sur la jambe, je Lui dis: "Tu l'as si jolie! que je La baise"?... Je pousse ŗ la cuisse, en disant: "Quel satin"! Je Lui passe delicatement la main sur la motte, ťt je m'ťcrie: "Ma Reine? qu'en te voyant marcher dans la ruŽ, ťt tortiller si joliment du cýl! faire bander tous les Hommes; bisquer de jalousie toutes les Femmes, je puisse me dire: "Je viťns de patiner, de baiser ces foutatifs appas"... Je te suivrai; j'entendrai les Hommes dire, Que je la foutrais biťn! Je verrai les Femmes penser: Sacrťe Coquette! cette parure, ce goŻt, ce tour de cýl signifient: Je veux ťtre foutue? Vits, foutťz-moi? "Bougresses! (Leur repondrai-je tout-bas), je mťprise vos cons ťt vous! Je ne bande que pour le beau connin que vous jalousťz"... Ma Fille sourit ŗ ces propos; se laisse patiner, puis baiser tetons, fesses ťt connin"... Montencon m'admira, ťt demanda pardon ŗ ConquŤte, qui n'avait entendu ce que je venais de dire, qu'avec une modeste rougeur. Un jour de fÍte, que je L'avais conduite avec prťcaution chťz Une Amie, ťt que j'ťtais retournť La chercher le soir, la suivant ŗ quatre pas, son lubrique tour de fesses me fit bander si fort, qu'en rentrant, je Lui h‚pai le con. Elle se defendit, parcqu'elle entendait aler ťt venir Mad. Brideconin. "En ce moment, Deesse, je suis si enragť de lubricitť, par ta marche voluptueuse, que je te foutrais devant toute la Terre." Et je grinÁais des dents, Lui tenant toujours le poil du con, ce poil soyeux qui Lui formait une Longue ťt superbe perruque ŗ la Louis-XIV. "Hť-biťn! (me dit-elle), alons: Mais ne me chiffonnťz donc pas? "En dťshabillťr, Reine". Je Lui tenais toujours le con, ťt je La suivais ŗ chaque pas qu'elle fesait. Elle me donna un joli baisťr ŗ langue dardťe, pour me remercier de ce que je Lui permettais de se mettre en deshabillťr. "Ne me quittťz pas le poil: Áa me prťpare". Une pareille complaisance me La fesait adorer. En un instant, elle fut en corpset, en court jupon piquť, les tetons biťn dťcouverts: "Ma chaussure est-elle assťz voluptueuse? ou voulťz-vous des mules, avec d'autres bas? "Des mules". Je La dechaussai d'une main, Lui chatouillant toujours le con. H‚! quelle jambe blanche! quelle propretť! Elle se chaussa debout. Je Lui mis le piťd dans une mule rose delicieuse, ŗ talons roses aussi, minces, ťlevťs, ŗ falbalas d'or, ainsi que le bout du talon. Je Lui quittai la motte, qu'elle lava. Ensuite elle fit par la chambre quelques-tours, pour m'exciter davantage. Me voyant hors de moi: "Je veux te griller"! (me dit-elle). Tandis que je dťculotais, elle s'assit, croisa ses genoux, ťt fit badiner la mule du piťd en l'air... Je n'en pouvais plus... Me voyant prÍt ŗ m'ťlancer sur elle, ConquŤte vint sur moi troussťe, me fit tenir ses jupes, appuya ses deux coudes sur mes epaules, ťt s'enfila doucement elle-mÍme, sans toucher mon vit de sa main delicate. Elle descendit ainsi graduellement jusqu'ŗ ce que je touchasse ŗ son pincevit: "Ne remue pas! (me dit ma Reine), je veux me foutre moi-mÍme"! Quand elle sentžt le plŗisir, la divine Fouteuse trop ťmue, s'abandonna de tout le poids de son corps, en me disant: "Cher Vit... pou..ousse"! Elle mit sa bouche brŻlante sur la miťnne, donna le mouvement interieur ŗ son con, me darda sa Langue, ťt se p‚ma, en me lanÁant toute son ‚me.... Je dechargeai, avec un si delicieux frťmissement, qu'elle foutait encore, au bout de cinq minutes d'ťmission. "H‚! Fouterie adorťe, l'ťclair du bonheur dure... et se... prolonge avec toi"... Je sentis, en cet instant, l'ťmotion de mes premiŤres decharges, oý je perdais connaissance, ťt je crus que j'alais expirer de voluptť dans son con. Je le dis, en dťchargeant. Mon Enconnťe n'en fretilla que plŁs vivement: "Un Fils?... une Fille?... ou tous-deux au fond de mon con (me disŗit-elle), chŽr Vit de mon PŤre"!... Je jurŗis, je sacrŗis, je divinisŗis ma Fille: "Con celeste.. Con divin.. Con de mon vit.. est-ce Moi?.. est-ce Un Roi?.. est-ce Un Prince?.. est-ce le beau Commis aux AÓdes, qui t'avons foutue dans le con de ta Putain de MŤre?... H‚, mon vit te rend ma fille, en mÍlant mon foutre au tiťn... Divine, sacrťe Garse.. Adorable Bougresse enculťe, il faut que je t'encule aussi? "Non: ton foutre m'est trop prťcieux, pour que je le perde sciemment: Fous-moi en con, tant que tu le voudras; mažs non en cýl, en bouche ou en tetons". Je l'approuvai avec respect. Je Lui dis ensuite, pourquoi je la suivais toujours, en La menant chťz son Amie, ou en La ramenant: "Mon premiťr motif est de mieux voir le dangťr. Le second, d'entendre les discours des Hommes ťt des Jeunesgens que tu fais bander. L'Un dit: Quel mouvement de cýl!... O Garse! si nous ťtions seuls ici, je me jetterais sur toi, ťt je t'enconnerais... "Je l'ai entendu (me dit en souriant Mad. Poilsoyeux). "Un-autre (ce soir) se secoue le vit en pleine ruŽ: Maman.. (dit-il), delicieuse Maman.. je me branle... je decharge... ŗ ta divine intention. "Je l'ai entendu: j'ai souri. Il a aussitŰt ajoutť: HŰ, si vous Ítes putain... une divine Putain? cinquante louis pour trois coups en une heure?... ou chťz moi, ou chťz vous?... Je demeure ruŽ de-Bussi au 3me, nį 16. "Un joli Fat (repris-je), disait assťz haut: Mon vÓt dans sa bouche, ťt ma langue dans son con... Et il se branlait, branlait, branlait. "Je l'ai vu, ťt je Lui ai donnť un petit coup d'ťventail sur le vit... Il m'a biťn touchťe! Il m'occupait: PeutÍtre est-il cause que j'ai montrť un-peu d'humeur, quand ŗ notre arrivťe, vous m'avťz pris le con". A ces mots, nous recomenÁames une scŤne, comme celle que je viťns de raconter; si ce n'est que je renvesai ma Fille sur le dos. "Vit-papa... (me dit-elle), tu es le Fat... c'est le Fat qui me fout... Tu me fais foutre par tous-ceux qui m'ont desirťe... Je dťcharge ŗ l'intention du Fat... son vit dans ma bouche, ses couillŤtes sur mes tetons, ťt l'engin de mon PŤre au fond de mon connin... J'avale son... joli foutre... (convulsivant du con)... Je dťchar..ge"....... Jamais elle n'avait eŁ autant de passion. Elle ťtait mÍme raisonnťe: car entre deux dťcharges, elle me dit: "Vos lŤvres sont appÍtissantes; elles me rappŤlent: aulieu que celles de Montencon... Je ne veux plus qu'il m'encon..o..o..ne (dit-elle en s'agitant): Langue en bouche: mon con pa..art"......... H‚, si j'avais-lŗ l'Homme aux cinquante louis, moi qui ne suis pas effrontťe, je crois que je ferais la Putain, que je les exigerais d'avance, comme VitnŤgre disait que c'est l'usage des Filles, que je Le dťculoterais, ťt que mon con martyrisť g‚gnerait la somme"? XXIV Chapitre. Chap. Du Chefdoeuvre de Tendresse-paternelle. Conquette ťtait naturellement sage; elle n'ťprouvait les emportemens du libertinage que dans le delire de la jouissance, effect d'un vigoureux Tempťramt. J'ťtais ťpuisť par deux coups foutus avec trop d'emportement. Cependant je La voyais haletante de voluptť. Je courus au carrefour Bussi, nį 16, au 3e. Je trouvai le Jeunehomme aux cinquante Louis: Je Le reconnus: Il me remit. "Je suis le PŤre de la Jeune-Dame ŗ Laquelle vous avťz offert 50 Louis. "Je les Lui tiťns: Trois coups en une heure? "Soit: En ma prťsence? "Et de tout Paris, si vous voulťz. Mais, Bougre, ne va pas me jouer! "Non: Mais une heure, sans bruit? "Foi d'Homme! Partons"... Il prit les 50 Louis. Arrivťs tous-deux, je dis ŗ ma Fille: "Voici l'Homme qui t'a plu: Tu as besoin de 50 Louis: Il te les apporte: Il les faut g‚gner"? ConquŤte rougit, sans riťn rťpondre. L'Homme se deculota, Lui vint prendre les tetons, le con. Il me dit: "Serrťz les 50 Louis; ce con satinť, ces tetons touchťs les valent". Je les serraž, tandis qu'il renversŗit ma Fille sur le foutoir. Elle fit un cri: "O Monsieur... mon chŽr Monsieur... ne me fažtes pas trop de mal? "Seriťz-vous donc pucelle? "Hťlas! oui"... Il L'enconna avec fureur. Elle soupira, criota, pinÁa du con, dechargea. "Elle est adorable" (disait le Fouteur enragť: car il foutit, ťt re-foutit, sans pitiť, come sans deconner, ses trois coups de suite. Ma Fille, tantŰt Le caressait, tantŰt Lui demandait gr‚ce: mais elle dťchargeait toujours... Il dťconna ravi... Et voyant quelques gouttes de sang, que ses brusques estocades avaient fait couler, il dit. "Oui, vous Ítes d'honnÍtes-gens: Un pareil pucelage n'est pas assťz pŗyť de 50 Louis: Je vais en envoyer 50 autres, Papa... (Ma Fille ťtait disparue pour s'abluer). "Oui, si je n'ťtais pas mariť (ajouta-t-il attendri), je l'ťpouserais, ťt pour son pucelage, ťt pour son amour... Vous alťz recevoir 50 Louis: Je La regrŤterai toujours, ťt ne La verrai jamais. Il partit. Ma Fille me remercia, ťt me dit, qu'elle ťtait rassasiťe. Je Lui remettais les 50 Louis: "Non (me dit-elle), chŽr papa, c'est pour nos dťpenses". Les 50 autres Louis arrivŤrent, ťt je ne pus jamais L'obliger ŗ en mettre dans sa bourse plŻs de six. Je dťposaž les 94 autres ŗ sa portťe dans mon Magasin. Le Lendemain, ŗ mon arrivťe, ma Fille me dit: "Je brŻle aujourdhui: Savťz-vous la demeure du Fat, ou du Vit dťcouvert? "Non; ce sont des Sots. "Hť-biťn, sortons: L'Un ou L'Autre me verra sans-doute, ťt vous Le suivrťz. "Divine Fille.. ťpuisť dans ton celeste connin, j'ai toujours les mÍmes desirs; ťt si je voulais mourir de plaÓsir, ťt dans le plaisir, je te prierais de remuťr du cýl, ťt de me laisser expirer au fond de ton con satinť... Foutons?... "Un seul coup. Vous m'Ítes trop chŽr ťt trop necessaire, pour que je ne vous mťnage pas". En montant sur le ventre de ma Fille, ťt tandis qu'elle m'arrangeait le vit a l'entrťe de son con, je Lui disais: "Te quitter, pour en suivre Un, est trop scabreux, ťt malheur peut arriver... Et comme elle ne s'agitait pas: "Tu me mťnages?... Remue du cýl, Mignone? saccade? dťcharge?... C'est mon seul coup... Mais j'ai de quoi te satisfaire... Il le faut mÍme, avant qu'Un de tes trois gros Vits te martyrise". Elle remua du cýl ťt du con, comme Marie-Antoinette foutue en levrŤte ŗ la Conciergerie, par un PoliÁon de Gendarme... Nous dechargeames, ConquŤte, comme La Reine, Moi, comme Le Gendarme... Je sortis. Elle lava. XXV Chapitre. Chap. Du bon PŤre qui fait foutre sa Fille. Alťz au but, & bravťz le reste: c'est un con, qu'il s'agit d'ťl‚rgir; il faut donc qu'il soit foutu..... On sait que j'avais ŗ moi Un certain Trŗžtdamour, mon secretaire, frŤre de Minone ťt amant de ConnŤte, qu'il m'avait fait dťpuceler, l'ayant trop-gros. C'ťtait Un vigoureux Garson de vingt ans. Il demeurait ŗ deux pas. Je l'alai chercher: "Veux-tu foutre quatre ou cinq bons coups, avec Une Femme charmante, que je veux rťgaler, ťt ŗ Laquelle je veux donner haute opinion de Moi? Ainsi, tu n'auras pas de jour: Mais tu L'auras vue avant de La foutre, pour La mieux servir. "Bon, bon! il y a quinze jours que je ne l'ai mis, ni ŗ ConnŤte, ni ŗ ma Soeur, ťt je n'en fous point d'Autres"... Nous arrivames. Je Lui fis voir, par une portiŤre, ConquŤte, qu'il ne connaissait pas. HŰ.. qu'elle est.. provoquante... foutative?... J'entrai seul: "Detetonne-toi; trousse-toi toi-mÍme (dis-je ŗ Mad. Poilsoyeux): Tu es vue par Un Jeunehomme de vingt ans, beau comme l'Amour. "Mon Fat? "Ton Fat: Il se nomme Traitd'amour. Ainsi, montre tout, en abluant. Je retourne auprŤs de Lui". De-retour auprŤs de mon Etalon, je Lui dis: "Regarde La biťn: Elle va s'abluer, ťt montrer con ťt cýl"... L'Ame de mon Gendre momentanť passa dans ses Ôeux. ConquŤte se dťcouvrit les tetons, ťpongea lťgŤrement les bouts d'eau-rose. Ensuite elle se troussa audessus des reins, se parfuma le cýl ťt le con avec une autre fine ťponge; tendit le cýl, se faÁa biťn le con: Puis elle se renversa sur le foutoir, avant de fermer les rideaux. Je Les alai tirer, en disant ŗ Traitdamour de me suivre dans un instant. Je me jetai sur La delicieuse Poilsoyeux; ťt L'enconnai. Traitdamour me chatouilla Les couilles. J'ťmis avec fureur: Ma Fouteuse se recriait de voluptť... Je me h‚tai de dťconner. Trŗžtdamour attendŗit tout deculotť, Il se prťcipita sur ma Fille, ťt je dis, en me penchant sur La tÍte de L'Enconnant: "Alons, alons, ma Belle! les reins souples? j'ai repris une vigueur nouvelle"? Tražtdamour cependant enfonÁait ŗ-peine son beau vit dans cet ťtroit bijou, encore que mon foutre y servÓt de pommade. ConquŤte, de-nouveau depucelťe. Criotait, en soupirotant, ťt neanmoins remuant vivement du cýl, ŗ chaque dardement de vit. Je rebandais. Mais Trŗžtdamour foutit trois coups, ťt fit trois copieuses ťjaculations avant de dťconner. Je Le tirai, pour Le forcer ŗ reprendre haleine. "Je vais pendant ce temps-lŗ (Lui dis-je trŤs-bas), faire une petite partie de Trou-Madame. "Je vois (me dit-il de-mÍme), vous ne bandiťz plus assťz roide, ťt je suis votre Boutentrain? Mais elle a Le con plein de foutre"... Ma Fille se lavait... Je roidissais de-plŻs-en-plŻs, par la vue des cuisses de neige, de la jambe fine, du piťd parfait, du cýl, du con, du ventre d'ivoire, du nombril biťn-fait, des tetons de ma Fouteuse. Je dis tout-haut ŗ Trŗžtdamour: "Beau Fouteur, montre-toi; que ma Deesse voye le superbe Vit dont je La rťgale"? Tražtdamour parut son Trŗžt ŗ la main. Ce n'ťtait pas le Fat; mais Il ťtait plŻs beau. Ma Fille sourit: Puis baÓssant la vue sur le Vit majeur, La Belle dit en soupirant, ťt Le pressant de sa main blanche ťt potelťe: "C'est donc toi, qui m'as fait tant de mal... ťt de plaÓsir"?... Trŗžtdamour me La renversa; Lui fit ťcarter les cuisses; me coucha sur elle; me mit l'engin dans la brŤche, en disant: "Votre Belle a la main trop douce; pourrait vous mettre ŗ nage, ťt il faut enconner roide... Poussťz, mon MaÓtre... piquťz des deux..! la Cavale est belle... Alons, Deesse enconnťe, haussťz le con.. Remuťz du cýl... C'est Un Homme-d'esprit qui va vous humecter la matrice de son foutre honorable"... Cette harangue fit sourire la Foutue, qui, pour en dťguiser la cause, s'ťcria: "H‚, monsieur VitnŤgre, que de cornes vous voila!... "Alons, Deesse (repržt Trŗžtdamour), songťz qu'il faut que vous fassiťz les trois-quarts de l'ouvrage... Du mouvement?... Bon... h‚! Áa va d'amitiť.. ťt.. vous remuťz du cýl comme une Princesse... Alons, des reins souples? Avec votre connin satine, vous mettťz votre Fouteur aux Anges!... Roide, mon MaÓtre? aidťz-vous.. votre jolie Monture va comme une Jument barbe... Gzee.. gzee.. Un coup de fouet... H‚! quels soubresauts... Ma-foi, elle decharge... Piquťz des deux... Comme elle trťmousse des fesses, la celeste petite Amie? comme elle en donne!... Que je vous chatouille les couilles, pour vous y faire correspondre?... Vous partťz?... Quels coups de cýl?... Quels soupirs?... Elle redecharge"?...... Ma modeste Fille ne jurait jamais que trŤs-emue, ťt dans le delire de la voluptť: Aussi, en cette occasion, elle sincopa, en s'ťcriant: "Bou..ougre?.. fous..ous-moi? Mon... con a.. toute.. mon ‚me!... Je fous.. je fons... en foutre... je decha..arge... Que.. n'ai-je.. deux vits.. dans.. mon.. sacrť con? "Il est trop ťtroit, ma Belle (Lui rťpondit Trŗžtdamour); sans quoi l'On s'arrangerait ŗ vous donner ce plaisir-lŗ... Mais On pourra quelque-jour vous enculer, pendant que votre Fouteur vous enconnera"... AprŤs une delicieuse dťcharge, je me crus ťpuisť. Je deconnai surlechamp. Ma Fille trťmoussait encore. Trŗžtdamour sauta sur ce con fumant, ťt tout en Le re-enconnant, il me disait: "Vous avťz foutu ma Petite Soeur; je L'ai foutue aussi, aprŤs vous: Vous m'avťz dťpucelť ConnŤte ma Future: Dites-moi si Leurs cons valent celui que votre bontť me fait enfiler? c'est un satin?..... Mais, ŗ en juger par le soyeux du poil, j'augure que l'interieur du con de ma jolie ChapeliŤre de la ruŽ Bordet, en approchera... Ma Reine.. vous fais-je mal? "Et plaisir... Va.. va..a va..a donc? je fous. "Hahah‚h, quel satin.. quelles delices?... J'enconne.. je fous.. je decha..arge... Remue.. divine.. sacrťe.. celeste Enconnťe?... HŰ, l'aimable petite pincette qu'elle a au fond du conin?... Pince.. serre.. sacrťe petite Convulsionnaire.. fais-moi.. convulsiver dans ton joli con?... Tu veux du foutre.. Deesse?... Quatre decharges de-suite vont t'inonder le conin.. conichon.. conichonnet?... Voila ma seconde... "Fous.. saccade (murmurait ma Fille).. ne.. me quitte.. pas chŽr Vitdamour? "Ne la quitte pas aprŤs avoir dechargť (dis-je ŗ mon ancien Secretaire); qu'elle sente les derniŤres oscillations de ton gros vit?... Qu'elle est jolie, en foutant?... (disais-je ŗ Trŗžtdamour); je rebande... Elle a l'air d'une Deesse?... Laisse-la achever... Farfouille... Lime.. lime-la?... Elle gigote encore... Bon.. bon? Elle se p‚me?... H‚, qu'elle est jolie, p‚mťe!..... "Elle n'ťmet plus? "Elle a ťmis quatre fois dans le con, sans la desenconner, Quatre ťt trois c'est sept (disait Trŗžtdamour, en me La lavant): vous alťz la refoutre: Áa me reposera; j'irai ŗ mes douze. "Vous vous ferťz mal (me dit ConquŤte); voila quatre fois que vous m'enconnťz aujourd'hui; le reste de ses 12 me suffira: Áa fera mes 16"? Pour toute rťponse, je me La fis renverser: Elle me darda sa Langue, ťt je La foutis roide... Tražtdamour la prit ensuite, ťt ne La quitta plus, quoiqu'elle L'en pri‚t, qu'il n'eŻt arrosť de foutre cinq nouvelles fois ce beau con.... Elle se leva aussitŰt qu'elle fut dťconnťe, en me disant: "Emmenťz cet impŗyable Jeunehomme, ťt me laissťz libre: J'ai besoin de rafraÓchir sur le bidet plŻs d'une demi-heure mon pauvre Bijou martyrisť".... Nous La laissames; j'alai prendre ťt faire prendre ŗ Trŗžtdamour un bouillon chťz Mad. Brideconin, que je priai d'en tenir un prÍt pour Mad. Poilsoyeux. Ce qui La surprit... ConquŤte rafraichie arriva, ťt parut aussi dťcente, aussi modeste, que si elle n'avait pas foutu. Trŗžtdamour partit, sans Ítre instruit: Mad. Brideconin ťtant prťvenue de ne jamais decouvrir les relations entre ma Fille ťt moi. XXVI Chapitre. Chap. d'AVIS trÍs-utile au Lecteur, et ŗ l'Auteur. Nous en sommes enfin au temps si souvent annoncť des fouteries majeures. Si je les avais rŗpportťes sans prťparation, elles auraient ťtonnť: Mais qu'On sache que j'ťtais sŻr, en les commenÁant, non-seulement d'avoir pour mes Filles deux des trois Payeurs qui soldaient VitnŤgre, mais encore de Les faire prťceder par la jolie Chapeliťre de la rue Bordet, qui, vendue au plus douteux, devait m'instruire de la moralitť de tous les trois. Il ťtait donc essenciel, pour ťviter qu'elles ne fussent estropiťes, de Les faire prodigieusemt ťlargir, en ťvitant neanmoins de Les prodiguer ŗ trop de Dťchargeurs en con. L'On verra comme je m'y prendrai pour cela. On trouvera dans le Recit un Episode, ŗ chaque Seance, tant pour varier la scŤne, et reposer l'imagination, que pour raconter quelques Avantures, que j'ai cru devoir supprimer au commencement. Chaque historiette lue ou racontťe, ne sortira pas du genre. Riťn de plus dťplacť, dans un Ouvrage comme celui-ci, qu'une Dissertation philosophique; elle y deviťnt insipide, et par-lŗ mÍme dťgoŻte de la phlosophie. Mon but moral, qui en vaut biťn un-autre, est de donner ŗ Ceux qui ont le temperament paresseux, un Erotikon ťpicť, qui les fasse servir convenablement une Epouse qui n'est plus belle. C'est ce que j'ai vu faire ŗ plusieurs Hommes, qui se servaient pour cela du Livre cruel ťt si dangereux de Justine, ou les Malheurs de la Vertu. J'en ai un plus important encore; je veux prťserver les Femmes du dťlire de la cruautť. L'Anti-Justine non moins savoureuse, non moins emportťe que la Justine, mais sans barbarie, empÍchera desormais les Hommes d'avoir recours ŗ celle-ci. La publication de la Concurrante antidotale est urgente, et je me deshonore volontiťrs aux ieux des Sots, des Puristes ťt des Irrťflťchis, pour La donner ŗ mes Concitoyťns. L'Ouvrage aura II Parties: AprŤs le Recit formant la Ire, succŤderont des LETTRES, non moins assaisonnťes, composant la IIde. Les Filles de Cupidonnet Lui racontent les parties-de-plaisir que Leur fesaient faire leurs Entreteneurs; parties oķ, dans le delire de l'ivresse, Leurs Payeurs les fesaient quelquefois possťder par 12 Hommes... Mais toutes ces Lettres ne sont pas ťrotiques: il en est d'intťressantes par un autre motif; tel est celui d'une Resurrection, avec la decouverte importante de l'origine de Conquette-Ingenue, ťt de Victoire-Conquette, noms de deux Filles que les miťnnes ont remplacťes: Ce qui me justifiera d'une certaine chose, qui sans-doute a dťja effarouchť plus d'un Lecteur... Je n'en dirai pas davantage lŗ-dessus. On ne peut trop multŪplier les observations sur les ScŤnes que je vais mettre sous la vue du Lecteur: Pour remplacer la JUSTINE, ťt faire prťferer l'ANTI-JUSTINE, il faut que celle-ci surpasse l'Autre en voluptť, autant qu'elle Lui cŤde en cruautť: Il faut qu'un seul Chapitre lu par un Homme, sur l'inspection de la Table, Lui fasse exploiter sa Femme, Jeune ou Vieille, Laide ou Jolie, pourvu que la Dame ait fait bidet, ťt qu'elle soit biťn chaussťe. XXVII Chapitre. Chap. Du commencement des grandes Fouteries. Egayťe come elle l'avait ťtť hiŤr, ma Fille devait Švoir besoin de repos le lendemain: Elle avait le Bijou si fatiguť, qu elle ne pouvait quitter sa chaise. Elle resta constamment auprŤs de Mad. Brideconin, depeur que Persone ne vÓnt le lui patiner. Le reste de la semaine, elle ťvita ťgalement, quoique guťrie dŤs le 3me jour, de se trouver seule avec moi. Elle amassait elle-mÍme du tempťrament; car elle ne s'ťtait jamais branlťe. Le Dimanche, ŗ une heure, elle ala pour la derniŤre-fois chťz son Amie... Avant de partir, elle me prťsenta son joli Piťd ŗ baiser, ťt me livra sans bťgueulerie le Poil de son conin. Je La conduisis jusqu'ŗ la porte, promettant de La revenir prendre avant 5 heures: ce qui la fit rougir: mais j'observai qu'en montant, me croyant parti, elle souriait. Je fus exact. En la ramenant, je la fis marcher devant moi, m'apercevant qu'elle ťtait observťe par un Homme, que je pris pour Un des Payeurs de VitnŤgre: Mais Il ne pouvait reconnaÓtre que son joli tour-de-cķl ťt sa marche provocante, tant elle ťtait biťn encalŤchťe. J'observais l'Inconnu: Je demandai ŗ ma Fille, Si c'ťtait-lŗ Celui-ci qu'elle prťferait? -- Oui- (me dit-elle). Alors, je La nommai distinctemt, Ma Fille. Et l'Homme s'ťloigna. J'avais averti Trŗžtdamour. Il avait une clťf de mon Magasin, ťt nous L'y trouvames. Je Le crus seul, malgrť la recomandation que je Lui avais faite, de m'amener quatre Acteurs des deux-sexes. Je Lui dis en riant, que je bandŗis, ťt que je voulŗis enconner. "Quoi! (dit ConquŤte), est-ce que vous alťz faire tous-deux comme l'autre fois?... Je ne suis pas disposťe, je vous en avertis. "Nous vous disposerons, ma Belle (Lui dit ironiquement Trŗžtdamour, qui La crut ma Putain): voyťz-moi ce vit-lŗ?"... Et il Lui en montra un superbe... "Laissťz-moi dabord vous lŤcher le conin, Ma'm'selle?... Mon MaÓtre vous enconnera, quand vous serťz prťparťe? J'ai tout disposť, pour lui donner aujourdhui, ainsi qu'ŗ vous, un plaisir de Fermiťr-general". Il La renversa brutalement, ťt La gamahucha, en Lui disant, comme s'il L'avŗit menacťe: "Ne rťsistťz pas! car je vous ferais mal"... Mais Mad. Poilsoyeux, comme toutes les Femmes ŗ grand temperament, aimŗit, dans la fouterie ťt ses accessoires, une sorte de brutalite. Ainsi, en croyant La contraindre, il La servait admirablement... La Belle commenÁait ŗ dťcharger... Tandis que je roidissŗis avec oscillation, ŗ la vue du systole ťt du diastole des fesses ťt du con de ma Fille, j'aperÁus derriŤre un rideau de l'alcove quelque-chose qui remuait. J'alai voir. C'ťtaient Minone ťt ConnŤte, auxquelles deux Garsons amis, de Tražtdamour, excitťs par ce qu'ils voyaient, lŤchaient le con. Je Leur fis entendre par signes, de ne pas bruÔr, ťt je Les encourageai d'un geste. Cependant Trŗžtdamour fellait ou suÁŗit le conin de Mad. Poilsoyeux. Lorsqu'elle fut suffisamment en humeur, il se dťrangea, me tžra sur la Belle, ťt insera mon vit bandant en ce conin rempucelť par sept jours de repos. "Qu'avťz-vous ŗ me donner ŗ vous suÁer? (dit-il ŗ l'Enconnťe). Elle Lui prťsenta l'index de la main-droite qu'il se mit ŗ suÁer, aprŤs neanmoins avoir appelť sa Soeur ťt sa MaÓtresse, en Leur disant: "Ici, Bougresses, ťt qu'On montre son savoir-faire"?... L'Une (Minone) qui avait la main aussi douce que ma Fille avŗit le con, me chatouilla les couilles; l'Autre (ConnŤte), fourrait un doigt pommadť dans le cýl de ma Fouteuse, pour La faire tressaillir sous moi... Mad. Poilsoyeux hennissŗit de plaÓsir. Elle me dardait sa langue, en m'appelant son chŽr Fat.. son chŽr Centlouis.. son chŽr Payeur ŗ gros vit.. son chŽr Traitdamour... Enfin, enivrťe de fureur ťrotique, elle s'ťcria: "VitnŤgre?... Jeanfoutre... Fous-moi? PinÁe-moi?... Que ton gros vit de Mul‚tre me pourfende ťt m'encule"?... Et elle dťchargea comme une EnergumŤne. En ce moment, j'avŗis dans la bouche la Langue fretillante de mon Enconnťe; Une des deux Filles me chatouillŗit de la siťnne le trou du cýl ťt les couilles; l'Autre me suÁait dans la raie du dos entre les deux ťpaules, prťcisťment sur le sensorium... Je croyais connaÓtre le plŗÓsir de la dťcharge: mais je ne l'avŗis jamais ťprouvť, comme cette fois-ci; ťt de ce coup, je fus rendu.... "Quelles delices"! Trŗžtdamour m'enleva de sur ma Fille, ťt se prťcipita dans son con. "Voila un connin? (disŗit-il, en poussant ťt retirant, alant toujours plŻs avant, ŗ chaque saccade): Il y a de la difference de ce connin aux autres cons, comme du satin ŗ la tapisserie de Bergame"... Les Jeunesfilles n'avŗient plus besoin de chatouiller, quand Trŗžtdamour foutait; il avŗit assťz de feu pour Lui-mÍme, ťt ne fesŗit que trop biťn trťmousser sa Monture. Je fis signe aux deux Garsons, Brisemotte ťt Cordŗboyau, d'ťtaler les Filles, l'Une sur un vieux sofa, l'Autre sur un Lit-de-sangle ŗyant un simple matelas, ťt de Les foutre ŗ la portťe du regard de la Belle au con soyeux. Par un effet du hasard, ma Fille ťmettŗit sous Trŗžtdamour pour la seconde-fois, ťt les deux Enconnťes dťchargŤrent au mÍme instant, ainsi que les trois Hommes. La belle Poilsoyeux, en roidissant les jarrÍts, fesŗit: "Hi hi-hi-hťhť?.,. Minone: "Han-han-hanh"?... ConnŤte: "Houhi-houhin houah-houah-hou‚h"?... Les trois Hommes disaient ensemble; Trŗžtdamour: "Remue du cýl, Deesse"?.. Cordŗboyau: "Remue du cýl, Garse"? Brisemotte: "R mu du cýl, petite Putain"?... En dťchargeant, ils s'ťcriŗient: "Foutre... "Foutre... "Foutre... Trŗžtdamour: "H‚, Deesse... Cordŗboyau: H‚, Bougresse... Brisemotte: "H‚, M‚tine"! chacun suivant son caractŤre ťt sa politesse.... Mad. Poilsoyeux fut la plŻs longue ŗ dťcharger; les deux Autres ťtŗient dťconnťes ťt lavťŤs, qu'elle ťmettŗit encore. Enfin elle cessa. Trŗžtdamour La lava: Et me voyant rebander: "Vous la foutrťz sans-doute autant que la derniŤre-fois? (me demanda-t-il). "TrŤs-certainement! (repondis-je). Je ne suis vigoureux qu'avec cette Jeune-beautť: Je la foutrais jusqu'ŗ extinction de vie ťt dessiccation de couilles; ťt tu vas voir ce que je vaux. Qu'On m'anime seulement par la vue d'enconnages redoublťs"? XXVIII Chapitre. Chap. De l'Enculo-connillerie. Ma reponse fit sourire TraÓtdamour, qui sans-doute n'y ajouta aucune foi. "Hť-biťn (reprit Trŗžtdamour), je vais vous donner un plaisir, que vous n'avťz jamais eŁ, ni ces Bougres-lŗ non-plŻs. Je tiťns cette pratique de l'Abbť Chouanche, anciťn Genovefain, qui m'a souvent enculť, avant que j'eŁsse de la barbe au menton ťt du poil au vit.. Un-jour, voyant que je m'ennuyais de son culetage, il me dit d'aler lui chercher la petite Cýlfrŗyť la cadŤte, jolie come un coeur, ťt non encore vendue ŗ un Lord. Il envoyait 12 francs ŗ la MŤre, ťt la Fille devait en recevoir autant. L'Abbť la fit s'appuyer un coude sur une commode; il se mit derriŤre elle, ťt l'encula: J'ťtais devant, ťt il me la fit enconner. Nous limions; nos deux vits se sentaient, ou la Jeune-garse tortillait du cýl de-faÁon, que nous croyions le sentir. Chouanche la fesait tantŰt pousser du con sur moi, ťt alors son vit dťculant ŗ-moitiť, il avait l'agrťment de la re-enculer, quand elle foulait du cýl sur lui. Je presque-dťconnais alors, puis je re-enconnais. Ce joli jeu dura, tant que Chouanche put retenir son foutre. Car il ne dechargeait pas: il se reservait pour mon cķl. En-consequence, il fit metttre la jolie Cýlfrayť sur le dos; je l'enconnai; l'Abbť m'encula, ťt nous dťchargeames tous-trois.... Nous ne prendrons pas la maniŤre du Genovefain; elle est trop fatigante pour la Foutue. Mais il payait la jolie Bougresse... Payťz-vous Madame?... "Non certes: c'est une honnÍte-femme. "Je m'en suis aperÁu ŗ sa fouterie: Une Putain ne fout pas comme Madame... En ce cas, je vais vous donner une experience fisique sur Une de ces deux FillŤtes... Alons, Minone.. Alons, ConnŤte? laquelle des deux veut ťtre enculťe ťt enconnťe tout-ŗ-la-fois ťt en-mÍme-temps? Qu'elle se trousse"? Durant cet entretiťn, qui La laissŗit tranquile, ConquŤte s'ťtŗit couvert le con ťt les tetons. Les deux Filles ťtŗient assises ŗ-cŰtť d'elle, dťtetonnťes. Elle Leur baisa le boutonnet, ťt Leur couvrit la gorge de sens-froid avec leurs fichus. (Mad. Poilsoyeux redevenŗit toujours modeste, dŤs qu'On ne La foutŗit plus)........ Les deux Filles rťpondirent ensemble: "Moi... Moi! "L'Une aprŤs l'Autre (dit Trŗžtdamour)... Vous avťz ici de la pomade, ou du beurre-frais? "Oui (rťpondit en rougissant la belle Consatinť): Tenťz, ma pomade est-lŗ... ťt voici du beurre. "Gardons ce beurre-frais pour vous, belle Dame, aussi belle au cýl ťt au con, qu'au visage (reprit Trŗžtdamour). Minone se pomandŗit la rosŤte. "C'est donc toi qui passes la premiťre, ma Soeur? "Oui, si c'est tÚi qui me dťpuÁŤles le cýl? "J'y suis pucelle aussi (s'ťcria ConnŤte). "Ce ne sera pas moi qui aurai ton puÁelage d'arriŤre (rťpondit Tražtdamour ŗ sa Soeur): Mon vit est aujourdhui entiŤrement reservť ŗ Madame: Et quoique le culetage m'ait toujours fait peine, Agent ou Patient, le cýl satinť de Madame me tente autant que l'ťtroit fourreau de son con, qui se rempuÁŤle en une semaine, ou seulement en fesant bidet ŗ l'eau froide. Je suis sŻr que Madame n'a jamais ťtť enculťe (ŗ-genoux, il Lui regardŗit au cýl), ťt que c'est aussi un puÁelage"? ConquŤte rougissŗit. Les deux Camarades de Trŗžtdamour tirŤrent au premiťr-Roi, ŗ qui dťpucelerait le cýl de Minone: car tous-deux Le voulŗient avoir. Ce fut Cordŗboyau (un Bellot ŗ vit moyťn), que le sort favorisa. Il se pomada le vŪt jusqu'ŗ la racine. Trŗžtdamour fit coucher Minone sur le cŰtť. Il mit Cordŗboyau devant son cýl, ťt Brisemotte (un Beau ŗ gros Vit) devant son con. Il La fit ainsi enfiler des deux cŰtťs; les Jeunesgens se La poussant L'Un sur l'Autre ŗ qui mieux. Ce qui donnait un tel plaÓsir Š Minone, qu'elle se recriŗit: "Dieu.. que j'ai de delices... c'est... une fouterie de Princesse...... On dit.. que la Reine.. fout ainsi entre.. DArtois et WaudreuÓl.. ce derniťr a.. le cýl.... "Alons (dit Tražtdamour), tachťz de dťcharger tous-trois en-mÍme-temps"?... Cordaboyau poussait; il retint la Gŗrse par les hanches, pour enfoncer plŻs ŗvant; Brisemotte en fit autant; desorte que rendue immobile, elle s'agitait nťanmoins en tout sens. "ExamÔnez biťn.. (dis je ŗ ConquŤte-Ingenue), pour faire la mÍme chose ŗ votre tour: car il faut que vous experimentiťz tous les genres de fouterie". Elle considťra le jeu, ŗ-trŗvers les b‚tons de son ťventail. Minone h‚letaÓt. ConnŤte ťbahie restait immobile ŗ La contempler: "Que fais-tu lŗ, toi, Bougresse? (Lui dit Trŗžtdamour, notre grand MaÓtre-des-cerťmonÓes): Patine-nous Madame... Suce-lui le bout des tetins... Gamahuche-la; elle a le con propre comme un visage de Mariťe"........... Ces mots, ťnergiquement prononcťs, mirent en danse la ReÓne de la FÍte, que je vais dťcrire. ConnŤte, tandis que Minone travaillait, & qu'elle ťtait travaillťe, decouvrit les tetons de Mad. Poilsoyeux, & les siťns: Elle en suÁa les bouts; elle se les fit suÁer. Ce chatouillement de la bouche de ConquŤte, aussi satinťe que son con, mit la jeune ConnŤte en fureur amoureuse: Elle trousse Mad. Poilsoyeux; lui insŤre sa langue dans le con; lui chatouille le haut de la mote. La Belle ťmoustillťe, regardait cependant Minone. Celle-ci avertit ses deux Fouteurs qu'elle ťtait prÍte ŗ decharger. Ils redoublent le fourgonnage. Elle s'ťcrie: "Vits de Dieu"! Et elle se p‚me. L'Enculeur & l'Enconneur l'inondaient de foutre; il ruisselait des deux cŰtťs... Ma Fille, vivement gamahuchťe par ConnŤte, est hors d'elle-mÍme, & cette modeste Beautť dit ŗ la Jeunefille: -- Ote-Toi-, Garse! Un Fouteur? un fouteur?... deux... cent Fouteurs-?... Tražtdamour l'entend: Il derange ConnŤte acharnťe, en la tirant par la jolie criniŤre de son con blond: Il emplit le trou-du-cķl de Mad. VitnŤgre de beurre-fraÓs; s'en frote le Vit decalotť; se met le bas-ventre sur ses fesses, enfile la rosette, sans ťcouter les petits cris de l'Enculťe; l'ťtreint vigoureusement, se retourne, en se mettant sur le dos, le vit dans le cýl de la Belle jusqu'ŗ la garde, son con biťn facť:..... Il crie ŗ son MaÓtre: "A ce con beant qui vous supe! Enconnťz roide... Piquťz des deux... la Garse est enculťe, & je vas vous donner les mouvemens..... Pardon, Deesse! je ne me connais plus...... ConnŤte? boulonne, boulonne les Couilles de mon MaÓtre"...... Cependant j'enconnais ma delicieuse Fille: Et sentant le vit de Tražtdamour, qui m'ťtrecissait encore le passage, & qui donnait au connin des oscillations, que jamais Con n'a eķes, je dťliraŪ, en m'ťcriant: -- Chiťn de VinŤgre! cocý tout-ŗ-la-fois du con & du cul-. Cette idťe m'enfl‚mait, & sa brutalitť m'empÍcha de dťcharger trop-tŰt. Je parvins au charmant pinÁoir du fond du conin. Il me suÁa. Le vit de TraÓtdamour me communiquait tous ses mouvemens, & en fesait faire d'insolites ŗ mon adorable Fouteuse. Deja prťparťe par la langue de ConnŤte, elle s'ťcrie: -- Ha-ha-hŰh!... ze dťÁa-arze.... Foutre! -- En voila.. du Foutre.. plein votre con... Reine des Vits.. et des Dieux s'ťcria Tražtdamour-!..... Et je sentais les oscillations de son gros Vit qui ťjaculait.... Enfin, je dťchargeaŪ moi-mÍme. Ma Fille, inondťe de foutre tremoussait rapidement: -- Con satinť de mon Vit (m'ťcriai-je), que tu es delicieux-!... Mad. Vitnegre ťmettait encore, quand Traitdamour decula..... Ce mouvement la fit redecharger... Le Bougre se lavait d'eau-tiŤde. ConquŤte, dans le Con de laquelle je laissais osciller mon vit, aprŤs decharge, gigotait, tremoussait, tremblotait sous moi. ConnŤte m'avait quittť les couilles. Tražtdamour toujours bandant, ťtait revenu vers nous. -- Fous-la-moi tout-chaud (lui dis-je); elle decharge encore.... Et toi (dis-je ŗ ConnŤte), boulonne-lui la bouteille-ŗ-miel du Bourdon-d'amour-. Elle m'obeÔt. Mais Minone, deculťe, deconnťe, lavťe, ťtait libre: Elle vint remplacer ConnŤte, en me demandant, Si cela ne signifiait pas tout uniment, de chatouiller les Couilles de son FrŤre, pendant qu'il foutait ma MaÓtresse?... Cordŗboyau cependant & Brisemotte hŠpaient ConnŤte, le premier, cette fois enconnant, tandis que l'autre enculait, pour donner une perspective encourageante ŗ ma Fille. Mais tout finit. Mad. VitnŤgre cessa de decharger. On la deconna: Traitdamour la mit an bidet: Elle se couvrit modestemt le Con & les Tetons; puis elle dit aux deux FillŤtes: -- Mes Bonnes-amies, alons aÓder mon HŰtesse, pour le souper-? Elles y coururent. -- Si vous n'avťz prťparť (dit ma Fille), que pour notre soupťr ordinaire, je vous avertis qu'il faut le double. -- Je n'ai pas assťz donc (repondit mad. Brideconin). -- VÓte au RŰtisseur de vis-ŗ-vis (reprit la Belle VitnŤgre); & du bon vin? ou je ne boiraŪ que de l'eau. Un bon mariage paiera tout-Áa-... On ala chťz le Successeur d'EllŤs, qui promit un copieux soupťr pour dans une heure. ConquŤte rentra auprŤs de nous avec les deux jolies Filles. -- Rebandťz-vous? (me dit Traitdamour): Il ne faut pas laisser languir nos cons, avec l'expectative d'un bon soupťr? -- Je brŻle, ŗ la vue du tour-de-cýl, & du piťd de ma Deesse: mais je ne suis pas roide lui repondis-je. Traitdamour: Je roule dans ma tÍte une idťe, qui vous roidira. XXX Chapitre. Chap. D'une nouvelle Actrice: Danse nťgre. -- Alons, Garses, dit Traitdamour ŗ sa Soeur et ŗ sa Maitresse, nues? Et vous, Bougres, deshabillťz-vous-?..... Il se mettait nu lui-mÍme. -- Mais il nous faut encore une Actrice... Je viťns de voir monter une jolie DrŰlesse, qui ferait notre affaire? -- C'est mad. Brideconin, l'HŰtesse de notre belle Dame, dit ConnŤte. -- Non, non, mon Amie: C'est une petite Brune de fond de la cour, cadŤte d'une grande belle Blonde, que nous aurons peutÍtre un-jour, & qui se nome Conindorť: La CadŤte s'appŤle Rosemauve, & passe pour trŤs-rusťe. Mais On la dit amoureuse comme une Chate, quoiqu'elle soit peutÍtre pucelle encore; car sa MŤre la couve des ieux. Cependant quand un Homme l'embrasse, elle ne fait aucune difficultť de donner sa langue. -- Je la counais! dit modestement la belle Poilsoyeux; & elle m'a... m'a... Traitd. Quoi? Deesse? -- Mais, donnť sa jolie langue, &... -- Et quoi? -- Gam*******. -- Gamahuchťe... Va la chercher, ConnŤte. -- Non! dit vivement Conquette, j'y vais moi-mÍme-. Elle sortit, & ayant rencontrť Rosemauve qui redescendait, parcequ'elle n'avait pas trouvť un vieil Oncle assťz riche, dont elle recreait l'impotente lubricitť, en lui chatouillant le Croupion, le Scrotum & les Testicules; ce qui le fesait bandocher, la Belle Poilsoyeux la mit au fait, obtint son aveu, & l'introduisit. Les deux Filles & les trois Hommes ťtaient nus comme la main: Sans riťn dire ŗ la brune Rosemauve, ils se mirent tous-cinq ŗ la deshabiller. On lui enleva jusqu'ŗ sa chemise. On lui baigna Cul, Con, Cuisses, Piťds... Puis Traitdamour lui dit: -- Ma Belle, il faut; en Tout, fažre comme ma Soeur & mon Amie-. AussitŰt commenÁa la Danse-nŤgre; oý chaque Fille fesait tous les mouvemens d'une Noire ardente, qui fuit le Vit dont elle brŻle d'Ítre enconnťe, que le Vit attrape, & qui saccade alors en tremoussant du cýl, comme si le Vit la fourgonnait. Les Garsons poursuivaient les Garses le vit en main; & dŤs qu'ils les avaient attrappťes, elles se retournaient pour l'enconage, ou ils paraissaient les foutre en levrette; culetant, criotant, jurotant, comme s'ils eķssent perforť les cons. La Danseuse prenait le vit, aulieu de la main; l'Homme la saisissait par la barbe du con. Ils se fesaient ainsi tourner de-temps-en-temps. Je bandais roide. Je fis trousser ma Fille audessus des reins, & je lui dis: -- Conque de Vťnus, imite tous les mouvemens de cul et de con que tu vois-... Elle ťtait excitťe; elle se mit au-milieu de la danse, & les executa rapidement... Traitdamour me voyant en rut, & ses Camarades biťn-disposťs, leur dit: -- Au foutoir-... Il laissa Rosemauve, sa Danseuse, qui en parut toute mortifiťe! -- Votre tour va venir, ma belle Danseuse-. Il ťtendit ma Fille sur le sofa, dont il lui mit un des oreillťrs sous le cul: -- Alons, ma Toute-ťveillťe, dit-il ŗ Rosemauve, gamahuchťz-moi ce conin-lŗ, pendant que je vous le mettraŪ en levrette, ou vous enculeraŪ, ŗ votre choix? -- On ne dťpucŤle pas une Vierge en levrette (repondit-elle vivement): encule-moi, s'il le faut, tandis que je gamahucheraŪ ce conin d'amour-... Elle gamahucha la belle Epouse de mr VitnŤgre avec fureur, & Traitdamour perÁa sans pitiť, par des efforts redoublťs, le cul virginal de la Gamahuchante. La belle Poilsoyeux appela le Vit? le Vit? Je n'y pouvais plus tenir. Je derangeai la Rosemauve enculťe, pour me prťcipiter dans le con de ma Fille haletante de voluptť..... J'enconnais vigoureusement, lorsque j'eŁs la delicieuse surprise de me sentir gamahuchea le Cýl, ainsi que la racine des Couilles, par la bouche & la langue veloutťes de Rosemauve!... Je cocufiai mons VitnŤgre aussi copieusement, que si j'avais eŁ les couilles d'un Dieu!... On abluait: -- Avec la permission de ma Deesse (ŗ ConquŤte), il faut que je m'acquitte avec Rosemauve-?... Tout le monde s'ťcria: -- Non, non, Dimanche-? Je ne les ťcoutai pas; j'enfilai la Pucelle, qui criota, sanglorina, & ils furent Temoins de ma nouvelle victoire. Mais ConquŤte me gronda serieusement.. On ala souper. La conversation fut sage, rassise. Brideconin, sa Femme en ťtaient ťdifiťs... Mais je ne tarderaŪ pas ŗ les mettre de nos amusemens... Au dessert, Traitdamour me demanda une Histoire dans genre de nos Amusemens? Je lui donaŪ ŗ lire une Lettre, adressťe ŗ VitnŤgre, par Un de ses Trois Payeurs, Lettre que j'avais trouvťe dans une des malles de ma Fille. La voici: XXXI Chapitre. Chap De la Piochťe, du Piochť, du Piochard. Nous avons Un de nos ConfrŤrs, qui avait une MaÓtresse de seize ans, dont il jouissait ŗ sa maniŤre, comme je prťtens jouir de ta Femme ŗ la miťnne, quand une-fois je l'auraŪ devirginťe. Tu seras alors prťsent ŗ nos fouteries, ŗ-peu-prŤs come le Pťre dont je vais parler. J'aime ŗ ťcrire ces histoires-lŗ; elles me font bander. Le PŤre de la Jeunefille ťtait Un riche Marchand, qui l'avait delicatement ťlevťe: mais il ťtait devenu si pauvre, qu'il ne pouvait plus la nourrir, ni Un Fils de douze ans. La Fille Šyant plu ŗ mon ConfrŤre, il la voulut acheter. Le PŤre la lui vendit douze-mille francs. Mais comme Piochencýl (Á'est le nom du ConfrŤre), est un libertin fort bl‚sť, il lui faut un ragoŻt pour le ranimer. Ce ragoŻt est de faire trousser & laver la Fille par son PŤre, avant d'en jouir. Le PŤre prend ensuite le vit du Fouteur, & le dirige dans le con sans poil de la jolie Piochťe. Son PŤre l'avait pomadťe la premiŤre-fois. Pendant l'acte, il l'excite ŗ remuer du cýl, ŗ serrer le Fouteur dans ses bras, &c. Quand elle est deconnťe, le PŤre lave le vit de son Gendre, le cýl, le con de sa Fille, & les essuie. Dans la conversation, Piochencýl apprit biťntŰt que Piochťe avait un FrŤre beau comme Adonis; c'est-ŗ-dire parfaitement ressemblant ŗ sa MŤre, qui avait ťtť trŤs-jolie femme. DŤs que mon ConfrŤre le sut, il l'acheta, comme sa Soeur, & pomadť par le PŤre, il l'encula. Peu de jours aprŤs, voulant foutre la Soeur avec plŻs de vigueŁr, il la fit laver par le PŤre, gamahucher par le jeune FrŤre, & il l'enconna, quand elle fut prÍte ŗ decharger... Par la suite, il n'encula plus le joli Enfant: "Bougre! dit-il au PŤre, je ne bande plus assťz pour enconner ta Fille, sans Ítre excitť; encule moi lŗ ton petit Garson; cela me fera roidir"? Le PŤre est forÁť par son interťt, d'obťir au Bl‚sť: Ce qui fait tellement bander le vieux Satyre, qu'il enconne, & mÍme encule la Jeunefille.... Il y a 4 ou 5 ans que cela dure. Quand le Garson a eķ 15 ans, il lui a fait enconner sa Soeur: Il la fout ensuite sans laver, pendant que le PŤre encule le Jeunehomme. D'autres fois le FrŤre encule sa Soeur, tandis que le vieux Bougre l'enconne.... Voila. quelle est la vie que mŤne mon vieux ConfrŤre, & qu'il trouve delicieuse ŗ son ‚ge... La Fille est delicate & jolie. Le Garson est beau. Le PŤre est affreux. La Fille est devenue grosse. Le Financiťr croit, avec raison, que c'est du jeune FrŤre. Il desire que ce soit une Fille, esperant qu'elle sera jolie, comme tous les Enfans incestueux. Car il faut savoir que ce joli Garson est fils d'Un FrŤre-aÓnť, qui, dťvenu ťperdŻment amoureux de sa MŤre, donna la courante ŗ son PŤre, en mettant de la manne dans son potage au lait du soir. Le PŤre fut obligť de se lever souvent, & le Fils, ŗ chaque sortie, ala auprŤs de sa MŤre, qu'il enconna six-fois aumoins pendant la nuit... Voila d'oý provenait le beau Garson, ressemblance de sa MŤre avec une telle perfection, que vÍtu des habits de la Belle, qui n'est plus, on le prend pour elle. C'est en consequence, qu un Amant, piocheur de la MŤre, entretint le Jeunehomme sur le mÍme piťd que sa feuŽ MaÓtresse, ŗ-condicÔon que pour la jouÔssance, il prendražt les habits de sa MŤre, en porteražt le nom, mad. BrouŤte-vÓt; qu'il feražt la petite voÓx, diražt Mon cůn, aulieu de Mon cýl; tandŪs que luŪ VÓtacon, se feražt ŪllusÔon, en dÓsant ŗ sa MaÓtresse: -- Alons, ma chŤre BrouŤtevÓt, venez que je vous le mette en levrŤte-? XXXI. Chap. Suite des MÍmes. Piochťte. Dix ans aprŤs. Je vais donner la suites de cette avanture. PiÚchťe eķt effectivement une Fille, qui a 14 ans aujourdhuž, et qui est jolÓe comme sa Grand'mŤre. Elle sert aux plaÓsÓrs du vieux TraÓtant, qui ne pouvant plus encÚnner, s'en fažt caresser, tandŪs que la MŤre lui suce le vÓt. C'est dans les extases de ce plaÓsir lŰng ťt difficile, causť par le chatouillement que fesait ťprouver ŗ son vit paralytÓtique le palaÓs de PiŰchťe, qu'il conÁut le dessein de faire depuceler PiŰchŤte ŗ 14 ans, par PiŰchť l'AdÚnis, son pŤre ťt son Oncle, que justement la jeune Enfant aÓmažt žncestueusement; puÓs enculer alternativement. "Bande, Bougre, (dit-il ŗ l'AdůnÓs), et ne decharge pas! Tu me depuceleras ta petÓte Gŗrse de Fille,... dÍs que tůn GrandpŤre t'aķrŗ decķlť". Lŗ PetŪte fut gŠmŗhuķchťe pŠr le vÓeķx Singe; pķÓs pomadťe pŗr sa MŤre. Sůn PŤre, deculť, biťn bandant vint sķr elle, et lķy darda son vit dans le conin, důnt la MŤre ťcartŗit les bŗbines. Le Fouteur n'enlrŗit pas; la PetÓte dechÓrťe se recrÓŗit; le vŪeýx Satyre ťmůtiůnnť, bŠndÚchŗit, en s'ťcrÓant: "HŰ! pousse důnc, M‚tin! Ű pousse důnc, Bougre! Fends, ponrfends le connichon de ta Fille!... et mÍts-y Une petite Garse, que nous deflorerons un-jour! Gzťe, gzťe, mon Etalon! fŗÓs-mŰy des CavŠles"!.... Et le vieýx DecharnŤ, par un phenomŤne, ťmŪt quelques gouttes d'un foutre clŗžr, dans lŗ bouche de PiŰchťe, au moment oý AdůnÓs forÁant toutes les barricŗdes, mŗlgrť les crÓs de sa Fille, lķy dechargeŗit au fůnd de sůn cÚnnžn ensŠnglŠntť! Le belÓtre en fut si glorieux, qu'il fit ŗ Piochette mille ťcus de rentes, et autŗnt ŗ PiŰchťe, oŻtre ce qu'elles avŗient dejŗ. Son grand delÓce, pendant qu'iÔ fažt servÓr la bouche de la MŤre de cůn ŗ son vÓt, qui ne decharge plus, est de voir piŰcher PiŰchette, non-seulement pvr le vigoureux Adonis PiŰchť, qui piŰche, sÚžt en cůn, sÚžt en cķl, mažs de faire alÚrs enculer le PŤre qui fout sa Fille, par le GrandpŤre qu'encule un LaquŗÓs, sur le cýl duquel est assise PÓŰchťe, foutue par un autre LaquŗÓs..... Il a sůin qu'On fasse suÓvre au vÓeux PiŰchard un regime ťchauffant, afin que ce Monstre tantŰt encůnne sa FÓlle, tantŰt encule son FÓls. Pendant cette sÁŤne, l'impuŪssant Ribaud patŪne les tetons et le connŪn du Tendrůn, ou-biťn la gamahķche. Il luŪ prend quelquefůÓs des vertigŰts de faire enconner la MŤre, enculer Adůnis par douze de ses AmŪs en un-seule seance. La Jeunepersone est alŰrs nuŽ en perspectŪve, montrant le cķl aux Encķleurs, et le cůn aux Encůnneurs.... C'est le vŪeux PŪŰchard qui insŤre les vÓts dans le cůn ou dans le cķl. Tu vÚÓs par-lŗ quel parti nous pouvons tÓrer de ta Femme, lorsqu'une-fÚÓs elle sera depuÁelťe. Tu ne seras pas pržvť; tu mettras les vÓts dans le cůn et dans le cķl de ta Femme; tu en seras le maquereau, et quand elle sera biťn ťlargie des deux trous, peutÍtre te permettra-t-on de la foutre en cn ou mÍme en cůn. Lťlargisseur. P.-s. J'apprens par une derniŤre visite, faite ŗ PÓÚchencýl que PÓŰchette a effectivement eķ la plŁs joliÓe petžte FÓlle; On me l'a můntrťe; elle a 3 ans. MŗÓs ce quž Íst le cŰmble dķ lžbertinŗge, le vÓeŻx PÓŻchencýl lķy fŗit dejŗ teter son vÓt flasque, pendant que la jeune MŤre lķy chatoille les coŁilles. Je luy en demandŠŪ la rŗÓsůn?" Je profite, repondil- du temps oý l'Enfant n'a pas encore de discernement, nž de degoŻt ŗ me sķÁer". Que džs-tķ dý vÓeýx Bůugre? XXXII Chapitre. Chap. Du Conin goŻtť. Voila quel aurait ťtť votre sort, Madame, dis-je ŗ ConquŤte, si vous n'ťtiťz pas dťcťdťe, ťt que vous fussiťz restťe l'ťpouse de VitnŤgre-. Expressions qui ťtonnŤrent Tout le monde, hors ma Fille, & les Brideconnin. Cette Lettre, qui avŗit ťtť lue aprŤs le champagne, avŗit mis les Jeunes-gens en rut. On descendit au magasin, pendant que les HŰtes serraient les dťbris du soupťr. Lŗ, Trŗitdamour, demi-grisť, me dit, en me designant ses Camarades: -- Comment ces Bougres-lŗ peuvent-ils avoir une idťe de notre bonheur, & de ce qu'est le Connin de votre MaÓtresse, s'ils n'en t‚tent pas?... Je n'entens nullement qu'ils y dťchargent; maÓs seulement qu'ils y plongent rapidement leurs vits, pour en palper le satinť. DŤs qu'un des Enconneurs sera retirť, le mieux en ťtat de nous-deux, vous ou moi, achŤvera Madame, & la fera decharger? -- Je le veux biťn (repondis-je). Cordŗboyau bandant rožde se prťsenta. Nous renversames ma Fille sur le foutoir, nous la troussames, & nous declarames que nous nous tenions prÍts ŗ le desarÁonner, dŤs qu'il aurait senti le veloutť de l'ťtroit connin de notre Fouterie, & que le clignotement de ses ieux annoncerait l'ťruptŪon du foutre. -- En ce cas (s'ťcria le Bougre), que l'Une de ces trois Garses se couche-lŗ le Con pomadť, pour que mon vit convulsivant s'y prťcŪpite & decharge-? On pomada Rosemauve. Cordŗboyau enconna lentemt ConquŤte, dont le satinť le fit se recrier... mais il plongea jusqu'au fond. On l'observait. Il clignota de l'oeil. AussitŰt Brisemote & Tražtdamour l'enlevŤrent comme une plume, en jurant, Le sacrťbougre! il va partir... Et ils le mirent sur la brune Rosemauve biťn ťcartťe, & ConŤte dirigea le vit. Cette Fille, la plŁs chaude des Garses, si Mad. VitnŤgre ne l'eŻt pas surpassťe, engloutit le vit en trois coups de cul sans intervale. Cordŗboyau dechargea en heurlant de voluptť, Rosemauve l'ťtreignant avec une delicieuse fureur. Cependant, ce que je voyais m'avait roidi, & j'enfonÁais dans le Con humide de ma Deesse, qui suffisamment limťe, dechargea deux-fois, avant que je l'humectasse de mon foutre paternel... Elle gigotait, criotait, soupirotait. -- H‚! (s'ťcria Tražtdamour), vous Ítes le Dieu de son Con, chŽr MaÓtre! il se fond en jus d'amour, quand vous le perforťz! Voyťz comme elle en donne, l'adorable Enfant?.. Alons, celeste Coquine, tremousse, tremousse! Fous, divine Garse! decharge-... Ce fut ensuite le tour de Brisemote. ConŤte pemadťe, fut ťtendue sur le foutoir... Il enconna ma Fille. La grosseur du vit & sa roideur lui arrachaient de sourds gemissemens; elle travažllait de toutes ses forces, mais le terrible Engin avait encore plŁs de trois pouces pour toucher le fond. Taut-ŗ-coup nous nous apercevons que le perfide Brisemote veut inonder d'un torrent de sperme, le Connin qu'il martyrise. Nous ne pouvions l'enlever & l'arracher, son vit lapait comme celui d'un gros Dogue, dans la vulve enflamťe d'une grande LevrŤte. En ce pťril, nous implorames Tražtdamour & Moi, la pudeur de ConquŤte? L'adorable Fouteuse, fidelle ŗ nos vits. donna un coup-de-cul en-arriŤre, & se decona. Tražtdamour plongea rapidemt son braquemart en furie dans le Con bťant..... Brisemote enragť se jeta sur Rosemauve, qui ne s'y attendait pas, & la foutit en levrŤte, avec tant de brutalitť, qu'il la fit crier autant de douleur, que de plaÓsir... Et voyant ConŤte se lever: -- Reste-lŗ, Garse! lui cria-t-il: Je suis dans une rage, par ce Con veloutť que fout Tražtdamour, que j'enconnerais la ruŽ Maubuť & celle de la Tannerie-... En-effet, Rosemauve deconnťe, il fondit sur ConŤte, la fit crier; enfila Minone sans intervale, & reprit Rosemauve.... -- Que n'ai-je-lŗ notre Putain d'HŰtesse! la Garse boite avec gr‚ce, elle a de blancs tetons: qu'on me l'appelle-?... Nous lui prťparions Rosemauve, qu'il encula. Pendant ce temps-lŗ, Tražtdamour se delectait sur Mad. VitnŤgre, qui se plaignotait tendrement, & dechargeait sans-cesse, parceque son Enconneur ne la deconnait pas. -- Que la Bougresse qui est libre (nous dit-il), chatouille les petons de ma Deesse; Áa la fera me secouer. -- Alons! m'ťcriai-je, que Minone lui chatouille le haut de la motte, la douce main de ConŤte les couilles du cruel Pourfendeur, & Moi je chatouilleraŪ les pŪťds delicats de la belle Enconnťe-? Ce qui s'executa: de violens soubresauts, des cris, des blasphŤmes de voluptť, Foutu Dieu... Sacre-Dieu... Dieu-con... Dieu-vit... marquaient l'ťgarement des deux Conoeuvrans. Cependant Cordŗboyau flairait la chaussure mignone de Conquťte-Ingenue, & alait y mettre son vit: -- Laisse-donc! lui dit Rosemauve, tout-enculťe qu'elle ťtait; cela est insensible; mon Con est libre; que ne le fous-tu-? Le Bougre lui mit le ventre en l'air, & tandis que Brisemote lŠ sousaccadait en cul, Cordŗboyau lui saccada le Con. Je bandais si fort, en entendant & voyant tout-cela, que j'alais enconner Minone ou ConŤte. Ma Fille qui dechargeait, me dit tendremt: -- Un autre Con... que le miťn... peut-il vous tenter-?... Cette tendresse vraÓment filiale, me toucha au coeur. -- Ote-toi (dis-je ŗ Tražtdamour); tu dois avoir dechargť-? Il deconna: Et Moi, ťmu d'un amour-paternel sans bornes, j'enconnaŪ ma Fille, sans laver. -- MÍlons nos trois foutres (lui disaÓs-je en enfonÁant): que ton Con filial engouffre le Vit-paternel avec delices!... Remue du cul, adorable Enfant! Rens-moi tout le foutre que j'aŪ dechargť dans le Con de ta MŤre,... pour te faire!... H‚! comme la Garse remuait du cul, oscillait du con, le jour oý je l'engrossaŪ de toi! Elle ťtait chaussťe, parťe, un-peu chiffonnťe, & si chaude, qu'elle se mit sur moi & s'euconna. Pour m'exciter davantage, elle me disait, en saccadant: Pousse... Enfonce... mon Con est frayť... je viťns d'ťtre foutue par ce beau Commis aux AÓdes, dont tu es si jaloux... Et elle saccadait... Pour moi,... je foutis avec fureur,... comme je te fous ŗ-pťsent... C'est moi qui t'aŪ engendrťe, enfoutrťe dans son Con satinť,... quoique tu ressemble ŗ Louis-XV, qui,... dit-on, l'a aussi foutue... -- Mon cher PŤre... Ű Vit divin! (rťpondit Ingťnue, oppressťe de foutre & de tendresse), je sens.. ŗ mon insatiable Connin.. que je suis votre fille.... je le sens au plaÓsir.. que me fait la celeste idťe que mon... Pťre me fout.... Dťcha--argeons ensemble, chŽr Papa!.. j'aŪ... plŻs de.. foutre avec toi, qu'avec tout-autre?... H‚! h‚!.. fourgonne... fourgonne, Vit-papa... Le foutre... est long... ŗ venir... J'ai tant foutu!... Mais je n'en ai que plŻs de plaisir... H‚! h‚!... foutre!... Dieu! Delices!... VitnŤgre!... Ű Monstre, qui me dechirais, sans me pouvoir en--filer, que n'es-tu sur moi... ton Vit noir me pourfendant le Con... Foutŗmort... enfondre-moi.....: ChŽr Papa... Dieu-fouteur... je pars... je decha--a--arge... ŗ l'intention... de... Foutŗmort-.... Et elle se p‚ma, dans un ťgarement, un delire ineffables. Cependant elle avait croisť ses jambes sur mes reins, & elle me fesait une jolie bronette de ses cuisses & de son Con. Je dis qu'On la rechauss‚t, & ŗ chaque coup de cul, elle fit claquer l'un contre l'autre ses hauts talons, comme fesait sa MŤre, pour me rappeler en foutant la beautť de son piťd. Ce spectacle parut si delicieux ŗ mes trois Droles, qu'ils enconnŤreut en furieux, TraŪtdamour Rosemauve, Cordŗboyau ConŤte, & Brisemote Minone. & qu'ils les firent crier comme des Depucelťes. DŤs que j'eķs ťmis, je dis ŗ mon Secrťtaire, de dťconner, de m'enlever, & de me porter sur un fauteuil. Il m'obťit. Ma Fille palpitait. Je la montraŪ se chatouillant elle-mÍme le Con. Tražtdamour rebanda come un Enragť; il se prťcipita sur elle. -- Enculťz-moi, s'il vous plaÓt, Monsieur (lui dit-elle), il me semble que Áa me fera mieux... -- Decharger ('ťcria le Bougre): Vous avťz le Con trop fatiguť-. Et il lui perÁa le cul sans mouiller. -- Je vais... redecharger (lui dit-elle, en continuant de se branler elle-mÍme). -- Attendťz! attendťz! (lui cria le jeune & vigoureux Perforeur); je vous branleraŪ, en vous enculant-. ConquŤte enculťe & branlťe, roucouloit de plaÓsir... En ce moment, Brisemote, qui finissait Minone, se jeta sur Rosemauve, abandonnťe par Tražtdamour, pour ma Fille: Elle se fit enculer & branler. Cordŗboyau retourna ConnŤte, & lui en fit autant. Minone libre ala gamahucher ma Fille, que son FrŤre tenait enculťe; & moi, je branlaŪ Minone. Les trois Bougresses se recriaient, que l'enculage branlť ťtait divin. Pour moi, j'ťtais sur mon fauteuil, un doigt dans le Con de Minone, que j'avais ŗ-peine la force de branler, tombant de sommeil, & bandant encore pour toutes-quatre: il me devenait indifferent laquelle j'enconnasse. Je le dis. Brisemote m'avanÁa Rosemauve tout-enculťe. J'alais enconner la vive Brune. Minone se retourna, mit ses fesses d'alb‚tre sur ce Con noir, & me prťsenta son Con. -- Que je te voye! (s'ťcria ConquŤte, en s'arrachant du cul le vit de Tražtdamour), si Cupidonet doit mourir en rut, c'est dans mon Con!... Elle se mit sur Minone, m'ťtreignit dans ses bras & m'engouffra. -- H‚! (s'ťcria Brisemote, qui nous portait tous-quatre), que n'ai-je le vit assťz long, pour les enculer toutes-trois? Ainsi finit cette belle soirťe. La partie fut remise au Dimanche suivant. ConquŤte, aprŤs avoir fait amplement bidet, se coucha modestemt. Je ne pouvais marcher. Mes trois Gaillards remenŤrent leurs Belles, & revinrent me prendre, pour me porter chťz moi, oý ils me mirent au lit. XXXIII Chapitre. Chap. De la Fouteuse sensťe. Histoire. Le lendemain, aprŤs mon travaŪl, je vins voir ma Fille. Elle ťtait dans mon magazin. Elle m'embrassa la premiŤre, & me dit, & me dit: -- Au nom de Dieu, chŽr Papa, mťnagťz-vous! j'ai besoin de votre tendresse-paternelle, plŻsque jamais... Que deviťndrais-je, si je vons perdais? Vous Ítes le meilleur des PŤres: vous me donnťz le necessaire & la voluptť. J'aŪ un Bijou insatiable: mais votre Tražtdamour l'emplit & le satisfait audelŗ de toute vraisemblance. Je suis biťn sensible au don que vous m'en avťz fait. Aussi la reconnaissance & la tendresse sont pour vous; je ne lui donne que du... -- Foutre, mon adorable Fille... Tu es toujours ťgalemt mondeste. -- J'aŪ aussi beaucoup d'obligation ŗ Tražtdamour d'avoir amenť sa petite Soeur & sa jolie MaÓtresse: surtout d'avoir donnť Celle-ci ŗ ses deux vaillans Camarades, pour me rester plŁs entiťr, & vous soulager d'autant, vu mon extrťme chalenr. Ces Jeunesfilles sont de bonnes petites Creatures, & valent mieux que Rosemauve, qui cependant n'est pas sans mťrite.... Menagťz-vous, chŽr Papa. Ne voyťz que moi: c'est biťn assťz. Une partie, tous les huit jours, suffira pour vos forces. Tražtdamour me donnera le surplŻs de ce qu'il me faut. En ne jouissant que les Dimanches, les Garsons, les Petites, tout-comme nous, l'appetit & le plaisir seront plŁs grands; nous passerons une demi-journťe delicieuse... Mais je suis jalouse de vous & du beau Traitdamour; ne le mettťz qu'ŗ moi. Avertissťz-les tous de cela. C'est mon caractŤre que la jalousie. Et-puis, oý trouveriťz-vous une Femme ou Fille qui me vaille? Toujours propre, abluťe ŗ chaque pipi, autant par voluptť que par delicatesse: car j'ai cet Endroit que vous avťz la bontť de trouver charmant, toujours si chaud, que je ne le mets jamais dans l'eau s qu'avec une voluptť qui approche de la Jouissance. Ne me le mettťz donc pas de la semaine, pour avoir plŁs de plaisir, sans vous tuer, le Dimanche. Ne me touchťz ni le Bijou, ni le sein? -- Non (rťpondis-je): durant la semaine, je ne baiseraŪ que ton joli piťd. Et je veux toujours avoir une de tes chaussures au trumeau de ma cheminťe! -- Riťn de si flateur, rťpondit-elle, que d'Ítre ainsi adorťe, jusque dans sa parure: Aussi mon piťd est-il soignť, comme vous l'adorťz. Je le lave ŗ l'eau-rose deux-fois le jour matin & soir, & aprŤs avoir marchť. -- H‚! celeste Fouteuse, que je le baise, que je le baÓse? -- Point de ces mos-lŗ? dans la semaine: ils vous excitent.... Baisťz votre idole? j'y ai autant de sensibilitť qu'ailleurs; mais restťz-en lŗ.... Du-reste, je suis ŗ vous: Vendťz-moi, livrťz-moi, quand vous le voudrťz; je me donnerai avec plaisir pour vous; comme Une autre Ocyrhoť. [lacune. Je me privaŪ donc, malgrť moi: mais par nťcessit; je me contraignais. [Autre lacune... Mais j'avais ŗ ma cheminťe sa chaussure rose ŗ talons-vŽrts, ŗ laquelle je rendais mon hommage tous les jours en l'honneur de la Fille la plŁs pieuse & la plŁs devouťe quÓ ait jamais existť. ConquŤte-Ingťnue, ŗ quÓ je le edis le samedi, en fut transportťe de joie. Elle darda sa langue, me fit sucer ses tetons, palper son poil soyeux, se mit ŗ genoux, & dit avec ferveur: -- Mon Dieu! je vous remercie de m'avoir fait naÓtre d'un si bon PŤre! Nous ne vous offensons pas; je rens ŗ mon Papa en plaisirs delicieus les soins qu'il a pris de mon enfance. Je suis le baume & le charme de sa vie; il est le baume & le charme de la miťnne. Bťnissťz-nous-? Elle fit trois signesdecroix, baÓsa la terre, & se releva, en disant: Doux Jesus, qui le mettiťz ŗ MadelŤne, elle ťtait aussi votre fille; & en amour, vous le savťz par experience, riťn n'est si voluptueux que l'inceste-!... Je fus si ťdifiť de cette priŤre, que je me propose de la faire recommencer, ŗ la fin de nos parties. Un-instan aprÍs, ŗ 8 heures-&-demie, toute la petite Sociťtť, Tražtdamour, Minone sa soeur, ConŤte sa maÓtresse, Rosemauve, Cordŗboyau & Brisemote, vinrent prendre langue pour la reŁnion du lendemain. Je donnaŪ le mot & les retins ŗ soupťr. Il y avait un excellent gigot de 18 livres, & du vin de Bourgogne, avec un p‚tť chaud. AprŤs le repas, voulant les ťmoustiller tous, & moi-mÍme, je fis lire par Rosemauve, devant nos HŰtes, l'Histoire suivante: XXXIV Chapitre. Chap. De l'Homme-ŗ-queŻe. Vous aimťz les Histoires, dis-je, ne voulant pas manger de p‚tť; nour aurons demain toute autre chose ŗ faire: je vais en-conter une, pendant que vous achŤverťz de souper-. Un rire d'aise prťceda le silence. Il y avait ŗ Sens, une Veuve encore belle, quoique mŤre de six Filles, dont l'AÓnťe, qui atteignait vingt ans, ť se nommait AdelaÔde. La seconde, Sophie, n'en comptait pas encore dixneuf; la tsoisžŤme, Julie, en avait prŤs de dixhuit; Justine dixsept; AglaŽ seize, ťt enfin Emilie la CadŤte quinze ans. Quant ŗ la Maman, mariťe ŗ treize, accouchťe de son AÓnťe ŗ quatorze, elle avait trentequatre ans. Mad. Lin‚rs (c'est son nom), avait en-outre deux NiŤces de quinze ťt vingtdeux ans, Lucie et AnnŤte-Bar, une jolie Femmedechambre de dixhuit, outre une CuisiniŤre, grande ťt belle Fille de vingt ans. Le Mari avŗit mal-fait ses affaires, avant que de mourir. La Veuve ne soutenŗit sa nombreuse Famille qu'avec le revenu de sa dot, qui rapportŗit cinq ŗ six-mille livres. On ťtŗit gÍnť; car les NiŤces n'avŗient que quinze-cents livres de rentes entre elles-deux. C'ťtŗit onze Jeunespersones ŗ entretenir avec 7500 francs. Il parut alors ŗ Sens un gros ťt bel Homme dont la phisionomie annonÁŗit trente ans, encore qu'il n'en eŻt que 20. Il passŗit pour trŤs-riche. Et en-effet, il l'ťtŗit. Ses bras ťt sa poitrine ťtŗient couverts de poils. Il avŗÓt le regard dur ťt presque fťroce: mais son sourire l'adoucissŗit, ťt il souriŗit toujours, en voyant de jolies Femmes. L'AÓnťe des Dlles Linars ťtŗit charmante: Fysitťre la vit ťt en devint ťperdŻment amoureux, quoiqu'il eŻt alors dans son sťrŗil une Femme-mariťe enlevťe ŗ Paris, de l'aveu du Mari mÍme; la Soeur d'icelui, vendue par son PŤre, ťt une superbe Carmelite, leur cousine, qui s'ťtŗit livrťe elle-mÍme, parcequ'elle ťtait hysterique. Mais toutes ces MaÓtresses ťtaient alors enceintes, ťt FysitŤre n'en jouissŗit, que pour avoir des Enfans. Il ala chťz Mad. Linars, pour Lui demander en mariage AdelaÔde. Le Velu, en voyant onze Femmes dans une seule maison, tressaillit d'ŗise... Il ťtala sa fortune, ťt proposa d'ťpouser l'AÓnťe. Trente-mille francs de rente qu'il prouva (il en avŗit biťn davantage)! Le firent accepter sur-le-champ. Il rendit ensuite des visites jusqu'au mariage, ťt fit des prťsens, tant ŗ sa Prťtendue qu'ŗ la MŤre, aux Bellessoeurs, ŗ Lucie ťt Annťte-Bar, les deux NiŤces, ainsi qu'ŗ Geoline ťt ŗ Marťte, la Femmedechambre ťt la CuisiniŤre. Ce fut avec ces prťsens qu'il attaqua leur vertu... Mais il faut quelques prťliminaires, qui fassent mieux connaÓtre ce Personage. FysitŤre ťtait Un de ces Hommes poilus, qui descendent d'un mťlange de notre EspŤce, avec celle d'Hommes-ŗ-queŻe de l'Isthme de Panama, ťt de l'Ile de Borneo. Il ťtŗit vigoureux comme dix Hommes ordinaires; c'est-ŗ-dire, qu'il en aurŗit batu dix ŗ armes ťgales, ťt qu'il Lui falŗit, ŗ Lui-seul, autant de Femmes qu'ŗ dix Hommes. A Paris, il avŗit achetť la Femme d'un nommť Guae, un scelerat, qui La Lui avŗit vendue ťt L'avŗit livrťe. FysitŤre La tenŗit exactement renfermťe depuis. Il jouissŗit de cette Infortunťe, la plŁs provoquante des Femmes, ťt qui avait beaucoup de temperament, dix ŗ 12 fois par jour. Ce qui la fatiguŗit tellement.r qu'elle lui avŗit donnť le conseil d'acheter de leur PŤre sa Soeur-cadŤte, nommťe DoucŤte, qui partagerait le travŗžl. Il le fit. Mais ces deux Femmes avŗŪent ťtť biťntŰt sur les dents. Heureusement un Confesseur de Nones decouvrit alors pour le Velu, la Religieuse histerique, cousine des deux Victimes: il La tira de son Couvent, sous prťtexte de Lui faire prendre les eaux, ťt La livra au FysitŤre, qu'elle occupa seule pendant quelques semŗines. Ce qui avŗit reposť ses deux Cousines. C'est ŗ cette ťpoque que l'Homme-ŗ-queŻe ťtŗit venu ŗ Sens, ťt qu'il avŗit vu la Famille Linars. Avant qu'il eŻt Mad. Guae, On Lui amenŗit trois Filles CouturiŤres chaque matin. Mais les prťcautions qu'il ťtŗit obligť de prendre pour sa santť, avec des Creatures qu'il lŗissŗit libres, Le degoŻtŤrent de cette jouissance. Daillťurs, comme il avŗit formť le projet de multiplier l'EspŤce des Hommes-ŗ-queŻe ťt d'en peupler l'Ile entžťre de Borneo, Pays originŗire, il voulŗŪt pouvoir surveŪller tous les Enfans qui Lui naÓtrŗient. Ses trois Femmes ťtant grosses, il ne voulŗit plus Les fatiguťr. Quand il fut liť avec Mad. Linars, il aurait biťn cherchť ŗ deflorer sa Future, ou ŗ se donner Une des NiŤces; ou la Cuisiniťre, ou la Femmedechambre. Mais il trouva que tout-cela avŗit ses inconveniens. Il reserva ce-supplťment de ressources, pour aprÍs son maržage. La PremiŤre qu'il attaqua, ce fut sa BellemŤre future. Il Lui fit un-jonr un prťsent de deux-mille ťcus en espŤces: Et La voyant dans l'extase de la reconnaissance, il iui mit la mažn sous la jupe, en Lui disant: "Autant tous les six mois, si Je vous Le mets. Et ne craignťz pas de faire du tort ŗ votre Fille! Elle n'en aura que trop de reste... Comme il ťtŗit extrťmement fort, tout en parlant, il La renversŗit, L'enfilŗit. La Dame se trouva prise sans l'avoir prťvu. Elle fut rabatelťe une dixaÓne de fois, tant Elle ťtŗit vigoureusement contenue... Enfin devenue libre, Elle Luž dit; "HŰ, quel Homme! "Je suis tel (repondit-il), que votre Fille ťt vous, quand vous m'aurťz toutes-deux, me donnerťz vous-mÍme des MaÓtresses, pour vous reposer". La Dame, qui ažmŗit le jeu d'amour, sourit, en rougissant d'esperance ťt de plaisÓr. Elle fnt exploitťe tous les jours, en attendant celui du mariage de sa Fille. Quand ce jour fut arrivť, effrayťe pour Une jeune Vierge, Elle pria l'inťpuisable FysÓtŤre de La menager? "Six-fois: repondit-il, pas plŻs, si vous me promettez de me recevoir ensuite, ou de me donner Lucie, l'AÓnťe de vos NiŤces? "Non; mais je vous donnerai Geoline, ou MarŤte, celle que je pourrai avoir le plus facilement... Le soir des noces, FysitŤrť, quoiqu'il eŻt toutes les nuits fourbi Mad. Linars, ťtait impatient ŗ trťpigner, d'avoir sa Mariťe. Il L'enIeva commť une plume, dŤs qu'on eŁt soupť, se jeta sur Elle, ťt Lui fit pousser des cris effrayans. La MŤre alarmťe, accoutut avec Geoline, au moment oý FysitŤre, sans trop s'embarrasser des gŤmissemens de la Jeunepersone, La recommenÁŗit. La MŤre Le laissa L'achever. Pužs, sur l'instante pržŤre de sa Fille, Elle La retira du lit, pour laver le sang ťt le suc d'homme, dont sa conque martyrisťe ťtait remplie. FysitŤre saisit alors Geoline, ťt La viola, malgrť ses clameurs. Il La retint sous Lui quatre ŗ cinq fois.:. Elle profita d'un intervala, pour s'ťchapper Mais FysitŤre menaÁa Mad. Liuars, si elle ne remplaÁŗit pas sa Fille, de tourmenter Celle-ci jusqu'au jour... La Dame ťtŗžt fatiguťe: Elle ala chercher MarŤte, qu'elle enferma dans la chambre-nuptiale. FysitŤre La viola, ťt La contint sous Lui quatre-fois: puis il Lui permit de dormir. Dans le Jour, il assoupit les plaintes des deux Filles-domestiques, ťt mÍme il Les g‚gna, en leur constituant Douze-cents francs de rente ŗ chaqu'une. Mais elles demandŤrent du repos, pour la nuit suivante.... Le soir, FysitŤre ramona six-fois sa Nouvelle-Epouse, qui prit un-peu de gout ŗ la chose: puis sa MŤre reposťe, fut ŗ son tour fourgonnťe six ‚utres fois. Ce qui suffit ŗ l'Homme-ŗ-queŻe. Le soir du troisiŤme jour, il ne ramona sa Femme qu'une-fois; car Elle demanda gr‚ce. Il eŁt ensuite Geoline, six fois; puis MarŤte, cinq fois. Ce qui fut la dose ŗ laquelle il se rŤgla. Il eŁt le quatrŤme soir, sa Femme, une fois; sa BellemŤre quatre; Geoline trois; Marťte quatre: douze en tout. Il en agit ainsi pendant deux mois. "Mais, Lui dit Mad. Linars, vous vous Ťpuisťz! A quoi bon nous Le mettre tant de fois? "Mon but est de fažre des Enfans, pour en repeupler une Ile des Indes, dont les Hommes de mon EspŤce sont originaires. DŤs que vous serťz grosses, je ne vous Le mettrai plus; vous m'en donnerťz d'Autres; mais surtout vos Filles ťt vos NiŤces, parceque vous Ítes toutes d'un beau sang. Je Leur ferai ŗ chaqu'une six-mille francs de revenu, ťt douze-cents francs seulement aux EtrangŤres que vous procurerťz-... Mad. Linars fut trŤs-ťtonnťe de cette proposition! Mais les six-mille francs de revenu pour ses Filles ťt ses NiŤces La tentŤrent. Aubout des deux mois, ťt de six semaines de mariage, Mad. Linars, la Nouvelle-Epouse, Geoline ťt MarŤte se trouvŤrent enceintes. FysitŤre Leur dťclara, qu'il ne les verrŗit plus, qu'aprÍs Leurs couches. Et il pressa Mad. Linars de Lui donner ses NiŤces, ťt deux de ses filles?... Elle fut obligŤe d'y consentir. Elle Les conduisŗÓt elle-mÍme, aprÍs Les avoir instruites, ťt assistŗŪt ŗ Leur defloration, calmant leurs cris par ses discours ťt ses caresses. "Ma rŗisonable Enfant, disŗit-elle ŗ Lucie renversŤe sur le dos, ťt qu'On troussŗit, il est doux d'avoir 6 mille fr. de rentes?... Cinq-cents francs par mois, ajoutŗ-t-elle en La pomadant?.. Et fonciŤres, ma chŤre NiŤce! dirigeant le gros Membre dans sa fente". Aussi la belle Lucie, quoique vierge, ne cria-t-elle pas. Vint ensuite AunÍte la seconde. Sa MŤre L'exhorta, La pomada, inserant son index onctuť le plŁs profondement possible, pour frŗyer la route. Elle introduisit le Membre dans la fente ainsi prŤparťe. Cependaut AnnŤte perforťe, jeta les hauts-cris. Mais ils n'arrÍtŤrent pas FysitŤre, dont Mad. Linars caressŗit la queýe poilue, qui fretillait vivement. H‚! Maman! (Lui dit-il), mets-toi sur moi, ťt te l'enfonce dans ta conque; tu auras biťn du plaisir"! Elle le fit, ťt fut si ravie, qu'elle appela sa Fille-aÓnťe ťt les ChambriŤres, pour Leur procurer les mÍmes delices. AnnŤte suffisamment ramonťe, ťt demandant gr‚ce, Geoline la remmenŗ, pour laver le sang ťt le sperme, dont son Bijou ťtŗžt barbouillť: ťt Mad. Linars ala chercher Sophie, sa seconde Fille. Geoline et MarŤte l'apportŤrent nue assise sur leurs mains jointes. Mad. Lin‚rs La pomada; puis elle intromit. Geoline s'enfila avec la queýe poilue, au refus d'AlaÔde l'ťpouse. Sophie ne poussa que quelques gťmissemens, an premiťr Assaut; elle riposta aux deux autres. Elle fut cependant ensanglantťe. Geoline se fourgonna de la queýe-ŗ-poil durant toute la sťance. FysitŤre n'avŗit joui que neuf fois: Il Lui en falŗit trois encore. On ala Lui querir Julie la troisÓŤme Soeur, ‚gťe de dixsept ans. Sa MŤre La pomada. Ce qui ne l'empÍcha pas de crier, parcequ'elle ťtait fort ťtroite. Julie ťt sa cousine AnnŤte furent les deux qui n'ťmirent pas dans le coÔt, les quinze premiťrs jours. Lucie fut prise tout-de-suite, ťt Sophie trois jours aprŤs. Mais elles n'en dirent riťn, aimant le piaisžr. Quant ŗ Julie ťt Annette, il s'ťcoula trois mois avant qu'elles fusseut enceintes... MarŤte se farfouillŗit avec la queýe poilue, pendant les assauts de Julie. Lorsqu'il fut biťn dťcidť que les quatre Belles avŗient le sac rempli, Mad. Linars fut requise de donner ses trois derniŤres Filles, ťt une Cousine du cŰtŤ-gauche, fille hors mariage de son Mari, nommťe Naturelle-Linars? Elles Lui furent livrŽes, et Justine, Aglať, Emilie mÍme, qui n'avŗžt pas quatorze ans accomplis, se virent enfilťes dans une seule nuit, malgrť leurs cris ťt la dechirure de leurs jeunes appas. Naturelle avŗit vingt-un ans: ce fut une delicieuse jouissance, que l'Homme-ŗ-queŻe fatiguť avŗit rťservťe pour la derniŤre. Celle-ci fut engrossťe surlechamp; ťt les trois Autres, malgrť leur jeunesse, ne l'ťchappŤrent pas dans le cours du mois. Elles ťtŗient reguliŤrement fourgonnťes trois fois par nuit: mais sožt qu'elles eŁssent moins de temperament, soit qu'ťtant plŁs ťtroites, elles souffrÓssent toujours, elles furent ravies, lorsqu'elles fudeclarŤes enceintes. L'Homme-ŗ-queŻe avŗit en ce moment de fecondťes, 14 Femelles, qui Lui promettŗient aumoins 14 Enfans. A cette ťpoque, Mad. Linars accoucha d'une Fille. Un možs-ťt-demi aprÍs, AdelaÔde, ou Mad. A-queue, mit ťgalement une Fille au monde. Puis Geoline ťt MarŤte eŁrent chaqu'une un Garson. AnnŤte Ťt Lucie chaqu'une une Fille. Toutes-six voulurent nourrir. Ce qui fut executť dans une Terre ťcartťe, du-cŰtť de Seignelŗi, ťloignťe des routes, comme de l'Yonne, mais sur la petite RiviŤre de Serin. Cependant comme les Unes nourrissŗient, ťt que les Autres ťtŗient encore enceintes, il falŗit de nouvelles Femmes ŗ FysitŤre. Il demanda permission ŗ Mad. Linars de refťconder ses trois premiŤres Concubines, Mŗd. Guae, sa soeur DoucŤte, ťt la Carmelite, qui n'ťtŗit plus hystere, depuis ses couches. La BellemŤre y consentit avec la plŁs grande joie: car Elle ťtŗit fort embarrassťe pour trouver ŗ son Gendre des Sujets fecondables. Elle avŗit deja biťn marquť les quatres Pucelles les moins lŗides du Village, ťt mÍme une cinquiŤme la plŁs jolie, femme mariťe, sterile avec son Mari; Elle les avŗit presque g‚gnťes, au moyťn des douze-cents francs par annťe, mais Elle n'etait pas encore sŻre de leur discrťtion... Les trois Concubines ťtŗient mandťes. Elles arrivŤrent. DŤs le mÍme soir, Elles furent mises toutes.trois dans un grand lit propre ŗ cinq Persones: FysitŤre s'y coucha au milieu: Il Les palpa Toutes; puis il prit Mad. Guae, la plŁs voluptueuse, qu'il fourgonna trois-fois avec fureur. Il saisit ensuite Doucette, que ses tendres gemissemens Lui firent ramoner en Enragť. En la quittant, il sauta sur la Carmelite, qu'il exploita six fois, sans desarÁonner. Mais Elle l'assura qu'Elle ťtŗit tguerie de sa maladie, ťt Elle Le pria de se parrager ťgalement entr'elles trois? Ce qui fut arrÍtť. Le lendemain, Mad. Linars, qui avŗit tout ťcoutť pendant la nuit, demanda aux trois Parentes, Comment elles appartenŗient ŗ Fysžteres! Mad. Guae repondit: "Nous alons vous faire notre Histoire qui vous paraÓtra singuliŤre! en.mÍme-temps qu'elle vous donnera une idťe juste de notre Mari ŗ Toutes, qui est Un Homme d'une nature particuliŤre. Mad. Linars ne demanda pŗs mieux que de l'entendre: Mais elle fit observer ŗ Mad. Guae, que ce Recit ne seražt pŗs moins agreable aux 12 autres Femmes de FysitŤre? Mad. Guae en convint, ťt AdelaÔde, Sophie, Julie, Justine Aglať, Emilie, Lucie, AnnŤte, Geoline, MarŤte, Naturelle, appelťes par Mad. Linars, vinrent avec elle assister ŗ la narration que fit la belle Mad. Guae, en-prťsence de Doucette sa soeur, ťt de de Victoire la Carmelite leur cousine. XXXV Chapitre. Chap. Des la Garse insatiable. "Vous me voyťz; J'ai toujours ťtť desirťe des Hommes: A huit ans, un Ouvriťr qui travaillŗit dans la maison ŗ de la menuiserie, me prit le bijou; ťt comme je ne criai pas, il me mit son membre entre les cuisses, me les fit serrer, ťt me les inonda, en dechargeant. Je le dis ŗ ma MŤre, qui me lava les fesses, ala menacer le Menuisiťr, ťt le fit deguerpir... Ce debut annonce que le Recit sera un-peu libre; mais il faut Ítre sincŤre. "A dix ans, mon PŤre dťculotť m'assťyŗit ŗ crŻ sur ses cuisses nues, fesŗit aler son membre entre les miťnnes, comme le batant d'une cloche, ťt, biťn ťchauffť, il alŗit enfiler ma MŤre, une jeune Tante soeur de Celle-ci, ou ma Gouvernante. "A treize ans, j'avŗis le Bijou cotonnť, ťt si joli, que mon PŤre venŗit me Le lŤcher la nuit pendant mon sommeil. Enfin il me sentit riposter ŗ ses coups de langue, ťt comprit que j'avŗis du plaisir. Il dardŗit plŁs fort, ťt je partŗis... AussitŰt mon PŤre se mettŗit sur moi, me suÁŗit mes petÓts Tetons naissans, posŗit son membre ŗ l'orifice de ma petite Conque, ťt me barbouillŗit toute la Mote de sperme.. Il me lavŗit ŗ l'eau-rose. "A qužnze ans, un Jeunehome, frŤre de ma MaÓtresse de modes, me prit le Con ŗ la poignťe, an moment oý je regardŗis par la fenÍtre, ťt voulut me chatouiller le Clitoris avec son doigt: mais il me fit mal, ťt je Lui donnai un soufflet. "A cette ťpoque, mon PŤre n'osŗit plus m'asseoir ŗ cýl-nu sur ses genoux, ni me faire decharger en me lŤchant le Con; il se retirŗit dŤs que je donnŗis le premiťr signe d'ťveil: Mais comme j'ai le piťd joli, ťt que M. Dardevit, ažnsi que tous les Hommes delicats, est infiniment sensible ŗ cet attrŗit-lŗ, il fesŗit faire mes chaussures par un habile Cordonniťr, Celui de ma MŤre ťt de la Marquise De-Marignž; le Voluptueux ne me les donnŗit neuves, que lorsque j'alŗis chťz Lui; il me les fesŗit mettre aprÍs un pťdiluve, avec des bas de fin coton, me fesŗit marcher chaussťe, mettre ŗ la fenÍtre, pour mieux voir ma jambe ťt mon piťd, qu'il baisŗit; il me fesŗit ensuite asseoir, me tirŗit un soliťr, s'en coÓfŗit le vÓt, me fesŗit Lui patiner les couilles avec mon piťd chaussť, poussŗit de profonds soupirs, cognŗit au planchťr, ce qui fesŗit monter Mad. MeziŤres voisine d'audessous; Elle Lui arrachŗit mon souliťr, ou ma mule; Elle se renversŗit sur le dos; il La troussŗit, Ťt La fourgonnŗit, en me fesant relever ma jupe en perspective d'une glasse jusqu'au genou. "Votre PŤre me fŗit ce qu'il ne peut vous faire, me disŗit La MeziŤres, parceque tu es sa Fille; mais c'est Toj qui Le fais bander... H‚! si Tu Luž montrais ton joli Conin, comme il me rab‚telerŗžt, ťt me donnerŗit des coups de vit en Con"! Touchťe de ce langage, souvent je me troussŗis, ťt montrŗis une mote ŗ poil folet ťt soyeux, que mon PŤre trouvait adorable! Je m'en apercevais aux vives estocades qu'il donnait ŗ la Dame... En La quittant, il venaŪt me rechausser. Mais quelquefois La MeziŤres L'en empÍchait, ťt furieuse de luxure, Elle me renversait, me lŤchait le Connin, ťt mettait dans le siťn la pointe de mon solliťr, ou de ma mule, comme un Godmichť... Pendant ce temps-lŗ, mon PŤre me palpait doucement les fesses ou les tetons. "Tu La foutras, Bougre (tu La depuceleras, ťt biťntŰt! ťt Elle deviťndra grosse de Toi, si Tu ne La maries"! Ce propos, souvent repetť, fit que je demandai vivement ŗ me marier. "J'avais un Oncle, mari de ma Tante. L'escaliťr de leur demeure ťtait obscnr. Un-jour que je le montais, mon Oncle me suivait. Au beau milieu, il me glissa la main sous la jupe, ťt me h‚pa ce qu'il nommait mon ConnŰt. Je me recriai! "Tais-Toi donc (me dit-il): vas-tu troubler mon mťnage"?... Je me tus. Et il me patžna le ConnŰt, le cýl, d'une main, les tetons de l'autre; me mit son membre dans la main, me le fit serrer en jurant, ťt tout en me suÁant les tetons, me dechargea dans les doigts. "J'entrai toute rouge chťz ma Tante. Mais je ne dis mot. Quand je m'en retournai, mon Oncle me guettait; il m'accompagna, ťt me dit: "Tu veux Te marier; J'ai un Parti, ťt il n'y a que moi qui puis g‚gner ton PŤre; Je Le g‚gnerai, si je te le mets seulement trois fois avant le mariage, ťt lorsqu'il sera biťn sŻr? "Que me mettrťz,vous? (je fesais l'ignorante, puisque j'avaÓs vu mon PŤre ťt La MeziŤres). Nous ťtions dans l'alťe. Il mit son vŪt ŗ l'air, ťt m'empoigna le Con: "Ceci, dans ce que je te tiťns". Je me debarrassai, ťt ne repondis riťn. J'ťtais ŗ la porte de mon PŤre: J'entrai. Il ťtait absent: J'attendis. "Seule avec mož-mÍme, je resolus de pressentir mon PŤre, ŗ son arrivťe, sur mon mariage? Il arriva: Je fus moins sevŤre avec Lui qu'ŗ mon ordinaire, ťt lorsque je l'embrassai, aulieu des ieux, j'appuyai sur ses lŤvres. Il fut ravi. Je dardai la langue, comme je l'avais vu faire ŗ La MeziŤres. Il me mit la main entre les cuisses, mais sur les jupes. Je m'abandonnai, en Lui disant: "Je voudrais me marier? Et comptťz que vous serťz biťn caressť, si vous y consentťz? "De tout mon coeur, ŗ cette condition... As-tu un Parti? "Mon oncle en a Un, que je n'ai jamais vu. "Bon! ce n'est pas une amourŤte... Il faut dabord que je Te gamahuche aujourd'hui? "Qu'est-ce que c'est? "Te lÍcher-lŗ (me prenant le Bijou). Je fis une petite grimace. "Alons, prens cette ťponge fine, ťt lave le biťn, ŗ-cause du joli poil, qui commence ŗ l'ombrager? Le plaisir que tu auras, te dedommagera de la contrainte que Tu te fais? Il me suÁa lťgŤrement les bouts des tetons, pendant que mes fesses, mon cýl et mon Connin nageaient dans un bain tiťde. "Mon amoureux PŤre ne me donna pas le temps de reflechir: DÍs qu'une serviŤte fine eŁt pompť l'eau, il me renversa sur le piťd de son lit, troussee audessus des reins, appliqua sa bouche sur la fente de mon ConnŰt, qu'il lŤcha vivement, en dardant sa langue, jusqu'ŗ ce que je donnasse des symptŰmes de decharge. Ce quž arriva aubout d'un demi-quart d'heure. En me sentant prÍte ŗ ťmettre, mon PŤre me quitta, me mit gros comme une noix de beurre frais dans le bas de la fente du ConnŰt, m'y insera son vit, avec beaucoup de peine. Il saccada: Je dechargeais, et J'avais tant de plaisir, que je Le secondai, malgrť quelques douleurs. Heureusement le vit de mon PŤre n'ťtait pas gros, mais il ťtait long; il me donna un plaisir complet; car il penetra si avant, qu'il me chatouilla le fond; ťt au moyťn de ce que j'ťtais trŤs-ťtroite, il m'empliss‚it le con, comme si j'y avais eŁ un Vit de Mulet... Voilŗ comme je fus depucelťe. Je priai mon PŤre, pendant qu'il me lavait le Con, de ne pŗs differer son consentement, que je ne voulais pas devoir ŗ mon Oncle; ťt je Lui en dis la raison. "Il ne faut qu'il te le mette! me repondit-il vivement: Le Bougre a le VÓt trop gros: il t'ťlargirait! Au lieu qu'aprťs moi, ton Futur, on tout autre Fouteur, Te trouvera comme Pucelle". Je promis qu'il n'obtiťndrait riťn. "Des bagatelles cependant, reprit mon PŤre: Branle-Le, quand il Te prendra le Con. Tu pourrais mÍme Te laisser enculer, s'il ťtait assťz raisonable pour s'en tenir-lŗ. "Comment fait-on Áa? "Je vais Te le montrer". Et il m'encula. J'eŁs du plaisir; car je dechargeai. Mon PŤre me dit ensuite: "Quant ŗ mon consentement, envoie-moi ton Prťtendu: Si c'est Un certain DrŰle que je soupÁonne, Tu n'en deviťndras pas folle, ťt... Suffit". Je m'en retournai contente chťz mon Oncle, oý sa Femme ťt Lui me prťsentŤrent leur Protegť, une sorte de Mul‚tre, qu'ils nommŤrent M. Guae. DÍs le mÍme soir, ayant eŁ, avec ce M. Guae, un entretiťn trŤs-vif, pendant lequel je Le vis prÍt ŗ me prendre le Con, sa laždeur ťt sa sotise ne me rebutŤrent pas, attendu que mon Oncle ťt ma Tante m'avaient prŤvenue qu'il ťtait terrible pour les Femmes; ce qui m'avait biťn tentťe! aucontraire, je Lui dis, Que j'avais obtenu le consentement de mon PŤre, ťt qu'il pouvažt se prťsenter. Il me pria de Le conduire, n'en ťtant pas connu. Je remis au lendemain midi. "Nous arrivames au moment oý mon PŤre alažt sortir. Guae m'avažt pris le cýl dans l'escaliťr, ťt m'avažt fait empoigner son Vit; ce qui me donnait un coloris brillant; j'ťtažs ravissante! Je prťsentae Guae, comme mon Futur. Sa figure hideuse ťt basse fit sourire mon PŤre, dont elle calma la jalousie. Il nous dit: "Mes Enfans, j'ai une affaire pressťe: mais elle sera courte; attendťz mon retour". AprÍs son depart, Guae me dit: "Il paraÓt, ŗ son ton, qu'il vous tiťndra sa parole, de consentir? "Je le crois; car il ne se contraint pas, quand une chose Lui deplaÓt. "Ma Belle! (ajouta Guae, dont l'oeil noir petillait de luxure, permettťz de vous Le mettre icy, sur le piťd du Lit de votre PŤre?... Consentťz-y"? Je ne demandažs pas mieux, ŗ-cause de mon depucelage, ťt parceque le Bijou me demangeŗit, depuis que mon PŤre m'avŗit perforťe: Mais je repondis: "HŰ-non! mon PŤre n'aurŗit qu'ŗ rentrer! "Hť! quand il rentrerait? vous voir enfilťe, ne ferŗit que h‚ter notre mariage". "Il me renversa sur le piťd du Lit. Je me defeudis gaŻchement. Il me mit le Vit entre les babines du Con, ťt poussŗit ŗ m'enfondrer... Mais il ne put penetrer, quoiqu'il se mouill‚t le gland. Il redoubla d'efforts, qui aboutirent ŗ me decharger une chopine de sperme sur la mote, le ventre ťt les cuisses. "Je me debarrassae, pour aler laver. "HŰ! vous Ítes biťn Pucelle!, me disŗit Guae, en se reculotant. Comme je m'essuyŗis, j'aperÁus mon PŤre cachť... Je n'en fis pas semblant Un instant aprÍs mon retour vers Guae, ce PŤre rusť entra auprÍs de nous. Guae me demanda en mariage? Mon PŤre Lui repondit, Qu'il me laissažt la maÓtresse absolue. Et il signa les bans. Il dit ensuite ŗ Guae, qu'il avŗit ŗ me parler, ťt qu'il le priŗit de s'en retourner seul; qu'il me remŤnerŗit chťz ma Tante, ŗ Laquelle il avŗit ŗ parler aussi. Guae s'en-ala. "DÍs qu'Il fut sorti, mon PŤre me dit: "As-tu ťtť foutue"? Et il me prit le Con ŗ la poignťe. "Vous avťz biťn entendu que non. "Oý donc a-t-il dechargť? "Sur le poil. "Un-peu entre les lÍvres? "Oui. "Il suffit: On peut devenir enceinte avec cela seulement, Ít Tu n'šs plus riťn ŗ craindre. Mais va Le voir chťz Lui, ťt qu'il ait toute-facilitť. En attendant, je vais en frayer encore un peu-. Il me renversa, ťt a-l'aÓde du beurre-frais, il m'enfila... avec quelque facilitť: ce qu'il repeta trois-fois, excitť par ce qu'il venait de voir, ťt parceque j'ťtais extrÍmement biťn chaussťe, en soliťrs de soie neufs. Je dechargeae trois fois a chaque enconnage, comme dŪsažt mon PŤre. Cela fit neuf fois. Mon PŤre me dit, que j'avais beaucoup de temperament, ťt que j'alŗis Ítre une bonne Fouteuse!... Je me lavae soigneusement, ťt il me remena. "Nous trouv‚mes Guae chťz ma Tante. J'ťtažs plŁtůt mise en appÍtit que rassasiťe, par le triple fourgonnage de mon PŤre: Je dis bas ŗ mon Prťtendu: "Alťz chťz vous; j'ae ŗ vous parler". Il y courut. Mon PŤre parlažt ŗ ma Tante, prenant des mesures pour accelerer: car il craignait, ŗ la maniŤre dont j'avais dechargť, que je ne devinsse grosse de Lui; ťt il le desirait en-mÍme-temps: Mais il falait que je fŻsse mariťe... Ma Tante sortit avec Lui. "J'alais sortir aussi, pour laisser essayer ŗ Guae un enconnage complet, lorsque mon Oncle rentra. J'ťtais si envoluptťe, que je n'en fus pas f‚chťe, quoiqu'il me deplŻt. Il ferma la porte au verrouil, ťt vint ŗ moi: "Tu vas donc te marier? me dit-il: Alons, il faut en decoudre ŗ nous-deux? Aussi-biťn Guae a le Membre si gros, qu'il te feražt souffrir le maryre". (Ceci acheva de me determiner)... Il me saisit. "Laissťz-moi! Laissťz-moi! dis-je faiblement). Mon Oncle ne m'ťcouta pas, ťt voyant que je ne criais, ni n'ťgratignais, il me renversa sur le Lit, me troussa, ťt dirigea son vit dans le vagin de mon Con. J'eŁs l'art de paraÓtre me defendre, en le secondant. Il me fit mal; je criae, ťt m'apercevant que les cris Le facilitaient, je me mis ŗ crier de toutes mes forces. Ce qui Le fit enfoncer jusqu'a la garde, avec tant de plaisir de ma part, que mes gemissemens ťtaient de voluptť. Je me debattais, mais mon Con supait le gros Vit, donnant de si bons cups de cýl, que je dechargeae avec des convulsions terribles, et des contractions des trompes qui pinÁoient le gland de mon Oncle. Il se recrÓa,... ťt se p‚ma de plaisir... "H‚! pour une Pucelle, que Tu fous biťn! me dit-il ensuite: Que sera-ce donc un.jour?... RecommenÁons"... Il me recommenÁa trois-fois, malgrť mes pleurs; car je sentis qu'il falait pleurer... Quand il fut rassasiť; il deconna. "O celeste Fouterie, me dit-il, si le merite de ton Con ťtait connu, Il ferait ta fortune! "Oui! vous me L'avťz biťn accomodť! rťpondis-je en sanglotant, sur un bidet prťparť par mon Oncle. Il Űta le verrou, jeta l'eau mťlťe de sang ťt de foutre; puis craignant le retour de sa Femme, il sortit, en disant: "Remerciťz-moi! sans cette prťparation, Guae vous aurait estropiťe; et revenťz ŗ moi, s'il le faut"? Je ne fus point effrayťe de ce Langage. DÍs qu'il fut sorti, j'essuyai biťn-vite mes larmes, ťt je pris un air riant. Ma Tante revint. Je La prťvÓns de l'attaque de son Mari, mais non du succÍs, pour Lui faire presser mon mariage; La priant de ne Lui en riťn temoigner, depeur qu'Il ne lev‚t le masque. Je promis de toujours biťn me defendre, comme je venais de faire; ťt tout en parlant, le Con ťtant venu ŗ me redemanger, je courus chťz Guae, esperant que prťparťe comme je l'ťtais, il me L'enfoncerait enfin. Il m'attendait. "J'ai biťn des choses ŗ vous dire"... Ce fut mon debut. Il ne me laissa pas continuer; il me prit la Motte: "Foutons dabord, me dit-il, en me renversant. Je n'en fus pas f‚chťe; car je ne savais trop que Lui dire de-nouveau. Je me defendis gaŻchement, comme avec mon Oncle ťt mon PŤre. Mais quoique je fusse ťlargie, ses tentatives furent encore inutiles. Je n'osais Lui dire de prendre du beurre, depeur de paraÓtre instruite: Je m'attendais qu'il y songerait. Cela ne Lui vint point en pensťe. "Tu Ís diablement Pucelle! me dit-il, en me tutoyant... Il me tourna sur le ventre, me cracha au trou du derriŤre, ťt m'y enfonÁa son engin, avec des efforts infinis. Je poussais des cris horribles! mais il me tenait si ferme, en m'empalant, que je ne pouvais remuer. Je Le secondae, pour souffrir moins, ťt mes ripostes me firent decharger. Je croyais avoir un timon de carrosse dans le cýl... Le retirť ne fut pas sans plaisir... "Tu vaux ton pesant d'or! me dit Guae, mÍme en cýl! Suffit"! Il me demanda ensuite pardon: "Votre beau Con, votre beau cýl, vos blancs tetins m'avaient mis comme un Enragť; ne pouvant vous enconer, je vous ai enculťe: Pardon, ma belle MaÓtresse! j'ae plŁs d'un projet, pour vous dedomager". Le cýl me fesait mal: Guae me le mit dans l'eau tiťde; puis il me le baisa, me le lŤcha, alant quelquefois au Con. Il rebanda: mais je voulus m'en-aler. Il fut obligť de me remener en fiacre; je ne pouvais marcher qu'avec douleur. Ce qui n'empÍcha pas qu'il ne me fit Le branler dans le carrosse, Lui ayant le nťz dans une mule mignone, qu'il m'avait arrachťe du piťd, ťt dans laquelle Il dechargea. Dans le delire du plaisir, Il me dÓt: "Ma Reine: j'ae le Vit trop gros pour Toi; choisis de l'oeil un joli Jeunehomme pour Te depuceler, ťt je trouverae le moyťn de Te Le fažre avoir, sans Te compromettre". Ceci me fit plaisir.... Guae me descendit, ťt me porta. Je me mis au Lit; le sommeil calma mon cýl. "Le lendemain, j'alae chťz mon PŤre, auquel je racontae tout ce que Guae m'avait fait, ťt dit. "Bon! me repondit-il: Tu as du temperament: Tu seras foutue, en con, en cýl, en bouche, ťt Tu seras heureuse... Vous serťz mariťs dans huit jours, ťt je t'aurae un Fouteur plŁs gros que moi. En attendant, je vais Te Le mettre; On ne saurait trop ťlargir un Connin si mignon". Mon pŤre m'enconna, recomenÁa trois fois. "Tu Ís toujours Pucelle! me dit-il. "Et pourtant, m'ťcriae-je, mon vilain Oncle, avec son gros Membre, m'a hier violťe trois fois! "Trois-fois! reprit mon PŤre: quel Connichonnet as-tu donc? On pourra vendre mille fois ton Pucelage!... Il faut que je Te refoute". Et il me refoutit... "Tandis que je me rinÁais le Con avec de l'eau tiťde, mon PŤre s'ťtait mis ŗ la fenÍtre, ťt causait avec un jeune Procureur son voisin, gros ťt beau garson de 30 ans. Le Con lavť, j'alae regarder, en soulevant le rideau. Mais le jeune Procureur m'ayant aperÁue, je me retirae. "Quelle est donc cette celeste Persone? demŗnda-t-il. Mon PŤre ne repondit que par un geste, qui, je crois, signifiait que j'ťtais sa MaÓtresse. Ils gesticulŤrent encore. Puis le Procureur disparut. Mon PŤre me dit aussitŰt: "Veux-tu que ce bel Homme Te Le mette, en payant? "HŰ! hŰ! mon PŤre! "Appelle-moi Monsieur, devant Lui"!... On frappa. Mon PŤre ouvrit; ťt j'entendÓs qu'il disait tout-bas au Jeunehomme: "Aportťz-vous les 50 Louis? "Les voilŗ. "Mademoiselle? me dit ŗlors mon PŤre; vous savťz que je vous aime pour vous mÍme: Voici un bel Homme de mes Amis, qui veut vous faire un prťsent; je sors; temoignťz-Lui votre reconnaissance". Mon PŤre se cacha, ťt le Procureur le crut sorti. "As-tu ťtť foutue aujourdhuy, me dit-il, en venant pour me prendre les Tetons. Je Le regalae d'un soufflet. "Apprenťz que je suis icy chťz mon PŤre. "Vous Ítes Mademoiselle..... "Oui, Monsieur. Je dois Ítre mariťe dans huit jours. C'est un mariage de raison, ou d'interÍt. Mais mon PŤre ayant ťtť instruit que mon Futur est... monstrueux;... ce bon PŤre a... pris sur Lui de... me faire prťp‚rer. Je vous ae cru son Ami; j'ae consenti, aprÍs vous avoir vu". Le Procureur ťtait ŗ mes genoux. Il me demanda mille pardons! "Soyťz donc honnÍte? repris-je. Alors il me caressa. Je Luy rendis enfin un baisťr. Il me renversa. Il avait le Vit comme mon Oncle, mais il ťtait moins adroit. "De la pomade! Luy criai-je: Mon Prťtendu m'ayant fait entrer chťz Luy par surprise, il ferma les portes, ťt voulut me violer... Ne le pouvant, il me pomada, ťt ne rťŁssit pas encore. Vous, pomadťz-...moy"... En parlant ainsi, ses tentatives me fesaient decharger. Je soupirais de voluptť. Mon PŤre crut que c'ťtait de douleur. Il arriva; me pomada; dirigea le Vit de mon Fouteur dans mon Con, ťt dit, ŗ Lui: "Poussťz". A Moi: SoulŤve le cýl; ťtreins dans tes bras; seconde ton Depuceleur, ŗ chaque coup, par un coup de croupe en-avant; passe tes jambes sur ses reins, ťt serre, en remuant du cýl... Bon! Bon! Saccadťz, vous!... Bon"! "H‚ Dieu! quel plaisir! s'ťcriait le Fouteur: comme Elle a... le Con ťtrait!... le... mouvement... delicieux"! Je Lui dardae ma langue, en murmurant, "Mon coeur!.. Mon Roi!... Mon Dieu! je t'adore!... "H‚! la chŤre Petite Amie! elle est tendre!... Je decharge! Je La fous... H‚h!... "Il me fout, mon PŤre!... Tous les Hommes foutent-ils?... H‚h!... Mon PŤre!... quel plaisir!... Mon ‚me... va sortir par... le trou qu'il me fait"!... Je dechargeais, en me roidissant. "HŰ! la Petite Reine!... s'ťcria le jeune Procureur: Elle decharge!... Mon Pťre... donnez La moi pÚur Femme; je l'ae depucelťe; je L'ťpouse"?..... "Mon Pťre, qui avait ses desseins sur MoŪ; refusa. Il en resulta que le Procureur enragť, s'acharna sur Moi, ťt me foutit 18 fois... Mon PŤre fut obligť de l'Űter de sur Moi, ťt de Le porter chťz Luy; il ne pouvait marcher... Quant ŗ Moi, j'ťtais ŗ-peine fatiguťe. Mon Con lavť, rafraÓchi, il n'y parut plus. Au retour de mon PŤre, Le voyant tout ťmu, ŗ la vue de mes Tetons, je Lui dis: "Si vous bandťz, satisfaites-vous, en me foutant deux ou trožs fois?" O quelle scÍne! s'ťcria-t-il: Mais Tu as un Con ťt un temperament impayables! ils feront notre fortune... Voyons si Tu dechargeras encore: foutons"?... En m'enconnaut, il me loua fort de m'Ítre avouťe sa fille, ťt du soufflet donnť! "Les Fouteurs dedaignent les Foutues; mais ave Toi, ce sera le contraire; je veux te mettre audessus de ces Bougres-lŗ! "Je decharge! m'ťcriae-je. "Et mož aussi! repondit-il en me saccadant. Il me re-enconna trois fois, ťt toujours je dechargeae.. Je lavae, en Lui disant: "J'ťpuiserais dix Hommes". Je Lui recommandae d'instruire mon Futur de ce qu'il falait faire, pour m'enconner. Je Lui dardae ma langue, ťt je partis. "J'avaŪs ťtť foutue 25 fois dans la journťe, sept par mon PŤre. Je retournaŪs chťz ma Marchande. Mais tous les Hommes que je rencontrais, me tentaient. "Que les Putains sont heureuses! (pensae-je) elles attaquent qui elles veulent"! Tout-ŗ-coup une idťe me viťnt: "Alons chťz Guae; je Lui dirae de me pomader: Qu'il m'estropie; mais qu'il me foute". J'y volae. Il ťtait avŤc un beau Jeunehomme, qu'il fit cacher, au bruit de mes talons. Mais j'entrevis par le trou de la serrure. Guae me reÁut mysterieusement, ťt me conduisit dans la PiŤce-obscure, oý je Luy avais vu cacher le Jeunehomme. "Ma Reine! ma belle Future (me dit-il), je crois que je pourrae vous enfiler aujourdhuy: Ayťz seulement de la complaisance? "Oui! mais, pomadťz... Ma Tante... "J'entens.. j'entens"... Je sentis qu'il me remettait ŗ une main plŁs douce. On me prit les Tetons, le Con; On me darda la langue. Je caressae. On me troussa. Je fis beau Con. L'On se mit sur Moi, je sentis qu'On m'žnserait un morceau de beurre-fražs ŗ l'entrťe de la vulve, ou trou du Con. On poussa. Je ripostae un-peu. L'On entra. Je secondae, m'apercevant avec ťtonnement, qu'On ne me fesait presque pas mal. Enfin l'On parvint au fond sans m'avoir blessťe, ťt l'On y dechargea. L'abondance ťt la douce chaleur du foutre me firent partir aussi, mais avec un plaisir, des ťlans, des transports incroyables! Je m'ťcriais: "ChŽr Amant! divin Amant... j'expire... de bonheur... ťt de voluptť... Je t'adore"!... "Le Jeunehomme deconna. Il me suÁa les Tetons, les LÍvres, me fit darder la Langue. Ce que je fis tendrement... AussitŰt Il me re-enconna avec fureur. J'eŁs autant de plaisir que la premiŤre fois... Bref, il me recommenÁait sans-cesse, ťt ce fut Guae qui Le renvoya: car pour Moi, deja foutue 25 fois dans la journťe, je crois que j'aurais lažssť aler ces deux Hommes jusqu'ŗ 50, si tousdeux avaient pu me Le mettre. Guae me voyant quelque difficultť ŗ marcher, envoya chercher un fiacre, pendant que je me lavais le Con. "Hť-biťn, ma charmante Reine, T'ai-je biťn foutue? me dit-il. Je rougis. "Loin d'Ítre ťpuisť, je me meurs encore d'envie de T'enculer? "HŰ-non, non! (m'ťcriae-je avec effroy). "Hť-biťn, branle-Moi des deux mains, comme te voilŗ, le cýl dans l'eau". Je branlae son Vit, qu'ŗ-peine je pouvais empoigner. Quand le foutre fut prÍt ŗ venir, il heurlait de plaisir. "Ta bouche? (me disait-il), ta bouche... ou je T'encule"? Je decalotai le gland, je le pressai de mes lÍvres. Le foutre arrive, ťt depeur qu'il ne tombe dans mes Tetons, j'ouvre la bouche, ťt il m'est lancť au fond du gosiťr. Je l'avale comme un Lažt-de-poule. Il y en eŁt une chopine: "Foutre! foutre... (s'ťcriait Guae), je me p‚me,.. H‚... celeste Garse... Tu vaux mieux que toute la Terre... Est-ce bon? "Ce qui fait tant de plaisir en-bas, doit faire du biťn en-haut. "H‚, divine Putain... je T'en nourrirae". Le fiacre arrivait; Guae m'y porta. "On me L'avait mis 37 fois. Le FrŤre de ma Marchande se trouva seul ŗ la maison, lors de mon retour. "Mademoiselle Conveloutť! me dit-il, que vous Ítes cruelle pour Moi?... On dit que vous alťz vous marier? Vous devriťz biťn favoriser un Jeunehomme qui vous adore, aux dťpens du Futur? C'est Un Veuf, Un Lažd... Vous Ťtes Pucelle, ťt si jolie?... Dailleurs, il l'a trÍs-gros (dit votre Oncle), ťt il vous fera biťn mal? Si un plŻs menu que le siťn vous prťparait? Voyťz? (Il mit ŗ l'ŗir un vit charmant); c'est un veritable croque-pucelage, sans faire mal.... Je sais m'y prendre: Le Mary de ma Soeur Ťst Un BandŗlaÓse, ťt elle se fait de-temps-en-temps Űter par Moi les Arŗignťes du Bijou". Ce langage me plut, ťt son vit me tentŗit: Je luy repondis, en riant: "Je n'ai pas d'AraignÍes ŗ Űter". Il vit, ŗ mon ŗir que je n'ťtais pas de mauvaise-humeur. Il me prit les Tetons. "Finissťz donc, Libertin! (Luy dis-je doucement et sans presque Le repousser). Il me prit la Motte. "O c'est trop fort, ceci... Voulťz-vous biťn finir"!... Il ťtait deculorť; il bandait rÚide; il me renversa sur le Lit de sa Soeur, me retroussa, ťt se mit sur Moi tandis que je disais nonchalamment: Hť-mais... c'est donc une violence"! ťt que je me defendais d'une maniťre qui me lžvrait. Il me dit: "H‚! celeste Innocente! je vous Le mettrae"!... Il m'enfila. Je ripostais, en haussant du cýl, comme pour Le repousser. Il n'en dardŗit son vit que plŁs fort. "Non! (s'ťcriŗit-il en dechargeant), il n'Íst riťn tel que d'enconner l'Innocence"!... Cependant crŗignant que je ne Me derobasse, il Me foutit trois-coups sans deconner, (ce qui fit mes 40 fois dans la journťe), ťt ne Me quŪtta, qu'en entendant du Monde.... Je courus Me laver. "C'ťtait la Marchande. Elle dÓt ŗ son FrŤre: "Heureusement que c'Íst avec Conveloutť! Toute-autre aurait sautť le pas, PoliÁon?... Mais L'as-Tu attaquťe? "Oui. En ce cas, Tu dois n'en pouvoir plus... Viťns que je Te soulage"? Il y avait encore de l'huile dans la Lampe: Le Jeunehomť mit le verrouil, nous enfermant ainsi Tous-trois, ťt il se jeta sur sa Soeur, qu'il enfila d'un seul tražt. H‚! quels coups-de-cýls elle donnait! "Lime (Luy disait-elle)... je decha...arge... Sors ŗ-moitiť, ťt... rentre... vivement... Fous-Moy vingt fois... en une"... Je Les voyais. Ranimťe par-lŗ, mon insatiable ConnŰt redesiraÓt un vžt, lorsqu'On frappa doucement. J'ouvris, en tirant le verrou plŁs doucement encore. J'esperais que ce serait le Mari de ma Marchande, qui depuis longtemps brŻlait de me Le mettre. Je me proposais de le pousser dans une autre PiŤce. Point-du-tout! C'ťtait un beau Jeunehomme, qui avait beaucoup d'air de Celui par quÓ Guae venait de Me faire foutre. "Mademoiselle (me dit-il), se nomme AgnŤs-Conveloutť? "Oui, Monsieur. "Mademožselle Íst la Prťtendue de M. Guae? "Mais, oui, Monsieur. "Aimťz-vous, fort ce M. Guae? "Monsieur, la raison, ťt non la passion, fait mon mariage. "En ce cas, Mademoiselle, je ne vous ferai pas de peine, en vous revelant un secret? "Quel Íst-il, Monsieur? "C'Íst que tout-ŗ-l'heure, vous avťz cru Ítre possedťe par votre Futur... "Quel conte vous me faites-lŗ, Monsieur? "J'ťtais prťsent, mais cachť, Mademoiselle: son Timon de carrosse ne pouvant vous perforer, il m'a vendu votre Pucelage cent Louys, ťt c'Íst moy qui vous ai deflorťe... Me prťfereriťz-vous? "Ce que vous me dites Íst impossible, Monsieur! "Cela Íst: Il l'a trop gros; On viťnt de vous Le mettre, ťt c'ťst Moi. (Je le savais biťn). "Il n'Íst qu'un mot ŗ dire, Monsieur: Pouvťz-vous m'ťpouser? "Mademoiselle, je suis mariť ŗ une Vieille de 78 ans, qui m'a fait ma fortune, ťt je suis obligť d'attendre qu'elle soit morte. "Et si je devenais grosse, Monsieur?... J'ťpouserais M. Guae. "Voulťz-vous Ítre ma maÓtresse? "Cela ne conviťndrait pas. "De son consentement? "Comme vous m'avťz eŁe dejŗ, ťt que ce soit de son consentement, je m'y prÍterais; pourvu qu'il ignor‚t que je le sais... "HŰ! de tout mon coeur! Ceci marque votre honnÍtetť... Etes-vous seule? "Non; la Marchande Íst lŗ. "Pourrais-je vous avoir ŗ coucher? "H‚-ciel! Je ne saurais decoucher que sous le prťtexte d'aler veiller mon PŤre, en Le supposant indisposť: Ainsi, cela Íst impossible. "J'irae, si vous le permettťz, parler tout-unÓment ŗ votre PŤre: Je suis riche; il vaudrait mieux que je vous donnasse le prix de vos faveurs, qu'ŗ Un vil Malheureux, comme Guae? "Hť-biťn, parlťz ŗ mon PŤre. "Je reviťndrae vous chercher, s'il m'accorde ma demande? "Mais ne revenťz pas seul: Je veux voir Quelqu'un ŗ Luy, ťt que je connaisse? "Vous serťz tranquilisťe". Il ala chťz mon PŤre: Il luy raconta comment Guae n'ayant pu me depuceler, Lui avait vendu mon Pucelage cent Louys, en quatre seances, vingtcinq Louys par chaqu'une, dont la premiŤre ťtait payťe: Qu'il m'avait enconnťe, en me pomadant. ťt qu'il avait trouvť mon Bijou si delicieux, si satinť, qu'il n'en voulait plus d'autre; Qu'il m'avait demandť de coucher avec Moy, ťt que c'ťtait par mon conseil, qu'il s'adressait ŗ Luy. Il offrit ensuite les 75 Louys restans pour les trois nuits suivantes. Mon PŤre repondit: "Puisque Guae a voulu Ítre cůcu, qu'ainsi soit. Je consens que vous couchiťz icy avec ma Fille, si vous avťz cueilli sa Rose; ce qu'elle me dira. Alťz La chercher, avec un Billet, par lequel je vais La demander". Et il ťcrivit. Puis il accompagna le GalŠnt jusqu'ŗ la porte de ma Marchande, que son FrŤre foutait encore. "Cependant je M'amusais ŗ voir conniller le FrŤre ťt la Soeur. J'ťtais en feu, quand le Jeunehomme reparut, avec le Billet de mon PŤre: je vis par la fenÍtre, Celui-cž quž nous attendait dans le carrosse de mon Depuceleur prťtendu. Je partis, en avertissant que j'alais veiller mon PŤre malade- A notre arrivťe, le Galant pŗya un heau soupťr, ťt remit vingtcinq ťcus-d'or ŗ mon PŤre. On mangea; On but; puis je fus mise au Lit. Le Jeunehomme exigea que mon PŤre me deshabill‚t, ťt me lav‚t la Motte. S'ťtant ensuite Lui-mÍme mis nu, en un instŗnt, il entra dans une chemise, fort large, ťt qu'il avait apportťe, afin de me palper mieux. Il appela mon PŤre, pour qu'il Lui mÓt le vit dans le trou de mon Con; puis il poussa... Il eŁt autant de peine que chťz Guae (ce qui m'ťtonna Moi-mÍme!) Aussi dit-il: "Elle a reellement le Connin ťtroit: Elle se repucelerait en huit jours, si On La laissait tranquile". Il me foutit six coups; mon PŤre, couchť ŗ-cŰtť de nous, Lui mettant tonjours le vit dans mon Con. Il s'endormit ensuite, ťt Moy aussi. "Le lendemain-matin, il fit faire d'excellent chocolat, qui Me refit. Je refusae la voiture pour retourner chťz ma Marchande. On ne se douterait pas pourquoi! J'avais ouÔ-dire, que le foutre avalť chaud, ťtait excellent pour la poitrine, fortifiait, ťt blanchissait le teint. Je voulais aler en avaler ma chopine en suÁant le Vit de Guae. J'y courus, dÍs que je me vis libre. Il alait sortir. "Je viťns vous donner du plaisir (Luy dis-je), mais sans en prendre: vous m'avťz trop fatiguťe hiŽr". Alons, ma Toute-belle, que faut-il faire? Vous enculer? vous encuisser, vous endosser, vous enaisseller, vous enoreiller, vous encoller, vous entetonner, vous decharger sur le nombril, me faire serrer le Vit entre vos deux mollets, faire un Con de votre solliťr, ou de votre jolie mule: Tout, je ferae tout, hors vous enconner; je ne le saurais, parceque nous sommes, vous trop belle, ťt Moi trop beau"? Aulieu de repondre ŗ ce Langage, qui ťtait de l'Arabe pour Moy, j'avais deboutonnť sa culote, ťt je Le branlais d'une main, ťt chatouillant par instinct les couilles de l'autre. Il se recriait de plaisir; "Dťesse!... Sacrťe Garse!... Divine Putain!... Branle!... branle!... Chatouille! chatouille les couilles?... HŰ! hŰ! quelles delices!... Bougresse!... Gueuse!... Putain!... Divinitť! le foutre... viťnt"!... A ce mot, j'embouchae le gros Vit, le palpotant de ma LanguŤ ťt du Palažs. Ce fut ŗlors que Guae en delire blasphÍma; "Foutu Dieu! Bougre de Dieu! Sacrť Con de la Vierge Marie! Con de la MagdelŤne connillť par Jesus! Con de Sainte ThŤcle, de Sainte Theodore, de Sainte Catherine, de Sainte Cecile, d'AgnŤs-Sorel, de Marion-Delorme, de Ninon, de La-Daubignť, de La-ValliŤre, de La-Pompadour, de La Dutť, de La Lange, de La jolie Mars, de l'adorable et provocante MŤzťray, de la jeune et naÔve Hopkins, de la belle Henry, vous ne valťz pas... cette Bouche-lŗ... Je fou..ou..ous... Je.. decha..a..arge!... Ava..ale!... gorge-Toi de foutre, ma Reine"! Il deboucha vivement, quoique je Luy suÁasse encore lť Vit. "C'Íst trop de plaisir! (dit-il); On mourrait". Il me fit prendre quelques cuillerťes de cafť. pour me rincer la bouchť. Puis je me remis ŗ Le branler. Il me suÁa les Tetons, me fit Luy darder ma Langue, ťt voulut me gamahucher. Je m'y refusae, devant Ítre foutue le soir.... Il rebandait. Je secouai, je chatouillai; le foutre revint, ťt j'en avalai une nouvelle dose. Ce qui eŁt lieu trois fois de-suite. Le manque de temps nous obligea seul de nous separer. "Le soir, ŗ 9 heures, une voiture vint me prendre, ťt me conduisit chťz mon PŤre. On y soupa, coucha ťt foutit comme la veille. Le lendemain, aprŤs le chocolat, j'alai faire mon dťjeŻner de foutre chťz Guae. J'en pris quatre doses... De-retour chťz ma Marchande, son Mary. sans-doute instruit par le FrŤre de sa Femme, voulut me le mettre. Je m'y refusae absolument. Il s'en plaignit ŗ sa Femme, qui m'en fit des reproches. Mais Luy ayant dit que mon Prťtendu me l'avait mis six fois, en gardant mon PŤre avec Moi, elle fit mes excuses ŗ son Mary, en Le priant d'attendre son tour. "Le soir, On vint me prendre. Mad. Viťdase ma Marchande, Me dit ŗ l'oreille: "T‚che de ne pas Ítre foutue; afin que mon Mary puisse Te le mettre demain? il s'en meurt"?... Je trouvae mon Amant chťz mon PŤre. En soupant, On parla de Guae, Mon Amanr dit, qu'ayant ťtť enconnťe devant Luy, je ne devais pas redouter la grossesse. "C'Íst pourquoi (ajouta-t-il, j'enfourne ŗ plein Con, ťt decharge au fond. "Je vous mets le vit dans le Connin de ma Fille avec plaisir (dit mon PŤre); afin de mieux cocufier ce Jean-foutre de Guae, qui vous a vendu son Pucelage. "C'Íst ce qui me met aussi en fureur ťrotique, quand jť fous sa Future (repržt mon Galant): Je pense: Encore une corne ŗ ce bougre de Guae... ťt je me trouve intarissable... Il m'a mÍme passť une idťe par la tÍte: C'ÍIt de vous donner ŗ chaqu'un 50 Louys, pour que vous foutiťz ensemble tous-deux; pour que le M‚tin soit recocu, ťt surcocu? "Top! (s'ťcria mon PŤre); ŗprŤs votre affaire faite. Vous me mettrťz le vit dans le Con de ma Fille... "Non! non! (m'Ícriai-je). "Vous me La tiťndrťz, si elle recalcitre. "Je n'ai pas ces idťes (Leur dis-je): Si je remue du cýl, comme je le fais, ŗlors que mon Amant Me fout, c'Íst que je l'aime: QŁant ŗ M. Guae, je Luy dois beaucoup de reconnaissance! il Íst ma Nourrice, ťt c'Íst Luy que je tťte". On ne comprit pas le sens de ce mot. On Me coucha. "Au Lit, mon Amant me foutit six fois. A la sixiÍme, mon Fouteur dit ŗ mon PŤre: "Mets-Toy sur ta Fille. ťt fous.La: Je vais T'introduire le vit"? Mon Pťre me grimpa, le Jeunehomme Luy mit le vit dans mon con, ťt il poussa. Comme j'ťtais amoureuse de Luy plŻsque de tout autre Homme, je remuai de la charniŤre, comme Une Princesse foutant avec un Page... Le Jeunehomme ranimť, entra dans un tel ťrotisme, en nous voyant decharger, qu'il nous fit mettre sur le cŰtť, Ťt il m'encula, tout enconnťe que j'ťtais... J'alai laver, ťt nous dormÓmes. Le matin, au dejeŻnťr, le Jeunehomme paraissait yvre de joye! "H‚! qu'il Íst cocu, le Bougre! (s'ťcriait-il.)... Bonhomme, voilŗ un effet de cent Louys: Il faudra que Tu La foutes, ŗprÍs le Mariage, ťt il y aura vingtcžnq Louys ŗ chaque fois". Il partit, ťt je courus chťz Guae, que je commenÁais ŗ aimer presque autant que mon PŤre. "Il Me reÁut avec transport, Me tražtant de divine Garse, de celeste Putain... Il M'alaita de foutre six copieuses fÚis. Ce qui me mit dans un tel ťrotisme, que je retournai chťz mon PŤre: "Ton Procureur? (Luy dis-je essoufflťe): Il doit Ítre remis, depuis l'autre jour? Je brŻle... Cours-y, si Tu M'aimes". Il y vola, en M'appelant, Cleop‚tre! Clep‚tre!... Il trouva le Jeune Procureur ŗ la fenÍtre, son vit bandant ŗ la main. "Je viťns de voir entrer votre Fille (Luy dit-il), ťt j'alažs Me branler ŗ son intention. "Gardťz-vous en biťn! Apportťz un petit prťsent, ťt venťz le Luy mettre? "Vingtcinq Louis? "C'Íst trop pour une Pratique: Un Louys par coup. "Soit: mais je n'en remettrai pas: Elle g‚gnera peutÍtre la somme". Il vint avec Moi. En entrant, il jeta la bourse sur le piťd du Lit. "Alons, ma Fille (Me dit mon PŤre), Tu Ís ŗ tes piŤces; autant de coups foutus, autant de Louys: Mais il ne faut pas tuer Un Amy! Il alait se branler ŗ ton intention, quand je suis entrť". A ce mot, je Me jetai ŗ son cou, ťt Luy dardai ma langue) en dÓsant: "ChŽr! ChŽr Amy! "H‚ je T'adore i (Me repondit-il). Et il Me prit les Tetons, le Con. Je Me renversai. Il se mit sur Moi. Je Me fourai son vit dans le Con, ťt en quatre coups de cýl, je Le mis au fond. Il dechargea, en Me sentant ťmettre... Il Me foutit dix coups. "J'ai quinze Louys ŗ-compte (Luy dit mon PŤre, en Le voyant laver ťt se reculoter: Vous reviendrťz quad il vous plaÓra". "Nous en ťtions ŗ l'avantveille du Mariage. Tous les matins, Guae m'avait alaitťe, ou plŁtŰt affoutrťe; ce qui M'avait rendu la peau plŁs blanche, le teint plŁs bržllant, le Con plŁs satinť, ťt me donnait un temperament si violent, que je n'ťtais ŗ Mon aise, qu'un VIT au CON. Le Jeunehomme dit, en dejeŻnant: "Guae doit Ítre surpris de ne pas Me revoir! Cela pourrait faire tort dans son idťe, au Con de ma belle Fouteuse: Ainsi, je veux Luy acheter la premiŤre nuit de sa Mariťe, puisque l'impayable AgnŤs veut absolument l'ťpouser. (Je le Luy avŗis dit, en foutant). Mon PŤre applaudit. Mais en Me reconduisant chťz Guae, que j'alŗis teter, ce bon PŤre ajouta: "Tu n'Ís pas une Mariťe ordinaire: ce qui ťteindrŗit la sožf d'Une-autre, n'Ít qu'une goutte de foutre, pour Toy: J'ai une idťe, C'ťst de M'arranger ŗ Te regaler, aprŤsdemain, en Te Le fesant mettre jusqu'ŗ extinction de forces, par Tous-ceux qui T'ont foutue; Moy dŗbord; Ton Oncle; Ton Procureur; le FrŤre de Ta Marchande, ťt peutÍtre son Mary: S'il se trouve quelques nouveaux Bougres, ils T'enculeront, sous prťtexte de reserver Ton Pucelage ŗ Ton Epoux: c'Íst un delice que d'enculer une Mariťe, le jour de ses noces, ťt ils le pŗyeront biťn. Je M'arrangerai avec Guae pour tout-cela". Nous arrivions. J'embrassai mon PŤre transportťe de reconnaissance, en Le priant de t‚cher de Me suivre secrÍtement, pour Me voir teter. J'entrai, pužs je L'introduisis. "Guae courut ŗ Moy, en se deculotant. Il Me baisa dabord pied, jambe, cýl, con ťt Tetons: Il Me fit ensuite Luy darder ma langue; ŗprÍs quoy, il Me mit son Vit en main. Je Le secouais vivement, lorsqu'il Me dit: "Garse, je suis raisonnable: Je ne T'enconne pas; il faut que Ton PŤre ťt Ton Oncle te foutent le jour du Mariage: Je T'aurai ensuite, pour la nuit, trois vits frais, dont celuy qui T'a depucelťe sera Un... H‚! l'idťe que Ton PŤre T'enconne va Me faire Te decharger une pinte de foutre, ťt Te l'entonner dans le gosiťr"... Alons, Garse, je sens que Áa viťnt: embouche-Moi le Vit... H‚-h‚-h‚... le Bou...ougre fout... sa Fille... Ton PŤre Te fout, Garse! Te fout, Putain... H‚! je decharge, ŗ cette divine Idťe!... Hůnh"!... Il se p‚ma presque... Pendant l'interruption forcťe, j'alai prendre Mon PŤre ŗ sa cachette: "Fous-Moy, Luy dis-je; puisqu'il le faut pour le bonheur de Mon chŽr Prťtendu! "H‚! Deesse! (s'ťcria Guae, en se prťcipžtant ŗ genoux, Tu incestue pour Moy! je T'adorerai toute ma vie"... Il intromit le vit paternel. Remue du cýl! (Me criŗit-il), saccade! "Je de..cha..arge (Luy dis-je)... Viťns, chŽr Amy.. que je Te branle"? Guae blasphÍmažt de plaisir, en sentant venir le foutre... Il M'emboucha, sans que Mon PŤre me quitt‚t, ťt en-mÍme.temps, j'avalai du foutre, j'en reÁus dans le Con, ťt j'en donnai. Mon PŤre Me foutit quatre coups, Ťt Guae M'avŗit embouchťe quatre fois, quand On frappa. Guae courut ouvrir, tandis que je Me rinÁažs bouche ťt con. C'ťtait mon Oncle. "Vous arrivťz ŗ point (Luy dit-il): On essŗye Ma Future, ťt vous alťz L'essŗyer". Mon PŤre expliqua la chose; Guae Me renversa sur le foutoir, ťt mon Oncle M'enconna. Il Me foutit six coups, je tetai six nouvelles fožs le VIT de Guae; aprÍs quoy, On Me lŗÓssa respirer. Il fut ensuite convenu, que douze Fouteurs me passerŗžent sur le corps le jour de mon Mariage, en con ou en cýl, ŗ mon choix, ťt que Guae, qui seul aurŗžt la bouche, Me ferŗit foutre la nuit, ťt dans l'obscuritť, par trois VITS nouveaux de son choix. Mon Oncle emerveillť, s'ťcria: "Mais elle sera Putain? "C'Íst ce qu'il Me faut, pour que je l'adore.... Et ne vous en faÓtes faute, ny son PŤre, ny vous; puisque vous serťz les seuls qui ne payerťz pas". En achevant ces Mots, il se prosterna devant Moy, en Me traÓtant de Deesse. "Je retournai chťz ma Marchande. Son Mary, ťt elle-mÍme Me tourmentaient, pour que le Premiťr M'eŻt une seule fožs avant Mariage. Ils Me pressŤrent plŁs fort que jamaÓs; ťt je cťdai. La Femme Me mit dans le con le VIT de son Mary. Je ne fus foutue qu'une fois, cet Homme ťtant faible, ťt sa Femme le voulant Ítre aprŤs Moy. Ce fut de ma main, qu'elle regut dans son Con brŻlant le VIT Marital..... Cette operation faite, ťt repetťe, je Les quittais, en Leur disant Adieu. Ils pleuraient: "Ce qui Me console de ta perte (Me disait ma Marchande), c'est que mon chŽr Mary T'a foutue... Ta voluptueuse idťe Me lť fera mettre plŁs souvent". Je partais, quand le FrŤre entra. Sa Soeur Luy dit ce qui venait de se passer. Il ne repondit riťn: Mais il Me ramena du-cŰtť du Lit, M'y renversa, ťt Me foutit devant eux, sans prononcer une parole. Il voulait Me recomencer. Je M'y refusai, en L'invitant, ainsi que son BeaufrŤre, ŗ venir Me le mettre le surlendemain jour de mon Mariage. On Me remercia. XXXVI Chapitre. Chap. De l'Homme-Poilu, la Conveloutť, Linars &c. "A mon arrivťe chťz mon PŤre, je Luy con-racontai Tout ce que je venais de faire. "Il ne faut pas (Me dit-il), quand On a tant d'ouvrage pŗyť, en faire qui ne rapporte riťn. Il viťnt de M'arriver Un Homme d'assťz agreable figure, trÍs-vigoureux, car il Íst brun ťt tout poilu, qui offre une forte somme, pour t'avoir cette Nuyt? "Que riťn ne vous empÍche de Le prendre! (repondis-je en souriant): Je ne suis pas fatiguťe par si peu de chose". "Mon PŤre rassurť Me fit deshabiller nue, prendre un bain tiťde, puis un froid, mettre au Lit, avec une chemise large; Me fit avaler un excellent consommť: ensuite il Me laissa dormir. Il ťtait ŗlors 5 heures du soir. A minuit, je M'ťveillai, en Me sentant lŤcher le con. Je priai l'Homme de se montrer? Il leva la tŤte, et je vis un Basanť d'une fort belle figure. Je souris. Il Me suÁa les Tťrons, en Me disant des choses agreables: "Vous avťz un beau Con... une superbe Motte... un Ventre de Pucelle... un Cýl d'alb‚tre... des Tťtons blancs comme neige.... un col degagť... des lÍvres voluptueuses... de belles dents... les plŁs beaux ieux... les cils, les sourcils ťt les cheveux comme la Deesse de la Beautť... la jambe parfaite... le pied le mieux fait... Quand je vous aurai foutue, je vous dirai le reste". "Mon PŤre Me dit de Me lever pour souper. Le Basanť Me porta toute-nue dans ses bras auprÍs du feu: Lŗ, je vis Guae avec grande surprise! Je mis mon corpset souple; FysitŤre (le Basanť) Me laÁa, Me priant de biťn faire refluer mes Tetons. Mon PŤre Me chaussa une Jambe ťt un Piťd, Guae l'autre Jambe ťt l'autre Piťd, en bas ťt en solliťrs de soye d'une ťblouissante blancheur. On se mit ŗ table. Mon Fouteur voulut que je restasse les Tetons decouverts. Nous soup‚mes. J'avaŪs appÍtit, Le Basanť but ťt mangea comme Un Hercule. En sortant de table, il dit ŗ mon PŤre ťt ŗ mon Futur: "Vous ne M'avťz pas trompť; Elle Íst audessus de vos ťloges. SŪ l'interieur du Con ressemble ŗ l'exterieur, Elle Íst ŗ Moy, coŻte qui coŻte. "Voyons votre Vit (repondit Guae).... Elle ne sera que trop parfaite!... Voici le miťn; ťt vous savez que je n'ai pu l'enconner, puisque c'Íst ce qui vous a fait parler ŗ M. Conveloutť mon beaupŤre. "Je verrai si Elle a le merite de ce beau nom... Mais vous avťz un Vit ťpouvantable, M. Guae!... Empoignťz-le, la Belle, que je voye comme il Íst biťn bandant"? Je saisis le Vit de Guae, qui se recria de plaisir... "Je bande (reprit FysitŤre): Mais faites bander votre PŤre, ťt comparons". Je Luy prÓs cependant le Membre, qui grossit en le serrant dans ma main. On compara ensuite. Guae l'avait le triple de l'Homme-velu, qui Luy-mÍme ťtait le double de mon PŤre. "Je voudrais Luy dire un mot"? (demanda Guae furieux de luxure). Il Me poussa vŽrs une fenÍtre. Me cacha derriŤre le rideau, et me dechargea dans la bouche. Mon Pťre seul devina ce que Guae venait de me faire. Pour Moy, je fus singuliŤrement fortifiťe par cette bavaroise! Je brŻlais... Aussi, je fus ravÓe, lorsque FysitŤre dit: "Il faut dabord que je la foute habillťe". Il Me porta sur le piťd du Lit, Űta ses culores, ťt nous laissa voir un corps velu, comme celuy d'un Singe. Il me fit Luy prendre son braquemart, ťt Me dit: "Introduis-moi cela dans le trou de ton con, ťt tŤve du cýl come il faut, ŗ chaque fois que je pousserai". Je M'enconnai. AussitŰt il poussa. Je fis un cri: car il Me dechirait, ťtant plŁs gros que mon Oncle, ťt que tous les vits qui M'avaient foutue. "Ce n'est riťn (Me disait-il): je te deflore... je te depucŤle: Remue du cýl". Je remuais de mon mieux, tout en soupirant, ťt Luy rendant en coups de cýl, tous ses coups de vits. Il parvint au fond. Mes trompes Luy pincŤrent la tÍte du gland. Il heurla de voluptť. "Garse adorable! (s'ťcriait-il), ton Con satinť pince le vit! Ta fortune est faite, ainsi que celle de ton PŤre ťt du Futur, qui t'ont vendue ŗ Moi!... Alons, fous biťn"!... Je remuai, je tortillai du cýl, je soubresautai, de la maniŤre dont Me le disaient mon PŤre, ťt Guae Luy-mÍme. "Je suis ravi! (s'ťcriait le Basanť): Elle decharge!... H‚! Elle me fera un petit Bougre-ŗ-queŻe!.... Il dit ŗ mon Futur: "Viens-Áa, Jean-foutre: Passe-moi la main sous le croupion, ťt chatÚuille-moi d'une main ce que tu y trouveras, ťt les couiiles de l'autre"? Guae obťÔt. J'ai su depuis qu'au croupion, le Basanť avait une queŻe, de la mÍme forme qu'un vit, mais velue comme son corps, ťt que ce fut cette queŻe que mon Futur chatouilla).... "Je ne quite pas d'une heure ce con celeste! (disait l'Homme-ŗ-queŻe, en Me saccadant): chatouille, chatouille, Bougre! les couilles ťt ma queŻe"! Il dechargea six fois, sans deconner... Je demandai ŗlors ŗ laver. Mon Futur M'ťpongea le con, ťt Me le baisa, en l'appelant Con d'Or. Mon PŤre Me suÁa les Tetons. Guae dit au Basanť: "Elle Íst ŗ vous: Mais je bande comme un Carme: permettťz que je L'encule?... "L'enculer, non; c'Íst du foutre perdu. Encore moins l'enconner; je veux qu'Elle Me fasse un Petit-ŗ-queŻe: Mais si Elle avalait le foutre, comme j'ai vu certaines Femmes temperamenteuses, je consentirais que tu l'embouchasses". A ce mot, je saisis le Vit de mon Futur, ťt je l'aurais avalť, s'il n'avait pas etť si gros. Il me dechargea au fond du gosiťr, en rugissant, ťt le foutre Me descendit bouillonnant dans l'estomac. "H‚! Elle aime le foutre! (s'ťcria le Basane); Elle a toutes les perfections!... Et Elle sera aussi longtemps belle, que feconde!..... Alons, Papa, embouche-la aussi: De tous les foutres, le paternel est le meilleur". Je Me jetai sur mon PŤre, Le renversai sur le Lit, saisit son vit bandant, que je fis aler ťt venir dans ma bouche, jusqu'ŗ ce qu'il decharge‚t. Je suÁai son foutre avec delices... "Bon! (s'ťcria le Poilu); Elle est dans les bons principes; Elle est impayable"! Le Basanť Me deshabillait, Me dechaussait: Mon PŤre ťt Guae Luy aÓdaient. Je fus mise nue, patinťe, baisťe du haut-en-bas, tandis que je Me rinÁais la bouche: On Me passa la grande chemise; l'Homme-ŗ-queŻe velu ťt tout-nu, y entra, Me suÁa les Tetons, Me fit Luy darder la Langue, puis dit ŗ mon Futur de Luy intromettre le vit dans mon Con. "Le Basanť Me foutit six nouveaux coups, sans deconner. Je Me sentis fatiguťe: Je voulus laver. Je restai une heure sur le bidet le Con dans l'eau. Le Basanť qui, pendant tout ce emps-lŗ s'ťtait amusť ŗ faire bander Guae, ťt ŗ Luy faire Me decharger trois fois dans la bouche, M'appela, en Me disant: "Tu es assťz rafraÓchie; reviťns sur le foutoir, que je te donne le bouquet"? Il se le fit introduire par mon PŤre; qui Me dit: "Courage, mon Enfant! Voicy un Fouteur qui en vaut dix: Mais je t‚cherai de Te faire soulager, si cela continue". Je fus encore foutue six fois; mais avec tant de vťhťmence, que je n'en pouvais plus. Sur ma plainte, le Basanť dit, que le bouquet etait te double des autres assauts. "Hť! combiťn donc l'alťz-vous foutre de coups? (Luy demanda mon PŤre). "Vingtquatre est ma dose. "C'Ít trop, ťt Elle ne ferait pas d'Enfans: Elle a une Cadete, aussi jolie que l'AÓnťe est belle; je vous La donnerai, pour soulager sa Soeur? "Je l'accepte! (s'ťcria FysitŤre): Et il m'en faudra biťn d'Autres! car je ne les fout plus, dÍs qu'Elles sont plŤŪnes, ni pendant qu'Elles alaitent leurs petits. La jeune Garse est-elle lŗ? (Or il Me foutait toujours).. "Non: Vous ne pouvťz l'avoir que demain-soir. "En ce cas, j'achŤve de foutre Celle-ci mes 24 coups: Je dťconne; qu'elle lave; Elle n'en a plus que cinq. Si son Futur se trouve en ťtat, qu'il luy donne ŗ teter du foutre cela la fortifiera"? AussitŰt Guae M'apporta ses couilles ŗ chatouiller, ťt son Vit ŗ branler. Je M'en aquittai si biťn, qu'il hennit aubout de quelques minutes, ťt qu'ŗ-peine eŁs-je embouchť son Vit, qu'Il dechargea, en sacrant. "Elle a toutes les qualitťs... Elle est parfaite! (s'ťcriait le Poilu, en Me re-enconnant): Si sa petite Soeur la vaut, ce sont deux connins impayables"! Il acheva de Me foutre cinq foÓs, sans deconner. Je puis Me rendre le temoignage, que je dechargeai, ŗ chaque assaut, plŁtŰt deux ťt trois-fois qu'une: Aussi FysitŤre en ťtait-il ťmerveillť! ťt Me nommait-il la seule Fouteuse digne de luy. Mon PŤre Luy dit alors: "Cť ne sera pas encore assťz de ma Cadete: Mais j'ai votre affaire: Il Me reste une NiŤce Religieuse, qui a des vapeurs hysteriques; je vous La donnerai, pour reposer mes Filles? "Je leur ferai ŗ Toutes-trois 12 mille francs de rentes (repondit le Basanť). Amenťz-les moi chaque soir, demain exceptť, que j'ai ŗ fourgonner une grande Blonde, qui a ouž parler de moy, ťt qui veut en t‚ter. Il s'en-ala. "Cette scÍne changea tous nos projets. Je dormis jusqu'ŗ midy, qu'On M'habilla. Je fus mariťe ŗ une heure. La noce fut gaye. Ma Soeur y ťtait, ainsi que ma Cousine la Carmelite hysterique, mon PŤre ayant trouvť le secret de l'avoir, au moyťn d'une permission de prendre les Eaux, qu'Il sollicitait depuis long-temps. J'eŁs reellement pitiť du Connichon de ma Soeur Doucette, ťt je resolus de le voir dans la journťe. Mon PŤre Me le montra, ťt le gamahucha devant Moy, en allegant le motif de prťvenir une maladie. H‚! qu'il ťtaÓt mignon!... Je l'aurais gamahuchť, ŗ mon tour. sans ma coÓfure d'Epousťe, car son joly petit Foutre virginal Me tentait... Notre PŤre La prťvint qu'il falait qu'Elle Me soulage‚t la nuit de mes noces, ťt l'aimable Enfant y consentit avec naÔvetť. Je vis aussi le Con de ma Cousine la Carmelite, ou la belle Victoire-LondÚ. Il n'ťtait pas si mignon, mais il avait une superbe perruque noire. Elle entra en fureur ťrotique dÍs qu'On le Luy eŁt touchť du bout du doigt, ťt mon pauvre PŤre fut obligť de le Luy mettre devant ma Soeur, ťt devant Moy. Ce qui ne La calma que pour un instant. Nous appelames mon Oncle, qui La foutit trois fois. Puis le Jeunehomme fut introduit. Ensuite le Procureur. Tous ceux qui devaient Me le mettre ce jour-lŗ. Les Enculeurs vinrent aprÍs. Elle fut foutue, refoutue, enculťe, re-enculťe, ťt calmťe. Mais On n'appela pas M. Guae; j'en ťtais jalouse... Pendant ce temps-lŗ, mon PŤre branlait ma Soeur; l'enculage de la Religieuse Le fit entrer dans une telle ťrection, qu'il La poussa dans un cabinet, oý je Les sužvis, La renversa, et La depucela. J'insťrai le vit paternel dans le joly Connin, en disant ŗ DoucŤte, que c'ťtait une ponction necessaire. "On lavait la Religieuse. M'ťtant aperÁue que Guae la convoitait, je Luy temoignai une jalousie qui le flata. Il Me promit de reserver son foutre azurť, ťt son gros Vit pour ma bouche, en attendant que les Enfans M'eŁssent ťlargi le Con. "Mais vous m'aviťz vendue )Luy dis-je), avant de m'avoir livrťe ŗ l'Homme velu, pour Ítre foutue ťt enculťe ma nuit des noces: Combiťn de Fouteurs ťt d'Enculeurs devais-je avoir? "Six, ŗ 2 mille ťcus chaqu'un. "Vous voyťz que je n'ai besoin que de repos: Mais il ne faut pas manquer une aussi jolie somme: Vous avťz demandť le silence ťt l'obscuritť? "Ouy, ma Reyne adorťe: Je ne me suis engagť qu'ŗ te faire voir toute-nue sans chemise, comme en jouant avec Toy, nu aussi, dans la chambre. Au-reste, le silence ťt l'obscuritť sant essenciels, puisqu'ils eŁssent passť pour Moy. Les six Bougres placťs chaqu'un dans une chambre separťe, devaient rťpŗÓtre leurs regards de tes charmes, ťt t'esperer chaqu'un comme possesseur unique, ŗ un signal donnť. "Tout-cela se fera. Je serai remplacťe par 3 Persones. Nous donnerons le plŁs delicat ťt le plŁs petit vit ŗ ma Soeur: Le plŁs vigoureux ťt le plŁs brutal ŗ la Carmelite: Je vaÓs vous avoir ma Marchande, qui ne demandera pas mieux que d'Ítre foutue, sans Ítre compromise. Vous arrangerťz tout, pour qu'elles reÁůivent chaqu'une deux Hommes; ce qui sera d'autant plŁs facile, que vous n'aurťz que les Hommes ŗ tromper: ce qui sera facile". Guae admira mon entente ťt mon ťconomie! Il Me promit une soumission entiŤre ŗ mes ordres, ťt Me demanda la permission d'appeler ma Soeur, ou la Religieuse, pour Le branler. Je Les appelai Toutes-deux. Je dis ŗ la Carmelite, en Luy decouvrant les Tetons, de prendre le Vit ťt les couilles de mon Mary. Je mis ensuite ma Soeur en position, troussťe jusqu'audessus des reins, ťt comme Elle avait le plŁs joly cýl du monde, Elle montra le derriŤre. Je Me mis ŗ cŰtť d'Elle, troussť de-mťme, je montrai le devant. Guae chatouillť par une main douce, ťt jouissant d'une triple perspective aussi belle, en y comprenant la superbe gorge de la Religieuse, ne tarda pas ŗ hennir de plaisir. BiťntŰt il entra en fureur, ťt il alait enconner la Religieuse, si je ne Luy avais sautť sur le Vit, que j'embouchai. Il Me dechargea dans le gosiťr, en rugissant. Nous sortimes Tous-quatre, pour aler danser, ťt ma Soeur, ma Cousine ťt Moy nous fumes reÁues avec transport. "Mes 6 Fouteurs pour la nuit suivante, ťtaient de la noce: Guae qui se fŻt biťn gardť de Me Les montrer, si j'avais dŻ Les avoir, s'en fit une fÍte, quand ce furent d'Autres qu'On Leur alait livrer. Il Me Les designa. C'ťtaient 6 Monstres de laždeur. Guae trouva le moyťn de Les faire mettre nue successivement dans une PiŤce isolťe, sous le prťtexte de Les froter d'un baume fortifiant. Le Premiťr ťtait un squelete decharnť, ayant le vit comme mon PŤre. Il avait un long nťz qui touchalt ŗ son menton, les joues creuses, l'oeil vif, des verrues noires sur le corps. Je te reservai pour ma Soeur, ŗ-cause de son vit, n'esperant pas mieux. Il se nommait Widewit. "Le Second ťtait un gros petit Homme, trÍs-ventru, ayant le vit de mon Oncle, la peau comme une Ecrevice cuite, pour nťz une grosse bŤterave, de gros sourcils gris, une bouche ťvasťe, ťt les lŤvres h‚lťes, gersťes des gros Mangeurs. Ce fut le second de Doucette, si je ne trouvais pas mieux. On l'appelait en russe Wiwitencoff de-la-CowilardiŤre. "Le TroisiŤme ťtait fait come un Hťron ťt un Dromadaire: Il ťtait juchť sur de longues jambes sans mollets; il portait sur ses ťpaules une colline en cŰne aigŁ; son visage ťtait noir ťt sec; ses cuisses grÍles n'ťtaient distinguťes de ses jambes que par d'ťnorme genoux: Tout ce qui manquait ŗ ces parties se retrouvait dans son Vit, plŁs gros que celui de notre Homme-ŗ-queŻe, ťt moins que le double Wit de Gwae. Je destinai Towtenwit ŗ ma Marchande, qui ťtait chaude, large ťt sterile. "Le QuatriŤme etait un gros Marchand de blťd, aussi large que haut, tout noir, tout bourgeannť, ayant quelques livres de cowilles, ťt un vit trŤslong, gros comme celui de mon Oncle. Je destinai Witplongeardow ŗ ma Cousine, ŗ-cause de ses couilles. "Le CinquiŤme avait le visage de la teinte d'un ventre de Crapaud, la tÍte monstrueuse, le ventre de Desessarts, le vit come Gwae (il devait m'enculer, de convention faite): Son regard ťtait affreux, sa bouche degoŻtante, ťt son nťz encore plŻs: Witcrwel fut vouť au large Con de ma Marchande. "Le sixiŤme ťt derniťr ťtait grand, voŻtť, noir, bancroche, roux, chassieux; il avait un wit ŗ bourelet, tant il ťtait long; aussi en avait-il apportť un, qu'il devait ťcarter, pour m'enculer. Perceawant fut le second de mon ardente Cousine. "Le soir arrivť, l'On Me mit au Lit, ťt chaqu'un des six Monstres crut qu'il alait avoir le plaisir d'Ítre mon bourreau. Guae Me conduisit dans la chambre nuptiale, ťt parut Me mettre au Lit: Mais il nous disrribua dans quatre Pieces, ťt les lumiŤres furent exactement retirťes. Quant ŗ Moy, j'ťtŗis restťe debout, fesaut ŗ chaqu'une des Lieutenantes de mon Con, le portrait ťt l'ťloge du beau Jeunehomme qu'elles alaient presser dans leurs bras. Je me croyais obligťe en conscience de Leur donner des plažsirs imaginaires, ŗ defaut de la realitť. "Ma Toute-belle! (dis-je ŗ ma Soeur), avec quel plaisir tu me sacrifierais ton repos, si tu voyais le jeunehomme charmant, qui doit froisser. tes appas? C'est un Sylphe; c'est un Amour"..... J'alai ensuite ŗ la Religieuse: "Tu vas sentir le difference de la couchŤte de ta cellule, au lit d'un Nouvelle-mariťe, ma chaude Cousine: Un Bel-homme, un gros vit... Crie, mais ne parle pas, puisque tu vas passer pour Moy"... Je me rendis ensuite auprÍs de ma Marchande; "Vous alťz Ítre rassasiťe de ce que vous aimťz tant, mon aimable Maitresse: Un Jeunehomme superbe, ťt... peutŤtre deux, qui me desirent avŤc emportement, vont me le mettre dans votre Con brŻlant, jusqu'ŗ-extinction de forces. Les Vits sont gros! ainsi faites-vous pomader comme une Pucelle, ťt remuťz du cýl, pour avaler plŁs vÓte ces ťnormes morceaux"... Ma Marchande me remercia, en me priant de La mettre promptement aux prises. Je courus Luy chercher Toutenwit, le TroisiÍme... Mais je vais mettre de l'ordre dans mes recits. "Guae m'attendait. DÍs que je parus, il me fit parler, ťt conduisit par la main Wždewit, le premiťr Monstre, auprÍs de ma Soeur. "Mon chŽr Mary (dis-je doucement, la tÍte appuyťe sur l'oreiller de Celle-cy), menagťz-moy? "Oui, oui; mais ne parle pas: j'ai decouvert que toute la Noce nous ťcoutait, ŗ-cause de mon gros Vit"..... Durant ce court Dialogue, Witdewit, deshabillť d'avance, fourageait deja ma Soeur. Guae par mes ordres, prit ensuite Witplongeardow le QuatriÍme, ťt Le conduisit, avec les mÍmes prťcautions, auprÍs de la Religieuse: Je parlai sur son oreillťr... Towtenwit le TroisiÍme, fut le lot de ma Marchande. Les 3 Autres avaient rendťz-vous quelques heures plŁtard.. Il faut ŗ-prťsent donner chaque scÍne particuliŤre, en 6 Tableaux de la NUIT DE LA MARIEE XXXVII Chapitre. Chap. Des six Fouteurs pour trožs Foutues. "H‚pťe par le Monstre, Qu'elle croyait un Ange, ma timide Soeur soupirait. J'entendais qu'On la gamahuchait, qu'elle dechargeait. "Je me meurs! (murmura-t-elle). "Comme tu as la voix douce, belle Mariťe! (luy dit Widewit biťn bas). Et aussitŰt il grimpa sur elle, ťt l'enconna. La pauvre Petite, quoique depucelťe, fit un cri! Je parlai pour la deguiser. Le vieux Monstre la menageait ťt la caressait. Elle le secondait de tout son pouvoir, ťt redechargea. Gr‚ces ŗ moi, elle avait lť mÍme plaisir que si elle eŻt foutu avec Un beau Garson.... La voyant biťn enfilťe, j'alai ŗ la Religieuse. "Witplongeardow s'ťtait avisť de ne pas mettre son bourrelet: je m'en doutai aux gemissemens de la pauvre Martyre. Je le dis ŗ Guae, qui le desarÁonna, ťt luy donva quelquec soufflets. J'entendis qu'il luy disait biťn bas: "Bougre! vas-tu m'estropier ma Femme? Ton bovrrelet"? Le Fouteur le prit, ťt la Foutue n'eŁt plus que du plaisir. "Je courus ŗ ma Marchande, que Toutenwit ne pouvait enconner par maladresse. Je mis la tÍte sur l'oreillťr, ťt je dis en soupirant: "Priťz donc mon PŤre de vous l'introduire"?... Guae, qui me suivait doucement, vint faire l'intromission, ťt tout ala biťn. "Chaqu'une des 3 Belles fut foutue deux-fois en con. Ensuite, comme de-concert, les 3 Bougres retournťrent la medaille. Toutes-trois avaient leur pucelage de cýl. Ma Marchande crut qu'On alait le luy mettre en levrette; mais les deux Autres ne s'attendaient ŗ riťn. On leur perÁa le cýl ŗ toutes-trois au mÍme instant, ťt elles s'ťcriŤrent, malgrť la defense, toutes-ŗ-la-fois: DOUC. HŰ le fondement! LA RELIG. HŰ l'anus! LA MARCH. HŰ le trÚu du cýl!... On n'y fit pas attention. Heureusement ma Soeur avait le cýl large; elle souffrit moins. Quant ŗ la Religieuse, que Witplongeardow enculait sans bourrelet, elle avait une aune de vit dans ses entrailles, ťt elle sentait celui de son Enculeur luy chatouiller le nombril. Elle souffrait beaucoup de son farfouillage; car il retirait ťt reenfonÁait brutalement. Elle n'ťŁt de plaisir qu'ŗ la decharge, par la douce chaleur du foutre, qui luy onctua le gros boyau. Ma Marchande ťtait la plŁs maltraitťe par Towtenwit. Elle avait le trou-du-cýl aussi ťtroit, qu'elle avait le Con large: le Vit enorme la pourfendait. Elle jurait entre ses dents. Enfin la decharge l'abreuva, et elle fut soulagťe. "Les 3 Vieillards en avaient autant qu'il leur en falait. Guae vint les faire retirer, de-sorte qu'ils ne se rencontrassent pas... On ťtuva les 3 cons ťt les 3 cýls: On fit les lÓts, On changea les draps, recoucha la triple Mariťe, ťt Guae introduisit les trois nouveaux Acteurs. "Il ala chercher Wiwitencoff, que je mis dans les bras ťt sur le ventre de ma Soeur. Un peu agguerrie, elle caresse tendrement le Monstre, qui l'enconna, le vit introduit par Guae, qui profita de l'occasion, pour patiner ma Soeur, ťt la chatouiller. Ce qui fit tellement tressaillir la pauvre Petite, que son Fouteur s'ecria, croyant parler ŗ moi: "H‚! que tu es putain"!... Voyant Guae acharnť sur ma Soeur, j'Óntroduisais les deux Autres. Je donnais Perceawant ŗ la Religieuse, ťt j'eŁs soin qu'il eŻt son bourrelet. "Voilŗ une main biťn douce qui me touche", dit-il en voulant saisir la miťnne); mais j'ťchappai. "Remue du cýl, Bougresse, (disait-il ŗ sa Monture); je te tiťns, je suis dans ton con; ainsi tu ne saurais m'ťchaper. Je ne suis pas ton Mary; j'ai payť pour coucher avec toy, ťt te depuceler; ainsi tu es ma Putain. Fous, Garse, ťt remue du cul; j'ai payť pour Áa".... Guae l'entendit. Il vint ŗ luy, le saisit ŗ l'ťtouffer. "Tu manques ŗ nos conventions! (luy džt-il); je ne les tiťndrai pas non-plŻs: fous-moy le camp, MalhonnÍte-homme! "Ouy; mais quand je l'aurai enculťe". Et il encula la Carmelite, malgrť les coups de poing dont Guae le gourmait. La Religieuse, poussait dťs cris horribles... J'ťtais aupres de ma Marchande, que j'accouplais avec le gros Witerwel. Il ne devait qu'enculer: mais la chaude Coquine se dirigea elle-mÍme le vit dans le con. "Tu n'es donc pas pucelle, Garse, crut-il me dire, que tu connais si biťn la route des vits?... Alons, fous, Putain, ťt comme il faut! j'ay payť ton Maquereau de Mary"! Comme elle ripostait biťn, il alait disant: "HŰ! elle est putain! elle est putain! j'ay le reste des autres"! Et tout en dechargeant, il la pinÁa, la souffleta. Elle se recria! "En bouche, sacree Putain? (dit-il en deconnant); ťt tu avaleras mon foutre; sans quoy je t'assomme"! Guae, qui venait de laisser enculer la Carmelite, ťt de chasser son brutal Fouteur, entendit le grabuge; il accourut, apostropha le sale Bougre d'un violent coup de poing, en luy disant: "Lave-toy donc au-moins, sacrť M‚tin, avant de l'emboucher! Je ne l'embouche jamais que je ne me sois lavť le vit ŗ l'eau-rose, ťt que je ne l'aye ensuite trempť dans du lait. Execrable Bougre! vray Desades, tu veux luy faire soulever le coeur?... Mais tu as manquť aux conditions; tu ne merites plus de l'avoir. "Voila cent louys... "Ils seront pour elle. Lave-toy... Voilŗ de l'eau-rose... Voicy du lait..... Alons, souffre, m'Amie: Voilŗ tes cent louys". Le vieux ReÓtre, cru Un beau Jeunehomme, emhoucha, encula, entetonna tant qu'il voulut. "H‚ que tu es putain, sacrťe Chiťnne"! (repetait-il).... Guae se mourait d'envie de luy montrer qu'il ne m'avait pas eŁe. En le mettant ŗ ta porte, il me fit trouver sur son passage toute-habillťe. Ce fut comme une vision; car je m'enfuis. "H‚ je suis fait! (s'ecria le Monstre): le Scelerat m'a donnť une Putain, aulieu de sa Femme"!... Et il jura, sacra.... Quant ŗ moy, pendant ces scŤnes, j'assistais ŗ la fouterie de ma jeune Soeur. La pauvre Petite fut enconnťe, embouchťe, enculťe comme les Autres, par son AdorŤ Witwitencoff de-la-CowillardiŤre, qui ala jusqu'ŗ extinction de forces. Il m'adorait. Ce qui le tua, c'est que, lorsqu'i se sentait ťpuisť, il se fesait sucer le vit bien appropriť ŗ l'eau-chaude, et baiser les couilles par sa jolie Monture. Il luy mettait encore couilles Ťt vit sur le cýl ou les tetons: Puis il se fesait donner au gland un suÁon. Il bandait alors, ťt enculait. Au derniťr culetage, il eŁt un priapisme, et crut ne faire que bander. Il fourgonna dans le cýl de ma Soeur jusqu'ŗ ce qu'il s'ťvanouÓt. J'appelai Guae, qui la decula, en enlevant son Enculeur. On le porta ťvanoni dans sa voiture. Arrivť chťz Luy, des cordiaux, que demanda Guae, ranimŤrent le vieuu Libertin: "H‚! (s'ťcria-t-il), je vis encore! je voulais mourir dans son cýl!.... je bande encore... Qu'On me La rende... que je L'enfile... ťt.. que... j'expire.".... Et il expira...... ["H‚! la belle mort! (s'ťcria Tražtdamour ťt toute la Compagnie en dit autant)... Mad. Guae acheva. "Voilŗ comme s'est passťe la nuit de mon mariage. Gnae, ŗ son retour, ťtait furieux de Luxure: Il voulait toutes nous enculer, puis nous emboucher. On s'arrangea: Il m'emboucha; encula ma Soeur ťt ma Cousine, enconna ma Marchande, qui en fut estropiťe pour un mois, ťt L'engrossa, deux choses qui L'empÍchŤrent d'Ítre achetťe par Fysitťre. Pour Guae, je suis sa MaÓtresse, ťt son gros Vit me fortifie par son foutre qui me nourrit. Je serai enconnťe par Luy, de convention faite avec FysitŤre, apres mon douziŤme Enfant. XXXVIII Chapitre. Chap. De la Conclusion de l'Histoire des 3 Garses. "Persone ne sait comment l'Homme-caud decouvrit que Guae avait vendu la premiŤre nuit de ses noces. Il arriva furieux. Il me demanda. J'ťtais au Lit. Ce fut la reponse de Guae. "Je le crois! (repondit FysitŤre), ťt Un Homme est mort d'ťpuisement dans ses bras. "Elle a vaquť toute la nuit: mais c'est pour autre chose: Sa Cousine la Religieuse ayant ťtť un-peu courtisťe dans le jour, ses vapeurs hysteriques l'ont reprise la nuit, par un rÍve, oý elle croyait Ítre foutue. J'ai ťtť appelť. N'ayant pu l'enconner, je l'ai enculťe. "Je me fous de son cýl: Mais si Tu l'avait enconnťe. "Quant ŗ ma Femme. elle dort; ťt vous pouvťz voir ŗ la fraÓcheur de son con ťt de son cýl, que je ne luy ai pas touchť. "Voyons dabord la Carmelite? "Elle dort aussi". Ils y alŤrent. Guae la decouvrit, sans l'ťveiller. Elle etait couchťe sur le cŰtť, ne pouvant se tenir sur le dos, ŗ-cause de son cýl, qui luy fesait mal. Elle l'avait en marmelade. "Comme Tu les accomodes!... Et le con?.... Il n'Íst pas si maltraitť... "Je l'ai un-peu fatiguťe par mes inutiles efforts; ťt-puis elle s'Íst branlťe. "Voyons la Mariťe"?... Ils vinrent ŗ Moy. On sait que je me repucelais par le bain, ťt un-peu de repos. Mon con ťt mon cýl furent trouvťs si appÍtissans, si jolis, que FysitŤre les baisa tous-deux. Puis Il signifia au cupide Guae qu'il avait un logement cloÓtrť, pour nous sequestrer, pendant tout le temps que nous Luy ferions des Enfans, Moy, ma Soeur, ťt ma Cousine. Il ne vit Doucette qu'habillťe! ťt elle l'enchanta. Il nous emmena toutes-trois, en disant, que jusqu'ŗ notre grossesse biťn declarťe, On ne nous verrait qu'ŗ un parloir. "FysitŤre Íst extrÍmement riche. Il donne 20-mille francs par an ŗ Guae pour Moy, 40-mille ŗ mon PŤre pour ma Soeur ťt ma Cousine. Le soir, aprÍs un excellent soupťr, il nous fit coucher Toutes-trois ensemble dans un large Lit, oý il se mit avec nous. Il me foutit dabord. Puis ma Soeur. Ensuite la Carmelite, qui le fut deux-fois sans deconner. Il me repržt. Puis ma Soeur. Bref, nous fumes ainsi foutues 8-fois chaqu'une dans la nuit. Ce qui fesait les 24 de FysitŤre. Quand il en foutait Une, les deux Autres luy chatouillaient, Une la queŻe du cýl, la Seconde les couilles. "Nous devinmes grosses Toutes-trois ŗ-la-fois. Alors il nous declara, qu'il ne nous le mettrait plus qu'aprÍs nos coŻches ťt l'alaitement. Il vint icy. Il vous vit, Madame; il vous foutit. Il ťpousa votre Fille-AÓnťe, enconna les 5 Autres, fourbit vos deux NiŤces, ramona la B‚tarde de votre Mary, viola vos 2 ChambriŤres, Ít vous engrossa Toutes. Durant ce temps-lŗ, nous accouch‚mes, nous alait‚mes, nous nous trouv‚mes libres, ťt il nous refout. T‚chťz d'Ítre libres aussi, quand nous serons prises afin qu'Il nous refoute alternativement. "Telle Ťst notre Histoire: vožlŗ ce que nous savons sur l'Homme ŗ-queŻe. J'ajoŻterai seulement, que dans le temps oý M. FysitŤre ne nous l'a plus mis, nous ŗyant des desirs, nous avons eŁ recours ŗ mon PŤre, ŗ mon Oncle, ŗ Guae, au Procureur, ťt ŗ mon premiťr Galant, qui nous ont fourbies, Guae en bouche, les Autres en con. Cependant nous avons Toutes voulu avoir Guae, ŗ la premiŤre douleur pour l'accouchement; son Vit, gros comme l'Enfant, frayait le passage, ťt son foutre l'onctuažt. "AprŤs nos coŻches, nous avons priť mon PŤre de nous choisir de jolis petits Garsons non pubŤres, mais bandans roide, pour nous ramoner le con: ces Enfans, dont les petits vŪts huilťs entraient calotťs, ne dechargeaient pas, ťt cependant farfouillaient agreablement dans le connŰt". Les 12 BELLES furent trŤs-excitťes par ce Recit, ťt QUELQUES-UNES alŤrent surlechamp ťt successivement se faire ramoner par FysitŤre, qui fut trťs-ťtonnť de cette boutade! Il se servit de ses 2 QueŻes, en expediant ainsi 2 ŗ-la-fois, Une dessous, Une dessus. Cette bourasque appaisťe, FysitŤre revint ŗ ses Us ťt coutŻmes. Mais biťntŰt ses 3 Coucheuses parurent enceintes. Il les pria, ainsi que Mad. Linars, de luy en procurer 3 ou 4 Autres, pour luy faire des Enfans, en attendant leur libertť? Mad. Guae seule en procura 3, Une Tetonnette, son Amie d'ťtant fille, ťt deux Soeurs, Biťnouverte, grande blonde, avec Dardenbauche, aimable ťt vive brunette, trÍs-caressante, dechargeant comme quatre. Tetonnette ťtait Une de ces Brunes ŗ peau blanche, qui ont toujours Une si belle gorge. FysitŤre assura les 12-cents fr. de rentes ŗ ces 3 Filles, se chargea de leur ample entretiťn durant tout le temps de leur feconditť, les fit coucher au grand Lit, ťt les depucela 8 fois chaqu'une la premiŤre nuit. Il commenÁa pŗr Dardenbouche, lŗ plŁs jeune. Elle ťtŗit si amoureuse, biťn-que pucelle, qu'elle ripostŗ, dŤs le premiťr coup de vit. Elle soutint les 8 Assauts de-suite avec Un courŗge hťroÔque... FysitŤre prit ensuite Biťnouverte. Elle fut plŁs modťrťe. Elle criŗ, quoique-peu ťtroite; pŗrceque ne dechŗrgeŗnt pŗs dŗbord, Elle ne s'humectait que fŗiblement le Conin. Elle ťtŗit pucelle neanmoins. Malgrť sŗ langueur, elle fut foutue 8 fois, comme DardenbÚuche; FysitŤre aurŗit eŁ peur d'en mortifier Une... Il prit ensuite la belle Tetonnette. Il l'enfilŗ plŁs difficilement que Biťnouverte: mŗis elle remuŗ si delicieusement du cýl, ses tetons ťtŗient si appÍtissans, Elle avŗit le connin si ťtrait, qu'Elle donnŗ autant de plŗisir que Dardenbouche.... AprÍs les 24 Assauts, FisitŤre lŗissŗ dormir. Le lendemain-mŗtin, 3 Valets-de-chŗmbre entrŤrent, pour lui demŗnder ses ordres? Il s'ťveillŗ; mŗis il feignit de dormir, lŗ bouche sur lŗ gorge de Tetonnette, ťt une mŗin sur les Tetons de chŗqu'une des 2 Autres. "Voilŗ Un Bougre biťnheureux! (dit Un des Vŗlets). "Oui"! (repondit Un-Autre). Et ils se mirent Tous-trois ŗ se brŗnler. Alors FYSITERE feignŗnt de s'ťveiller, leur dit: "Je vous ai entendus, Jean-foutres: Vous ne les enconnerťz pŗs; je veux qu'elles ne soient grosses que de Moy: mŗis tournez-les sur le ventre, et m'en enculťz Une chaqu'un". Il n'avŗit pŗs achevť, que les 3 Belles poussŤrent un cri simultŗnť, causť pŗr les 3 vits, qui leur entrŗient dŗns le cýl. FYSITERE les exhorta ŗ lŗ pŗtience, pŗr l'idťe d'une bonne oeUVRE; il les assurŗ que ces 2 Hommes alŗient dechŗrger pŗr tŤrre. Elles se rendirent ŗ cette Rŗison, ťt cýletŤrent ŗ QuÓ mieux mieux. Explicit L'HOMME-A-QUEUE. A cette longue Histoire, Tous & Toutes se recriŤrent: -- Nous ne sommes que de la Saint- Jean, auprÍs de ces Fouteurs & de ces Fouteuses-lŗ! Que ne sommes-nous ŗ demain-! -- N'alťz pas vous branler, Bougres! (leur dis-je). -- Nous nous en garderons biťn! notre foutre n'est pas ŗ nous; il est ŗ nos Belles. Qui ťtait ťtonnť de nous entendre parler ainsi devant ma Fille, c'ťtaient Brideconnin & sa Femme... Mais ils en verront biťn d'autres. SUJETS DES ESTAMPES. I. Cupidonet, & Jenovefette. L'Adolescente ŗ quatre, troussťe, ťt le jeune Cupidonnet ŗ-genoux, la couvrant cynÓquement, t‚chant de l'enfiler. Elle se cambre les reins, pour Ítre atteinte: "Hausse, hausse le cul". p. 5 II. Cupidonnet, & le Con soyeux. Cupidonnet sur MadelŤne, ‚gee de dŪx-sept ans, dont il lŤche le con poilu: Elle est sur le dos, les jambes ecartees, et se prÍte en poussant sur la bouche de son jeune FrŤre, qui la gamahuche. "Darde ta langue dedans, chŽr petit Ami". p. 9 III. La MŤre foutue. Cupidonnet enconnnant une Femme de quarante ans, au lit, les draps ŗ-terre: Il enconne pour la prťmiŤre-fois, et parait se p‚mer. La Femme: "Jamŗis... jamais... vous ne m'avez donnť tant de plŠisir". p. 12 IV. Cupidonnet, & la belle Marie. Cupidonnet evanoui, le vit en l'air aprŤs avoir decharge dans le con de sa Soeur la belle, mariťe ŗ Paris, & parťe, un-jour de Vierge, Marie detetonnťe, & con & cul visibles. Elle dit: "H‚.. Grand-Dieu.. c'est Cupidonnet." p. 16 V. Cupidonnnet, & l'OrlogŤre. Cupidonnet au lit, sans couvertures ni draps, foutant la belle O logŤre, ŗ laquelle son Mari, couchť de l'autre cŰte d'elle, dit: "Courage, ma Femme.. hausse le cul". p. 20 VI. Cupidonnet, avec sa Femme le cul decouvert. 20 Il est appele par sa Femme debout, mais courbťe sur un lit, troussee audessus des reins, & montrant le plýs beau cul: Il court ŗ elle, le vit bandant. "Si j'ai la verole (pense-t-elle), fous-moi en cul". VII. Cupidonnet, & Conquette. Cupidonnet gamahuchant Conquette la nuit, sa lampe sur un garde-sel: Elle est ŗ-dťcouvert, & se tremousse toute endormie, quand elle sent la langue entre les lŤvres de son conin ŗ poil naissant. "H‚.. h‚.. h‚.. Áa m'chatouille". p. 25 VIII. Conquette, et Cupidonnet. Conquette qui vient d'Ítre gamahuchťe, & que Cupidonnet le vit bandant, t‚che d'enconner. p. 30 "H‚! ce joli gamahuchage, tant que vous voudriez". IX. Cupidonnet, et Victoire. Cupidonnet tenant Victoire troussťe jusqu'aux dessus du genou, & se fesant empoigner le vit, qu'elle ne voit pas: "Mignone.. serre moi le doigt, fort... fort". p. 32 X. Conquette, Culant, Vitnegre. Conqette assise devant le feu, entre VitnŤgre & Culant deculotťs, bandans; Elle troussťe: p. 36 "Alons, Bougresse. branle-nous Tous-deux". XI. Cupidonnet, Conqette, VitnŤgre, le Moine. Cupidonnet dans un cabinet obscur, voyant VitnŤgre le vit ŗ l'air, montrant ŗ nu les appas de sa Femme: Un Moine debout dans le cabinet, vu par le PŤre de Conquette, cachť derriŤre un Sofa, & qui n'est pas vu. Le Moine tenant en main son vit monstrueux, regarde la scŤne: "Troussee, Putain, audessus des reins". p. 39 XII. Cupidonnet, et Conquette en levrette. Conquette le ventre appuyť sur le piťd d'un lit: Cupidonnet l'a troussťe audessus des reins; elle cambre la t‚ille, & il l'enfile en levrette. "Remue du Croupion... mon Ange". p. 44 XIII. Conquette, VitnŤgre, un Payeur. VitnŤgre debout ŗ-cŰtť du lit, cachť par un rideau, tandis qu'Un-autre le remplace sur sa Femme. Le Mari dit ŗ Celle-ci: "Decharges-tu"? p. 48 XIV. Cupidonet, Conquette, VitnŤgre, le Jeunehomme. Cupidonnet cachť: VitnŤgre une lumiŤre en mains trouvant le Jeunehomme sur sa Femme troussťe: "He-bien, est-elle enconnťe". (dit-il). p. 53 XV. Le Fouteur ŗ la Justine. Le Moine Foutŗmort, ayant mis Conillette nue, expirťe & dechirťe sur une table, lui cerne les Tetons avec un bistouri, &c: "Decharnons-la." p. 56 XVI. Cupidonnet, Conqette, TimorŪ. Cupidonet cachť dans le sofa, avanÁant la tÍte, pendant que Conquette gamahauchee par Timori, lŤve les jambes en l'air, & fait claquer ses talons: "H‚.. Timori.. ta langue vaut un vit". p. 62 XVII. Conquette enculťe. Cupidonet sous un Sofa: Timorž enculant Conquettte, courbťe, dont le cul est bien perfore: L'Enculeur s'ecrie: "Quel cul? quel plaisir des Dieux". p. 63 XVIII. Conquette s'enconnant du Vit paternel. 67 Cupidonnet au lit avec Conquette, deux flambeaux sur la Table-de-nuit: Il est sur le cŰtť, le vit biťn bandant: Il dit ŗ sa Fille nue, cherchant ŗ s'enfiler: "Appuie lentement, ma Reine". XIX. Montencon, Cupidonnet, Hochepine, VitsuÁete. Montencon embouchant Adelaide Hochepine en presence de Cupidonnet & et de Vit suÁŤte. "J'embouche la jolie Garse". p. 70 XX. Cupidonnet, Conquette, Montencou. Cupidonnet sortant du con de Conquette: Montencon le vit en main, alant se mettre sur elle dont le con & les cuisses sont bien ŗ-decouvert. "A toi, Bougre". p. 7 XXI. Les Moines verolťs. Tous les lits sont couverts de robes monacales: VitnŤgre assis auprŤs du lit de Foutŗmort, qui lui montre un tableau, reprťsentant une Femme ŗ laquelle il viťnt de ne faire qu'un trou du cul & de la mote, & dont il cerne les Tetons: "Je me suis fait accommoder son con". p. 81 XXII. Le Sommeil enconnť. Cupidonnet encormi, le vit dans le con de Conquette, qui dort ťgalement encounťe. En commenÁant ŗ s'ťveiller, elle dit: "H‚! Mon dieu! c'est mon Papa, qui me..." p. 83 XXIII. Cupidonet, Conquette. Cupidonet devant Conquette assise, en court jupon, les tetons decouverts: Il vient de se mettre le vit ŗ l'air: Elle joue avec sa mule mignone, qu'elle fait badiner avec le bout de son piťd: "Je veux te griller". p. 88 XXIV. Conquette, Cupidonnet, Centlouis. Centlouis prenant les tetons & le con de Conquette, en prťsence de Cupidonet, auquel il dit de serrer les cinquante louis. p. 91 "Ce con satinť, ces tetons touchťs les valent". XXV. Conquet:, Cupidonnet, Traitdamour. p. 95 Conquette renversťe, troussťe audessus du nombril, & ŗ laquelle Cupidonnet prťsente Tražtamour, qui tient ŗ la main & montre son gros & superbe vit. Conquette avanÁant sa main, pour prendre le vit: "C'est donc toi qui m'as fait tant de mal... & de plaisir"... XXVI. Cupidonnet, Conquette, Traitdamour, Minone, ConnŤte. Cupidonnet foutant Conquette, qui lui darde sa langue: Traitdamour tenant les tetons de sa Soeur, qui lŤche le trou du cul du Fouteur; tandis que ConnŤte le suce dans la raie du dos: "Quels delices!... Je suis rendu"... p. 100 XXVII. Minone, Connette, Cordŗhoyau, Brisemotte (1 grouppe). 108 ConnŤte chatouille les couilles de Cupidonet debout, tandis que Cordŗboyau enconne Minone, que Brisemotte encule couchťe sur le cŰtť. "C'est une Fouterie de Princesse...". XXVIII. Cupidonnet, Conquette, Traitamour. 110 (2 grouppe): Conquette sur Traitdamour, qui la tient enculťť sur lui!: Cupidonnet dans le con de la Belle, ainsi limťe entre deux feux: "Piquez... des deux: la Garse est enculťe".... XXIX. La Danse Negre. 114 Cupidonnet habillť, mais le vit ŗ l'air, regardant la danse, dans laquelle il pousse Conquette nue par les fesses. Traitdamour danse avec Rosemauve, une nouvelle Actrice; Cordaboyau avec Connette; Brisemote avec Minone; Tous six nus de la tÍte aux piťds: Ils figurent les mouvemens voluptueux; un Couple paraÓt prÍt d'enconner; Un-autre d'enculer; le TroisiŤme, en se contournant, met les Tetons sous la bouche, le vit sous la main, & montre le con qui l'appŤte. "Alons! Du mouvement, Garses"? XXX. La Piochťe, & ses Piocheurs. 117 La Piochťe sur le Foutoir; Piocheur-pŤre enculant Piocheur-fils; Piochencul les excitant, & se fesant bander, ŗ l'aÓde de la main & des Tetons de la Jeunefille. "Bougre... encule ton petit Garson". XXXI. Piochette. 119 Le vieux Piochencul patinant les Tetins de Piochette, ‚gťe de 14 ans, & fille du FrŤre & de la Soeur, pendant que ces 2 Individus sont enconťs, & que le vieux Piocheur grand-pŤre encule son Fils. "Tu me depuceleras ta Fille, dŤs que ton Grand-pŤre t'aura deculť". XXXII. Les Gourmets de Con. 123 Conquette enconnťe par Cordaboyau, seulement comme Gourmet du satinť de son con, est enlevť de sur elle, prÍt ŗ decharger, par Traitdamour & Brisemote, le vit bandant et decalotť, pour le plonger tout-brandi dans le Con de Rosemauve, ťtendue sur un Foutoir haussant du cul: "Le Sacrťbougre alait partir".... XXXIII. HonnÍte Entretiťn du Pere et de la Fille. Cupidonnet prenant le con de sa Fille d'une main, les Tetons de l'autre: Elle dÓt: 133 "Mon Dieu: je vous remercie d'un si bon PŤre". XXXIV. L'Homme enfilant deux cons d'une volte. L'Homme-ŗ-queŻe foutant Sophie-Linars de son vit, tandis que Geoline s'enconne avec la queŻe velue qu'il a au croupion. Celle-ci dit: 141 "Et moi, je vais me servir de cette queŻe raide". XXXV. La Fouteuse insatiŗble. 157 La belle AgnŤs, livrŤe par son PŤre, enfilŤe par le jeune Procureur, qui se loue de ses delicieux mouvemens: Elle s'Ťcrie, en dechargeant: "H‚... mon ‚me va sortir... par le trou qu'il me fait". XXXVI. Indicibles Fouteries! 175 AgnŤs, aprŤs souper, ayant un corpset refluant, cachŤe derriŤre un rideau de fenÍtre, desorte que l'Homme-ŗ-queŁe seul, qui lui prend le con, ne voit pas son visage: Elle tient d'une-main le vit de son PŤre; de l'autre, elle retient ŗ l'entrŤe de sa bouche, & presse de ses lÍvres, le Gros Membre de Guae qui decharge, & lui lance le Fontre au fond du gosier. FysitŤre leur dit: "Il faut dabord que je foute habillŤe.......". XXXVII. Les Six Fouteurs des Trois Foutues. AgnŤs, Doucette, la Carmelite, & la Marchande-de-modes maÓtresse d'AgnÍs-ConveloutŤ. La 1re en deshabiller de gaze transparente, avec le chapeau de MariŤe; les 3 autres nues, sont instruites par AgnÍs, [] Coupure. Six Vieillards, le Vit en main, nus, endoctrinŤs separement par Guae, nu assi, ‚ l'entrťe d'une autre piŤce, oý il les attire les Uns aprÍs les Autres.... Le premier est Un grand, maigre, dont le nez touche au menton; vit ordinaire. Le second, gros, trŤs-ventru; le nez comme une grosse betterave (le vit long. Le troisiŤme monte sur de longues jambes sŤches; ayanr un pain-de sucre sur les Ťpaules; le Vit gros comme celui de l'Homme-a-queŻe aumoins. Le quatriŤme aussi large que haut, a le vit de l'Oncle d'AgnÍs. Le cinquiŤme a la tÍte monstrueuse, le ventre comme un tonnneau, le Vit comme celui de Guae. Le sixiŤme est grand, voŻtť, bancroche; ayant un bourelet ŗ son long Vit. Quant au laid Guae, On voit son Vit, gros comme Un Timon de carrosse soulever sa chemise... "Chaqu'un des 6 monstres crut qu'il alait avoir le Plaisir d'Ítre mon Bourreau". 183 XXXVIII. FysitŤre au grand lit avec ses 3 Fouteuses. Elles sont nues: FysitŤre nu enconne Doucette; AgnŤs lui chatouille les couilles; la Carmelite lui branle le queŻe velue, dont elle se dispose ŗ s'enfiler. Le mot est pris de l'Histoire par AgnÍs "Nous fumes ainsi foutues 8 fois chaqu'une dans la nuit; ce qui fesait les 24, ordinaire de FysitŤre" p. 192 Table des Chapitres La Prťface. 3 I. Chapitre De l'Enfant qui bande. 5 II. Chap. Du Con soyeux. 8 III. Chap. De la MŤre foutue! 11 IV. Chap. D'un autre Beaufrťre Cocu. 14 V. Chap. Du bon Mari spartiate. 18 VI. Chap. De l'Epouse qui se fait enculer. 20 VII. Chap. Du Conin au Poil-Follet. 25 VIII. Chap. Des Conditions de mariage. 28 IX. Chap. Des Dedommagemens. 31 X. Chap. De l'infame Mari. 33 XI. Chap. Pucelage destinť aux gros Vits, pris par un petit. 39 XII. Chap. Du plus delicieux des Incestes. 41 XIII. Chap. Du Con & du Cul vendus. 46 XIV. Chap. Le Jeunehomme, la Fille, le Moine. 51 XV. Chap. Du Fouteur ŗ la Justine. 54 XV.I Chap. Foutoir: Petit Magasin: Enterrement: Amour. 58 XVII. Chap. Du Pucelage du Cul: Le PŤre enconneur. 63 XVIII. Chap. Des Avis paternels, tenant sa Fille enconnťe. 67 XIX. Chap. Du PŤre juste, & du Vit grisonnant. 70 XX. Chap. Du, H‚, comme elle fut foutue! 74 XXI. Chap. Du Ressouvenir, & De l'Episode. 80 XXII. Chap. De la Fouteuse mise en appÍtit. 83 XXIII. Chap. De la Tendresse Filiale: & de l'Amour Paternel. 86 XXIV. Chap. Du Chefd'oeuvre de Tendresse-paternelle. 91 XXV. Chap. Du bon Pere qui fait foutre sa fille. 93 XXVI. Chap. d'AVIS trÍs-utile au Lecteur, & ŗ l'Auteur. 98 XXVII. Chap. Du commencement des grandes Fouteries. 101 XXVIII. Chap. De l'Enculo-connillerie. 106 XXIX. Chap. D'une nouvelle Actrice: Danse NÍgre. 112 XXX. Chap. Le Piochť, la Piochťe, le Piochard. 116 XXXI. Chap. Suite des MÍmes, Piochette. 119 XXXII. Chap. Du Conin goŻtť. 122 XXXIII. Chap. La Fouteuse sensťe. 130 XXXIV. Histoire de l'Homme-‚-QueŻe. 134 XXXV. Chap. de la Garse insatiable. 144 XXXVI. Chap. Des Fouteries de la Conveloutť, &c. 174 XXXVII. Chap. Des six Fouteurs pour trois Foutues. 185 XXXVIII. Chap. Conclusinn de l'Histoire des trois Foutues. 191 XXXIX. Chap. Du Fauteuil. 207 Fin de la Table de la I Partie. EPILOGUE de la Ire PARTIE. JaÓ lůngtemps hťsitť, si je publierais cet Ouvrage posthķme du trop fameux Avocat LingŁŽt. Tout considerť, le c‚sement deja commencť, j'ai resolķ de ne tirer que quelques Exemplaires, pour mettre deux ou trÚis AmÓs ťclaÓrťs, et autant de Femmes d'esprÓt, ŗ-portťe de juger sainement de son effet, et s'il ne fera pas autant de mal que l'oeuvre infernale ŗ laquelle On veut le faire servžr de contre-pÚison? Je ne suis pas assťz depouroķ de sens, pour ne pas sentir que l'ANTI-JUSTINE est Un pÚÓson: mŗÓs ce n'est pas lŗ ce dont il s'agÓt. Serŗ-ce le cŰntre-pÚÓson de la fatale JUSTINE? Voilŗ ce que je veux consulter, ŗ des Hommes, ŗ des Femmes desinteressťs, quž jugeront de l'effet que le Livre imprimť prodķÓra sķr eux et sķr elles. L'Auteýr a prťtendķ ťlůÓgner de la crŁaķtť, de la sÚÓf dķ sŗng et de la mort de la Femme pÚssedťes: A-t-il reŁssi? Il a prťtendķ ranimer les MarÓs bl‚sťs, pour les faire joŁÔr de leurs Femmes avec goŻt, ŗ l'aÓde de la lecture d'ķn demi-ChapÓtre de son Ouvrage: A-t-il atteint ce být? C'est ce qu'On decidera. On a vŻ, par la Table seule, combiťn cet Ouvrage est sŠlŗce! m‚Ós il le falŗžt pour produÓre l'effet attendŻ. JŁgťx-le, mes AmÓs, et crŗÓgnťz de m'indŁÔre ťn erreur! L'ANTI-JUSTINE aurŗ VII ou VIII PartÓes comme celle-cy. FIN de la I. Partie. L'ANTI-JUSTINE, OU LES DELICES DE L'AMOUR. Par M. LINGUET, Av. au et en Parlem. Avec Figures. [Seconde Partie.] AU PALAIS-ROYAL Chez feue la Veuve GIROUARD, trŤs-connu 1798. Je suis parvenu au IId Volume de cet Ouvrage, destinť ŗ ranimer les Maris blasťs, auxquels leurs Femmes n'inspirent plus riťn: Tel est le but des nequices de cet excellente Production! que le nom de LingŁet rendra immortelle. L'ANTI-JUSTINE. XXXIX Chapitre. Chap. Du Fauteuil. Le Dimanche arrivť, il y eķt un joli dÓnťr, qui fut servi dans mon Magasin. J'y avais fait mettre, oŻtre le LÓt & le vÓeux sofa, un 3me Foutoir commode, que j'avais trouvť par-hazard chťz un Serruriťr de la ruŽ de-la-Parcheminerie, qui l'avait achetť pour le fťr & l'aciťr seulemt, ŗ l'inventaire de certain Duc. J'en fis l'histoire ŗ ma Sociťtť: "Ce Fauteuil, ou Foutoir, se monte. Le Serruriťr le monta un-jour, pour en voir le mecanisme. Il alait s'y asseoir, au 1er. La jeune Femme trŤ-potelťe de son vÓeux Voisin Aupetit le Perruquiťr arriva. La jolie Voisine essoufflťe, se jeta sur le diable de Fauteuil. AussitŰt elle fut saisie par les bras. Un ressort la troussa, & un-autre lui ťcarta les cuissee. Un-autre lui fit faire beau con; un troisiŤme la fit osciller. -- Hť! qu'est-ce donc que ce machin-lŗ? s'ťcriait-elle. -- Ma bonne-foi si je le savais! repondit le Serruriťr: j'aŪ montť la Machine pour la connaÓtre; maÓs je voÓs que c'est celle avec laquelle le Duc de-Fronsac essayait les Filles recalcitrantes, que des Parens maladroits lui avaient vendues. Si vous voulťz, ma Voisine, je vais vous essŠyer? -- Alons donc! Est-ce qu'On viole jamais Une Femme malgrť elle? Je mordraÓs-... L'Homme-de-forge se deculote; se met sur elle. La Traquenardťe veut le mordre. Un ressort assťz doux lui fait ouvrir la bouche, & en l'angoissant un-peu, la force ŗ darder sa langue. Le SuppŰt de Vulcain profite de tout-cela, & enfile la PerruquiŤre, qui ne put l'empÍcher, ni mÍme crier... L'operation faite, la machine se trouva aubout de ses rouleaux, & Mad. Aupetit ne fut plus contenue. C'est alors qu'elle se mit ŗ pleurasser, ŗ criasser, comme si elle avait ťtť au-desespoir. -- Grand'bÍte! (lui dit le Cyclope), je vous aŪ trop biťn operťe, pour que vous ne deveniťz pas grosse: vous aurťz un Enfant, que votre vÓeux Jeanfoutre ne vous aurait jamaÓs fait. MaÓs il faut un-peu de ruse: DÍs aujourdhui dites-lui que vous achevťz une neuvaine ŗ St Juliťn, qu'il vous travaille Á'te nuÓt, & que le Saint benÓra ses travaux. Remuťz du cul, quand il vous le mettra; dites-lui des foutŤses, & s'il dechargeote un-peu, p‚mťz-vous, en disant qu'il vous inonde-. Mad. Aupetit s'en-ala munie de ces instructions, qu'elle mit en pratique. Le Fauteuil me fut prÍtť le lendemain. Le Cyclope m'Šyant vu passer, m'appela, me montra la Machine, me la vanta, & me mit au-fait de son usage. Elle me fut donnťe ŗ-l'essaž, & je la destinaŪ aux Begueules, s'il nous en venait ŗ nos Orgyes. Je remis ŗ monter la machine, quand il seraÓt ŗ-propos, afin de ne pas en ťventer le secret. Nous nous y assimes trois en dÓnant, Mad. Poilsoyeux, une jolie ChapeliŤre de la ruŽ Bordet ou Bordel, amenťe par Tražtdamour, & nommťe Tendrelys; j'ťtais au-milieu. In petto je reservais le Fauteuil montť ŗ la jolie Tendrelys, encore pucelle, quoique Tražtdamour lui eŻt quelquefois dechargť entre cuisses; ou, si la ChapeliŤre ťtait docile, ŗ Rosemauve, ou ŗ sa Soeur Rosalbe la blonde, ou enfin ŗ notre HŰtesse Mad. Brideconin, que je voulais mettre de nos fÍtes, ainsi que son Mari, voulant le faire cocu en sa prťsence.. Nous dÓnames biťn, mais sans trop manger, ni trop boire. Nous avions dailleurs de la volaÓlle, & toutes choses de facile digestion. On ne tardera pas ŗ voir comment j'executerai tous mes projets. XL Chapitre. Chap. Des Cons Rasťs. En sortant de table, Tražtdamour nous dit: -- Toute la semaine, il m'a roulť dans la tÍte de rendre le connin de Mad. Conquette-Ingenue-PÚilsůyeux ce qu'il doit Ítre; c'est-ŗ-dire, PUCEL: car je suÓs sŻr que depuÓs huit jours qu'elle n'a foutķ, il s'est retrťci en Diable!.. Brisemote, Cordaboyau, vÓts implacables, troussťz-moi Minone & ConŤte; il ne serait pas seant qu'elles se troussassent elles-mÍmes-. On les troussa jusqu'audessus du nombril. Pas un pÚil! Je les ai rasťes ce matin (dit Tražtdamour, pour voir l'effet, avant de proposer la mÍme chose ŗ notre Deesse. Vous voyťz comme elles sont propres? Tout le corps l'est de-mÍme: Elles se sont baignťes tous les jours, depuis qu'elles savent que la belle Fouteuse met tous les jours son Con dans l'onde limpide, & y plonge entiťr son corps appÍtissant. Elles m'ont assurť que, lorsqu'elles ťtaient en chaleur, l'eau-fraÓche dans laquelle trempaient leurs Cons brŻlans, leur donnait un plaÓsir presque fouteýr... MaÓs vŰyťz-moi ces Cons-lŗ? Ne dirait-On pas des connins de FillŤtes de 12 ŗ 13 ans? On en convint. En-consequence, je priae ma Fille de se laisser raser la Mote. Elle se cacha le visage dans mon sein. Tražtdamour aussitŰt la renversa sur un FoutÚir, le Con au grand jour. -- C'est pourtant domage! (dit-il eu le maniotant;; la perruque en est superbe!... Je vais dabord employer les cÓseaux: Nous mettrons ce pÚil sůyeux sous verre dans un c‚dre dorť: ce seront de prťcieuses Reliques-. Il coupa. Ensuite il tira d'une jolÓe boÓte une savonnŤte parfumťe, & savonna longtemps le Connin. Comme cette operation excitait ConquŤte, elle me pria d'appuyer mes lÍvres sur sa bouche. Elle me dardota sa langue, pendant tout le temps qu'On fit la barbe ŗ son Con, & lorsqu'il fut rasť, On le lui lava d'eau-rose; On lui sŤcha les cuisses avec des linges doux, & Tendrelys mit le beau pŰil de la depouille sous le verre-ŗ-c‚dre. Puis le Conin sans barbe fut livrť ŗ l'admiration de l'Assemblťe. Tout le Monde, surtout les Filles, jusqu'ŗ la modeste Tendrelys, qui, disait-elle, n'ťtait venue que pour voir, & rougissait de tout, le trouvaient si appÍtissant, qu'elles demandŤrent ŗ le baÓser, & qu'elles se jetŤrent dessus. La jolÓe Chapeliťre cola ses lÍvres vermeilles sur le Con rasť, & sa langue ala dans la fente exciter la voluptť: Rosemauve, qui arrivait, vint sur elle comme Une Enragťe, la debusqua, & gamahucha si vivemt la Deesse, qu'elles ťmÓrent toutes-deux. Les Hommes ťurent leur tour; ils sucŤrent le ConŰt dechargeant, & le firent decharger encore.. Pour MÚi, j'admiraÓs, les deux mains plongťes dans les TetÓns de Tendrelys, qui les avait charmans, & n'Űsait se deffendre, -- H‚! quelle partie? me dit-elle. -- Tu ne vÚÓs riťn! lui repondit Minone. En-effet, Tražtdamour Šyant fait retirer les Gamahucheurs du Con de Conquette-Ingenue, qu'ils ne quittaÓent pas, dit ŗ ses Camarades: -- Imitťz-mÚi-? AussitŰt tous les vits en ťrection furent ŗ l'aÓr. -- Alons! alons! au Con! au Con-! Tendrelys baissait ses beaux ieux: maÓs Conquette Ťtendue sur le FoutůÓr, la Mote legŤremt branlťe par Rosemauve, soulevait la tÍte pour vÚÓr les vÓts. -- Laquelle enconnťz-vous, me dit mon vigoureux Secretaire: Laquelle enconnťz-vous de la voluptieuse Conquette, de moi, ou de la pucelle Tendrelys-? J'hťsitaÓs pour ma reponse, lorsque tout-a-coup j'entendis ma Fille s'ťcrier faiblemt: "Le vÓt! le vÓt"? Tražtdamour se prťcipita sous elle, la prit sur son důs, me la prťsentant oscillante: -- Enconnťz, me dit-il, la Fouteuse fait beau con-... J'enfonÁae. Je bandažs si rÚide, que je la fis crÓer en la perforant. MaÓs elle foutit aussitŰt, en me disant: -- Bon... (haussant le cýl), bon!... H‚! que tu bandes biťn!.... Fous... fou---- fourgonne... Fou---fourage, chŽr Pap.. je dech----a----a---- (Tražtdamour la secouait) arge-... Je dechargeaÓs aussi. Son delicÓeux Connin me pinÁait. La Deesse m'enivrait. Tražtdamour la fesait osciller, comme le Corax de PETRONE son MaÓtre Eumolpe... Cependant Brisemote avait mis sur son dos Rosemauve nue, que foutait Cordabůyau sans chemÓse: Les 2 petites Enragťes MÓnone & Connette nues comme la maÓn, venaÓent de mettre Tendrelys nue comme elles, & la tenaÓent entr'elles, se frotant le cŰn sur ses cuisses d'alb‚tre, en lui chatouillant l'Une la mÚte, l'Autre le trou du cýl: Elles dechargťrent Toutes-trŰÓs avec les 2 FoutŻes: "Grand-Dieu! s'ťcÓa la jolÓe ChapelÓťre, comme vous savťz Ítre heureux"! XLI Chapitre. Chap. Vit inatendu. En ce moment, l'On entendit frapper des maÓns ŗ la porte. (C'ťtait un signal que j'avaÓs donnť.) J'avaÓs deconnť; j'alaŪ ouvrir. C'ťtait le Cyclope. Il ne devait pas entrer: maÓs il me poussa Un Homme qui avait les Óeux bandťs & les maÓns lÓťes derriŤre le dŰs. Il ťtait couvert d'un grand surtout de laine blanche, sous lequel Ól ťtait nķ sans chemÓse. Je le prÓs par le corps: je le poussaŪ vŽrs le FoutÚÓr ŗ Fronsac, sur lequel Tražtdamour jeta sa Soeur; On le monta, & dÍs que l'Enfant fut prÓse, On fit tomber sur elle, en lķi arrachant son couvretout, l'Inconnu que je venaÓs d'intrŰdķire. Quand il fut nķ, son grŰs VÓt ťpouvanta tout le Monde, & il se fit Un H‚! universel. Conquette le reconnut, & p‚lit. (Observťz que Tous pouvaÓent parler, exceptť Conquette & MŰi). Minone (la Traquenardťe), fut la seule que ce VÓt, qui ne le cedait qu'ŗ Foutamort, n'effrŠya pas. Elle le saisit courageusement, & lui mit la tÍte entre les lÍvres de son CŰn, en lķi dÓsant: -- Pousse, Bougre-. Il estocada, comme un Beliťr de siťge. MaÓs il ne penetrait pas. -- SoulŤve du cýl, Pķtain! lķi dit le Brutal; je suÓs trop-haut-. Minone souleva. Le VÓt trouva l'ouvertķre; & quŰÓqu'elle ne fŻt que la mŰÓtiť de qu'il lýi falait, il la forÁa. Minone souffrait le martyre. La sueur & les larmes sillonnaÓent ses joues. Enfin, le grůs VÓt, parvenķ au fond, injecta son baume-de-vÓe, & adoucit, en les onctuant, les parÚÓs dilacerťs: MÓnone qui venait de clamer de douleur, s'exclama de plaÓsir: -- H‚h! h‚h!.. il m'inonde!... je fous... je decharge... je me p‚me-! Et la jolÓe Petite remuait du cýl comme Une Garse, foutue par Un Moine au bordel. Nous ťtions dabord tous stupefaits d'admiration! PuÓs nous bandames tous comme des Enragťs. BrÓsemote le mit en levrette ŗ Rosemauve; Cordaboyau enfila Conette par-devant; Tražtdamour consulta mes Óeux, en me designant Conquette ou Tendrelys: je permis la Ire, ajoutant fort-bas: -- Il fout ta Soeur; fous-mÚi sa Femme. -- C'est VÓtnŤgre-! Et Ól se jeta comme Un Fķrieux sur l'Epouse du Jeanfoutre, si brutalemt enconnťe, qu'elle en crÓa... MaÓs elle dechargea presqu'aussitŰt: ce qui changea sa douleur en plaÓsir. "Toute Femme qui decharge comme Áa, balbķcÓait Tražtdamour, en la fourgonnant, est bonne; il n'y a que Celles qui ne dechargent jamaÓs, qui sont mechantes-. Cependant VÓtnŤgre refoutait, sans deconner, & MÓnone redechargeait: Rosemauve hennissait sous BrÓsemote; Conette sous Cordaboyau; Tendrelys ťmue, appķyťe sur mon ťpaule, me prťsentait sa jolÓe bouche, & Conquette martyrisťe par Tražtdamour, pleurant, cýletant, ťmettant, crÓotant de doleur & de volķptť, envÓait encore les tÚurmens de MÓnone. Son Fouteýr me crÓa: -- Sacre-Dieu! pomadťz donc,... & depķcelťz-mÚÓ... cette Garse de Tendrelys-? L'aÓmable Enfant me lanÁa Un lŰng regard, en se mettant la maÓn devant le CÚn, comme pour le deffendre. Nous avÓons-lŗ du beŻrre-fraÓs; j'onctķaŪ le ConnÓn, renversae la VÓerge sur Un FoutÚÓr, malgrť ses tendre prÓŤres, & mon vŪt pťnetra. -- AumoÓns, me dÓsait-elle, en le sentant entrer, vous ne me lÓvrerťz pas au Bourreau de MÓnone, nÓ ŗ ces au----tres-lŗ? ---- Remue du cýl, Bougresse! lķi crÓa l'ÓmpitÚyable Tražtdamour. Est-ce comme Áa qu'On fout? Regarde ma Belle, & ces... 3 autres ---- Garses?... Tiťns, ---- PutaÓn ---- pucelle, ---- nous de----char----geons! ---- La pauvre Petite, ŗ cette exhortatÓon ťnergique, gigota sous mÚÓ comme elle put. Je pťnetraÓs doucemt; je caressaÓs, dardotant la langue, dÓsotant des tendresses... ---- Vous la menťz trůp bellemt, s'ťcrÓa Tražtdamour, fouragťz cůmme můi, ou cůmme ce CŰcķ, que voila sur le Fauteuil?... Tenťz? il mord les TetŰns qu'il ne saurait patiner?.. Ne va pas lķÓ faire trop de mal, Bougre! c'est ---- ma Soeur, & ---- je t'assommeraÓs.... Je de---- charge..... ---- H‚! qu'il me devŰre, s'ťcrÓa MÓnone; pourvŻ qu'il ---- me foute!.... Je decha----arge-.... "Je fous..? je dťcha----arge! s'ťcrÓa Rosemauve. ---- Je dech‚rge!... crÓa Conette. ---- H‚hahah-! fit Conquette... Pour Tendrelys, dont j'ateignaÓs le fond du Connin, elle dŪt: ---- Ze suÓs depķcelťe! ze deÁarze!... Que džra Maman? ---- Elle ne le verra pas, jolÓe Fouteuse: Le vit de mon MaÓtre conserve les pķcelages (crÓa Traitdam.) En ce moment, VÓtnŤgre deconna MÓnone trop fatiguťe. On lķi pomada Rosemauve, que BrÓsemote deconnait (car les tourmens de la courageuse MÓnoue avaÓent ťpouvantť toutes nos Bellles. Le VÓt de Mulet l'enconna plŁs vÓte; maÓs elle n'en souffrit pas moÓns: Elle pleura, sanglota, & enfin... dechargea.... Elle fut ramonťe 3-foÓs sans deconner. MÓnone l'avait ťtť quatre. C'ťtait le tour de ConŤte. Elle fut pomadťe avec plŁs de soin que Rosemauve; & cependant elle jeta les hauts-crÓs: Si elle n'avait pas ťtť sur le Fronsac, elle aurait desarÁonnť son Bourreau.... Elle dechargea enfin, & les plaÓsirs succedŤrent. MaÓs On ne s'attendait pas ŗ l'effet qu'ils produisÓrent! C'est que Mad. Poilsoyeux eŁt envÓe du gros VÓt de son Mari. Elle demanda tout-bas et voulŗit qu'On la mÓt sur le Fronsac, aumoment oý VÓtnŤgre deconna la ConŤte, quoique Celle-ci eŻt le Con aussi barbouillť de sang que de foutre. MaÓs Tražtdamout la h‚pant, la renversant & l'enconnant, lui dit tout-bas: ---- Garse! je suÓs jaloux de toÓ pour mon MaÓtre & pour moÓ: je t'ťtrangleraÓs plŁtŰt, que de te laÓsser foutre par ton Cocý de Mari en ma prťsence. -- Pardon! VÓt dŪvin! leurs douleurs m'ont tentťe! Fourgonne-moi, ŗ m'en Űter l'envie? Car je ne compte plus que sur toi: voila M. LingŁet qui donne son fou----outre... je decha----arge.... ŗ la ---- sacrťe Ma----‚tine... de Teudrelys... -- H‚! ReÓne des PķtaÓns, tu es jalouse! Tiťns, tiťns, voila des coups de VÓt dans ton Connin-dieu... Hah!... hah!... ze redeza----arze-! murmura-t-elle... Cependant, que fesait VÓtnŤgre? Il prenait du repos & quelques liqueŻrs brŻlantes, tout en patinant les Tetons de ses 3 FoutŁes, qui le branlaÓent pour s'amuser. Tout-ŗ-coup Mlle LÓngŁet dit ŗ son Foutant: "MaÓs ce Bougre est Un-autre Guae? il faut qu'il me restaure? Qu'On lui lave biťn le VÓt ŗ l'Žau-rose; je veux le teter, comme fesait Mad. Guae le gros VÓt de son Mari-? Nous ne pouvions nous refuser ŗ Une proposition aussi raÓsonnable. On lava le VÓt monstrŁeux; 2 des 3 Garses soutinrent VÓtnŤgre de chaque cŰtť, en lķi livrant leurs Tetons; Rosemauve lķi chatoŁilla les covilles & le trou du cýl; Tražtd'amour se coucha par-terre sur le dos sous ma Fille ŗ genoux qu'il enconna; Mlle LÓngŁet baisa 5-ŗ-6-foÓs le gros Vit, tout en ripostant aux saccades de son FouteŻr: PrÍte ŗ decharger, elle emboucha, fesant aler & venir l'ťnorme Wit du bord de ses lÍvres de corail, au fond de son gosiťr satinť. En dechargeant, elle mordit... Telle la voluptŁeuse Femelle du Serpent-Geant ťcrase dans sa gueule, la tÍte de son M‚le trop amoureux... VitnŤgre mordķ se recria de voluptť! Il ťmit Un torrent, quoiqu'il eŻt deja foutķ 9 coups, & Mlle LingŁet fut inondťe de foutre au mÍme instant dans la bouche & dans le con... Elle voulut teter 3-foÓs VitnŤgre, que les 3 Garses qui le chatoŁillaÓent, secouaÓent tellemt, qu'il rebandait aussitŰt. Dailleurs, il s'ťcriait ŗ tout-momt: -- Ma Femme n'est pas morte! c'est elle que j'embouche; je le sens au veloŻtť de son palaÓs-?... Et cette idťe le fesait decharger ŗ flots... Mlle LingŁet fut obligťe de cesser ce jeý, dans lequel On voulait faire expirer VitnŤgre; maÓs Mlle Conquette-LingŁet avait sucť le double Wit avec tant de fureýr, qu'elle avait la bouche tout en feý... On obligea WinŤgre d'encýler ses 3 FoutŁes; ce qui lui fit 15 copieuses decharges, parceque les Belles de-relaÓs lui manipulaÓent impitoyablemt les covilles.. Les excessives douleurs de l'encýlage n'en effrŠyťrent Auqu'Une; aucontraire, les tourmens de la Patiente excitaÓent leur passion, & elles la pinÁaÓent; pour la forcer ŗ s'agiter, & ŗ faciliter ainsi l'intromission du gros Wit dans son cýl. Vitnťgre n'en pouvait plus. Ce fut prťcisťmt ce qui excita Mlle LingŁet: Elle exigea de nous qu'il decharge‚t Une 16me fois, & que ce fŻt dans son cýl, ŗ elle? Tražtdamour se vit obligť de ceder. On manipula VitnŤgre, On lķi chatoŁilla les covilles; On l'assura qu'il alait encýler Mlle LingŁet sa Femme. A ne nom, il ťrectionna. On lui fit sucer les Tetons de Rosemauve, comme ceux de Conquette. Il banda roide. AussitŰt On coucha l'Encýlande sur le ventre; On lui beŻrra la rosette, puÓs le rectom avec Une grosse canule; Tendrelys prit dťlicatemt le gros Wit avec ses doÓgts de rose; pour le diriger dans l'anýss, tandis-que Minone & Conťte ťcartaÓent chaqu'Une Une Fesse: Rosemauve, prÍte ŗ manipuler les covilles, frŠyait avec son doÓgt beŻrť l'entrťe du Wit-monstre dans le cýl de la Patiente... Enfin, il penetra, en dechirant... Mad. VitnŤgre poussait des cris sourds, que son Mari crut reconnaÓtre. Ce qui lui fit redoubler ses estocades. Alors l'Encýlťe jeta Un cri,... qui logea le Monstre tout-entiťr dans son gros-boyau.... VitnŤgre ne doutant presque plus, y fourgonnait avec rage.. Il ne decýla pas aprŤs avoir-dechargť; Rosemauve lui chatoŁillait les couilles, l'anýs, & s'appŻyant du con sur son cýl, foutait avec lui, en poussant ŗ chaque-foÓs... VitnŤgre dechargea 3-ondťes de foutre dans les boyaux de sa Femme; ce qui fesait 18 pour la seance. Il tomba en faiblesse ŗ la derniŤre... On le tÓra du cŻl de Mlle LingŁet, qui ala se le mettre dans l'eau-fraÓche, pour se le raffermir. On jeta Vitnťgre dans Une aŻge d'eau-de-puÓts qui ťtait dans la cour, pour lui faire reprendre ses sens: Le Cyclope parut. On porta VitnŤgre dans son Fiacre. Il le le remena. -- SaŪs-tu quÓ j'aŪ foutu (lui dÓsait-il en route), dans ton sacrť Fronsac?..... Ah! comme elle fout!... Elle a biťn appris, depuÓs qu'elle m'a quittť!... Je l'aŪ foutķe 16-foÓs, tant en con, qu'en bouche & eu cŻl-... Le Serruriťr, aprŤs avoir remis VitnŤgre ŗ sa Filleule, s'ťvada. VitnÍgre rencontra le Serruriťr quelques moÓs aprÍs. -- Veux-tu m'y remener? lui dit-il. -- C'est l'impossible, rťpondit le Cyclope; tout est disparu. -- Ah! la Garse! si je la retenaÓs, je passeraÓs le reste de ma vÓe dans son cŻl & dans son con-. Ainsi finit cette Aventķre. XLII Chapitre. Chap. La Jalousie de deux Connins. Nous restions tous sept ťmerveillťs des 16 enconnades-embouchades-enculades de VitnŤgre! quand TraÓtdamour regardant la jolie ChapeliŤre, nŁe comme toutes les Autres, lui dit: -- Te voila depucelťe, Mignone, & mon divin MaÓtre a cueilli ta rose? C'est Un grand honneur & bonheur ŗ toi & ŗ moi! Je te regarde ŗ-prťsent comme les DevŰts regardent leur Vierge-MarÓe, qui, foutŻe par l'Ange-GabriŽl, puÓs par le Saintesprit, dont elle fut la PŻtain, n'en ťtait que plŻs vierge: Te voila consacree au vit de mon MaÓtre; conserve-lui religieusemt ton Connin, ou ne le prÍte qu'avec sa permission... A-prťsent, celeste Mignone, votre jolie Mote va Ítre savonnťe & rasťe-? Tendrelys objecta sa MŤre, qui toutes les nuits lui visitait le Con, pour voir si l'On ne touchait pas ŗ son pucelage, deja vendu, & qu'On devait biťntŰt livrer. -- Je m'en-fous, Deesse, repondit Tražtdamour, en me voyant monter le Fronsac; On lui dira tout-. Et il la poussa sur le Fauteuil, qui l'ťtreignit. Il la savonna, & prťpara son rasoir. En ce moment, artiva Mlle Conquette-Ingenue-LingŁet, qui venait de se laver le cýl ŗ l'eau-de-puÓts, pour se le raffermir. -- On va donc aussi raser le con de Mlle? (dit-elle avťc un-peu d'humeur). -- Ah! ma belle Deesse! empÍchťz-en, ŗ-cause de Maman, qui ne saura ce que Áa veut dire? s'ťcria Tendrelys suppliante, en lui baisant une main, qu'elle ťtait parvenue ŗ saisir. -- Non, Mlle, je ne m'y opposeraŪ pas! Votre con rasť laessera mieux voir ŗ votre Maman que mon InfidŤle vous a deflorťe... Nous verrons aussi, aprÍs qu'On lui aura enlevť cette charmante perruque, si votre Bijou, Mlle, l'emporte sur le miťn, tout fatiguť qu'il est? -- Ah! mon adorable Amie! il n'est pas besoin de cela: Riťn ne vous ťgale. -- Alons, Mr, rasťz donc? Et je crois biťn qu'aprÍs, mon infidŤle Amant qui a depucelť cette jolie conque, vous permettra biťn de vous y loger-? TraÓtdamour tout en coupant la belle Toison-d'Or, reprťsentait ŗ Conquette-Ingťnue, que tous les Pucelages m'ťtaient devolus, & que j'ťtais obligť en conscience de les prendre, sous peine de mortifier la Neophite. Conquette ne savait que repondre: mais elle bouda. Je m'approchaŪ d'elle, & comme elle ťtait nue, je lui baisaŪ les Tetons, & lui mit mon vit en main. -- Vous aimeriťz mieux qu'il fŻt entre les jolis doigts de Tendrelys! -- Non: Persone ne me faÓt bander comme vous; mais aprÍs vous, Tendrelys. On lui rase la Mote; il le faut biťn, pour comparer vos Cons celestes, abstraction faite de la fatigue du vŰtre. On les gamahuchera dabord: Ensuite je verraŪ auquel des 2 mon Vit-Sultan donnera le mouchoir: Le mieux rempucelť l'obtiťndra. Mlle ConquŤte fit une petite grimace de Jolie-femme sŻre d'elle-mÍme, & se tŻt. Le Rasemote acheva. Le Connin de Tendrelys fut lavť ŗ l'eau-rose; Mlle LingŁet fit rafraÓchir le siťn, & les deux Cons furent comparťs... Ils furent desinteressťmt trouvťs ťgaux. Ce qui ťtait biťn donner la supťrioritť au Conin de la belle ConquŤte, deja tant foutŁe... Ce fut l'avis general. Rosemauve, Minone vinrent se comparer. Mais leurs Cons ťtaient loin d avoir cette physionomie virginale de ceux de ma Fille & de Tendrelys. -- Vos Cons sont aimables (leur dit TraÓtdamour), cent-fois audessus des Conasses de Putains; mais ils ne peuvent se comparer ŗ ces 2 Connins de Houris-. Conquette se pavana. Mais genereuse comme elle l'ťtait, elle prit vÓte son parti. -- Puisque nos Cons sont ťgaux, me dit-elle, en baisant Tendrelys sur la bouche, lui patinant le Con, redťpucelťz la, & que votre Lieutenant me refoute, s'il en a la force-. Elle n'avait pas achevť la derniťre sillabe, qu'elle ťtait enconnťe. -- Fous-la! me cria-t-elle, fous la Garse-! J'enfilaŪ la jolie Nymphe... Mais prÍte ŗ decharger, Mlle Conquťte-IngenuŽ entra en fureur ťrotique (& je compris par-lŗ comment les Hťros de Dsds, sur-le-point d'ťmettre, deviťnnent cruŽls), l'Enconnťe s'ťcriait: -- Foutťz-moi tous cette Putain de Tendrelys!... Brisemote! ne fais qu'un trou de son cýl & de son con-!... Elle dechargea; & un-peu calmťť, elle se mit ŗ dire: -- Pardon! pardon, ma petite Soeur!... c'est le foutre.. qui me portait ŗ la tÍte, & me rendait cruelle!... Qu'On lui conserve son joli con... toujours pucel,... pour les plaisirs de mon... Papa- fouteur;... c'est biťn assťz.. du miťn qui est... martyrisť!... Alons pousse... fous... ne me mťnage plus! (dit-elle ŗ son Bourreau)..... Et elle se mit ŗ coupdecýler plŻs fort que jamais. Ce qui fit re-enconner Rosemauve & ConŤte, dont les cýls ťtaient moins malades que celui de Minone: Cette bonne Soeur de TraÓtdamour vint me chatouiller les covilles, & j'ťmis. XLIII Chapitre. Chap. Minone et Conette jadis depucelťes: Vieille. Cette scŤne achevťe, il y eķt du rťpos. Nous avions legŤremt dÓnť, exprÍs pour faire colation. Nous mangeames des fraÓses au vin-muscat, avec des pains-můlets du Pont-Michel: Puis nous primes d'excellent cafť, fait par TraÓtdamour, & nous goŻtames aux liqueurs. Ensuite, nous jasames... -- Mon Ami (me dit ConquŤte-Ingenue, en montrant Minone & ConŤte), vous avťz eķ ces 2 jolies Compagnes, ainsi que Rosemauve, & vous venťz de depuceler Tendrelys sous nos ieux: Faites-nous le recit de votre premiŤre-fois, & dites-nous coment vous les avťz seduites? -- Ah! oui, oui? s'ťcriťrent Tendrelys, Rosemauve, & tout le Monde. -- Je feraŪ ce recit trŤs-volontiťts; mais ŗ-condition qu'On ira chercher Mad. Brideconin notre hŰtesse, pour qu'elle y assiste: Nous comencerons ŗ l'apprivoiser par-lŗ-? Mes 3 Sacripands, pour quÓ elle ťtait un Morceau nouveau, ne demandťrent pas mieux: Ils l'enlevťrent ŗ son Mari, qui en ce moment, lui tenait les tetons; sans mÍme daigner lui repondre, l'assirent ŗ-cru sur les mains jointes de deux, tandis que le 3me la soutenait par-derriŤre, & l'apportťrent ainsi moitiť troussťe & detetonnťe. On la půsa sur le Fronsac, & si je n'en avais empÍchť, On lui fesait une histůire, aulieu d'ťcouter la miťnne. Lůrsque tout fut tranquille, je commenÁaŪ: -- Je m'ťtais mis en pension chťz la BellemŤre de Tražtdamour, blanchisseuse, rue d'Ablon, pendant que ma Femme courait la ProvÓnce avec un Galant; le mÍme qui la foutait avec tant de passion, qu'il se mettait dans sa chemise, pour la palper & l'enconner mieux. Tražtdamour m'apportait Š dÓnťr les jours-ouvrables; maÓs j'alais dÓner ŗ la maison de la bonne MŤre-Wallon les Dimanches & FÍtes. Un-jour, que nous y alžons ensemble, il me pria de montrer ŗ ťcrire ŗ sa petite Soeur? Je le voulus biťn. En montrant ŗ Minone, J'avais souvent sous les ieux ses tetons naissans, blancs come lys... [-- Faites entrer mon Mari; je suis biťn-aise qu'il ait sa part de cette histoire-lŗ-? interrompit la Brideconin. AussitŰt Traitdamour, sur un signe de mes ieux, l'ala chercher; tandis que sur un-autre signe, Brisemote & Cordaboyau prirent l'Un la mote, l'Autre les tetons de la Dame. Elle ťtait ainsi rŠyonnante entre 2 M‚les, quand son Mari parut. Brideconin fut dabord ťbaubi: puis il n'en fit ni un ni deux, il ala s'emparer du con de Rosemauve, & des tetons de Conette; Traitdamour prit le con & les tetons de sa Soeur: Quant ŗ moi, je fis asseoir Conquette & Tendrelys l'Une sur l'Autre entre mes jambes, laissant de-temps-en-temps tomber mes mains sur la gorge de ma Fille, oķ de sa jolie Rivale... Je repris:] "Je dis ŗ Traitdamour, en-particuliťr: -- Il ne faut plus que je montre ŗ la Petite; elle me fait trÚp bander, & je la foutrais au Ier jour. -- Ah! mon chŽr MaÓtre! quel bonhr pour elle & pour moi, si vous la depuceliťz! La pauvre Orpheline! elle n'a aucun plaÓsir! (c'est que leur MŤre ťtait morte, & que le PŤre, remariť ŗ une Bonne-amie de feue son Epouse, ŗ l'instante priŤre de Celle-ci, avait mourant lui-mÍme, laissť pour bellemŤre aux 2 Orphelins la Bonne-amie de leur tendre MŤre). Je repondis, Que cela ťtait biťn difficil!... que la petite Soeur parlerait. -- Non, je vous en repous: Minone a deja des desirs pour vous. Elle m'a dit, qu'elle aimait biťn quand vous lui tonchiťz le Chose par-dessus la jupe- Ce discours m'enhardit. Un-Dimanche que j'ťtais seul avec Minone, ŗ la faire ťcrire, je ne pus rťsister ŗ l'envie de lui baiser sa jolie bouche; puis un tetin; & de-lŗ mŠ main descendit rapidemt ŗ son Connichon sans pÚil. J'ťprouvaŪ une ťrection terrible! Mon vit me gÍnait. Je me deboutonnaŪ. Il s'ťlanÁa audehors. -- Qu'est-ce que c'est que Áa? me dit la Petite. -- Un vit, mon Enfant. -- A quoi cela sert-il? -- A mettre dans un Con. -- Mais j'aŪ un Connin, ŗ ce que dit mon FrŤre, & ma BellemŤre a une Connasse. Depuis qu'il est grand, & qu'il a ce qu'il nomme du Foutre, il met son engin dans la Connasse de ma BellemŤre, que Áa fait tremousser & crioter... Il a voulu me le fourrer, ŗ moi: mais j'ai le conin trop ťtroit, ou il a l'engin trop gros: jamais il n'a pu... Ma BellemŤre l'a surpris, & elle l'a biťn grondť! Il lui a dit: -- Alons, foutťz-nous la paix: venťz que je vous enconne, vieille Truande: car je ne saurais m'en passer, en ce moment-. Et elle s'est aussitŰt renversťe sur son lit, en se troussant; il l'a, ce qu'il appelle foutue... HŰ! comme elle gigotait! comme elle jurait des B. & des F. comme elle ťtait contente!... Et il me disait: -- Voi, Minone, comme c'est bon! Comme la vieille Garse se demťne, en supant le b‚ton de sucre-d'orge... Montre-moi ton petit connin, que je decharge ŗ ton intension-..... Ce recit de Minone acheva de me faire bander outre mesure. Je demandaŪ ŗ la Petite, S'il y avait du beurre ŗ la maison? Elle m'en donna. J'alais la beurrer, quand la BellemŤre, bonne-femme au possible, rentra, Šyant oubliť son ťventail. Elle vit mon trouble, & la rougeur de la Petite. Elle me dit: -- Gage que vous alez la tourmenter?... «a n'est pas mŻre. Venťz-. La Vieille m'entraÓna sur le piťd de son lit, se troussa, me tira sur elle, & m'engloutit, malgrť ma defense..... Pour sauver le pucelage de sa Bellefille, elle me retint une heure ŗ con‚iller. Je ne dechargeaŪ cependant qu'une-fois, contre la Vieile une dizaine; car je m'aperÁus qu'elle m'aimait. Ensuite elle s'en-ala, sans laver, en disant? -- J'en marche mieux, la charniŤre graissťe-. DŤs qu'elle fut partie, je fis mettre Minone, qui avait tout vu, ŗ la fenÍtre: je la troussaŪ audessus des reins; je lui beurraŪ le connin, & je rebandaŪ roide. Je dis ŗ la Petite, en la commenÁant, de se cambrer la t‚ille, pour mettre son petit trou biťn ŗ la portťe du vit qui l'alait percer? Elle le prťsenta de son mieux. Avec des peines infinies, ŗ l'aÓde des douloureuses oscillations de son joli cýl, & parceque la decharge ťtait retardťe par le degoŻt que m'avait causť le Con gris de la Vieille, je parvins en levrette jusques au fond; car je sentis sa celeste petite matrice me pincer... L'Enfant s'agitait par mes ordres, mais sans dťcharger. Son Frťre arriva dans ce moment. Il fut transportť de joie... -- Ah! vous la depucelťz! quel honneur & quel bonheur, pour elle & pour moi!... Decharge-t-elle?... As-tu du plaisir, ma petite Soeur? -- Elle ne decharge pas (repondis-je), la chŤre Mignone; elle souffre: mais c'est avec un courage!.. Voi ce tortillonnemt de croupion-... Traitdŗmour touchť, glissa une main sous le ventre de la Petite, & lui chatouilla le haut de la fente de sa motinette imberbe... Les ieux de l'Enfant se vÓtrŤrent; elle se roidit. & tournant sa j lie bouche de mon cŰtť, elle me darda sa petite langue, dťchargea pour la Ire_ fois, & se p‚ma... Je dťchargeaŪ comme elle: je n'avais jamais eķ tant de plaisir... Quand j eķs deconnť, son FrŤre me demanda, Si j'en ťtais jalous? -- Oui, de tout Autre que de toi -- Hť-bien, votre foutre va servir de pomade ŗ son joli conichet-. Cependant Minone voulut pisser. Son FrŤre la renversa sur le dos, au pi d du lit, & l'enconna vžgoureusemt, malgrť la grosseur de son Membre. La Petite cria. -- Remue du cýl, & decharge avec delices, pauvre Orpheline, lui disait-il, en la saccadant; tu es enconťe avec amour-. La Petite dechargea 3-fois; mais elle n'en pouvait plus... Il me lava, & je la re-enconnaŪ... J'eķs encore plŻs de plaisir, parceque la Petite avait aquis de l'usage, & que le gros Vit de son FrŤre avait frŠyť la route... Depuis ce jour-lŗ, nous foutimes Minone tous les Dimanches & FÍtes. La BellemŤre s'en-aperÁut pour moi; mais elle ne dit mot. Enfin un-jour Traitdamour me demanda, Si je voudrais aussi montrer ŗ ťcrire ŗ ConŤte, sa MaÓtresse pour le mariage, depuis que la MŤre de Tendrelys, qui craignait un depucelemt, lui avait absolumt Űtť toute esperance. -- Soit (lui repondis-je). Je montraŪ donc ŗ ConŤte. Aubout de 2 mois, cette Jeunefille ťtant un-jour ŗ la fenÍtre, fort panchťe en-dehors, & montrant une jambe fine, que mes ieux devoraient, Minone qui prenažt son exemple d'ťcriture, le remarqua. Je lui tenais les tetins, & la priais de me prendre les couilles. Elle me quitte; va vers ConnŤte; lui dŪt tout-bas, -- Laisse-toi faire- .... La trousse; me mŤne sur elle; lui beurre le con & ŗ moi le vit; lui dit: -- Cambre-toi, ma Fille-... Et ŗ moi: -- Enfilťz jýste; vous voila dedans-... ConŤte se cambra, & suivit toutes les indications de son Amie: Desorte que quoique la Pķcelle fŻt trŤs-ťtroite, je penetrais. Traitdamour arriva. Il nous fit Űter de la fenÍtre; se coucha sur le ventre au piťd du lit; fit ťtendre sa MaÓtresse sur son dos, cýl sur cýl: Il me dit d'enconner, le vit dirigť par la mŗin de sa Soeur; et Š chaque sacade que je donnais, il me repoussait d'un coup de son cýl le con de sa MaÓtresse, ŗ me faire avancer d'un pouce. ConŤte ťprouvait des souffrances inouÔes.... Mais ťtant parvenu au fond, par un violent coup-de-croupion de Traitdamour, qui ne donna plus que de petits coups de trot-de-cheval, ConŤte clignota de l'euil, et biťntŰt ťmit avec d'ineffables delices..... Je croyais que Traitdamour alait se jeter sur elle et l'enconner tout-chaud? -- Non, me dit-il; c'est ma Future: si j'avais le bonheur qu'elle me fÓt un Petit de vous, cela ennoblirait ma Race-. Et il foutit sa Soeur, pendant que je refoutais sa MaÓtresse. Aussi depuis aŪ-je partagť avec lui Ce que j'avais de plŁs prťcieux-. XLIV Chapitre. Chap. Du Bouquet de Fouterie. Il le merite! Il le merite! (s'ťcriŤrent tous les Hommes, et surtout Brideconin, qui patinait ŗ 2 mains le Con de Rosemauve, tandis que Brisemote et Cordaboyau maniaient l'Un le Con, l'Autre les tetons de sa Femme... Mon Recit fesait bander tous mes Droles comme des Carmes, malgrť les fatigues de la journťe. Les Belles, mÍme Celles ťconnťes par VžtnŤgre, ťtaient en rut. -- Comme vous avťz su les rendre aimables! (me dit Conquette, en me dardant sa langue). -- Ah-oui! (ajouta Tendrelys, en me baisant de-mÍme).... En cet instant, Mad. Brideconnin ťtait tiraÓllťe par Brisemote et Cordaboyau, qui tous-2 la voulaient enfiler ŗ-la-fůis. -- Je n'aŪ qu'un chose, mes chŽrs Amis! si j'en avais 2, ils seraient biťn ŗ votre service; mais l'Un aprŤs l'Autre-... Elle fut empallťe par tous-2, Cordaboyau en con, Brisemote en cýl. Brideconnin s'ťcrie: -- On enconne, On encule ma Femme! Moi, je fous Celle-ci-. Et il renverse Rosemauve, qu'il empale. Traitdamour, le plŁs furieux des Ribauds, saisit Conquette: Je crus qu'il l'alait enconer. Point! Il se coucha sur le dos, la tira sur son vit, tenue par-dessous les bras par ConÍte et Minone; elle se baissait avec lenteur sur le Vit bandant dirigť par la main de Tendrelys, ConquŤte s'enculant ainsi elle-mÍme par le seul poids de son beau Corps. Lorsque le gros Vit fut enfoncť jusqu'ŗ la garde, Traitdamour me dit: -- Alons! le plŁs beau des cons vous appelle-.... Je me prťcipitaŪ dans le bijou de ma Fille, la jolie Tendrelys me dirigeant le vit. Mad. Brideconnin, putaÓn comme Persone, puisqu'ŗ cet instant, On lui bourrait les 2 trous, fit 3 signes-de-croix. On luŪ demanda, Ce qu'elle avait: -- On me fout devant mon Mari; mais je suis sur le Fauteuil ŗ ressort, qui m'empÍche de me defendre: Mon Mari voyant que je le fais coquķ, me fait coquŤte; c'est dans l'ordre: Mais notre MaÓtre, fout,... enconne sa Fille enculťe! -- Sa fille?... sa fille-!... (s'ťcria-t-On 5-fois). -- Oui, sa Fille (balbucia Rosemauve, qui dechargeait sous Brideconnin): AprÍs?... -- Ah! dirent les 4 Fouteurs et les 4 Fouteuses, ceci nous met en rage de vit.... en rage de con... et nous foutrons jusqu'ŗ extinction de forces-. Et les Enconeurs, les Enconnťes; les Enculeurs, les Enculťes, s'agitaient ŗ quÓ mieux, dessus, dessous, comme des Diables & des Diablesses dans un benÓtiťr. Tendrelys me chatouillait les couilles & celles de Tražtdamour; Minone celles de Brisemote et de Cordaboyau; ConŤte celles de Brideconnin, et fourrŠit son index dans le trou du cýl de Rosemauve. Le Fouteur qui n'ťtait pas accoutumť ŗ ce rafinemt, se recriait de voluptť: -- Ah que vous foutťz biťn ici! (disait-il en dechargeant); On ne fait que connailler ailleurs. -- Oh! vous anťz biťn raison, mon Mari? (lui repondit sa Femme en dechargeant aussi), onc je ne fus ramonťe comme je le suis en ce moment, par les deux Vits qui Vous plantent chacun une corne, l'Vn dans mon con, l'Autre dans mon cul-. ConquŤte remarquant que j'alais mieux, lorsque Tendrelys me chatouillait les couilles, l'en remercia tendremt: -- ChŤre Amie?... ma main en fera... autant ŗ ton Fouteur,... quand tu seras enconnťe... Et Vous, ma chŤre Hotesse, Vous Ítes donc biťn foutue-?... Ce joli mot, foutue, avait tant de gr‚ces dans la belle bouche de ConquŤte, que je l'alais refourgonner, si Traitdamour, qui la deculait et qui alait laver, ne m'avait pas priť instanment de la lui laisser enconner... Mais j'ťtais trop ťmu pour rester spectateur; j'ordonnaŪ ŗ Tendrelys de me faire beau con? Minone et ConŤte la renversŤrent sur le dos et lui ťcartŤrent les cuisses. Ma Fille, avant d'Ítre enconnťe par son Fouteur, voulut inserer mon vit; elle baisa la Patiente sur la bouche, en lui disant: -- Tendrelys! remue du cul, et donne biťn du plaisir ŗ mon PŤre-! Et comme elle avait remarquť que le mot foutue, m'avait fait beaucoup d'impression, dans sa bouche, elle s'ťcria, tout en secondant son Enconneur: -- Fou...ou... outre!..... Sacrť Vit!... perce-moi... dechire-moi le conot!... mon PŤre! poignarde... estropie ta Tendrelys!... ze decha... arge-!........... Ah! cette Femme si modeste, s'ťcria la Bridecononin, comme elle fout-!... Ce fut le Bouquet. On ala souper. XLV Chapitre. Soupťr d'Adieux; Graces que dit Mad. Vitnegre. On soupa. Les tetons ťtaient couverts; les propos furent decens..... -- Mais, me džt Minone, On dit que vous avťz-eķ 8 jolies Femmes connues, et On les nomme? -- HŰh! Interrompit ConquŤte, ne faites plus lire de ces Histoires-lŗ: La journťe de voluptť est finie, et nous sommes ŗ-prťsent des Persones ordinaires. -- Il faut donc les remettre, repondit Traitdamour, pour une interruption de seance-. Comme on se disposait ŗ sortir, et qu'il n'y avait plus de dangťr de nous faire bandocher, On me pria d'exiger que nos 6 Cons et nos 12 Tetons fussent mis ŗ l'air, et baisťs ŗ discrťtion pour les Adieux? J'y consentis. AussitŰt ConquŤte, Tendrelys, Rosemauve, Minone, ConŤte et La-Brideconin, furent defichutťes, troussťes et renversťes sur les foutoirs par les 4 DerniŤres, qui se defichutŤrent, se troussŤrent et se renversŤrent elles-mÍmes. On leur lecha le Con; Les 5 Hommes sucťrent les 12 Tetons: Les Belles prirent, dťcalotťrent et baisťrent les 5 Vits, embouchťrent seulemt le miťn, en disant: Vit incomparable..... adieu... pour Huit jours... On alait sortir, quand On vit la belle Epouse de VitnŤgre se prosterner toute detetonnťe, en s'ťcriant: "Sainte & jolŪe Vierge MARIE; que PANTHERE, branlait, gamahuchait, enculait, entetonnait, embouchait, & qu'il enconna enfin une nuit, ŗ-cŰtť du Cornard endormi le bon S. Joseph; duquel cocufiage provint le doux Jesus, ce bon fouteur de la Putain publique la belle Madelene, Marquise de Bethanie, dont le vagabond JESUS ťtait en-outre le souteneur, autrement le maquereau, lequel, au grand regret de la sainte Garse, enculait encore S. Jean son giton: S.te & jolie MARIE, Vierge comme moi, nous vous remercions de cette heureuse journťe de fouterie. Faites-nous la gr‚ce, par les merites de votre Fils, d'en avoir une pareille Dimanche-prochain!.... Et vous, Sainte MADELENE, que foutait l'Abbť JESUS, ainsi que Jean l'enculť, Obtenťz-moi la gr‚ce de foutre autant que vous, soit en con, soit en cul, 15 ou 20 fois par jour, sans Ítre ťpuisťe, mais toujours dechargeant...... Vous foutiťz avec des Pharisiens, avec Herode, & mÍme avec Ponce-Pilate, pour avoir de-quoi nourrir le gourgandin JESUS, votre greluchon, & les Vagabonds qui lui servaient de Chouans: Obtenťz-moi de votre Maquereau JESUS, qui ťtant dieu, a sans-doute quelque pouvoir, d'avoir, sous peu, ce riche Entreteneur, qui est un-jour descendu de carrosse bandant ŗ mon intension, comme je revenais de chťz mon Amie Mad. CongrÍlť; ŗ-celle-fin, qu'au-moyťn de l'argent que je g‚gnerai, ŗ votre imitation, avec mon con, mon cýl, mes tetons & ma langue dardťe, je puisse soulager mon digne PŤre, dans sa vieillesse; non-seulement en foutant avec lķi, pour lķi donner le plaisir, mais en me laissant vendre, comme la pieuse Fille d'Eresictton le famelique, ou la pieuse Ocyrhoť, fille du Centaure ChirÚn, qui toutes-deux devinrent cavales, c'est-ŗ-dire Montures d'Hommes ou saintes Putains!... ModŤle des Maquereaux, doux JESUS! fouteur acharnť, Greluchon complaisant de la brŻlante & exemplaire Putain MadelŤne, qui ťtait si amoureuse de votre Vit divin & de vos sacrťes Couilles, maintenťz, par votre toutepuissance, mon conin toujours ťtroit & satinť, mes tetons toujours fermes, ma peau, mon cýl, mes fesses, mes bras, mes mains, mon cou, mes ťpaules, mon dos ou mes arriŤre-tetons, toujours blancs, mes reins toujours ťlastiques; les Vits de mes Amans, celui de mon PŤre compris, toujours roides, leurs couilles toujours pleines; car vous teniťz en cela du saint Roi David, si fort suivant le coeur de Dieu, parcequ'il ťtait le premiťr fouteur de son temps!... Faites, Ű JESUS! que mes hauts talons, qui me prÍtent tant de gr‚ces, & font bander tant de monde, ne me donnent jamais de cores aux piťds, mais que ces piťds tentatifs restent toujours foutatifs, comme ils le sont!... Amen! -- Amen! s'ťcria toute la Sociťtť, Vits et Cons. Tout le monde sortit ťdifiť de la piťtť ťclairťe de ma Fille, et en s'en-alant, on disait: -- Voilŗ ce qui s'appelle connaitre la vraie religion, et prier Dieu comme il conviťnt, en Lui demandant des choses raisonnables! Hoh! c'est une Fille exemplaire-! XLVI Chapitre. Chapitre. Premiere Negociacion du con de ma Fille. Le surlendemain, quand je vis Conquette [que j'avais ťvitťe le Lundi], je La trouvai coÓffťe en batant-l'oeil: Ce qui, avec ses grands ieux ŗ longs cils La rendait charmante... Elle avait des souliťrs de coutil de soie neufs, qu'elle essayait. Je me jetai ŗ ses genoux, en Lui disant: -- Coquette: Ton piťd est le mieux-fait possible; mais il est un-peu grand, & ce soliťr biťn pointu, ces talons minces, trŤs-ťlevťs, le font paraÓtre plŁs petit de-moitiť: Il est divin!.... & je bande... comme tu vois?.... -- Mon cher Papa: comme je sais ŗ quel point vous m'ŗdorťz, j'ai voulu consacrer cette chaussure, avant de vous la prťter pour orner vÚtre cheminťe... Voici les blancs d'hiŽr, avec lesquels j'ai tant ťtť..... ce que vous savťz....... Voyťz la jolie forme que leur a donnťe mon piťd? Ils sont plŻs voluptueux qu'avant d'avoir ťtť mis... Je flairai avidemt le dedans de ces divins soliers: -- Hah! je bande! m'ťcriai-je; Les sacrťs-bougres sont embaumťs... Je suis perdu... j'aurai la colique, si je ne t'enconne une pauvre fois?... Laisseras-tu decharger par-terre ce Vit-paternel? -- Mon cher Papa, mettťz-vous le cýl & les couilles dŠns cette grande terrine, prťparťe pour mon cůn & mon cýl; l'eau froide vous ferait debander. C'est mon remŤde quand j'ai le cÚn brŻlant-. Ce qu'elle me disait me parut raisonnable, et je Le fis: Elle cacha ses piťds comme une Dame Espagnole, et je fus calmť. -- J'en ai fait autant tout-ŗ-l'heure: Timori vžťnt de venir: J'ťtais encore au lit; Il m'a pris les tetons, puis le cÚn: La vue de son Vit, qui bandait rÚide, m'a fait impression. Mais mon coeur n'a riťn senti. Cependant il voulait me gamahucher, me priant de le branler aprŤs? -- Je ne suis pas une Putain. -- Tu es bien frÚide-? (C'est que reellement je ne l'aime plus; vous Ítes mon amant, cher PŤre? & Tražtdamour est votre lieutenant dans mon cÚn; il est votre double Vit, & c'est encore Vous qui me foutťz, quand il me l'enfonce)... J'ai cependant eķ des remords de ma dķretť: Je lui ai saisi le Vit, & me le mettant dans la bouche biťn decalotť, je l'y ai fait decharger, avalant son foutre avec delices. Ce qui m'a fortifiťe. Mon chocolat m'a rincť la bouche...... Mais revenons. Si Vous voulťz que votre Fille cherie ait ķn plaisir ineffable, caressez-La, quand on La fout. Langue en bouche, la siťnne dans la vŰtre... Vous prenant les couillŤtes, vous serrant le vit ŗ la poignťe, elle dechargerait au double? -- Hoh! tu es trop adorable... Foutons un petit coup? -- Je m'ťtais rafraichi le con: mais tu y remets le feu, cher Papa, et le foutre seul peut l'ťteindre... Foutons... Enconne ta Fille... Mais va doucemt, que je decharge plusieurs-fois, tout en te racontant quelque-chose-. Elle se renversa, me mit le vit dans son con, me fit entrer lentemt, par de petits coups-de-cul insensibles. La fraÓcheur de l'eau m'avait fait roidir, ťt retardait l'ťmission. Enfin, elle ne fut plus maÓtresse de se retenir; elle coupdecula, elle saccada, en s'ťcriant: -- Ze deÁa--arse-!... Elle resta ensuite immobile, en me disant: -- J'ai oubliť de vous remettre l'adresse que l'Entreteneur d'avant-hier m'a glissťe, pour l'aler voir, ťt... foutre avec Lui... Hah! fourgonne... je redeÁarge... Tu pars... Hah divin PŤre!... Et elle se mit ŗ soubresauter, en gigotant, comme jamais ne gigota Fouteuse... AprŤs une copieuse decharge, elle reprit: -- La voila. Dis-Lui, ou ťcris-Lui, Que je ne vais chťz Persone. Et laissez-Lui votre adresse. -- "Oui, Deesse Fututrix", Lui repondis-je. La Brideconin nous apporta notre excellent chocolat; et je partis. AprÍs les affaires, j'alai chťz le futur Fouteur de ma Fille. Je Le trouvai: je Lui donnai un mot de Conquette-Ingenue, par lequel elle Lui marquait, Que s'il avait un mot a repondre, il pouvait tout dire a son PŤre... Je fus biťn reÁu. Le Richard me dit, Qu'il demandait une MaÓtresse aimable, et qui sŻt donner, en foutant, biťn du plaisir. -- Monsieur (Lui repondis-je), ma Fille a ťtť mal-mariťe; elle peut vous apartenir, ŗ-condition qu'elle gardera son logement voisin du miťn. Vous y mangerťz, coucherťz avec elle, sans que je m'en mÍle. Quant ŗ la voluptť, ťt aux mouvemens. du cŻl ou des reins, un Mari libertin ne Lui a donnť que de trop douloureuses LeÁons... Mais en vous La livrant, je veux que son sort soit assurť, qu'il s'amťliore mÍme un-peu chaque annťe... Je vous rťpons d'Ítre alors le Gardiťn de sa fidelitť. Dailleurs, elle est sage: L'assŻrance d'un sort independant de son monstre de Mari, peut seule La dťterminer-. Ceci convint fort! et la decision definitive fut remise aprŤs un voyage d'affaires et d'argent, dont il devait Ítre de-retour dans 8 ou 10 jours. Je revins apporter ces nouvelles ŗ ma Conquette-Ingenue. -- Mon Papa, repondit-elle, pour peu qu'il me foute, vous me sufirťz vous ťt Lui; vous serťz mes deux pŤres. Je renoncerai mÍme ŗ votre beau Secrťtaire, si vous me promettťz de n'enconner que Moi? OŻ trouverťz-vous un Con qui vaille le miťn?... Garde-moi tout ton foutre, comme tout ton coeur, Ű le plŻs ribaud des Papas-? Ie vis qu'elle ťtait jalouse, ťt je l'en aimai avantage. Mais j'ťtais encore trop libertin, pour me borner ŗ foutre uniquemt Celle que j'aimais le mieux. La Brideconin nous apporta de la limonade. Elle boitait de naissance, mais d'une maniťre voluptueuse. Elle Ítait coifťe en cheveux, ťt quoique grÍlťe, trÍs-provoquante. Ie le dis ŗ ma Fille. ConquŤte-Ingenue me repondit: -- DÍs avant nos parties, son Mari voulait me le mettre; mais il me deplaÓt. La Femme a demandť, depuis qu'ils ont tout vu, Š me gamahucher. Tous-deux m'adorent. Je ne leur avais, jusqu'au boulevari d'hiŽr, laissť baÓser que mon piťd. Le Mari enconne sa Femme dÍs que je le veux. C'est un amusement que je me donnais dans la semaine; je n'avais besoin que de m'asseoir en vue de Brideconin, les jupes troussťes jusqu'au mollet; il est tellement excitť par ma mi-jambe ťt mon piťd, qu'il se jŤte sur la Putain, ťt la fout tant que je veux; en haussant toujours un-peu la jupe. Enfin, s'il aperÁoit un commencemt de la cuisse, il heurle de luxure. Un-jour, trop ťchauffťe par ce que je voyais, je me donnai de l'air au con, en le dťcouvrant. Le Fouteur s'est mis ‚ braire, en fourgonnant avec fureur. Il dechargeait, refourgonnair, ťt alait se tuer, quand sa Femme me regarda.... Elle se h‚ta de decharger, ťt vint me baisser les jupes. Alors Brideconin ťpuisť se trouva mal-. A ce recit de ConquŤte, je rebandais. Mais je me remis le Vit et les Couilles dans l'eau, ťt biťn rafistolť, je sortis sans finaler. Nous fumes Tous sages le reste de la semaine. XLVII Chapitre. Chapitre du Rabachages Š Faire bandocher. Le Dimanche arrivť, tout notre Monde accourut, ŗ-l'exception de Rosemauve, qui se dit malade. Tendrelys vint seule, & d'elle-mÍme: TraÓtdamour ne l'avait pas trouvťe chťz elle, & il ťtait dťja f‚chť. MaÓs il fut ravi, en entrant avec sa Soeur & sa MaÓtresse, de la voir auprŤs d'Ingenue, qui lui suÁait le sein decouvert!... Il l'en remercia, en lui baisant le cýl & le con. Cordaboyau & BrÓsemote arrivŤrent les derniťrs. On se mit ŗ Table, dÍs que Cordaboyau, envoyť chťz Rosemauve, eķt annoncť, qu'elle ne viťndrait pas. Il remit en-mÍme-temps un Billet de la Malade pour ma Fille. Ingenue le parcourut bas dabord: puis elle nous le passa. TraŪtdamour lut par mes ordres. Le voici: Divine Amie! ReÁoi les actions de gr‚ces que je rens ŗ ton Conin et ŗ tes Soliťrs... HiŽr jeudi fÍtedieu (la Lettre ťtait du vendredi), j'avais mis la chaussure que tu m'as prÍtťe, pour faire bander un Clerc de No aire, amant de ma Soeur Rosalbe, ŗ laquelle je le voulais enlever. J'avais aussi ton grand bonnet battantl'oeil, qui me va si biťn, ŗ cause de mes grands yeux noirs, la robe, la jupe blanches sur fond rose, comme toi. Je m'avisai de me donner ton joli tourdecýl. Dans la rŁe des Cinqdiamans, j'entendis derriŤre moi: "C'est elle!... Oui, c'est elle! c'est ma Deesse"!... On m'aborde. "H‚! ma Belle! vous voila si prÍs de chťz moi, que vous y monterťz, puisque votre PŤre y est venu"?... Il m'a pris le bras; je me suis laissťe mener; pensant biťn qu'en me reconnaissant, il me laisserait aler, surtout aprÍs m'avoir foutue. Point! il ne se desabuse pas!... Il est vrai qu'il m'avait introduite dans un appartement au premiťr ŗ trŤs sombre jour. Il tombe ŗ mes genoux, ou plŁtŰt aux vŰtres "Vos tražts, belle Saxancour, sont un peu differens de ce qu'ils m'avaient paru; mais vous n'en Ítes pas moins une Brune adorable. C'est que j'ai toujours plŻs regardť vos piťds, dont je suis fou, que votre visage, tout charmant qu'il est. Aussi les reconnais-je parfaitement, ainsi que tout le reste de votre parure... M'aimerťz-vous"? J'ai cru devoir repondre, "OuÓ. "H‚! je suis trop heureux"! Il m'a pris mille baisťrs, en me fesant darder la langue, m'a patinť les tetons, saisi la mote, renversťe sur un large sofa, troussťe, foutue... J'ai remuť du cýl! je lui ai donnť du plaisir... h‚! vous me connaissťz?... «a fait, il m'a prťsentť ŗ laver, m'a fait lui verser de l'eau sur le vit, m'a essuyť cÚn et cýl, m'a baisť la mote et les fesses: puis a dit ŗ sa Femme de charge: "Le dÓnťr est-il prÍt? "Dans un demi-quart d'heure. "AprÍs le verre d'Alicaute, descendons, ma Belle"! Nous sommes descendus chťz le Notaire voisin. Six-mille francs par an, 500 francs par moi, d'avance.... J'ai signť la minute, ťt je suÓs remontťe dotťe, comme j'ťtaÓs descendue foutue. Nous avons dÓnť tÍte-ŗ-tÍte. Des que les Domestiques ont ťtť retirťs, il m'a fait mettre ŗ nud mes tetons; puÓs il m'a enyvrťe de champagne. Il s'Íst lavť le vit dans un verre mousseux. Je l'aŪ aussitŰt avalť... Enchantť de ce tražt, il m'a mis son vit sur les lÍvres. Je le lui aŪ embouchť, suÁť! Il s'Íst recriť de plaÓsir, en me dÓsant: "Tu Ís ma deesse, la putain faite pour moi. Je ne veux pas te decharger en bouche; je veux garder mon foutre pour ton CÚn. Montre-le moi, que je le baÓse; ťt adieu jusqu'ŗ demain... Mon carrosse? (a-t-il dit ŗ sa Femmedecharge, qui m'ťpongeait le cýl ťt le cŰn]. Il m'a remenťe. J'auraÓ mon apportement chťz lui ce sožr. Je suÓs restťe tard au lit, y ťtant toute embaumťe, et envelopťe dans deux peaux de veaux, qui m'ont ťtť apportťes hÓŽr-sožr encore chaudes; afin d'avůŪr la peau des cuÓsses ťt des fesses presqu'aussi satinťe que vous. Ainsi, belle ConquŤte! je vous dÚis ma fortune. J'en remercie votre adorable Cůn, ťt surtout votre voluptueuse chaussure. En chemin, mon genereux Fouteur m'a promis que dans trÍs-peu de temps, il me ferait enculer en sa prťsence, par un joli Jockey, auquel il s'Íst deja fŗit enculer Lui-mÍme 2-fois, dans deux circonstances, oý il avait ressenti au trou du cýl un violent prurit. C'a ťtť son expression. Adieu... ou Avit, Ű divine Fouteuse! Nous fumes tous ťbahis! Tendrelys embrassa ConquŤte-Ingenue, en s'ťcriant: -- H‚! si l'On vous connaÓssait-!... Je voulais aler dťtromper mon Gendre volť. Ma Fille m'en empÍcha: -- Il n'ťtait l'amant que de ma chaussure; il ne lui est pas infidŤle; il a tout ce qu'il lui faut-. Tendrelys applaudit ŗ cette rťponse: -- Je ne dis mot: mais je n'en pense pas moins-, ajouta-t-elle. La Brideconin, pour Ítre plŻs ŗ nos parties, qui lui donaient des plaisirs inconnus, avait fait venir chťz elle, ce jour-lŗ, Une Soeur de son Mari, fort-grÍlťe; mais la plŻs provocante TetonniŤre de 18 ans qu'On puisse voir. La Garse ne croyait pas que la Laideron tenterait, toutes nos Dames ťtant jolies, & 2 parfaitemt belles. Ce fut cette TetoniŤre, faite-au-tour, ŗ t‚ille guÍpťe, comme les Comtoises, qui nous servit. Mais dÍs qu'elle eŁt fait bander, pour lui ťviter de la peine, les Hommes alŤrent chercher les assiŤtes...... Au dessert, On me somma de raconter l'histoire des Cons depucelťs dont avait parlť Minone, & que Mad. Ingenue-ConquŤte m'avait empÍchť de faire ŗ soupťr, depeur qu'elles ne fussent trop savoureuses? J'y consentis. HISTOIRE des Phťnixs dťnichťs. "Je vais (dis-je en m'essuyant la bouche, ťt baisant les tetons de mon active Fouteuse, vous conter comment j'ai depucelť Victoire-Beauxtalons; Virginie-Moteblonde; Rosalie-Con-Rose, ainsi que SuzonŤte sa soeur-cadŤte; Manon-Aurore-Sourismignard; Lťonor-Robť, femme de Marg‚ne le Parfumeur; la Seconde ťt la TroisiŤme Consfriands, Saccadine ťt VoixflŻtťe. La premiŤre-fois que je vis la voluptueuse Beauxtalons, elle ťtait en deshabillťr brun, bas fins de coton, soliťrs de maroquin noir; talons plŁs hauts que ceux de ConquŤte. Elle me donna des desirs violens; je la suivis: c'ťtait le soir: Elle entra dans l'alťe ŗ-cŰtť de la boutique de sa MŤre. L'escaliťr ťtait obscur. J'ťtais sur ses talons. Elle ouvrit le premiťr, dont les volets ťtaient fermťs. Nuit profonde. J ťtais entrť avec elle. "H‚! c'est vous, Monsieur CopahŁ, dit-elle en m'entendant rťspirer... Je Lui mis la main sous la jupe. "HŰ! voila toujours come vous faites!... Laissons donc les volets fermťs". Je cherchais un Lit. Elle y recula. Je L'y renversai. "Mon dieu! alťz, que vous Ítes tŤrible"! Et elle s'arrangeŗit nťanmoins commodťment pour tous-deux. J'insŤre. Elle riposte, en disant: "Il faut biťn faire comme Áa, sans quoi vous dites qu'On ne vous aime pas". La jouissance fut delicieuse, quoique simple ťt sans accessoires. Mais Victoire ťtait si belle, ťt je L'avais tant desirťe!... Je voulais sortir sans Ítre connu. On frappa. Je suivis ma Monture effrayťe qui courait ouvrir, quoique je La retÓnsse. en disant: "C'est mŗ MŤre, ou mŗ Soeur: Restťz ou sortťz, come il vous conviťndra"? "Je sors". Elle [ici s'arrÍte le volume imprimť] Transcription en franÁais moderne: Quelle excuse peut se donner ŗ lui-mÍme, l'homme qui publie un ouvrage, tel que celui qu'on va lire? J'en ai cent, pour une. Un auteur doit avoir pour lui le bonheur de ses lecteurs.. Il n'est rien qui contribue autant au bonheur, qu'une lecture agrťable. Fontenelle disait: "Il n'est point de chagrin qui tienne contre une heure de lecture". Or, de toutes les lectures la plus entraÓnante est celle des ouvrages ťrotiques, surtout lorsqu'ils sont accompagnťs de figures expressives. Blasť sur les femmes depuis longtemps, la Justine de Dsds me tomba sous la main. Elle me mit en feu; je voulus jouir, et ce fut avec fureur: je mordis les seins de ma monture; je lui tordis la chair des bras... Honteux de ces excŤs, effets de ma lecture, je me fis moi-mÍme un Erotikon savoureux, mais non cruel, qui m'excita au point de me faire enfiler une bossue bancroche, haute de deux pieds. Prenez, lisez, et vous en ferez autant. L'ANTI-JUSTINE. Personne n'a ťtť plus indignť que moi des sales ouvrages de l'inf‚me DsDs; c'est-ŗ-dire, de Justine, Aline, le Boudoir, la Thťorie du Libertinage, que je lis dans ma prison. Ce scťlťrat ne prťsente les dťlices de l'amour, pour les hommes, qu'accompagnťes de tourments, de la mort mÍme, pour les femmes. Mon but est de faire un livre plus savoureux que les siens, et que les ťpouses pourront faire lire ŗ leurs maris, pour en Ítre mieux servies; un livre oý les sens parleront au coeur; oý le libertinage n'ait rien de cruel pour le sexe des Gr‚ces, et lui rende plutŰt la vie, que de lui causer la mort; oý l'amour ramenť ŗ la nature, exempt de scrupules et de prťjugťs, ne prťsente que des images riantes et voluptueuses. On adorera les femmes, en le lisant: on les chťrira, en les enconnant; mais l'on en abhorra davantage le vivodissťqueur, le mÍme qui fut tirť de la Bastille avec une longue barbe blanche le 14 juillet 1789. Puisse l'ouvrage enchanteur que je publie, faire tomber les siens! Mauvais livre fait dans de bonnes vues. Moi, Jean-Pierre Linguet, maintenant dťtenu ŗ la Conciergerie, dťclare, que je n'ai composť cet ouvrage, tout savoureux qu'il est, que dans des vues utiles; l'inceste, par exemple, ne s'y trouve, que pour ťquivaloir, au goŻt corrompu des libertins, les affreuses cruautťs, par lesquelles Dsds les stimule. Florťal, an 2. Chapitre I De l'enfant qui bande. Je suis nť dans un village prŤs de Reims, et je me nomme Cupidonet. DŤs mon enfance, j'aimais les jolies filles. J'avais surtout un faible pour les jolis pieds et les jolies chaussures; en quoi je ressemblais au Grand-Dauphin, fils de Louis XIV, et ŗ Thevenard, acteur de l'Opťra. La premiŤre fille qui me fit bander, fut une jolie paysanne, qui me portait ŗ vÍpres la main posťe ŗ nu sur mes fesses; elle me chatouillait les couillettes, et me sentant bander, elle me baisait sur la bouche avec un emportement virginal: car elle ťtait chaude, parce qu'elle ťtait sage. La premiŤre fille ŗ laquelle je fis des attouchements, en consťquence de mon goŻt pour une jolie chaussure, fut ma premiŤre puÓnťe, qui s'appelait Jenovefette. J'avais huit soeurs, cinq aÓnťes d'un premier lit, et trois puÓnťes. La seconde de celles-lŗ, ťtait jolie au possible; il en sera question. La quatriŤme avait le poil du Bijou tellement soyeux, que c'ťtait une voluptť seulement de le toucher. Les autres ťtaient laides. Mes puÓnťes ťtaient toutes trois provoquantes. Or ma mŤre prťfťrait Jenovefette, la plus voluptueusement jolie, et dans un voyage qu'elle fit ŗ Paris, elle lui apporta des souliers dťlicats. Je les lui vis essayer, et j'eus une violente ťrection. Le lendemain dimanche, Jenovefette mit des bas fins blancs et neufs de coton, un corset qui lui pinÁait la taille; et avec son lubrique tour de cul, elle faisait bander, quoique si jeune, mon pŤre lui-mÍme; car il dit ŗ ma mŤre de la renvoyer. (J'ťtais cachť sous le lit, pour mieux voir le soulier et le bas de la jambe de ma jolie cadette)... DŤs que ma soeur fut sortie, mon pŤre renversa ma mŤre, et la carillonna sur le pied du lit sous lequel j'ťtais, en lui disant: -- Oh! prenez garde ŗ votre fille chťrie! Elle aura un furieux tempťrament, je vous en avertis... Mais elle a de qui tenir; car je baise bien! et voilŗ que vous m'en donnez, du jus de con, comme une princesse... Je m'aperÁus que Jenovefette ťcoutait et voyait... Mon pŤre avait raison. Ma jolie cadette fut depuis dťpucelťe par son confesseur; ensuite foutue par tout le monde. Mais elle n'en est que plus sage ŗ prťsent... Dans l'aprŤs-dÓner, Jenovefette vint au jardin, oý j'ťtais seul. Je l'admirai; je bandai. L'ayant abordťe, je lui pressai la taille, sans parler; je lui touchai le pied, les cuisses, un connin imberbe et joli, s'il en fut jamais! Jenovefette ne disait mot. Alors, je la fis mettre ŗ quatre; c'est-ŗ-dire, sur les mains et sur les genoux, et, ŗ l'imitation des chiens, je la voulais enfiler ainsi, en hennequinant et saccadant de toutes mes forces, comme fait le chien, et lui comprimant fortement les aines de mes deux mains: je lui faisais cambrer les reins, de sorte que son connin ťtait aussi ŗ ma portťe que le trou de son cul: je l'atteignis donc et je mis le bout entre les lŤvres, en disant: -- Hausse, hausse le cul, que j'entre. Mais on sent aussi qu'un connichon aussi jeune, ne pouvait admettre un vit, qui ne dťcalottait pas encore (Il me fallait une connasse, comme je l'aurai bientŰt). Je ne pus qu'entr'ouvrir un peu les lŤvres de la fente. Je ne dťchargeai point, je n'ťtais pas assez formť... Ne pouvant enfiler, je me mis, aussi ŗ l'imitation de mes modŤles, ŗ lťcher le jeune connin... Jenovefette sentit un chatouillement agrťable sans doute; car elle ne s'ennuyait pas du jeu, et elle me donna cent baisers sur la bouche, lorsque je fus debout. On l'appela, et elle courut. Comme elle n'avait pas encore de gorge, dŤs le lendemain elle se mit des tťtons postiches, sans doute parce qu'elle avait ouÔ vanter ceux de sa mŤre, ou de ses aÓnťes. Je les remarquai: je la fis chausser, et l'ayant placťe commodťment sur son lit, je m'escrimai prŤs de deux heures. Je crois en vťritť qu'elle ťmit; car elle s'agitait comme une petite enragťe ŗ mon lŤchement de con... DŤs le surlendemain, on l'envoya en apprentissage ŗ Paris, oý elle remplit l'horoscope tirť par mon pŤre. Chapitre II Du con soyeux. Mes autres soeurs ťtaient l'une sťrieuse; elle me retint dans les bornes; mais j'ai depuis foutu ses deux filles ŗ Paris. Ma troisiŤme ťtait encore trop jeune: Á'a ťtť une superbe fille ŗ dix-huit ans! Je me rejetai nťanmoins sur cette enfant, lorsque je m'aperÁus que Cathos, jumelle de Jenovefette, ťtait inabordable. Il me fallait un con, depuis que j'en avais palpť un: je patinai Babiche. Enfin un dimanche, qu'elle ťtait bien arrangťe, et que ma mŤre l'avait baignťe, je la gamahuchai. Ce fut ŗ cette bťnigne opťration, que je fus surpris par l'ardente Madeleine au con soyeux. Elle nous examina longtemps avant de nous troubler, et voyant que la petite avait du plaisir, elle fut tentťe. Elle parla. Nous nous remÓmes dťcemment. Madeleine ne dit mot. Elle renvoya Babiche. Puis elle hasarda de badiner avec moi. Elle me renversa sur la paille de la grange, oý j'avais attirť Babiche; et lorsque je fus par terre, elle me chatouilla, passant par-dessus moi, jambe de Áŗ, jambe de lŗ. Par hasard, je portai la main sous ses jupes, et j'y trouvai l'admirable con soyeux. Ce poil divin dťtermina mon goŻt pour elle. Je devins fou du con de Madeleine Linguet: je lui demandai ŗ le baiser! -- Petit coquin! (me dit-elle), attends un moment. Elle alla au puits, tira un seau d'eau, et s'accroupit dessus... Elle revint, et badina encore. Enflammť, hors de moi, je lui dis, dans ma petite fureur ťrotique: -- Il faut que je lŤche ce joli trou. Elle se mit sur le dos, les jambes ťcartťes. Je lťchai; la belle Madeleine hocha du cul. -- Darde ta langue dedans, cher petit ami! (me disait-elle). Et je dardais, et elle haussait la motte. Je fourgonnais avec rage!... Elle eut tant de plaisir, qu'elle se rťcria. Je bandais comme un petit carme; et comme je ne dťchargeais pas, j'avais toujours la mÍme ardeur. Aussi m'adorait-elle. Obligťe de me quitter, Madeleine me donna des friandises, que je mangeai avec Babiche. Un soir, ma soeur au con soyeux me dit: -- Cupidonet! ta jolie broquette est toujours bien roide, quand tu me lŤches! Il me semble que si nous ťtions dans le mÍme lit, tu pourrais la faire entrer dans la bouche de ma petite marmotte, que tu aimes tant ŗ sucer, et dont le poil est si doux! j'aurais sŻrement bien du plaisir! et peut-Ítre toi aussi? Viens c'te nuit... Quand tout le monde fut endormi, je me glissai dans le lit de ma grande soeur. Elle me dit: -- J'ai vu mon pŤre, un jour qu'il venait de caresser ma soeur la belle Marie, qui partait pour Paris, courir sur ta mŤre, sa grosse broche bien roide, et lui fendre la marmotte: je vas te montrer; tu feras comme lui. -- Et moi aussi, je l'ai vu. -- Bon! bon! Elle se disposa, me plaÁa sur elle, me dit de pousser, et riposta. Mais elle ťtait pucelle, et quoique bandant roide, je ne pus introduire; je me faisais mal. Pour Madeleine Linguet, elle dťchargea sans doute; car elle se p‚ma. Oh! que je regrettai ce joli con soyeux, que je lťchais et fourgonnais depuis six mois! Mon pŤre, Claude Linguet, qui ne me ressemblait pas, ťloignait ses filles, dŤs qu'elles l'avaient fait bander. On prťtend que Madeleine avait tentť de se le faire mettre par lui... Quoi qu'il en soit, trois jours aprŤs, elle partit pour la capitale, oý notre frŤre aÓnť, l'ecclťsiastique, lui avait trouvť une place de gouvernante d'un chanoine de Saint-Honorť. Ce cafard ne tarda pas ŗ connaÓtre ce qu'elle valait. Il y avait une porte dťrobťe, de lui seul connue, qui donnait dans la chambre de ses gouvernantes, qu'il allait patiner durant la nuit. Mais il n'avait jamais trouvť de con aussi joli, que le con soyeux de Mlle Linguet! Il voulut le voir. Sa beautť le ravit, et il n'eut plus de repos qu'il ne l'eŻt foutu. Une nuit, qu'elle dormait d'autant plus fort qu'elle en faisait semblant, il la gamahucha. Elle dťchargea sensiblement. AussitŰt le chanoine monte sur elle, et l'enconne. Elle le pressa dans ses bras, en remuant du cul. -- Ha! Mignonne! (lui dit-il), que tu as le mouvement bon!... Mais n'as-tu pas de mal? car je te crois un peu putain?... Sa chemise et les draps ensanglantťs lui prouvŤrent qu'elle ťtait pucelle. Il l'adora! Elle foutit saintement avec ce saint homme pendant deux ans, et le mit au tombeau. Cependant il la dota. Ce qui fit qu'elle ťpousa le fils du premier mari de ma mŤre. Chapitre III De la mŤre foutue! Comme aprŤs le mariage de Madeleine et son retour ŗ Reims j'ťtais un peu plus formť, je dťsirai vivement de le lui mettre. Depuis plus de deux ans, j'en ťtais rťduit ŗ patiner et gamahucher ma soeur Babiche, avec quelques-unes de nos cousines germaines. Mais, ou mon vit grossissait, ou tous ces connins imberbes rťtrťcissaient... Je demandai un rendez-vous nocturne ŗ la nouvelle Mme Bourgelat! Elle me l'accorda pour le soir mÍme. Nous ťtions ŗ notre ferme, et son mari venait de partir, pour se rendre ŗ Reims, oý une affaire l'appelait. Je ne sais par quelle aventure, cette mÍme nuit, mon pŤre se trouva incommodť. Ma mŤre, aprŤs l'avoir secouru, craignant de le gÍner, alla se mettre auprŤs de sa bru. Celle-ci, la voyant endormie, se leva doucement, pour venir coucher avec moi, tandis que de mon cŰtť, j'allais ŗ elle. Nous ne nous rencontr‚mes pas, malheureusement!... Je me mis ŗ cŰtť de la femme que je trouvai dans le lit. Elle ťtait sur le dos: je la montai, toute endormie; et l'enconnai. J'ťtais surpris d'entrer aussi largement! Elle me serra dans ses bras, hocha quelques coups de cul, moitiť assoupie, en disant: -- Jamais! jamais vous ne m'avez donnť tant de plaisir!... Je dťchargeai aussi; mais je m'ťvanouis sur ses tťtons encore fermes, parce qu'elle n'avait pas nourri, et qu'on ne les lui avait jamais patinťs. Mme Bourgelat revint auprŤs de nous, au moment oý je m'ťvanouissais. Elle fut bien ťtonnťe des mots que venait de prononcer sa doublement belle-mŤre! Elle comprit que je l'avais foutue, et elle me reporta dans mon lit encore ťvanoui... Ainsi donc c'est dans le con maternel que je venais d'ťmettre ma premiŤre semence!... Ma mŤre, entiŤrement ťveillťe, dit ŗ Madeleine: -- Mais, que faites-vous donc, ma fille? J'ťtais revenu ŗ moi. Ma soeur retourna au lit de ma mŤre, qui lui dit tout bas: -- Ma bru! vous avez de drŰles de faÁons? -- Mon mari (rťpondit Mme Bourgelat), me fait souvent mettre dessus; je rÍvais, et je l'ai fait. Eveillťe, je suis sautťe du lit. Ma mŤre crut cela. Cependant le coup porta: Mme Linguet devint grosse, et accoucha secrŤtement d'un fils, beau comme Adonis; et elle eut l'adresse de le substituer ŗ un garÁon de son fils, cet enfant ťtant mort en naissant. C'est de lui dont il sera un jour question, sous le surnom de Cupidonnet, dit Petitcoq, mon neveu. Huit jours s'ťcoulŤrent. AprŤs quoi, bien remis de mon ťvanouissement, j'eus un autre rendez-vous. Mais admirez mon malheur! Nous avions ťtť entendus d'une grosse tťtonniŤre, notre moissonneuse, qui dormait dans la grange. Comme Mme Bourgelat devait venir dans mon lit, Mammelasse, qui m'aimait, car elle se branlait souvent ŗ mon intention, et qui d'ailleurs n'ťtait pas mťchante, se contenta de dire ŗ mon frŤre, de fermer les nuits la porte de sa chambre ŗ la clef, et de la cacher, pour cause... Il le fit. Mais jugez de mon ťtonnement, quand au lieu d'un con soyeux, et de tťtons ronds et dťlicats, je patinai une connasse ŗ crins de cheval, et deux gros ballons bien gonflťs. Elle se le mit; je poussai, et j'eus assez de plaisir. Mais je fus encore prÍt ŗ m'ťvanouir. Enfin, je le mis ŗ Madeleine, dans le grenier ŗ foin. J'allais comme un fou, en l'enconnant. Mais au troisiŤme coup de cul qu'elle donna, je m'ťvanouis... Chapitre IV D'un autre beau-frŤre cocu. Madeleine ťvita de m'accorder des faveurs, dont les suites l'effrayaient! Mais je ne sentis pas longtemps cette privation. Huit jours aprŤs la derniŤre scŤne, je partis pour venir ŗ Paris. J'y allais pour apprendre. Mais il ne sera pas ici question de mes ťtudes. Je fus logť chez la belle Marie, la seconde de mes aÓnťes. J'avais, pour mon pucelage, fait cocu mon pŤre; j'avais cornifiť mon frŤre utťrin, en faisant dťcharger, et foutant enfin avec ťmission une soeur paternelle, qu'il avait ťpousťe, et que j'engrossai: car Bourgelat n'a jamais eu que cet enfant, venu au monde neuf mois aprŤs ma fouterie au grenier ŗ foin. Mais j'avais encore bien de l'ouvrage, avec huit soeurs, dont six, ou du moins cinq, ťtaient souverainement enconnables. Mais revenons ŗ Marie, la plus belle de toutes... Un jour de Vierge, Marie ťtait parťe, chaussťe avec ce goŻt particulier aux jolies femmes, et un superbe bouquet ombrageait ses blancs tťtins. Elle me fit bander. J'avais quatorze ans; j'avais dťjŗ foutu et engrossť trois femmes; car Mammelasse avait une fille, qu'elle se vantait que je lui avais faite, et qui ressemblait comme deux gouttes d'eau ŗ Jenovefette Linguet. Ainsi, je n'eus pas des dťsirs vagues; je tendais directement au con de ma provoquante aÓnťe. AprŤs le dÓner, elle alla dormir, dans une alcŰve obscure, et s'ťtendit sur le lit conjugal. Elle avait vu bander son mari, dont la culotte blanche ťtait juste, et elle voulait lui donner le plaisir de le lui mettre parťe. Je me cachai pour les guetter. Mais mon beau-frŤre, aprŤs avoir pris les tťtons et le con de ma soeur, avoir admirť ce dernier, en ťclairant l'alcŰve, se rťserva sans doute pour la nuit suivante. Il se retira doucement. Je lui vis prendre sa canne, son chapeau, et sortir. J'allai pousser un verrou. En revenant, je refermai les rideaux; le mari les avait laissťs ouverts, et sa femme troussťe. Je me mis sur elle dťculottť, bien bandant, et j'enfilai sa fente, suÁant tantŰt ses tťtons dťcouverts, tantŰt ses lŤvres entr'ouvertes. Elle me croyait son mari. Un bout de langue me chatouilla. J'ťtais entrť tout calottť. Le filet, que je n'avais pas encore coupť, recourbait mon vit, et le faisait paraÓtre gros comme celui de l'ťpoux. Je poussai. Ma belle s'agita, et mon long vit atteignit le fond. Alors ma soeur, demi-p‚mťe, se trťmoussa. Je dťchargeai... et je m'ťvanouis... Ce fut ce qui me fit reconnaÓtre. La belle savoura les derniŤres oscillations de mon vit. Mais dŤs qu'elle eut ťprouvť tout le charme d'une copieuse dťcharge, elle se dťconna en me jetant sur le cŰtť. Elle ouvrit les deux rideaux de l'alcŰve; et, me regardant: -- Ha! Grand Dieu! c'est Cupidonet! Il m'a dťchargť tout au fond! Il s'est ťvanoui de plaisir!... Je revenais ŗ moi. Elle me gronda, en me demandant qui m'avait appris cela? -- Ta beautť (lui dis-je), adorable soeur. -- Mais si jeune? Je lui racontai alors toute ma vie: comme j'avais patinť, lťchť le connin de Jenovefette: comme j'avais gamahuchť, enfin enfilť le con soyeux de Madeleine; foutu Mme Linguet, la croyant Mme Bourgelat: comment Mammelasse s'ťtait fait enconner par moi; comment, ne pouvant me passer de con, je lťchottais le connichon de Babiche; comment j'avais engrossť les trois femmes que j'avais enconnťes. -- Ah ciel!... Mais tu es bien indiscret! -- Je ne le suis avec toi, que parce que tu es ma soeur aÓnťe, que je t'ai foutue (le rťcit que je venais de dťbiter, les tťtons de ma soeur, sa chaussure me faisaient rebander), et que je vais, divine Marie, te foutre encore. -- Mais mon mari... -- J'ai poussť le verrou... Elle me pressa la tÍte contre son beau sein, en me disant tout bas: -- Petit coquin, fais-moi aussi un enfant?... Je la re-enconnai, j'ťmis sans m'ťvanouir. La belle Marie n'avait pas encore eu d'enfants: je fus pŤre de Mlle Beauconnin, fille unique de mon beau-frŤre de ce nom. [Je passerai toutes les fouteries communes; ce n'est qu'ŗ force de voluptť, de tableaux libidineux, tels que les savoureuses jouissances qui vont suivre, qu'on peut combattre avantageusement dans le coeur et l'esprit des libertins blasťs, les goŻts atroces ťveillťs par les abominables productions de l'inf‚me et cruel de Dsds! Ainsi, je rťserve toute ma chaleur pour dťcrire des jouissances ineffables, au-dessus de tout ce qu'a pu inventer l'imagination exquisement bourrelle de l'auteur de Justine.] Chapitre V Du bon mari spartiate. Il faut nťanmoins, avant de passer aux tableaux que je viens de promettre, rapporter en peu de mots, une aventure extraordinaire, que j'eus, rue Saint-Honorť, ŗ vingt ans accomplis, en faisant mon droit. J'ťtais voisin vis-ŗ-vis d'un vieil horloger, qui avait une femme jeune et charmante. C'ťtait sa troisiŤme. La premiŤre l'avait rendu parfaitement heureux pendant douze ans; c'ťtait une ivresse. La seconde, durant dix-huit ans, ŗ l'aide d'une soeur plus jeune, par laquelle la dame se faisait remplacer au lit dans ses moindres indispositions, pour que son mari ne foutÓt jamais avec dťgoŻt. Cette excellente ťpouse ayant cessť de vivre, l'horloger avait ťpousť, ‚gť de soixante ans, la jolie, la dťlicieuse Fidelette, putative d'un architecte, et fille naturelle d'un marquis. La beautť de cette troisiŤme femme n'avait pas d'ťgale, pour le moelleux et le provoquant. Son mari l'adorait; mais il n'ťtait plus jeune! Cependant, comme il ťtait riche, il lui prodiguait tout ce qu'elle paraissait dťsirer. Mais il n'atteignait pas le but, et Fidelette ťtait chaque jour plus triste. Enfin, un soir, ce bon mari lui dit: -- Mon ange! je t'adore, tu le sais! Cependant tu es triste, et je crains pour tes jours prťcieux! Tout ce que je fais ne te flatte en rien? Parle! c'est un ami tendre qui t'en conjure! Dis-moi ce que tu dťsires? Tout, tout ce qui sera en mon pouvoir, va t'Ítre accordť! -- Oh! tout (dit la jeune femme). -- Oui, tout, fŻt-ce... Est-ce ŗ ton coeur? est-ce ŗ ton divin connin, qu'il manque quelque chose? -- Tu remplis mon coeur, cher mari! Mais j'ai des sens trop chauds, et, quoique blonde cendrťe, mon bijou a des dťmangeaisons... terribles! -- T'est-il indiffťrent qui le satisfasse; ou aurais-tu un goŻt? -- Sans aimer, j'ai un goŻt... un caprice... Mais je n'aime que toi. -- Qui excite ta main, que je vois en ce moment chercher ton gentil petit chose? -- Tiens! ce voisin... qui me regarde... et dont... je me suis dťjŗ plainte... -- J'entends!... Tu as dŻ me trouver bien bouchť!... Passe au bain, mon ange adorť.. je reviens dans l'instant. Il courut me trouver. -- Jeune voisin! On dit que vous aimez Mme Folin l'horlogŤre? -- Ma foi, on dit vrai; je l'adore. -- Venez. -- Il en arrivera ce qu'il pourra. Allons. Il me prit la main, et nous all‚mes chez lui. -- Dťshabillez-vous; passez dans ce bain, que ma femme quitte. Voilŗ de mon linge. Rťgalez-la en nouvelle mariťe - ou mťnagez-vous pour diffťrentes nuits; ŗ votre choix et au sien.... J'adore ma Fidelette; mais, pour cette ťpouse chťrie, je suis content dŤs que je la vois satisfaite, heureuse. Quand vous l'aurez foutue, que son petit connin aura bien dťchargť, je l'enconnerai ŗ mon tour, pour lui porter mon petit prťsent. Et il me fit entrer dans le lit oý sa femme ťtait depuis le bain. Il s'en allait. -- Mon cher mari! (s'ťcria cette timide Colombe), tu me laisses seule avec un inconnu! Oh! reste! et si tu m'aimes, sois tťmoin des plaisirs que je ne devrai qu'ŗ toi!... Et elle nous baisa tous deux sur la bouche... Le lit ťtait vaste. Le bon Folin s'y mit avec nous... Je grimpai sur le ventre de la jeune ťpouse, aux flambeaux allumťs, au vu du mari, et j'enconnai roide... Elle rťpercutait avec fureur. -- Courage, ma femme! (criait l'excellent mari, en me chatouillant les bourses) ... Dťcharge, ma fille! Hausse le cul!.. darde ta langue... ton fouteur va t'inonder!... Toi, jeune vit, plonge... plonge!... Lime... Lime-la... Nous dťcharge‚mes comme deux anges... Je la foutis six fois dans la nuit, et les deux ťpoux furent trŤs contents de moi... J'ai eu cette jouissance cťleste, et plus qu'humaine, jusqu'aux couches de Fidelette, qui perdit la vie, en la donnant au fruit de notre fouterie. Chapitre VI De l'ťpouse qui se fait enculer. Je passerai sous silence mes connilleries avec ma femme clandestine, puisque je n'ai jamais avouť ce mariage. Conquette-EllŤs ťtait une jolie grÍlťe, faite au tour, ayant un con tellement insatiable, que je fus obligť de lui mettre la bride sur le cou, et de la laisser foutre avec qui elle voudrait. Elle ťtait fille d'un traiteur de la rue Saint-Jacques, et soeur du libraire PetiteBeautť. Elle est morte syphilisťe, longtemps aprŤs m'avoir donnť deux filles... Ah! qu'elle foutait bien! jamais femme enconnťe n'a brouettť son cavalier comme Conquette!... Elle est la seule crťature que j'aie enculťe, mais sur son invitation, quand sa santť fut douteuse. Elle me donna ensuite le cul de sa soeur cadette, en me disant que c'ťtait encore le sien. Et je le croyais. Mais la jeune personne se faisant enconner, je m'aperÁus de la tricherie, dont je ne tťmoignai rien... Cela fut dťlicieux! mais ce n'est que de la fouterie ordinaire... Quand ma belle-soeur fut mariťe, ma femme sťduisit sa coiffeuse, ŗ laquelle elle recommanda bien de se faire enculer, allťguant que j'y ťtais accoutumť. Mais cette fille m'ayant averti dans la journťe, je l'enconnai la nuit, sans que Conquette s'en aperÁŻt. J'eus ainsi successivement six coiffeuses, toutes jolies, pendant douze ans, ma femme, qui les payait, croyant me cacher, par ce moyen, qu'elle avait la vťrole. Ce fut ainsi que j'attendis les connins dťlicieux qui m'ťtaient destinťs par la nature... C'est aprŤs la derniŤre coiffeuse, que Conquette mourante, ayant remarquť qu'un de mes cadets courtisait ma fille-niŤce Beauconnin, qu'on ne voulait pas lui donner, et qu'il en ťtait aimť, proposa ŗ Mariette de se le laisser mettre par son amant! Mais, craignant que le jeune homme ne pŻt la dťpuceler, elle me dit que la derniŤre coiffeuse m'envoyait une de ses ťlŤves, qu'il fallait enconner, et sans parler, parce que, ma niŤce couchant dans la chambre voisine, il y avait des raisons pour ne pas envoyer l'ťlŤve-coiffeuse dans la mienne... Pourvu que je foutisse un jeune con, que m'importait? J'allai nu au lit. Je trouvai des tťtons naissants, un connin qui tressaillait. Je dťpucelai... J'avais enconnť trois fois, lorsqu'on vint me faire retirer. Je crus que c'ťtait la convention. Mais, ayant ťcoutť, je fus trŤs ťtonnť d'entendre ťperonner de nouveau ma monture, et ma femme instruire, en les encourageant, son neveu et sa niŤce!... Je me remis dans mon lit tout pensif... Le lendemain, je demandai une explication ŗ Conquette. -- Eh bien, quoi? (me rťpondit-elle) vous avez dťpucelť votre niŤce Beauconnin avant que son cousin le lui mÓt parce que je craignais qu'il ne pŻt la dťflorer... Je fus enchantť! J'avais eu les prťmices de la fille que j'avais implantťe un jour de Vierge dans le con de la belle Marie Linguet. Mais je dissimulai ma joie. C'ťtait un excellent pronostic pour les plaisirs dont je me flattais de jouir depuis longtemps! et dont le moment approchait. J'y touche enfin. Chapitre VII Du connin au poil follet. On sait que j'avais deux filles, ou que du moins ma clandestine les avait; car je me rappelle qu'elle prťtendait que ses vťritables filles ťtaient mortes en nourrice, et que... et que... Elle parlait du Roi... d'une princesse... Mais elle ťtait si menteuse que c'eŻt ťtť une folie de la croire. Conquette-Ingťnue, ma fille aÓnťe, me causait des dťsirs dŤs l'‚ge de dix ans. Pendant que sa mŤre non encore vťrolťe couchait et foutait avec un galant, elle envoyait Conquette dans mon lit. Cette enfant avait la plus jolie conque. Je me fis une rŤgle dŤs lors de la lui baiser tous les soirs, aprŤs lui avoir ťcartť les cuisses, durant son premier sommeil. J'introduisais lťgŤrement la langue, mais sans lťcher. Je m'endormais ensuite, elle remise sur le cŰtť, ses fesses sur mes cuisses, et mon vit pressť entre les siennes. Dans le jour, j'enconnais, ou la maÓtresse d'un certain MiviŤre, avocat, ou une jolie bossue toujours bien chaussťe, qui demeurait dans la maison; ou une boiteuse des deux cŰtťs, mais d'une dťlicieuse figure, et prÍte ŗ se marier. Elle s'ťtait laissťe dťflorer par son futur, et depuis ce temps-lŗ, elle ne mťnageait plus un trŤs joli con blond. Quand ces trois fouteries me laissaient chŰmer trop longtemps, je fourgonnais, le vit serrť entre les cuisses de Conquette-Ingťnue, qui, se sentant gÍnťe, l'empoignait toute endormie, et me faisait ťjaculer. Elle avait onze ans. Elle sentit quelque chose, et parla. On la mit dans un cabinet fermť. Elle apprit ŗ dessiner. Lorsqu'elle eut treize ŗ quatorze ans, aprŤs une interruption de plus de deux ans, je me trouvai veuf, et elle revint ŗ la maison. Elle coucha dans une petite chambre ŗ cŰtť de la mienne. Elle ťtait grandie, faite au tour; elle avait le pied le plus parfait. Je la fis chausser par l'artiste le plus habile, sur la forme de sa mŤre, qui ťtait celle de la marquise de Marigni. Puis je devins ťperdument amoureux de mon ouvrage. Mais personne jamais ne fut plus chaste que cette cťleste fille; quoique ses mŤres, soit rťelle ou putative, fussent putains, et soient toutes deux mortes de la vťrole. Conquette-Ingťnue ne souffrait pas qu'on prÓt sur elle la moindre libertť... La Providence le voulut sans doute, pour qu'elle en fŻt un jour plus dťsirable et plus voluptueuse... Ainsi, je me trouvai rťduit ŗ la gamahucher pendant son sommeil, qu'elle avait profond, heureusement! Je profitais de son premier somme pour la dťcouvrir, admirer son dťlicieux connin, qu'un joli poil follet commenÁait d'ombrager, et la gamahucher modťrťment. Ce ne fut qu'ŗ la dixiŤme nuit, que je la sentis me riposter. Je redoublai les coups de langue, et elle ťmit.... La lumiŤre ťtait ťteinte, quand Ingťnue s'ťveilla, en disant: -- Ah! Ah! Ah! Áa me chatouille! Ahh!... Elle crut qu'elle avait rÍvť. Cependant elle dagua sa jeune soeur, couchťe avec elle, de plusieurs coups de coude, comme si elle eŻt pensť que cette enfant l'avait chatouillťe. Je me remis dans mon lit, enchantť que ma fille eŻt dťchargť. Cette ťmission me fit espťrer qu'ayant ťveillť son tempťrament, je pourrais l'enconner bientŰt, en faire ma maÓtresse, et me trouver le plus heureux des hommes. Mais que j'ťtais loin de compte! et combien de vits devaient tenter de martyriser ce divin connin avant le mien! Hťlas! il fut prÍt d'essuyer une Iliade de malheurs!..... Quoi qu'il en soit, Á'a ťtť ma vťritable inclination, la plus constante, la plus voluptueuse, que cette adorable fille, qui n'a eu de rivale que sa soeur... Non (je le dis, d'aprŤs l'expťrience), il n'est pas au monde de plaisir comparable ŗ celui de plonger son vit bandant, jusqu'au fond du con satinť d'une fille chťrie, surtout si remuant du cul avec courage, elle dťcharge copieusement! Heureux! heureux qui cocufie, et fait cocufier un gendre ťgalement dťtestť de tous deux! Conquette-Ingťnue eut ses rŤgles la semaine suivante de celle oý elle avait enfin dťchargť. Ainsi elle ťtait parfaitement nubile. Mais, ťveillťe, je ne pouvais lui ravir aucune faveur essentielle. Ma soeur Marie, qui me connaissait, la mit en apprentissage de modes et du commerce de la bijouterie, chez une jolie marchande, dont le mari ťtait chef de bureau; et le bijou de la belle Conprenant me dťdommagea, mais sans m'en consoler, des rigueurs de celui de ma fille. Je le mis aussi ŗ ma niŤce Beauconnin, alors mariťe ŗ son cousin. Et, sans ce double soulagement, aurais-je pu m'empÍcher de violer la provocante Conquette-Ingťnue? Eperdument amoureux d'elle, n'osant lui prendre de jour son joli poil follet, et ne l'ayant pas la nuit, je me contentais de la faire regarder dans la rue, par une fenÍtre ŗ large rebord, ce qui lui mettait ŗ dťcouvert un pied exquisement chaussť, une partie de la plus belle jambe; de sorte qu'en me baissant, je voyais la cuisse, et le connin dans certains mouvements, ou lorsqu'elle se disposait ŗ descendre. Je bandais comme un carme. Mais en ce moment arrivaient ŗ point nommť, ou la maÓtresse de Conquette-Ingťnue, ou ma jolie niŤce Beauconnin, que j'allais enfiler dans ma chambre, aprŤs avoir dit ŗ ma fille de se remettre ŗ la fenÍtre, pour les voir arriver; et, au moyen de ma porte entr'ouverte, je voyais le pied provoquant, la jambe voluptueuse de celle qui me faisait bander, en foutant soit sa maÓtresse, soit sa cousine. Quatre ans s'ťcoulŤrent ainsi; et je n'eus plus de fouteries. Alors, plus amoureux que jamais de Conquette-Ingťnue, qui ťtait superbe ŗ dix-huit ans, je rťsolus de la faire coucher quelquefois chez moi, en la retenant tard, sous prťtexte d'une indisposition subite. Elle avait toujours le sommeil aussi profond. Ainsi, dŤs qu'elle ťtait endormie, je la gamahuchais, et je la faisais copieusement dťcharger. Elle avait une motte superbe, ombragťe d'un poil noir doux et soyeux. Je brŻlais d'envie de le lui mettre. Mais elle s'ťveillait toujours en dťchargeant. Aussi me disait-elle: -- Je ne fais que chez vous de singuliers rÍves, qui me rendent toute je ne sais comment!... La seule chose que je me permisse ťtait de demander ŗ baiser son joli pied chaussť; quelquefois sa jambe. J'allai un jour, en la tourmentant beaucoup, jusqu'ŗ obtenir de toucher le poil satinť de son bijou. Mais elle fut ensuite si fort effarouchťe, craignant que je ne parvinsse ŗ la dťflorer avant mariage, qu'elle prťcipita, aidťe de sa maÓtresse Mme Conprenant, un mauvais ťtablissement avec un inf‚me. Ce fut ce que j'ai eu tant de peine ŗ lui pardonner!... Mais la pauvre enfant en a trop souffert... elle s'en est assez repentie... son charmant connin a depuis trop bien mťritť de moi, pour que des torts de jeunesse et d'inexpťrience ne soient pas oubliťs. J'y ťtais obligť d'ailleurs par un autre motif: c'est que je dois ŗ cet exťcrable mariage d'indicibles dťlices (comme on va le voir), ainsi que ma fortune prťsente. Chapitre VIII Des conditions de mariage. Le dimanche suivant, Conquette-Ingťnue ťtant chez moi, suivant son usage, elle ne put s'empÍcher de voir que je bandais ŗ n'en pouvoir plus! Elle tremblait pour sa virginitť!... Je lui avais baisť le pied, la jambe; mais elle avait dťfendu son connin. Tout ŗ coup je me lŤve, et m'appuyant sur le dossier de sa chaise, je plonge les deux mains dans son corset; je lui prends les tťtons.... Ah! qu'ils ťtaient jolis!... petits, mais fermes! et d'une blancheur... Elle ne put se dťrober... Elle me dťclara pour lors sťrieusement, qu'elle voulait se marier. A ce mot, je passai devant elle, le vit ŗ l'air et bien bandant. Elle devint rouge comme une cerise. Elle bouillait. Enflammť d'amour et de luxure, je lui notifiai, que je ne signerais rien, qu'ŗ la condition de la dťpuceler auparavant. Elle se rťcria!... Je lui pris le con par force. Elle se recueillit, et me dit: -- Signez du moins pour ceci! -- Oui; si je te gamahuche. Elle ne m'entendait pas. Je m'expliquai, ajoutant: -- Et jusqu'ŗ la dťcharge, ou le plaisir, de ta part, inclusivement! Elle rťflťchit... Puis soupirant: -- Ah! combien vous me l'avez fait! Mes rÍves ťtaient causťs par vous!... Elle se mit ŗ la renverse sur le lit, en me disant: -- Satisfaites-vous! et... ne me... trompez pas!... Gamahuchez... mais je veux Ítre pucelle le jour de mon mariage avec M. VitnŤgre; c'est un homme veuf, et Mme Conprenant dit qu'il s'y connaÓt. Pendant ce discours, je rassasiais mes yeux d'abord de la vue du plus ravissant des connins; de celle d'un ventre uni comme l'ivoire; d'une cuisse d'alb‚tre; d'un cul de satin. -- DťpÍchez-vous! -- J'inventorie ce que nous devons livrer ŗ ce M. VitnŤgre, et tout est bien conditionnť, une chose que je te dirai exceptťe. Gamahuchons. J'ťtais enragť! Je la lťchais avec fureur, guettant l'instant de l'ťmission de sa liqueur virginale, pour me jeter sur elle, et l'enfiler. Elle ťmit dŤs le sixiŤme coup de langue; de sorte que je ne le pouvais croire. Mais bientŰt ses trťmoussements m'en convainquirent. Alors, quittant le connin, je me jetai sur elle. Enivrťe de plaisir, il est certain qu'elle m'aurait laissť tout faire; mais son jeune connichon, quoique bien humectť de son foutre et de ma salive, ne put Ítre pťnťtrť. L'expťrience qu'il faut, pour enfiler certaines pucelles, de la pommade ou du beurre frais, ne m'ťtait pas encore acquise... A la fin, elle me saisit le vit, pour me dťbusquer. Pressť, de sa main douce et blanche, il dťchargea, et couvrit d'un foutre azurť son con, son ventre, ses cuisses et sa main. Propre comme elle le fut toujours, elle se dťbarrasse, et court se laver. -- Qui ne dirait (m'ťcriai-je en la voyant s'ťponger cul, cuisses et conniche), que je l'ai enconnťe!... -- Ah! si vous ťtiez raisonnable! (rťpondit Conquette-Ingťnue) ce joli gamahuchage, tant que vous voudriez; car j'ai eu bien du plaisir! -- Voilŗ un joli mot! Et je lui fis darder la langue dans ma bouche, moi lui tenant le connin. -- Mais (reprit-elle), pas ce qui m'a salie, dans ce que je viens de laver! je veux Ítre honnÍte femme. -- Tu dois ton joli con ŗ ton pŤre, ma charmante fille! -- Si vous ťtiez plus riche, je renoncerais au mariage, et je me dťvouerais ŗ vos plaisirs. Mais il me faut un mari, pour cesser de vous Ítre ŗ charge. Touchť, je la baisai des pieds ŗ la tÍte, soulier, jambe, front, oeil, bouche, cou, tťtons, cuisses, cul, enfin motte, jusqu'ŗ ce qu'elle dťcharge‚t... Ensuite, je signai tout ce qu'elle voulut... Elle ťtait adorťe, en ce moment.. Elle se maria, sans me revoir, et m'ťvita pendant trois mois. Une pareille conduite me rendit furieux contre elle, et je jurai de la foutre et faire foutre, si elle retombait entre mes mains, mille et une fois, avant que de lui pardonner!... Mais savais-je alors qu'elle ťtait malheureuse? Chapitre IX Des dťdommagements. Victoire-Conquette, ma seconde fille, ťtait en province, depuis la mort de sa mŤre, chez sa tante Jenovefette, alors mariťe avec son dernier entreteneur. N'ayant plus de con ŗ ma dťvotion, je redemandai Victoire. En attendant qu'elle arriv‚t, je m'accommodai de deux petits connins encore imberbes, ou du moins ŗ poil follet, que je parvins ŗ perforer, en les pommadant. C'ťtaient la soeur et la maÓtresse de mon secrťtaire, qui lui-mÍme me les livra, comme on le verra par la suite. Nous foutions jusqu'ŗ sa vieille belle-mŤre; ne voulant pas aller aux putains. DŤs que Victoire fut arrivťe, je la fis chausser comme sa soeur, ŗ talons minces ťlevťs; et cette enfant, qui atteignait quinze ans, me fit autant bander que son aÓnťe. Mais je ne cherchai pas ŗ la dťflorer; elle ne me servait qu'ŗ me mettre en humeur, et ŗ me faire enconner plus vigoureusement et Minone, et Conette, soeur et maÓtresse de Traitdamour mon secrťtaire, ou leur belle-mŤre. Pour cela, quand Victoire rentrait parťe, chaussťe, je la saisissais par la jupe, et je l'asseyais sur mes genoux, ŗ crŻ, moi dťculottť, quand je le pouvais; je me faisais caresser, donner de petits coups de langue. Si j'ťtais ŗ crŻ, mon vit lui allait entre les cuisses comme le battant d'une cloche; si elle n'ťtait pas troussťe, comme elle ťtait fort innocente, je me faisais empoigner le vit, en lui disant: -- Mignonne, serre-moi le doigt, fort! fort! Minone, Conette, ou la belle-mŤre arrivaient toujours, Traitdamour en allant chercher une dŤs qu'il me voyait m'enfermer avec Victoire. En les entendant, je remettais la charmante enfant dans sa chambre par une porte dťrobťe; j'ouvrais, et je foutais dťlicieusement, les couilles chatouillťes par Traitdamour. Il enconnait ensuite la mÍme, soeur ou belle-mŤre, et je lui maniais les couilles. Je me serais contentť de cette vie pendant longtemps, quoique toujours amoureux de Conquette-Ingťnue, devenue Mme VitnŤgre, si mes soeurs Marie et Jenovefette n'eussent trouvť indťcent que je gardasse Victoire seule chez moi. Elles m'obligŤrent ŗ la mettre en apprentissage pour le linge chez des dťvotes qu'elles m'indiquŤrent. Mme Beauconnin l'y conduisit. Heureusement que la chŤre enfant m'avait, depuis quelques jours, donnť la connaissance d'une grande et superbe femme sťparťe, son amoureuse ťperdue, sans que la naÔve Victoire s'en dout‚t, et que cette belle femme m'en croyant amoureux aussi, foutÓt sous moi avec fureur. Car elle m'appelait alors son papa, et me disait: -- Enconne; enconne... enconne ta... provocante Victoire! ta... passionnťe, ta... tendre fille! Chapitre X De l'inf‚me mari. Mais le moment approche oý je dois recouvrer Conquette-Ingťnue. Mon dťsir le plus vif, mÍme dans les bras de Mme Moresquin (l'amie de Victoire), ťtait de faire VitnŤgre cocu! Un jour, ma Conquette me rencontra sur le pont Notre-Dame. Elle ťtait malheureuse; elle vint se jeter dans mes bras. Je fus si ťmu, que toute mon ancienne colŤre s'ťvapora. Ma dťlicieuse fille ťtait encore embellie dans les douleurs. Mon premier mouvement fut de lui prendre le con. Mais nous ťtions dans la rue... J'allai la voir dŤs le lendemain soir, ŗ l'heure oý elle m'avait dit que son mari, ou plutŰt son monstre, n'y ťtait jamais. Je la trouvai seule en effet; et dŤs cette premiŤre visite, elle m'avoua qu'elle avait un amant. Ravi de cette confidence, qui m'annonÁait le cocuage de VitnŤgre, je la flattai, je l'amadouai; je l'engageai ŗ se le laisser mettre par Timori (son galant). Mais je compris bientŰt que c'ťtait, des deux cŰtťs, un amour absolument platonique, oý Conquette-Ingťnue se consolait, auprŤs d'un bandalaise, des brutalitťs d'un dťbauchť. Elle aimait ŗ parler de son amant. Et, comme j'ťtais le seul avec qui elle le pŻt en sŻretť, que je promis de leur procurer des entrevues, je fus chťri. A la seconde visite, Conquette me dťcouvrit quelques infamies rťcentes de VitnŤgre. Un jour qu'elle se baissait, pour ramasser quelque chose, il lui fit prendre le con par un de ses amis. Elle s'ťcria. -- Ce n'est rien qu'un con de pris (dit froidement VitnŤgre)... (ŗ son ami): -- Ne t'avais-je pas bien dit qu'elle avait le poil du con plus satinť que de la soie?... Eh bien! le dedans est plus doux encore... Conquette voulut se retirer. Il la retint brutalement, la fit mettre sur lui, la troussa jusqu'aux cuisses, et lui tint le con, s'efforÁant de le faire voir, ou de la branler, pendant tout le temps qu'il fut ŗ raconter combien, quand elle le voulait, elle donnait de plaisir ŗ son caresseur. -- Mais (ajouta-t-il), elle est comme les putains; il faut la rosser, pour lui faire faire son devoir. Il voulut ensuite lui dťcouvrir la gorge. Elle s'ťchappa. Mais il l'atteignit d'un coup de pied... Quelques jours aprŤs, le mÍme ťtant venu dÓner, aprŤs le cafť, VitnŤgre s'ťtant aperÁu que sa femme, aprŤs avoir pissť, avait fait bidet, dit ŗ Culant son ami: -- Voilŗ un con bien propre! il faut le gamahucher tous les deux, d'adresse ou de force! Mais, dans ce dernier cas, ne t'ťtonne pas du bruit!... Pour le premier, voilŗ une clef; elle ouvre la porte du cabinet qui donne sur le corridor. Tu entreras quand, lassť, je dirai trŤs haut: -- Allons, Madame, faites-moi beau con, et recommenÁons. Et donne-t'en! car je voudrais que toute la Terre foutÓt la garce; elle n'est pas assez large... Conquette fut rappelťe. Le mari la fit asseoir au milieu devant le feu, mit ŗ l'air son vit, ses couilles de mul‚tre, et dit ŗ son ami d'en faire autant. Comme il hťsitait: -- Dťculotte-le tout ŗ l'instant, bougresse, ou je t'arrache les poils du con ŗ la poignťe! Et il y porta la main. Elle fit un cri. Culant mit aussitŰt ŗ l'air son vit et ses couilles, en demandant gr‚ce pour elle. -- Allons, bougresse, branle-nous tous deux, un de chaque main!... -- Je suis son maÓtre (ajouta le scťlťrat); elle m'est abandonnťe. Conquette pleurait. L'ami demanda encore gr‚ce pour elle... -- Eh bien, qu'elle me suce le vit, lŗ, ŗ genoux devant moi, que je lui dťcharge dans la bouche! Je dťchargeais dans celle de ma premiŤre femme, qui en est morte, et c'ťtait mon dťlice. Culant observa, que ce serait g‚ter la plus jolie des bouches. -- Hť bien donc, je vais la gamahucher. -- Je banderais trop! (dit Culant) passez dans ce cabinet. VitnŤgre y poussa Conquette, et se substitua Culant. Puis il sortit pour aller jouer. Culant gamahucha, et n'osa foutre Conquette, ayant le vit si petit, qu'il ne pouvait Ítre pris pour VitnŤgre. Mais il dťchargea six fois, et Conquette le double. Il se retira, en lui donnant un coup de poing, afin qu'elle fŻt persuadťe que c'ťtait VitnŤgre. Mais le soir, ŗ sa rentrťe, le monstre dit ŗ sa femme: -- Eh bien, bougresse? as-tu ťtť assez gamahuchťe? ce n'ťtait pas moi; je ne t'aurais fait l'honneur de dťcharger six fois; c'ťtait mon ami. Mais, garce, tu l'as reconnu, puisque tu en as dťchargť douze, et que tu ne bandes pas pour moi. Et le bon coup de poing qu'il t'a donnť, hein? l'as-tu senti? (l'inf‚me ťclata de rire). Allons, garce de b‚tarde d'avocat, te voilŗ putain; j'entends que ton con me rapporte. Effrayťe, Conquette se promit de le quitter. Ce fut le lendemain qu'elle me rencontra, et de ce moment elle prit de la fermetť contre le monstre. Ce rťcit de ma fille, quoique plus gazť dans sa bouche, m'avait rťvoltť! je lui promis un prompt secours... Mais en mÍme temps il me faisait bander en carme, comme tous les rťcits de brutalitťs libidineuses. Je demandai des faveurs. On rougit; mais on me laissa baiser un joli soulier vert, qu'on portait pour la premiŤre fois. Je m'en tins lŗ. Cependant, ŗ la visite du lendemain, je glissai, en riant, une main dans son dos; insensiblement j'en vins aux tťtons, qu'elle dťfendit, mais qui me restŤrent enfin. Je me fis ensuite donner de ses cheveux; puis, voulant voir jusqu'oý je pourrais la mener, sans l'effaroucher, je la tourmentai pour avoir une petite touffe des poils de son con soyeux. Elle me la donna; mais en tremblant que son mari ne s'en aperÁŻt! Pour la remettre, je la fis parler de son amant; et pendant cet entretien, de libertťs en libertťs, je parvins au con. Elle ťtait si parfaitement Š son sujet, que je crois en vťritť qu'elle s'imagina que c'ťtait Timori qui lui tenait la motte!... Je lui dis, en la patinant, que je lui avais trouvť une pension, pour quand elle aurait quittť VitnŤgre. Elle rougit de plaisir, et m'embrassa. Je lui dardai ma langue, et elle me fit sentir la sienne... Ravi, j'allais lui demander le rťcit de la maniŤre dont elle avait ťtť dťpucelťe, quand, VitnŤgre s'ťtant fait entendre, je me jetai dans le cabinet obscur, me proposant de m'ťvader par la porte du corridor. Mais je fus ťtrangement surpris de voir un moine introduit par cette porte! Il ne m'aperÁut pas; je me cachai derriŤre un grand sofa. VitnŤgre entra aussitŰt par la porte de la piŤce que je quittais: -- Mon rťvťrend PŤre, voulez-vous la foutre avant dÓner?... Le moine, qui dťvorait des yeux la belle Conquette ŗ travers les vitrages, parut concentrť... Au bout d'un moment, il rťpondit: Chapitre XI Pucelage destinť aux gros vits, pris par un petit. -- Non: comme nous en sommes convenus, passez dans la chambre ťclairťe; faites-moi voir, en badinant avec elle, tťtons, cul et con; je me rťserve pour la nuit. -- Oh! ce coup-ci serait par-dessus le marchť. -- Non: j'aime ŗ foutre au lit, ŗ suÁoter langue et tťtons; ŗ enconner, enculer, entťtonner, etc., ŗ mordre, arracher les bouts... Allez... Ayez le vit ŗ l'air, et qu'elle soit bien chaussťe... De la brutalitť! VitnŤgre rentra dťculottť auprŤs de sa femme toujours tremblante devant lui. -- Allons, bougresse, il me faut du plaisir! Vois comme je bande, ŗ la vue de ce joli soulier vert!... J'ai entendu hier un jean-foutre derriŤre toi qui disait qu'il aurait voulu dťcharger dedans... A bas ce fichu, que je voie tes tťtons... Comme ils sont jolis! blancs!... fermes! Ah! garce! j'arracherais ce joli bouton, si je ne craignais de les g‚ter!... Marche.... Quel tour de croupion foutatif!... Troussťe, putain, au-dessus des reins et du nombril, que je voie ce mťcanisme-lŗ!... Marche en avant, prťsentant le con... Retourne-t'en montrant le cul... Ah! le joli mouvement!... Continue, garce ŗ cul et ŗ con, jusqu'ŗ ce que je te dise, Holŗ... (Elle fit ainsi cent tours, montrant alternativement son cul, son con)... Cependant le moine disait: -- Ce bougre-lŗ n'a pas le vit si gros que moi, et il n'a pu la dťpuceler! Oh! comme elle criera cette nuit!... Mais je n'y tiendrais pas; je la tuerais; elle crierait ŗ faire venir le voisinage... Je m'en vais. Et il sortit doucement, en murmurant: -- Elle est ŗ tuer; elle le sera!... Au mÍme instant, VitnŤgre dit: -- Holŗ, garce engarcťe. Et il vint dans le cabinet... -- Qu'en dites-vous? (dit-il) la voulez-vous essayer? Je bandais ŗ n'en pouvoir plus. Je rťpondis bien bas pour le moine: -- Oui. VitnŤgre alla chercher sa femme; et, la poussant brutalement: -- Allons, de par Dieu, garce, putain, que je te foute... Ah! comme tu vas crier! Mais songe, sacrť connin de poupťe, ŗ ne pas faire venir ici les voisines! ou je les laisse tous entrer, sans me dťranger de sur ton sacrť ventre!... En achevant ces mots, il me la renversa troussťe sur le foutoir mis lŗ exprŤs, et se retira. Je me prťcipitai sur ma fille, qui se sentant enfilťe presque sans douleur, ne criait pas. -- Crie donc! (lui dis-je bien bas). Et elle cria ŗ tue-tÍte, en se reconnaissant enconnťe par un ťtranger. DŤs que j'eus dťchargť dťlicieusement, en lui faisant osciller le con, je m'ťchappai, avant que les voisines arrivassent; et comme elle continuait ŗ crier, je les envoyai ŗ son secours. On la trouva debout. -- C'est ma femme que je baisais (dit VitnŤgre). Regardez-y; il en est encore tout barbouillť. Mais elle est du naturel des chattes; elle mord et crie, quand on la fait bien aise. Les voisines rirent, et se retirŤrent. VitnŤgre dÓna, et fut assez honnÍte; il craignait que sa femme n'eŻt connu qu'elle ťtait foutue par un moine, et qu'elle ne parl‚t. Je dÓnais dans un cabaret en face. Je le vis sortir, et aussitŰt je retournai chez ma fille, qui me conta tout. Je me tus d'abord. Je lui fis raconter la maniŤre dont je croyais qu'elle avait ťtť dťpucelťe; parce que ce rťcit avait du haut goŻt pour moi, et qu'il me ranimerait assez, pour me la faire foutre encore. Elle le fit, dŤs que je l'eus mise en goŻt, en lui rappelant de son amant. -- Notre premiŤre nuit et les trois suivantes ont valu chacune cinq cents louis ŗ VitnŤgre, ŗ ce qu'il m'a dit par la suite. DŤs que nous fumes arrivťs ŗ sa demeure, il alluma quatre bougies, qu'il mit autour du lit, sur lequel il me renversa troussťe jusqu'aux reins. Il me tourna, retourna, m'examinant, me baisant partout. Il me faisait lever les jambes en l'air, puis mettre debout sur le lit. -- Remue du cul (me disait-il), ainsi, ainsi (me montrant), comme si je te foutais. Je lui observai que cela ťtait indťcent. -- Bast! une femme est la putain de son mari... Il me gamahucha. Il s'ťcria de toutes ses forces: -- Elle dťcharge! Et il me fit empoigner son gros membre, de la couleur et de la grosseur de celui d'un cheval. -- Allons! allons, que je te foute, ŗ prťsent. Il se jeta sur moi. Mais il ne put rien. -- Foutre! Celles qui disent que ton pŤre t'a dťpucelťe sont des garces! tu es pucelle comme quatre. Je voudrais que tout le monde fŻt lŗ, pour en Ítre tťmoin... Il me pommada... devant, derriŤre. Il ťteignit les bougies (mon pucelage ťtait vendu), et il parut se coucher. Mais ce fut un autre; car toute la nuit je fus tourmentťe par un gros membre, qui ne put rien... Depuis le mot de son rťcit, Elle dťcharge! elle dťcharge! j'avais glissť une main entre les cuisses de ma fille, sans qu'elle s'en plaignÓt. Ici, je lui happais le con. -- Ah! Papa! ne me mťnagerez-vous donc pas plus que les autres, un jour oý... j'ai ťtť dťpucelťe! -- Dťpucelťe! Ah! cťleste fille!... Est-il bien vrai? -- Jamais on n'est entrť... dans ce que vous me tenez... qu'aujourd'hui! -- O fille adorťe! je suis un dieu, et non pas un homme... Mais tu m'as fait trop bander: ta prťcieuse faveur!... ou... j'aurais... une colique spermatique ťpouvantable! Et je l'enlevai vivement dans mes bras; je la portai dans le cabinet obscur. Chapitre XII Du plus dťlicieux des incestes. -- Vous voilŗ tous! (me dit-elle); et mon papa lui-mÍme ne me recherche que pour ce trou-lŗ! -- Et pour ton cul, tes tťtons, ta bouche, tes yeux, ta taille voluptueuse, ton tour provocant, ta jambe, ton pied foutatif, ton ‚me naÔve et virginale, malgrť tout ce qu'on a fait, pour te rendre putain. En parlant ainsi, je la troussais par derriŤre, courbťe qu'elle ťtait sur le foutoir, et je me disposais ŗ le lui mettre en levrette; mais il la fallut pommader. Elle reprit: -- Mais c'est ma faute! ces rťcits-lŗ enflamment tous les hommes. Timori n'a ťtť prÍt ŗ me dťflorer qu'une seule fois; et ce fut aprŤs ce mÍme rťcit moins dťtaillť. Cependant elle faufuyait, pour que je ne l'enfilasse pas. Je m'en plaignis tendrement: -- Tu veux donc me rendre malade, ma chŤre enfant? Elle s'attendrit; ses beaux grands yeux bleus devinrent humides; elle se cambra, pour me l'insťrer elle-mÍme, et me dit, en me secondant, malgrť quelque douleur, adoucie par la pommade: -- Quand ma soeur et moi nous vous l'avons vu tant de fois mettre ainsi ŗ ma mŤre, sur le pied de votre lit, vous criiez de plaisir!.... n'allez pas en faire autant! VitnŤgre peut revenir! Je lui promis le silence, telles dťlices que j'ťprouvasse... J'enconnais. Ma belle faisait de petits mouvements de contraction du connin. Jamais satin ne fut aussi doux que l'intťrieur de ce connin cťleste; connin encore imberbe n'est pas plus ťtroit! -- Ah! si ton gueux avait connu le prix de ton divin con, il t'aurait dťfoncťe, eusses-tu dŻ en pťrir! -- Non: comme il l'a trop gros, il craignait de m'avachir. Il se branle, ou me fait le branler, en me tenant le poil, ou une fesse, et dťcharge... en... blasphťmant (Elle se contracta, et dťchargea). Je partis alors dťlicieusement, en me rťcriant, malgrť ma promesse. -- Remue du croupion (ne cessais-je de dire), remue du connin, mon ange!... Bon... bon!... encore! encore!... Et elle se contractait, en redťchargeant, au point que le fond de son con me pinÁait, et me suÁait le bout du vit... Je dťchargeai trois fois sans dťconner; et elle, peut-Ítre dix fois. Ce que je sentais ŗ ses trťmoussements convulsifs. Enfin, elle se p‚ma... Je dťconnai, dŤs qu'elle cessa d'ťmettre. Elle se lava aussitŰt, craignant que VitnŤgre, en arrivant, ne lui prÓt et ne lui flair‚t le con, suivant son usage, mÍme devant le monde qu'il amenait. Pour nous reposer, nous all‚mes causer ŗ la lumiŤre. Je lui rťvťlai lŗ toute l'aventure du moine, pour lequel VitnŤgre lui avait fait si longtemps tenir en vue tťtons, cul, connin. Je lui peignis la grosseur du vit du moine, le double de celui de son monstre; la joie barbare qu'avait marquťe l'exťcrable moine, ŗ cŰtť duquel j'ťtais cachť, de la pourfendre et de la tuer, la nuit prochaine, avec son vit comme un timon de carrosse... Elle se jeta dans mes bras: -- O mon cher papa? sauve-moi! et je te suis dťvouťe ŗ jamais! -- Je te sauverai... Je lui expliquai comment et pourquoi le gros moine s'en ťtait allť; l'assurant que je l'aurais poignardť, s'il avait entrepris de la violer sur-le-champ. Je lui dťtaillai comment son abominable mari me l'avait livrťe, comptant la donner au moine, auquel elle ťtait vendue. -- Tu sais, ma ravissante fille comme je te l'ai mis? c'est moi, contre tout espoir et toute vraisemblance, qui ai ravi ŗ nos ennemis, ton cťleste pucelage! Conquette me donna un joli baiser sur la bouche. -- Mais comment me sauveras-tu? -- Je viendrai te prendre dans une heure; je t'emmŤnerai; tu coucheras dans ta pension. AussitŰt que tu seras en sŻretť, je ferai entrer dans le cabinet obscur, avec ta clef, et coucher dans ton lit, la jolie putain du Port-au-Blť, dťjŗ prťvenue, comme pour y coucher avec moi. Je guetterai. DŤs que VitnŤgre et le moine seront arrivťs, je m'ťchapperai. J'ťcouterai; et nous verrons demain. Ma fille fut ravie. Je la sauverai: mais j'aurais dŻ l'emmener au moment mÍme. Au lieu de cela, je m'amusai ŗ lui faire raconter la seconde et la troisiŤme nuit de son mariage. Chapitre XIII Du con et du cul vendus. Voici comme ma cťleste fille reprit la narration que je dťsirais: -- Le second soir, VitnŤgre recommenÁa les mÍmes choses. Il me prenait lťgŤrement la gorge: -- Ferme comme un gland! (disait-il)... Il me plaÁait comme s'il m'avait montrťe ŗ quelqu'un (ce qui n'ťtait que trop rťel!). AprŤs avoir mis en vue ma conque, il me tournait pour faire voir mes fesses. -- Elle est encore pucelle (dit-il, comme s'il se fŻt parlť ŗ lui-mÍme); pour la perforer, il faudrait la pommader en diable, et se pommader ŗ soi-mÍme le v... Il me gamahucha violemment; et quand j'eus ťmis suffisamment, selon lui, il me laissa reposer. AprŤs un court sommeil, je m'ťveillai couchťe sur le ventre, ayant sur moi un homme, qui s'efforÁait de m'introduire dans le fondement un fort gros membre. Mais quoiqu'il n'eŻt aucun ťgard ŗ mes soupirs douloureux, il ne put jamais s'ouvrir le passage par la rosette de mon anus (ce fut son expression, prononcťe trŤs bas ŗ quelqu'un). J'entendis ensuite, dans cette piŤce-ci: -- Il faudrait qu'un v... moins gros que le mien me la fraye... Voyons, toi! Trop gros, de beaucoup!... Je n'y comprenais rien. Je m'endormis, et ne m'ťveillai plus. Le lendemain, dans la journťe, VitnŤgre m'ayant beurrť la rosette, et plongť son membre dans l'huile d'olive, me fit coucher sur le ventre et retrousser. Il se mit sur moi, en disant: -- Il faut que j'en t‚te de ce ragoŻt de bougre. Je lui reprťsentai, qu'il m'avait essayťe toute la nuit. -- «a va jusqu'ŗ toi (me rťpondit-il), et Áa te passe.... Ah! que d'argent me vaudraient ces deux bijoux-lŗ, s'ils ťtaient connus! Il fit tous ses efforts, me martyrisa deux heures durant sans succŤs, et finit, parce qu'une copieuse dťch--ge... lui Űta sa roideur et ses forces... Le troisiŤme soir, il rťpťta encore tout ce qu'il m'avait fait... A mon rťveil, dans mon premier somme, je me trouvai sur le dos, ayant un homme sur moi, qui m'attaquait le bijou de toutes ses forces. Je m'ťcriai! VitnŤgre me dit: -- Dťcharges tu, ma fille? On me quitta, et VitnŤgre ajouta: -- Si tu cries comme au feu dŤs que je voudrai te le mettre, nous voilŗ bien!.. Allons, empoigne-moi le vit, que je dťch-- ge... Chatouille-moi les couilles de l'autre main... Tiens, comme je fais ŗ ton c-n. Va, va, va... vaah (Il ne m'appelait encore ni putain, ni garce; ce ne fut qu'au bout de six semaines). Mais ce n'ťtait pas lui que je maniais; j'en ai fait l'observation depuis. On ťmit six fois de suite, je secouai cet homme plus d'une heure. Il en fut une autre ŗ me gamahucher. Je n'en pouvais plus!... Il me fit ensuite lui pisser dans la bouche, et n'en perdit pas une goutte, il avala tout. Il me laissa enfin.... Si je n'avais pas ťtť dans une sťcuritť parfaite, je me serais bien aperÁue, que VitnŤgre le reconduisait, en disant: -- L'opťration, l'opťration! Mais me doutais-je de rien?... Je rebandais, malgrť quatre dťcharges, et dťjŗ je disais ŗ ma fille: -- Connin cťleste, je n'en puis plus!... Je ne te cacherai pas, ma dťlicieuse amie, qu'outre ma passion pour toi, qui est inexprimable comme ta beautť, j'ai un excitatif puissant: c'est de faire cocu VitnŤgre. Je voudrais, s'il ťtait possible sans triturer tes charmes divins, que toute la Terre te pass‚t par le con, pour qu'il fŻt le cornard universel... Viens me donner le bonheur! Et je l'emportais, quand nous entendÓmes tourner la clef. Je me cachai aussitŰt dans le cabinet obscur... C'ťtait VitnŤgre, qui rentrait avec un jeune homme. Nous entendÓmes clairement, qu'il lui disait avant d'entrer: -- Tu as le vit comme il le faut; c'est ce qui me fait te donner pour six bougres de louis un pucelage qui en vaut mille. Il est essentiel que je te surprenne, et veuille la tuer. Tu me supplieras, et je n'accorderai sa gr‚ce, qu'autant qu'elle te secondera, pour l'enconner. Mes gros vits s'ennuient de ne pouvoir la foutre ou l'enculer. Ils me paient une grosse pension. Aussi je la nourris bien, et tu vois comme elle est mise. Tu me l'enconneras d'abord: c'est le plus pressť. Demain, tu l'enculeras. Sache que son mari l'adore; s'il la rudoie, c'est pour la rendre souple ŗ toutes ses volontťs. Elle me vaut trente mille francs, en trois mois de mariage. Entrons; elle va te ravir: mais point de pitiť! Tel fut le discours du monstre.... Je poussai Conquette devant moi; je la conduisis ŗ sa pension, d'oý elle revint avec moi. Il ťtait nuit. Je pris Conillette, la putain, arrangťe, appťtissante. Conquette nous prťcťdait. Rassurťe par ma prťsence, elle ouvrit le cabinet obscur. Elle entra. Nous la suivions. Je dis ŗ Conillette de s'ťtendre foutativement sur le pied du lit... Cependant ma fille se prťsentait. Elle fut reÁue avec transport. Le jeune homme, appelť Lenfonceur, et VitnŤgre lui-mÍme, la couvrirent de louanges. On ne lui baisa que la main. VitnŤgre, nťanmoins, qui (de mÍme que les trois fouteurs ŗ gros vits, et le moine), ťtait fou de sa chaussure ŗ talons minces ťlevťs, lui baisa le pied. Il lui dit ensuite: -- Ah Áa, ma fille, allons-y par la douceur. Il serait malheureux pour moi de renoncer ŗ te le mettre; il faut se faire une raison: mon vit est trop gros; non prťparťe, il te dťchirerait. Voici un vit mieux proportionnť, qui va te perforer, sans dťcharger; ainsi percťe, mon gros vit pťnťtrera cette nuit au fond de ton con. Vois-moi ce vit-lŗ!... Et il mit ŗ l'air le vit de l'Enfonceur, ou plutŰt de Timori... Il fallait que VitnŤgre eŻt dťcouvert, on ne sait comment, l'inclination de sa femme inspirťe par le beau blond, pour en user comme on va le voir. Chapitre XIV Le jeune homme, la fille, le moine. Ma fille, en reconnaissant son amant, que son mari lui amenait pour l'enconner, avait rougi de pudeur, ou de dťsir. Elle trouva moyen de venir ŗ moi, pour me dire: -- Faites disparaÓtre la fille; on ne l'emploiera que cette nuit. Je vis bien qu'elle voulait Ítre foutue par son galant. Je cachai la putain. Voici maintenant le rťcit de ce qui va se passer. DŤs que Conillette se fut commodťment arrangťe derriŤre le grand sofa, Conquette retourna auprŤs des deux hommes, qui la rapportŤrent au foutoir, assise ŗ cul nu sur leurs mains unies. -- Allons, ma petite garce de femme (lui disait VitnŤgre), tu vas pourtant Ítre dťpucelťe, foutue! Mais ce n'est rien! c'est quand tu auras un gros vit, cette nuit!... Il la troussait, l'arrangeait. -- Lenfonceur, que je te mette le vit dedans! -- Non, non; ma belle se le mettra elle-mÍme. -- Tu as raison. Il faut qu'elle s'y accoutume. VitnŤgre sortit, et j'observai qu'il laissait la porte ouverte. J'en augurai quelque noirceur. Mais j'ťtais lŗ... Timori, bien bas, dit ŗ ma fille: -- Vous le mettrai-je, ma bonne amie? -- Non, non! il est allť chercher des ťcoutants [ce mot glaÁa Timori]. -- Mais il vous estropiera? -- Je ne couche pas ici. Alors l'amant satisfait, se mit ŗ la gamahucher doucement. Cependant la Voluptueuse dťchargea... Elle ťtait aux anges, quand j'entendis VitnŤgre revenir. Je crus qu'il amenait le moine. Il entra, passa rapidement, suivi de trois voisines, auxquelles il disait: -- Je vas vous montrer Áa. Effectivement, il leur montra quelque chose dans sa chambre... Cependant mon amoureuse fille, gamahuchťe par un amant aimť, fit un profond soupir. Les trois voisines prÍtŤrent l'oreille. -- Ce n'est rien (dit VitnŤgre); ma femme est rentrťe, et je ne le savais pas. C'est pour elle cette ťtoffe-lŗ. -- Oh! il faut la lui montrer! (s'ťcriŤrent les trois voisines). Le monstre retint celle qui allait la chercher. Il prit la lumiŤre, en disant: -- Je vais auparavant voir si elle ne dort pas. Il ne fut qu'ŗ la porte, oý il s'arrÍta d'un air de surprise et d'horreur!... Il recula. Mais les trois voisines avaient vu comme lui, par-dessus son ťpaule, Conquette troussťe, ťtendue ŗ la renverse sur le pied du lit, la tÍte d'un homme entre ses cuisses... Il les fit sortir par le corridor, en se frappant le front... Il avait rempli son but. Si sa femme criait pendant la nuit, les trois voisines, qui se croyaient bien au fait, y mettraient les autres. Si Mme VitnŤgre pťrissait ťcalventrťe par le timon du moine (qui, ťtant extrÍmement riche, devait la payer 60 mille francs, et qui en avait dťjŗ tuť plusieurs, choisissant toujours les plus ťtroites), ce serait la morte qui aurait tort... Cependant VitnŤgre rentrait auprŤs des deux amants, qui avaient changť de position: Lenfonceur, aprŤs avoir dťchargť par terre, s'ťtait remis sur le ventre de ma fille: -- Eh bien? (dit l'inf‚me mari) est-elle enfilťe? bien enconnťe?... Dťchargez-vous? dťcharge-t-elle? Nous avons dťchargť (rťpondit Timori-Lenfonceur). -- Je vas sortir (reprit VitnŤgre). Ramone-la-moi encore pendant une bonne demi-heure, que je serai dehors... Et ne vous ťtonnez pas de ce que vous allez entendre. J'ai mes raisons. Il alla dans le corridor, dont il ouvrit doucement la porte, et se mit ŗ crier sourdement, comme s'il avait bourrť sa femme ŗ coups de pieds: -- Ah garce! ah putain!... Tu fous, sacrťe salope! Quand je suis sorti, tu raccroches!... Je vais chez le commissaire! Il ouvrit la porte bruyamment, et la referma de mÍme. Mais il dit tout bas, avant de s'ťloigner: -- Remue du cul, ma petite femme!... Courage, Lenfonceur! fraye-moi la bien! -- Voilŗ un rusť scťlťrat! (dis-je ŗ ma fille, pendant que Timori observait la sortie de VitnŤgre) Le moine t'aurait tuťe, et il ne nťglige rien pour motiver ta mort. -- Sauvons-nous! (me dit-elle). -- Non, non; nous sommes assez pour te dťfendre. Feins ŗ Timori que j'arrive... Le jeune homme rentra. -- Voici mon papa, arrivť ŗ propos! -- Ah oui! (rťpondit Timori), sa prťsence pare ŗ tout; car j'allais proposer de nous enfuir. Mais, ŗ prťsent, voyons ce qui arrivera. Je lui montrai Conillette, et je lui fis entrevoir notre plan, que Timori trouva merveilleux!... Le temps s'ťcoula vite. Nous entendÓmes revenir. Timori reporta la lumiŤre dans la chambre; nous nous cach‚mes ma fille et moi; tandis que le jeune homme s'ťtendait sur le ventre de Conillette troussťe... -- Que ton vit ne m'approche pas! (lui dit-elle) je suis g‚tťe; que tes couilles ne me touchent pas le poil; j'ai des morpions!... VitnŤgre entrait, suivi du moine, que le voisinage aux fenÍtres prit pour le commissaire. Chapitre XV Du fouteur ŗ la Justine. Le moine Űta d'abord sa robe. Mais nous l'avions tous vu. Il mit ensuite ŗ l'air un vit, si monstrueux que ma fille tremblante m'ťtreignit dans ses bras. -- Oh! qu'il est gros (dit VitnŤgre). -- Il a tuť deux de mes soeurs religieuses, qui avaient fait chacune deux enfants de notre Prieur. J'ai tuť toutes les femmes que j'ai enconnťes; il n'y a que ma mŤre que je n'ai pas ťcalventrťe; mais je n'eus pas de plaisir; la vieille garce ne saigna presque pas! j'eus peu de plaisir... Pour ta femme... Ah, quelle rage!... Mais elle est foutue... elle sera morte avant que j'aie achevť de l'enconner... Je l'enculerai expirťe... Je t'en apporte le prix: 60 mille francs en billets de la caisse... VitnŤgre le compta; les serra. -- Si je pouvais l'enconner une pauvre fois! -- Tu te fous de moi!... AprŤs, aprŤs; elle sera encore chaude... Je frťmissais! et comme j'avais deux pistolets chargťs, je fus tentť de brŻler la cervelle ŗ ce monstre; mais il allait avoir la vťrole... -- Voulez-vous, avant qu'elle soit abÓmťe, lui voir le con? sa jolie figure? -- Non! cela m'amollirait le vit.... Conduis-moi sans lumiŤre. Ils vinrent ŗ t‚tons. VitnŤgre prťcťdait, pour ťloigner Lenfonceur. Trouvant une femme seule, et troussťe, il voulut lui mettre, en soupirant, sa langue dans le con. Elle l'en empÍchait, quand le moine faillit de l'ťcraser, en tombant sur la fille. VitnŤgre fut obligť de se retirer a quatre. Le premier acte du PŤre Foutamort (comme VitnŤgre le nomma), ce fut de mordre le bout des tťtons de sa monture, en lui dardant son engin, qui ne pouvait entrer dans ce vaste con, encore ťlargi par une ťponge, que la fille venait d'en Űter. Conillette fit un cri perÁant! Et, se sentant dťchirer le con, elle voulut se dťrober, en ťgratignant des deux mains. Foutamort, qui savait bien qu'elle ne pouvait en ťchapper, et dont le plaisir ťtait d'autant plus grand ŗ tuer une femme, qu'elle ťtait plus belle et plus ťtroite, ne la mťnagea pas; tout en l'ťcartelant, il lui arracha le bout des seins avec ses dents. Un profond ťvanouissement, ou la mort, fit cesser ses cris... Je me repentis de n'avoir pas d'abord tirť un coup de pistolet ŗ bout portant dans la tÍte du moine... Mais les voisins au bruit auraient peut-Ítre enfoncť les portes; ce fut ce qui me retint... Foutamort, parvenu au fond du con de la fille ťcalventrťe, dťchargea enfin en jurant et rugissant. -- Fous un coup (dit-il ŗ VitnŤgre), avant que j'encule la garce! Le scťlťrat vint; mais, sentant un cadavre plein de sang, il se retira. -- Elle est morte! (dit-il). Foutamort la t‚ta: -- Non; le coeur bat encore; vite que je l'encule. Le cul de Conillette ťtait bien plus ťtroit que son con; le moine haletait. Il en vint cependant ŗ bout, car il dit ŗ VitnŤgre: -- Je n'ai fait qu'un trou des deux. Et il dťchargea horriblement!... Ma fille, ťpouvantťe, m'ťtreignait par le milieu du corps. VitnŤgre pleurait: -- Ma pauvre femme! je t'ai livrťe ŗ ton bourreau! -- Ne te l'ai-je pas payťe? (dit le moine) Elle est bien ŗ moi... Ainsi, va te coucher, et fous tes 60 mille livres; tu me gÍnes. Pour moi, pendant qu'elle est encore chaude, je vas, pour mon argent, foutre cinq ŗ six fois le cul et le con de ma putain. VitnŤgre alla se coucher dans un petit cabinet, oý il s'enferma. AussitŰt Foutamort s'acharna inťpuisablement sur sa victime expirťe... Enfin, ťpuisť, il alla chercher la lumiŤre, pour en repaÓtre ses cruels regards... J'ai dit que la fille ťtait jolie. Elle est belle encore! (dit le monstre) Mais la figure de la putain est toute bouleversťe; elle ne se ressemble plus ŗ elle-mÍme... Il lui regarda le con, en lui soulevant le cul... Il la laissa retomber, en ťclatant de rire: -- Ma foi, la gueuse n'a plus qu'un cul, ou qu'un con... je ne sais lequel... Mais est-elle bien morte? Il la dťshabilla, l'emporta nue dans l'autre piŤce, la mit sur une grande table; alla prendre un vaste saladier; tira un bistouri [Nous le voyions par la cloison vitrťe]. -- Dťcharnons-la. Il lui cerna la partie charnue des seins, la motte tout entiŤre, la chair des cuisses; lui fendit le ventre, lui arracha le coeur, les poumons, le foie, la vessie, la matrice; la retourna, lui enleva la chair des fesses, lui coupa les pieds chaussťs, qu'il mit dans une poche, les mains, qu'il serra dans l'autre. Il la retourna encore; lui coupa la langue, la tÍte, Űta la chair des bras. Il vint ensuite chercher sa chemise et un drap du lit, en disant: -- Voilŗ un bon rťgal pour nos moines et pour moi. Le terrible anthropophage mit le saladier dans la chemise; ensevelit le corps dans le drap; fit lever VitnŤgre pour le coudre; puis il lui dit de publier le lendemain que sa femme se mourait; de la mettre le soir dans une biŤre, et que lui moine se chargeait de la faire enterrer. Et, aprŤs lui avoir recommandť de bien effacer au grand jour toutes les traces de sang, il sortit vers les 3 heures du matin, emportant son saladier de chair humaine. VitnŤgre pleura d'abord. Mais, nous ayant entendu remuer pour sortir, le l‚che eut une frayeur si grande qu'il alla s'enclore dans son petit cabinet. Nous sortÓmes donc tout ŗ notre aise. Comme nous traversions la petite cour, nous entendÓmes les voisins qui disaient fort bas: -- Il ne l'a pas tuťe; voilŗ qu'on l'emmŤne!... Nous nous mimes ŗ fuir par de petites rues, dŤs que nous fumes dehors, de peur d'Ítre suivis. Et bien ŗ-propos! nous entendÓmes courir. Mais on ne prenait pas notre chemin. Je remenai ma fille ŗ sa pension, laissant lŗ Timori, pour observer, et lui promettant de revenir dans une demi-heure. -- Voilŗ donc (me dit-elle), quel serait ŗ prťsent mon sort, si, en vous accordant mes faveurs, je n'avais pas reculť votre dťpart! O mon cher papa! tout mon corps est ŗ vous, pour en faire ce que vous voudrez! Je lui demandai sa bouche. Elle me darda sa langue; et nous arriv‚mes. Je lui dis de se coucher. -- Non, non! et mes malles.. mes bijoux; si nous pouvions les avoir? J'admirai sa prťsence d'esprit!... Il ťtait prŤs de 5 heures. Je courus rejoindre Timori, qui se promenait devant la porte. -- Rien encore (me dit-il). Un instant aprŤs, nous vÓmes sortir VitnŤgre. Timori le suivit, et j'allai chercher ma fille, sa prťsence nous ťtant nťcessaire, si d'officieux voisins nous arrÍtaient. A mon retour avec ma fille et deux crocheteurs, je retrouvai Timori, qui nous dit que VitnŤgre avait passť le boulevard. Ma fille ouvrit. Nous charge‚mes quatre malles prťparťes, mais cachťes; nous sortÓmes sans Ítre vus, et nous all‚mes par des rues dťtournťes, chez mes affidťs. Ce fut alors que ma Conquette fut tranquille! Elle se coucha, et nous all‚mes reposer chacun chez nous, Timori et moi. Chapitre XVI Foutoir; petit magasin; enterrement; amour. Nous en sommes aux fouteries par excellence; ŗ celles qui vont aguerrir ma dťlicieuse Conquette-Ingťnue, ma ravissante Victoire-Conquette, faire leur fortune, la mienne, en leur Űtant une fausse dťlicatesse, et dťcouvrir une chose admirable, qu'on ne verra qu'ŗ la fin. La route que je vais prendre, pour former ces deux belles et leurs compagnes, ťtonnera d'abord! mais en toutes choses, il faut attendre le dernier rťsultat... Reprenons ce charmant rťcit, en faisant prťcťder quelques fouteries prťparatoires, qui amŤneront les grandes. Mais il n'y aura plus, dans le reste de l'ouvrage, aucune horreur qui ressemble ŗ celle du moine Foutamort. Les horreurs ŗ la Dsds sont aisťes ŗ prťsenter; c'est la peinture de la douce voluptť qui est le chef-d'oeuvre du gťnie. La premiŤre visite que reÁut Conquette, le lendemain, jour de son enterrement, et ŗ la mÍme heure, fut celle de Timori. Il la trouva chez ses hŰtes. Il venait lui raconter comment, aprŤs Ítre morte la nuit prťcťdente, elle venait d'Ítre enterrťe. Mais Il ne pouvait parler devant le monde. Or, j'avais dans cette mÍme maison, ŗ quelques marches au-dessous, mais sur le derriŤre, un petit magasin, oý je cachais chaque numťro de mes Annales, que supprimait le gouvernement d'alors. Ma fille y devait faire mettre son lit, le soir mÍme. Il y aurait sans doute ťtť dťjŗ; mais elle ne faisait que de se lever. J'y avais placť pour mon usage, celui de mon secrťtaire, de sa soeur, de sa maÓtresse et de sa belle-mŤre, un foutoir commode, dans le ventre duquel on pouvait parfaitement se cacher. [VitnŤgre en avait un tout pareil, dans lequel il se mussait, quand un de ses trois payeurs venait, pour essayer de dťpuceler le con ou le cul de sa femme, qu'il appelait, sa poule aux oeufs d'or; il voulait tout voir, craignant qu'un des trois ne la lui enlev‚t. C'ťtait aussi par voluptť; il ťtait passionnť pour la chaussure de sa femme. Lors donc que, tendrement gamahuchťe par un des trois bougres (car ils l'adoraient, et ils vont bien la regretter), elle ťmettait, il lui tirait un soulier qui, se trouvant ťtroit vers la pointe, lui servait de con. Aussi disait-il ŗ ses intimes: -- Je n'ai jamais foutu ma femme qu'en soulier. Conquette, sentant bien que Timori avait bien des choses ŗ lui dire, et qu'il ne pouvait parler, prťtexta qu'elle avait laissť dans mon magasin une lettre ŗ lui montrer. Elle avait une double clef. Ils y descendirent ensemble. Je venais d'y arriver. J'entendis la marche de ma fille, sa voix basse, et celle de Timori. Je me cachai dans le foutoir. Ils entrŤrent. Conquette ferma soigneusement la porte, la couvrit du matelassement qui empÍchait qu'on ne fŻt entendu au dehors, et ils s'assirent sur moi. "Ah! Madame (dit Timori), quelles scŤnes!... Il avait dťcouvert que je vous aimais, ŗ mes regards, et parce qu'un jour ťtant avec lui chez vous, pendant qu'un de vos acheteurs vous caressait sous son nom, il me vit baiser ŗ la dťrobťe une de vos chaussures. Mais il paraissait ignorer non seulement que vous m'aimiez, mais que je vous fusse connu. Hier, ŗ 3 heures, m'ayant trouvť au cafť, il me dit: -- Je ne saurais dťpuceler ma femme; j'ai le vit trop gros. Tu es beau garÁon; je t'ai choisi, pour la dťpuceler aujourd'hui, ŗ l'instant; je te demande seulement six louis, qu'elle aura pour ses ťpingles. Je les lui donnai sur-le-champ, et nous partÓmes... Vous savez le reste... Ce matin, aprŤs vous avoir quittťe, j'ai ťtť me reposer jusqu'ŗ 10 heures, que j'ai ťtť ŗ mon bureau. Mais, passant devant sa porte, j'y ai frappť. J'ai entendu deux voisines qui se disaient fort bas: -- Le confesseur y est! ce n'est donc pas elle qu'on a emmenťe cette nuit... L'inf‚me m'a ouvert. L'horrible moine ťtait avec lui. Un frŤre avait apportť la biŤre bien enveloppťe, et il rťcitait tout haut des priŤres auprŤs du cadavre dans le cabinet obscur. -- C'est un ami (a dit VitnŤgre)... Ma pauvre femme est morte! -- Morte! (ai-je dit) -- Elle est expirťe dans les bras du rťvťrend pŤre. J'ai frťmi de l'expression!... Le moine a dit: -- J'ai fait toutes les dťmarches; nous avons la permission de l'enterrer sans bruit; ce sera pour 3 ou 4 heures. Je suis sorti... En revenant de dÓner, vers les 4 heures, je suis repassť. Deux prÍtres, quatre porteurs, le moine et le frŤre, ont emportť le corps, sans chanter. Il est inhumť. Nous verrons la suite des ťvťnements... Je les observerai. -- Ma belle amie! On vous croit morte: vous Ítes libre. M'accorderez-vous vos prťcieuses faveurs? -- Mon ami! (rťpondit modestement Conquette) je commence par vous remercier de l'important service que vous m'avez rendu! mais un autre m'en a rendu un plus important encore. Seul il m'aurait sauvťe. Si mes faveurs ťtaient encore ŗ moi, elles seraient ŗ vous. Mais elles sont ŗ mon premier amant, qui, cachť, a dťcouvert toute la trame. Il venait de me dťflorer; il me l'a mis encore aprŤs. C'est votre unique rival: mais il est adorť; son nom, que je vais vous dire, va vous prouver toute mon estime, et que vous avez toute ma confiance. C'est mon papa... A ce mot, Timori tomba aux genoux de son amante: -- Fille angťlique! Fille divine! (lui dit-il) je reconnais lŗ votre piťtť filiale et la beautť de votre ‚me! Foutez avec votre pŤre; que lui seul vous enconne! Vous seriez digne de foutre avec Dieu, si Dieu foutait!... Mais je demande ŗ vous gamahucher, et, si votre papa le permet, ŗ vous enculer! -- Mon aimable ami! (lui rťpondit Conquette, en le caressant de la main) vous Ítes bien raisonnable! Timor se dťculotta, lui mit dans la main un vit ŗ pucelage, plus petit que le mien, se fit chatouiller les couilles, et la voulut branler. Elle s'y refusa. Alors Timori la renversa, la troussa, et lui supa savoureusement le con... Non, jamais l'on n'entendit de pareils soupirs!... -- Ah! Timori... ta langue vaut un vit. Elle avait ťmis dŤs le troisiŤme coup de langue, et, dans son dťlire, elle ťlevait ses jambes en l'air, faisait claquer ses jolis talons, haussait du cul, pour favoriser l'application de la bouche de son gamahucheur, et l'intromission de la langue qui lui chatouillait le clitoris. Elle imitait sa mŤre, dans ce claquement de talons; car je ne foutais celle-ci que de jour, soit en con, soit en cul, soit en bouche, pour Ítre excitť par ce qu'elle avait de mieux, la jambe et le pied. Je lui demandais le claquement des talons, parce qu'il imitait la marche de femme, son qui me faisait toujours bander... Lorsque ma fille eut amplement dťchargť, elle ťcarta Timori. Chapitre XVII Du pucelage du cul: le pŤre enconneur. La cťleste Conquette-Ingťnue fut toujours aussi juste que belle et sensible: qu'on ne soit donc pas surpris de ce qui va suivre. Elle se mit sur le ventre, et lui dit: -- Mon second ami! pommade-moi. Mon premier ami a eu le pucelage de mon bijou; il est juste que tu aies celui de ma rosette; mon papa sŻrement m'approuvera! -- O dťesse! (rťpondit Timori, en lui insťrant de la pommade dans l'anus avec une canule) que tu es raisonnable! Il aura le connin, moi la rosette, et nous jouirons chacun d'une fouterie ŗ nous seuls. Timori enfonÁa, malgrť quelques petits cris de ma chŤre fille, et aprŤs de vives saccades, il dťchargea, en s'ťcriant: -- Foutre! foutre! quel cul.. quel plaisir des Dieux! Et il se p‚ma... Il fut ťpuisť, et de sperme et de forces, par ce coup seul... Aussi se rappela-t-il, ŗ mon grand contentement, qu'il ťtait attendu ŗ 7 heures. Il laissa l'amoureuse Conquette-Ingťnue ťtendue sur le lit, aprŤs l'avoir remise sur le dos, afin de lui donner quelques coups de langue au con, pour baiser d'adieu. Il alluma sa bougie, sortit, et tira la porte. AussitŰt je quittai ma cachette, et je m'ťlanÁai sur mon adorable fille, que les trois dardements de langue avaient ťmue, et dont le con oscillait vivement. -- Quoi! vous ťtiez lŗ? -- Oui, ma divine. Il encule; moi j'enconne. Tu me causes une ťrection terrible! -- Adorť Papa, foutez... foutez-moi! (et c'est la premiŤre fois de sa vie qu'elle prononÁait ce mot) je n'en puis plus moi-mÍme... Elle me saisit le vit, et se le mit dans le connin: -- Pousse! (me disait-elle) Il entre.. Pousse! vit de Dieu! vit paternel! ťmets du foutre dans le con de ta fille!... En parlant ainsi, elle remuait tellement du cul, que je me trouvai bientŰt au fond de son connin. Vive la fouterie ordinaire! c'est la meilleure maniŤre des quarante! J'avais la bouche, la langue, les blancs tťtins de ma fille, ses caresses, la vue de son charmant visage, toujours joli au double dans une femme qu'on fout, ses doux propos: -- Cher vit! vit divin! comme il me chatouille le con!... Pousse!... Ah! bougre! je me p‚me... Je dťchar...arge du fou...outre!... Ta langue! cher amant! Enconneur adorť!... Oh je redťcharge! Fous, sacrť bougre! Suce... mordille-moi les tťtons!... Je dťchargeai dťlicieusement ŗ la seconde ťmission de ma cťleste fille. Au fond de son ťtroit connin, je me sentis adorablement pincť par ce que le vulgaire appelle le clitoris, et les gens de l'art, le bas du conceptoire ou de la matrice; cet organe de voluptť, qui n'est atteint que par un vit long, me suÁait le bout de l'engin dťchargeant... Et cette idťe dťlirante, en me voyant sur la plus belle des femmes, renversťe sur le dos, bien enconnťe, se p‚mant de plaisir, -- Je fous ma fille... Je lui dťcharge dans le con... Nos foutres mÍlťs peuvent lui faire un enfant tout de moi... Je fais cocu le gueux, le scťlťrat de VitnŤgre! Je fous sa femme, qu'il croit morte, qu'il n'a jamais foutue... Nous la foutons, Timori et moi, l'un en con, l'autre en cul, tandis que le vil jean-foutre se branle le vit ŗ sa divine intention... Il la croit ťcartelťe par le vit-timon de son exťcrable moine... et son ťtroit connin dťcharge avec nous, comme celui d'une princesse, foutue par un jeune garde du corps!... Ces idťes, rapidement roulťes dans mon imagination, doublaient, triplaient ma voluptť... Ma fille me fit dťconner: -- J'en suis pleine, me dit-elle; le devant, le derriŤre; il faut que je me purifie. Je courus lui chercher de l'eau tiŤde chez son hŰtesse, Mme Brideconnin, que je trouvai seule auprŤs du feu, des tťtons blancs comme neige dťcouverts. Je les baisai, pris l'eau qui chauffait pour elle. Son mari me dit: -- Je viens de le lui mettre, ŗ l'intention de votre fille, la charmante Mme Poilsoyeux (nom que je lui avais donnť, pour qu'elle ne port‚t pas celui de son inf‚me mari). Je rentrai. Je lavai moi-mÍme avec une fine ťponge les charmes secrets de ma dťitť. Il y avait un peu de sang ŗ la rosette, et mÍme au connin. -- Eh! quoi, ma dťlicieuse, tu as donc encore souffert? -- Oui, mon cher bourreau; mais le plaisir l'a toujours emportť, mÍme en cul... Conquette, purifiťe, me dit: -- J'ťtais si pressťe de jouir avec vous que je n'ai pas pris le temps, papa-sauveur, de vous demander votre sentiment sur ce qui s'est passť entre moi et Timor? -- J'ai aussi bien des choses ŗ vous dire lŗ-dessus, mon ange; mais nous allons souper. Vous avez besoin de repos, et moi aussi; ce sera pour demain... Je lui donnai la langue; elle me darda la sienne; je baisai les boutons rose de ses tťtons, et nous all‚mes nous mettre ŗ table. Pendant le souper, je racontai ŗ M. et Mme Brideconnin ce qu'il fallait qu'ils sussent de la prťtendue mort de Mme Poilsoyeux afin qu'ils ne la compromissent jamais. Pendant le repas, notre porteur d'eau et sa femme placŤrent le lit de ma fille dans mon magasin; et, dŤs qu'il fut arrangť, nous y descendÓmes ensemble. Ma belle amie me dit: -- Je crois que j'aurai peur; priez Mme Brideconnin de venir coucher avec moi! -- Je vais rester, ma reine. -- Ah! j'aime bien mieux cela! non pour jouir; mais pour que mon amant-papa s'endorme sur les tťtons de la femme de VitnŤgre, pendant qu'il se morfondra, ou qu'il ne ... qu'un de mes vieux souliers. -- Ma divine fille? (repris-je) je vais, dŤs ce soir, te dire ce que je voulais remettre ŗ demain. Couchons-nous. Je dťshabillai ma dťesse comme une nouvelle-mariťe, baisant tout ce que je dťcouvrais. Tous deux au lit, je l'assis sur mon vit. Chapitre XVIII Des avis paternels, tenant sa fille enconnťe. Ami lecteur! j'ťprouve encore les oscillations de la plus savoureuse voluptť, en me rappelant ces moments enchanteurs, que m'a procurťs ma Conquette-Ingťnue-L**! -- Appuie lentement, ma reine; que je t'enfile sans limer! Elle le fit. Lorsqu'elle fut parfaitement enconnťe, je lui dis: -- Tu sais, trŤs chťrie fille, que j'ai tout vu, tout entendu. Tes sentiments divins ŗ mon ťgard, m'ont pťnťtrť de reconnaissance et d'admiration... J'approuve entiŤrement que tu aies donnť ŗ Timori le pucelage de ton beau cul. J'accepte avec transport ton dťvouement pour moi. Mais, cťleste fille! c'est ŗ ton intťrÍt, ŗ ton bonheur, que je me propose de le faire servir. Je ne prťtends pas, tel qu'un sultan, te garder pour mes plaisirs exclusifs. Tu auras un payeur. Lequel des trois hommes auxquels ton pucelage ťtait vendu aurais-tu prťfťrť? -- Le plus honnÍte, incomparable papa; mais c'est justement celui qui l'a le plus gros. -- Je te ferai donc ťlargir le bijou par un gros homme de ma connaissance. Il n'est pas aimable; mais un homme aimable pourrait t'ťpuiser, en te faisant trop dťcharger; outre qu'il pourrait te prendre le coeur; ce qu'il ne faut pas; un fouteur prťparatoire ne doit te prendre que le con... Ni moi, ni Timori ne te suffirions point; nous n'avons pas le vit assez gros; ce ne sont que des vits ŗ pucelage. Mais j'ai plusieurs ressources... Je sonderai celui que tu prťfŤres; puis les deux autres, s'il ne fait pas ton affaire. Je les ai ťpiťs. Je sais leur adresse; je ne nous compromettrai pas. Je ne te demande que de la soumission! -- EntiŤre! divin papa. Elle se trťmoussa un peu, et dťchargea. -- S'il te survient beaucoup de tempťrament, comme je crois l'entrevoir, j'aurai soin que tu ne manques pas de vits. Tu verras comme tu seras rťgalťe!... Je ne suis plus d'un ‚ge ŗ te rassasier de voluptť. Ainsi, je te le ferai mettre par de jolis jeunes gens, graduant la grosseur des vits. Ici, ma provocante fille s'agita, en me disant: -- Mon cher vit-papa! permets que je foute en con ŗ l'intention de Timori, le vit de mon cul! Tu m'as convertie; il m'enconnera, mais en ta prťsence. -- Oui. oui... Je la saccadai. Elle s'ťcria: -- Fourgonne.. vit de mon cher Timori! fourgonne mon con! Fais-moi p‚mer! bougre.. foutre.. Ramone.. ramone!... ze dťÁarze! Et elle dťchargeait, en se roidissant: -- Ahahah, mon papa! Ahahah! Ahahahh! (avec un long soupir)... Je n'ai jamais eu tant de plaisir qu'ŗ cette dťcharge... Nous avions de la lumiŤre; ma fille se mit sur le bidet pour se rafraÓchir le bijou, tandis que je me mettais le vit et les couilles dans l'eau froide, pour me faire dťbander. Je demandai ŗ ma fille, Qui lui avait appris les expressions dont elle s'ťtait servie, en dťchargeant? "DŤs la troisiŤme semaine de notre mariage (me rťpondit-elle), VitnŤgre fit coucher avec lui sa filleule, femme d'un espion de police; cette femme, par les ordres de son parrain, feignait de dťlirer, quand il l'enfilait; et voilŗ quels ťtaient ses propos, avec beaucoup d'autres, qui n'auraient pas ťtť placťs pour nous, comme gros-bondon, chien de vit de mulet, Foutamort le cadet! etc. Nous nous remÓmes au lit, et nous nous endormÓmes enlacťs. Le matin, je renouvelai mes instructions ŗ ma fille. On frappa. C'ťtait Mme Brideconnin, qui parla. Je me cachai dans le foutoir. Elle apportait le dťjeuner de Mme Poilsoyeux. -- On cherche une fille du Port-au-Blť (dit-elle), disparue depuis avant-hier soir. Une de ses pareilles a dit, qu'elle devait aller coucher avec un homme de 40 ans, qu'elle avait dit avocat, mais qui est chirurgien; qu'ils l'ont tuťe ŗ deux pendant la nuit, et dissťquťe. C'est peut-Ítre votre histoire, qu'on dťnature comme Áa? Mon mari doit aller s'informer. Elle sortit; et je vins dťjeuner avec Conquette. Je la laissai, en promettant de la voir ŗ dÓner. Je fus exact. Brideconnin ťtait sorti. C'ťtait effectivement de Conillette dont il ťtait question. Le commissaire et les mouchards visitaient toutes les maisons de la rue; mais on ne trouvait rien. Je changeai de costume par prťcaution... Je revins le soir, et ne couchai pas. Je me reposai trois nuits, et laissai reposer Conquette-Ingťnue. On sait que j'aimais ma fille autant pour elle-mÍme, que pour mon plaisir, et que je n'entendais pas rťgler son appťtit de 19 ans, sur mes forces de 40. Mais j'avais encore d'autres raisons. Je vais me conduire en consťquence. Chapitre XIX Du pŤre juste, et du vit grisonnant. On sera sans doute surpris de ce qu'on va lire, d'aprŤs les sentiments que je viens de professer!... Ne me prťjuge pas, tťmťraire! Pour me connaÓtre et prononcer, attends. Je connaissais un de ces gourmets de plaisir, gros homme vigoureux, lubrique ŗ l'excŤs, nommť Montencon. Il m'avait donnť souvent ŗ dÓner, rue Troussevachť, oý il demeurait, m'y avait fait enconner la petite Vitsucette, sa maÓtresse, en me la tenant lui-mÍme. Il m'avait mÍme procurť la fille de son hŰtesse, Petit Bijou, sťduite par un noble, appelť de Fout‚ne, qui l'avait ensuite rendue putain. Elle nous amusa toute une aprŤs-dÓner; Montencon ayant grisť la jolie AdťlaÔde Hochepine, il eut la politesse de me la faire enconner le premier, et chatouiller les couilles par sa maÓtresse. Ensuite il l'encula, ťgalement chatouillť par Vitsucette. Je la refoutis, aprŤs que la Vitsucette de Montencon me l'eut lavťe. Mais celui-ci nous dit: -- J'ai mes raisons. J'embouche la jolie garce. L'ayant embouchťe, et lui ayant fait avaler son foutre, en haine de Fout‚ne, j'en fus dťgoŻtť, ainsi que de la Vitsucette, dite la Baiseuse, ŗ laquelle il en faisait autant. Je n'y ťtais plus retournť. Ce fut cet homme que j'invitai ŗ dÓner dans mon petit magasin, pour aguerrir et m'ťlargir un peu ma fille (car j'avais fait donner sťparťment aux trois payeurs ŗ gros vits de VitnŤgre, MM. Lťlargisseur, Percecul et Cognefort, l'espoir de la retrouver, ou sa pareille). Montencon ťtait connu de Conquette, dont il avait foutu la mŤre avant la vťrole. Il n'en avait que plus envie de le mettre ŗ la fille. Je le trouvai dans l'escalier, en arrivant moi-mÍme. Je l'introduisis. Il demeura immobile de joie et d'admiration, en voyant une femme si belle!... J'avais affaire; je ne restai qu'un moment, en lui disant, que je lui laissais ma fille pour compagnie. Il balbutia, en me reconduisant: -- Elle est ravissante! Quel goŻt dans sa parure! Comme elle est chaussťe! et quel dommage qu'un VitnŤgre ait eu ce pucelage-lŗ! -- VitnŤgre? Elle est pucelle. -- O mon ami! puis-je y tenter? et t‚cher de mettre au moins une corne ŗ ce gredin-lŗ? -- Fais-y ce que tu pourras. Mais je doute du succŤs, avec ton poil gris. Il n'y a que les catins blasťes, qui souffrent les barbons vigoureux et libertins; avec les pucelles sages, il faut Ítre tendre; et tu as la figure d'un satyre, ou d'un rťprouvť. Mais tente-z-y. AprŤs mon dťpart, Montencon essaya d'abord de la galanterie. Mais n'y gagnant rien, il culbuta Conquette ŗ l'improviste sur le foutoir; et, comme il ťtait vigoureux, il lui approcha, en la contenant d'une main, le vit des lŤvres du con... Cependant il ne put l'enfiler; un coup de cul en arriŤre le dťbusquait... Il allait la menacer de la poignarder, lorsque je rentrai. Conquette se rajusta, sans marquer d'humeur. Je dis tout bas ŗ Montencon: -- Le pucelage? -- C'est un diable! J'en serai rťduit ŗ me branler! -- Tu la foutras. Nous nous mimes ŗ table. Conquette parla comme ŗ l'ordinaire ŗ son vellivioleur, et rit mÍme avec lui. Tout haut, devant moi, il lui demanda, d'oý vient elle ne s'ťtait pas laissťe enconner? -- Fi donc! (rťpondit-elle). Eh! d'oý vient l'aurais-je souffert? -- Parce que je bandais comme un carme. -- Vous parlez comme un VitnŤgre... Montencon ne m'en raconta pas moins ses entreprises, en termes savoureux. Il loua la beautť de la conque, le soyeux du poil, la blancheur des fesses, la fermetť des tťtins, le rosť du bouton, l'ťburnitť ou l'ivoire du ventre et des cuisses: Il extolla le pied, la jambe de la belle... Conquette, ainsi louťe, rougissait, et n'en ťtait que plus modeste. Je rťpondis, Que j'ťtais le seul qui foutÓt ma fille, ŗ laquelle j'avais sauvť la vie, et que j'avais dťflorťe, il y avait 8 jours. Et je racontai toute l'histoire. -- Vous la foutez? -- Eh! qui donc la foutra? Je suis deux fois son pŤre... Montencon se mordit les lŤvres. Conquette m'embrassa. Pendant tout le dÓner, nous admirions le voluptueux tour de hanches de Mme Poilsoyeux, ŗ chaque fois qu'elle se levait, pour aller demander un plat, ou qu'elle donnait des assiettes. Elle avait un joli soulier rose ŗ talons verts, ťlevťs, minces; des bas de soie blancs neufs, ŗ coins roses. Je lui demandai si elle ťtait jarretťe au-dessus du genou? -- Certainement! (rťpondit-elle) toujours. -- En ce cas (repris-je), montrez-nous la plus jolie jambe qui soit au monde! Elle refusait. Mais nous l'en press‚mes tant que, pour se dťbarrasser de nos priŤres, elle mit le pied sur une chaise, et nous montra, jusqu'au dessus du genoux, une jambe ŗ faire bander un moribond... Nous entr‚mes en rut, Montencon et moi; mais nous nous modťr‚mes. Cependant le grisonnant Ribaud, dans un moment oý ma fille ťtait sortie, me proposa de l'enivrer, en mettant du champagne, qu'il avait apportť, dans son vin rouge, au lieu d'eau. Je feignis d'y consentir. Mais, avant que Conquette rentr‚t, j'allai au devant d'elle, et l'avertit de tout. Puis j'ajoutai: -- Ma raisonnable fille, il faut qu'il te le mette; je l'ai amenť exprŤs pour cela; mais je ne savais comment faire. J'y rťflťchissais, quand sa proposition m'a tirť d'embarras. Tu feindras de t'enivrer. J'en ferai autant; et, par ce moyen, jamais il n'aura un pied sur toi. Il a l'engin assez gros, quoique moyen. AprŤs lui, je t'aurai Traitdamour, mon ancien secrťtaire, un joli garÁon, qui achŤvera de t'ťlargir suffisamment pour l'engin du Payeur que tu prťfŤres... Il est averti de ton existence, et je n'ai demandť que quelques semaines pour lui procurer ta vue. Laisse-toi donc faire, ma reine; j'empÍcherai tout ce qui ne conviendrait pas. -- Je vous suis soumise; disposez de moi (rťpondit-elle). Je me suis trop mal trouvťe de vous avoir dťsobťi!... Nous rentr‚mes. Entre les deux portes, elle se dťcouvrit un tťton, et me le fit baiser. Montencon avait arrangť la carafe en vin de Champagne. Conquette, prťvenue, le remarqua; s'en procura une autre d'eau, et rťserva le vin, pour griser Montencon lui-mÍme. Mais le Ribaud ťtait inenivrable, autrement que par les beaux yeux et les autres charmes de ma voluptueuse Conquette-Ingťnue. Chapitre XX Du, Ah, comme elle fut foutue! DŤs que Mme Poilsoyeux, qui affectait une ivresse aimable, parut dans l'ťtat oý le Montencon la dťsirait, je la saisis, la premiŤre fois qu'elle se leva, par la taille d'une main, et de l'autre, je lui pris le con (Outre que je dťsirais vivement sa possession, je la voulais enhardir, et prťparer son bijou ŗ l'admission d'un plus gros membre que le mien). Je la renversai, en demandant un morceau du beurre frais restť sur la table. Je lui en mis gros comme une noix ŗ l'orifice; et je poussai. -- Laissez, laissez-moi donc! (me disait-elle doucement) Cependant elle remuait admirablement de la charniŤre, et le foutoir craquait sous nous... Je dťchargeai, en me rťcriant de plaisir!... -- A toi, bougre... Montencon, debout, son gros vit bandant ŗ la main, nous admirait!... J'eus ŗ peine dťconnť qu'il se prťcipita sur ma fille, dont le connin oscillait encore; et, doublement favorisť par mon foutre et par le beurre frais, il pťnťtra. Conquette fit un cri! Je m'avanÁai, alarmť. Mais elle me sourit aussitŰt. -- Enfonces-tu? (dis-je au fouteur) -- Oui, oui! sacredieu! (me rťpondit-il) et avec dťlices!.. Elle me pince le vit!... Mais... quel connin!... C'est un satin!... Ah!... Ah!... je fous!... Remue du cul, cťleste houri!... Re..mue, divine bougresse!... Con dťlicieux! remue... sous moi!... saccade... saccade!... Je pa..ars!... je dťcha..arge!... Ahah!...! Le grisonnant se p‚ma sur les tťtons de ma fille, qui elle-mÍme nageait dans le foutre et la voluptť. J'avais craint qu'elle ne remu‚t pas assez avec un ťtranger; mais, dŤs qu'elle fut limťe, elle se mit ŗ remuer, ŗ saccader, ŗ osciller des reins, ŗ dťcharger avec des soupirs et des cris... Montencon se remit ŗ la fourgonner, sans dťconner, criant, hurlant de luxure, et murmurant par intervalles: -- Divine garce!... fais-toi putain... et... je te rťponds... de ta fortune!.. Il recommenÁa ainsi trois fois sans dťsarÁonner. Enfin, il dťconna. -- Voilŗ un coup qui en vaut dix, et un con qui vaut cent, et mille fois tous ceux que je t'ai fait enconner, mÍme ma petite hŰtesse! On ne le quitte qu'ŗ regret!... Mais refous-la, mon ami. Une femme vaut seize hommes au jeu couillard; ne la laissons ni refroidir, ni chŰmer. A ce mot, Conquette-Ingťnue, restťe immobile, et se contractant seulement un peu, comme si on la tenait encore bourrťe... d'un vit, sauta du foutoir, et courut se laver. Elle trouva de l'eau tiŤde prťparťe. Nous fumes aussitŰt ŗ genoux devant notre divinitť, et nous lui ťponge‚mes l'un le cul, l'autre le con, les fesses et les cuisses, car elle ťtait pleine de foutre et d'un peu de sang, prenant garde de mouiller ni sa chemise, ni ses bas; nous la faisions se tenir troussťe au-dessus des reins.... AprŤs une scrupuleuse ablution, nous l'avons admirťe; car elle ťtait ravissante ŗ cul et ŗ con dťcouverts! Nous l'avons fait marcher ainsi, et nous avons vu la magie de son divin tour de cul... -- Moi (disait le Grison, en la regardant venir ŗ nous), ce qui me transporte, c'est ce con noir, sur une peau de lis; ce poil soyeux, et cette raie de corail, qui le sťpare en deux ťgales parties!... La belle se retourna, et montra d'autres charmes: -- Ah! (s'ťcria Montencon ravi) le beau cul! il n'est pas infťrieur ŗ l'admirable connin! Elle revenait. -- Ah! le beau con! Il est digne du divin cul! Quand ma fille fut auprŤs de nous, il lui baisa le connin. Puis, se levant (car nous ťtions restťs ŗ genoux pour mieux voir), il l'emporta sur le foutoir, en me demandant la permission de gamahucher tous ces charmes-lŗ, avant que je les refoutisse... Ah! comme elle fut gamahuchťe!... Il lui chatouilla de sa langue la rosette, ŗ la faire tressaillir. Puis il vint au con. La belle, chatouillťe, se trťmoussa, puis ťmettant, elle hennissait, comme une jeune cavale, dans la vulve de laquelle on insŤre pour la premiŤre fois l'engin terrible et perforant de l'ťtalon vigoureux; les fesses potelťes de la jument pucelle tremblotent; elle frťmit de tout son corps, et rťpond, par l'ťmission de son hippomanŤs, aux flots de sperme que lui lance le dominateur des haras... Telle ťtait ma voluptueuse fille, seulement gamahuchťe... Montencon dťboucha, et moi, me prťcipitant sur ma fouterie, cambrťe, tenant son cul ŗ trois doigts du foutoir, je plongeai brutalement. Elle ne faisait que doucement osciller. Ce qui ne s'accordant pas avec ma ribaude impatience, je dis ŗ Montencon: -- Arrache-lui sa chaussure, et chatouille-moi-la sous les pieds! Il le fit. Mais le couillon s'amusait ŗ les flairer, en disant: -- C'est Cypris, et le dedans de ses chaussures sent l'ambroisie. -- Chatouille donc, jean-foutre! Il chatouilla; et, au second soubresaut, je dťchargeai copieusement!... Dans mon extase de plaisir, j'ťlevai mon ‚me vers la divinitť: -- Mon Dieu! je vous remercie de m'avoir donnť une fille si parfaite, dont le connin trťmoussant vient de me donner une idťe du dťlice que vous ťprouvez vous-mÍme, en foutant votre fille la Nature!... -- Dieu de mon connin! (balbutia Conquette) sois bťni! je re-dťcharge encore! le cri de mon pŤre a fait entrer son vit plus avant! -- Oh! quel digne pŤre! quelle pieuse fille! (s'ťcria Montencon ťdifiť)... Je dťconnai. -- Mais d'oý vient (me demanda le vigoureux grison, en se remettant sur ma fille, et l'enconnant sans laver), m'as-tu fait chatouiller le dessous des pieds de ta cťleste fouteuse! -- Je tiens cette recette d'un imprimeur foutant la femme de son confrŤre de l'aveu du cocu. -- Que lui avez-vous donc fait, qu'elle m'a donnť tant de plaisir ŗ la fin? -- Vous avez bien vu qu'elle ťtait dťchaussťe? Or j'ai ouÔ dire que les fils de mesdames Quillenpoche et Radball, ‚gťs de huit ans, ťtant entrťs dans la chambre oý un avocat et un procureur vitoeuvraient mesdames leurs mŤres, les petits babouins, ne voulant pas les dťranger, leurs ŰtŤrent ŗ chacune une mule dťlicate, et leur chatouillŤrent le dessous des pieds. Ce qui fit faire aux deux dames des soubresauts qui leur procurŤrent autant de plaisir qu'elles en donnaient ŗ leurs opťrateurs. Aussi depuis se firent-elles toujours chatouiller les pieds en pareille circonstance. -- Tu vas me rendre la pareille... Il saccadait. -- Allons, le foutre de ton pŤre... ce foutre dont tu es faite, amalgamť au tien dans ton sacrť connin de poupťe, doit te le pommader! Et j'ai de la peine!... Je vis ŗ la rougeur de ma fille qu'elle souffrait. -- Dťconne, bougre (dis-je ŗ l'Enfonceur), ton vit d'‚ne, ton vit de mulet donne les bouchťes trop grosses ŗ ce connichonnet! Il dťconna, et je mis une boulette de beurre frais ŗ l'orifice du bijou de ma fille. -- Oh! Áa me le rafraÓchit (dit l'aimable enfant)... Montencon re-enconna avec fureur. Il entra mieux, et toucha le fond, Conquette ayant saquť du cul: -- Ah! je te sens, petit joli chien de pinÁoir! Allons, Vitnťgrette, encorne ton jean-foutre de VitnŤgre! Pince.. et remue du cul, garce! Ces mots grossiers me mirent en fureur ťrotique; je chatouillai sans pitiť les pieds de ma fille, en lui disant: -- Fous, dťesse! Donne-nous ton joli foutre!... Et toi, sacrť bougre, inonde-la! As-tu jamais percť con ou connin, qui vaille le connin, le connichet de ma cťleste, de cette divine putain?... Conquette saccadait ŗ dťsarÁonner son enconneur (comme faisait Mlle Timon sous le grand homme Mirabeau). Mais Montencon se tenait ferme. Cependant elle eut une dťcharge si convulsive qu'il fut presque dťconnť. Mais, en retombant, le frottement serrť du connin veloutť le fit dťcharger avec ravissement... Il lima quatre fois sans dťconner, et, ŗ la quatriŤme, lui ayant chatouillť les couilles, il ťmit aussi copieusement qu'ŗ la premiŤre. Mais il fut ťpuisť. "Ah! comme VitnŤgre est cocu! (disait-il en dťconnant) car sa fouteuse de femme a dťchargť le triple de moi. Conquette sourit. -- Combien? (lui demandai-je). -- Oh! dans les neuf, trois fois neuf. Je la baisai sur le front, et elle alla au bidet. Je vis par lŗ qu'elle aurait un vigoureux tempťrament. Ainsi, je rťsolus de la faire un peu blaser, avant de la livrer ŗ son gros vit. Mme VitnŤgre, voulant se rafraÓchir quelque temps le con dans sa cuvette ŗ bidet, nous pria, avec une modeste rougeur, de la laisser libre. Nous la salu‚mes aussi respectueusement qu'une dťesse bienfaisante, et nous sortÓmes. Montencon me dit: -- Je vous rends gr‚ces. Je serais plus glorieux d'Ítre son pŤre que de la reine Marie-Antoinette. Elle est autant au-dessus des fouteries ordinaires, que Mlle Contat ou Mlle Lange sont au-dessus d'une putain des pauvres, qui branle les vits derriŤre les charrettes sur le quai du Louvre. Nous nous sťpar‚mes, ŗ ces mots. -- Ah! (disait Montencon, s'ťloignant), comme elle a ťtť foutue! Chapitre XXI Du ressouvenir, et de l'ťpisode. Oh! que les puristes ont dŻ se rťcrier au chapitre prťcťdent!... Eh bien, puristes, je m'en fous. Le lendemain, je m'attendais ŗ un peu de bouderie, ou de sťrieux. Non. Ma Conquette me parla comme ŗ l'ordinaire... Je fus huit jours, sans chercher ŗ le lui mettre... Le samedi, son bijou bien rťtabli des fatigues donnťes par Sourcilsgris, dit Montencon, elle y sentit un chatouillement. Elle se ressouvint alors de ce que je lui avais dit, qu'elle pourrait se laisser enconner par Timori. Elle fit une toilette de voluptť, se couvrit d'une calŤche, et sortit le soir. Mais je l'observais, et la faisais soigneusement observer par Mme Brideconnin, ou comme je l'appelais en badinant, Mme Conbridť. Je fus averti; je la suivis, pour la prťserver de malheur. Elle monta. J'ťcoutai ŗ la porte; et j'entrevis mÍme par une fente... Conquette se jeta dans les bras de Timori. Mais il ťtait malade. La belle fut gamahuchťe seulement. Timori, au lieu de la caresser, comme elle s'y attendait, se mit ŗ lui raconter la suite des ťvťnements relatifs ŗ VitnŤgre, ŗ Foutamort, et ŗ Conillette: -- J'ai ťtť voir VitnŤgre aujourd'hui, au lieu de me rendre ŗ mon bureau, ťtant malade. Je l'ai trouvť malade lui-mÍme, tant il avait ťtť hier effrayť des menaces de son moine. Celui-ci l'avait fait demander. VitnŤgre est accouru. Il a trouvť toute la communautť ŗ l'infirmerie. Parvenu au lit de Foutamort, celui-ci lui a dit: -- Gueux! si j'en avais la force, je t'ťtoufferais... Mais si je suis pour en mourir, comme On l'assure, je dťclarerai tout au Lieutenant de Police, et tu seras pendu... Tu m'as vendu ta femme. Elle ťtait si belle que j'ai eu un plaisir... infini... ŗ la faire expirer dans des douleurs plus fortes que celles de l'accouchement... J'en bande encore, mais avec des douleurs insupportables... Elle ťtait si belle que j'ai voulu en manger: je me suis fait accommoder son con, sa matrice, ses poumons ses tťtons et sa tÍte, que j'avais dťguisťe. Nos moines ont mangť, sans le savoir, son cul, ses fesses, ses mollets, ses pieds, ses bras, ses mains, ses ťpaules, son coeur, son foie, etc... Tous, eux et moi, nous avons la vťrole! Or, ta femme, belle, fraÓche, pucelle encore, ne l'avait pas... Voici ce que tu as fait, coquin. Touchť d'une fausse compassion, tu as fait ťvader ta femme, que je t'avais payťe pour la foutre ŗ mort, et tu lui as substituť une putain... C'est une insigne coquinerie... Si j'en reviens, j'aurai ta femme; si je meurs, tu seras pendu... VitnŤgre s'est donnť ŗ tous les diables que c'ťtait vous qu'il avait livrťe. Le moine, qui venait d'Ítre frottť de mercure, et dont la langue enflait, a fait signe qu'il n'en croyait rien. Le chirurgien a tirť VitnŤgre ŗ part: -- Avez-vous quelque affaire ŗ rťgler avec ce scťlťrat? il n'a pas 2 heures ŗ vivre, ŗ la maniŤre dont enfle sa langue. Il a une vťrole si terrible, que j'ai ťtť obligť de le frotter au triple des autres, que voilŗ dans leurs lits, et qui commencent ŗ saliver. Je le connais; c'est un monstre ŗ Űter du monde, et tout ŗ l'heure, il ne pourra parler. -- EmpÍchez qu'il n'ťcrive! -- Oh! ne craignez rien! l'enflure lui... gagne les yeux; il n'y voit plus, et la langue commence ŗ lui sortir de la bouche... Il... souffre... (lui t‚tant le pouls) comme un damnť... et il n'a pas une demi-heure ŗ vivre... Alors, VitnŤgre, enhardi, a dit au moine: -- Gueux! Inf‚me!... c'est la putain Conillette que je t'ai donnťe, que tu as fait manger ŗ tes moines, et dont tu as dťvorť la matrice vťrolťe! Le moine s'est soulevť, et a lancť ŗ VitnŤgre un si terrible coup de poing, qu'il l'aurait tuť, si la colonne du lit n'avait pas amorti une partie du coup, qui cependant a renversť VitnŤgre. On l'a fait sortir. Mais il a appris ce matin, par le chirurgien, que la langue du moine, devenue grosse comme celle d'un boeuf, l'avait ťtouffť un quart d'heure aprŤs... On a brŻlť, sans lire, tout ce qu'il avait ťcrit durant sa maladie. -- Voilŗ ce que VitnŤgre, tranquillisť, vient de me raconter. Il est tard; je ne saurais vous reconduire. Partez, ma belle amie. Tel fut le rťcit de Timori, fait ŗ ma fille, que j'entendis tout entier, et qu'elle me rťpťtera. Elle s'en revint la tÍte remplie d'idťes noires. Je la suivais ŗ vingt pas, la couvant des yeux, pour la prťserver de toute mauvaise rencontre. Je bandais comme un carme, en voyant son joli tour de hanches... Elle rentra. Je la prťcťdai dans mon magasin, et je me cachai. Elle revint avec de la lumiŤre et de l'eau tiŤde. Elle se lava la motte, et soupira, en se disant ŗ elle-mÍme: "Il n'existe plus, le scťlťrat!... Je suis encore effrayťe! Je frappai un petit coup sur une commode. Conquette leva les yeux, et me vit. Je lui contai tout ce qu'elle venait de faire. Je lui causai un effroi salutaire, qui la guťrit de l'envie de retourner seule chez Timorž, en lui disant que j'avais aperÁu VitnŤgre sur le quai des Ormes. J'ajoutai: -- Vous alliez pour Ítre baisťe; vous le serez; car je couche avec vous. Elle bťgueulait, disant que le rťcit de Timori lui avait Űtť ses dťsirs. Je ne l'ťcoutai pas; je me mis au lit, et elle vint se coucher auprŤs de moi. Chapitre XXII De la fouteuse mise en appťtit. L'appťtit vient en mangeant (dit le proverbe); et l'on va voir combien il a raison, pour Conquette! DŤs que ma fille fut ŗ ma portťe, je m'ancrai sur ses appas, lui suÁai les tťtons, et l'enconnai. Je ne sais par quel motif, humeur ou voluptť, ma divine enfant ne remua pas. Je fis de mÍme, et la tins emmanchťe, sans me donner aucun mouvement... Je m'endormis, aprŤs m'Ítre mis sur le cŰtť, sans dťconner. Conquette, qui s'y ťtait prÍtťe, s'endormit comme moi, sans doute; puisqu'en m'ťveillant, sur les 2 heures, je me retrouvai dans son bijou. Je m'agitai pour lors. Elle me serra dans ses bras, remua vivement du cul, et me dit: -- Cher amant! pou..ousse". Et elle saccada de toute la force de ses reins... Elle dťchargea... J'ťmis aussi... -- Ah... mon Dieu (dit-elle), c'est mon papa, qui me... caracole... -- Qui te fous, ma dťesse. -- Ah... il n'y a que vous, pour ces choses-lŗ... Je ne vous contrarierai plus; car vous avez plus d'esprit que moi... J'ai eu un plaisir... que je ne dois qu'ŗ vous... Cher papa, recommencez; que je dťcharge ŗ votre intention! Je vous adore... Je la re-enconnai vigoureusement, en lui disant: -- Et fous comme tout ŗ l'heure, ŗ l'intention de ton amant... Elle remua du cul comme Clťop‚tre ou Messaline, et elle se mit ŗ dire, en saccadant: -- Bougre de Timori... fous... fous... fous-moi... Fous ta garce... fais cocu mon sacrť gueux de pŤre... dont je suis la femme... la maÓtresse... la putain... Ah... je sens ton vit, au fond de mon con... Ta langue... ta langue!... Je me p‚me... je dť...cha.arge... Foutre... Ah-a-a-ah... je n'en puis plus... Et, en finissant, elle alla se laver le con... DŤs qu'elle fut de retour, je remontai sur elle. -- Remue du cul, du con! (lui dis-je) Trťmousse des fesses... Je sens ton pinÁoir... Oh! que tu fous bien, fille de mon vit, pour une novice!... Ayez un mouvement encore plus rapide!... Bon... excellent!... Quels reins ťlastiques!... Elle fit trois soubresauts, et dťchargea, en disant: -- O mon Dieu! mettez une tonne de foutre dans les couilles de mon pŤre, et que son vit divin le dťcharge au fond de mon con! Dieu l'exauÁa, car j'ťmis aussitŰt, et nos foutres se mÍlŤrent. J'en espťrai un Adonis... Elle resta ensuite immobile, et moi aussi. Elle fit une copieuse ablution. Je me rafraÓchis le vit et les couilles; puis nous nous recouch‚mes. Je la re-enconnai. Je fus lŗ plus d'une heure, lui suÁotant ses boutons de roses, lui dardotant et lui faisant dardoter la langue; la faisant dťchargeoter, p‚moter, chatouilloter mes couilles. Je ne pouvais me rťsoudre ŗ dťconner... Tout ŗ coup ma fille, que je croyais ťpuisťe, se met ŗ trťmousser du cul, ŗ convulsionner du con, comme faisait autrefois sa mŤre, mais mieux que celle-ci... Je rebandai roide, mais loin de la dťcharge! De sorte que je la limai tant qu'elle voulut... Elle me disait: -- Papa! je ne parlerai pas d'un VitnŤgre, qui n'a de plaisir sur une femme qu'autant qu'il brutalise sa monture; mais vous foutez plus tendrement, plus dťlicieusement, que Timori ne caresse. Vous limez mon con comme un dieu!... A votre intention cette dťcharge-ci... Papa! Papa, fourgonne! tu es dans le con de ta fille! Remue du cul, papa! Tu me fous... tu me fous... tu m'enco..onnes!... Fous, bougre! fous ta fille! incestue, jean-foutre!... Enfonce, enfon..once... dans le con..on de ta fi..ille... p‚..‚mťe!... Et elle resta comme morte, pendant une longue dťcharge... Je la relimai, voulant dťcharger aussi, pour la derniŤre fois de cette nuit-lŗ. Elle se ranima: -- Fous, maquereau! Je suis ta putain, ta raccrocheuse... ta sacrťe salope... ta passionnťe fouteuse... ta tendre fille... Engrosse-moi! (remuant du cul avec fureur) mets-moi dans le con un garÁon... une garce! si une fille, tu la... dťpucelleras un jour... si un fils, il me foutra... -- Adorable fureur! (m'ťcriai-je)... Tiens, fille adorťe, voilŗ du foutre. J'ťmis dťlicieusement; et ma fouteuse dťchargea plus dťlicieusement encore... -- Ah! quelle nuit! (me dit-elle)... Timori ne me l'aurait pas donnťe si voluptueuse... Elle s'ablua; je lavai, et nous endormÓmes. Chapitre XXIII De la tendresse filiale; amour paternel. Etre rťservťe, modeste, ou voluptueuse et fouteuse ŗ propos, c'est la vťritable sagesse. Je ne raconte pas les bagatelles... Montencon ne put le re-mettre ŗ Mme Poilsoyeux, et il en fut trŤs ťtonnť! Elle ťtait aussi modeste, aussi retenue avec lui, qu'avant qu'il l'eŻt foutue. C'est qu'elle suivait mon avis, de ne pas laisser prendre un pied sur elle, par les faveurs accordťes, ou ravies.... Un jour qu'elle se baissait, pour arranger le feu, il lui prit le con. Elle lui donna un soufflet. Je dis ŗ Montencon: -- Moi, qui la connais, je ne lui touche jamais les fesses, ou le poil du connin, sans sa permission, et sans qu'elle m'ait dit: "Eh bien, faites donc vite!" Quand je lui demande cette faveur, elle est parťe, chaussťe comme les Gr‚ces... Je commence par lui demander ŗ lui baiser le pied. Puis, lui glissant la main sur la jambe, je lui dis: "Tu l'as si jolie! que je la baise!..." Je pousse ŗ la cuisse, en disant: "Quel satin!" Je lui passe dťlicatement la main sur la motte, et je m'ťcrie: "Ma reine! qu'en te voyant marcher dans la rue, et tortiller si joliment du cul! faire bander tous les hommes, bisquer de jalousie toutes les femmes, je puisse me dire: 'Je viens de patiner, de baiser ces foutatifs appas...' Je te suivrai; j'entendrai les hommes dire: 'Que je la foutrais bien!' Je verrai les femmes penser: 'Sacrťe coquette! cette parure, ce goŻt, ce tour de cul signifient: Je veux Ítre foutue! Vits, foutez-moi!' 'Bougresses! (leur rťpondrai-je tout bas), je mťprise vos cons et vous! Je ne bande que pour le beau connin que vous jalousez'..." Ma fille sourit ŗ ces propos; se laisse patiner, puis baiser tťtons, fesses et connin... Montencon m'admira, et demanda pardon ŗ Conquette, qui n'avait entendu ce que je venais de dire, qu'avec une modeste rougeur. Un jour de fÍte, que je l'avais conduite avec prťcaution chez une amie, et que j'ťtais retournť la chercher le soir, la suivant ŗ quatre pas, son lubrique tour de fesses me fit bander si fort qu'en rentrant, je lui happai le con. Elle se dťfendit, parce qu'elle entendait aller et venir Mme Brideconnin. -- En ce moment, dťesse, je suis si enragť de lubricitť, par ta marche voluptueuse, que je te foutrais devant toute la Terre. Et je grinÁais des dents, lui tenant toujours le poil du con, ce poil soyeux qui lui formait une longue et superbe perruque ŗ la Louis XIV. -- Eh bien! (me dit-elle), allons: Mais ne me chiffonnez donc pas? -- En dťshabillť, reine. Je lui tenais toujours le con, et je la suivais ŗ chaque pas qu'elle faisait. Elle me donna un joli baiser ŗ langue dardťe, pour me remercier de ce que je lui permettais de se mettre en dťshabillť. -- Ne me quittez pas le poil; Áa me prťpare. Une pareille complaisance me la faisait adorer. En un instant, elle fut en corset, en court jupon piquť, les tťtons bien dťcouverts: -- Ma chaussure est-elle assez voluptueuse? ou voulez-vous des mules, avec d'autres bas? -- Des mules. Je la dťchaussai d'une main, lui chatouillant toujours le con. Ah! quelle jambe blanche! quelle propretť! Elle se chaussa debout. Je lui mis le pied dans une mule rose dťlicieuse, ŗ talons roses aussi, minces, ťlevťs, ŗ falbalas d'or, ainsi que le bout du talon. Je lui quittai la motte, qu'elle lava. Ensuite elle fit par la chambre quelques tours, pour m'exciter davantage. Me voyant hors de moi: -- Je veux te griller! (me dit-elle). Tandis que je dťculottais, elle s'assit, croisa ses genoux, et fit badiner la mule du pied en l'air... Je n'en pouvais plus... Me voyant prÍt ŗ m'ťlancer sur elle, Conquette vint sur moi troussťe, me fit tenir ses jupes, appuya ses deux coudes sur mes ťpaules, et s'enfila doucement elle-mÍme, sans toucher mon vit de sa main dťlicate. Elle descendit ainsi graduellement jusqu'ŗ ce que je touchasse ŗ son pincevit: -- Ne remue pas! (me dit ma reine) je veux me foutre moi-mÍme! Quand elle sentit le plaisir, la divine fouteuse, trop ťmue, s'abandonna de tout le poids de son corps, en me disant: -- Cher vit... pou..ousse! Elle mit sa bouche brŻlante sur la mienne, donna le mouvement intťrieur ŗ son con, me darda sa langue, et se p‚ma, en me lanÁant toute son ‚me... Je dťchargeai, avec un si dťlicieux frťmissement, qu'elle foutait encore, au bout de cinq minutes d'ťmission. -- Ah! Fouterie adorťe, l'ťclair du bonheur dure... et se... prolonge avec toi... Je sentis, en cet instant, l'ťmotion de mes premiŤres dťcharges, oý je perdais connaissance, et je crus que j'allais expirer de voluptť dans son con. Je le dis, en dťchargeant. Mon enconnťe n'en frťtilla que plus vivement: -- Un fils?... une fille?... ou tous deux au fond de mon con (me disait-elle), cher vit de mon pŤre!... Je jurais, je sacrais, je divinisais ma fille: -- Con cťleste... Con divin... Con de mon vit... est-ce moi?... est-ce un roi?... est-ce un prince?... est-ce le beau commis aux aides, qui t'avons foutue dans le con de ta putain de mŤre?... Ah, mon vit te rend ma fille, en mÍlant mon foutre au tien... Divine, sacrťe garce... Adorable bougresse enculťe, il faut que je t'encule aussi? -- Non; ton foutre m'est trop prťcieux, pour que je le perde sciemment. Fous-moi en con, tant que tu le voudras; mais non en cul, en bouche ou en tťtons. Je l'approuvai avec respect. Je lui dis ensuite pourquoi je la suivais toujours, en la menant chez son amie, ou en la ramenant: -- Mon premier motif est de mieux voir le danger. Le second, d'entendre les discours des hommes et des jeunes gens que tu fais bander. L'un dit: "Quel mouvement de cul!... O garce! si nous ťtions seuls ici, je me jetterais sur toi, et je t'enconnerais..." -- Je l'ai entendu (me dit en souriant Mme Poilsoyeux). -- Un autre (ce soir) se secoue le vit en pleine rue: "Maman... (dit-il) dťlicieuse maman... je me branle... je dťcharge... ŗ ta divine intention." -- Je l'ai entendu; j'ai souri. Il a aussitŰt ajoutť: "Oh, si vous Ítes putain... une divine putain? cinquante louis pour trois coups en une heure?... ou chez moi, ou chez vous?... Je demeure rue de Bussi au 3Ťme, nį 16." -- Un joli fat (repris-je), disait assez haut: "Mon vit dans sa bouche, et ma langue dans son con..." Et il se branlait, branlait, branlait. -- Je l'ai vu, et je lui ai donnť un petit coup d'ťventail sur le vit... Il m'a bien touchťe! Il m'occupait. Peut-Ítre est-il cause que j'ai montrť un peu d'humeur, quand, ŗ notre arrivťe, vous m'avez pris le con. A ces mots, nous recommenÁ‚mes une scŤne, comme celle que je viens de raconter; si ce n'est que je renversai ma fille sur le dos. -- Vit-papa... (me dit-elle) tu es le fat... c'est le fat qui me fout... Tu me fais foutre par tous ceux qui m'ont dťsirťe... Je dťcharge ŗ l'intention du fat... son vit dans ma bouche, ses couillettes sur mes tťtons, et l'engin de mon pŤre au fond de mon connin... J'avale son... joli foutre... (convulsivant du con)... Je dťchar..ge... Jamais elle n'avait eu autant de passion. Elle ťtait mÍme raisonnťe; car, entre deux dťcharges, elle me dit: -- Vos lŤvres sont appťtissantes; elles me rappellent; au lieu que celles de Montencon... Je ne veux plus qu'il m'encon..o..o..ne (dit-elle en s'agitant). Langue en bouche; mon con pa..art... Ah, si j'avais lŗ l'homme aux cinquante louis, moi qui ne suis pas effrontťe, je crois que je ferais la putain, que je les exigerais d'avance, comme VitnŤgre disait que c'est l'usage des filles, que je le dťculotterais, et que mon con martyrisť gagnerait la somme! Chapitre XXIV Du chef-d'oeuvre de tendresse paternelle. Conquette ťtait naturellement sage; elle n'ťprouvait les emportements du libertinage que dans le dťlire de la jouissance, effet d'un vigoureux tempťrament. J'ťtais ťpuisť par deux coups foutus avec trop d'emportement. Cependant je la voyais haletante de voluptť. Je courus au carrefour Bussi, nį 16, au 3Ťme. Je trouvai le jeune homme aux cinquante louis. Je le reconnus; il me remit. -- Je suis le pŤre de la jeune dame ŗ laquelle vous avez offert 50 louis. -- Je les lui tiens. Trois coups en une heure? -- Soit. En ma prťsence? -- Et de tout Paris, si vous voulez. Mais, bougre, ne va pas me jouer! -- Non. Mais une heure, sans bruit? -- Foi d'homme! Partons... Il prit les 50 louis. Arrivťs tous deux, je dis ŗ ma fille: -- Voici l'homme qui t'a plu. Tu as besoin de 50 louis. Il te les apporte. Il les faut gagner! Conquette rougit, sans rien rťpondre. L'homme se dťculotta, lui vint prendre les tťtons, le con. Il me dit: -- Serrez les 50 louis; ce con satinť, ces tťtons touchťs les valent. Je les serrai, tandis qu'il renversait ma fille sur le foutoir. Elle fit un cri: -- O monsieur... mon cher monsieur... ne me faites pas trop de mal! -- Seriez-vous donc pucelle? -- Hťlas! oui... Il l'enconna avec fureur. Elle soupira, criota, pinÁa du con, dťchargea. -- Elle est adorable (disait le fouteur enragť; car il foutit, et re-foutit, sans pitiť, comme sans dťconner, ses trois coups de suite). Ma fille, tantŰt le caressait, tantŰt lui demandait gr‚ce: mais elle dťchargeait toujours... Il dťconna ravi... Et voyant quelques gouttes de sang, que ses brusques estocades avaient fait couler, il dit: -- Oui, vous Ítes d'honnÍtes gens. Un pareil pucelage n'est pas assez payť de 50 louis. Je vais en envoyer 50 autres, papa... (Ma fille ťtait disparue pour s'abluer). Oui, si je n'ťtais pas mariť (ajouta-t-il attendri), je l'ťpouserais, et pour son pucelage, et pour son amour... Vous allez recevoir 50 louis. Je la regretterai toujours, et ne la verrai jamais. Il partit. Ma fille me remercia, et me dit qu'elle ťtait rassasiťe. Je lui remettais les 50 louis. -- Non (me dit-elle), cher papa, c'est pour nos dťpenses. Les 50 autres louis arrivŤrent, et je ne pus jamais l'obliger ŗ en mettre dans sa bourse plus de six. Je dťposai les 94 autres ŗ sa portťe dans mon magasin. Le Lendemain, ŗ mon arrivťe, ma fille me dit: -- Je brŻle aujourd'hui. Savez-vous la demeure du fat, ou du vit dťcouvert? -- Non; ce sont des sots. -- Eh bien, sortons. L'un ou l'autre me verra sans doute, et vous le suivrez. -- Divine fille... ťpuisť dans ton cťleste connin, j'ai toujours les mÍmes dťsirs; et, si je voulais mourir de plaisir, et dans le plaisir, je te prierais de remuer du cul, et de me laisser expirer au fond de ton con satinť... Foutons!... -- Un seul coup. Vous m'Ítes trop cher et trop nťcessaire pour que je ne vous mťnage pas. En montant sur le ventre de ma fille, et tandis qu'elle m'arrangeait le vit ŗ l'entrťe de son con, je lui disais: -- Te quitter, pour en suivre un, est trop scabreux, et malheur peut arriver... Et comme elle ne s'agitait pas, -- Tu me mťnages?... Remue du cul, mignonne! Saccade! Dťcharge!... C'est mon seul coup... Mais j'ai de quoi te satisfaire... Il le faut mÍme, avant qu'un de tes trois gros vits te martyrise. Elle remua du cul et du con, comme Marie-Antoinette foutue en levrette ŗ la Conciergerie par un polisson de gendarme... Nous dťcharge‚mes, Conquette, comme la reine, moi, comme le gendarme... Je sortis. Elle lava. Chapitre XXV Du bon pŤre qui fait foutre sa fille. Allez au but, et bravez le reste: c'est un con, qu'il s'agit d'ťlargir; il faut donc qu'il soit foutu... On sait que j'avais ŗ moi un certain Traitdamour, mon secrťtaire, frŤre de Minone et amant de ConnŤte, qu'il m'avait fait dťpuceler, l'ayant trop gros. C'ťtait un vigoureux garÁon de vingt ans. Il demeurait ŗ deux pas. Je l'allai chercher: -- Veux-tu foutre quatre ou cinq bons coups, avec une femme charmante, que je veux rťgaler, et ŗ laquelle je veux donner haute opinion de moi? Ainsi, tu n'auras pas de jour. Mais tu l'auras vue avant de la foutre, pour la mieux servir. -- Bon, bon! il y a quinze jours que je ne l'ai mis, ni ŗ ConnŤte, ni ŗ ma soeur, et je n'en fous point d'autres... Nous arriv‚mes. Je lui fis voir, par une portiŤre, Conquette, qu'il ne connaissait pas. -- Oh... qu'elle est... provoquante... foutative!... J'entrai seul: -- Dťtťtonne-toi; trousse-toi toi-mÍme (dis-je ŗ Mme Poilsoyeux). Tu es vue par un jeune homme de vingt ans, beau comme l'Amour. -- Mon fat? -- Ton fat. Il se nomme Traitdamour. Ainsi, montre tout, en abluant. Je retourne auprŤs de lui. De retour auprŤs de mon ťtalon, je lui dis: -- Regarde-la bien. Elle va s'abluer, et montrer con et cul... L'‚me de mon gendre momentanť passa dans ses yeux. Conquette se dťcouvrit les tťtons, ťpongea lťgŤrement les bouts d'eau-rose. Ensuite elle se troussa au-dessus des reins, se parfuma le cul et le con avec une autre fine ťponge; tendit le cul, se faÁa bien le con. Puis elle se renversa sur le foutoir, avant de fermer les rideaux. Je les allai tirer, en disant ŗ Traitdamour de me suivre dans un instant. Je me jetai sur la dťlicieuse Poilsoyeux; et l'enconnai. Traitdamour me chatouilla les couilles. J'ťmis avec fureur. Ma fouteuse se rťcriait de voluptť... Je me h‚tai de dťconner. Traitdamour attendait tout dťculottť. Il se prťcipita sur ma fille, et je dis, en me penchant sur la tÍte de l'enconnant: -- Allons, allons, ma belle! les reins souples! j'ai repris une vigueur nouvelle! Traitdamour cependant enfonÁait ŗ peine son beau vit dans cet ťtroit bijou, encore que mon foutre y servÓt de pommade. Conquette, de nouveau dťpucelťe, criotait en soupirotant, et nťanmoins remuant vivement du cul, ŗ chaque dardement de vit. Je rebandais. Mais Traitdamour foutit trois coups, et fit trois copieuses ťjaculations avant de dťconner. Je le tirai, pour le forcer ŗ reprendre haleine. -- Je vais pendant ce temps-lŗ (lui dis-je trŤs bas), faire une petite partie de Trou-Madame. -- Je vois (me dit-il de mÍme), vous ne bandiez plus assez roide, et je suis votre Boutentrain! Mais elle a le con plein de foutre... Ma fille se lavait... Je roidissais de plus en plus, par la vue des cuisses de neige, de la jambe fine, du pied parfait, du cul, du con, du ventre d'ivoire, du nombril bien fait, des tťtons de ma fouteuse. Je dis tout haut ŗ Traitdamour: -- Beau fouteur, montre-toi; que ma dťesse voie le superbe vit dont je la rťgale! Traitdamour parut son trait ŗ la main. Ce n'ťtait pas le fat; mais il ťtait plus beau. Ma fille sourit. Puis, baissant la vue sur le vit majeur, la belle dit en soupirant, et le pressant de sa main blanche et potelťe: -- C'est donc toi qui m'as fait tant de mal... et de plaisir!... Traitdamour me la renversa; lui fit ťcarter les cuisses; me coucha sur elle; me mit l'engin dans la brŤche, en disant: -- Votre belle a la main trop douce; elle pourrait vous mettre ŗ nage, et il faut enconner roide... Poussez, mon maÓtre... piquez des deux!... la cavale est belle... Allons, dťesse enconnťe, haussez le con... Remuez du cul... C'est un homme d'esprit qui va vous humecter la matrice de son foutre honorable... Cette harangue fit sourire la foutue, qui, pour en dťguiser la cause, s'ťcria: -- Ah, monsieur VitnŤgre, que de cornes vous voilŗ!... -- Allons, dťesse (reprit Traitdamour), songez qu'il faut que vous fassiez les trois quarts de l'ouvrage... Du mouvement!... Bon... Ah! Áa va d'amitiť... et... vous remuez du cul comme une princesse... Allons, des reins souples! Avec votre connin satinť, vous mettez votre fouteur aux anges!... Roide, mon maÓtre! aidez-vous... votre jolie monture va comme une jument barbe... Gzee... gzee... Un coup de fouet... Ah! quels soubresauts... Ma foi, elle dťcharge... Piquez des deux... Comme elle trťmousse des fesses, la cťleste petite amie! comme elle en donne!... Que je vous chatouille les couilles, pour vous y faire correspondre!... Vous partez!... Quels coups de cul!... Quels soupirs!... Elle redťcharge!... Ma modeste fille ne jurait jamais que trŤs ťmue, et dans le dťlire de la voluptť. Aussi, en cette occasion, elle syncopa, en s'ťcriant: -- Bou..ougre!... fous..ous-moi! Mon... con a... toute... mon ‚me!... Je fous... je fonds... en foutre... je dťcha..arge... Que... n'ai-je... deux vits... dans... mon... sacrť con! -- Il est trop ťtroit, ma belle (lui rťpondit Traitdamour); sans quoi l'on s'arrangerait ŗ vous donner ce plaisir-lŗ... Mais on pourra quelque jour vous enculer, pendant que votre fouteur vous enconnera... AprŤs une dťlicieuse dťcharge, je me crus ťpuisť. Je dťconnai sur-le-champ. Ma fille trťmoussait encore. Traitdamour sauta sur ce con fumant, et, tout en le re-enconnant, il me disait: -- Vous avez foutu ma petite soeur; je l'ai foutue aussi, aprŤs vous. Vous m'avez dťpucelť ConnŤte ma future. Dites-moi si leurs cons valent celui que votre bontť me fait enfiler? c'est un satin!..... Mais, ŗ en juger par le soyeux du poil, j'augure que l'intťrieur du con de ma jolie chapeliŤre de la rue Bordet en approchera... Ma reine... vous fais-je mal? -- Et plaisir... Va... va..a va..a donc! je fous. -- Ahahahh, quel satin.. quelles dťlices!... J'enconne... je fous... je dťcha..arge... Remue... divine... sacrťe... cťleste enconnťe!... Oh, l'aimable petite pincette qu'elle a au fond du connin!... Pince... serre... sacrťe petite convulsionnaire... fais-moi... convulsiver dans ton joli con!... Tu veux du foutre... Dťesse?... Quatre dťcharges de suite vont t'inonder le connin... connichon... connichonnet!... Voilŗ ma seconde... -- Fous... saccade (murmurait ma fille)... ne... me quitte... pas, cher vitdamour! -- Ne la quitte pas aprŤs avoir dťchargť (dis-je ŗ mon ancien secrťtaire); qu'elle sente les derniŤres oscillations de ton gros vit!... Qu'elle est jolie, en foutant!... (disais-je ŗ Traitdamour); je rebande... Elle a l'air d'une dťesse!... Laisse-la achever... Farfouille... Lime.. lime-la!... Elle gigote encore... Bon... bon! Elle se p‚me?!... Ah, qu'elle est jolie, p‚mťe!..... -- Elle n'ťmet plus? -- Elle a ťmis quatre fois dans le con, sans la dťsenconner. -- Quatre et trois, c'est sept (disait Traitdamour, en me la lavant); vous allez la refoutre; Áa me reposera; j'irai ŗ mes douze. -- Vous vous ferez mal (me dit Conquette); voilŗ quatre fois que vous m'enconnez aujourd'hui; le reste de ses 12 me suffira; Áa fera mes 16! Pour toute rťponse, je me la fis renverser. Elle me darda sa langue, et je la foutis roide... Traitdamour la prit ensuite, et ne la quitta plus, quoiqu'elle l'en pri‚t, qu'il n'eŻt arrosť de foutre cinq nouvelles fois ce beau con.... Elle se leva aussitŰt qu'elle fut dťconnťe, en me disant: -- Emmenez cet impayable jeune homme, et me laissez libre. J'ai besoin de rafraÓchir sur le bidet plus d'une demi-heure mon pauvre bijou martyrisť... Nous la laiss‚mes; j'allai prendre et faire prendre ŗ Traitdamour un bouillon chez Mme Brideconnin, que je priai d'en tenir un prÍt pour Mme Poilsoyeux. Ce qui la surprit... Conquette rafraÓchie arriva, et parut aussi dťcente, aussi modeste, que si elle n'avait pas foutu. Traitdamour partit, sans Ítre instruit, Mme Brideconnin ťtant prťvenue de ne jamais dťcouvrir les relations entre ma fille et moi. Chapitre XXVI D'avis trŤs utile au lecteur, et ŗ l'auteur. Nous en sommes enfin au temps si souvent annoncť des fouteries majeures. Si je les avais rapportťes sans prťparation, elles auraient ťtonnť. Mais qu'on sache que j'ťtais sŻr, en les commenÁant, non seulement d'avoir pour mes filles deux des trois payeurs qui soldaient VitnŤgre, mais encore de les faire prťcťder par la jolie chapeliŤre de la rue Bordet, qui, vendue au plus douteux, devait m'instruire de la moralitť de tous les trois. Il ťtait donc essentiel, pour ťviter qu'elles ne fussent estropiťes, de les faire prodigieusement ťlargir, en ťvitant nťanmoins de les prodiguer ŗ trop de dťchargeurs en con. L'on verra comme je m'y prendrai pour cela. On trouvera dans le rťcit un ťpisode, ŗ chaque sťance, tant pour varier la scŤne, et reposer l'imagination, que pour raconter quelques aventures, que j'ai cru devoir supprimer au commencement. Chaque historiette lue ou racontťe ne sortira pas du genre. Rien de plus dťplacť, dans un ouvrage comme celui-ci, qu'une dissertation philosophique; elle y devient insipide, et par lŗ mÍme dťgoŻte de la philosophie. Mon but moral, qui en vaut bien un autre, est de donner ŗ ceux qui ont le tempťrament paresseux, un Erotikon ťpicť, qui les fasse servir convenablement une ťpouse qui n'est plus belle. C'est ce que j'ai vu faire ŗ plusieurs hommes, qui se servaient pour cela du livre cruel et si dangereux de Justine, ou les Malheurs de la Vertu. J'en ai un plus important encore; je veux prťserver les femmes du dťlire de la cruautť. L'Anti-Justine, non moins savoureuse, non moins emportťe que la Justine, mais sans barbarie, empÍchera dťsormais les hommes d'avoir recours ŗ celle-ci. La publication de la concurrente antidotale est urgente, et je me dťshonore volontiers aux yeux des sots, des puristes et des irrťflťchis, pour la donner ŗ mes concitoyens. L'ouvrage aura deux parties. AprŤs le rťcit formant la premiŤre, succťderont des lettres, non moins assaisonnťes, composant la seconde. Les filles de Cupidonnet lui racontent les parties de plaisir que leur faisaient faire leurs entreteneurs; parties oý, dans le dťlire de l'ivresse, leurs payeurs les faisaient quelquefois possťder par 12 hommes... Mais toutes ces lettres ne sont pas ťrotiques: il en est d'intťressantes par un autre motif; tel est celui d'une rťsurrection, avec la dťcouverte importante de l'origine de Conquette-Ingťnue, et de Victoire-Conquette, noms de deux filles que les miennes ont remplacťes. Ce qui me justifiera d'une certaine chose, qui sans doute a dťjŗ effarouchť plus d'un lecteur... Je n'en dirai pas davantage lŗ-dessus. On ne peut trop multiplier les observations sur les scŤnes que je vais mettre sous la vue du lecteur. Pour remplacer la Justine, et faire prťfťrer l'Anti-Justine, il faut que celle-ci surpasse l'autre en voluptť, autant qu'elle lui cŤde en cruautť. Il faut qu'un seul chapitre lu par un homme, sur l'inspection de la table, lui fasse exploiter sa femme, jeune ou vieille, laide ou jolie, pourvu que la dame ait fait bidet, et qu'elle soit bien chaussťe. Chapitre XXVII Du commencement des grandes fouteries. Egayťe comme elle l'avait ťtť hier, ma fille devait avoir besoin de repos le lendemain. Elle avait le bijou si fatiguť qu'elle ne pouvait quitter sa chaise. Elle resta constamment auprŤs de Mme Brideconnin, de peur que personne ne vÓnt le lui patiner. Le reste de la semaine, elle ťvita ťgalement, quoique guťrie dŤs le troisiŤme jour, de se trouver seule avec moi. Elle amassait elle-mÍme du tempťrament; car elle ne s'ťtait jamais branlťe. Le dimanche, ŗ une heure, elle alla pour la derniŤre fois chez son amie... Avant de partir, elle me prťsenta son joli pied ŗ baiser, et me livra sans bťgueulerie le poil de son connin. Je la conduisis jusqu'ŗ la porte, promettant de la revenir prendre avant 5 heures; ce qui la fit rougir; mais j'observai qu'en montant, me croyant parti, elle souriait. Je fus exact. En la ramenant, je la fis marcher devant moi, m'apercevant qu'elle ťtait observťe par un homme, que je pris pour un des payeurs de VitnŤgre. Mais il ne pouvait reconnaÓtre que son joli tour de cul et sa marche provocante, tant elle ťtait bien encalťchťe. J'observais l'inconnu. Je demandai ŗ ma fille si c'ťtait lŗ celui-ci qu'elle prťfťrait? -- Oui (me dit-elle). Alors, je la nommai, distinctement, ma fille. Et l'homme s'ťloigna. J'avais averti Traitdamour. Il avait une clef de mon magasin, et nous l'y trouv‚mes. Je le crus seul, malgrť la recommandation que je lui avais faite de m'amener quatre acteurs des deux sexes. Je lui dis, en riant, que je bandais, et que je voulais enconner. -- Quoi! (dit Conquette) est-ce que vous allez faire tous deux comme l'autre fois?... Je ne suis pas disposťe, je vous en avertis. -- Nous vous disposerons, ma belle (lui dit ironiquement Traitdamour, qui la crut ma putain); voyez-moi ce vit-lŗ!... Et il lui en montra un superbe... -- Laissez-moi d'abord vous lťcher le connin, Ma'm'selle?... Mon maÓtre vous enconnera, quand vous serez prťparťe! J'ai tout disposť, pour lui donner aujourd'hui, ainsi qu'ŗ vous, un plaisir de fermier gťnťral. Il la renversa brutalement, et la gamahucha, en lui disant, comme s'il l'avait menacťe: -- Ne rťsistez pas! car je vous ferais mal... Mais Mme Poilsoyeux, comme toutes les femmes ŗ grand tempťrament, aimait, dans la fouterie et ses accessoires, une sorte de brutalitť. Ainsi, en croyant la contraindre, il la servait admirablement... La belle commenÁait ŗ dťcharger... Tandis que je roidissais avec oscillation, ŗ la vue du systole et du diastole des fesses et du con de ma fille, j'aperÁus derriŤre un rideau de l'alcŰve quelque chose qui remuait. J'allai voir. C'ťtaient Minone et ConnŤte, auxquelles deux garÁons amis de Traitdamour, excitťs par ce qu'ils voyaient, lťchaient le con. Je leur fis entendre, par signes, de ne pas bruire, et je les encourageai d'un geste. Cependant Traitdamour fellait ou suÁait le connin de Mme Poilsoyeux. Lorsqu'elle fut suffisamment en humeur, il se dťrangea, me tira sur la belle, et insťra mon vit bandant en ce connin rempucelť par sept jours de repos. -- Qu'avez-vous ŗ me donner ŗ vous sucer? (dit-il ŗ l'enconnťe). Elle lui prťsenta l'index de la main droite qu'il se mit ŗ sucer, aprŤs nťanmoins avoir appelť sa soeur et sa maÓtresse, en leur disant: -- Ici, bougresses, et qu'on montre son savoir-faire!... L'une (Minone), qui avait la main aussi douce que ma fille avait le con, me chatouilla les couilles; l'autre (ConnŤte) fourrait un doigt pommadť dans le cul de ma fouteuse, pour la faire tressaillir sous moi... Mme Poilsoyeux hennissait de plaisir. Elle me dardait sa langue, en m'appelant son cher fat... son cher Centlouis... son cher payeur ŗ gros vit... son cher Traitdamour... Enfin, enivrťe de fureur ťrotique, elle s'ťcria: -- VitnŤgre!... Jean-foutre... Fous-moi! Pince-moi!... Que ton gros vit de mul‚tre me pourfende et m'encule!... Et elle dťchargea comme une ťnergumŤne. En ce moment, j'avais dans la bouche la langue frťtillante de mon enconnťe; une des deux filles me chatouillait de la sienne le trou du cul et les couilles; l'autre me suÁait dans la raie du dos entre les deux ťpaules, prťcisťment sur le sensorium... Je croyais connaÓtre le plaisir de la dťcharge; mais je ne l'avais jamais ťprouvť, comme cette fois-ci; et, de ce coup, je fus rendu.... -- Quelles dťlices! Traitdamour m'enleva de sur ma fille, et se prťcipita dans son con. -- Voilŗ un connin! (disait-il, en poussant et retirant, allant toujours plus avant, ŗ chaque saccade) Il y a de la diffťrence de ce connin aux autres cons, comme du satin ŗ la tapisserie de Bergame... Les jeunes filles n'avaient plus besoin de chatouiller, quand Traitdamour foutait; il avait assez de feu pour lui-mÍme, et ne faisait que trop bien trťmousser sa monture. Je fis signe aux deux garÁons, Brisemote et Cordaboyau, d'ťtaler les filles, l'une sur un vieux sofa, l'autre sur un lit de sangle ayant un simple matelas, et de les foutre ŗ la portťe du regard de la belle au con soyeux. Par un effet du hasard, ma fille ťmettait sous Traitdamour pour la seconde fois, et les deux enconnťes dťchargŤrent au mÍme instant, ainsi que les trois hommes. La belle Poilsoyeux, en roidissant les jarrets, faisait: -- Hi hi-hi-hťhť!... Minone: -- Han-han-hanh!... ConnŤte: -- Houhi-houhin houah-houah-hou‚h!... Les trois hommes disaient ensemble: Traitdamour: -- Remue du cul, dťesse!... Cordaboyau: -- Remue du cul, garce! Brisemote: -- Remue du cul, petite putain!... En dťchargeant, ils s'ťcriaient: -- Foutre... -- Foutre... -- Foutre... Traitdamour: -- Ah, dťesse... Cordaboyau: -- Ah, bougresse... Brisemote: -- Ah, m‚tine! chacun suivant son caractŤre et sa politesse... Mme Poilsoyeux fut la plus longue ŗ dťcharger; les deux autres ťtaient dťconnťes et lavťes, qu'elle ťmettait encore. Enfin elle cessa. Traitdamour la lava. Et me voyant rebander: -- Vous la foutrez sans doute autant que la derniŤre fois? (me demanda-t-il). -- TrŤs certainement! (rťpondis-je). Je ne suis vigoureux qu'avec cette jeune beautť. Je la foutrais jusqu'ŗ extinction de vie et dessiccation de couilles; et tu vas voir ce que je vaux. Qu'on m'anime seulement par la vue d'enconnages redoublťs! Chapitre XXVIII De l'enculo-connillerie. Ma rťponse fit sourire Traitdamour, qui sans doute n'y ajouta aucune foi. -- Eh bien (reprit Traitdamour), je vais vous donner un plaisir, que vous n'avez jamais eu, ni ces bougres-lŗ non plus. Je tiens cette pratique de l'abbť Chouanche, ancien Genovefain, qui m'a souvent enculť, avant que j'eusse de la barbe au menton et du poil au vit. Un jour, voyant que je m'ennuyais de son culetage, il me dit d'aller lui chercher la petite Culfrayť la cadette, jolie comme un coeur, et non encore vendue ŗ un Lord. Il envoyait 12 francs ŗ la mŤre, et la fille devait en recevoir autant. L'abbť la fit s'appuyer un coude sur une commode; il se mit derriŤre elle, et l'encula. J'ťtais devant, et il me la fit enconner. Nous limions; nos deux vits se sentaient, ou la jeune garce tortillait du cul de faÁon que nous croyions le sentir. Chouanche la faisait tantŰt pousser du con sur moi, et alors son vit dťculant ŗ moitiť, il avait l'agrťment de la re-enculer quand elle foulait du cul sur lui. Je presque-dťconnais alors, puis je re-enconnais. Ce joli jeu dura tant que Chouanche put retenir son foutre. Car il ne dťchargeait pas; il se rťservait pour mon cul. En consťquence, il fit mettre la jolie Culfrayť sur le dos; je l'enconnai; l'abbť m'encula, et nous dťcharge‚mes tous trois... Nous ne prendrons pas la maniŤre du Genovefain; elle est trop fatigante pour la foutue. Mais il payait la jolie bougresse... Payez-vous, Madame?... -- Non certes: c'est une honnÍte femme. -- Je m'en suis aperÁu ŗ sa fouterie. Une putain ne fout pas comme Madame... En ce cas, je vais vous donner une expťrience physique sur une de ces deux fillettes... Allons, Minone... Allons, ConnŤte! laquelle des deux veut Ítre enculťe et enconnťe tout ŗ la fois et en mÍme temps! Qu'elle se trousse! Durant cet entretien, qui la laissait tranquille, Conquette s'ťtait couvert le con et les tťtons. Les deux filles ťtaient assises ŗ cŰtť d'elle, dťtťtonnťes. Elle leur baisa le boutonnet, et leur couvrit la gorge de sens-froid avec leurs fichus (Mme Poilsoyeux redevenait toujours modeste, dŤs qu'on ne la foutait plus)... Les deux filles rťpondirent ensemble: -- Moi... Moi! -- L'une aprŤs l'autre (dit Traitdamour)... Vous avez ici de la pommade, ou du beurre frais? -- Oui (rťpondit en rougissant la belle Consatinť). Tenez, ma pommade est lŗ... et voici du beurre. -- Gardons ce beurre frais pour vous, belle dame, aussi belle au cul et au con qu'au visage (reprit Traitdamour). Minone se pommadait la rosette. -- C'est donc toi qui passes la premiŤre, ma soeur? -- Oui, si c'est toi qui me dťpucelles le cul? -- J'y suis pucelle aussi (s'ťcria ConnŤte). -- Ce ne sera pas moi qui aurai ton pucelage d'arriŤre (rťpondit Traitdamour ŗ sa soeur). Mon vit est aujourd'hui entiŤrement rťservť ŗ Madame. Et, quoique le culetage m'ait toujours fait peine, agent ou patient, le cul satinť de Madame me tente autant que l'ťtroit fourreau de son con, qui se rempucelle en une semaine, ou seulement en faisant bidet ŗ l'eau froide. Je suis sŻr que Madame n'a jamais ťtť enculťe (ŗ genoux, il lui regardait au cul), et que c'est aussi un pucelage? Conquette rougissait. Les deux camarades de Traitdamour tirŤrent au premier roi ŗ qui dťpucellerait le cul de Minone; car tous deux le voulaient avoir. Ce fut Cordaboyau (un bellot ŗ vit moyen) que le sort favorisa. Il se pommada le vit jusqu'ŗ la racine. Traitdamour fit coucher Minone sur le cŰtť. Il mit Cordaboyau devant son cul, et Brisemote (un beau ŗ gros vit) devant son con. Il la fit ainsi enfiler des deux cŰtťs; les jeunes gens se la poussant l'un sur l'autre ŗ qui mieux. Ce qui donnait un tel plaisir ŗ Minone, qu'elle se rťcriait: -- Dieu... que j'ai de dťlices... c'est... une fouterie de princesse... On dit... que la Reine... fout ainsi entre... d'Artois et Vaudreuil... ce dernier a... le cul... -- Allons (dit Traitdamour), tachez de dťcharger tous trois en mÍme temps! Cordaboyau poussait; il retint la garce par les hanches, pour enfoncer plus avant; Brisemote en fit autant; de sorte que, rendue immobile, elle s'agitait nťanmoins en tout sens. -- Examinez bien.. (dis je ŗ Conquette-Ingťnue) pour faire la mÍme chose ŗ votre tour; car il faut que vous expťrimentiez tous les genres de fouterie. Elle considťra le jeu, ŗ travers les b‚tons de son ťventail. Minone haletait. ConnŤte, ťbahie, restait immobile ŗ la contempler. -- Que fais-tu lŗ, toi, bougresse? (lui dit Traitdamour, notre grand maÓtre des cťrťmonies) Patine-nous Madame... Suce-lui le bout des tťtins... Gamahuche-la; elle a le con propre comme un visage de mariťe... Ces mots, ťnergiquement prononcťs, mirent en danse la reine de la fÍte, que je vais dťcrire. ConnŤte, tandis que Minone travaillait, et qu'elle ťtait travaillťe, dťcouvrit les tťtons de Mme Poilsoyeux, et les siens. Elle en suÁa les bouts; elle se les fit sucer. Ce chatouillement de la bouche de Conquette, aussi satinťe que son con, mit la jeune ConnŤte en fureur amoureuse. Elle trousse Mme Poilsoyeux; lui insŤre sa langue dans le con; lui chatouille le haut de la motte. La belle, ťmoustillťe, regardait cependant Minone. Celle-ci avertit ses deux fouteurs qu'elle ťtait prÍte ŗ dťcharger. Ils redoublent le fourgonnage. Elle s'ťcrie: -- Vits de Dieu! Et elle se p‚me. L'enculeur et l'enconneur l'inondaient de foutre; il ruisselait des deux cŰtťs... Ma fille, vivement gamahuchťe par ConnŤte, est hors d'elle-mÍme, et cette modeste beautť dit ŗ la jeune fille: -- Ote-toi, garce! Un fouteur! Un fouteur!... deux... cent fouteurs!... Traitdamour l'entend. Il dťrange ConnŤte acharnťe, en la tirant par la jolie criniŤre de son con blond. Il emplit le trou du cul de Mme VitnŤgre de beurre frais; s'en frotte le vit dťcalottť; se met le bas-ventre sur ses fesses, enfile la rosette, sans ťcouter les petits cris de l'enculťe; l'ťtreint vigoureusement, se retourne, en se mettant sur le dos, le vit dans le cul de la belle jusqu'ŗ la garde, son con bien facť... Il crie ŗ son maÓtre: -- A ce con bťant qui vous supe! Enconnez roide... Piquez des deux... la garce est enculťe, et je vas vous donner les mouvements... Pardon, dťesse! je ne me connais plus... ConnŤte! boulonne, boulonne les couilles de mon maÓtre... Cependant j'enconnais ma dťlicieuse fille. Et, sentant le vit de Traitdamour qui m'ťtrťcissait encore le passage, et qui donnait au connin des oscillations que jamais con n'a eues, je dťlirai, en m'ťcriant: -- Chien de VitnŤgre! cocu tout ŗ la fois du con et du cul. Cette idťe m'enflammait, et sa brutalitť m'empÍcha de dťcharger trop tŰt. Je parvins au charmant pinÁoir du fond du connin. Il me suÁa. Le vit de Traitdamour me communiquait tous ses mouvements, et en faisait faire d'insolites ŗ mon adorable fouteuse. Dťjŗ prťparťe par la langue de ConnŤte, elle s'ťcrie: -- Ah-ah-ohh!... ze dťÁa-arze.... Foutre! -- En voilŗ... du foutre... plein votre con... Reine des vits... et des dieux, s'ťcria Traitdamour!... Et je sentais les oscillations de son gros vit qui ťjaculait... Enfin, je dťchargeai moi-mÍme. Ma fille, inondťe de foutre, trťmoussait rapidement: -- Con satinť de mon vit (m'ťcriai-je), que tu es dťlicieux!... Mme VitnŤgre ťmettait encore, quand Traitdamour dťcula... Ce mouvement la fit redťcharger... Le bougre se lavait d'eau tiŤde. Conquette, dans le con de laquelle je laissais osciller mon vit aprŤs dťcharge, gigotait, trťmoussait, tremblotait sous moi. ConnŤte m'avait quittť les couilles. Traitdamour, toujours bandant, ťtait revenu vers nous. -- Fous-la-moi tout chaud (lui dis-je); elle dťcharge encore... Et toi (dis-je ŗ ConnŤte), boulonne-lui la bouteille-ŗ-miel du bourdon d'amour. Elle m'obťit. Mais Minone, dťculťe, dťconnťe, lavťe, ťtait libre. Elle vint remplacer ConnŤte, en me demandant si cela ne signifiait pas tout uniment de chatouiller les couilles de son frŤre pendant qu'il foutait ma maÓtresse?... Cordaboyau cependant et Brisemote happaient ConnŤte, le premier, cette fois enconnant, tandis que l'autre enculait, pour donner une perspective encourageante ŗ ma fille. Mais tout finit. Mme VitnŤgre cessa de dťcharger. On la dťconna. Traitdamour la mit au bidet. Elle se couvrit modestement le con et les tťtons; puis elle dit aux deux fillettes: -- Mes bonnes amies, allons aider mon hŰtesse, pour le souper! Elles y coururent. -- Si vous n'avez prťparť (dit ma fille) que pour notre souper ordinaire, je vous avertis qu'il faut le double. -- Je n'ai pas assez donc (rťpondit Mme Brideconnin). -- Vite au rŰtisseur de vis-ŗ-vis (reprit la belle VitnŤgre); et du bon vin! ou je ne boirai que de l'eau. Un bon mariage paiera tout Áa... On alla chez le successeur d'EllŤs, qui promit un copieux souper pour dans une heure. Conquette rentra auprŤs de nous avec les deux jolies filles. -- Rebandez-vous? (me dit Traitdamour) Il ne faut pas laisser languir nos cons avec l'expectative d'un bon souper! -- Je brŻle, ŗ la vue du tour de cul et du pied de ma dťesse; mais je ne suis pas roide, lui rťpondis-je. Traitdamour: -- Je roule dans ma tÍte une idťe, qui vous roidira. Chapitre XXIX D'une nouvelle actrice. Danse nŤgre. -- Allons, garces, dit Traitdamour ŗ sa soeur et ŗ sa maÓtresse, nues! Et vous, bougres, dťshabillez-vous!... Il se mettait nu lui-mÍme. -- Mais il nous faut encore une actrice... Je viens de voir monter une jolie drŰlesse, qui ferait notre affaire? -- C'est Mme Brideconnin, l'hŰtesse de notre belle dame, dit ConnŤte. -- Non, non, mon amie. C'est une petite brune de fond de la cour, cadette d'une grande belle blonde, que nous aurons peut-Ítre un jour, et qui se nomme Connindorť. La Cadette s'appelle Rosemauve, et passe pour trŤs rusťe. Mais on la dit amoureuse comme une chatte, quoiqu'elle soit peut-Ítre pucelle encore; car sa mŤre la couve des yeux. Cependant, quand un homme l'embrasse, elle ne fait aucune difficultť de donner sa langue. -- Je la connais! dit modestement la belle Poilsoyeux; et elle m'a... m'a... Traitdamour: -- Quoi? dťesse? -- Mais, donnť sa jolie langue, et... -- Et quoi? -- Gam*******. -- Gamahuchťe... Va la chercher, ConnŤte. -- Non! dit vivement Conquette, j'y vais moi-mÍme. Elle sortit, et, ayant rencontrť Rosemauve qui redescendait, parce qu'elle n'avait pas trouvť un vieil oncle assez riche, dont elle recrťait l'impotente lubricitť, en lui chatouillant le croupion, le scrotum et les testicules; ce qui le faisait bandocher, la belle Poilsoyeux la mit au fait, obtint son aveu, et l'introduisit. Les deux filles et les trois hommes ťtaient nus comme la main. Sans rien dire ŗ la brune Rosemauve, ils se mirent tous cinq ŗ la dťshabiller. On lui enleva jusqu'ŗ sa chemise. On lui baigna cul, con, cuisses, pieds... Puis Traitdamour lui dit: -- Ma belle, il faut, en tout, faire comme ma soeur et mon amie. AussitŰt commenÁa la danse nŤgre; oý chaque fille faisait tous les mouvements d'une Noire ardente qui fuit le vit dont elle brŻle d'Ítre enconnťe, que le vit attrape, et qui saccade alors en trťmoussant du cul, comme si le vit la fourgonnait. Les garÁons poursuivaient les garces le vit en main; et dŤs qu'ils les avaient attrapťes, elles se retournaient pour l'enconnage, ou ils paraissaient les foutre en levrette; culetant, criotant, jurotant, comme s'ils eussent perforť les cons. La danseuse prenait le vit, au lieu de la main; l'homme la saisissait par la barbe du con. Ils se faisaient ainsi tourner de temps en temps. Je bandais roide. Je fis trousser ma fille au-dessus des reins, et je lui dis: -- Conque de Vťnus, imite tous les mouvements de cul et de con que tu vois... Elle ťtait excitťe; elle se mit au milieu de la danse, et les exťcuta rapidement... Traitdamour, me voyant en rut, et ses camarades bien disposťs, leur dit: -- Au foutoir... Il laissa Rosemauve, sa danseuse, qui en parut toute mortifiťe! -- Votre tour va venir, ma belle danseuse. Il ťtendit ma fille sur le sofa, dont il lui mit un des oreillers sous le cul: -- Allons, ma toute ťveillťe, dit-il ŗ Rosemauve, gamahuchez-moi ce connin-lŗ, pendant que je vous le mettrai en levrette, ou vous enculerai, ŗ votre choix? -- On ne dťpucelle pas une vierge en levrette (rťpondit-elle vivement): encule-moi, s'il le faut, tandis que je gamahucherai ce connin d'amour... Elle gamahucha la belle ťpouse de M. VitnŤgre avec fureur, et Traitdamour perÁa sans pitiť, par des efforts redoublťs, le cul virginal de la gamahuchante. La belle Poilsoyeux appela: -- le vit! le vit! Je n'y pouvais plus tenir. Je dťrangeai la Rosemauve enculťe, pour me prťcipiter dans le con de ma fille haletante de voluptť... J'enconnais vigoureusement, lorsque j'eus la dťlicieuse surprise de me sentir gamahucher le cul, ainsi que la racine des couilles, par la bouche et la langue veloutťes de Rosemauve!... Je cocufiai Monsieur VitnŤgre aussi copieusement que si j'avais eu les couilles d'un Dieu!... On abluait. -- Avec la permission de ma dťesse (ŗ Conquette), il faut que je m'acquitte avec Rosemauve!... Tout le monde s'ťcria: -- Non, non, dimanche! Je ne les ťcoutai pas; j'enfilai la pucelle, qui criota, sanglotina, et ils furent tťmoins de ma nouvelle victoire. Mais Conquette me gronda sťrieusement. On alla souper. La conversation fut sage, rassise. Brideconnin, sa femme, en ťtaient ťdifiťs... Mais je ne tarderai pas ŗ les mettre de nos amusements... Au dessert, Traitdamour me demanda une histoire dans le genre de nos amusements! Je lui donnai ŗ lire une lettre, adressťe ŗ VitnŤgre, par un de ses trois payeurs, lettre que j'avais trouvťe dans une des malles de ma fille. La voici: Chapitre XXX De la Piochťe, du Piochť, du Piochard. Nous avons un de nos confrŤres, qui avait une maÓtresse de seize ans, dont il jouissait ŗ sa maniŤre, comme je prťtends jouir de ta femme ŗ la mienne, quand une fois je l'aurai dťvirginťe. Tu seras alors prťsent ŗ nos fouteries, ŗ peu prŤs comme le pŤre dont je vais parler. J'aime ŗ ťcrire ces histoires-lŗ; elles me font bander. Le pŤre de la jeune fille ťtait un riche marchand, qui l'avait dťlicatement ťlevťe; mais il ťtait devenu si pauvre qu'il ne pouvait plus la nourrir, ni un fils de douze ans. La fille ayant plu ŗ mon confrŤre, il la voulut acheter. Le pŤre la lui vendit douze mille francs. Mais comme Piochencul (c'est le nom du confrŤre) est un libertin fort blasť, il lui faut un ragoŻt pour le ranimer. Ce ragoŻt est de faire trousser et laver la fille par son pŤre, avant d'en jouir. Le pŤre prend ensuite le vit du fouteur, et le dirige dans le con sans poil de la jolie Piochťe. Son pŤre l'avait pommadťe la premiŤre fois. Pendant l'acte, il l'excite ŗ remuer du cul, ŗ serrer le fouteur dans ses bras, etc. Quand elle est dťconnťe, le pŤre lave le vit de son gendre, le cul, le con de sa fille, et les essuie. Dans la conversation, Piochencul apprit bientŰt que Piochťe avait un frŤre beau comme Adonis; c'est-ŗ-dire parfaitement ressemblant ŗ sa mŤre, qui avait ťtť trŤs jolie femme. DŤs que mon confrŤre le sut, il l'acheta, comme sa soeur, et, pommadť par le pŤre, il l'encula. Peu de jours aprŤs, voulant foutre la soeur avec plus de vigueur, il la fit laver par le pŤre, gamahucher par le jeune frŤre, et il l'enconna, quand elle fut prÍte ŗ dťcharger... Par la suite, il n'encula plus le joli enfant: -- Bougre! dit-il au pŤre, je ne bande plus assez pour enconner ta fille, sans Ítre excitť; encule-moi lŗ ton petit garÁon; cela me fera roidir! Le pŤre est forcť, par son intťrÍt, d'obťir au blasť. Ce qui fait tellement bander le vieux satyre qu'il enconne, et mÍme encule la jeune fille... Il y a 4 ou 5 ans que cela dure. Quand le garÁon a eu 15 ans, il lui a fait enconner sa soeur. Il la fout ensuite sans laver, pendant que le pŤre encule le jeune homme. D'autres fois le frŤre encule sa soeur, tandis que le vieux bougre l'enconne... Voilŗ quelle est la vie que mŤne mon vieux confrŤre, et qu'il trouve dťlicieuse ŗ son ‚ge... La fille est dťlicate et jolie. Le garÁon est beau. Le pŤre est affreux. La fille est devenue grosse. Le financier croit, avec raison, que c'est du jeune frŤre. Il dťsire que ce soit une fille, espťrant qu'elle sera jolie, comme tous les enfants incestueux. Car il faut savoir que ce joli garÁon est fils d'un frŤre aÓnť, qui, devenu ťperdument amoureux de sa mŤre, donna la courante ŗ son pŤre, en mettant de la manne dans son potage au lait du soir. Le pŤre fut obligť de se lever souvent, et le fils, ŗ chaque sortie, alla auprŤs de sa mŤre, qu'il enconna six fois au moins pendant la nuit... Voilŗ d'oý provenait le beau garÁon, ressemblance de sa mŤre avec une telle perfection, que, vÍtu des habits de la belle, qui n'est plus, on le prend pour elle. C'est en consťquence qu'un amant, piocheur de la mŤre, entretint le jeune homme sur le mÍme pied que sa feu maÓtresse, ŗ condition que, pour la jouissance, il prendrait les habits de sa mŤre, en porterait le nom, Mme Brouette-vit; qu'il ferait la petite voix, dirait mon con, au lieu de mon cul; tandis que lui, Vitacon, se ferait illusion, en disant ŗ sa maÓtresse: -- Allons, ma chŤre Brouettevit, venez que je vous le mette en levrette! Chapitre XXXI Suite des mÍmes. PiochŤte. Dix ans aprŤs. Je vais donner la suite de cette aventure. Piochťe eut effectivement une fille, qui a 14 ans aujourd'hui, et qui est jolie comme sa grand'mŤre. Elle sert aux plaisirs du vieux traitant qui, ne pouvant plus enconner, s'en fait caresser, tandis que la mŤre lui suce le vit. C'est dans les extases de ce plaisir long et difficile, causť par le chatouillement que faisait ťprouver ŗ son vit paralytique le palais de Piochťe, qu'il conÁut le dessein de faire dťpuceler PiochŤte ŗ 14 ans, par Piochť l'Adonis, son pŤre et son oncle, que justement la jeune enfant aimait incestueusement; puis enculer alternativement. -- Bande, bougre (dit-il ŗ l'Adonis), et ne dťcharge pas! Tu me dťpucelleras ta petite garce de fille... dŤs que ton grand-pŤre t'aura dťculť. La petite fut gamahuchťe par le vieux singe; puis pommadťe par sa mŤre. Son pŤre, dťculť, bien bandant, vint sur elle, et lui darda son vit dans le connin, dont la mŤre ťcartait les babines. Le fouteur n'entrait pas; la petite dťchirťe se rťcriait; le vieux satyre, ťmotionnť, bandochait, en s'ťcriant: -- Oh! pousse donc, m‚tin! Ű pousse donc, bougre! Fends, pourfends le connichon de ta fille!... et mets-y une petite garce, que nous dťflorerons un jour! Gzťe, gzťe, mon ťtalon! fais-moi des cavales!... Et le vieux dťcharnť, par un phťnomŤne, ťmit quelques gouttes d'un foutre clair, dans la bouche de Piochťe, au moment oý Adonis, forÁant toutes les barricades, malgrť les cris de sa fille, lui dťchargeait au fond de son connin ensanglantť! Le bťlÓtre en fut si glorieux qu'il fit ŗ Piochette mille ťcus de rentes, et autant ŗ Piochťe, outre ce qu'elles avaient dťjŗ. Son grand dťlice, pendant qu'il fait servir la bouche de la mŤre de con ŗ son vit, qui ne dťcharge plus, est de voir piocher Piochette, non seulement par le vigoureux Adonis Piochť, qui pioche, soit en con, soit en cul, mais de faire alors enculer le pŤre, qui fout sa fille, par le grand-pŤre qu'encule un laquais, sur le cul duquel est assise Piochťe, foutue par un autre laquais... Il a soin qu'on fasse suivre au vieux Piochard un rťgime ťchauffant, afin que ce monstre tantŰt enconne sa fille, tantŰt encule son fils. Pendant cette scŤne, l'impuissant Ribaud patine les tťtons et le connin du tendron, ou bien la gamahuche. Il lui prend quelquefois des vertigŰts de faire enconner la mŤre, enculer Adonis par douze de ses amis en une seule sťance. La jeune personne est alors nue en perspective, montrant le cul aux enculeurs, et le con aux enconneurs... C'est le vieux Piochard qui insŤre les vits dans le con ou dans le cul. Tu vois par-lŗ quel parti nous pouvons tirer de ta femme, lorsqu'une fois elle sera dťpucelťe. Tu ne seras pas privť; tu mettras les vits dans le con et dans le cul de ta femme; tu en seras le maquereau, et quand elle sera bien ťlargie des deux trous, peut-Ítre te permettra-t-on de la foutre en con ou mÍme en cul. Lťlargisseur. P.-S. J'apprends par une derniŤre visite faite ŗ Piochencul que Piochette a effectivement eu la plus jolie petite fille; on me l'a montrťe; elle a 3 ans. Mais, ce qui est le comble du libertinage, le vieux Piochencul lui fait dťjŗ tťter son vit flasque, pendant que la jeune mŤre lui chatouille les couilles. Je lui en demandai la raison? -- Je profite, rťpondit-il, du temps oý l'enfant n'a pas encore de discernement, ni de dťgoŻt ŗ me sucer. Que dis-tu du vieux bougre? Chapitre XXXII Du connin goŻtť. -- Voilŗ quel aurait ťtť votre sort, Madame, dis-je ŗ Conquette, si vous n'ťtiez pas dťcťdťe, et que vous fussiez restťe l'ťpouse de VitnŤgre. Expressions qui ťtonnŤrent tout le monde, hors ma fille, et les Brideconnin. Cette lettre, qui avait ťtť lue aprŤs le champagne, avait mis les jeunes gens en rut. On descendit au magasin, pendant que les hŰtes serraient les dťbris du souper. Lŗ, Traitdamour, demi-grisť, me dit, en me dťsignant ses camarades: -- Comment ces bougres-lŗ peuvent-ils avoir une idťe de notre bonheur, et de ce qu'est le connin de votre maÓtresse, s'ils n'en t‚tent pas?... Je n'entends nullement qu'ils y dťchargent; mais seulement qu'ils y plongent rapidement leurs vits, pour en palper le satinť. DŤs qu'un des enconneurs sera retirť, le mieux en ťtat de nous deux, vous ou moi, achŤvera Madame, et la fera dťcharger! -- Je le veux bien (rťpondis-je). Cordaboyau, bandant roide, se prťsenta. Nous renvers‚mes ma fille sur le foutoir, nous la trouss‚mes, et nous dťclar‚mes que nous nous tenions prÍts ŗ le dťsarÁonner, dŤs qu'il aurait senti le veloutť de l'ťtroit connin de notre fouterie, et que le clignotement de ses yeux annoncerait l'ťruption du foutre. -- En ce cas (s'ťcria le bougre), que l'une de ces trois garces se couche-lŗ le con pommadť, pour que mon vit convulsivant s'y prťcipite et dťcharge! On pommada Rosemauve. Cordaboyau enconna lentement Conquette, dont le satinť le fit se rťcrier... mais il plongea jusqu'au fond. On l'observait. Il clignota de l'oeil. AussitŰt Brisemote et Traitdamour l'enlevŤrent comme une plume, en jurant: -- Le sacrť bougre! il va partir... Et ils le mirent sur la brune Rosemauve bien ťcartťe, et Conette dirigea le vit. Cette fille, la plus chaude des garces, si Mme VitnŤgre ne l'eŻt pas surpassťe, engloutit le vit en trois coups de cul sans intervalle. Cordaboyau dťchargea en hurlant de voluptť, Rosemauve l'ťtreignant avec une dťlicieuse fureur. Cependant, ce que je voyais m'avait roidi, et j'enfonÁais dans le con humide de ma dťesse qui, suffisamment limťe, dťchargea deux fois, avant que je l'humectasse de mon foutre paternel... Elle gigotait, criotait, soupirotait. -- Ah! (s'ťcria Traitdamour) vous Ítes le dieu de son con, cher maÓtre! il se fond en jus d'amour, quand vous le perforez! Voyez comme elle en donne, l'adorable enfant!... Allons, cťleste coquine, trťmousse, trťmousse! Fous, divine garce! dťcharge... Ce fut ensuite le tour de Brisemote. Conette, pommadťe, fut ťtendue sur le foutoir... Il enconna ma fille. La grosseur du vit et sa roideur lui arrachaient de sourds gťmissements; elle travaillait de toutes ses forces, mais le terrible engin avait encore plus de trois pouces pour toucher le fond. Tout ŗ coup nous nous apercevons que le perfide Brisemote veut inonder, d'un torrent de sperme, le connin qu'il martyrise. Nous ne pouvions l'enlever et l'arracher, son vit lapait comme celui d'un gros dogue dans la vulve enflammťe d'une grande levrette. En ce pťril, nous implor‚mes, Traidamour et moi, la pudeur de Conquette! L'adorable fouteuse, fidŤle ŗ nos vits, donna un coup de cul en arriŤre, et se dťconna. Traitdamour plongea rapidement son braquemart en furie dans le con bťant... Brisemote, enragť, se jeta sur Rosemauve, qui ne s'y attendait pas, et la foutit en levrette, avec tant de brutalitť qu'il la fit crier autant de douleur que de plaisir... Et, voyant Conette se lever: -- Reste-lŗ, garce! lui cria-t-il. Je suis dans une rage, par ce con veloutť que fout Traitdamour, que j'enconnerais la rue Maubuť et celle de la Tannerie... En effet, Rosemauve, dťconnťe, il fondit sur Conette, la fit crier; enfila Minone sans intervalle, et reprit Rosemauve... -- Que n'ai-je lŗ notre putain d'hŰtesse! la garce boite avec gr‚ce, elle a de blancs tťtons: qu'on me l'appelle!... Nous lui prťparions Rosemauve, qu'il encula. Pendant ce temps-lŗ, Traitdamour se dťlectait sur Mme VitnŤgre, qui se plaignotait tendrement, et dťchargeait sans cesse, parce que son enconneur ne la dťconnait pas. -- Que la bougresse qui est libre (nous dit-il), chatouille les petons de ma dťesse; Áa la fera me secouer. -- Allons! m'ťcriai-je, que Minone lui chatouille le haut de la motte, la douce main de Conette les couilles du cruel pourfendeur, et moi je chatouillerai les pieds dťlicats de la belle enconnťe! Ce qui s'exťcuta: de violents soubresauts, des cris, des blasphŤmes de voluptť, Foutu Dieu... Sacredieu... Dieu-con... Dieu-vit... marquaient l'ťgarement des deux conoeuvrants. Cependant Cordaboyau flairait la chaussure mignonne de Conquette-Ingťnue, et allait y mettre son vit: -- Laisse donc! lui dit Rosemauve, tout enculťe qu'elle ťtait; cela est insensible; mon con est libre; que ne le fous-tu? Le bougre lui mit le ventre en l'air, et, tandis que Brisemote la sousaccadait en cul, Cordaboyau lui saccada le con. Je bandais si fort, en entendant et voyant tout cela, que j'allais enconner Minone ou Conette. Ma fille, qui dťchargeait, me dit tendrement: -- Un autre con... que le mien... peut-il vous tenter?... Cette tendresse vraiment filiale, me toucha au coeur. -- Ote-toi (dis-je ŗ Traitdamour); tu dois avoir dťchargť! Il dťconna. Et moi, ťmu d'un amour paternel sans bornes, j'enconnai ma fille, sans laver. -- MÍlons nos trois foutres (lui disais-je en enfonÁant); que ton con filial engouffre le vit paternel avec dťlices!... Remue du cul, adorable enfant! Rends-moi tout le foutre que j'ai dťchargť dans le con de ta mŤre... pour te faire!... Ah! comme la garce remuait du cul, oscillait du con, le jour oý je l'engrossai de toi! Elle ťtait chaussťe, parťe, un peu chiffonnťe, et si chaude qu'elle se mit sur moi et s'enconna. Pour m'exciter davantage, elle me disait en saccadant: "Pousse... Enfonce... mon con est frayť... je viens d'Ítre foutue par ce beau commis aux Aides, dont tu es si jaloux..." Et elle saccadait... Pour moi... je foutis avec fureur... comme je te fous ŗ prťsent... C'est moi qui t'ai engendrťe, enfoutrťe dans son con satinť... quoique tu ressembles ŗ Louis XV qui... dit-on, l'a aussi foutue... -- Mon cher pŤre... Ű vit divin! (rťpondit Ingťnue, oppressťe de foutre et de tendresse) je sens... ŗ mon insatiable connin... que je suis votre fille... je le sens au plaisir... que me fait la cťleste idťe que mon... pŤre me fout.... Dťcha--argeons ensemble, cher papa!... j'ai... plus de... foutre avec toi, qu'avec tout autre?... Ah! Ah!.. fourgonne... fourgonne, vit-papa... Le foutre... est long... ŗ venir... J'ai tant foutu!... Mais je n'en ai que plus de plaisir... Ah! Ah!... foutre!... Dieu! Dťlices!... VitnŤgre!... Ű monstre, qui me dťchirais, sans me pouvoir en--filer, que n'es-tu sur moi... ton vit noir me pourfendant le con... Foutamort... enfondre-moi... Cher papa... dieu-fouteur... je pars... je dťcha--a--arge... ŗ l'intention... de... Foutamort... Et elle se p‚ma, dans un ťgarement, un dťlire ineffables. Cependant elle avait croisť ses jambes sur mes reins, et elle me faisait une jolie brouette de ses cuisses et de son con. Je dis qu'on la rechauss‚t, et, ŗ chaque coup de cul, elle fit claquer l'un contre l'autre ses hauts talons, comme faisait sa mŤre, pour me rappeler en foutant la beautť de son pied. Ce spectacle parut si dťlicieux ŗ mes trois drŰles qu'ils enconnŤrent en furieux, Traitdamour Rosemauve, Cordaboyau Conette, et Brisemote Minone, et qu'ils les firent crier comme des dťpucelťes. DŤs que j'eus ťmis, je dis ŗ mon secrťtaire de dťconner, de m'enlever, et de me porter sur un fauteuil. Il m'obťit. Ma fille palpitait. Je la montrai se chatouillant elle-mÍme le con. Traitdamour rebanda comme un enragť; il se prťcipita sur elle. -- Enculez-moi, s'il vous plaÓt, Monsieur (lui dit-elle), il me semble que Áa me fera mieux... -- Dťcharger (s'ťcria le bougre). Vous avez le con trop fatiguť. Et il lui perÁa le cul sans mouiller. -- Je vais... redťcharger (lui dit-elle, en continuant de se branler elle-mÍme). -- Attendez! attendez! (lui cria le jeune et vigoureux perforeur); je vous branlerai, en vous enculant. Conquette enculťe et branlťe, roucoulait de plaisir... En ce moment, Brisemote, qui finissait Minone, se jeta sur Rosemauve, abandonnťe par Traitdamour, pour ma fille. Elle se fit enculer et branler. Cordaboyau retourna ConnŤte, et lui en fit autant. Minone, libre, alla gamahucher ma fille, que son frŤre tenait enculťe; et moi, je branlai Minone. Les trois bougresses se rťcriaient que l'enculage branlť ťtait divin. Pour moi, j'ťtais sur mon fauteuil, un doigt dans le con de Minone, que j'avais ŗ peine la force de branler, tombant de sommeil, et bandant encore pour toutes quatre; il me devenait indiffťrent laquelle j'enconnasse. Je le dis. Brisemote m'avanÁa Rosemauve tout enculťe. J'allais enconner la vive Brune. Minone se retourna, mit ses fesses d'alb‚tre sur ce con noir, et me prťsenta son con. -- Que je te voie! (s'ťcria Conquette, en s'arrachant du cul le vit de Traitdamour) si Cupidonnet doit mourir en rut, c'est dans mon con!... Elle se mit sur Minone, m'ťtreignit dans ses bras et m'engouffra. -- Ah! (s'ťcria Brisemote, qui nous portait tous quatre) que n'ai-je le vit assez long pour les enculer toutes trois! Ainsi finit cette belle soirťe. La partie fut remise au dimanche suivant. Conquette, aprŤs avoir fait amplement bidet, se coucha modestement. Je ne pouvais marcher. Mes trois gaillards remenŤrent leurs belles, et revinrent me prendre, pour me porter chez moi, oý ils me mirent au lit. Chapitre XXXIII De la fouteuse sensťe. Histoire. Le lendemain, aprŤs mon travail, je vins voir ma fille. Elle ťtait dans mon magasin. Elle m'embrassa la premiŤre, et me dit: -- Au nom de Dieu, cher papa, mťnagez-vous! j'ai besoin de votre tendresse paternelle plus que jamais... Que deviendrais-je si je vous perdais? Vous Ítes le meilleur des pŤres; vous me donnez le nťcessaire et la voluptť. J'ai un bijou insatiable; mais votre Traitdamour l'emplit et le satisfait au delŗ de toute vraisemblance. Je suis bien sensible au don que vous m'en avez fait. Aussi la reconnaissance et la tendresse sont pour vous; je ne lui donne que du... -- Foutre, mon adorable fille... Tu es toujours ťgalement modeste. -- J'ai aussi beaucoup d'obligation ŗ Traitdamour d'avoir amenť sa petite soeur et sa jolie maÓtresse; surtout d'avoir donnť celle-ci ŗ ses deux vaillants camarades pour me rester plus entier et vous soulager d'autant, vu mon extrÍme chaleur. Ces jeunes filles sont de bonnes petites crťatures, et valent mieux que Rosemauve, qui cependant n'est pas sans mťrite... Mťnagez-vous, cher papa. Ne voyez que moi; c'est bien assez. Une partie, tous les huit jours, suffira pour vos forces. Traitdamour me donnera le surplus de ce qu'il me faut. En ne jouissant que les dimanches, les garÁons, les petites, tout comme nous, l'appťtit et le plaisir seront plus grands; nous passerons une demi-journťe dťlicieuse... Mais je suis jalouse de vous et du beau Traitdamour; ne le mettez qu'ŗ moi. Avertissez-les tous de cela. C'est mon caractŤre que la jalousie. Et puis, oý trouveriez-vous une femme ou fille qui me vaille? Toujours propre, abluťe ŗ chaque pipi, autant par voluptť que par dťlicatesse; car j'ai cet endroit, que vous avez la bontť de trouver charmant, toujours si chaud que je ne le mets jamais dans l'eau qu'avec une voluptť qui approche de la jouissance. Ne me le mettez donc pas de la semaine, pour avoir plus de plaisir, sans vous tuer, le dimanche. Ne me touchez ni le bijou, ni le sein! -- Non (rťpondis-je); durant la semaine, je ne baiserai que ton joli pied. Et je veux toujours avoir une de tes chaussures au trumeau de ma cheminťe! -- Rien de si flatteur, rťpondit-elle, que d'Ítre ainsi adorťe jusque dans sa parure. Aussi mon pied est-il soignť, comme vous l'adorez. Je le lave ŗ l'eau-rose deux fois le jour matin et soir, et aprŤs avoir marchť. -- Ah! cťleste fouteuse, que je le baise, que je le baise! -- Point de ces mots-lŗ! dans la semaine: ils vous excitent... Baisez votre idole! j'y ai autant de sensibilitť qu'ailleurs; mais restez-en-lŗ... Du reste, je suis ŗ vous. Vendez-moi, livrez-moi, quand vous le voudrez; je me donnerai avec plaisir pour vous; comme une autre Ocyrhoť. [lacune] Je me privai donc, malgrť moi; mais par nťcessitť; je me contraignais. [autre lacune] Mais j'avais ŗ ma cheminťe sa chaussure rose ŗ talons verts, ŗ laquelle je rendais mon hommage tous les jours en l'honneur de la fille la plus pieuse et la plus dťvouťe qui ait jamais existť. Conquette-Ingťnue, ŗ qui je le dis le samedi, en fut transportťe de joie. Elle darda sa langue, me fit sucer ses tťtons, palper son poil soyeux, se mit ŗ genoux, et dit avec ferveur: -- Mon Dieu! je vous remercie de m'avoir fait naÓtre d'un si bon pŤre! Nous ne vous offensons pas; je rends ŗ mon papa en plaisirs dťlicieux les soins qu'il a pris de mon enfance. Je suis le baume et le charme de sa vie; il est le baume et le charme de la mienne! Bťnissez-nous! Elle fit trois signes de croix, baisa la terre, et se releva, en disant: -- Doux Jťsus, qui le mettiez ŗ Madeleine, elle ťtait aussi votre fille; et en amour, vous le savez par expťrience, rien n'est si voluptueux que l'inceste!... Je fus si ťdifiť de cette priŤre que je me propose de la faire recommencer, ŗ la fin de nos parties. Un instant aprŤs, ŗ 8 heures et demie, toute la petite sociťtť, Traitdamour, Minone sa soeur, Conette sa maÓtresse, Rosemauve, Cordaboyau et Brisemote, vinrent prendre langue pour la rťunion du lendemain. Je donnai le mot et les retins ŗ souper. Il y avait un excellent gigot de 18 livres, et du vin de Bourgogne, avec un p‚tť chaud. AprŤs le repas, voulant les ťmoustiller tous, et moi-mÍme, je fis lire par Rosemauve, devant nos hŰtes, l'histoire suivante: Chapitre XXXIV De l'homme-ŗ-queue. -- Vous aimez les histoires, dis-je, ne voulant pas manger de p‚tť; nous aurons demain toute autre chose ŗ faire: je vais en conter une, pendant que vous achŤverez de souper. Un rire d'aise prťcťda le silence. Il y avait ŗ Sens, une veuve encore belle, quoique mŤre de six filles, dont l'aÓnťe, qui atteignait vingt ans et se nommait AdťlaÔde. La seconde, Sophie, n'en comptait pas encore dix-neuf; la troisiŤme, Julie, en avait prŤs de dix-huit; Justine dix-sept; Aglať seize, et enfin Emilie, la cadette, quinze ans. Quant ŗ la maman, mariťe ŗ treize, accouchťe de son aÓnťe ŗ quatorze, elle avait trente-quatre ans. Mme Linars (c'est son nom) avait en outre deux niŤces de quinze et vingt-deux ans, Lucie et Annette-Bar, une jolie femme de chambre de dix-huit, outre une cuisiniŤre, grande et belle fille de vingt ans. Le mari avait mal fait ses affaires, avant que de mourir. La veuve ne soutenait sa nombreuse famille qu'avec le revenu de sa dot, qui rapportait cinq ŗ six mille livres. On ťtait gÍnť; car les niŤces n'avaient que quinze cents livres de rentes entre elles deux. C'ťtait onze jeunes personnes ŗ entretenir avec 7500 francs. Il parut alors ŗ Sens un gros et bel homme dont la physionomie annonÁait trente ans, encore qu'il n'en eŻt que 20. Il passait pour trŤs riche. Et, en effet, il l'ťtait. Ses bras et sa poitrine ťtaient couverts de poils. Il avait le regard dur et presque fťroce; mais son sourire l'adoucissait, et il souriait toujours en voyant de jolies femmes. L'aÓnťe des demoiselles Linars ťtait charmante; FysitŤre la vit et en devint ťperdument amoureux, quoiqu'il eŻt alors dans son sťrail une femme mariťe enlevťe ŗ Paris, de l'aveu du mari mÍme; la soeur d'icelui, vendue par son pŤre, et une superbe carmťlite, leur cousine, qui s'ťtait livrťe elle-mÍme, parce qu'elle ťtait hystťrique. Mais toutes ces maÓtresses ťtaient alors enceintes, et FysitŤre n'en jouissait que pour avoir des enfants. Il alla chez Mme Linars, pour lui demander en mariage AdťlaÔde. Le velu, en voyant onze femmes dans une seule maison, tressaillit d'aise... Il ťtala sa fortune, et proposa d'ťpouser l'aÓnťe. Trente mille francs de rente qu'il prouva (il en avait bien davantage!) le firent accepter sur-le-champ. Il rendit ensuite des visites jusqu'au mariage, et fit des prťsents, tant ŗ sa prťtendue qu'ŗ la mŤre, aux belles-soeurs, ŗ Lucie et Annette-Bar, les deux niŤces, ainsi qu'ŗ Geoline et ŗ MarŤte, la femme de chambre et la cuisiniŤre. Ce fut avec ces prťsents qu'il attaqua leur vertu... Mais il faut quelques prťliminaires, qui fassent mieux connaÓtre ce personnage. FysitŤre ťtait un de ces hommes poilus qui descendent d'un mťlange de notre espŤce avec celle d'hommes-ŗ-queue de l'isthme de Panama, et de l'Óle de Bornťo. Il ťtait vigoureux comme dix hommes ordinaires; c'est-ŗ-dire, qu'il en aurait battu dix ŗ armes ťgales, et qu'il lui fallait, ŗ lui seul, autant de femmes qu'ŗ dix hommes. A Paris, il avait achetť la femme d'un nommť Guae, un scťlťrat, qui la lui avait vendue et l'avait livrťe. FysitŤre la tenait exactement renfermťe depuis. Il jouissait de cette infortunťe, la plus provoquante des femmes, et qui avait beaucoup de tempťrament, dix ŗ 12 fois par jour. Ce qui la fatiguait tellement qu'elle lui avait donnť le conseil d'acheter de leur pŤre sa soeur cadette, nommťe DoucŤte, qui partagerait le travail. Il le fit. Mais ces deux femmes avaient ťtť bientŰt sur les dents. Heureusement, un confesseur de nonnes dťcouvrit alors pour le velu la religieuse hystťrique, cousine des deux victimes; il la tira de son couvent, sous prťtexte de lui faire prendre les eaux, et la livra au FysitŤre, qu'elle occupa seule pendant quelques semaines. Ce qui avait reposť ses deux cousines. C'est ŗ cette ťpoque que l'homme-ŗ-queue ťtait venu ŗ Sens, et qu'il avait vu la famille Linars. Avant qu'il eŻt Mme Guae, on lui amenait trois filles couturiŤres chaque matin. Mais les prťcautions qu'il ťtait obligť de prendre pour sa santť, avec des crťatures qu'il laissait libres, le dťgoŻtŤrent de cette jouissance. D'ailleurs, comme il avait formť le projet de multiplier l'espŤce des hommes-ŗ-queue et d'en peupler l'Óle entiŤre de Bornťo, pays originaire, il voulait pouvoir surveiller tous les enfants qui lui naÓtraient. Ses trois femmes ťtant grosses, il ne voulait plus les fatiguer. Quand il fut liť avec Mme Linars, il aurait bien cherchť ŗ dťflorer sa future, ou ŗ se donner une des niŤces; ou la cuisiniŤre, ou la femme de chambre. Mais il trouva que tout cela avait ses inconvťnients. Il rťserva ce supplťment de ressources pour aprŤs son mariage. La premiŤre qu'il attaqua, ce fut sa belle-mŤre future. Il lui fit un jour un prťsent de deux mille ťcus en espŤces. Et, la voyant dans l'extase de la reconnaissance, il lui mit la main sous la jupe, en lui disant: -- Autant tous les six mois, si je vous le mets. Et ne craignez pas de faire du tort ŗ votre fille! Elle n'en aura que trop de reste... Comme il ťtait extrÍmement fort, tout en parlant, il la renversait, l'enfilait. La dame se trouva prise sans l'avoir prťvu. Elle fut rabatelťe une dizaine de fois, tant elle ťtait vigoureusement contenue... Enfin devenue libre, elle lui dit: -- Oh, quel homme! -- Je suis tel (rťpondit-il) que votre fille et vous, quand vous m'aurez toutes deux, me donnerez vous-mÍme des maÓtresses, pour vous reposer. La dame, qui aimait le jeu d'amour, sourit, en rougissant d'espťrance et de plaisir. Elle fut exploitťe tous les jours, en attendant celui du mariage de sa fille. Quand ce jour fut arrivť, effrayťe pour une jeune vierge, elle pria l'inťpuisable FysitŤre de la mťnager! -- Six fois, rťpondit-il, pas plus, si vous me promettez de me recevoir ensuite, ou de me donner Lucie, l'aÓnťe de vos niŤces? -- Non; mais je vous donnerai Geoline, ou MarŤte, celle que je pourrai avoir le plus facilement... Le soir des noces, FysitŤre, quoiqu'il eŻt toutes les nuits fourbi Mme Linars, ťtait impatient ŗ trťpigner, d'avoir sa mariťe. Il l'enleva comme une plume, dŤs qu'on eut soupť, se jeta sur elle, et lui fit pousser des cris effrayants. La mŤre, alarmťe, accourut avec Geoline, au moment oý FysitŤre, sans trop s'embarrasser des gťmissements de la jeune personne, la recommenÁait. La mŤre le laissa l'achever. Puis, sur l'instante priŤre de sa fille, elle la retira du lit, pour laver le sang et le suc d'homme dont sa conque martyrisťe ťtait remplie. FysitŤre saisit alors Geoline, et la viola, malgrť ses clameurs. Il la retint sous lui quatre ŗ cinq fois... Elle profita d'un intervalle pour s'ťchapper. Mais FysitŤre menaÁa Mme Linars, si elle ne remplaÁait pas sa fille, de tourmenter celle-ci jusqu'au jour... La dame ťtait fatiguťe. Elle alla chercher MarŤte, qu'elle enferma dans la chambre nuptiale. FysitŤre la viola, et la contint sous lui quatre fois; puis il lui permit de dormir. Dans le jour, il assoupit les plaintes des deux filles domestiques, et mÍme il les gagna, en leur constituant douze cents francs de rente ŗ chacune. Mais elles demandŤrent du repos, pour la nuit suivante... Le soir, FysitŤre ramona six fois sa nouvelle ťpouse, qui prit un peu de goŻt ŗ la chose; puis sa mŤre, reposťe, fut ŗ son tour fourgonnťe six autres fois. Ce qui suffit ŗ l'homme-ŗ-queue. Le soir du troisiŤme jour, il ne ramona sa femme qu'une fois; car elle demanda gr‚ce. Il eut ensuite Geoline, six fois; puis MarŤte, cinq fois. Ce qui fut la dose ŗ laquelle il se rťgla. Il eut, le quatriŤme soir, sa femme, une fois; sa belle-mŤre quatre; Geoline trois; MarŤte quatre: douze en tout. Il en agit ainsi pendant deux mois. -- Mais, lui dit Mme Linars, vous vous ťpuisez! A quoi bon nous le mettre tant de fois? -- Mon but est de faire des enfants, pour en repeupler une Óle des Indes, dont les hommes de mon espŤce sont originaires. DŤs que vous serez grosses, je ne vous le mettrai plus; vous m'en donnerez d'autres; mais surtout vos filles et vos niŤces, parce que vous Ítes toutes d'un beau sang. Je leur ferai ŗ chacune six mille francs de revenu, et douze cents francs seulement aux ťtrangŤres que vous procurerez... Mme Linars fut trŤs ťtonnťe de cette proposition! Mais les six mille francs de revenu pour ses filles et ses niŤces la tentŤrent. Au bout des deux mois, et de six semaines de mariage, Mme Linars, la nouvelle ťpouse, Geoline et MarŤte se trouvŤrent enceintes. FysitŤre leur dťclara qu'il ne les verrait plus qu'aprŤs leurs couches. Et il pressa Mme Linars de lui donner ses niŤces, et deux de ses filles?... Elle fut obligťe d'y consentir. Elle les conduisait elle-mÍme, aprŤs les avoir instruites, et assistait ŗ leur dťfloration, calmant leurs cris par ses discours et ses caresses. -- Ma raisonnable enfant, disait-elle ŗ Lucie renversťe sur le dos, et qu'on troussait, il est doux d'avoir 6 mille fr. de rente!... Cinq cents francs par mois! ajouta-t-elle en la pommadant... Et fonciŤres, ma chŤre niŤce! (dirigeant le gros membre dans sa fente). Aussi la belle Lucie, quoique vierge, ne cria-t-elle pas. Vint ensuite Annette, la seconde. Sa mŤre l'exhorta, la pommada, insťrant son index onctuť le plus profondťment possible, pour frayer la route. Elle introduisit le membre dans la fente ainsi prťparťe. Cependant Annette, perforťe, jeta les hauts cris. Mais ils n'arrÍtŤrent pas FysitŤre, dont Mme Linars caressait la queue poilue, qui frťtillait vivement. -- Ah! maman! (lui dit-il) mets-toi sur moi, et te l'enfonce dans ta conque; tu auras bien du plaisir! Elle le fit, et fut si ravie qu'elle appela sa fille aÓnťe et les chambriŤres, pour leur procurer les mÍmes dťlices. Annette suffisamment ramonťe, et demandant gr‚ce, Geoline la remmena, pour laver le sang et le sperme, dont son bijou ťtait barbouillť; et Mme Linars alla chercher Sophie, sa seconde fille. Geoline et MarŤte l'apportŤrent nue assise sur leurs mains jointes. Mme Linars la pommada; puis elle intromit. Geoline s'enfila avec la queue poilue, au refus d'AdťlaÔde, l'ťpouse. Sophie ne poussa que quelques gťmissements au premier assaut; elle riposta aux deux autres. Elle fut cependant ensanglantťe. Geoline se fourgonna de la queue ŗ poil durant toute la sťance. FysitŤre n'avait joui que neuf fois. Il lui en fallait trois encore. On alla lui quťrir Julie, la troisiŤme soeur, ‚gťe de dix-sept ans. Sa mŤre la pommada. Ce qui ne l'empÍcha pas de crier, parce qu'elle ťtait fort ťtroite. Julie et sa cousine Annette furent les deux qui n'ťmirent pas dans le coÔt, les quinze premiers jours. Lucie fut prise tout de suite, et Sophie trois jours aprŤs. Mais elles n'en dirent rien, aimant le plaisir. Quant ŗ Julie et Annette, il s'ťcoula trois mois avant qu'elles fussent enceintes... MarŤte se farfouillait avec la queue poilue pendant les assauts de Julie. Lorsqu'il fut bien dťcidť que les quatre belles avaient le sac rempli, Mme Linars fut requise de donner ses trois derniŤres filles, et une cousine du cŰtť gauche, fille hors mariage de son mari, nommťe Naturelle-Linars! Elles lui furent livrťes, et Justine, Aglať, Emilie mÍme, qui n'avait pas quatorze ans accomplis, se virent enfilťes dans une seule nuit, malgrť leurs cris et la dťchirure de leurs jeunes appas. Naturelle avait vingt-et-un ans; ce fut une dťlicieuse jouissance, que l'homme-ŗ-queue, fatiguť, avait rťservťe pour la derniŤre. Celle-ci fut engrossťe sur-le-champ; et les trois autres, malgrť leur jeunesse, ne l'ťchappŤrent pas dans le cours du mois. Elles ťtaient rťguliŤrement fourgonnťes trois fois par nuit; mais soit qu'elles eussent moins de tempťrament, soit qu'ťtant plus ťtroites, elles souffrissent toujours, elles furent ravies lorsqu'elles furent dťclarťes enceintes. L'homme-ŗ-queue avait en ce moment, de fťcondťes, 14 femelles, qui lui promettaient au moins 14 enfants. A cette ťpoque, Mme Linars accoucha d'une fille. Un mois et demi aprŤs, AdťlaÔde, ou Mme A-queue, mit ťgalement une fille au monde. Puis Geoline et MarŤte eurent chacune un garÁon. Annette et Lucie chacune une fille. Toutes six voulurent nourrir. Ce qui fut exťcutť dans une terre ťcartťe, du cŰtť de Seignelai, ťloignťe des routes, comme de l'Yonne, mais sur la petite riviŤre de Serin. Cependant, comme les unes nourrissaient, et que les autres ťtaient encore enceintes, il fallait de nouvelles femmes ŗ FysitŤre. Il demanda permission ŗ Mme Linars de refťconder ses trois premiŤres concubines, Mme Guae, sa soeur DoucŤte, et la carmťlite, qui n'ťtait plus hystťrique depuis ses couches. La belle-mŤre y consentit avec la plus grande joie; car elle ťtait fort embarrassťe pour trouver ŗ son gendre des sujets fťcondables. Elle avait dťjŗ bien marquť les quatre pucelles les moins laides du village, et mÍme une cinquiŤme, la plus jolie, femme mariťe, stťrile avec son mari; elle les avait presque gagnťes, au moyen des douze cents francs par annťe, mais elle n'ťtait pas encore sŻre de leur discrťtion... Les trois concubines ťtaient mandťes. Elles arrivŤrent. DŤs le mÍme soir, elles furent mises toutes trois dans un grand lit propre ŗ cinq personnes; FysitŤre s'y coucha au milieu: Il les palpa toutes; puis il prit Mme Guae, la plus voluptueuse, qu'il fourgonna trois fois avec fureur. Il saisit ensuite Doucette, que ses tendres gťmissements lui firent ramoner en enragť. En la quittant, il sauta sur la carmťlite, qu'il exploita six fois, sans dťsarÁonner. Mais elle l'assura qu'elle ťtait guťrie de sa maladie, et elle le pria de se partager ťgalement entre elles trois! Ce qui fut arrÍtť. Le lendemain, Mme Linars, qui avait tout ťcoutť pendant la nuit, demanda aux trois parentes comment elles appartenaient ŗ FysitŤre! Mme Guae rťpondit: -- Nous allons vous faire notre histoire qui vous paraÓtra singuliŤre! En mÍme temps qu'elle vous donnera une idťe juste de notre mari ŗ toutes, qui est un homme d'une nature particuliŤre. Mme Linars ne demanda pas mieux que de l'entendre. Mais elle fit observer ŗ Mme Guae que ce rťcit ne seraž t pas moins agrťable aux 12 autres femmes de FysitŤre! Mme Guae en convint, et AdťlaÔde, Sophie, Julie, Justine, Aglať, Emilie, Lucie, Annette, Geoline, MarŤte, Naturelle, appelťes par Mme Linars, vinrent avec elle assister ŗ la narration que fit la belle Mme Guae, en prťsence de Doucette sa soeur, et de Victoire, la carmťlite leur cousine. Chapitre XXXV De la garce insatiable. -- Vous me voyez; j'ai toujours ťtť dťsirťe des hommes. A huit ans, un ouvrier qui travaillait dans la maison ŗ de la menuiserie me prit le bijou; et, comme je ne criai pas, il me mit son membre entre les cuisses, me les fit serrer, et me les inonda, en dťchargeant. Je le dis ŗ ma mŤre, qui me lava les fesses, alla menacer le menuisier, et le fit dťguerpir... Ce dťbut annonce que le rťcit sera un peu libre; mais il faut Ítre sincŤre. A dix ans, mon pŤre dťculottť m'asseyait ŗ crŻ sur ses cuisses nues, faisait aller son membre entre les miennes, comme le battant d'une cloche, et, bien ťchauffť, il allait enfiler ma mŤre, une jeune tante soeur de celle-ci, ou ma gouvernante. A treize ans, j'avais le bijou cotonnť, et si joli que mon pŤre venait me le lťcher la nuit pendant mon sommeil. Enfin, il me sentit riposter ŗ ses coups de langue, et comprit que j'avais du plaisir. Il dardait plus fort, et je partais... AussitŰt mon pŤre se mettait sur moi, me suÁait mes petits tťtons naissants, posait son membre ŗ l'orifice de ma petite conque, et me barbouillait toute la motte de sperme... Il me lavait ŗ l'eau-rose. A quinze ans, un jeune homme, frŤre de ma maÓtresse de modes, me prit le con ŗ la poignťe, au moment oý je regardais par la fenÍtre, et voulut me chatouiller le clitoris avec son doigt; mais il me fit mal, et je lui donnai un soufflet. A cette ťpoque, mon pŤre n'osait plus m'asseoir ŗ cul nu sur ses genoux, ni me faire dťcharger en me lťchant le con; il se retirait dŤs que je donnais le premier signe d'ťveil. Mais comme j'ai le pied joli, et que M. Dardevit, ainsi que tous les hommes dťlicats, est infiniment sensible ŗ cet attrait-lŗ, il faisait faire mes chaussures par un habile cordonnier, celui de ma mŤre et de la Marquise de Marigni; le voluptueux ne me les donnait neuves que lorsque j'allais chez lui; il me les faisait mettre aprŤs un pťdiluve, avec des bas de fin coton, me faisait marcher chaussťe, mettre ŗ la fenÍtre, pour mieux voir ma jambe et mon pied, qu'il baisait; il me faisait ensuite asseoir, me tirait un soulier, s'en coiffait le vit, me faisait lui patiner les couilles avec mon pied chaussť, poussait de profonds soupirs, cognait au plancher, ce qui faisait monter Mme MťziŤres, voisine d'au-dessous. Elle lui arrachait mon soulier, ou ma mule. Elle se renversait sur le dos; il la troussait, et la fourgonnait, en me faisant relever ma jupe en perspective d'une glace jusqu'au genou. -- Votre pŤre me fait ce qu'il ne peut vous faire, me disait la MťziŤres, parce que tu es sa fille; mais c'est toi qui le fais bander... Ah! si tu lui montrais ton joli connin, comme il me rabatellerait, et me donnerait des coups de vit en con! Touchťe de ce langage, souvent je me troussais, et montrais une motte ŗ poil follet et soyeux, que mon pŤre trouvait adorable! Je m'en apercevais aux vives estocades qu'il donnait ŗ la dame... En la quittant, il venait me rechausser. Mais quelquefois la MťziŤres l'en empÍchait, et, furieuse de luxure, elle me renversait, me lťchait le connin, et mettait dans le sien la pointe de mon soulier, ou de ma mule, comme un godmichť... Pendant ce temps-lŗ, mon pŤre me palpait doucement les fesses ou les tťtons. -- Tu la foutras, bougre (tu la dťpucelleras, et bientŰt! et elle deviendra grosse de toi, si tu ne la maries! Ce propos, souvent rťpťtť, fit que je demandai vivement ŗ me marier. J'avais un oncle, mari de ma tante. L'escalier de leur demeure ťtait obscur. Un jour que je le montais, mon oncle me suivait. Au beau milieu, il me glissa la main sous la jupe, et me happa ce qu'il nommait mon connŰt. Je me rťcriai! -- Tais-toi donc (me dit-il); vas-tu troubler mon mťnage?... Je me tus. Et il me patina le connŰt, le cul, d'une main, les tťtons de l'autre; me mit son membre dans la main, me le fit serrer en jurant, et, tout en me suÁant les tťtons, me dťchargea dans les doigts. J'entrai toute rouge chez ma tante. Mais je ne dis mot. Quand je m'en retournai, mon oncle me guettait; il m'accompagna, et me dit: -- Tu veux te marier. J'ai un parti, et il n'y a que moi qui puis gagner ton pŤre; je le gagnerai, si je te le mets seulement trois fois avant le mariage, et lorsqu'il sera bien sŻr? -- Que me mettrez-vous? (je faisais l'ignorante, puisque j'avais vu mon pŤre et la MťziŤres). Nous ťtions dans l'allťe. Il mit son vit ŗ l'air, et m'empoigna le con: -- Ceci, dans ce que je te tiens. Je me dťbarrassai, et ne rťpondis rien. J'ťtais ŗ la porte de mon pŤre. J'entrai. Il ťtait absent: J'attendis. Seule avec moi-mÍme, je rťsolus de pressentir mon pŤre, ŗ son arrivťe, sur mon mariage. Il arriva. Je fus moins sťvŤre avec lui qu'ŗ mon ordinaire, et, lorsque je l'embrassai, au lieu des yeux, j'appuyai sur ses lŤvres. Il fut ravi. Je dardai la langue, comme je l'avais vu faire ŗ la MťziŤres. Il me mit la main entre les cuisses, mais sur les jupes. Je m'abandonnai, en lui disant: -- Je voudrais me marier! Et comptez que vous serez bien caressť, si vous y consentez! -- De tout mon coeur, ŗ cette condition... As-tu un parti? -- Mon oncle en a un, que je n'ai jamais vu. -- Bon! ce n'est pas une amourette... Il faut d'abord que je te gamahuche aujourd'hui? -- Qu'est-ce que c'est? -- Te lťcher lŗ (me prenant le bijou). Je fis une petite grimace. -- Allons, prends cette ťponge fine, et lave le bien, ŗ cause du joli poil, qui commence ŗ l'ombrager! Le plaisir que tu auras, te dťdommagera de la contrainte que tu te fais! Il me suÁa lťgŤrement les bouts des tťtons, pendant que mes fesses, mon cul et mon connin nageaient dans un bain tiŤde. Mon amoureux pŤre ne me donna pas le temps de rťflťchir. DŤs qu'une serviette fine eut pompť l'eau, il me renversa sur le pied de son lit, troussťe au-dessus des reins, appliqua sa bouche sur la fente de mon connŰt, qu'il lťcha vivement, en dardant sa langue, jusqu'ŗ ce que je donnasse des symptŰmes de dťcharge. Ce qui arriva au bout d'un demi-quart d'heure. En me sentant prÍte ŗ ťmettre, mon pŤre me quitta, me mit gros comme une noix de beurre frais dans le bas de la fente du connŰt, m'y insťra son vit, avec beaucoup de peine. Il saccada. Je dťchargeais, et j'avais tant de plaisir que je le secondai, malgrť quelques douleurs. Heureusement, le vit de mon pŤre n'ťtait pas gros, mais il ťtait long; il me donna un plaisir complet; car il pťnťtra si avant qu'il me chatouilla le fond; et au moyen de ce que j'ťtais trŤs ťtroite, il m'emplissait le con, comme si j'y avais eu un vit de mulet... Voilŗ comme je fus dťpucelťe. Je priai mon pŤre, pendant qu'il me lavait le con, de ne pas diffťrer son consentement, que je ne voulais pas devoir ŗ mon oncle; et je lui en dis la raison. -- Il ne faut qu'il te le mette! me rťpondit-il vivement. Le bougre a le vit trop gros: il t'ťlargirait! Au lieu qu'aprŤs moi, ton futur, on tout autre fouteur, te trouvera comme pucelle. Je promis qu'il n'obtiendrait rien. -- Des bagatelles cependant, reprit mon PŤre. Branle-le, quand il te prendra le con. Tu pourrais mÍme te laisser enculer, s'il ťtait assez raisonnable pour s'en tenir lŗ. -- Comment fait-on Áa? -- Je vais te le montrer. Et il m'encula. J'eus du plaisir; car je dťchargeai. Mon pŤre me dit ensuite: -- Quant ŗ mon consentement, envoie-moi ton prťtendu: Si c'est un certain drŰle que je soupÁonne, tu n'en deviendras pas folle, et... Suffit. Je m'en retournai contente chez mon oncle, oý sa femme et lui me prťsentŤrent leur protťgť, une sorte de mul‚tre, qu'ils nommŤrent M. Guae. DŤs le mÍme soir, ayant eu, avec ce M. Guae, un entretien trŤs vif, pendant lequel je le vis prÍt ŗ me prendre le con, sa laideur et sa sottise ne me rebutŤrent pas, attendu que mon oncle et ma tante m'avaient prťvenue qu'il ťtait terrible pour les femmes; ce qui m'avait bien tentťe! Au contraire, je lui dis que j'avais obtenu le consentement de mon pŤre, et qu'il pouvait se prťsenter. Il me pria de le conduire, n'en ťtant pas connu. Je remis au lendemain midi. Nous arriv‚mes au moment oý mon pŤre allait sortir. Guae m'avait pris le cul dans l'escalier, et m'avait fait empoigner son vit; ce qui me donnait un coloris brillant; j'ťtais ravissante! Je prťsentai Guae comme mon futur. Sa figure hideuse et basse fit sourire mon pŤre, dont elle calma la jalousie. Il nous dit: -- Mes enfants, j'ai une affaire pressťe; mais elle sera courte; attendez mon retour. AprŤs son dťpart, Guae me dit: -- Il paraÓt, ŗ son ton, qu'il vous tiendra sa parole, de consentir? -- Je le crois; car il ne se contraint pas, quand une chose lui dťplaÓt. -- Ma belle! (ajouta Guae, dont l'oeil noir pťtillait de luxure) permettez de vous le mettre ici, sur le pied du lit de votre pŤre!... Consentez-y! Je ne demandais pas mieux, ŗ cause de mon dťpucelage, et parce que le bijou me dťmangeait, depuis que mon pŤre m'avait perforťe. Mais je rťpondis: -- Oh non! mon pŤre n'aurait qu'ŗ rentrer! -- Eh! quand il rentrerait? vous voir enfilťe ne ferait que h‚ter notre mariage. Il me renversa sur le pied du lit. Je me dťfendis gauchement. Il me mit le vit entre les babines du con, et poussait ŗ m'enfondrer... Mais il ne put pťnťtrer, quoiqu'il se mouill‚t le gland. Il redoubla d'efforts, qui aboutirent ŗ me dťcharger une chopine de sperme sur la motte, le ventre et les cuisses. Je me dťbarrassai, pour aller laver. -- Oh! vous Ítes bien pucelle! me disait Guae, en se reculottant. Comme je m'essuyais, j'aperÁus mon pŤre cachť... Je n'en fis pas semblant. Un instant aprŤs mon retour vers Guae, ce pŤre rusť entra auprŤs de nous. Guae me demanda en mariage. Mon pŤre lui rťpondit qu'il me laissait la maÓtresse absolue. Et il signa les bans. Il dit ensuite ŗ Guae qu'il avait ŗ me parler, et qu'il le priait de s'en retourner seul; qu'il me remŤnerait chez ma tante, ŗ laquelle il avait ŗ parler aussi. Guae s'en alla. DŤs qu'il fut sorti, mon pŤre me dit: -- As-tu ťtť foutue? Et il me prit le con ŗ la poignťe. -- Vous avez bien entendu que non. -- Oý donc a-t-il dťchargť? -- Sur le poil. -- Un peu entre les lŤvres? -- Oui. -- Il suffit. On peut devenir enceinte avec cela seulement, et tu n'as plus rien ŗ craindre. Mais va le voir chez lui, et qu'il ait toute facilitť. En attendant, je vais en frayer encore un peu. Il me renversa, et ŗ l'aide du beurre frais, il m'enfila... avec quelque facilitť; ce qu'il rťpťta trois fois, excitť par ce qu'il venait de voir, et parce que j'ťtais extrÍmement bien chaussťe, en souliers de soie neufs. Je dťchargeai trois fois ŗ chaque enconnage, comme disait mon pŤre. Cela fit neuf fois. Mon pŤre me dit que j'avais beaucoup de tempťrament et que j'allais Ítre une bonne fouteuse!... Je me lavai soigneusement, et il me remena. Nous trouv‚mes Guae chez ma tante. J'ťtais plutŰt mise en appťtit que rassasiťe, par le triple fourgonnage de mon pŤre. Je dis bas ŗ mon prťtendu: -- Allez chez vous; j'ai ŗ vous parler. Il y courut. Mon pŤre parlait ŗ ma tante, prenant des mesures pour accťlťrer; car il craignait, ŗ la maniŤre dont j'avais dťchargť, que je ne devinsse grosse de lui; et il le dťsirait en mÍme temps. Mais il fallait que je fusse mariťe... Ma tante sortit avec lui. J'allais sortir aussi, pour laisser essayer ŗ Guae un enconnage complet, lorsque mon oncle rentra. J'ťtais si envoluptťe que je n'en fus pas f‚chťe, quoiqu'il me dťplŻt. Il ferma la porte au verrou et vint ŗ moi: -- Tu vas donc te marier! me dit-il. Allons, il faut en dťcoudre ŗ nous deux! Aussi bien Guae a le membre si gros, qu'il te ferait souffrir le martyre (Ceci acheva de me dťterminer)... Il me saisit. -- Laissez-moi! Laissez-moi! (dis-je faiblement). Mon oncle ne m'ťcouta pas, et, voyant que je ne criais, ni n'ťgratignais, il me renversa sur le lit, me troussa, et dirigea son vit dans le vagin de mon con. J'eus l'art de paraÓtre me dťfendre, en le secondant. Il me fit mal; je criai, et, m'apercevant que les cris le facilitaient, je me mis ŗ crier de toutes mes forces. Ce qui le fit enfoncer jusqu'ŗ la garde, avec tant de plaisir de ma part que mes gťmissements ťtaient de voluptť. Je me dťbattais, mais mon con supait le gros vit, donnant de si bons coups de cul que je dťchargeai avec des convulsions terribles et des contractions des trompes qui pinÁaient le gland de mon oncle. Il se rťcria... et se p‚ma de plaisir... -- Ah! pour une pucelle, que tu fous bien! me dit-il ensuite. Que sera-ce donc un jour?... RecommenÁons... Il me recommenÁa trois fois, malgrť mes pleurs; car je sentis qu'il fallait pleurer... Quand il fut rassasiť, il dťconna. -- O cťleste fouterie, me dit-il, si le mťrite de ton con ťtait connu, il ferait ta fortune! -- Oui! vous me l'avez bien accommodť! rťpondis-je en sanglotant, sur un bidet prťparť par mon oncle. Il Űta le verrou, jeta l'eau mÍlťe de sang et de foutre; puis craignant le retour de sa femme, il sortit, en disant: -- Remerciez-moi! sans cette prťparation, Guae vous aurait estropiťe; et revenez ŗ moi, s'il le faut! Je ne fus point effrayťe de ce langage. DŤs qu'il fut sorti, j'essuyai bien vite mes larmes, et je pris un air riant. Ma tante revint. Je la prťvins de l'attaque de son mari, mais non du succŤs, pour lui faire presser mon mariage; la priant de ne lui en rien tťmoigner, de peur qu'il ne lev‚t le masque. Je promis de toujours bien me dťfendre, comme je venais de faire; et tout en parlant, le con ťtant venu ŗ me redťmanger, je courus chez Guae, espťrant que, prťparťe comme je l'ťtais, il me l'enfoncerait enfin. Il m'attendait. -- J'ai bien des choses ŗ vous dire... Ce fut mon dťbut. Il ne me laissa pas continuer; il me prit la motte. -- Foutons d'abord, me dit-il, en me renversant. Je n'en fus pas f‚chťe; car je ne savais trop que lui dire de nouveau. Je me dťfendis gauchement, comme avec mon oncle et mon pŤre. Mais, quoique je fusse ťlargie, ses tentatives furent encore inutiles. Je n'osais lui dire de prendre du beurre, de peur de paraÓtre instruite. Je m'attendais qu'il y songerait. Cela ne lui vint point en pensťe. -- Tu es diablement pucelle! me dit-il, en me tutoyant... Il me tourna sur le ventre, me cracha au trou du derriŤre, et m'y enfonÁa son engin, avec des efforts infinis. Je poussais des cris horribles! mais il me tenait si ferme, en m'empalant, que je ne pouvais remuer. Je le secondai, pour souffrir moins, et mes ripostes me firent dťcharger. Je croyais avoir un timon de carrosse dans le cul... Le retirer ne fut pas sans plaisir... -- Tu vaux ton pesant d'or! me dit Guae, mÍme en cul! Suffit! Il me demanda ensuite pardon: -- Votre beau con, votre beau cul, vos blancs tťtins m'avaient mis comme un enragť; ne pouvant vous enconner, je vous ai enculťe. Pardon, ma belle maÓtresse! j'ai plus d'un projet, pour vous dťdommager. Le cul me faisait mal. Guae me le mit dans l'eau tiŤde; puis il me le baisa, me le lťcha, allant quelquefois au con. Il rebanda; mais je voulus m'en aller. Il fut obligť de me remener en fiacre; je ne pouvais marcher qu'avec douleur. Ce qui n'empÍcha pas qu'il ne me fit le branler dans le carrosse, lui ayant le nez dans une mule mignonne, qu'il m'avait arrachťe du pied, et dans laquelle il dťchargea. Dans le dťlire du plaisir, il me dit: -- Ma reine: j'ai le vit trop gros pour toi; choisis de l'oeil un joli jeune homme pour te dťpuceler, et je trouverai le moyen de te le faire avoir, sans te compromettre. Ceci me fit plaisir... Guae me descendit, et me porta. Je me mis au lit; le sommeil calma mon cul. Le lendemain, j'allai chez mon pŤre, auquel je racontai tout ce que Guae m'avait fait, et dit. -- Bon! me rťpondit-il. Tu as du tempťrament. Tu seras foutue, en con, en cul, en bouche, et tu seras heureuse... Vous serez mariťs dans huit jours, et je t'aurai un fouteur plus gros que moi. En attendant, je vais te le mettre; on ne saurait trop ťlargir un connin si mignon. Mon pŤre m'enconna, recommenÁa trois fois. -- Tu es toujours pucelle! me dit-il. -- Et pourtant, m'ťcriai-je, mon vilain oncle, avec son gros membre, m'a hier violťe trois fois! -- Trois fois! reprit mon pŤre; quel connichonnet as-tu donc? On pourra vendre mille fois ton pucelage!... Il faut que je te refoute. Et il me refoutit... Tandis que je me rinÁais le con avec de l'eau tiŤde, mon pŤre s'ťtait mis ŗ la fenÍtre, et causait avec un jeune procureur son voisin, gros et beau garÁon de 30 ans. Le con lavť, j'allai regarder, en soulevant le rideau. Mais le jeune procureur m'ayant aperÁue, je me retirai. -- Quelle est donc cette cťleste personne? demanda-t-il. Mon pŤre ne rťpondit que par un geste qui, je crois, signifiait que j'ťtais sa maÓtresse. Ils gesticulŤrent encore. Puis le procureur disparut. Mon pŤre me dit aussitŰt: -- Veux-tu que ce bel homme te le mette, en payant? -- Oh! oh! mon pŤre! -- Appelle-moi Monsieur, devant lui!... On frappa. Mon pŤre ouvrit; et j'entendis qu'il disait tout bas au jeune homme: -- Apportez-vous les 50 louis? -- Les voilŗ. -- Mademoiselle? me dit alors mon pŤre; vous savez que je vous aime pour vous mÍme: Voici un bel homme de mes amis, qui veut vous faire un prťsent; je sors; tťmoignez-lui votre reconnaissance. Mon pŤre se cacha, et le procureur le crut sorti. As-tu ťtť foutue aujourd'hui, me dit-il, en venant pour me prendre les tťtons. Je le rťgalai d'un soufflet. -- Apprenez que je suis ici chez mon pŤre. -- Vous Ítes Mademoiselle... -- Oui, Monsieur. Je dois Ítre mariťe dans huit jours. C'est un mariage de raison, ou d'intťrÍt. Mais mon pŤre ayant ťtť instruit que mon futur est... monstrueux... ce bon pŤre a... pris sur lui de... me faire prťparer. Je vous ai cru son ami; j'ai consenti, aprŤs vous avoir vu. Le procureur ťtait ŗ mes genoux. Il me demanda mille pardons! -- Soyez donc honnÍte! repris-je. Alors il me caressa. Je lui rendis enfin un baiser. Il me renversa. Il avait le vit comme mon oncle, mais il ťtait moins adroit. -- De la pommade! lui criai-je. Mon prťtendu m'ayant fait entrer chez lui par surprise, il ferma les portes, et voulut me violer... Ne le pouvant, il me pommada, et ne rťussit pas encore. Vous, pommadez-...moi... En parlant ainsi, ses tentatives me faisaient dťcharger. Je soupirais de voluptť. Mon pŤre crut que c'ťtait de douleur. Il arriva; me pommada; dirigea le vit de mon fouteur dans mon con, et dit, ŗ lui: -- Poussez. (A moi) SoulŤve le cul; ťtreins dans tes bras; seconde ton dťpuceleur, ŗ chaque coup, par un coup de croupe en avant; passe tes jambes sur ses reins, et serre, en remuant du cul... Bon! Bon! Saccadez, vous!... Bon! -- Ah Dieu! quel plaisir! s'ťcriait le fouteur; comme elle a... le con ťtroit!... le... mouvement... dťlicieux! Je lui dardai ma langue, en murmurant: -- Mon coeur!.. Mon roi!... Mon Dieu! je t'adore!... -- Ah! la chŤre petite amie! elle est tendre!... Je dťcharge! Je la fous... Ah!... -- Il me fout, mon pŤre!... Tous les hommes foutent-ils?... Ahh!... Mon pŤre!... quel plaisir!... Mon ‚me... va sortir par... le trou qu'il me fait!... Je dťchargeais en me roidissant. -- Oh! la petite reine!... s'ťcria le jeune procureur. Elle dťcharge!... Mon pŤre... donnez-la-moi pour femme; je l'ai dťpucelťe; je l'ťpouse!... Mon pŤre, qui avait ses desseins sur moi, refusa. Il en rťsulta que le procureur enragť, s'acharna sur moi, et me foutit 18 fois... Mon pŤre fut obligť de l'Űter de sur moi, et de le porter chez lui; il ne pouvait marcher... Quant ŗ moi, j'ťtais ŗ peine fatiguťe. Mon con lavť, rafraÓchi, il n'y parut plus. Au retour de mon pŤre, le voyant tout ťmu, ŗ la vue de mes tťtons, je lui dis: -- Si vous bandez, satisfaites-vous, en me foutant deux ou trois fois! -- O quelle scŤne! s'ťcria-t-il. Mais tu as un con et un tempťrament impayables! ils feront notre fortune... Voyons si tu dťchargeras encore; foutons!... En m'enconnant, il me loua fort de m'Ítre avouťe sa fille, et du soufflet donnť! -- Les fouteurs dťdaignent les foutues; mais avec toi, ce sera le contraire; je veux te mettre au-dessus de ces bougres-lŗ! -- Je dťcharge! m'ťcriai-je. -- Et moi aussi! rťpondit-il en me saccadant. Il me re-enconna trois fois, et toujours je dťchargeai... Je lavai, en lui disant: -- J'ťpuiserais dix hommes. Je lui recommandai d'instruire mon futur de ce qu'il fallait faire pour m'enconner. Je lui dardai ma langue, et je partis. J'avais ťtť foutue 25 fois dans la journťe, sept par mon pŤre. Je retournais chez ma marchande. Mais tous les hommes que je rencontrais me tentaient. -- Que les putains sont heureuses! (pensai-je) elles attaquent qui elles veulent! Tout ŗ coup une idťe me vient: -- Allons chez Guae; je lui dirai de me pommader. Qu'il m'estropie; mais qu'il me foute. J'y volai. Il ťtait avec un beau jeune homme, qu'il fit cacher, au bruit de mes talons. Mais j'entrevis par le trou de la serrure. Guae me reÁut mystťrieusement, et me conduisit dans la piŤce obscure, oý je lui avais vu cacher le jeune homme. -- Ma reine! ma belle future (me dit-il), je crois que je pourrai vous enfiler aujourd'hui. Ayez seulement de la complaisance! -- Oui! mais, pommadez... Ma tante... -- J'entends... j'entends... Je sentis qu'il me remettait ŗ une main plus douce. On me prit les tťtons, le con; on me darda la langue. Je caressai. On me troussa. Je fis beau con. L'on se mit sur Moi, je sentis qu'on m'insťrait un morceau de beurre frais ŗ l'entrťe de la vulve, ou trou du con. On poussa. Je ripostai un peu. L'on entra. Je secondai, m'apercevant, avec ťtonnement, qu'on ne me faisait presque pas mal. Enfin l'on parvint au fond sans m'avoir blessťe, et l'on y dťchargea. L'abondance et la douce chaleur du foutre me firent partir aussi, mais avec un plaisir, des ťlans, des transports incroyables! Je m'ťcriais: -- Cher amant! divin amant... j'expire... de bonheur... et de voluptť... Je t'adore!... Le jeune homme dťconna. Il me suÁa les tťtons, les lŤvres, me fit darder la langue. Ce que je fis tendrement... AussitŰt il me re-enconna avec fureur. J'eus autant de plaisir que la premiŤre fois... Bref, il me recommenÁait sans cesse, et ce fut Guae qui le renvoya; car, pour moi, dťjŗ foutue 25 fois dans la journťe, je crois que j'aurais laissť aller ces deux hommes jusqu'ŗ 50, si tous deux avaient pu me le mettre. Guae, me voyant quelque difficultť ŗ marcher, envoya chercher un fiacre, pendant que je me lavais le con. -- Eh bien, ma charmante reine, t'ai-je bien foutue? me dit-il. Je rougis. -- Loin d'Ítre ťpuisť, je me meurs encore d'envie de t'enculer! -- Oh non, non! (m'ťcriai-je avec effroi). -- Eh bien, branle-moi des deux mains, comme te voilŗ, le cul dans l'eau. Je branlai son vit, qu'ŗ peine je pouvais empoigner. Quand le foutre fut prÍt ŗ venir, il hurlait de plaisir. -- Ta bouche! (me disait-il), ta bouche... ou je t'encule! Je decalottai le gland, je le pressai de mes lŤvres. Le foutre arrive, et, de peur qu'il ne tombe dans mes tťtons, j'ouvre la bouche, et il m'est lancť au fond du gosier. Je l'avale comme un lait de poule. Il y en eut une chopine: -- Foutre! foutre... (s'ťcriait Guae) je me p‚me... Ah... cťleste garce... Tu vaux mieux que toute la Terre... Est-ce bon? -- Ce qui fait tant de plaisir en bas, doit faire du bien en haut. -- Ah, divine putain... je t'en nourrirai. Le fiacre arrivait; Guae m'y porta. On me l'avait mis 37 fois. Le frŤre de ma marchande se trouva seul ŗ la maison, lors de mon retour. -- Mademoiselle Conveloutť! me dit-il, que vous Ítes cruelle pour moi!... On dit que vous allez vous marier? Vous devriez bien favoriser un jeune homme qui vous adore, aux dťpens du futur! C'est un veuf, un laid... Vous Ítes pucelle, et si jolie?... D'ailleurs, il l'a trŤs gros (dit votre oncle), et il vous fera bien mal! Si un plus menu que le sien vous prťparait? Voyez! (Il mit ŗ l'air un vit charmant) c'est un vťritable croque-pucelage, sans faire mal... Je sais m'y prendre. Le mari de ma soeur est un bandalaise, et elle se fait de temps en temps Űter par moi les araignťes du bijou. Ce langage me plut, et son vit me tentait: Je lui rťpondis, en riant: -- Je n'ai pas d'araignťes ŗ Űter. Il vit, ŗ mon air que je n'ťtais pas de mauvaise humeur. Il me prit les tťtons. -- Finissez donc, libertin! (lui dis-je doucement et sans presque le repousser). Il me prit la motte. -- O c'est trop fort, ceci... Voulez-vous bien finir!... Il ťtait dťculottť; il bandait roide; il me renversa sur le lit de sa soeur, me retroussa, et se mit sur moi tandis que je disais nonchalamment: -- Eh mais... c'est donc une violence! et que je me dťfendais d'une maniŤre qui me livrait. Il me dit: -- Ah! cťleste innocente! je vous le mettrai!... Il m'enfila. Je ripostais, en haussant du cul, comme pour le repousser. Il n'en dardait son vit que plus fort. -- Non! (s'ťcriait-il en dťchargeant) il n'est rien tel que d'enconner l'innocence!... Cependant, craignant que je ne me dťrobasse, il me foutit trois coups sans dťconner (ce qui fit mes 40 fois dans la journťe), et ne me quitta qu'en entendant du monde... Je courus me laver. C'ťtait la marchande. Elle dit ŗ son frŤre: -- Heureusement que c'est avec Conveloutť! Toute autre aurait sautť le pas, polisson!... Mais l'as-tu attaquťe? -- Oui. En ce cas, tu dois n'en pouvoir plus... Viens que je te soulage? Il y avait encore de l'huile dans la lampe: Le jeune homme mit le verrou, nous enfermant ainsi tous trois, et il se jeta sur sa soeur, qu'il enfila d'un seul trait. Ah! quels coups de culs elle donnait! -- Lime (lui disait-elle)... je dťcha...arge... Sors ŗ moitiť, et... rentre... vivement... Fous-moi vingt fois... en une... Je les voyais. Ranimťe par lŗ, mon insatiable connŰt redťsirait un vit, lorsqu'on frappa doucement. J'ouvris, en tirant le verrou plus doucement encore. J'espťrais que ce serait le mari de ma marchande, qui depuis longtemps brŻlait de me le mettre. Je me proposais de le pousser dans une autre piŤce. Point du tout! C'ťtait un beau jeune homme, qui avait beaucoup d'air de celui par qui Guae venait de me faire foutre. -- Mademoiselle (me dit-il) se nomme AgnŤs-Conveloutť? -- Oui, Monsieur. -- Mademoiselle est la prťtendue de M. Guae? -- Mais, oui, Monsieur. -- Aimez-vous, fort ce M. Guae? -- Monsieur, la raison, et non la passion, fait mon mariage. -- En ce cas, Mademoiselle, je ne vous ferai pas de peine en vous rťvťlant un secret? -- Quel est-il, Monsieur? -- C'est que, tout ŗ l'heure, vous avez cru Ítre possťdťe par votre futur... -- Quel conte vous me faites-lŗ, Monsieur? -- J'ťtais prťsent, mais cachť, Mademoiselle; son timon de carrosse ne pouvant vous perforer, il m'a vendu votre pucelage cent louis, et c'est moi qui vous ai dťflorťe... Me prťfťreriez-vous? -- Ce que vous me dites est impossible, Monsieur! -- Cela est. Il l'a trop gros; on vient de vous le mettre, et c'est moi (Je le savais bien). -- Il n'est qu'un mot ŗ dire, Monsieur. Pouvez-vous m'ťpouser? -- Mademoiselle, je suis mariť ŗ une vieille de 78 ans, qui m'a fait ma fortune, et je suis obligť d'attendre qu'elle soit morte. -- Et si je devenais grosse, Monsieur?... J'ťpouserais M. Guae. -- Voulez-vous Ítre ma maÓtresse? -- Cela ne conviendrait pas. -- De son consentement? -- Comme vous m'avez eue dťjŗ, et que ce soit de son consentement, je m'y prÍterais; pourvu qu'il ignor‚t que je le sais... -- Oh! de tout mon coeur! Ceci marque votre honnÍtetť... Etes-vous seule? -- Non; la marchande est lŗ. -- Pourrais-je vous avoir ŗ coucher? -- Ah ciel! Je ne saurais dťcoucher que sous le prťtexte d'aller veiller mon pŤre, en le supposant indisposť. Ainsi, cela est impossible. -- J'irai, si vous le permettez, parler tout uniment ŗ votre pŤre. Je suis riche; il vaudrait mieux que je vous donnasse le prix de vos faveurs, qu'ŗ un vil malheureux, comme Guae? -- Hť bien, parlez ŗ mon pŤre. -- Je reviendrai vous chercher, s'il m'accorde ma demande! -- Mais ne revenez pas seul. Je veux voir quelqu'un ŗ lui, et que je connaisse! -- Vous serez tranquillisťe". Il alla chez mon pŤre. Il lui raconta comment Guae n'ayant pu me dťpuceler, lui avait vendu mon pucelage cent louis, en quatre sťances, vingt-cinq louis par chacune, dont la premiŤre ťtait payťe; qu'il m'avait enconnťe, en me pommadant, et qu'il avait trouvť mon bijou si dťlicieux, si satinť, qu'il n'en voulait plus d'autre; qu'il m'avait demandť de coucher avec moi, et que c'ťtait par mon conseil qu'il s'adressait ŗ lui. Il offrit ensuite les 75 louis restants pour les trois nuits suivantes. Mon pŤre rťpondit: -- Puisque Guae a voulu Ítre cocu, qu'ainsi soit. Je consens que vous couchiez ici avec ma fille, si vous avez cueilli sa rose; ce qu'elle me dira. Allez la chercher, avec un billet, par lequel je vais la demander. Et il ťcrivit. Puis il accompagna le galant jusqu'ŗ la porte de ma marchande, que son frŤre foutait encore. Cependant je m'amusais ŗ voir conniller le frŤre et la soeur. J'ťtais en feu quand le jeune homme reparut, avec le billet de mon pŤre; je vis, par la fenÍtre, celui-ci qui nous attendait dans le carrosse de mon dťpuceleur prťtendu. Je partis, en avertissant que j'allais veiller mon pŤre malade. A notre arrivťe, le galant paya un beau souper, et remit vingt-cinq ťcus d'or ŗ mon pŤre. On mangea; on but; puis je fus mise au lit. Le jeune homme exigea que mon pŤre me dťshabill‚t, et me lav‚t la motte. S'ťtant ensuite lui-mÍme mis nu, en un instant, il entra dans une chemise, fort large, et qu'il avait apportťe, afin de me palper mieux. Il appela mon pŤre, pour qu'il lui mÓt le vit dans le trou de mon con; puis il poussa... Il eut autant de peine que chez Guae (ce qui m'ťtonna moi-mÍme!). Aussi dit-il: -- Elle a rťellement le connin ťtroit. Elle se repucellerait en huit jours si on la laissait tranquille. Il me foutit six coups; mon pŤre, couchť ŗ cŰtť de nous, lui mettant toujours le vit dans mon con. Il s'endormit ensuite, et moi aussi. Le lendemain matin, il fit faire d'excellent chocolat, qui me refit. Je refusai la voiture pour retourner chez ma marchande. On ne se douterait pas pourquoi! J'avais ouÔ dire que le foutre, avalť chaud, ťtait excellent pour la poitrine, fortifiait, et blanchissait le teint. Je voulais aller en avaler ma chopine en suÁant le vit de Guae. J'y courus, dŤs que je me vis libre. Il allait sortir. -- Je viens vous donner du plaisir (lui dis-je), mais sans en prendre; vous m'avez trop fatiguťe hier. -- Allons, ma toute belle, que faut-il faire? vous enculer? vous encuisser, vous endosser, vous enaisseller, vous enoreiller, vous encoller, vous entťtonner, vous dťcharger sur le nombril, me faire serrer le vit entre vos deux mollets, faire un con de votre soulier, ou de votre jolie mule. Tout, je ferai tout, hors vous enconner; je ne le saurais, parce que nous sommes, vous trop belle, et moi trop beau! Au lieu de rťpondre ŗ ce langage, qui ťtait de l'arabe pour moi, j'avais dťboutonnť sa culotte, et je le branlais d'une main, et chatouillant par instinct les couilles de l'autre. Il se rťcriait de plaisir: -- Dťesse!... Sacrťe garce!... Divine putain!... Branle!... branle!... Chatouille! chatouille les couilles!... Oh! oh! quelles dťlices!... Bougresse!... Gueuse!... Putain!... Divinitť! le foutre... vient!... A ce mot, j'embouchai le gros vit, le palpotant de ma langue et du palais. Ce fut alors que Guae en dťlire blasphťma: -- Foutu Dieu! Bougre de Dieu! Sacrť con de la Vierge Marie! Con de la Madeleine connillť par Jťsus! Con de Sainte ThŤcle, de Sainte Thťodore, de Sainte Catherine, de Sainte Cťcile, d'AgnŤs Sorel, de Marion Delorme, de Ninon, de la Daubignť, de la ValliŤre, de la Pompadour, de la Dutť, de la Lange, de la jolie Mars, de l'adorable et provocante Mťzťray, de la jeune et naÔve Hopkins, de la belle Henry, vous ne valez pas... cette bouche-lŗ... Je fou..ou..ous... Je... dťcha..a..arge!... Ava..ale!... gorge-toi de foutre, ma reine! Il dťboucha vivement, quoique je lui suÁasse encore le vit. -- C'est trop de plaisir! (dit-il) on mourrait. Il me fit prendre quelques cuillerťes de cafť, pour me rincer la bouchť. Puis je me remis ŗ le branler. Il me suÁa les tťtons, me fit lui darder ma langue, et voulut me gamahucher. Je m'y refusai, devant Ítre foutue le soir... Il rebandait. Je secouai, je chatouillai; le foutre revint, et j'en avalai une nouvelle dose. Ce qui eut lieu trois fois de suite. Le manque de temps nous obligea seul de nous sťparer. Le soir, ŗ 9 heures, une voiture vint me prendre, et me conduisit chez mon pŤre. On y soupa, coucha et foutit comme la veille. Le lendemain, aprŤs le chocolat, j'allai faire mon dťjeuner de foutre chez Guae. J'en pris quatre doses... De retour chez ma marchande, son mari. Sans doute instruit par le frŤre de sa femme, voulut me le mettre. Je m'y refusai absolument. Il s'en plaignit ŗ sa femme, qui m'en fit des reproches. Mais, lui ayant dit que mon prťtendu me l'avait mis six fois, en gardant mon pŤre avec moi, elle fit mes excuses ŗ son mari, en le priant d'attendre son tour. "Le soir, on vint me prendre. Mme Viťdase, ma marchande, me dit ŗ l'oreille: -- T‚che de ne pas Ítre foutue; afin que mon mari puisse te le mettre demain? Il s'en meurt!... Je trouvai mon amant chez mon pŤre. En soupant, on parla de Guae; mon amant dit qu'ayant ťtť enconnťe devant lui, je ne devais pas redouter la grossesse. -- C'est pourquoi (ajouta-t-il), j'enfourne ŗ plein con, et dťcharge au fond. -- Je vous mets le vit dans le connin de ma fille avec plaisir (dit mon pŤre); afin de mieux cocufier ce jean-foutre de Guae, qui vous a vendu son pucelage. -- C'est ce qui me met aussi en fureur ťrotique, quand je fous sa future (reprit mon galant). Je pense: encore une corne ŗ ce bougre de Guae... et je me trouve intarissable... Il m'a mÍme passť une idťe par la tÍte. C'est de vous donner ŗ chacun 50 louis, pour que vous foutiez ensemble tous deux; pour que le m‚tin soit recocu, et surcocu! -- Top! (s'ťcria mon pŤre) aprŤs votre affaire faite. Vous me mettrez le vit dans le con de ma fille... -- Non! non! (m'ťcriai-je). -- Vous me la tiendrez, si elle rťcalcitre. -- Je n'ai pas ces idťes (leur dis-je). Si je remue du cul, comme je le fais, alors que mon amant me fout, c'est que je l'aime. Quant ŗ M. Guae, je lui dois beaucoup de reconnaissance! il est ma nourrice, et c'est lui que je tŤte. On ne comprit pas le sens de ce mot. On me coucha. Au lit, mon amant me foutit six fois. A la sixiŤme, mon fouteur dit ŗ mon pŤre: -- Mets-toi sur ta fille, et fous-la. Je vais t'introduire le vit. Mon pŤre me grimpa, le jeune homme lui mit le vit dans mon con, et il poussa. Comme j'ťtais amoureuse de lui plus que de tout autre homme, je remuai de la charniŤre, comme une princesse foutant avec un page... Le jeune homme, ranimť, entra dans un tel ťrotisme, en nous voyant dťcharger, qu'il nous fit mettre sur le cŰtť, et il m'encula, tout enconnťe que j'ťtais... J'allai laver, et nous dormÓmes. Le matin, au dťjeuner, le jeune homme paraissait ivre de joie! -- Ah! qu'il est cocu, le bougre! (s'ťcriait-il.)... Bonhomme, voilŗ un effet de cent louis. Il faudra que tu la foutes, aprŤs le mariage, et il y aura vingt-cinq louis ŗ chaque fois. Il partit, et je courus chez Guae, que je commenÁais ŗ aimer presque autant que mon pŤre. Il me reÁut avec transport, me traitant de divine garce, de cťleste putain... Il m'allaita de foutre six copieuses fois. Ce qui me mit dans un tel ťrotisme que je retournai chez mon pŤre: -- Ton procureur? (lui dis-je essoufflťe) Il doit Ítre remis, depuis l'autre jour? Je brŻle... Cours-y, si tu m'aimes. Il y vola, en m'appelant: -- Clťop‚tre! Clťop‚tre!... Il trouva le jeune procureur ŗ la fenÍtre, son vit bandant ŗ la main. -- Je viens de voir entrer votre fille (lui dit-il), et j'allais me branler ŗ son intention. -- Gardez-vous en bien! Apportez un petit prťsent, et venez le lui mettre! -- Vingt-cinq louis? -- C'est trop pour une pratique. Un louis par coup. -- Soit; mais je n'en remettrai pas. Elle gagnera peut-Ítre la somme. Il vint avec moi. En entrant, il jeta la bourse sur le pied du lit: -- Allons, ma fille (me dit mon pŤre), tu es ŗ tes piŤces; autant de coups foutus, autant de louis. Mais il ne faut pas tuer un ami! Il allait se branler ŗ ton intention, quand je suis entrť. A ce mot, je me jetai ŗ son cou, et lui dardai ma langue, en disant: -- Cher! Cher ami! -- Ah je t'adore! (me rťpondit-il). Et il me prit les tťtons, le con. Je me renversai. Il se mit sur moi. Je me fourrai son vit dans le con, et, en quatre coups de cul, je le mis au fond. Il dťchargea, en me sentant ťmettre... Il me foutit dix coups. -- J'ai quinze louis ŗ compte (lui dit mon pŤre, en le voyant laver et se reculotter). Vous reviendrez quand il vous plaira. Nous en ťtions ŗ l'avant-veille du mariage. Tous les matins, Guae m'avait allaitťe, ou plutŰt affoutrťe; ce qui m'avait rendu la peau plus blanche, le teint plus brillant, le con plus satinť, et me donnait un tempťrament si violent, que je n'ťtais ŗ mon aise qu'un VIT au CON. Le jeune homme dit, en dťjeunant: -- Guae doit Ítre surpris de ne pas me revoir! Cela pourrait faire tort, dans son idťe, au con de ma belle fouteuse. Ainsi, je veux lui acheter la premiŤre nuit de sa mariťe, puisque l'impayable AgnŤs veut absolument l'ťpouser (Je le lui avais dit, en foutant). Mon pŤre applaudit. Mais, en me reconduisant chez Guae, que j'allais tťter, ce bon pŤre ajouta: -- Tu n'es pas une mariťe ordinaire; ce qui ťteindrait la soif d'une autre n'est qu'une goutte de foutre pour toi; j'ai une idťe, c'est de m'arranger ŗ te rťgaler, aprŤs-demain, en te le faisant mettre, jusqu'ŗ extinction de forces, par tous ceux qui t'ont foutue; moi d'abord; ton oncle; ton procureur; le frŤre de ta marchande, et peut-Ítre son mari. S'il se trouve quelques nouveaux bougres, ils t'enculeront, sous prťtexte de rťserver ton pucelage ŗ ton ťpoux; c'est un dťlice que d'enculer une mariťe, le jour de ses noces, et ils le payeront bien. Je m'arrangerai avec Guae pour tout cela. Nous arrivions. J'embrassai mon pŤre transportťe de reconnaissance, en le priant de t‚cher de me suivre secrŤtement, pour me voir tťter. J'entrai, puis je l'introduisis. Guae courut ŗ moi, en se dťculottant. Il me baisa d'abord pied, jambe, cul, con et tťtons: Il me fit ensuite lui darder ma langue; aprŤs quoi, il me mit son vit en main. Je le secouais vivement, lorsqu'il me dit: -- Garce, je suis raisonnable. Je ne t'enconne pas; il faut que ton pŤre et ton oncle te foutent le jour du mariage. Je t'aurai ensuite, pour la nuit, trois vits frais, dont celui qui t'a dťpucelťe sera un... Ah! l'idťe que ton pŤre t'enconne va me faire te dťcharger une pinte de foutre, et te l'entonner dans le gosier... Allons, garce, je sens que Áa vient; embouche-moi le vit... Ah-ah-ah... le bou...ougre fout... sa fille... Ton pŤre te fout, garce! te fout, putain... Ah! je dťcharge, ŗ cette divine idťe!... Honh!... Il se p‚ma presque... Pendant l'interruption forcťe, j'allai prendre mon pŤre ŗ sa cachette: -- Fous-moi, lui dis-je; puisqu'il le faut pour le bonheur de mon cher prťtendu! -- Ah! dťesse! (s'ťcria Guae, en se prťcipitant ŗ genoux), tu incestues pour moi! je t'adorerai toute ma vie... Il intromit le vit paternel. -- Remue du cul! (me criait-il), saccade! -- Je dť..cha..arge (lui dis-je)... Viens, cher ami... que je te branle! Guae blasphťmait de plaisir, en sentant venir le foutre... Il m'emboucha, sans que mon pŤre me quitt‚t, et, en mÍme temps, j'avalai du foutre, j'en reÁus dans le con, et j'en donnai. Mon pŤre me foutit quatre coups, et Guae m'avait embouchťe quatre fois, quand on frappa. Guae courut ouvrir, tandis que je me rinÁais bouche et con. C'ťtait mon oncle. -- Vous arrivez ŗ point (lui dit-il). On essaye ma future, et vous allez l'essayer. Mon pŤre expliqua la chose; Guae me renversa sur le foutoir, et mon oncle m'enconna. Il me foutit six coups, je tťtai six nouvelles fois le vit de Guae; aprŤs quoi on me laissa respirer. Il fut ensuite convenu que douze fouteurs me passeraient sur le corps le jour de mon mariage, en con ou en cul, ŗ mon choix, et que Guae, qui seul aurait la bouche, me ferait foutre la nuit, et dans l'obscuritť, par trois vits nouveaux de son choix. Mon oncle ťmerveillť, s'ťcria: -- Mais elle sera putain! -- C'est ce qu'il me faut, pour que je l'adore.... Et ne vous en faites faute, ni son pŤre, ni vous; puisque vous serez les seuls qui ne payerez pas. En achevant ces mots, il se prosterna devant moi, en me traitant de dťesse. Je retournai chez ma marchande. Son mari et elle-mÍme me tourmentaient pour que le premier m'eŻt une seule fois avant mariage. Ils me pressŤrent plus fort que jamais; et je cťdai. La femme me mit dans le con le vit de son mari. Je ne fus foutue qu'une fois, cet homme ťtant faible, et sa femme le voulant Ítre aprŤs moi. Ce fut de ma main qu'elle reÁut dans son con brŻlant le vit marital... Cette opťration faite, et rťpťtťe, je les quittais, en leur disant adieu. Ils pleuraient: -- Ce qui me console de ta perte (me disait ma marchande), c'est que mon cher mari t'a foutue... Ta voluptueuse idťe me le fera mettre plus souvent. Je partais, quand le frŤre entra. Sa soeur lui dit ce qui venait de se passer. Il ne rťpondit rien. Mais il me ramena du cŰtť du lit, m'y renversa, et me foutit devant eux, sans prononcer une parole. Il voulait me recommencer. Je m'y refusai, en l'invitant, ainsi que son beau-frŤre, ŗ venir me le mettre le surlendemain, jour de mon mariage. On me remercia. Chapitre XXXVI De l'homme-poilu, la Conveloutť, Linars etc. A mon arrivťe chez mon pŤre, je lui con-racontai tout ce que je venais de faire. -- Il ne faut pas (me dit-il), quand on a tant d'ouvrage payť, en faire qui ne rapporte rien. Il vient de m'arriver un homme d'assez agrťable figure, trŤs vigoureux, car il est brun et tout poilu, qui offre une forte somme, pour t'avoir cette nuit! -- Que rien ne vous empÍche de le prendre! (rťpondis-je en souriant) Je ne suis pas fatiguťe par si peu de chose. Mon pŤre, rassurť, me fit dťshabiller nue, prendre un bain tiŤde, puis un froid, mettre au lit, avec une chemise large; me fit avaler un excellent consommť; ensuite il me laissa dormir. Il ťtait alors 5 heures du soir. A minuit, je m'ťveillai, en me sentant lťcher le con. Je priai l'homme de se montrer! Il leva la tŤte, et je vis un basanť d'une fort belle figure. Je souris. Il me suÁa les tťtons, en me disant des choses agrťables: -- Vous avez un beau con... une superbe motte... un ventre de pucelle... un cul d'alb‚tre... des tťtons blancs comme neige.... un col dťgagť... des lŤvres voluptueuses... de belles dents... les plus beaux yeux... les cils, les sourcils et les cheveux comme la dťesse de la Beautť... la jambe parfaite... le pied le mieux fait... Quand je vous aurai foutue, je vous dirai le reste. Mon pŤre me dit de me lever pour souper. Le basanť me porta toute nue dans ses bras auprŤs du feu. Lŗ, je vis Guae avec grande surprise! Je mis mon corset souple; FysitŤre (le basanť) me laÁa, me priant de bien faire refluer mes tťtons. Mon pŤre me chaussa une jambe et un pied, Guae l'autre jambe et l'autre pied, en bas et en souliers de soie d'une ťblouissante blancheur. On se mit ŗ table. Mon fouteur voulut que je restasse les tťtons dťcouverts. Nous soup‚mes. J'avais appťtit, Le basanť but et mangea comme un hercule. En sortant de table, il dit ŗ mon pŤre et ŗ mon futur: -- Vous ne m'avez pas trompť; elle est au-dessus de vos ťloges. Si l'intťrieur du con ressemble ŗ l'extťrieur, elle est ŗ moi, coŻte qui coŻte. -- Voyons votre vit (rťpondit Guae)... Elle ne sera que trop parfaite!... Voici le mien; et vous savez que je n'ai pu l'enconner, puisque c'est ce qui vous a fait parler ŗ M. Conveloutť mon beau-pŤre. -- Je verrai si elle a le mťrite de ce beau nom... Mais vous avez un vit ťpouvantable, M. Guae!... Empoignez-le, la belle, que je voie comme il est bien bandant! Je saisis le vit de Guae, qui se rťcria de plaisir... -- Je bande (reprit FysitŤre). Mais faites bander votre pŤre, et comparons. Je lui pris cependant le membre, qui grossit en le serrant dans ma main. On compara ensuite. Guae l'avait le triple de l'homme velu, qui lui-mÍme ťtait le double de mon pŤre. -- Je voudrais lui dire un mot (demanda Guae furieux de luxure). Il me poussa vers une fenÍtre, me cacha derriŤre le rideau, et me dťchargea dans la bouche. Mon pŤre seul devina ce que Guae venait de me faire. Pour moi, je fus singuliŤrement fortifiťe par cette bavaroise! Je brŻlais... Aussi, je fus ravie, lorsque FysitŤre dit: " -- Il faut d'abord que je la foute habillťe. Il me porta sur le pied du lit, Űta ses culottes, et nous laissa voir un corps velu, comme celui d'un singe. Il me fit lui prendre son braquemart, et me dit: -- Introduis-moi cela dans le trou de ton con, et lŤve du cul comme il faut, ŗ chaque fois que je pousserai. Je m'enconnai. AussitŰt il poussa. Je fis un cri; car il me dťchirait, ťtant plus gros que mon oncle, et que tous les vits qui m'avaient foutue. -- Ce n'est rien (me disait-il); je te dťflore... je te dťpucelle. Remue du cul. Je remuais de mon mieux, tout en soupirant, et lui rendant en coups de cul, tous ses coups de vits. Il parvint au fond. Mes trompes lui pincŤrent la tÍte du gland. Il hurla de voluptť. -- Garce adorable! (s'ťcriait-il) ton con satinť pince le vit! Ta fortune est faite, ainsi que celle de ton pŤre et du futur, qui t'ont vendue ŗ moi!... Allons, fous bien!... Je remuai, je tortillai du cul, je soubresautai, de la maniŤre dont me le disaient mon pŤre, et Guae lui-mÍme. -- Je suis ravi! (s'ťcriait le basanť) Elle dťcharge!... Ah! Elle me fera un petit bougre-ŗ-queue!... Il dit ŗ mon futur: -- Viens-Áa, jean-foutre. Passe-moi la main sous le croupion, et chatouille-moi d'une main ce que tu y trouveras, et les couilles de l'autre! Guae obťit (J'ai su depuis qu'au croupion, le basanť avait une queue, de la mÍme forme qu'un vit, mais velue comme son corps, et que ce fut cette queue que mon futur chatouilla).... -- Je ne quitte pas d'une heure ce con cťleste! (disait l'homme-ŗ-queue, en me saccadant) chatouille, chatouille, bougre! les couilles et ma queue! Il dťchargea six fois, sans dťconner... Je demandai alors ŗ laver. Mon futur m'ťpongea le con, et me le baisa, en l'appelant Con d'Or. Mon pŤre me suÁa les tťtons. Guae dit au basanť: -- Elle est ŗ vous. Mais je bande comme un carme; permettez que je l'encule?... -- L'enculer, non; c'est du foutre perdu. Encore moins l'enconner; je veux qu'elle me fasse un petit-ŗ-queue. Mais si elle avalait le foutre, comme j'ai vu certaines femmes tempťramenteuses, je consentirais que tu l'embouchasses. A ce mot, je saisis le vit de mon futur, et je l'aurais avalť, s'il n'avait pas ťtť si gros. Il me dťchargea au fond du gosier, en rugissant, et le foutre me descendit bouillonnant dans l'estomac. Ah! Elle aime le foutre! (s'ťcria le basanť) Elle a toutes les perfections!... Et elle sera aussi longtemps belle, que fťconde!..... Allons, papa, embouche-la aussi. De tous les foutres, le paternel est le meilleur. Je me jetai sur mon pŤre, le renversai sur le lit, saisit son vit bandant, que je fis aller et venir dans ma bouche, jusqu'ŗ ce qu'il dťcharge‚t. Je suÁai son foutre avec dťlices... -- Bon! (s'ťcria le poilu) Elle est dans les bons principes; elle est impayable! Le basanť me dťshabillait, me dťchaussait: Mon PŤre et Guae lui aidaient. Je fus mise nue, patinťe, baisťe du haut en bas, tandis que je me rinÁais la bouche. On me passa la grande chemise; l'homme-ŗ-queue velu et tout nu y entra, me suÁa les tťtons, me fit lui darder la langue, puis dit ŗ mon futur de lui intromettre le vit dans mon con. Le basanť me foutit six nouveaux coups, sans dťconner. Je me sentis fatiguťe. Je voulus laver. Je restai une heure sur le bidet le con dans l'eau. Le basanť, qui, pendant tout ce temps-lŗ, s'ťtait amusť ŗ faire bander Guae, et ŗ lui faire me dťcharger trois fois dans la bouche, m'appela, en me disant: -- Tu es assez rafraÓchie; reviens sur le foutoir, que je te donne le bouquet! Il se le fit introduire par mon pŤre; qui me dit: -- Courage, mon enfant! Voici un fouteur qui en vaut dix. Mais je t‚cherai de te faire soulager, si cela continue. Je fus encore foutue six fois; mais avec tant de vťhťmence que je n'en pouvais plus. Sur ma plainte, le basanť dit, que le bouquet ťtait le double des autres assauts. -- Eh! combien donc l'allez-vous foutre de coups? (lui demanda mon pŤre). -- Vingt-quatre est ma dose. -- C'est trop, et elle ne ferait pas d'enfants. Elle a une cadette, aussi jolie que l'aÓnťe est belle; je vous la donnerai, pour soulager sa soeur! -- Je l'accepte! (s'ťcria FysitŤre) Et il m'en faudra bien d'autres! car je ne les fous plus dŤs qu'elles sont pleines, ni pendant qu'elles allaitent leurs petits. La jeune garce est-elle lŗ? (Or il me foutait toujours)... -- Non: Vous ne pouvez l'avoir que demain soir. -- En ce cas, j'achŤve de foutre celle-ci mes 24 coups. Je dťconne; qu'elle lave. Elle n'en a plus que cinq. Si son futur se trouve en ťtat, qu'il lui donne ŗ tťter du foutre, cela la fortifiera! AussitŰt Guae m'apporta ses couilles ŗ chatouiller, et son vit ŗ branler. Je m'en acquittai si bien qu'il hennit au bout de quelques minutes, et qu'ŗ peine eus-je embouchť son vit qu'il dťchargea, en sacrant: -- Elle a toutes les qualitťs... Elle est parfaite! (s'ťcriait le poilu, en me re-enconnant) Si sa petite soeur la vaut, ce sont deux connins impayables! Il acheva de me foutre cinq fois, sans dťconner. Je puis me rendre le tťmoignage que je dťchargeai, ŗ chaque assaut, plutŰt deux et trois fois qu'une. Aussi FysitŤre en ťtait-il ťmerveillť! et me nommait-il la seule fouteuse digne de lui. Mon pŤre lui dit alors: -- Ce ne sera pas encore assez de ma cadette. Mais j'ai votre affaire. Il me reste une niŤce religieuse qui a des vapeurs hystťriques; je vous la donnerai, pour reposer mes filles! -- Je leur ferai ŗ toutes trois 12 mille francs de rentes (rťpondit le basanť). Amenez-les-moi chaque soir, demain exceptť, que j'ai ŗ fourgonner une grande blonde qui a ouÔ parler de moi et qui veut en t‚ter. Il s'en alla. Cette scŤne changea tous nos projets. Je dormis jusqu'ŗ midi, qu'on m'habilla. Je fus mariťe ŗ une heure. La noce fut gaie. Ma soeur y ťtait, ainsi que ma cousine la carmťlite hystťrique, mon pŤre ayant trouvť le secret de l'avoir, au moyen d'une permission de prendre les eaux qu'il sollicitait depuis longtemps. J'eus rťellement pitiť du connichon de ma soeur DoucŤte, et je rťsolus de le voir dans la journťe. Mon pŤre me le montra, et le gamahucha devant moi, en allťguant le motif de prťvenir une maladie. Ah! qu'il ťtait mignon!... Je l'aurais gamahuchť, ŗ mon tour, sans ma coiffure d'ťpousťe, car son joli petit foutre virginal me tentait... Notre pŤre la prťvint qu'il fallait qu'elle me soulage‚t la nuit de mes noces, et l'aimable enfant y consentit avec naÔvetť. Je vis aussi le con de ma cousine la carmťlite, ou la belle Victoire-Londo. Il n'ťtait pas si mignon, mais il avait une superbe perruque noire. Elle entra en fureur ťrotique dŤs qu'on le lui eut touchť du bout du doigt, et mon pauvre pŤre fut obligť de le lui mettre devant ma soeur, et devant moi. Ce qui ne la calma que pour un instant. Nous appel‚mes mon oncle, qui la foutit trois fois. Puis le jeune homme fut introduit. Ensuite le procureur. Tous ceux qui devaient me le mettre ce jour-lŗ. Les enculeurs vinrent aprŤs. Elle fut foutue, refoutue, enculťe, re-enculťe, et calmťe. Mais on n'appela pas M. Guae; j'en ťtais jalouse... Pendant ce temps-lŗ, mon pŤre branlait ma soeur; l'enculage de la religieuse le fit entrer dans une telle ťrection qu'il la poussa dans un cabinet, oý je les suivis, la renversa, et la dťpucela. J'insťrai le vit paternel dans le joli connin, en disant ŗ DoucŤte que c'ťtait une ponction nťcessaire. On lavait la religieuse. M'ťtant aperÁue que Guae la convoitait, je lui tťmoignai une jalousie qui le flatta. Il me promit de rťserver son foutre azurť et son gros vit pour ma bouche, en attendant que les enfants m'eussent ťlargi le con. -- Mais vous m'aviez vendue (lui dis-je), avant de m'avoir livrťe ŗ l'homme velu, pour Ítre foutue et enculťe ma nuit des noces. Combien de fouteurs et d'enculeurs devais-je avoir? -- Six, ŗ 2 mille ťcus chacun. -- Vous voyez que je n'ai besoin que de repos. Mais il ne faut pas manquer une aussi jolie somme: Vous avez demandť le silence et l'obscuritť? -- Oui, ma reine adorťe. Je ne me suis engagť qu'ŗ te faire voir toute nue sans chemise, comme en jouant avec toi, nu aussi, dans la chambre. Au reste, le silence et l'obscuritť sont essentiels, puisqu'ils eussent passť pour moi. Les six bougres, placťs chacun dans une chambre sťparťe, devaient repaÓtre leurs regards de tes charmes, et t'espťrer chacun comme possesseur unique, ŗ un signal donnť. -- Tout cela se fera. Je serai remplacťe par 3 personnes. Nous donnerons le plus dťlicat et le plus petit vit ŗ ma soeur. Le plus vigoureux et le plus brutal ŗ la carmťlite: Je vais vous avoir ma marchande, qui ne demandera pas mieux que d'Ítre foutue, sans Ítre compromise. Vous arrangerez tout pour qu'elles reÁoivent chacune deux hommes; ce qui sera d'autant plus facile que vous n'aurez que les hommes ŗ tromper; ce qui sera facile. Guae admira mon entente et mon ťconomie! Il me promit une soumission entiŤre ŗ mes ordres, et me demanda la permission d'appeler ma soeur, ou la religieuse, pour le branler. Je les appelai toutes deux. Je dis ŗ la carmťlite, en lui dťcouvrant les tťtons, de prendre le vit et les couilles de mon mari. Je mis ensuite ma soeur en position, troussťe jusqu'au-dessus des reins, et, comme elle avait le plus joli cul du monde, elle montra le derriŤre. Je me mis ŗ cŰtť d'elle, troussťe de mÍme, je montrai le devant. Guae, chatouillť par une main douce, et jouissant d'une triple perspective aussi belle, en y comprenant la superbe gorge de la religieuse, ne tarda pas ŗ hennir de plaisir. BientŰt il entra en fureur, et il allait enconner la religieuse si je ne lui avais sautť sur le vit, que j'embouchai. Il me dťchargea dans le gosier, en rugissant. Nous sortÓmes tous quatre, pour aller danser, et ma soeur, ma cousine et moi nous fumes reÁues avec transport. Mes 6 fouteurs pour la nuit suivante ťtaient de la noce. Guae, qui se fŻt bien gardť de me les montrer, si j'avais dŻ les avoir, s'en fit une fÍte quand ce furent d'autres qu'on leur allait livrer. Il me les dťsigna. C'ťtaient 6 monstres de laideur. Guae trouva le moyen de les faire mettre nus successivement dans une piŤce isolťe, sous le prťtexte de les frotter d'un baume fortifiant. Le premier ťtait un squelette dťcharnť, ayant le vit comme mon pŤre. Il avait un long nez qui touchait ŗ son menton, les joues creuses, l'oeil vif, des verrues noires sur le corps. Je le rťservai pour ma soeur, ŗ cause de son vit, n'espťrant pas mieux. Il se nommait Widevit. Le second ťtait un gros petit homme, trŤs ventru, ayant le vit de mon oncle, la peau comme une ťcrevisse cuite, pour nez une grosse betterave, de gros sourcils gris, une bouche ťvasťe, et les lŤvres h‚lťes, gercťes des gros mangeurs. Ce fut le second de DoucŤte, si je ne trouvais pas mieux. On l'appelait en russe Wivitencoff de la CowilardiŤre. Le troisiŤme ťtait fait comme un hťron et un dromadaire: Il ťtait juchť sur de longues jambes sans mollets; il portait sur ses ťpaules une colline en cŰne aigu; son visage ťtait noir et sec; ses cuisses grÍles n'ťtaient distinguťes de ses jambes que par d'ťnormes genoux. Tout ce qui manquait ŗ ces parties se retrouvait dans son vit, plus gros que celui de notre homme-ŗ-queue, et moins que le double vit de Guae. Je destinai Towtenvit ŗ ma marchande, qui ťtait chaude, large et stťrile. Le quatriŤme ťtait un gros marchand de blť, aussi large que haut, tout noir, tout bourgeonnť, ayant quelques livres de couilles, et un vit trŤs long, gros comme celui de mon oncle. Je destinai Vitplongeardow ŗ ma cousine, ŗ cause de ses couilles. Le cinquiŤme avait le visage de la teinte d'un ventre de crapaud, la tÍte monstrueuse, le ventre de Desessarts, le vit comme Guae (il devait m'enculer, de convention faite). Son regard ťtait affreux, sa bouche dťgoŻtante, et son nez encore plus. Vitcrwel fut vouť au large con de ma marchande. Le sixiŤme et dernier ťtait grand, voŻtť, noir, bancroche, roux, chassieux; il avait un vit ŗ bourrelet, tant il ťtait long; aussi en avait-il apportť un, qu'il devait ťcarter, pour m'enculer. Perceawant fut le second de mon ardente cousine. Le soir arrivť, l'on me mit au lit, et chacun des six monstres crut qu'il allait avoir le plaisir d'Ítre mon bourreau. Guae me conduisit dans la chambre nuptiale, et parut me mettre au lit. Mais il nous distribua dans quatre piŤces, et les lumiŤres furent exactement retirťes. Quant ŗ moi, j'ťtais restťe debout, faisant, ŗ chacune des lieutenantes de mon con, le portrait et l'ťloge du beau jeune homme qu'elles allaient presser dans leurs bras. Je me croyais obligťe en conscience de leur donner des plaisirs imaginaires, ŗ dťfaut de la rťalitť. -- Ma toute belle! (dis-je ŗ ma soeur) avec quel plaisir tu me sacrifierais ton repos, si tu voyais le jeune homme charmant qui doit froisser tes appas! C'est un sylphe; c'est un amour... J'allai ensuite ŗ la religieuse: -- Tu vas sentir la diffťrence de la couchette de ta cellule au lit d'un nouvelle mariťe, ma chaude cousine. Un bel homme, un gros vit... Crie, mais ne parle pas, puisque tu vas passer pour moi... Je me rendis ensuite auprŤs de ma marchande: -- Vous allez Ítre rassasiťe de ce que vous aimez tant, mon aimable maÓtresse. Un jeune homme superbe, et... peut-Ítre deux, qui me dťsirent avec emportement, vont me le mettre dans votre con brŻlant, jusqu'ŗ extinction de forces. Les vits sont gros! ainsi faites-vous pommader comme une pucelle, et remuez du cul, pour avaler plus vite ces ťnormes morceaux... Ma marchande me remercia, en me priant de la mettre promptement aux prises. Je courus lui chercher Toutenvit, le troisiŤme... Mais je vais mettre de l'ordre dans mes rťcits. Guae m'attendait. DŤs que je parus, il me fit parler, et conduisit par la main Wždevit, le premier monstre, auprŤs de ma soeur. -- Mon cher mari (dis-je doucement, la tÍte appuyťe sur l'oreiller de celle-ci), mťnagez-moi! -- Oui, oui; mais ne parle pas; j'ai dťcouvert que toute la noce nous ťcoutait, ŗ cause de mon gros vit... Durant ce court dialogue, Vitdevit, dťshabillť d'avance, fourrageait dťjŗ ma soeur. Guae, par mes ordres, prit ensuite Vitplongeardow, le quatriŤme, et le conduisit, avec les mÍmes prťcautions, auprŤs de la religieuse. Je parlai sur son oreiller... Towtenvit, le troisiŤme, fut le lot de ma marchande. Les 3 autres avaient rendez-vous quelques heures plus tard.. Il faut ŗ prťsent donner chaque scŤne particuliŤre, en 6 tableaux de la NUIT DE LA MARIEE. Chapitre XXXVII Des six fouteurs pour trois foutues. "Happťe par le monstre, qu'elle croyait un ange, ma timide soeur soupirait. J'entendais qu'on la gamahuchait, qu'elle dťchargeait. -- Je me meurs! (murmura-t-elle). -- Comme tu as la voix douce, belle mariťe! (lui dit Widevit bien bas). Et aussitŰt il grimpa sur elle, et l'enconna. La pauvre petite, quoique dťpucelťe, fit un cri! Je parlai pour la dťguiser. Le vieux monstre la mťnageait et la caressait. Elle le secondait de tout son pouvoir, et redťchargea. Gr‚ce ŗ moi, elle avait le mÍme plaisir que si elle eŻt foutu avec un beau garÁon... La voyant bien enfilťe, j'allai ŗ la religieuse. Vitplongeardow s'ťtait avisť de ne pas mettre son bourrelet; je m'en doutai aux gťmissements de la pauvre martyre. Je le dis ŗ Guae, qui le dťsarÁonna, et lui donna quelques soufflets. J'entendis qu'il lui disait bien bas: -- Bougre! vas-tu m'estropier ma femme? Ton bourrelet! Le fouteur le prit, et la foutue n'eut plus que du plaisir. Je courus ŗ ma marchande, que Toutenvit ne pouvait enconner, par maladresse. Je mis la tÍte sur l'oreiller, et je dis en soupirant: -- Priez donc mon pŤre de vous l'introduire!... Guae, qui me suivait doucement, vint faire l'intromission, et tout alla bien. Chacune des 3 belles fut foutue deux fois en con. Ensuite, comme de concert, les 3 bougres retournŤrent la mťdaille. Toutes trois avaient leur pucelage de cul. Ma marchande crut qu'on allait le lui mettre en levrette; mais les deux autres ne s'attendaient ŗ rien. On leur perÁa le cul ŗ toutes trois au mÍme instant, et elles s'ťcriŤrent, malgrť la dťfense, toutes ŗ la fois: -- DoucŤte: Oh le fondement! -- La religieuse: Oh l'anus! -- La marchande: Oh le trou du cul!... On n'y fit pas attention. Heureusement ma soeur avait le cul large; elle souffrit moins. Quant ŗ la religieuse, que Vitplongeardow enculait sans bourrelet, elle avait une aune de vit dans ses entrailles, et elle sentait celui de son enculeur lui chatouiller le nombril. Elle souffrait beaucoup de son farfouillage; car il retirait et re-enfonÁait brutalement. Elle n'eut de plaisir qu'ŗ la dťcharge, par la douce chaleur du foutre, qui lui onctua le gros boyau. Ma marchande ťtait la plus maltraitťe, par Towtenvit. Elle avait le trou du cul aussi ťtroit qu'elle avait le con large; le vit ťnorme la pourfendait. Elle jurait entre ses dents. Enfin la dťcharge l'abreuva, et elle fut soulagťe. Les 3 vieillards en avaient autant qu'il leur en fallait. Guae vint les faire retirer, de sorte qu'ils ne se rencontrassent pas... On ťtuva les 3 cons et les 3 culs. On fit les lits, on changea les draps, recoucha la triple mariťe, et Guae introduisit les trois nouveaux acteurs. Il alla chercher Wivitencoff, que je mis dans les bras et sur le ventre de ma soeur. Un peu aguerrie, elle caressa tendrement le monstre, qui l'enconna, le vit introduit par Guae, qui profita de l'occasion pour patiner ma soeur, et la chatouiller. Ce qui fit tellement tressaillir la pauvre petite que son fouteur s'ťcria, croyant parler ŗ moi: -- Ah! que tu es putain!... Voyant Guae acharnť sur ma soeur, j'introduisais les deux autres. Je donnais Perceawant ŗ la religieuse, et j'eus soin qu'il eŻt son bourrelet. -- Voilŗ une main bien douce qui me touche dit-il en voulant saisir la mienne; mais j'ťchappai. -- Remue du cul, bougresse, (disait-il ŗ sa monture); je te tiens, je suis dans ton con; ainsi tu ne saurais m'ťchapper. Je ne suis pas ton mari; j'ai payť pour coucher avec toi, et te dťpuceler; ainsi tu es ma putain. Fous, garce, et remue du cul; j'ai payť pour Áa... Guae l'entendit. Il vint ŗ lui, le saisit ŗ l'ťtouffer. -- Tu manques ŗ nos conventions! (lui dit-il) je ne les tiendrai pas non plus; fous-moi le camp, malhonnÍte homme! -- Oui; mais quand je l'aurai enculťe. Et il encula la carmťlite, malgrť les coups de poing dont Guae le gourmait. La religieuse poussait des cris horribles... J'ťtais auprŤs de ma marchande, que j'accouplais avec le gros Vitcrwel. Il ne devait qu'enculer; mais la chaude coquine se dirigea elle-mÍme le vit dans le con. -- Tu n'es donc pas pucelle, garce (crut-il me dire), que tu connais si bien la route des vits?... Allons, fous, putain, et comme il faut! j'ai payť ton maquereau de mari! Comme elle ripostait bien, il allait disant: -- Oh! elle est putain! elle est putain! j'ai le reste des autres! Et, tout en dťchargeant, il la pinÁa, la souffleta. Elle se rťcria! -- En bouche, sacrťe putain? (dit-il en dťconnant) et tu avaleras mon foutre; sans quoi je t'assomme! Guae, qui venait de laisser enculer la carmťlite, et de chasser son brutal fouteur, entendit le grabuge; il accourut, apostropha le sale bougre d'un violent coup de poing, en lui disant: -- Lave-toi donc au moins, sacrť m‚tin, avant de l'emboucher! Je ne l'embouche jamais que je ne me sois lavť le vit ŗ l'eau-rose, et que je ne l'aie ensuite trempť dans du lait. Exťcrable bougre! vrai de Sade, tu veux lui faire soulever le coeur?... Mais tu as manquť aux conditions; tu ne mťrites plus de l'avoir. -- Voilŗ cent louis... -- Ils seront pour elle. Lave-toi... Voilŗ de l'eau-rose... Voici du lait... Allons, souffre, m'amie. Voilŗ tes cent louis. Le vieux reÓtre, cru un beau jeune homme, emboucha, encula, entťtonna tant qu'il voulut. -- Ah que tu es putain, sacrťe chienne! (rťpťtait-il)... Guae se mourait d'envie de lui montrer qu'il ne m'avait pas eue. En le mettant ŗ ta porte, il me fit trouver sur son passage toute habillťe. Ce fut comme une vision; car je m'enfuis. Ah je suis fait! (s'ťcria le monstre) le scťlťrat m'a donnť une putain au lieu de sa femme!... Et il jura, sacra... Quant ŗ moi, pendant ces scŤnes, j'assistais ŗ la fouterie de ma jeune soeur. La pauvre petite fut enconnťe, embouchťe, enculťe comme les autres, par son adorť Vitvitencoff de la CowillardiŤre, qui alla jusqu'ŗ extinction de forces. Il m'adorait. Ce qui le tua, c'est que, lorsqu'il se sentait ťpuisť, il se faisait sucer le vit bien appropriť ŗ l'eau chaude, et baiser les couilles par sa jolie monture. Il lui mettait encore couilles et vit sur le cul ou les tťtons. Puis il se faisait donner au gland un suÁon. Il bandait alors, et enculait. Au dernier culetage, il eut un priapisme, et crut ne faire que bander. Il fourgonna dans le cul de ma soeur jusqu'ŗ ce qu'il s'ťvanouÓt. J'appelai Guae, qui la dťcula, en enlevant son enculeur. On le porta ťvanoui dans sa voiture. Arrivť chez lui, des cordiaux, que demanda Guae, ranimŤrent le vieux libertin: -- Ah! (s'ťcria-t-il) je vis encore! je voulais mourir dans son cul!... je bande encore... Qu'on me la rende... que je l'enfile... et... que... j'expire... Et il expira..." [Ah! la belle mort! s'ťcria Traitdamour, et toute la compagnie en dit autant...] Mme Guae acheva. "Voilŗ comme s'est passťe la nuit de mon mariage. Guae, ŗ son retour, ťtait furieux de luxure: Il voulait toutes nous enculer, puis nous emboucher. On s'arrangea. Il m'emboucha; encula ma soeur et ma cousine, enconna ma marchande, qui en fut estropiťe pour un mois, et l'engrossa, deux choses qui l'empÍchŤrent d'Ítre achetťe par FysitŤre. Pour Guae, je suis sa maÓtresse, et son gros vit me fortifie par son foutre qui me nourrit. Je serai enconnťe par lui, de convention faite avec FysitŤre, aprŤs mon douziŤme enfant." Chap. XXXVIII De la conclusion de l'histoire des 3 garces. "Personne ne sait comment l'homme-caud dťcouvrit que Guae avait vendu la premiŤre nuit de ses noces. Il arriva furieux. Il me demanda. J'ťtais au lit. Ce fut la rťponse de Guae. -- Je le crois! (rťpondit FysitŤre), et un homme est mort d'ťpuisement dans ses bras. -- Elle a vaquť toute la nuit; mais c'est pour autre chose. Sa cousine la religieuse ayant ťtť un peu courtisťe dans le jour, ses vapeurs hystťriques l'ont reprise la nuit, par un rÍve, oý elle croyait Ítre foutue. J'ai ťtť appelť. N'ayant pu l'enconner, je l'ai enculťe. -- Je me fous de son cul. Mais si tu l'avais enconnťe. -- Quant ŗ ma femme, elle dort; et vous pouvez voir ŗ la fraÓcheur de son con et de son cul que je ne lui ai pas touchť. -- Voyons d'abord la carmťlite! -- Elle dort aussi. Ils y allŤrent. Guae la dťcouvrit, sans l'ťveiller. Elle ťtait couchťe sur le cŰtť, ne pouvant se tenir sur le dos, ŗ cause de son cul qui lui faisait mal. Elle l'avait en marmelade. -- Comme tu les accommodes!... Et le con?... Il n'est pas si maltraitť... -- Je l'ai un peu fatiguťe par mes inutiles efforts; et puis elle s'est branlťe. -- Voyons la mariťe!... Ils vinrent ŗ moi. On sait que je me repucelais par le bain et un peu de repos. Mon con et mon cul furent trouvťs si appťtissants, si jolis, que FysitŤre les baisa tous deux. Puis il signifia au cupide Guae qu'il avait un logement cloÓtrť pour nous sťquestrer pendant tout le temps que nous lui ferions des enfants, moi, ma soeur, et ma cousine. Il ne vit DoucŤte qu'habillťe! et elle l'enchanta. Il nous emmena toutes trois, en disant que jusqu'ŗ notre grossesse bien dťclarťe, on ne nous verrait qu'ŗ un parloir. FysitŤre est extrÍmement riche. Il donne 20 mille francs par an ŗ Guae pour moi, 40 mille ŗ mon pŤre pour ma soeur et ma cousine. Le soir, aprŤs un excellent souper, il nous fit coucher toutes trois ensemble dans un large lit, oý il se mit avec nous. Il me foutit d'abord. Puis ma soeur. Ensuite la carmťlite, qui le fut deux fois sans dťconner. Il me reprit. Puis ma soeur. Bref, nous fumes ainsi foutues 8 fois chacune dans la nuit. Ce qui faisait les 24 de FysitŤre. Quand il en foutait une, les deux autres lui chatouillaient, une la queue du cul, la seconde les couilles. Nous devÓnmes grosses toutes trois ŗ la fois. Alors il nous dťclara qu'il ne nous le mettrait plus qu'aprŤs nos couches et l'allaitement. Il vint ici. Il vous vit, Madame; il vous foutit. Il ťpousa votre fille aÓnťe, enconna les 5 autres, fourbit vos deux niŤces, ramona la b‚tarde de votre mari, viola vos 2 chambriŤres, et vous engrossa toutes. Durant ce temps-lŗ, nous accouch‚mes, nous allait‚mes, nous nous trouv‚mes libres, et il nous refout. T‚chez d'Ítre libres aussi, quand nous serons prises, afin qu'il nous refoute alternativement. Telle est notre histoire; voilŗ ce que nous savons sur l'homme ŗ queue. J'ajouterai seulement que, dans le temps oý M. FysitŤre ne nous l'a plus mis, nous ayant des dťsirs, nous avons eu recours ŗ mon pŤre, ŗ mon oncle, ŗ Guae, au procureur, et ŗ mon premier galant, qui nous ont fourbies, Guae en bouche, les autres en con. Cependant nous avons toutes voulu avoir Guae, ŗ la premiŤre douleur pour l'accouchement; son vit, gros comme l'enfant, frayait le passage, et son foutre l'onctuait. AprŤs nos couches, nous avons priť mon pŤre de nous choisir de jolis petits garÁons non pubŤres, mais bandant roide, pour nous ramoner le con: ces enfants, dont les petits vits huilťs entraient calottťs, ne dťchargeaient pas, et cependant farfouillaient agrťablement dans le connŰt". Les 12 belles furent trŤs excitťes par ce rťcit, et quelques-unes allŤrent sur-le-champ et successivement se faire ramoner par FysitŤre, qui fut trŤs ťtonnť de cette boutade! Il se servit de ses 2 queues, en expťdiant ainsi 2 ŗ la fois, une dessous, une dessus. Cette bourrasque apaisťe, FysitŤre revint ŗ ses us et coutumes. Mais bientŰt ses 3 coucheuses parurent enceintes. Il les pria, ainsi que Mme Linars, de lui en procurer 3 ou 4 autres, pour lui faire des enfants, en attendant leur libertť! Mme Guae seule en procura 3, une Tťtonnette, son amie d'ťtant fille, et deux soeurs, Bienouverte, grande blonde, avec Dardenbouche, aimable et vive brunette, trŤs caressante, dťchargeant comme quatre. Tťtonnette ťtait une de ces brunes ŗ peau blanche qui ont toujours une si belle gorge. FysitŤre assura les 12 cents fr. de rentes ŗ ces 3 filles, se chargea de leur ample entretien durant tout le temps de leur fťconditť, les fit coucher au grand lit, et les dťpucela 8 fois chacune la premiŤre nuit. Il commenÁa par Dardenbouche, lŗ plus jeune. Elle ťtait si amoureuse, bien que pucelle, qu'elle riposta, dŤs le premier coup de vit. Elle soutint les 8 assauts de suite avec un courage hťroÔque... FysitŤre prit ensuite Bienouverte. Elle fut plus modťrťe. Elle cria, quoique peu ťtroite; parce que, ne dťchargeant pas d'abord, elle ne s'humectait que faiblement le connin. Elle ťtait pucelle nťanmoins. Malgrť sa langueur, elle fut foutue 8 fois, comme Dardenbouche; FysitŤre aurait eu peur d'en mortifier une... Il prit ensuite la belle Tťtonnette. Il l'enfila plus difficilement que Bienouverte; mais elle remua si dťlicieusement du cul, ses tťtons ťtaient si appťtissants, elle avait le connin si ťtroit, qu'elle donna autant de plaisir que Dardenbouche... AprŤs les 24 assauts, FysitŤre laissa dormir. Le lendemain matin, 3 valets de chambre entrŤrent, pour lui demander ses ordres? Il s'ťveilla; mais il feignit de dormir, lŗ bouche sur lŗ gorge de Tťtonnette, et une main sur les tťtons de chacune des 2 autres. -- Voilŗ un bougre bienheureux! (dit un des valets) -- Oui! (rťpondit un autre). Et ils se mirent tous trois ŗ se branler. Alors FysitŤre, feignant de s'ťveiller, leur dit: -- Je vous ai entendus, jean-foutres. Vous ne les enconnerez pas; je veux qu'elles ne soient grosses que de moi; mais tournez-les sur le ventre, et m'en enculez une chacun. Il n'avait pas achevť que les 3 belles poussŤrent un cri simultanť, causť par les 3 vits qui leur entraient dans le cul. FysitŤre les exhorta ŗ lŗ patience, par l'idťe d'une bonne oeuvre; il les assura que ces 2 hommes allaient dťcharger par terre. Elles se rendirent ŗ cette raison, et culetŤrent ŗ qui mieux mieux." Explicit L'HOMME-A-QUEUE. A cette longue histoire, tous et toutes se rťcriŤrent: -- Nous ne sommes que de la Saint-Jean, auprŤs de ces fouteurs et de ces fouteuses-lŗ! Que ne sommes-nous ŗ demain! -- N'allez pas vous branler, bougres! (leur dis-je) -- Nous nous en garderons bien! notre foutre n'est pas ŗ nous; il est ŗ nos belles. Qui ťtait ťtonnť de nous entendre parler ainsi devant ma fille, c'ťtaient Brideconnin et sa femme... Mais ils en verront bien d'autres. SUJETS DES ESTAMPES. I. Cupidonet et Jenovefette. L'adolescente ŗ quatre, troussťe, et le jeune Cupidonet ŗ genoux, la couvrant cyniquement, t‚chant de l'enfiler. Elle se cambre les reins, pour Ítre atteinte: "Hausse, hausse le cul". p. 5 II. Cupidonet et le con soyeux. Cupidonet sur Madeleine, ‚gťe de dix-sept ans, dont il lŤche le con poilu. Elle est sur le dos, les jambes ťcartťes, et se prÍte en poussant sur la bouche de son jeune frŤre, qui la gamahuche. "Darde ta langue dedans, cher petit ami". p. 9 III. La mŤre foutue. Cupidonet enconnant une femme de quarante ans, au lit, les draps ŗ terre. Il enconne pour la premiŤre fois, et paraÓt se p‚mer. La Femme: "Jamais... jamais... vous ne m'avez donnť tant de plaisir". p. 12 IV. Cupidonet et la belle Marie. Cupidonet, ťvanoui, le vit en l'air aprŤs avoir dťchargť dans le con de sa soeur la Belle, mariťe ŗ Paris, et parťe, un jour de Vierge, Marie dťtťtonnťe, et con et cul visibles. Elle dit: "Ah... Grand Dieu... c'est Cupidonet." p. 16 V. Cupidonet et l'horlogŤre. Cupidonet au lit, sans couvertures ni draps, foutant la belle horlogŤre, ŗ laquelle son mari, couchť de l'autre cŰtť d'elle, dit: "Courage, ma femme... hausse le cul". p. 20 VI. Cupidonet, avec sa femme le cul dťcouvert. Il est appelť par sa femme debout, mais courbťe sur un lit, troussťe au-dessus des reins, et montrant le plus beau cul. Il court ŗ elle, le vit bandant. "Si j'ai la vťrole (pense-t-elle), fous-moi en cul". p. 20 VII. Cupidonet et Conquette. Cupidonet gamahuchant Conquette la nuit, sa lampe sur un garde-sel. Elle est ŗ dťcouvert, et se trťmousse toute endormie, quand elle sent la langue entre les lŤvres de son connin ŗ poil naissant. "Ah... Ah... Ah... Áa m'chatouille". p. 25 VIII. Conquette et Cupidonet. Conquette, qui vient d'Ítre gamahuchťe, et que Cupidonet, le vit bandant, t‚che d'enconner. "Ah! ce joli gamahuchage, tant que vous voudriez". p. 30 IX. Cupidonet et Victoire. Cupidonet tenant Victoire troussťe jusqu'aux dessus du genou, et se faisant empoigner le vit, qu'elle ne voit pas: "Mignonne... serre-moi le doigt, fort... fort". p. 32 X. Conquette, Culant, VitnŤgre. Conquette assise devant le feu, entre VitnŤgre et Culant dťculottťs, bandants; elle troussťe: "Allons, bougresse. branle-nous tous deux". p. 36 XI. Cupidonet, Conquette, VitnŤgre, le moine. Cupidonet dans un cabinet obscur, voyant VitnŤgre le vit ŗ l'air, montrant ŗ nu les appas de sa femme. Un moine, debout dans le cabinet, vu par le pŤre de Conquette, cachť derriŤre un sofa, et qui n'est pas vu. Le moine tenant en main son vit monstrueux, regarde la scŤne: "Troussťe, putain, au-dessus des reins". p. 39 XII. Cupidonet et Conquette en levrette. Conquette, le ventre appuyť sur le pied d'un lit. Cupidonet l'a troussťe au-dessus des reins; elle cambre la taille, et il l'enfile en levrette. "Remue du croupion... mon ange". p. 44 XIII. Conquette, VitnŤgre, un payeur. VitnŤgre debout ŗ cŰtť du lit, cachť par un rideau, tandis qu'un autre le remplace sur sa femme. Le mari dit ŗ celle-ci: "Dťcharges-tu"? p. 48 XIV. Cupidonet, Conquette, VitnŤgre, le jeune homme. Cupidonet cachť; VitnŤgre une lumiŤre en main trouvant le jeune homme sur sa femme troussťe: "Hť bien, est-elle enconnťe". (dit-il). p. 53 XV. Le fouteur ŗ la Justine. Le moine Foutamort, ayant mis Conillette nue, expirťe et dťchirťe sur une table, lui cerne les tťtons avec un bistouri, etc.: "Dťcharnons-la." p. 56 XVI. Cupidonet, Conquette, Timori. Cupidonet, cachť dans le sofa, avanÁant la tÍte, pendant que Conquette, gamahuchťe par Timori, lŤve les jambes en l'air, et fait claquer ses talons: "Ah... Timori... ta langue vaut un vit". p. 62 XVII. Conquette enculťe. Cupidonet sous un sofa; Timori enculant Conquette, courbťe, dont le cul est bien perforť: L'enculeur s'ťcrie: "Quel cul! quel plaisir des Dieux". p. 63 XVIII. Conquette s'enconnant du vit paternel. Cupidonet au lit avec Conquette, deux flambeaux sur la table de nuit. Il est sur le cŰtť, le vit bien bandant. Il dit ŗ sa fille nue, cherchant ŗ s'enfiler: "Appuie lentement, ma reine". p. 67 XIX. Montencon, Cupidonet, Hochepine, Vitsucette. Montencon embouchant AdťlaÔde Hochepine en prťsence de Cupidonet et de Vitsucette. "J'embouche la jolie garce". p. 70 XX. Cupidonet, Conquette, Montencon. Cupidonet sortant du con de Conquette. Montencon, le vit en main, allant se mettre sur elle dont le con et les cuisses sont bien ŗ dťcouvert. "A toi, bougre". p. 7 XXI. Les moines vťrolťs. Tous les lits sont couverts de robes monacales. VitnŤgre assis auprŤs du lit de Foutamort, qui lui montre un tableau, reprťsentant une femme ŗ laquelle il vient de ne faire qu'un trou du cul et de la motte, et dont il cerne les tťtons: "Je me suis fait accommoder son con". p. 81 XXII. Le sommeil enconnť. Cupidonet endormi, le vit dans le con de Conquette, qui dort ťgalement enconnťe. En commenÁant ŗ s'ťveiller, elle dit: "Ah! Mon Dieu! c'est mon papa, qui me..." p. 83 XXIII. Cupidonet, Conquette. Cupidonet devant Conquette assise, en court jupon, les tťtons dťcouverts: Il vient de se mettre le vit ŗ l'air. Elle joue avec sa mule mignonne, qu'elle fait badiner avec le bout de son pied: "Je veux te griller". p. 88 XXIV. Conquette, Cupidonet, Centlouis. Centlouis prenant les tťtons et le con de Conquette, en prťsence de Cupidonet, auquel il dit de serrer les cinquante louis: "Ce con satinť, ces tťtons touchťs les valent". p. 91 XXV. Conquette, Cupidonet, Traitdamour. Conquette renversťe, troussťe au-dessus du nombril, et ŗ laquelle Cupidonet prťsente Traitdamour, qui tient ŗ la main et montre son gros et superbe vit. Conquette avanÁant sa main, pour prendre le vit: "C'est donc toi qui m'as fait tant de mal... et de plaisir"... p. 95 XXVI. Cupidonet, Conquette, Traitdamour, Minone, ConnŤte. Cupidonet foutant Conquette, qui lui darde sa langue. Traitdamour tenant les tťtons de sa soeur, qui lŤche le trou du cul du fouteur; tandis que ConnŤte le suce dans la raie du dos: "Quels dťlices!... Je suis rendu"... p. 100 XXVII. Minone, Conette, Cordaboyau, Brisemote (1er groupe). ConnŤte chatouille les couilles de Cupidonet debout, tandis que Cordaboyau enconne Minone, que Brisemote encule couchťe sur le cŰtť. "C'est une fouterie de princesse...". p. 108 XXVIII. Cupidonet, Conquette, Traitdamour (2Ťme groupe): Conquette sur Traitdamour, qui la tient enculťe sur lui! Cupidonet dans le con de la belle, ainsi limťe entre deux feux: "Piquez... des deux; la garce est enculťe"... p. 110 XXIX. La danse nŤgre. Cupidonet habillť, mais le vit ŗ l'air, regardant la danse, dans laquelle il pousse Conquette nue par les fesses. Traitdamour danse avec Rosemauve, une nouvelle actrice; Cordaboyau avec Conette; Brisemote avec Minone; tous six nus de la tÍte aux pieds. Ils figurent les mouvements voluptueux; un couple paraÓt prÍt d'enconner; un autre d'enculer; le troisiŤme, en se contournant, met les tťtons sous la bouche, le vit sous la main, et montre le con qui l'appŤte. "Allons! Du mouvement, garces!" p. 114 XXX. La Piochťe et ses piocheurs. La Piochťe sur le foutoir; Piocheur-pŤre enculant Piocheur-fils; Piochencul les excitant, et se faisant bander, ŗ l'aide de la main et des tťtons de la jeune fille. "Bougre... encule ton petit garÁon". p. 117 XXXI. Piochette. Le vieux Piochencul patinant les tťtins de Piochette, ‚gťe de 14 ans, et fille du frŤre et de la soeur, pendant que ces 2 individus sont enconnťs, et que le vieux Piocheur grand-pŤre encule son fils. "Tu me dťpucelleras ta fille, dŤs que ton grand-pŤre t'aura dťculť". p. 119 XXXII. Les gourmets de con. Conquette enconnťe par Cordaboyau, seulement comme gourmet du satinť de son con, est enlevť de sur elle, prÍt ŗ dťcharger, par Traitdamour et Brisemote, le vit bandant et dťcalottť, pour le plonger tout brandi dans le con de Rosemauve, ťtendue sur un foutoir haussant du cul: "Le sacrť bougre allait partir"... p. 123 XXXIII. HonnÍte entretien du pŤre et de la fille. Cupidonet prenant le con de sa fille d'une main, les tťtons de l'autre. Elle dit: "Mon Dieu: je vous remercie d'un si bon pŤre". p. 133 XXXIV. L'homme enfilant deux cons d'une volte. L'homme-ŗ-queue foutant Sophie Linars de son vit, tandis que Geoline s'enconne avec la queue velue qu'il a au croupion. Celle-ci dit: "Et moi, je vais me servir de cette queue raide". p. 141 XXXV. La fouteuse insatiable. La belle AgnŤs, livrťe par son pŤre, enfilťe par le jeune procureur, qui se loue de ses dťlicieux mouvements; elle s'ťcrie, en dťchargeant: "Ah... mon ‚me va sortir... par le trou qu'il me fait". p. 157 XXXVI. Indicibles fouteries! AgnŤs, aprŤs souper, ayant un corset refluant, cachťe derriŤre un rideau de fenÍtre, de sorte que l'homme-ŗ-queue seul, qui lui prend le con, ne voit pas son visage: Elle tient d'une main le vit de son pŤre; de l'autre, elle retient ŗ l'entrťe de sa bouche, et presse de ses lŤvres, le gros membre de Guae qui dťcharge, et lui lance le foutre au fond du gosier. FysitŤre leur dit: "Il faut d'abord que je foute habillťe...". p. 175 XXXVII. Les six fouteurs des trois foutues. AgnŤs, DoucŤte, la carmťlite, et la marchande de modes, maÓtresse d'AgnŤs Conveloutť. La 1re en dťshabillť de gaze transparente, avec le chapeau de mariťe; les 3 autres nues, sont instruites par AgnŤs [Coupure.] Six vieillards, le vit en main, nus, endoctrinťs sťparťment par Guae, nu aussi, ŗ l'entrťe d'une autre piŤce, oý il les attire les uns aprŤs les autres... Le premier est un grand, maigre, dont le nez touche au menton; vit ordinaire. Le second, gros, trŤs ventru; le nez comme une grosse betterave; le vit long. Le troisiŤme montť sur de longues jambes sŤches; ayant un pain de sucre sur les ťpaules; le vit gros comme celui de l'homme-ŗ-queue au moins. Le quatriŤme aussi large que haut, a le vit de l'oncle d'AgnŤs. Le cinquiŤme a la tÍte monstrueuse, le ventre comme un tonneau, le vit comme celui de Guae. Le sixiŤme est grand, voŻtť, bancroche; ayant un bourrelet ŗ son long vit. Quant au laid Guae, on voit son vit, gros comme un timon de carrosse, soulever sa chemise... "Chacun des 6 monstres crut qu'il allait avoir le plaisir d'Ítre mon bourreau". p. 183 XXXVIII. FysitŤre au grand lit avec ses 3 fouteuses. Elles sont nues. FysitŤre nu enconne DoucŤte; AgnŤs lui chatouille les couilles; la carmťlite lui branle le queue velue, dont elle se dispose ŗ s'enfiler. Le mot est pris de l'histoire par AgnŤs "Nous fumes ainsi foutues 8 fois chacune dans la nuit; ce qui faisait les 24, ordinaire de FysitŤre" p. 192 Table des Chapitres La Prťface. 3 I. Chapitre De l'enfant qui bande. 5 II. Chap. Du con soyeux. 8 III. Chap. De la mŤre foutue! 11 IV. Chap. D'un autre beau-frŤre cocu. 14 V. Chap. Du bon mari spartiate. 18 VI. Chap. De l'ťpouse qui se fait enculer. 20 VII. Chap. Du connin au poil follet. 25 VIII. Chap. Des conditions de mariage. 28 IX. Chap. Des dťdommagements. 31 X. Chap. De l'inf‚me mari. 33 XI. Chap. Pucelage destinť aux gros vits, pris par un petit. 39 XII. Chap. Du plus dťlicieux des incestes. 41 XIII. Chap. Du con et du cul vendus. 46 XIV. Chap. Le jeune homme, la fille, le moine. 51 XV. Chap. Du fouteur ŗ la Justine. 54 XVI. Chap. Foutoir. Petit magasin. Enserrement. Amour. 58 XVII. Chap. Du pucelage du cul. Le pŤre enconneur. 63 XVIII. Chap. Des avis paternels, tenant sa fille enconnťe. 67 XIX. Chap. Du pŤre juste, et du vit grisonnant. 70 XX. Chap. Du, Ah, comme elle fut foutue! 74 XXI. Chap. Du ressouvenir, et de l'ťpisode. 80 XXII. Chap. De la fouteuse mise en appťtit. 83 XXIII. Chap. De la tendresse filiale; et de l'amour paternel. 86 XXIV. Chap. Du chef-d'oeuvre de tendresse paternelle. 91 XXV. Chap. Du bon pŤre qui fait foutre sa fille. 93 XXVI. Chap. d'AVIS trŤs utile au lecteur, et ŗ l'auteur. 98 XXVII. Chap. Du commencement des grandes fouteries. 101 XXVIII. Chap. De l'enculo-connillerie. 106 XXIX. Chap. D'une nouvelle actrice. Danse nŤgre. 112 XXX. Chap. Le Piochť, la Piochťe, le Piochard. 116 XXXI. Chap. Suite des mÍmes, Piochette. 119 XXXII. Chap. Du connin goŻtť. 122 XXXIII. Chap. La fouteuse sensťe. 130 XXXIV. Histoire de l'homme-ŗ-queue. 134 XXXV. Chap. de la garce insatiable. 144 XXXVI. Chap. Des fouteries de la Conveloutť, etc. 174 XXXVII. Chap. Des six fouteurs pour trois foutues. 185 XXXVIII. Chap. Conclusion de l'histoire des trois foutues. 191 XXXIX. Chap. Du fauteuil. 207 Fin de la table de la 1re partie. EPILOGUE de la Ire PARTIE. J'ai longtemps hťsitť si je publierais cet ouvrage posthume du trop fameux avocat Linguet. Tout considťrť, le casement dťjŗ commencť, j'ai rťsolu de ne tirer que quelques exemplaires, pour mettre deux ou trois amis ťclairťs, et autant de femmes d'esprit, ŗ portťe de juger sainement de son effet, et s'il ne fera pas autant de mal que l'oeuvre infernale ŗ laquelle on veut le faire servir de contrepoison! Je ne suis pas assez dťpourvu de sens pour ne pas sentir que l'ANTI-JUSTINE est un poison: mais ce n'est pas lŗ ce dont il s'agit. Sera-ce le contrepoison de la fatale JUSTINE? Voilŗ ce que je veux consulter, ŗ des hommes, ŗ des femmes dťsintťressťs, qui jugeront de l'effet que le livre imprimť produira sur eux et sur elles. L'auteur a prťtendu ťloigner de la cruautť, de la soif du sang et de la mort de la femme possťdťes. A-t-il rťussi? Il a prťtendu ranimer les maris blasťs, pour les faire jouir de leurs femmes avec goŻt, ŗ l'aide de la lecture d'un demi-chapitre de son ouvrage. A-t-il atteint ce but? C'est ce qu'on dťcidera. On a vu, par la table seule, combien cet ouvrage est salace! mais il le fallait pour produire l'effet attendu. Jugez-le, mes amis, et craignez de m'induire en erreur! L'ANTI-JUSTINE aura VII ou VIII parties comme celle-ci. FIN de la 1re partie. L'ANTI-JUSTINE, OU LES DELICES DE L'AMOUR Par M. LINGUET, Av. au et en Parlem. Avec Figures. [Seconde Partie.] AU PALAIS-ROYAL Chez feue la Veuve GIROUARD, trŤs-connue. 1798 Je suis parvenu au second volume de cet ouvrage, destinť ŗ ranimer les maris blasťs, auxquels leurs femmes n'inspirent plus rien. Tel est le but des nequices de cette excellente production! que le nom de Linguet rendra immortelle. L'ANTI-JUSTINE. Chapitre XXXIX Du fauteuil. Le dimanche arrivť, il y eut un joli dÓner, qui fut servi dans mon magasin. J'y avais fait mettre, outre le lit et le vieux sofa, un 3me foutoir commode, que j'avais trouvť par hasard chez un serrurier de la rue de la Parcheminerie, qui l'avait achetť pour le fer et l'acier seulement, ŗ l'inventaire de certain duc. J'en fis l'histoire ŗ ma sociťtť: "Ce fauteuil, ou foutoir, se monte. Le serrurier le monta un jour, pour en voir le mťcanisme. Il allait s'y asseoir, au 1er. La jeune femme trŤs potelťe de son vieux voisin Aupetit, le perruquier, arriva. La jolie voisine, essoufflťe, se jeta sur le diable de fauteuil. AussitŰt elle fut saisie par les bras. Un ressort la troussa, et un autre lui ťcarta les cuisses. Un autre lui fit faire beau con; un troisiŤme la fit osciller. -- Eh! qu'est-ce donc que ce machin-lŗ? s'ťcriait-elle. -- Ma bonne foi si je le savais! rťpondit le serrurier; j'ai montť la machine pour la connaÓtre; mais je vois que c'est celle avec laquelle le duc de Fronsac essayait les filles rťcalcitrantes, que des parents maladroits lui avaient vendues. Si vous voulez, ma voisine, je vais vous essayer? -- Allons donc! Est-ce qu'on viole jamais une femme malgrť elle? Je mordrais... L'homme-de-forge se dťculotte; se met sur elle. La traquenardťe veut le mordre. Un ressort assez doux lui fait ouvrir la bouche, et, en l'angoissant un peu, la force ŗ darder sa langue. Le suppŰt de Vulcain profite de tout cela, et enfile la perruquiŤre, qui ne put l'empÍcher, ni mÍme crier... L'opťration faite, la machine se trouva au bout de ses rouleaux, et Mme Aupetit ne fut plus contenue. C'est alors qu'elle se mit ŗ pleurasser, ŗ criasser, comme si elle avait ťtť au dťsespoir. -- Grand'bÍte! (lui dit le Cyclope) je vous ai trop bien opťrťe pour que vous ne deveniez pas grosse; vous aurez un enfant, que votre vieux jean-foutre ne vous aurait jamais fait. Mais il faut un peu de ruse. DŤs aujourd'hui dites-lui que vous achevez une neuvaine ŗ Saint Julien, qu'il vous travaille Á'te nuit, et que le Saint bťnira ses travaux. Remuez du cul, quand il vous le mettra; dites-lui des foutaises, et, s'il dťchargeote un peu, p‚mez-vous, en disant qu'il vous inonde. Mme Aupetit s'en alla munie de ces instructions, qu'elle mit en pratique. Le fauteuil me fut prÍtť le lendemain. Le Cyclope, m'ayant vu passer, m'appela, me montra la machine, me la vanta, et me mit au fait de son usage. Elle me fut donnťe ŗ l'essai, et je la destinai aux bťgueules, s'il nous en venait ŗ nos orgies. Je remis ŗ monter la machine quand il serait ŗ-propos, afin de ne pas en ťventer le secret. Nous nous y assÓmes trois en dÓnant, Mme Poilsoyeux, une jolie chapeliŤre de la rue Bordet ou Bordel, amenťe par Traitdamour, et nommťe Tendrelys; j'ťtais au milieu. In petto je rťservais le fauteuil montť ŗ la jolie Tendrelys, encore pucelle, quoique Traitdamour lui eŻt quelquefois dťchargť entre cuisses; ou, si la chapeliŤre ťtait docile, ŗ Rosemauve, ou ŗ sa soeur Rosalbe la blonde, ou enfin ŗ notre hŰtesse Mme Brideconnin, que je voulais mettre de nos fÍtes, ainsi que son mari, voulant le faire cocu en sa prťsence... Nous dÓn‚mes bien, mais sans trop manger, ni trop boire. Nous avions d'ailleurs de la volaille, et toutes choses de facile digestion. On ne tardera pas ŗ voir comment j'exťcuterai tous mes projets. Chapitre XL Des cons rasťs. En sortant de table, Traitdamour nous dit: -- Toute la semaine, il m'a roulť dans la tÍte de rendre le connin de Mme Conquette-Ingťnue-Poilsoyeux ce qu'il doit Ítre; c'est-ŗ-dire, PUCEL; car je suis sŻr que depuis huit jours qu'elle n'a foutu, il s'est rťtrťci en diable!... Brisemote, Cordaboyau, vits implacables, troussez-moi Minone et Conette; il ne serait pas sťant qu'elles se troussassent elles-mÍmes. On les troussa jusqu'au-dessus du nombril. Pas un poil! -- Je les ai rasťes ce matin (dit Traitdamour), pour voir l'effet, avant de proposer la mÍme chose ŗ notre dťesse. Vous voyez comme elles sont propres! Tout le corps l'est de mÍme. Elles se sont baignťes tous les jours depuis qu'elles savent que la belle fouteuse met tous les jours son con dans l'onde limpide et y plonge entier son corps appťtissant. Elles m'ont assurť que, lorsqu'elles ťtaient en chaleur, l'eau fraÓche dans laquelle trempaient leurs cons brŻlants, leur donnait un plaisir presque fouteur... Mais voyez-moi ces cons-lŗ? Ne dirait-on pas des connins de fillettes de 12 ŗ 13 ans? On en convint. En consťquence, je priai ma fille de se laisser raser la motte. Elle se cacha le visage dans mon sein. Traitdamour aussitŰt la renversa sur un foutoir, le con au grand jour. -- C'est pourtant dommage! (dit-il en le maniotant); la perruque en est superbe!... Je vais d'abord employer les ciseaux. Nous mettrons ce poil soyeux sous verre dans un cadre dorť; ce seront de prťcieuses reliques. Il coupa. Ensuite il tira d'une jolie boÓte une savonnette parfumťe, et savonna longtemps le connin. Comme cette opťration excitait Conquette, elle me pria d'appuyer mes lŤvres sur sa bouche. Elle me dardota sa langue, pendant tout le temps qu'on fit la barbe ŗ son con, et lorsqu'il fut rasť, on le lui lava d'eau-rose; on lui sťcha les cuisses avec des linges doux, et Tendrelys mit le beau poil de la dťpouille sous le verre ŗ cadre. Puis le connin sans barbe fut livrť ŗ l'admiration de l'assemblťe. Tout le monde, surtout les filles, jusqu'ŗ la modeste Tendrelys, qui, disait-elle, n'ťtait venue que pour voir, et rougissait de tout, le trouvaient si appťtissant qu'elles demandŤrent ŗ le baiser, et qu'elles se jetŤrent dessus. La jolie chapeliŤre colla ses lŤvres vermeilles sur le con rasť, et sa langue alla dans la fente exciter la voluptť. Rosemauve, qui arrivait, vint sur elle comme une enragťe, la dťbusqua, et gamahucha si vivement la dťesse qu'elles ťmirent toutes deux. Les hommes eurent leur tour; ils sucŤrent le connŰt dťchargeant, et le firent dťcharger encore... Pour moi, j'admirais, les deux mains plongťes dans les tťtins de Tendrelys, qui les avait charmants, et n'osait se dťfendre. -- Ah! quelle partie! me dit-elle. -- Tu ne vois rien! lui rťpondit Minone. En effet, Traitdamour, ayant fait retirer les gamahucheurs du con de Conquette-Ingťnue, qu'ils ne quittaient pas, dit ŗ ses camarades: -- Imitez-moi! AussitŰt tous les vits en ťrection furent ŗ l'air. -- Allons! allons! au con! au con! Tendrelys baissait ses beaux yeux; mais Conquette, ťtendue sur le foutoir, la motte lťgŤrement branlťe par Rosemauve, soulevait la tÍte pour voir les vits. -- Laquelle enconnez-vous (me dit mon vigoureux secrťtaire), laquelle enconnez-vous de la voluptueuse Conquette, de moi, ou de la pucelle Tendrelys? J'hťsitais pour ma rťponse, lorsque tout ŗ coup j'entendis ma fille s'ťcrier faiblement: -- Le vit! le vit! Traitdamour se prťcipita sous elle, la prit sur son dos, me la prťsentant oscillante: -- Enconnez (me dit-il), la fouteuse fait beau con... J'enfonÁai. Je bandais si roide que je la fis crier en la perforant. Mais elle foutit aussitŰt, en me disant: -- Bon... (haussant le cul), bon!... Ah! que tu bandes bien!.... Fous... fou----fourgonne... Fou----fourrage, cher pap... je dťch----a----a---- (Traitdamour la secouait) arge... Je dťchargeais aussi. Son dťlicieux connin me pinÁait. La dťesse m'enivrait. Traitdamour la faisait osciller, comme le Corax de Pťtrone son maÓtre Eumolpe... Cependant Brisemote avait mis sur son dos Rosemauve nue, que foutait Cordaboyau sans chemise. Les 2 petites enragťes Minone et Conette, nues comme la main, venaient de mettre Tendrelys nue comme elles, et la tenaient entre elles, se frottant le con sur ses cuisses d'alb‚tre, en lui chatouillant l'une la motte, l'autre le trou du cul. Elles dťchargŤrent toutes trois avec les 2 foutues: "Grand Dieu! s'ťcria la jolie chapeliŤre, comme vous savez Ítre heureux"! Chapitre XLI Vit inattendu. En ce moment, l'on entendit frapper des mains ŗ la porte. (C'ťtait un signal que j'avais donnť.) J'avais dťconnť; j'allai ouvrir. C'ťtait le Cyclope. Il ne devait pas entrer; mais il me poussa un homme qui avait les yeux bandťs et les mains liťes derriŤre le dos. Il ťtait couvert d'un grand surtout de laine blanche, sous lequel il ťtait nu sans chemise. Je le pris par le corps; je le poussai vers le foutoir ŗ Fronsac, sur lequel Traitdamour jeta sa soeur; on le monta, et, dŤs que l'enfant fut prise, on fit tomber sur elle, en lui arrachant son couvre-tout, l'inconnu que je venais d'introduire. Quand il fut nu, son gros vit ťpouvanta tout le monde, et il se fit un Ah! universel. Conquette le reconnut, et p‚lit. (Observez que tous pouvaient parler, exceptť Conquette et moi.) Minone (la traquenardťe) fut la seule que ce vit, qui ne le cťdait qu'ŗ Foutamort, n'effraya pas. Elle le saisit courageusement, et lui mit la tÍte entre les lŤvres de son con, en lui disant: -- Pousse, bougre. Il estocada, comme un bťlier de siŤge. Mais il ne pťnťtrait pas. -- SoulŤve du cul, putain! lui dit le brutal; je suis trop haut. Minone souleva, le vit trouva l'ouverture; et, quoiqu'elle ne fŻt que la moitiť de qu'il lui fallait, il la forÁa. Minone souffrait le martyre. La sueur et les larmes sillonnaient ses joues. Enfin, le gros vit, parvenu au fond, injecta son baume de vie, et adoucit, en les onctuant, les parois dilacťrťes. Minone, qui venait de clamer de douleur, s'exclama de plaisir: -- Ahh! Ahh!... il m'inonde!... je fous... je dťcharge... je me p‚me! Et la jolie petite remuait du cul comme une garce, foutue par un moine au bordel. Nous ťtions d'abord tous stupťfaits d'admiration! Puis nous band‚mes tous comme des enragťs. Brisemote le mit en levrette ŗ Rosemauve; Cordaboyau enfila Conette par-devant; Traitdamour consulta mes yeux, en me dťsignant Conquette ou Tendrelys: je permis la premiŤre, ajoutant fort bas: -- Il fout ta soeur; fous-moi sa femme. -- C'est VitnŤgre! Et il se jeta comme un furieux sur l'ťpouse du jean-foutre, si brutalement enconnťe qu'elle en cria... Mais elle dťchargea presque aussitŰt; ce qui changea sa douleur en plaisir. -- Toute femme qui dťcharge comme Áa (balbutiait Traitdamour), en la fourgonnant, est bonne; il n'y a que celles qui ne dťchargent jamais, qui sont mťchantes. Cependant VitnŤgre refoutait, sans dťconner, et Minone redťchargeait; Rosemauve hennissait sous Brisemote; Conette sous Cordaboyau; Tendrelys, ťmue, appuyťe sur mon ťpaule, me prťsentait sa jolie bouche, et Conquette, martyrisťe par Traitdamour, pleurant, culetant, ťmettant, criotant de douleur et de voluptť, enviait encore les tourments de Minone. Son fouteur me cria: -- Sacredieu! pommadez donc... et dťpucelez-moi... cette garce de Tendrelys! L'aimable enfant me lanÁa un long regard, en se mettant la main devant le con, comme pour le dťfendre. Nous avions lŗ du beurre frais; j'onctuai le connin, renversai la vierge sur un foutoir, malgrť ses tendres priŤres, et mon vit pťnťtra. -- Au moins, me disait-elle, en le sentant entrer, vous ne me livrerez pas au bourreau de Minone, ni ŗ ces au...tres-lŗ!... -- Remue du cul, bougresse! (lui cria l'impitoyable Traitdamour) Est-ce comme Áa qu'on fout? Regarde ma belle, et ces... 3 autres... garces!... Tiens... putain... pucelle... nous dť...char...geons!... La pauvre petite, ŗ cette exhortation ťnergique, gigota sous moi comme elle put. Je pťnťtrais doucement; je caressais, dardotant la langue, disotant des tendresses... -- Vous la menez trop bellement (s'ťcria Traitdamour), fourragez comme moi, ou comme ce cocu, que voilŗ sur le fauteuil!... Tenez! il mord les tťtons qu'il ne saurait patiner!... Ne va pas lui faire trop de mal, bougre! c'est... ma soeur, et... je t'assommerais... Je dť...charge... -- Ah! qu'il me dťvore (s'ťcria Minone); pourvu qu'il... me foute!... Je dťcha...arge... -- Je fous!... je dťcha...arge! s'ťcria Rosemauve. -- Je dťcharge!... cria Conette. -- Ahhahah! fit Conquette... Pour Tendrelys, dont j'atteignais le fond du connin, elle dit: -- Ze suis dťpucelťe! ze dťÁarze!... Que dira maman? -- Elle ne le verra pas, jolie fouteuse. Le vit de mon maÓtre conserve les pucelages (cria Traitdamour). En ce moment, VitnŤgre dťconna Minone trop fatiguťe. On lui pommada Rosemauve, que Brisemote dťconnait (car les tourments de la courageuse Minone avaient ťpouvantť toutes nos belles. Le vit de mulet l'enconna plus vite; mais elle n'en souffrit pas moins: Elle pleura, sanglota, et enfin... dťchargea.... Elle fut ramonťe 3 fois sans dťconner. Minone l'avait ťtť quatre. C'ťtait le tour de Conette. Elle fut pommadťe avec plus de soin que Rosemauve; et cependant elle jeta les hauts cris. Si elle n'avait pas ťtť sur le Fronsac, elle aurait dťsarÁonnť son bourreau... Elle dťchargea enfin, et les plaisirs succťdŤrent. Mais on ne s'attendait pas ŗ l'effet qu'ils produisirent! C'est que Mme Poilsoyeux eut envie du gros vit de son mari. Elle demanda tout bas et voulait qu'on la mÓt sur le Fronsac, au moment oý VitnŤgre dťconna la Conette, quoique celle-ci eŻt le con aussi barbouillť de sang que de foutre. Mais Traitdamour, la happant, la renversant et l'enconnant, lui dit tout bas: -- Garce! je suis jaloux de toi pour mon maÓtre et pour moi; je t'ťtranglerais plutŰt que de te laisser foutre par ton cocu de mari en ma prťsence. -- Pardon! Vit divin! leurs douleurs m'ont tentťe! Fourgonne-moi, ŗ m'en Űter l'envie! Car je ne compte plus que sur toi; voilŗ M. Linguet qui donne son fou...outre... je dťcha...arge... ŗ la... sacrťe ma...‚tine... de Tendrelys... -- Ah! reine des putains, tu es jalouse! Tiens, tiens, voilŗ des coups de vit dans ton connin-dieu... Ahh!... Ahh!... ze redťza...arze! murmura-t-elle... Cependant, que faisait VitnŤgre? Il prenait du repos et quelques liqueurs brŻlantes, tout en patinant les tťtons de ses 3 foutues, qui le branlaient pour s'amuser. Tout ŗ coup Mlle Linguet dit ŗ son foutant: "Mais ce bougre est un autre Guae! il faut qu'il me restaure! Qu'on lui lave bien le vit ŗ l'eau-rose; je veux le tťter, comme faisait Mme Guae le gros vit de son mari! Nous ne pouvions nous refuser ŗ une proposition aussi raisonnable. On lava le vit monstrueux; deux des trois garces soutinrent VitnŤgre de chaque cŰtť, en lui livrant leurs tťtons; Rosemauve lui chatouilla les couilles et le trou du cul; Traitdamour se coucha par terre sur le dos sous ma fille ŗ genoux qu'il enconna; Mlle Linguet baisa 5 ŗ 6 fois le gros vit, tout en ripostant aux saccades de son fouteur. PrÍte ŗ dťcharger, elle emboucha, faisant aller et venir l'ťnorme vit du bord de ses lŤvres de corail, au fond de son gosier satinť. En dťchargeant, elle mordit... Telle la voluptueuse femelle du serpent gťant ťcrase dans sa gueule la tÍte de son m‚le trop amoureux... VitnŤgre, mordu, se rťcria de voluptť! Il ťmit un torrent, quoiqu'il eŻt dťjŗ foutu 9 coups, et Mlle Linguet fut inondťe de foutre au mÍme instant dans la bouche et dans le con... Elle voulut tťter 3 fois VitnŤgre, que les 3 garces qui le chatouillaient, secouaient tellement qu'il rebandait aussitŰt. D'ailleurs, il s'ťcriait ŗ tout moment: -- Ma Femme n'est pas morte! c'est elle que j'embouche; je le sens au veloutť de son palais!... Et cette idťe le faisait dťcharger ŗ flots... Mlle Linguet fut obligťe de cesser ce jeu, dans lequel on voulait faire expirer VitnŤgre; mais Mlle Conquette-Linguet avait sucť le double vit avec tant de fureur qu'elle avait la bouche tout en feu... On obligea VitnŤgre d'enculer ses 3 foutues; ce qui lui fit 15 copieuses dťcharges, parce que les belles de relais lui manipulaient impitoyablement les couilles... Les excessives douleurs de l'enculage n'en effrayŤrent aucune; au contraire, les tourments de la patiente excitaient leur passion, et elles la pinÁaient pour la forcer ŗ s'agiter, et ŗ faciliter ainsi l'intromission du gros vit dans son cul. VitnŤgre n'en pouvait plus. Ce fut prťcisťment ce qui excita Mlle Linguet. Elle exigea de nous qu'il dťcharge‚t une 16Ťme fois, et que ce fŻt dans son cul, ŗ elle! Traitdamour se vit obligť de cťder. On manipula VitnŤgre, on lui chatouilla les couilles; on l'assura qu'il allait enculer Mlle Linguet sa femme. A ce nom, il ťrectionna. On lui fit sucer les tťtons de Rosemauve, comme ceux de Conquette. Il banda roide. AussitŰt on coucha l'enculande sur le ventre; on lui beurra la rosette, puis le rectum avec une grosse canule; Tendrelys prit dťlicatement le gros vit avec ses doigts de rose pour le diriger dans l'anus, tandis que Minone et Conette ťcartaient chacune une fesse. Rosemauve, prÍte ŗ manipuler les couilles, frayait avec son doigt beurrť l'entrťe du vit-monstre dans le cul de la patiente... Enfin, il pťnťtra, en dťchirant... Mme VitnŤgre poussait des cris sourds, que son mari crut reconnaÓtre. Ce qui lui fit redoubler ses estocades. Alors l'enculťe jeta un cri... qui logea le monstre tout entier dans son gros boyau... VitnŤgre, ne doutant presque plus, y fourgonnait avec rage... Il ne dťcula pas aprŤs avoir dťchargť; Rosemauve lui chatouillait les couilles, l'anus, et s'appuyant du con sur son cul, foutait avec lui, en poussant ŗ chaque fois... VitnŤgre dťchargea 3 ondťes de foutre dans les boyaux de sa femme; ce qui faisait 18 pour la sťance. Il tomba en faiblesse ŗ la derniŤre... On le tira du cul de Mlle Linguet, qui alla se le mettre dans l'eau fraÓche, pour se le raffermir. On jeta VitnŤgre dans une auge d'eau de puits qui ťtait dans la cour, pour lui faire reprendre ses sens. Le Cyclope parut. On porta VitnŤgre dans son fiacre. Il le remena. -- Sais-tu qui j'ai foutu (lui disait-il en route) dans ton sacrť Fronsac?... Ah! comme elle fout!... Elle a bien appris, depuis qu'elle m'a quittť!... Je l'ai foutue 16 fois, tant en con, qu'en bouche et en cul... Le serrurier, aprŤs avoir remis VitnŤgre ŗ sa filleule, s'ťvada. VitnŤgre rencontra le serrurier quelques mois aprŤs. -- Veux-tu m'y remener? lui dit-il. -- C'est l'impossible, rťpondit le Cyclope; tout est disparu. -- Ah! la garce! si je la retenais, je passerais le reste de ma vie dans son cul et dans son con. Ainsi finit cette aventure. Chapitre XLII La jalousie de deux connins. Nous restions tous sept ťmerveillťs des 16 enconnades-embouchades-enculades de VitnŤgre! quand Traitdamour, regardant la jolie chapeliŤre, nue comme toutes les autres, lui dit: -- Te voilŗ dťpucelťe, mignonne, et mon divin maÓtre a cueilli ta rose! C'est un grand honneur et bonheur ŗ toi et ŗ moi! Je te regarde ŗ prťsent comme les dťvots regardent leur Vierge Marie, qui, foutue par l'ange Gabriel, puis par le Saint-Esprit, dont elle fut la putain, n'en ťtait que plus vierge. Te voilŗ consacrťe au vit de mon maÓtre; conserve-lui religieusement ton connin, ou ne le prÍte qu'avec sa permission... A prťsent, cťleste mignonne, votre jolie motte va Ítre savonnťe et rasťe! Tendrelys objecta sa mŤre, qui toutes les nuits lui visitait le con pour voir si l'on ne touchait pas ŗ son pucelage, dťjŗ vendu, et qu'on devait bientŰt livrer. -- Je m'en fous, dťesse, rťpondit Traitdamour, en me voyant monter le Fronsac; on lui dira tout. Et il la poussa sur le fauteuil, qui l'ťtreignit. Il la savonna, et prťpara son rasoir. En ce moment, arriva Mlle Conquette-Ingťnue-Linguet, qui venait de se laver le cul ŗ l'eau de puits, pour se le raffermir. -- On va donc aussi raser le con de mademoiselle? (dit-elle avec un peu d'humeur) -- Ah! ma belle dťesse! empÍchez-en, ŗ cause de maman, qui ne saura ce que Áa veut dire! s'ťcria Tendrelys suppliante, en lui baisant une main, qu'elle ťtait parvenue ŗ saisir. -- Non, mademoiselle, je ne m'y opposerai pas! Votre con rasť laissera mieux voir ŗ votre maman que mon infidŤle vous a dťflorťe... Nous verrons aussi, aprŤs qu'on lui aura enlevť cette charmante perruque, si votre bijou, mademoiselle, l'emporte sur le mien, tout fatiguť qu'il est! -- Ah! mon adorable amie! il n'est pas besoin de cela. Rien ne vous ťgaler. -- Allons, monsieur, rasez donc! Et je crois bien qu'aprŤs, mon infidŤle amant qui a dťpucelť cette jolie conque vous permettra bien de vous y loger! Traitdamour, tout en coupant la belle Toison-d'Or, reprťsentait ŗ Conquette-Ingťnue que tous les pucelages m'ťtaient dťvolus, et que j'ťtais obligť en conscience de les prendre, sous peine de mortifier la nťophyte. Conquette ne savait que rťpondre; mais elle bouda. Je m'approchai d'elle, et, comme elle ťtait nue, je lui baisai les tťtons, et lui mit mon vit en main. -- Vous aimeriez mieux qu'il fŻt entre les jolis doigts de Tendrelys! -- Non. Personne ne me fait bander comme vous; mais, aprŤs vous, Tendrelys. On lui rase la motte; il le faut bien, pour comparer vos cons cťlestes, abstraction faite de la fatigue du vŰtre. On les gamahuchera d'abord. Ensuite je verrai auquel des deux mon vit-sultan donnera le mouchoir. Le mieux rempucelť l'obtiendra. Mlle Conquette fit une petite grimace de jolie femme sŻre d'elle-mÍme, et se tŻt. Le rasemotte acheva. Le connin de Tendrelys fut lavť ŗ l'eau-rose; Mlle Linguet fit rafraÓchir le sien, et les deux cons furent comparťs... Ils furent dťsintťressťment trouvťs ťgaux. Ce qui ťtait bien donner la supťrioritť au connin de la belle Conquette, dťjŗ tant foutue... Ce fut l'avis gťnťral. Rosemauve, Minone vinrent se comparer. Mais leurs cons ťtaient loin d'avoir cette physionomie virginale de ceux de ma fille et de Tendrelys. -- Vos cons sont aimables (leur dit Traitdamour), cent fois au-dessus des connasses de putains; mais ils ne peuvent se comparer ŗ ces deux connins de houris. Conquette se pavana. Mais, gťnťreuse comme elle l'ťtait, elle prit vite son parti. -- Puisque nos cons sont ťgaux, me dit-elle, en baisant Tendrelys sur la bouche, lui patinant le con, redťpucelez-la, et que votre lieutenant me refoute, s'il en a la force. Elle n'avait pas achevť la derniŤre syllabe, qu'elle ťtait enconnťe. -- Fous-la! me cria-t-elle, fous la garce! J'enfilai la jolie nymphe... Mais, prÍte ŗ dťcharger, Mlle Conquette-Ingťnue entra en fureur ťrotique (et je compris par lŗ comment les hťros de Dsds, sur le point d'ťmettre, deviennent cruels); l'enconnťe s'ťcriait: -- Foutez-moi tous cette putain de Tendrelys!... Brisemote! ne fais qu'un trou de son cul et de son con!... Elle dťchargea; et, un peu calmťe, elle se mit ŗ dire: -- Pardon! pardon, ma petite soeur!... c'est le foutre... qui me portait ŗ la tÍte, et me rendait cruelle!... Qu'on lui conserve son joli con... toujours pucel... pour les plaisirs de mon... papa-fouteur... c'est bien assez.. du mien qui est... martyrisť!... Allons pousse... fous... ne me mťnage plus! (dit-elle ŗ son bourreau)... Et elle se mit ŗ coupdeculer plus fort que jamais. Ce qui fit re-enconner Rosemauve et Conette, dont les culs ťtaient moins malades que celui de Minone: Cette bonne soeur de Traitdamour vint me chatouiller les couilles, et j'ťmis. Chapitre XLIII Minone et Conette jadis dťpucelťes. Vieille. Cette scŤne achevťe, il y eut du repos. Nous avions lťgŤrement dÓnť, exprŤs pour faire collation. Nous mange‚mes des fraises au vin muscat, avec des pains mollets du Pont-Michel. Puis nous prÓmes d'excellent cafť, fait par Traitdamour, et nous goŻt‚mes aux liqueurs. Ensuite, nous jas‚mes... -- Mon ami (me dit Conquette-Ingťnue, en montrant Minone et Conette), vous avez eu ces deux jolies compagnes, ainsi que Rosemauve, et vous venez de dťpuceler Tendrelys sous nos yeux: Faites-nous le rťcit de votre premiŤre fois, et dites-nous comment vous les avez sťduites? -- Ah! oui, oui! s'ťcriŤrent Tendrelys, Rosemauve, et tout le monde. -- Je ferai ce rťcit trŤs volontiers; mais ŗ condition qu'on ira chercher Mme Brideconnin notre hŰtesse, pour qu'elle y assiste: Nous commencerons ŗ l'apprivoiser par lŗ! Mes trois sacripants, pour qui elle ťtait un morceau nouveau, ne demandŤrent pas mieux. Ils l'enlevŤrent ŗ son mari, qui, en ce moment, lui tenait les tťtons; sans mÍme daigner lui rťpondre, l'assirent ŗ cru sur les mains jointes de deux, tandis que le 3Ťme la soutenait par-derriŤre, et l'apportŤrent ainsi moitiť troussťe et dťtťtonnťe. On la posa sur le Fronsac, et, si je n'en avais empÍchť, on lui faisait une histoire, au lieu d'ťcouter la mienne. Lorsque tout fut tranquille, je commenÁai: Je m'ťtais mis en pension chez la belle-mŤre de Traitdamour, blanchisseuse, rue d'Ablon, pendant que ma femme courait la province avec un galant; le mÍme qui la foutait avec tant de passion qu'il se mettait dans sa chemise pour la palper et l'enconner mieux. Traitdamour m'apportait ŗ dÓner les jours ouvrables; mais j'allais dÓner ŗ la maison de la bonne mŤre Wallon les dimanches et fÍtes. Un jour que nous y allions ensemble, il me pria de montrer ŗ ťcrire ŗ sa petite soeur! Je le voulus bien. En montrant ŗ Minone, j'avais souvent sous les yeux ses tťtons naissants, blancs comme lys... [Faites entrer mon mari; je suis bien aise qu'il ait sa part de cette histoire-lŗ! interrompit la Brideconnin. AussitŰt Traitdamour, sur un signe de mes yeux, l'alla chercher; tandis que, sur un autre signe, Brisemote et Cordaboyau prirent l'un la motte, l'autre les tťtons de la dame. Elle ťtait ainsi rayonnante, entre deux m‚les, quand son mari parut. Brideconnin fut d'abord ťbaubi; puis il n'en fit ni un ni deux, il alla s'emparer du con de Rosemauve, et des tťtons de Conette; Traitdamour prit le con et les tťtons de sa soeur. Quant ŗ moi, je fis asseoir Conquette et Tendrelys l'une sur l'autre entre mes jambes, laissant de temps en temps tomber mes mains sur la gorge de ma fille, ou de sa jolie rivale... Je repris:] Je dis ŗ Traitdamour, en particulier: -- Il ne faut plus que je montre ŗ la petite; elle me fait trop bander, et je la foutrais au premier jour. -- Ah! mon cher maÓtre! quel bonheur pour elle et pour moi, si vous la dťpuceliez! La pauvre orpheline! elle n'a aucun plaisir! (c'est que leur mŤre ťtait morte, et que le pŤre, remariť ŗ une bonne amie de feu son ťpouse, ŗ l'instante priŤre de celle-ci, avait mourant lui-mÍme, laissť pour belle-mŤre aux deux orphelins la bonne amie de leur tendre mŤre) Je rťpondis que cela ťtait bien difficile!... que la petite soeur parlerait. -- Non, je vous en rťponds. Minone a dťjŗ des dťsirs pour vous. Elle m'a dit qu'elle aimait bien quand vous lui touchiez la chose par-dessus la jupe. Ce discours m'enhardit. Un dimanche que j'ťtais seul avec Minone, ŗ la faire ťcrire, je ne pus rťsister ŗ l'envie de lui baiser sa jolie bouche; puis un tťtin; et de lŗ ma main descendit rapidement ŗ son connichon sans poil. J'ťprouvai une ťrection terrible! Mon vit me gÍnait. Je me dťboutonnai. Il s'ťlanÁa au dehors. -- Qu'est-ce que c'est que Áa? me dit la petite. -- Un vit, mon enfant. -- A quoi cela sert-il? -- A mettre dans un con. -- Mais j'ai un connin, ŗ ce que dit mon frŤre, et ma belle-mŤre a une connasse. Depuis qu'il est grand, et qu'il a ce qu'il nomme du foutre, il met son engin dans la connasse de ma belle-mŤre, que Áa fait trťmousser et crioter... Il a voulu me le fourrer, ŗ moi: mais j'ai le connin trop ťtroit, ou il a l'engin trop gros: jamais il n'a pu... Ma belle-mŤre l'a surpris, et elle l'a bien grondť! Il lui a dit: 'Allons, foutez-nous la paix; venez que je vous enconne, vieille truande: car je ne saurais m'en passer, en ce moment.' Et elle s'est aussitŰt renversťe sur son lit, en se troussant; il l'a, ce qu'il appelle foutue... Oh! comme elle gigotait! comme elle jurait des b. et des f.! comme elle ťtait contente!... Et il me disait: 'Vois, Minone, comme c'est bon! Comme la vieille garce se dťmŤne, en supant le b‚ton de sucre d'orge... Montre-moi ton petit connin, que je dťcharge ŗ ton intention....' Ce rťcit de Minone acheva de me faire bander outre mesure. Je demandai ŗ la petite, s'il y avait du beurre ŗ la maison? Elle m'en donna. J'allais la beurrer, quand la belle-mŤre, bonne femme au possible, rentra, ayant oubliť son ťventail. Elle vit mon trouble, et la rougeur de la petite. Elle me dit: -- Gage que vous allez la tourmenter?... «a n'est pas mŻre. Venez. La vieille m'entraÓna sur le pied de son lit, se troussa, me tira sur elle, et m'engloutit, malgrť ma dťfense... Pour sauver le pucelage de sa belle-fille, elle me retint une heure ŗ connailler. Je ne dťchargeai cependant qu'une fois, contre la vieille une dizaine; car je m'aperÁus qu'elle m'aimait. Ensuite elle s'en alla, sans laver, en disant: -- J'en marche mieux, la charniŤre graissťe. DŤs qu'elle fut partie, je fis mettre Minone, qui avait tout vu, ŗ la fenÍtre; je la troussai au-dessus des reins; je lui beurrai le connin, et je rebandai roide. Je dis ŗ la petite, en la commenÁant, de se cambrer la taille, pour mettre son petit trou bien ŗ la portťe du vit qui l'allait percer! Elle le prťsenta de son mieux. Avec des peines infinies, ŗ l'aide des douloureuses oscillations de son joli cul, et parce que la dťcharge ťtait retardťe par le dťgoŻt que m'avait causť le con gris de la vieille, je parvins en levrette jusque au fond; car je sentis sa cťleste petite matrice me pincer... L'enfant s'agitait par mes ordres, mais sans dťcharger. Son frŤre arriva dans ce moment. Il fut transportť de joie... -- Ah! vous la dťpucelez! quel honneur et quel bonheur, pour elle et pour moi!... Dťcharge-t-elle?... As-tu du plaisir, ma petite soeur? -- Elle ne dťcharge pas (rťpondis-je), la chŤre mignonne; elle souffre; mais c'est avec un courage!... Vois ce tortillonnement de croupion... Traitdamour, touchť, glissa une main sous le ventre de la petite, et lui chatouilla le haut de la fente de sa mottinette imberbe... Les yeux de l'enfant se vitrŤrent; elle se roidit, et, tournant sa jolie bouche de mon cŰtť, elle me darda sa petite langue, dťchargea pour la premiŤre fois, et se p‚ma... Je dťchargeai comme elle; je n'avais jamais eu tant de plaisir... Quand j'eus dťconnť, son frŤre me demanda, si j'en ťtais jaloux? -- Oui, de tout autre que de toi -- Eh bien, votre foutre va servir de pommade ŗ son joli connichet. Cependant Minone voulut pisser. Son frŤre la renversa sur le dos, au pied du lit, et l'enconna vigoureusement, malgrť la grosseur de son membre. La petite cria. -- Remue du cul, et dťcharge avec dťlices, pauvre orpheline, lui disait-il, en la saccadant; tu es enconnťe avec amour. La petite dťchargea 3 fois; mais elle n'en pouvait plus... Il me lava, et je la re-enconnai... J'eus encore plus de plaisir, parce que la petite avait acquis de l'usage et que le gros vit de son frŤre avait frayť la route... Depuis ce jour-lŗ, nous foutÓmes Minone tous les dimanches et fÍtes. La belle-mŤre s'en aperÁut pour moi; mais elle ne dit mot. Enfin un jour Traitdamour me demanda, si je voudrais aussi montrer ŗ ťcrire ŗ Conette, sa maÓtresse pour le mariage, depuis que la mŤre de Tendrelys, qui craignait un dťpucellement, lui avait absolument Űtť toute espťrance. -- Soit (lui rťpondis-je). Je montrai donc ŗ Conette. Au bout de deux mois, cette jeune fille ťtant un jour ŗ la fenÍtre, fort penchťe en-dehors, et montrant une jambe fine, que mes yeux dťvoraient, Minone, qui prenait son exemple d'ťcriture, le remarqua. Je lui tenais les tťtins, et la priais de me prendre les couilles. Elle me quitte; va vers ConnŤte; lui dit tout bas: -- Laisse-toi faire... la trousse; me mŤne sur elle; lui beurre le con et ŗ moi le vit; lui dit: -- Cambre-toi, ma fille... Et ŗ moi: -- Enfilez juste; vous voilŗ dedans... Conette se cambra, et suivit toutes les indications de son amie. De sorte que, quoique la pucelle fŻt trŤs ťtroite, je pťnťtrais. Traitdamour arriva. Il nous fit Űter de la fenÍtre; se coucha sur le ventre au pied du lit; fit ťtendre sa maÓtresse sur son dos, cul sur cul. Il me dit d'enconner, le vit dirigť par la main de sa soeur; et, ŗ chaque saccade que je donnais, il me repoussait d'un coup de son cul le con de sa maÓtresse, ŗ me faire avancer d'un pouce. Conette ťprouvait des souffrances inouÔes... Mais, ťtant parvenu au fond, par un violent coup de croupion de Traitdamour, qui ne donna plus que de petits coups de trot de cheval, Conette clignota de l'oeil, et bientŰt ťmit avec d'ineffables dťlices... Je croyais que Traitdamour allait se jeter sur elle et l'enconner tout chaud! -- Non (me dit-il); c'est ma future; si j'avais le bonheur qu'elle me fÓt un petit de vous, cela ennoblirait ma race. Et il foutit sa soeur, pendant que je refoutais sa maÓtresse. Aussi depuis ai-je partagť avec lui ce que j'avais de plus prťcieux. Chapitre XLIV Du bouquet de fouterie. -- Il le mťrite! Il le mťrite! (s'ťcriŤrent tous les hommes, et surtout Brideconnin, qui patinait ŗ deux mains le con de Rosemauve, tandis que Brisemote et Cordaboyau maniaient l'un le con, l'autre les tťtons de sa femme...) Mon rťcit faisait bander tous mes drŰles comme des carmes, malgrť les fatigues de la journťe. Les belles, mÍme celles ťconnťes par VitnŤgre, ťtaient en rut. -- Comme vous avez su les rendre aimables! (me dit Conquette, en me dardant sa langue). -- Ah oui! (ajouta Tendrelys, en me baisant de mÍme).... En cet instant, Mme Brideconnin ťtait tiraillťe par Brisemote et Cordaboyau, qui tous deux la voulaient enfiler ŗ la fois. -- Je n'ai qu'un chose, mes chers amis! si j'en avais deux, ils seraient bien ŗ votre service; mais l'un aprŤs l'autre... Elle fut empalťe par tous deux, Cordaboyau en con, Brisemote en cul. Brideconnin s'ťcrie: -- On enconne, on encule ma femme! Moi, je fous celle-ci. Et il renverse Rosemauve, qu'il empale. Traitdamour, le plus furieux des ribauds, saisit Conquette. Je crus qu'il l'allait enconner. Point! Il se coucha sur le dos, la tira sur son vit, tenue par-dessous les bras par Conette et Minone; elle se baissait avec lenteur sur le vit bandant dirigť par la main de Tendrelys, Conquette s'enculant ainsi elle-mÍme par le seul poids de son beau corps. Lorsque le gros vit fut enfoncť jusqu'ŗ la garde, Traitdamour me dit: -- Allons! le plus beau des cons vous appelle.... Je me prťcipitai dans le bijou de ma fille, la jolie Tendrelys me dirigeant le vit. Mme Brideconnin, putain comme personne, puisqu'ŗ cet instant, on lui bourrait les 2 trous, fit 3 signes de croix. On lui demanda ce qu'elle avait: -- On me fout devant mon mari; mais je suis sur le fauteuil ŗ ressort, qui m'empÍche de me dťfendre. Mon mari, voyant que je le fais cocu, me fait cocuette; c'est dans l'ordre. Mais notre maÓtre, fout... enconne sa fille enculťe! -- Sa fille?... sa fille!... (s'ťcria-t-on 5 fois). -- Oui, sa fille (balbutia Rosemauve, qui dťchargeait sous Brideconnin). AprŤs?... -- Ah! dirent les 4 fouteurs et les 4 fouteuses, ceci nous met en rage de vit.... en rage de con... et nous foutrons jusqu'ŗ extinction de forces. Et les enconneurs, les enconnťes; les enculeurs, les enculťes, s'agitaient ŗ qui mieux, dessus, dessous, comme des diables et des diablesses dans un bťnitier. Tendrelys me chatouillait les couilles et celles de Traitdamour; Minone celles de Brisemote et de Cordaboyau; Conette celles de Brideconnin, et fourrait son index dans le trou du cul de Rosemauve. Le fouteur, qui n'ťtait pas accoutumť ŗ ce raffinement, se rťcriait de voluptť: -- Ah que vous foutez bien ici! (disait-il en dťchargeant). On ne fait que connailler ailleurs. -- Oh! vous avez bien raison, mon mari! (lui rťpondit sa femme en dťchargeant aussi), oncques je ne fus ramonťe comme je le suis en ce moment, par les deux vits qui vous plantent chacun une corne; l'un dans mon con, l'autre dans mon cul. Conquette, remarquant que j'allais mieux lorsque Tendrelys me chatouillait les couilles, l'en remercia tendrement: -- ChŤre amie!... ma main en fera... autant ŗ ton fouteur... quand tu seras enconnťe... Et vous, ma chŤre hŰtesse, vous Ítes donc bien foutue!... Ce joli mot, foutue, avait tant de gr‚ces dans la belle bouche de Conquette que je l'allais refourgonner, si Traitdamour, qui la dťculait et qui allait laver, ne m'avait pas priť instamment de la lui laisser enconner... Mais j'ťtais trop ťmu pour rester spectateur; j'ordonnai ŗ Tendrelys de me faire beau con! Minone et Conette la renversŤrent sur le dos et lui ťcartŤrent les cuisses. Ma fille, avant d'Ítre enconnťe par son fouteur, voulut insťrer mon vit; elle baisa la patiente sur la bouche, en lui disant: -- Tendrelys! remue du cul, et donne bien du plaisir ŗ mon pŤre! Et, comme elle avait remarquť que le mot foutue m'avait fait beaucoup d'impression, dans sa bouche, elle s'ťcria, tout en secondant son enconneur: -- Fou...ou... outre!... Sacrť vit!... perce-moi... dťchire-moi le connot!... mon pŤre! poignarde... estropie ta Tendrelys!... ze dťcha... arge!... -- Ah! cette femme si modeste, s'ťcria la Brideconnin, comme elle fout!... Ce fut le bouquet. On alla souper. Chapitre XLV Souper d'adieux; gr‚ces que dit Mme VitnŤgre. On soupa. Les tťtons ťtaient couverts; les propos furent dťcents..... -- Mais, me dit Minone, on dit que vous avez eu 8 jolies femmes connues, et on les nomme! -- Oh! interrompit Conquette, ne faites plus lire de ces histoires-lŗ. La journťe de voluptť est finie, et nous sommes ŗ prťsent des personnes ordinaires. -- Il faut donc les remettre, rťpondit Traitdamour, pour une interruption de sťance. Comme on se disposait ŗ sortir, et qu'il n'y avait plus de danger de nous faire bandocher, on me pria d'exiger que nos 6 cons et nos 12 tťtons fussent mis ŗ l'air, et baisťs ŗ discrťtion pour les adieux! J'y consentis. AussitŰt Conquette, Tendrelys, Rosemauve, Minone, Conette et la Brideconnin, furent dťfichutťes, troussťes et renversťes sur les foutoirs par les 4 derniŤres, qui se dťfichutŤrent, se troussŤrent et se renversŤrent elles-mÍmes. On leur lťcha le con; les 5 hommes sucŤrent les 12 tťtons. Les belles prirent, dťcalottŤrent et baisŤrent les 5 vits, embouchŤrent seulement le mien, en disant: -- Vit incomparable... adieu... pour huit jours... On allait sortir, quand on vit la belle ťpouse de VitnŤgre se prosterner toute dťtťtonnťe, en s'ťcriant: -- Sainte et jolie Vierge Marie; que PanthŤre branlait, gamahuchait, enculait, entťtonnait, embouchait, et qu'il enconna enfin, une nuit, ŗ cŰtť du cornard endormi, le bon Saint Joseph; duquel cocufiage provint le doux Jťsus, ce bon fouteur de la putain publique, la belle Madeleine, marquise de Bťthanie, dont le vagabond Jťsus ťtait en outre le souteneur, autrement le maquereau, lequel, au grand regret de la sainte garce, enculait encore Saint Jean, son giton. Sainte et jolie Marie, vierge comme moi, nous vous remercions de cette heureuse journťe de fouterie. Faites-nous la gr‚ce, par les mťrites de votre fils, d'en avoir une pareille dimanche prochain!... Et vous, Sainte Madeleine, que foutait l'abbť Jťsus, ainsi que Jean l'enculť, obtenez-moi la gr‚ce de foutre autant que vous, soit en con, soit en cul, 15 ou 20 fois par jour, sans Ítre ťpuisťe, mais toujours dťchargeant... Vous foutiez avec des Pharisiens, avec Hťrode, et mÍme avec Ponce-Pilate, pour avoir de quoi nourrir le gourgandin Jťsus, votre greluchon, et les vagabonds qui lui servaient de Chouans. Obtenez-moi de votre maquereau Jťsus, qui, ťtant dieu, a sans doute quelque pouvoir, d'avoir, sous peu, ce riche entreteneur, qui est un jour descendu de carrosse bandant ŗ mon intention, comme je revenais de chez mon amie Mme CongrÍlť; ŗ celle fin qu'au moyen de l'argent que je gagnerai, ŗ votre imitation, avec mon con, mon cul, mes tťtons et ma langue dardťe, je puisse soulager mon digne pŤre dans sa vieillesse; non seulement en foutant avec lui, pour lui donner le plaisir, mais en me laissant vendre, comme la pieuse fille d'Eresictton le famťlique, ou la pieuse Ocyrhoť, fille du centaure Chiron, qui toutes deux devinrent cavales, c'est-ŗ-dire montures d'hommes ou saintes putains!... ModŤle des maquereaux, doux Jťsus! fouteur acharnť, greluchon complaisant de la brŻlante et exemplaire putain Madeleine, qui ťtait si amoureuse de votre vit divin et de vos sacrťes couilles, maintenez, par votre toute puissance, mon connin toujours ťtroit et satinť, mes tťtons toujours fermes, ma peau, mon cul, mes fesses, mes bras, mes mains, mon cou, mes ťpaules, mon dos ou mes arriŤre-tťtons, toujours blancs, mes reins toujours ťlastiques; les vits de mes amants, celui de mon pŤre compris, toujours roides, leurs couilles toujours pleines; car vous teniez en cela du saint roi David, si fort suivant le coeur de Dieu, parce qu'il ťtait le premier fouteur de son temps!... Faites, Ű Jťsus! que mes hauts talons, qui me prÍtent tant de gr‚ces, et font bander tant de monde, ne me donnent jamais de cors aux pieds, mais que ces pieds tentatifs restent toujours foutatifs, comme ils le sont!... Amen! -- Amen! s'ťcria toute la sociťtť, vits et cons. Tout le monde sortit ťdifiť de la piťtť ťclairťe de ma fille, et, en s'en allant, on disait: -- Voilŗ ce qui s'appelle connaÓtre la vraie religion, et prier Dieu comme il convient, en lui demandant des choses raisonnables! Oh! c'est une fille exemplaire! Chapitre XLVI PremiŤre nťgociation du con de ma fille. Le surlendemain, quand je vis Conquette (que j'avais ťvitťe le lundi), je la trouvai coiffťe en battant-l'oeil; ce qui, avec ses grands yeux ŗ longs cils, la rendait charmante... Elle avait des souliers de coutil de soie neufs, qu'elle essayait. Je me jetai ŗ ses genoux, en lui disant: -- Conquette, ton pied est le mieux fait possible, mais il est un peu grand, et ce soulier bien pointu, ces talons minces, trŤs ťlevťs, le font paraÓtre plus petit de moitiť. Il est divin!... et je bande... comme tu vois!... -- Mon cher papa, comme je sais ŗ quel point vous m'adorez, j'ai voulu consacrer cette chaussure, avant de vous la prÍter pour orner votre cheminťe... Voici les blancs d'hier, avec lesquels j'ai tant ťtť... ce que vous savez... Voyez la jolie forme que leur a donnťe mon pied! Ils sont plus voluptueux qu'avant d'avoir ťtť mis... Je flairai avidement le dedans de ces divins souliers: -- Ahh! je bande! m'ťcriai-je; les sacrťs bougres sont embaumťs... Je suis perdu... j'aurai la colique si je ne t'enconne une pauvre fois!... Laisseras-tu dťcharger par terre ce vit paternel? -- Mon cher papa, mettez-vous le cul et les couilles dans cette grande terrine, prťparťe pour mon con et mon cul; l'eau froide vous ferait dťbander. C'est mon remŤde quand j'ai le con brŻlant. Ce qu'elle me disait me parut raisonnable, et je le fis. Elle cacha ses pieds comme une dame espagnole, et je fus calmť. -- J'en ai fait autant tout ŗ l'heure. Timori vient de venir. J'ťtais encore au lit; il m'a pris les tťtons, puis le con. La vue de son vit, qui bandait roide, m'a fait impression. Mais mon coeur n'a rien senti. Cependant il voulait me gamahucher, me priant de le branler aprŤs: 'Je ne suis pas une putain' -- 'Tu es bien froide!' (C'est que rťellement je ne l'aime plus; vous Ítes mon amant, cher pŤre! et Traitdamour est votre lieutenant dans mon con; il est votre double vit, et c'est encore vous qui me foutez, quand il me l'enfonce)... J'ai cependant eu des remords de ma duretť. Je lui ai saisi le vit, et me le mettant dans la bouche bien dťcalottť, je l'y ai fait dťcharger, avalant son foutre avec dťlices. Ce qui m'a fortifiťe. Mon chocolat m'a rincť la bouche... Mais revenons. Si vous voulez que votre fille chťrie ait un plaisir ineffable, caressez-la, quand on la fout. Langue en bouche, la sienne dans la vŰtre... Vous prenant les couillettes, vous serrant le vit ŗ la poignťe, elle dťchargerait au double! -- Oh! tu es trop adorable... Foutons un petit coup! -- Je m'ťtais rafraÓchi le con; mais tu y remets le feu, cher papa, et le foutre seul peut l'ťteindre... Foutons... Enconne ta fille... Mais va doucement, que je dťcharge plusieurs fois, tout en te racontant quelque chose. Elle se renversa, me mit le vit dans son con, me fit entrer lentement, par de petits coups de cul insensibles. La fraÓcheur de l'eau m'avait fait roidir, et retardait l'ťmission. Enfin, elle ne fut plus maÓtresse de se retenir; elle coupdecula, elle saccada, en s'ťcriant: -- Ze dťÁa--arge!... Elle resta ensuite immobile, en me disant: -- J'ai oubliť de vous remettre l'adresse que l'entreteneur d'avant-hier m'a glissťe, pour l'aller voir, et... foutre avec lui... Ah! fourgonne... je redťÁarge... Tu pars... Ah divin pŤre!... Et elle se mit ŗ soubresauter, en gigotant, comme jamais ne gigota fouteuse... AprŤs une copieuse dťcharge, elle reprit: -- La voilŗ. Dis-lui, ou ťcris-lui, que je ne vais chez personne. Et laissez-lui votre adresse. -- Oui, dťesse Fututrix, lui rťpondis-je. La Brideconnin nous apporta notre excellent chocolat; et je partis. AprŤs les affaires, j'allai chez le futur fouteur de ma fille. Je le trouvai; je lui donnai un mot de Conquette-Ingťnue, par lequel elle lui marquait que s'il avait un mot ŗ rťpondre, il pouvait tout dire ŗ son pŤre... Je fus bien reÁu. Le richard me dit qu'il demandait une maÓtresse aimable, et qui sŻt donner, en foutant, bien du plaisir. -- Monsieur (lui rťpondis-je), ma fille a ťtť mal mariťe; elle peut vous appartenir, ŗ condition qu'elle gardera son logement voisin du mien. Vous y mangerez, coucherez avec elle, sans que je m'en mÍle. Quant ŗ la voluptť, et aux mouvements du cul ou des reins, un mari libertin ne lui a donnť que de trop douloureuses leÁons... Mais, en vous la livrant, je veux que son sort soit assurť, qu'il s'amťliore mÍme un peu chaque annťe... Je vous rťponds d'Ítre alors le gardien de sa fidťlitť. D'ailleurs, elle est sage. L'assurance d'un sort indťpendant de son monstre de mari peut seule la dťterminer. Ceci convint fort! et la dťcision dťfinitive fut remise aprŤs un voyage d'affaires et d'argent, dont il devait Ítre de retour dans 8 ou 10 jours. Je revins apporter ces nouvelles ŗ ma Conquette-Ingťnue. -- Mon papa, rťpondit-elle, pour peu qu'il me foute, vous me suffirez, vous et lui; vous serez mes deux pŤres. Je renoncerai mÍme ŗ votre beau secrťtaire, si vous me promettez de n'enconner que moi! Oý trouverez-vous un con qui vaille le mien?... Garde-moi tout ton foutre, comme tout ton coeur, Ű le plus ribaud des papas! Je vis qu'elle ťtait jalouse, et je l'en aimai avantage. Mais j'ťtais encore trop libertin pour me borner ŗ foutre uniquement celle que j'aimais le mieux. La Brideconnin nous apporta de la limonade. Elle boitait de naissance, mais d'une maniŤre voluptueuse. Elle ťtait coiffťe en cheveux, et, quoique grÍlťe, trŤs provocante. Je le dis ŗ ma fille. Conquette-Ingťnue me rťpondit: -- DŤs avant nos parties, son mari voulait me le mettre; mais il me dťplaÓt. La femme a demandť, depuis qu'ils ont tout vu, ŗ me gamahucher. Tous deux m'adorent. Je ne leur avais, jusqu'au boulevari d'hier, laissť baiser que mon pied. Le mari enconne sa femme dŤs que je le veux. C'est un amusement que je me donnais dans la semaine; je n'avais besoin que de m'asseoir en vue de Brideconnin, les jupes troussťes jusqu'au mollet; il est tellement excitť par ma mi-jambe et mon pied, qu'il se jette sur la putain, et la fout tant que je veux; en haussant toujours un peu la jupe. Enfin, s'il aperÁoit un commencement la cuisse, il hurle de luxure. Un jour, trop ťchauffťe par ce que je voyais, je me donnai de l'air au con, en le dťcouvrant. Le fouteur s'est mis ‚ braire, en fourgonnant avec fureur. Il dťchargeait, refourgonnait, et allait se tuer, quand sa femme me regarda... Elle se h‚ta de dťcharger, et vint me baisser les jupes. Alors Brideconnin ťpuisť se trouva mal. A ce rťcit de Conquette, je rebandais. Mais je me remis le vit et les couilles dans l'eau, et, bien rafistolť, je sortis sans finaler. Nous fŻmes tous sages le reste de la semaine. Chapitre XLVII Du rabachage ŗ faire bandocher. Le dimanche arrivť, tout notre monde accourut, ŗ l'exception de Rosemauve, qui se dit malade. Tendrelys vint seule, et d'elle-mÍme. Traitdamour ne l'avait pas trouvťe chez elle, et il ťtait dťjŗ f‚chť. Mais il fut ravi, en entrant avec sa soeur et sa maÓtresse, de la voir auprŤs d'Ingťnue, qui lui suÁait le sein dťcouvert!... Il l'en remercia, en lui baisant le cul et le con. Cordaboyau et Brisemote arrivŤrent les derniers. On se mit ŗ table, dŤs que Cordaboyau, envoyť chez Rosemauve, eut annoncť qu'elle ne viendrait pas. Il remit en mÍme temps un billet de la malade pour ma fille. Ingťnue le parcourut bas d'abord; puis elle nous le passa. Traidamour lut par mes ordres. Le voici: 'Divine amie! ReÁois les actions de gr‚ces que je rends ŗ ton connin et ŗ tes souliers... Hier jeudi fÍte-Dieu (la lettre ťtait du vendredi), j'avais mis la chaussure que tu m'as prÍtťe, pour faire bander un clerc de notaire, amant de ma soeur Rosalbe, ŗ laquelle je le voulais enlever. J'avais aussi ton grand bonnet battant-l'oeil, qui me va si bien, ŗ cause de mes grands yeux noirs, la robe, la jupe blanche sur fond rose, comme toi. Je m'avisai de me donner ton joli tour de cul. Dans la rue des Cinq-diamants, j'entendis derriŤre moi: "C'est elle!... Oui, c'est elle! c'est ma dťesse!..." On m'aborde. "Ah! ma belle! vous voilŗ si prŤs de chez moi, que vous y monterez, puisque votre pŤre y est venu!..." Il m'a pris le bras; je me suis laissťe mener; pensant bien qu'en me reconnaissant, il me laisserait aller, surtout aprŤs m'avoir foutue. Point! il ne se dťsabuse pas!... Il est vrai qu'il m'avait introduite dans un appartement au premier ŗ trŤs sombre jour. Il tombe ŗ mes genoux, ou plutŰt aux vŰtres. "Vos traits, belle Saxancour, sont un peu diffťrents de ce qu'ils m'avaient paru; mais vous n'en Ítes pas moins une brune adorable. C'est que j'ai toujours plus regardť vos pieds, dont je suis fou, que votre visage, tout charmant qu'il est. Aussi les reconnais-je parfaitement, ainsi que tout le reste de votre parure... M'aimerez-vous?" J'ai cru devoir rťpondre oui. "Ah! je suis trop heureux!" Il m'a pris mille baisers, en me faisant darder la langue, m'a patinť les tťtons, saisi la motte, renversťe sur un large sofa, troussťe, foutue... J'ai remuť du cul! je lui ai donnť du plaisir... Ah! vous me connaissez?... «a fait, il m'a prťsentť ŗ laver, m'a fait lui verser de l'eau sur le vit, m'a essuyť con et cul, m'a baisť la motte et les fesses; puis a dit ŗ sa femme de charge: "Le dÓner est-il prÍt?" -- "Dans un demi-quart d'heure" -- "AprŤs le verre d'Alicante, descendons, ma belle!" Nous sommes descendus chez le notaire voisin. Six mille francs par an, 500 francs par moi, d'avance... J'ai signť la minute, et je suis remontťe dotťe, comme j'ťtais descendue foutue. Nous avons dÓnť tÍte-ŗ-tÍte. DŤs que les domestiques ont ťtť retirťs, il m'a fait mettre ŗ nu mes tťtons; puis il m'a enivrťe de champagne. Il s'est lavť le vit dans un verre mousseux. Je l'ai aussitŰt avalť... Enchantť de ce trait, il m'a mis son vit sur les lŤvres. Je le lui ai embouchť, sucť! Il s'est rťcriť de plaisir, en me disant: "Tu es ma dťesse, la putain faite pour moi. Je ne veux pas te dťcharger en bouche; je veux garder mon foutre pour ton con. Montre-le-moi, que je le baise; et adieu jusqu'ŗ demain... Mon carrosse! (a-t-il dit ŗ sa femme de charge, qui m'ťpongeait le cul et le con). Il m'a remenťe. J'aurai mon appartement chez lui ce soir. Je suis restťe tard au lit, y ťtant toute embaumťe, et enveloppťe dans deux peaux de veaux, qui m'ont ťtť apportťes hier soir encore chaudes; afin d'avoir la peau des cuisses et des fesses presque aussi satinťe que vous. Ainsi, belle Conquette! je vous dois ma fortune. J'en remercie votre adorable con, et surtout votre voluptueuse chaussure. En chemin, mon gťnťreux fouteur m'a promis que dans trŤs peu de temps il me ferait enculer en sa prťsence, par un joli jockey, auquel il s'est dťjŗ fait enculer lui-mÍme deux fois, dans deux circonstances oý il avait ressenti au trou du cul un violent prurit. C'a ťtť son expression. Adieu... ou avit, Ű divine fouteuse!' Nous fŻmes tous ťbahis! Tendrelys embrassa Conquette-Ingťnue, en s'ťcriant: -- Ah! si l'on vous connaissait!... Je voulais aller dťtromper mon gendre volť. Ma fille m'en empÍcha: -- Il n'ťtait l'amant que de ma chaussure; il ne lui est pas infidŤle; il a tout ce qu'il lui faut. Tendrelys applaudit ŗ cette rťponse: -- Je ne dis mot: mais je n'en pense pas moins, ajouta-t-elle. La Brideconnin, pour Ítre plus ŗ nos parties, qui lui donnaient des plaisirs inconnus, avait fait venir chez elle, ce jour-lŗ, une soeur de son mari, fort grÍlťe; mais la plus provocante tťtonniŤre de 18 ans qu'on puisse voir. La garce ne croyait pas que la laideron tenterait, toutes nos dames ťtant jolies, et deux parfaitement belles. Ce fut cette tťtonniŤre, faite au tour, ŗ taille guÍpťe, comme les Comtoises, qui nous servit. Mais dŤs qu'elle eut fait bander, pour lui ťviter de la peine, les hommes allŤrent chercher les assiettes... Au dessert, on me somma de raconter l'histoire des cons dťpucelťs dont avait parlť Minone, et que Mme Ingťnue-Conquette m'avait empÍchť de faire ŗ souper, de peur qu'elles ne fussent trop savoureuses! J'y consentis. Chapitre XLVIII Histoire des phťnix dťnichťs. Je vais (dis-je en m'essuyant la bouche, et baisant les tťtons de mon active fouteuse) vous conter comment j'ai dťpucelť Victoire-Beauxtalons; Virginie-Moteblonde; Rosalie-Con-Rose, ainsi que SuzonŤte, sa soeur cadette; Manon-Aurore-Sourismignard; Lťonor-Robť, femme de Marg‚ne le parfumeur; la seconde et la troisiŤme Consfriands, Saccadine et VoixflŻtťe. La premiŤre fois que je vis la voluptueuse Beauxtalons, elle ťtait en dťshabillť brun, bas fins de coton, souliers de maroquin noir; talons plus hauts que ceux de Conquette. Elle me donna des dťsirs violents; je la suivis; c'ťtait le soir. Elle entra dans l'allťe ŗ cŰtť de la boutique de sa mŤre. L'escalier ťtait obscur. J'ťtais sur ses talons. Elle ouvrit le premier, dont les volets ťtaient fermťs. Nuit profonde. J'ťtais entrť avec elle. -- Ah! c'est vous, Monsieur CopahŁ, dit-elle en m'entendant respirer... Je lui mis la main sous la jupe. -- Oh! voilŗ toujours comme vous faites!... Laissons donc les volets fermťs. Je cherchais un lit. Elle y recula. Je l'y renversai. -- Mon dieu! allez, que vous Ítes terrible! Et elle s'arrangeait nťanmoins commodťment pour tous deux. J'insŤre. Elle riposte, en disant: -- Il faut bien faire comme Áa, sans quoi vous dites qu'on ne vous aime pas. La jouissance fut dťlicieuse, quoique simple et sans accessoires. Mais Victoire ťtait si belle, et je l'avais tant dťsirťe!... Je voulais sortir sans Ítre connu. On frappa. Je suivis ma monture effrayťe qui courait ouvrir, quoique je la retinsse. en disant: -- C'est ma mŤre, ou ma soeur. Restez ou sortez, comme il vous conviendra? -- Je sors. Elle [ici s'arrÍte le volume imprimť] End of the Project Gutenberg EBook of L'Anti-Justine, by Nicolas-Edmť Restif de la Bretonne *** END OF THIS PROJECT GUTENBERG EBOOK L'ANTI-JUSTINE *** ***** This file should be named 26804-8.txt or 26804-8.zip ***** This and all associated files of various formats will be found in: https://www.gutenberg.org/2/6/8/0/26804/ Produced by Daniel Fromont Updated editions will replace the previous one--the old editions will be renamed. Creating the works from public domain print editions means that no one owns a United States copyright in these works, so the Foundation (and you!) can copy and distribute it in the United States without permission and without paying copyright royalties. Special rules, set forth in the General Terms of Use part of this license, apply to copying and distributing Project Gutenberg-tm electronic works to protect the PROJECT GUTENBERG-tm concept and trademark. 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123,635 words • 2060h 35m read

— End of L'Anti-Justine; ou, Les Delices de l'amour —

Book Information

Title
L'Anti-Justine; ou, Les Delices de l'amour
Author(s)
Restif de La Bretonne
Language
French
Type
Text
Release Date
October 7, 2008
Word Count
123,635 words
Library of Congress Classification
PQ
Bookshelves
FR Séduction et libertinage, Browsing: Literature, Browsing: Sexuality & Erotica, Browsing: Fiction
Rights
Public domain in the USA.