Project Gutenberg's L'Anti-Justine, by Nicolas-Edmť Restif de la Bretonne
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Title: L'Anti-Justine
ou, Les Delices de l'amour
Author: Nicolas-Edmť Restif de la Bretonne
Release Date: October 7, 2008 [EBook #26804]
Language: French
Character set encoding: ISO-8859-1
*** START OF THIS PROJECT GUTENBERG EBOOK L'ANTI-JUSTINE ***
Produced by Daniel Fromont
[Transcriber's note: Nicolas-Edmť Restif de la Bretonne
(Nicolas Restif dit Restif de la Bretonne) (1734-1806),
_L'Anti-Justine_ (1978), ťdition de 1798
A classic French erotic novel of the 18th century
Orthographe de l'ťdition 1798 conservťe
Il n'y a pas de chapitre 29; il y a deux chapitres 31.]
L'ANTI-JUSTINE,
OU
LES DELICES DE L'AMOUR.
Par M. LINGUET, Av. au et en Parlem.
Avec LX Figures.
[PremiŤre Partie.]
AU PALAIS-ROYAL
Chez feue la Veuve GIROUARD, trŤs-connue.
1798.
Quelle Excuse peut se donner ŗ lui-mÍme, l'Homme qui publie Un
Ouvrage, tel que celui qu'On va lire? J'en ai cent, pour Une.
Un Auteur doit avoir pour lui le bonheur de ses Lecteurs.. Il
n'est riťn qui contribue autant au bonheur, qu'Une lecture
agrťable. Fontenelle disait: "Il n'est point de chagrin qui
tiťnne contre une heure de lecture". Or, de toutes les
lectures la plŁs entraÓnante, est celle des Ouvrages
Erotiques, surtout lorsqu'ils sont acompagnťs de Figures
expressives. Bl‚sť sur les Femmes depuis longtemps, la JUSTINE
de Dsds me tomba sous la main. Elle me mit en feu; je voulus
jouir, ťt ce fut avec fureur: je mordis les seins de ma
Monture; je lui tordis la chair des bras... Honteux de ces
excŤs, effets de ma lecture, je me fis moi-mÍme un Erotikon
savoureux, mais nůn cruel, qui m'excita au point de me faire
enfiler une Bossue-Bancroche, haute de 2 piťds. Prenťz, lisťz,
ťt vous en ferťz autant.
L'ANTI-JUSTINE.
Persone n'a ťtť plus indignť que moi des sales Ouvrages de
l'infame DsDs; c'est-ŗ-dire, de Justine, Aline, le Boudoir, la
Theorie du Libertinage, que je lis dans ma prison.. Ce
Scelerat ne prťsente les delices de l'amour, pour les Hommes,
qu'accompagnťes de tourmens, de la mort mÍme, pour les Femmes.
Mon but est de faire un Livre plus savoureux que les siťns, et
que les Epouses pourront faire lire ŗ leurs Maris, pour en
Ítre mieux servies; un Livre oý les sens parleront au coeur; oý
le Libertinage n'ait rien de cruel pour le Sexe des Graces, et
lui rende plutŰt la vie, que de lui causer la mort; oý l'amour
ramenť ŗ la nature, exempt de scrupules et de prťjugťs, ne
prťsente que des images riantes et voluptueuses. On adorera
les Femmes, en le lisant; on les chťrira, en les enconnant:
mais l'on en abhorra davantage le Vivodissequeur, le mÍme qui
fut tirť de la Bastille avec une Longue Barbe blanche le 14
juillet 1789. Puisse l'Ouvrage enchanteur que je publie, faire
tomber les siťns!
Mauvais Livre fait dans de bonnes vues.
Moi, Jean-Pierre-Linguet, maintenant detenu ŗ la Conciergerie,
declare, que je n'ai composť cet Ouvrage, tout savoureux qu'il
est, que dans des vues utiles; l'inceste, par exemple, ne s'y
trouve, que pour ťquivaloir, au goŻt corrompu des Libertins,
les affreuses cruautťs, par lesquelles Dsds les stimule.
Floreal, an 2.
I Chapitre.
Chapitre De l'Enfant qui bande.
Je suis nť dans un Village prŤs de Reims, & je me nomme
CUPIDONET. DŤs mon enfance, j'aimais les jolies Filles.
J'avais surtout un faible pour les jolis piťds & les jolies
chaussures; en quoi je ressemblais au Grand-Daufin, fils de
Louis-XIV, & ŗ Thevenard, acteur de l'Opťra.
La premiŤre Fille qui me fit bander, fut une jolie Paysane,
qui me portait ŗ vÍpres la main posťe ŗ nŻ sur mes fesses;
elle me chatouillait les couillettes, & me sentant bander,
elle me baisait sur la bouche avec un emportement virginal:
car elle ťtait chaude, parcequ'elle ťtait sage.
La premiŤre Fille ŗ laquelle je fis des attouchemens,
en-consťquence de mon goŻt pour une jolie chaussure, fut ma
premiŤre PuÓnťe, qui s'appelait Jenovefette. J'avais huit
Soeurs, cinq aÓnťes d'un premiťr lit, & trois puÓnťes. La
Seconde de Celles-lŗ, ťtait jolie au-possible; il en sera
question: La QuatriŤme avait le poil du Bijou tellement
soyeux, que c'ťtait une voluptť seulement de le toucher. Les
Autres ťtaient laždes. Mes PuÓnťes ťtaient toutes-trois
provoquantes.
Or ma MŤre prťferait Jenovefette, la plus voluptueusement
jolie, & dans un voyage qu'elle fit ŗ Paris, elle lui aporta
des souliťrs delicats. Je les lui vis essayer, & j'eķs une
violente ťrection. Le lendemain Dimanche, Jenovefette mit des
bas fins blancs & neufs de coton, un corpset qui lui pinÁait
la t‚ille; & avec son lubrique tour-de-cýl, elle fesait
bander, quoique si jeune, mon PŤre lui-mÍme; car il dit ŗ ma
MŤre de la renvoyer. (J'ťtais cachť sous le lit, pour mieux
voir le souliťr & le bas de la jambe de ma jolie CadŤte)...
DŤs que ma Soeur fut sortie, mon PŤre renversa ma MŤre, & la
carillona sur le piťd du lit sous lequel j'ťtais, en lui
disant: -- HŰ! prenťz-garde ŗ votre Fille cherie! Elle aura un
furieux temperament, je vous en avertis... Mais elle a de quÓ
tenir; car je baise biťn! & voila que vous m'en donnťz, du jus
de Con, come une Princesse-... Je m'aperÁus que Jenovefette
ťcoutait & voyait... Mon PŤre avait raison. Ma jolie CadŤte
fut depuis dťpucelťe par son Confesseur; ensuite foutue par
tout le Monde. Mais elle n'en est que plus sage ŗ-prťsent...
Dans l'aprŤsdÓnťe, Jenovefette vint au jardin, oý j'ťtais
seul. Je l'admiraŪ; je bandaŪ. L'ayant abordťe, je lui pressaŪ
la t‚ille, sans parler; je lui touchaŪ le piťd, les cuisses,
un Conin imberbe & joli, s'il en fut jamais! Jenovefette ne
disait mot. Alors, je la fis mettre ŗ-quatre; c'est-ŗ-dire,
sķr les mains & sur les genoux, &, ŗ l'imitacion des chiťns,
je la voulais enfiler ainsi, en hennequinant & saccadant de
toutes mes forces, comme fait le chiťn, & lui comprimant
fortement les aÓnes de mes deux mains: je lui fesais cambrer
les reins, de sorte que son Conin ťtait aussi ŗ ma portťe que
le trou de son cýl: je l'atteignis donc & je mis le bout entre
les lŤvres, en disant: "Hausse, hausse le cýl, que j'entre".
Mais On sent aussi qu'un conichon aussi jeune, ne pouvait
admettre un vit, qui ne dťcalotait pas encore: (Il me falait
Une Conasse, come je l'auraŪ biťntŰt). Je ne pus
qu'entr'ouvrir un peu les lŤvres de la fente. Je ne dechargeaŪ
point; je n'ťtŗis pas assťz formť... Ne pouvant enfiler, je me
mis, aussi ŗ l'imitacion de mes ModŤles, ŗ lŤcher le jeune
Conin... Jenovefette sentit un chatouillement agreable
sans-doute; car elle ne s'ennuyŗit pas du jeu, & elle me dona cent
baisťrs sur la bouche, lorsque je fus debout. On l'appela, &
elle courut.
Come elle n'avŗit pas encore de gorge: dŤs le lendemain elle
se mit des tetons postiches, sans-doute parcequ'elle avŗit oŁi
vanter ceux de sa MŤre, ou de ses AÓnťes. Je les remarquaŪ: je
la fis chausser, & l'ayant placťe commodťment sur son lit, je
m'escrimaŪ prŤs de deux heures. Je crois en-vťritť qu'elle
ťmit; car elle s'agitait comme une petite Enragťe ŗ mon
lŤchement de Con... DŤs le surlendemain, On l'envoya en
apprentissage ŗ Paris, oý elle remplit l'horoscope tirť par
mon PŤre.
II Chapitre.
Chap. Du Con soyeux.
Mes autres Soeurs ťtaient l'Une serieuse; elle me retint dans
les bornes; mais j'aŪ depuis foutu ses deux Filles ŗ Paris: Ma
TroisiŤme ťtait encore trop jeune: «'a ťtť Une superbe Fille ŗ
dixhuit ans! Je me rejetaŪ neanmoins sur cette Enfant, lorsque
je m'aperÁus que Cathos, jumelle de Jenovefette, ťtait
inabordable. Il me falait un Con, depuis que j'en avais palpť
Un: je patinaŪ Babiche. Enfin un Dimanche, qu'elle ťtait biťn
arrangťe, & que ma MŤre l'avait baignťe, je la gamahuchaŪ.
Ce fut ŗ cette benigne operation, que je fus surpris par
l'ardente MadelŤne au Con soyeux. Elle nous examina longtemps
avant de nous troubler, & voyant que la Petite avait du
plaisir, elle fut tentťe. Elle parla. Nous nous remimes
dťcemment. MadelŤne ne dit mot: Elle renvoya Babiche. Puis
elle hazarda de badiner avec moi. Elle me renversa sur la
p‚ille de la grange, oý j'avais attirť Babiche; & lorsque je
fus par-terre, elle me chatouilla, passant par-dessus moi,
jambe de-Áŗ, jambe de-lŗ. Par-hazard, je portaŪ la main sous
ses jupes, & j'y trouvaŪ l'admirable Con soyeux. Ce poil divin
determina mon goŻt pour elle. Je devins fou du Con de
MadelŤne-LingŁet: je lui demandaŪ ŗ le baiser? -- Petit coquin!
(me dit-elle), attens un moment-. Elle ala au puits, tira un
seau d'eau, & s'accroupit dessus... Elle revint, & badina
encore. Enfl‚mť, hors de moi, je lui dis, dans ma petite
fureur ťrotique, -- Il faut que je lŤche ce joli trou-. Elle se
mit sur le dos, les jambes ťcartťes: je lťchai; la belle
MadelŤne hocha du cýl: "Darde ta langue dedans, cher petit
Ami"! (me disait-elle). Et je dardais, & elle haussait la
mote. Je fourgonnais avec rage!... Elle eķt tant de plaisir,
qu'elle se recria. Je bandais come un petit carme: & come je
ne dechargeais pas, j'avais toujours la mÍme ardeur. Aussi
m'adorait-elle. Obligťe de me quitter, MadelŤne me dona des
friandises, que je mangeaŪ avec Babiche.
Un-soir, ma Soeur au Con soyeux me dit: -- Cupidonnet! ta jolie
Broquette est toujours biťn roide, quand tu me lŤches! Il me
semble que si nous ťtions dans le mÍme lit, tu pourrais la
faire entrer dans la bouche de ma petite Marmote, que tu aimes
tant ŗ sucer, & dont le poil est si doux! j'aurais sŻrement
biťn du plaisir! & peutÍtre toi aussi? Viťns Á'te nuit-...
Quand tout le monde fut endormi, je me glissaŪ dans le lit de
ma grande Soeur. Elle me dit: -- J'ai vu mon PÍre, un-jour qu'il
venait de caresser ma Soeur la belle Marie, qui partait pour
Paris, courir sur ta MŤre, sa grosse broche biťn roide, & lui
fendre la Marmote: je vas te montrer; tu feras comme lui. -- Et
moi aussi, je l'aŪ vu. -- Bon! bon-! Elle se disposa, me plaÁa
sur elle, me dit de pousser, & riposta. Mais elle ťtait
pucelle, & quoique bandant roide, je ne pus introduire; je me
fesais mal. Pour MadelŤne-LingŁet, elle dťchargea sans-doute;
car elle se p‚ma.
HŰ! que je regrettaŪ ce joli Con soyeux, que je lťchais &
fourgonnais depuis 6 mois! Mon PŤre, ClŰde-LingŁet, qui ne me
ressemblait pas, ťloignait ses Filles, dŤs qu'elles l'avaient
fait bander. On prťtend que MadelŤne avait tentť de se le
faire mettre par lui... Quoi qu'il en soit, trois jours aprŤs,
elle partit pour la Capitale, oý notre FrŤre-aÓnť
l'Ecclesiastique, lui avait trouvť une place de Gouvernante
d'Un Chanoine de Sainthonorť. Ce Caffard ne tarda pas ŗ
connaÓtre ce qu'elle valŗit: Il y avŗit Une porte derobťe, de
lui-seul connue, qui donnait dans la chambre de ses
Gouvernantes, qu'il alait patiner durant la nuit. Mais il
n'avait jamais trouvť de con aussi joli, que le Con soyeux de
Mlle LingŁet! Il voulut le voir. Sa beautť le ravit, & il
n'eķt plus de repos, qu'il ne l'eŻt foutu. Une nuit, qu'elle
dormait d'autant plŻs fort, qu'elle en fesait semblant, il la
gamahucha. Elle dťchargea sensiblement. AussitŰt le Chanoine
monte sur elle, & l'encone. Elle le pressa dans ses bras, en
remuant du cýl. --H‚! Mignone! (lui dit-il), que tu as le
mouvement bon!... Mais n'as-tu pas de mal? car je te crois
un-peu Putain-?... Sa chemise & les draps ensanglantťs, lui
prouvŤrent qu'elle ťtait pucelle Il l'adora! Elle foutit
saintement avec ce saint Homme pendant deux ans, & le mit au
tombeau. Cependant il la dota: Ce qui fit qu'elle ťpousa le
Fils du premiťr Mari de ma MŤre.
III Chapitre.
Chap. De la MŤre foutue!
Comme aprŤs le mariage de MadelŤne, & son retour ŗ Reims
j'ťtais un-peu plŁs formť, je desiraŪ vivement de le lui
mettre. Depuis plus de deux ans, j'en ťtais reduit ŗ patiner &
gamahucher ma Soeur Babiche, avec quelques-unes de nos
Cousines-germaines. Mais, ou mon vit grossissait, ou tous ces
conins imberbes retrťcissaient... Je demandaŪ un rendťz-vous
nocturne ŗ la nouvelle Mad. Bourgelat? Elle me l'accorda pour
le soir-mÍme: Nous ťtions ŗ notre Ferme, & son Mari venait de
partir, pour se rendre ŗ Reims, oý une affaire l'appelait. Je
ne sais par quelle avanture, cette mÍme nuit, mon Pťre se
trouva incomodť. Ma MŤre, aprŤs l'avoir secouru, craignant de
le gÍner, ala se mettre auprŤs de sa BrŁ. Celle-ci la voyant
endormie, se leva doucement, pour venir coucher avec moi,
tandis que de mon cŰtť, j'alŗis ŗ elle. Nous ne nous
rencontrames pas, malheureusement!... Je me mis ŗ-cŰtť de la
Femme que je trouvaŪ dans le lit. Elle ťtait sur le dos: je la
montaŪ, toute-endormie; & l'enconaŪ. J'ťtŗis surpris d'entrer
aussi largement! Elle me serra dans ses bras, hŰcha quelques
coups-de-cýl, moitiť assoupie, en disant: "Jamais! jamais vous
ne m'avťz donnť tant de plaisir-!... Je dechargeaŪ aussi: mais
je m'ťvanouis sur ses tetons encore fermes, parcequ'elle
n'avŗit pas nourri, & qu'On ne les lui avŗit jamŗis patinťs.
Mad. Bourgelat revint auprŤs de nous, au moment oý je
m'ťvanouissais.
Elle fut biťn ťtonnťe des mots que venait de prononcer sa
doublement Bellemťre! Elle comprit que je l'avais foutue, &
elle me reporta dans mon lit encore ťvanoui... Ainsi donc
c'est dans le Con maternel que je venais d'ťmettre ma premiťre
semence!... Ma Mťre, entiťrement ťveillťe, dit ŗ MadelŤne: --
Mais, que faites-vous donc, ma Fille-? J'ťtais revenu ŗ moi.
Ma Soeur retourna au lit de ma Mťre, qui lui dit tout-bas: -- Ma
BrŁ! vous avťz de drŰles de faÁons? -- Mon Mari (rťpondit Mad.
Bourgelat), me fait souvent mettre dessus; je rÍvais, & je
l'ai fait. Eveillťe, je suis sautťe du lit-. Ma Mťre crut
cela.
Cependant le coup porta: Mad. LingŁet devint grosse, &
accoucha secrettement d'un Fils, beau come Adonis; & elle eķt
l'adresse de le substituer ŗ Un Garson de son Fils, cet Enfant
ťtant mort en naissant. C'est de Lui dont il sera un-jour
question, sous le surnom de Cupidonnet, dit Petitcoq, mon
neveu.
Huit jours s'ťcoulťrent. AprŤs quoi, biťn remis de mon
ťvanouissement, j'eķs un autre rendťz-vous. Mais admirťz mon
malheur! Nous avions ťtť entendus d'Une grosse Tetonniťre,
notre moissonneuse, qui dormait dans la grange. Comme Mad.
Bourgelat devait venir dans mon lit, Mammelasse qui m'aimait,
car elle se branlait souvent ŗ mon intention, & qui dailleurs
n'ťtait pas mťchante, se contenta de dire ŗ mon FrŤre, de
fermer les nuits la porte de sa chambre ŗ la clťf, & de la
cacher, pour cause... Il le fit. Mais jugťz de mon ťtonnement,
quand aulieu d'un Con soyeux, & de tetons ronds & delicats, je
patinaŪ Une Connasse ŗ crins de cheval, & deux gros ballons
biťn gonflťs. Elle se le mit; je poussaŪ, & j'eķs assťz de
plaisir. Mais je fus encore prÍt ŗ m'ťvanouir.
Enfin, je le mis ŗ MadelŤne, dans le greniťr-ŗ-foin. J'alais
come un fou, en l'enconnant. Mais au troisiŤme coup-de-cýl
qu'elle donna, je m'ťvanouis......
IV Chapitre.
Chap. D'un aķtre Beaufrťre Cocu.
MadelŤne ťvita de m'accorder des faveurs, dont les suites
l'effrayaient! Mais je ne sentis pas longtemps cette
privation: Huit jours aprŤs la derniťre scŤne, je partis pour
venir ŗ Paris. J'y alais pour apprendre: Mais il ne sera pas
ici question de mes ťtudes. Je fus logť chťz la belle Marie,
la seconde de mes AÓnťes.
J'avais, pour mon pucelage, fait cocŁ mon Pťre: j'avais
cornifiť mon Frťre Uterin, en fesant dťcharger, & foutant
enfin avec ťmission Une Soeur-Paternelle, qu'il avait ťpousťe,
& que j'engrossaŪ: car Bourgelat n'a jamŗis eķ que cet Enfant,
venu au monde 9 mois aprŤs ma fouterie au greniťr-ŗ-foin. Mais
j'avais encore biťn de l'ouvrage, avec huit Soeurs, dont six,
ou du-moins cinq, ťtaient souverainement enconables. Mais
revenons ŗ Marie, la plŻs belle de toutes... Un-jour de
Vierge, Marie ťtait parťe, chaussťe avec cŤ goŻt particuliťr
aux jolies Femmes, & Un superbe bouquet ombrageait ses blancs
tetins. Elle me fit bander. J'avais quatorze ans; j'avais deja
foutu & engrossť trois Femmes; car Mamelasse avait Une Fille,
qu'elle se vantait que je lui avais faite, & qui ressemblait
comme deux goutes-d'eau ŗ Jenovefette-LingŁet. Ainsi, je n'eķs
pas des desirs vagues; je tendais directemt au Con de ma
provoquante AÓnťe. AprŤs le dÓnťr, elle ala dormir, dans Un
alcove obscur, & s'ťtendit sur le lit conjugal. Elle avait vu
bander son Mari, dont la culote blanche ťtait juste, & elle
voulŗit lui donner le plaisir de le lui mettre parťe. Je me
cachaŪ, pour les guetter. Mais mon Beau-Frťre, aprŤs avoir
pris les tetons & le Con de ma Soeur, avoir admirť ce derniťr,
en ťclairant l'alcove, se reserva sans-doute pour la nuit
suivante: il se retira doucement; je lui vis prendre sa canne,
son chapeau, & sortir. J'alaŪ pousser Un verrou. En revenant,
je refermaŪ les rideaux; le Mari les avait laissťs ouverts, &
sa Femme troussťe. Je me mis sur elle deculotť, biťn bandant,
& j'enfilaŪ sa fente, suÁant tantŰt ses tetons decouverts,
tantŰt ses lŤvres entr'ouvertes. Elle me croyŗit son Mari. Un
bout de langue me chatouilla. J'ťtais entrť tout calotť. Le
filet, que je n'avais pas encore coupť, recourbait mon vit, &
le fesait paraÓtre gros comme celui de l'Epoux. Je poussaŪ. Ma
Belle s'agita, & mon long vit atteignit le fond. Alors ma Soeur
demi-p‚mťe, se trťmoussa. Je dechargeaŪ,... & je
m'ťvanouis....
Ce fut ce qui me fit reconaÓtre. La Belle savoura les
derniťres oscillations de mon vit. Mais dŤs qu'elle eķt
ťprouvť tout le charme d'une copieuse decharge, elle se
deconna en me jetant sur le cŰtť; elle ouvrit les deux rideaux
de l'alcove; & me regardant: "H‚! Grand-Dieu! c'est
Cupidonnet! Il m'a dechargť tout au fond! Il s'est ťvanoui de
plaisir"!... Je revenais ŗ moi. Elle me gronda, en me
demandant, Qui m'avait appris cela? -- Ta beautť (lui dis-je),
adorable Soeur. -- Mais si jeune-? Je lui racontaŪ alors toute
ma vie: Comme j'avais patinť, lťchť le conin de Jenovefette:
comme j'avais gamahuchť, enfin enfilť le con soyeux de
MadelŤne; foutu Mad. LingŁet, la croyant Mad. Bourgelat:
comment Mamelasse s'ťtait fait enconner par moi: comment ne
pouvant me passer de Con, je lťchotais le conichon de Babiche:
comment j'avŗis engrossť les trois Femmes que j'avŗis
enconnťes. --H‚-Ciel!... Mais tu es biťn indiscret! -- Je ne le
suis avec toi, que parceque tu es ma soeur-aÓnťe, que je t'aŪ
foutue (le recit que je venais de dťbiter, les tetons de ma
Soeur, sa chaussure me fesaient rebander), & que je vais,
divine Marie, te foutre encore. -- Mais mon Mari... -- J'aŪ
poussť le verrou-... Elle me pressa la tÍte contre son beau
sein, en me disant tout-bas: -- Petit coquin, fais-moi aussi Un
Enfant-?... Je la re-enconnaŪ, j'ťmis sans m'ťvanouir. La
belle Marie n'avait pas encore eķ d'Enfans: je fus pťre de
Mlle Beauconin, fille Unique de mon Beaufrťre de ce nom.
[Je passerai toutes les fouteries communes; ce n'est
qu'ŗ-force de voluptť, de tableaux libidineux, tels que les
savoureuses jouissances qui vont suivre, qu'on peut combattre
avantageusement dans le coeur & l'esprit des Libertins bl‚sťs,
les goŻts atroces ťveillťs par les abominables Productions de
l'infame & cruel Dsds! Ainsi, je reserve toute ma chaleur,
pour decrire des jouissances ineffables, audessus de tout ce
qu'a pu inventer l'imagination esquisement bourrelle de
l'Auteur de Justine.
V Chapitre.
Chap. Du bon Mari spartiate.
Il faut nťanmoins, avant de passer aux tableaux que je viťns
de promettre, rapporter en peu de mots, Une Avanture
extraordinaire, que jeķs, ruŽ Sainthonorť, ŗ 20 ans accomplis,
en fesant mon droit.
J'ťtais voisin vis-ŗ-vis d'Un vieil Orlogťr, qui avait Une
Femme jeune et charmante. C'ťtait sa troisiŤme. La PremiŤre
l'avait rendu parfaitement heureux pendant douze ans; c'ťtait
une ivresse. La seconde, durant dix-huit ans, ŗ-l'aÓde d'une
Soeur plŁs jeune, par laquelle la Dame se fesait remplacer au
lit dans ses moindres indispositions, pour que son Mari ne
foutÓt jamŗis avec dťgoŻt. Cette excellente Epouse ayant cessť
de vivre, l'Orlogťr avait ťpousť, ‚gť de soixante ans, la
jolie, la delicieuse FIDELETTE, putative d'Un Architecte, ťt
fille-naturelle d'Un Marquis. La beautť de cette troisiŤme
Femme n'avait pas d'ťgale, pour le moŽlleux ťt le provoquant.
Son Mari l'adorait; mais il n'ťtait plus jeune! Cependant
comme il ťtait riche, il lui prodiguait tout ce qu'elle
paraissait desirer. Mais il n'atteignait pas le but, ťt
Fidelette ťtait chaque jour plŻs triste. Enfin un-soir, ce bon
Mari lui dit: "Mon Ange! je t'adore, tu le sais? Cependant tu
es triste, ťt je crains pour tes jours prťcieux? Tout ce que
je fais ne te flatte en rien? Parle? c'est Un Ami tendre qui
t'en conjure? Dis-moi ce que tu desires? Tout, tout ce qui
sera en mon pouvoir, va t'Ťtre accordť? "HŰ! tout (dit la
jeune Femme). "Oui, tout, fŻt-ce... Est-ce ŗ ton coeur? est-ce
ŗ ton divin conin, qu'il manque quelque-chose? "Tu remplis mon
coeur, cher Mari! Mais j'ai des sens trop chauds, et quoique
blonde-cendrťe, mon Bijou a des demangeaisons... terribles!
"T'est-il indifferent qui le satisfasse; ou aurais-tu un goŻt?
"Sans aimer, j'ai un goŻt.. un caprice... Mais je n'aÓme que
toi. "Qui excite ta main, que je vois en ce moment chercher
ton gentil petit Chose? "Tiťns? ce Voisin... qui me regarde...
ťt dont... je me suis deja plainte... "J'entens!... Tu as dŻ
me trouver biťn boŻchť!... Passe au bain, mon Ange adorť.. je
reviťns dans l'instant". Il courut me trouver. "Jeune voisin?
On dit que vous aimťz Mad. Folin l'OrlogŤre? "Ma-foi, On dit
vrai; je l'adore. "Venťz. "Il en arrivera ce qu'il pourra.
Alons". Il me prit la main, ťt nous alames chťz Lui.
"Deshabillťz-vous; passťz dans ce bain, que ma Femme quitte:
Voila de mon linge. Regalťz-la en Nouvelle mariťe- ou menagťz-vous
pour differentes nuits; ŗ votre choix ťt au siťn....
J'adore ma Fidelette: mais pour cette Epouse cherie: Je suis
content, dŤs que je la vois satisfaite, heureuse. Quand vous
l'aurťz foutue, qķe son petit Connin aura biťn dechargť, je
l'enconnerai ŗ mon tour, pour lui porter mon petit prťsent".
Et il me fit entrer dans le lit oý sa Femme ťtait depuis le
bain. Il s'en-alait. "Mon cher Mari! (s'ťcria cette timide
Colombe), tu me laisses seule avec Un Inconnu! HŰ! reste! ťt
si tu m'aimes, sois temoin des plaisirs que je ne devrai qu'ŗ
Toi"?... Et elle nous baisa tous-deux sur la bouche... Le Lit
ťtait vaste: Le bon Folin s'y mit avec nous... Je grimpai sur
le ventre de la jeune Epouse, aux flambeaux alumťs, au vu du
Mari, ťt j'enconnai roide... Elle repercutait avec fureur.
"Courage, ma Femme! criait l'excellent Mari, en me
chatouillant les bourses)... Decharge, ma Fille! hausse le
cýl!.. darde ta Langue... ton Fouteur va t'inonder!... Toi,
jeune Vit, plonge.. plonge!... Lime.. Lime-la"... Nous
dechargeames comme deux Anges... Je la foutis six-fois dans la
nuit, ťt les deux Epoux furent trŤs-contens de moi...... J'ai
eŁ cette jouissance celeste ťt plŻs-qu'humaine, jusques aux
coŻches de Fidelette, qui perdit la vie, en la donnant au
Fruit de notre Fouterie.
VI Chapitre.
Chap. De l'Epouse qui se fait enculer.
Je passerai sous silence mes conilleries avec ma Femme
clandestine, puisque je n'ai jamais avouť ce mariage.
Conquette-EllŤs ťtait Une jolie GrÍlťe, faite-au-tour, ayant
Un Con tellement insatiable, que je fus obligť de lui mettre
la bride sur le cou, & de la laisser foutre avec quÓ elle
voudrait. Elle ťtait fille d'Un Traiteur de la ruŽ
Saintjacques, & soeur du libraire PetiteBeautť: Elle est morte
syfillisťe, longtemps aprŤs m'avoir donnť deux Filles... H‚!
qu'elle foutait biťn! jamais Femme enconnťe n'a brouettť son
Cavaliťr comme ConquŤte!... Elle est la seule Crťature que
j'aye enculťe, mais sur son invitation, quand sa santť fut
douteuse. Elle me donna ensuite le cýl de sa Soeur-cadette, en
me disant que c'ťtait encore le siťn. Et je le croyais. Mais
la jeune Persone se fesant enconer, je m'aperÁus de la
tricherie, dont je ne tťmoignaŪ riťn..... Cela fut delicieux!
mais ce n'est que de la fouterie ordinaire... Quand ma
Bellesoeur fut mariťe, ma Femme seduisit sa CoÓfeuse, ŗ
laquelle elle recomanda biťn de se faire enculer, allťguant
que j'y ťtais accoutumť. Mais cette Fille m'ayant averti dans
la journťe, je l'enconnaŪ la nuit, sans que Conquette s'en
aperÁŻt. J'eķs ainsi successivement six CoÓfeuses, toutes
jolies, pendant douze ans, ma Femme, qui les payait, croyant
me cacher par ce moyťn, qu'elle avait la verole. Ce fut ainsi
que j'attendis les Conins delicieux qui m'ťtaient destinťs par
la nature... C'est aprÍs la derniťre CoÓfeuse, que Conquette
mourante ayant remarquť, qu'Un de mes Cadets courtisait ma
fille-niŤce-Beauconnin, qu'On ne voulait pas lui donner, &
qu'il en ťtait aimť, proposa ŗ Mariette de se le laisser
mettre par son Amant? Mais craignant que le Jeunehome ne pŻt
la dťpuceler, elle me dit, que la derniŤre CoÓfeuse m'envoyait
Une de ses ElŤves, qu'il falait enconner, & sans parler,
parceque ma NiŤce couchant dans la chambre voisine, il y avait
des raisons, pour ne pas envoyer l'ElŤve-coÓfeuse dans la
miťnne... Pourvu que je foutÓsse Un jeune Con, que
m'importait? J'alaŪ nu au lit: je trouvaŪ des tetons naissans,
Un Conin qui tressaillait. Je dťpucelaŪ... J'avais enconnť
trois-fois, lorsqu'on vint me faire retirer. Je crus que
c'ťtait la convention. Mais ayant ťcoutť, je fus trŤs-ťtonnť
d'entendre ťperonner de-nouveau ma Monture, & ma Femme
instruire, en les encourageant, son Neveu & sa NiŤce?... Je me
remis dans mon lit tout-pensif... Le lendemain, je demandaŪ
une explication ŗ Conquette. -- Hť-biťn, quoi? (me rťpondit-elle),
vous avťz dťpucelť votre NiŤce Beauconnin, avant que
son Cousin le lui mÓt; parceque je craignais qu'il ne pŻt la
dťflorer-... Je fus enchantť! j'avais eķ les prťmices de la
Fille que j'avais implantťe un jour de Vierge dans le Con de
la belle Marie-LingŁet. Mais je dissimulaŪ ma joie. C'ťtait un
excellent pronostique pour les plaisirs dont je me flatais de
jouir depuis longtemps! & dont le moment approchait. J'y
touche enfin.
VII Chapitre.
Chap. Du Conin au Poil-Follet.
On saŪt que j'avais deux Filles, ou que dumoins ma Clandestine
les avait: car je me rappelle qu'elle prťtendait, que ses
vťritables Filles ťtaient mortes en Nourrice, & que... &
que... Elle parlait du Roi... d'une Princesse.... Mais elle
ťtait si menteuse, que Á'eŻt ťtť une folie de la croire.
CONQUETTE-INGENUE, ma fille-aÓnťe, me causait des desirs dŤs
l'‚ge de dix ans. Pendant que sa Mťre non encore vťrolťe
couchait & foutait avec Un Galant, elle envoyait Conquette
dans mon lit. Cette Enfant avait la plŁs jolie conque. Je me
fis une rŤgle dŤslors de la lui baiser tous les soirs, aprŤs
lui avoir ťcartť les cuisses, durant son premiťr sommeil.
J'introduisais lťgŤrement la langue, mais sans lŤcher. Je
m'endormais ensuite, elle remise sur le cŰtť, ses fesses sur
mes cuisses, & mon vit pressť entre les siťnnes. Dans le jour,
j'enconais, ou la MaÓtresse d'Un certain MiviŤre, Avocat, ou
Une jolie Bossue toujours biťn chaussťe, qui demeurait dans la
maison; ou Une BoÓteuse des deux cŰtťs, mais d'une delicieuse
figure, & prÍte ŗ se marier: Elle s'ťtait laissťe dťflorer par
son Futur, & depuis ce temps-lŗ, elle ne mťnageait plus un
trŤs-joli con blond. Quand ces trois Fouteries me laissaient
chomer trop longtemps, je fourgonnais le vit serrť entre les
cuisses de Conquette-Ingťnue, qui se sentant gÍnťe,
l'empoignait toute-endormie, & me fesait ťjaculer. Elle avait
onze ans. Elle sentit quelque-chose, & parla. On la mit dans
un cabinet fermť.
Elle apprit ŗ dessiner. Lorsqu'elle eķt treize ŗ quatorze ans,
aprŤs une interruption de plŁs de deux ans, je me trouvaŪ
veuf, & elle revint ŗ la maison. Elle coucha dans une petite
chambre ŗ-cŰtť de la miťnne.. Elle ťtait grandie, faite-au-tour:
elle avait le piťd le plŁs parfait. Je la fis chausser
par l'Artiste le plŁs habile, sur la forme de sa Mťre, qui
ťtait celle de la Marquise-de-Marigni. Puis je devins
ťperdķmment amoureux de mon Ouvrage.
Mais Persone jamais ne fut plŁs chaste que cette celeste
Fille; quoique ses Mťres, soit rťelle ou putative, fķssent
putains, & soient toutes-deux mortes de la vťrole. Conquette-Ingťnue
ne souffrait pas qu'On prÓt sur elle la moindre
libertť... La Providence le voulut sans-doute, pour qu'elle en
fŻt un-jour plŁs desirable & plus voluptueuse... Ainsi je me
trouvaŪ rťduit ŗ la gamahucher pendant son sommeil, qu'elle
avait profond, heureusement! Je profitais de son premiťr
somme, pour la decouvrir, admirer son delicieux Connin, qu'un
joli Poil-Follet commenÁait d'ombrager, & la gamahucher
moderťment. Ce ne fut qu'ŗ la dixiŤme nuit, que je la sentis
me riposter: je redoublaŪ les coups de langue, & elle ťmit....
La lumiťre ťtait ťteinte, quand Ingťnue s'ťveilla, en disant:
"H‚! h‚! h‚! Áa me chatouille! h‚h!"....... Elle crut qu'elle
avait rÍvť. Cependant elle dagua sa jeune Soeur, couchťe avec
elle, de plusieurs coups-de-coude, comme si elle eŻt pensť que
cette Enfant l'avait chatouillťe.
Je me remis dans mon lit, enchantť que ma Fille eŻt dechargť.
Cette ťmission me fit esperer, qu'ayant ťveillť son
tempťrament, je pourrais l'enconner biťntŰt, en faire ma
MaÓtresse, & me trouver le plŁs heureux des Hommes. Mais que
j'ťtais loin de compte? & combiťn de Vits devaient tenter de
matyriser ce divin Connin, avant le mien! hÍlas! il fut prÍt
d'essuyer Une Iliade de malheurs!..... Quoi qu'il en soit, Á'a
ťtť ma vťritable inclination, la plŁs constante, la plŁs
voluptueuse, que cette adorable Fille, qui n'a eķ de Rivale,
que sa Soeur... Non (je le dis, d'aprŤs l'expťrience), il n'est
pas au monde de plaisir comparable ŗ celui de plonger son vit
bandant, jusques au fond du Con satinť d'Une Fille cherie,
surtout si remuant du cýl avec courage, elle dťcharge
copieusement! Heureux! heureux qui cocuffie, & fait cocuffier
Un Gendre ťgalement dťteste de tous-deux!
Conquette-Ingťnue eķt ses rŤgles la semaine suivante de celle
oý elle avait enfin dťchargť. Ainsi elle ťtait parfaitement
nubile. Mais ťveillťe, je ne pouvais lui ravir aucune faveur
essentielle. Ma Soeur Marie, qui me connaissait, la mit en
apprentissage de Modes & du commerce de la Bijouterie, chťz
Une jolie Marchande, dont le Mari ťtait chef de Bureau; & le
Bijou de la belle Conprenant me dedomagea, mais sans m'en
consoler, des rigueurs de celui de ma Fille. Je le mis aussi ŗ
ma NiŤce Beauconnin, alors mariťe ŗ son Cousin. Et sans ce
double soulagement, aurais-je pu m'empÍcher de violer la
provocante Conquette-Ingťnue? EperdŻment amoureux d'elle,
n'osant lui prendre de-jour son joli Poil-Follet, & ne l'ayant
pas la nuit, je me contentais de la faire regarder dans la
ruŽ, par une fenÍtre ŗ large rebord; ce qui lui mettait
ŗ-dťcouvert un piťd exquisement chaussť, une partie de la plŁs
belle jambe; desorte qu'en me baissant, je voyais la cuisse, &
le Connin dans certains mouvemens, ou lorsqu'elle se disposait
ŗ descendre. Je bandais comme Un Carme. Mais en ce moment
arrivaient ŗ-point-nommť, ou la MaÓtresse de Conquette-Ingťnue,
ou ma jolie NiŤce Beauconnin, que j'alais enfiler
dans ma chambre, aprŤs avoir dit ŗ ma Fille de se remettre ŗ
la fenÍtre, pour les voir arriver; & au-moyťn de ma porte
entr'ouverte, je voyais le piťd provoquant, la jambe
voluptueuse de Celle qui me fesait bander, en foutant soit sa
MaÓtresse, soit sa Cousine.
Quatre ans s'ecoulťrent ainsi; & je n'eķs plus de fouteries.
Alors, plŁs amoureux que jamais de Conquette-Ingťnue, qui
ťtait superbe ŗ dixhuit ans, je rťsolus de la faire coucher
quelquefois chťz Moi, en la retenant tard, sous prťtexte d'une
indisposition subite. Elle avait toujours le sommeil aussi
profond: Ainsi, dŤs qu'elle ťtait endormie, je la gamahuchais,
& je la faisais copieusemt dťcharger. Elle avait une Motte
superbe, ombragťe d'un poil noir doux & soyeux. Je brŻlais
d'envie de le lui mettre. Mais elle s'ťveillait toujours en
dechargeant. Aussi me disait-elle: -- Je ne fais que chťz vous
de singuliťrs rÍves, qui me rendent toute je ne saŪs
coment--!... La seule chose que je me permÓsse, ťtait de demander ŗ
baiser son joli piťd chaussť; quelquefois sa jambe: j'alaŪ
un-jour, en la tourmentant beaucoup, jusqu'ŗ obtenir de toucher
le poil-satin de son Bijou: Mais elle fut ensuite si fort
effarouchťe, craignant que je ne parvÓnsse ŗ la dťflorer avant
mariage, qu'elle prťcipita, aÓdťe de sa MaÓtresse Mad.
Conprenant, un mauvais ťtablissement avec Un Infame. Ce fut ce
que j'ai eķ tant de peine ŗ lui pardonner!... Mais la pauvre
Enfant en a trop souffert... elle s'en est assťz rťpentie...
son charmant Connin a depuis trop biťn-mťritť de Moi, pour que
des torts de jeunesse & d'inexperience ne soient pas oubliťs.
J'y ťtais obligť dailleurs par un autre motif: c'est que je
dois ŗ cet execrable mariage d'indicibles delices (comme On va
le voir), ainsi que ma fortune prťsente.
VIII Chapitre.
Chap. Des Conditions de mariage.
Le Dimanche suivant, Conquette-Ingťnue ťtant chťz moi, suivant
son usage, elle ne put s'empÍcher de voir, que je bandais ŗ
n'en pouvoir plus! Elle tremblait pour sa virginitť!... Je lui
avŗis baisť le piťd, la jambe; mais elle avŗit dťfendu son
connin. Tout-ŗ-coup je me lŤve, & m'appuyant sur le dossiťr de
sa chaise, je plonge les deux mains dans son corpset; je lui
prens les tetons.... H‚! qu'ils ťtaient jolis!... petits, mais
fermes! & d'une blancheur.... Elle ne put se dťrober... Elle
me dťclara pourlors sťrieusemt, qu'elle voulait se marier. A
ce mot, je passaŪ devant elle, le vit ŗ l'air et biťn bandant.
Elle devint rouge comme une cerise: Elle bouillait. Enfl‚mť
d'amour & de luxure, je lui notifiaŪ, que je ne signerais
riťn, qu'ŗ la condition de la dťpuceler auparavant. Elle se
recria!... Je lui pris le Con par force. Elle se recueillit, &
me dit: -- Signťz dumoins pour ceci? -- Oui; si je te gamahuche-.
Elle ne m'entendait pas. Je m'expliquaŪ, ajoutant: -- Et
jusqu'ŗ la dťcharge, ou le plaisir, de ta part, inclusivement-?
Elle reflťchit... Puis soupirant: -- H‚! combiťn vous me
l'avťz fait! Mes rÍves ťtaient causťs par vous-!.... Elle se
mit ŗ la renverse sur le lit, en me disant: -- Satisfaites-vous!
&.. ne me.. trompťz pas!... gamahuchťz.. mais je veux
Ítre pucelle le jour de mon mariage avec M. VitnŤgre; c'est Un
Home veuf, & Mad. Conprenant dit qu'il s'y connaÓt-. Pendant
ce discours, je rassasiais mes Ôeux dabord de la vue du plŁs
ravissant des Connins; de celle d'un ventre uni comme
l'ivoire; d'une cuisse d'alb‚tre; d'un cýl de satin. --
DepÍchťz-vous? -- J'inventorie ce que nous devons livrer ŗ ce
M. VitnŤgre, & tout est biťn conditionnť, une chose que je te
diraŪ exceptťe. Gamahuchons-. J'etais enragť! Je la lŤchais
avec fureur, guettant l'instant de l'ťmission de sa liqueur
virginale, pour me jeter sur elle, & l'enfiler. Elle ťmit dŤs
le sixiŤme coup de langue; desorte que je ne le pouvais
croire. Mais biťntŰt ses tremoussemens m'en convainquirent.
Alors, quittant le Conin, je me jetaŪ sur elle. Enivrťe de
plaisir, il est certain qu'elle m'aurait laissť tout faire:
mŗis son jeune Connichon, quoique biťn humectť de son foutre &
de ma salive, ne put Ítre penetrť. L'experience qu'il faut,
pour enfiler certaines Pucelles, de la pomade ou du
beurre-fraÓs, ne m'ťtait pas encore acquise... A la fin, elle me
saisit le vit, pour me debusquer. Pressť de sa main douce &
blanche, il dťchargea, & couvrit d'Un Foutre azurť, son con,
son ventre, ses cuisses & sa main. Propre comme elle le fut
toujours, elle se debarrasse, & court se laver. -- Qui ne
dirait (m'ťcriaŪ-je) en la voyant s'ťponger cýl, cuisses &
Coniche, que je l'aŪ enconnťe!... -- H‚! si vous ťtiťz
raisonable!.. (rťpondit Conquette-Ingťnue), ce joli
gamahuchage, tant que vous voudriťz; car j'aŪ eķ biťn du
plaisir! -- Voila un joli mot-! Et je lui fis darder la langue
dans ma bouche, Moi lui tenant le Conin. -- Mais (reprit-elle),
pas ce qui M'a salie, dans ce que je viťns de laver! je veux
ťtre honnťte-femme. -- Tu dois ton joli Con ŗ ton PŤre, ma
charmante Fille! -- Si vous ťtiťz plŻs riche, je renoncerais au
mariage, & je me dťvouerais ŗ vos plaÓsirs. Mais il me faut Un
Mari, pour cesser de vous ťtre ŗ charge-. Touchť, je la baisaŪ
des piťds ŗ la tÍte, souliťr, jambe, front, oeil, bouche, cou,
tetons, cuisses, cýl, enfin motte, jusqu'ŗ ce qu'elle
dťcharge‚t... Ensuite, je signaŪ tout ce qu'elle voulut...
Elle ťtŗit adorťe, en ce moment.. Elle se maria, sans Me
revoir, & M'ťvita pendant trois mois. Une pareille conduite Me
rendit furieux contr'elle, & je juraŪ de la foutre & faire-foutre,
si elle retombait entre mes mains, Mille-&-Une-Fois,
avant que de lui pardonner!... Mais savais-je alors qu'elle
ťtait malheureuse?
IX Chapitre.
Chap. Des Dedommagemens.
VICTOIRE-CONQUETTE, ma seconde Fille, ťtait en Province,
depuis la mort de sa Mťre, chťz sa Tante Jenovefette, alors
mariťe avec son derniťr Entreteneur. N'ayant plus de Con ŗ ma
devotion, je redemandaŪ Victoire. En attendant qu'elle
arriv‚t, je m'accomodaŪ de deux petits Conins encore imberbes,
ou dumoins ŗ Poil-Follet, que je parvins ŗ perforer, en les
pomadant. C'ťtaient la Soeur & la MaÓtresse de mon Secrťtaire,
qui lui-mÍme Me les livra, comme On le verra par la suite.
Nous foutions jusqu'ŗ sa vieille Bellemťre; ne voulant pas
aler aux Putains.
DŤs que Victoire fut arrivťe, je la fis chausser comme sa
Soeur, ŗ talons minces-ťlevťs; & cette Enfant, qui atteignait
quinze ans, me fit autant bander que son AÓnťe. Mais je ne
cherchaŪ pas ŗ la dťflorer, elle ne me servŗit qu'ŗ Me mettre
en humeur, & ŗ me faire enconner plŻs vigoureusement & Minone,
& Conette, Soeur & MaÓtresse de Tražtdamour mon secrťtaire, ou
leur Bellemťre. Pour cela, quand Victoire rentrait parťe,
chaussťe, je la saisissais par la jupe, & je l'assťyŗis sur
mes genoux, ŗ-crŻ, Moi deculotť, quand je le pouvais: je me
fesais caresser, donner de petits coups de langue. Si j'ťtais
ŗ-crŻ, mon vit lui alait entre les cuisses comme le batant
d'une cloche: si elle n'ťtait pas troussťe, comme elle ťtait
fort-innocente, je Me fesais empoigner le vit, en lui disant:
"Mignone, serre-moi le doigt, fort! fort"! Minone, Conette, ou
la Bellemťre arrivŗient toujours, Tražtdamour en alant
chercher Une, dŤs qu'il me voyait m'enfermer avec Victoire: En
les entendant, je remettŗis la charmante Enfant dans sa
chambre par une porte-derobťe; j'ouvrŗis, & je foutŗis
delicieusement, les couilles chatouillťes par Tražtdamour. Il
enconnait ensuite la MÍme, Soeur ou Bellemťre, & je lui maniais
les couilles.
Je Me serŗis contentť de cette vie pendant longtemps, quoique
toujours amoureux de Conquette-Ingťnue, devenue Mad. VitnŤgre,
si mes Soeurs Marie & Jenovefette n'eķssent trouvť indecent que
je gardasse Victoire seule chťz Moi. Elles M'obligťrent ŗ la
mettre en apprentissage pour le linge, chťz des Devotes
qu'elles M'indiquŤrent. Mad. Beauconnin l'y conduisit.
Heureusement que la chŤre Fanfant M'avait, depuis quelques
jours, donnť la conaissance d'Une grande & superbe Femme-separťe,
son Amoureuse ťperdue, sans que la naÔve Victoire
s'en dout‚t, & que cette Belle-femme M'en croyant amoureux
aussi, foutit sous Moi avec fureur. Car elle M'appelait alors
son Papa, & Me disait: -- Enconne; enconne... enconne ta...
provocante Victoire! ta... passionnťe, ta... tendre Fille-!
X Chapitre.
Chap. De l'infame Mari.
Mais le moment approche, oý je dois recouvrer Conquette-Ingťnue..
Mon desir le plŻs vif, mÍme dans les bras de Mad.
Moresquin (l'Amie de Victoire), ťtait de faire VitnŤgre cocý!
Un-jour, ma Conquette me rencontra sur le pont-Notredame. Elle
ťtŗit malheureuse: elle vint se jeter dans mes bras. Je fus si
ťmu, que toute mon anciťnne colŤre s'ťvapora. Ma delicieuse
Fille ťtait encore embellie dans les douleurs. Mon premiťr
mouvement fut de lui prendre le con. Mais nous ťtions dans la
ruŽ... J'alaŪ la voir dŤs le lendemain-soir, ŗ l'heure oý elle
M'avait dit que son Mari, ou plŁtŰt son Monstre, n'y ťtait
jamais. Je la trouvai seule en-effet; & dŤs cette premiťre
visite, elle m'avoua qu'elle avait Un Amant. Ravi de cette
confidence, qui M'annonÁait le cocķage de VitnŤgre, je la
flatŠi, je l'amadouŠi; je l'engageŠi ŗ se le laisser mettre
par Timori (son Galant). Mais je compris biťntŰt que c'ťtait
des deux cŰtťs, un amour absolument Platonique, oý Conquette-Ingťnue
se consolait auprŤs d'un Bandalaise, des brutalites
d'un DťbaŻchť. Elle aimait ŗ parler de son Amant: Et comme
j'ťtais le seul, avec quÓ elle le pŻt en sŻretť, que je promis
de leur procurer des entrevues, je fus cheri.
A la seconde visite, Conquette me dťcouvrit quelques infamies
rťcentes de VitnŤgre. Un-jour qu'elle se baissait, pour
ramasser quelque-chose, il lui fit prendre le con par Un de
ses Amis. Elle s'ťcria. -- Ce n'est riťn qu'un con de pris (dit
froidement VitnŤgre)... (ŗ son Ami): -- Ne t'avais-je pas biťn
dit, qu'elle avait le poil du con plķs satinť que de la
soie?... Hť-biťn, le dedans est plķs doux encore-... Conquette
voulut se retirer. Il la retint brutalement, la fit mettre sur
lui, la troussa jusqu'aux cuisses, & lui tint le con,
s'efforÁant de le faire voir, ou de la branler, pendant tout
le temps qu'il fut ŗ raconter, combiťn, quand elle le voulait,
elle donait de plaisir ŗ son Caresseur. -- Mais (ajouta-t-il),
elle est comme les Putains; il faut la rosser, pour lui faire-faire
son devoir-. Il voulut ensuite lui decouvrir la gorge.
Elle s'ťchappa. Mais il l'atteignit d'un coup de piťd....
Quelques-jours aprŤs, le Meme ťtant venu dÓner, aprŤs le
caffť, VitnŤgre s'ťtant aperÁu que sa Femme, aprŤs avoir
pissť, avait fait bidet, dit ŗ Culant son ami: -- Voila un con
biťn propre! il faut le gamahucher tous-les-deux, d'adresse ou
de force? Mais dans ce derniťr cas, ne t'ťtonne pas du
bruit!... Pour le premiťr, voila une clťf; elle ouvre la porte
du cabinet qui donne sur le corridor. Tu entreras, quand
lassť, je dirai trŤs-haut: -- Alons, Madame, faites-moi beau
con, & recommenÁons-. Et donne-t-en! car je voudrais que toute
la Terre foutÓt la Garse: elle n'est pas assťz large-...
Conquette fut rappelťe. Le Mari la fit asseoir au milieu
devant le feu, mit ŗ l'air son vit, ses couilles de Mul‚tre, &
dit ŗ son Ami d'en faire autant. Comme il hesitait: --
Decýlote-le tout-ŗ-l'instant, Bougresse, ou je t'arrache les
poils du con ŗ la poignee-! Et il y porta la main. Elle fit un
cri. Culant mit aussitŰt ŗ l'air son vit & ses couilles, en
demandant gr‚ce pour elle. -- Alons, Bougresse, branle-nous
tous-deux, Un de chaque main?... Je suis son MaÓtre (ajouta le
Scelerat); elle m'est abandonnťe-. Conquette pleurait. L'Ami
demanda encore gr‚ce pour elle... -- Hť-biťn, qu'elle me suce
le vit, lŗ, ŗ-genoux devant moi, que je lui decharge dans la
bouche? Je dechargeais dans celle de ma premiŤre Femme, qui en
est morte, & c'ťtait mon delice. Culant observa, que ce serait
g‚ter la plķs jolie des bouches. -- Hť-biťn donc, je vais la
gamahucher. -- Je banderais trop! (dit Culant): passťz dans ce
cabinet-. VitnŤgre y poussa Conquette, & se substitua Culant.
Puis il sortit pour aler jouer. Culant gamahucha, & n'osa
foutre Conquette, ayant le vit si petit, qu'il ne pouvait Ítre
pris pour VitnŤgre. Mais il dechargea six fois, & Conquette le
double. Il se retira, en lui donnant un coup-de-poing, afin
qu'elle fŻt persuadťe que c'ťtait VitnŤgre. Mais le soir, ŗ sa
rentrťe, le Monstre dit ŗ sa Femme: -- Hť-biťn, Bougresse?
as-tu ťtť assťz gamahuchťe? ce n'ťtait pas Moi; je ne t'aurais
fait l'honneur de decharger six fois; c'ťtait mon Ami. Mais,
Garse, tu l'as reconnu, puisque tu en as dechargť douze, & que
tu ne bandes pas pour Moi. Et le bon coup-de-poing qu'il t'a
donnť, hťin? l'as-tu senti? (l'Infame ťclata de rire). Alons,
Garse de b‚tarde d'Avocat, te voila putain; j'entens que ton
con me rapporte-. Effrayťe, Conquette se promit de le quitter.
Ce fut le lendemain qu'elle me rencontra, & de ce moment elle
prit de la fermetť contre le Monstre
Ce recit de ma Fille, quoique plŻs gazť dans sa bouche,
m'avait revoltť! je lui promis un prompt secours.... Mais
en-mÍme-temps il me fesait bander en Carme, comme tous les recits
de brutalitťs libidineuses. Je demandŠi des faveurs? On
rougit; mais On Me laissa baiser un joli souliťr vert, qu'On
portait pour la premiťre-fois. Je M'en tins lŗ. Cependant ŗ la
visite du lendemain, je glissŠi en riant, une main dans son
dos; insensiblement j'en vins aux tetons, qu'elle defendit,
mais qui me restŤrent enfin. Je me fis ensuite donner de ses
cheveux; puis voulant voir jusqu'oý je pouvais la mener, sans
l'effaroucher, je la tourmentaŪ pour avoir une petite touffe
des poils de son con soyeux. Elle me la donna; mais en
tremblant que son Mari ne s'en aperÁŻt! Pour la remettre, je
la fis parler de son Amant; & pendant cet entretiťn, de
libertťs en libertťs, je parvins au con. Elle ťtait si
parfaitement Š son sujet, que je crois en-veritť qu'elle
s'imagina que c'ťtait Timorž qui lui tenait la motte!... Je
lui dis, en la patinant, que je lui avais trouvť une pension,
pour quand elle aurait quittť VitnŤgre. Elle rougit de
plaisir, & m'embrassa. Je lui dardaŪ ma langue, & elle me fit
sentir la sienne... Ravi, j'alais lui demander le Recit de la
Maniťre dont elle avait ťtť depucelťe? Quand VitnŤgre s'ťtant
fait entendre, je me jetaŪ dans le cabinet obscur, me
proposant de m'ťvader par la porte du coridor. Mais je fus
ťtrangement surpris de voir un Moine introduit par cette
porte! Il ne m'aperÁut pas; je me cachaŪ derriťre un grand
sofa. VitnŤgre entra aussitŰt par la porte de la piŤce que je
quittais. -- Mon Reverend-Pťre, voulťz-vous la foutre avant
dÓner-? Le Moine, qui devorait des Ôeux la belle Conquette
ŗ-travŽrs les vÓtrages, parut concentrť... Aubout d'un moment,
il repondit:
XI Chapitre.
Chap. Pucelage des inť aux gros Vits, pris par un petit.
-- Non: Comme nous en sommes convenus, passťz dans la chambre
ťclairťe; faites-moi voir, en badinant avec elle, tetons, cýl
& con: je me reserve pour la nuit. -- HŰ! ce coup-ci serait
pardessus le marchť. -- Non: j'aime ŗ foutre au lit, ŗ suÁoter
langue & tetons; ŗ enconer, enculer, entetonner, &c. ŗ mordre,
arracher les bouts... Alťz... Ayťz le vit ŗ l'air, & qu'elle
soit biťn chaussťe... De la brutalitť-! VitnŤgre rentra
deculotť auprŤs de sa Femme toujours tremblante devant lui.
Alons, Bougresse, il me faut du plaisir? Voi comme je bande, ŗ
la vue de ce joli soulier vŽrt?... J'aŪ entendu hier un
Jeanfoutre derriťre toi, qui disait, qu'il aurait voulu
decharger dedans... A-bas ce fichu, que je voye tes tetons..
Comme ils sont jolis! blancs!... fermes! H‚! Garse!
j'arracherais ce joli bouton, si je ne craignais de les
g‚ter!... Marche.... Quel tour de croupion foutatif!...
Troussťe, Putain, audessus des reins & du nombril, que je voye
ce mecanisme-lŗ?... Marche en avant, prťsentant le con...
Retourne-t-en montrant le cýl... H‚! le joli mouvement!...
Continue, Garse-ŗ-cul & ŗ con, jusqu'ŗ ce que je te dise,
HŰla... (Elle fit ainsi cent tours, montrant alternativement
son cýl, son con)... Cependant le Moine disait: -- Ce Bougre lŗ
n'a pas le vit si gros que moi, & il n'a pu la depuceler! HŰ!
comme elle criera cette nuit!... Mais je n'y tiťndrais pas; je
la tuerais; elle crierait ŗ faire venir le Voisinage... Je
m'en-vais-. Et il sortit doucement, en murmurant: Elle est ŗ
tuer; elle le sera-!... Au mÍme instant VitnŤgre dit, Hola,
Garse engarsťe-. Et il vint dans le cabinet. -- Qu'en dites-vous?
(dit-il): la voulťz-vous essŠyer? Je bandais ŗ n'en
pouvoir plus; je rťpondis biťn bas pour le Mone. -- Oui-.
VitnŤgre ala chercher sa Femme; & la poussant brutalement, --
Alons, de-par-Dieu, Garse, Putain, que je te foute... H‚!
comme tu vas crier! Mais songe, s crť Conin de Poupťe, ŗ ne
pas faire venir ici les Voisines! ou je les laisse tous
entrer, sans me deranger de sur ton sacrť ventre-!... En
achevant ces mots, il me la renversa troussťe sur le foutoir
mis lŗ exprŤs, & se retira. Je me prťcipitaŪ sur ma Fille, qui
se sentant enfiler presque sans douleur, ne criait pas. -- Crie
donc! (lui dis-je biťn-bas). Et elle cria ŗ-tue-tÍte, en se
reconnaissant enconnťe par un Etrangťr. DŤs que j'eķs dechargť
delicieusement, en lui fesant osciller le con, je m'ťchappaŪ,
avant que les Voisines arrivassent; & comme elle continuait ŗ
crier, je les envoyaŪ ŗ son secours. On la trouva debout. --
C'est ma Femme que je baisais (dit VitnŤgre). Regardťz y; il
en est encore tout barbouillť. Mais elle est du naturel des
Chates; elle mord & crie, quand On la fait biťn-aise-. Les
Voisines rirent, & se retirŤrent. VitnŤgre dÓna, & fut assťz
honnÍte; il craignait que sa Femme n'eŻt connu qu'elle ťtait
foutue par un Moine, & qu'elle ne parl‚t.. Je dÓnais dans un
cabaret en face. Je le vis sortir, & aussitŰt je retournŠŪ
chťz ma Fille, qui me conta tout. Je me tus dabord.
Je lui fis raconter la maniŤre dont je croyais qu'elle avait
ťtť depucelťe; parceque ce recit avait du haut-gout pour moi,
& qu'il me ranimerait assťz, pour me la faire foutre encore.
Elle le fit, dŤs que je l'eķs mise en goŻt, en lui rapelant de
son Amant.
-- Notre premiŤre nuit et les trois suivantes, ont valu chacune
cinq-cents louis ŗ VitnŤgre, ŗ ce qu'il m'a dit par la suite.
DŤs que nous fumes arrivťs ŗ sa demeure, il alluma quatre
bougies, qu'il mit autour du lit, sur lequel il me renversa
troussťe jusqu'aux reins. Il me tourna, retourna, m'examinant,
me baisant partout: Il me fesait lever les jambes en l'air,
puis mettre debout sur le lit. -- Remue du cul (me disait-il),
ainsi, ainsi (me montrant), comme si je te foutais-. Je lui
observai, que cela ťtait indecent. -- Bast! une Femme est la
Putain de son Mari-... Il me gamahucha. Il s'ťcria de toutes
ses forces: Elle decharge-! Et il me fit empoigner son gros
membre, de la couleur & de la grosseur de celui d'un Cheval. --
Alons! alons, que je te foute, ŗ-prťsent-. Il se jeta sur moi.
Mais il ne put riťn. -- Foutre! Celles qui disent que ton PŤre
t'a depucelťe, sont des Garses! tu es pucelle comme quatre. Je
voudrais que tout le monde fŻt-lŗ, pour en ťtre temoin-......
Il me pomada... devant, derriŤre. Il ťteignit les bougies (mon
pucelage ťtait vendu), & il parut se coucher. Mais ce fut
Un-autre; car toute la nuit je fus tourmentťe par un gros membre,
qui ne put riťn-... [Depuis le mot de son recit, Elle
decharge! elle decharge! j'avais glissť une main entre les
cuisses de ma Fille, sans qu'elle s'en plaignÓt. Ici, je lui
h‚pŠi le Con. -- H‚! Papa! ne me menagerez-vous donc pas plŻs
que les Autres, un-jour oý... j'a ťtť depucelťe! -- Depucelťe!
h‚! celeste Fille!... Est-il biťn vraž? -- Jamais On n'est
entrť... dans ce que vous me tenťz... qu'aujourd'hui! -- O
Fille adorťe! je suis un Dieu, & non pas un Home... Mais tu
m'as fait trop bandťr: ta prťcieuse faveur?... ou..
j'aurais... une colique spermatique ťpouvantable-! Et je
l'enlevŠi vivement dans mes bras; je la portai dans le cabinet
obscur.
XII Chapitre.
Chap. Du plus delicieux des Incestes.
-- Vous voila tous! (me dit-elle); & mon Papa lui-mÍme ne me
rechŤrche que pour ce trou-lŗ! -- Et pour ton cýl, tes tetons,
ta bouche, tes Ôeux, ta t‚ille voluptueuse, ton tour
provocant, ta jambe, ton piťd foutatif, ton ‚me naÔve &
virginale, malgrť tout ce qu'on a fait, pour te rendre putain-.
En parlant ainsi, je la troussais par derriŤre, courbťe
qu'elle ťtait sur le foutoir, & je me disposais ŗ le lui
mettre en levrŤte: mais il la falut pomader. Elle reprit: --
Mais c'est ma faute! ces recits-lŗ enfl‚ment tous les Hommes:
Timorž n'a ťtť prÍt ŗ me deflorer qu'une seule-fois; & ce fut
aprŤs ce mÍme recit moins detaillť-. Cependant elle faufuyait,
pour que je ne l'enfilasse pas. Je m'en plaignis tendrement: --
Tu veux donc me rendre malade, ma chŤre Fanfant-? Elle
s'attendrit; ses beaux grands beaux Ôeux bleus devinrent
humides: elle se cambra, pour me l'inserer elle-mÍme, & me
dit, en me secondant, malgrť quelque douleur, adoucie par la
pomade: -- Quand ma Soeur & moi nous voŁs l'avons vu tant de
fois mettre ainsi ŗ ma MŤre, sur le piťd de votre lit, vous
criiez de plaisir!.... n'alťz pas en faire autant! VitnŤgre
peut revenir-? Je lui promis le silence, telles delices que
j'ťprouvasse... J'enconnais. Ma Belle fesait de petits
mouvemens de contraction du Conin. Jamais satin ne fut aussi
doux que l'interieur de ce Conin celeste: Conin encore imberbe
n'est pas plŁs ťtroit! -- H‚! si ton Gueux avait connu le prix
de ton divin Con, il t'aurait defoncťe, eķsses-tu dŻ en perir.
-- Non: comme il l'a trop gros, il craignait de m'avachir: Il
se branle, ou me fait le branler, en me tenant le poil, ou une
fesse, & decharge... en... blasphemant-. (Elle se contracta,
et dechargea). Je partis alors delicieusement, en me recriant,
malgrť ma promesse. -- Remue du croupion (ne cessais-je de
dire), remue du Conin, mon Ange?... Bon,.. bon!.. encore?
encore-?... Et elle se contractait, en redechargeant, au-point
que le fond de son Con me pinÁait, & me suÁait le bout du
vit.... Je dechargeai trois-fois, sans deconner: & elle,
peutÍtre dix-fois. Ce que je sentais ŗ ses tremoussemens
convulsifs. Enfin, elle se p‚ma... Je deconnai, dŤs qu'elle
cessa d'ťmettre. Elle se lava aussitŰt, craignant que
VitnŤgre, en arrivant, ne lui prÓt & ne lui flair‚t le Con,
suivant son usage, mÍme devant le monde qu'il amenait.
Pour nous reposer, nous alames causer ŗ la lumiŤre. Je lui
revelai lŗ toute l'avanture du Moine, pour lequel VitnŤgre lui
avait fait si longtemps tenir en vue tetons, cýl, Conin: je
lui peignis la grosseur du vit du Moine, le double de celui de
son Monstre: la joie barbare qu'avait marquťe l'execrable
Moine, ŗ-cŰtť duquel j'ťtais cachť, de la pourfendre & de la
tuer, la nuit prochaine, avec son vit comme un timon de
carosse... Elle se jeta dans mes bras: -- O mon cher Papa?
sauve-moi? & je te suis devouťe ŗ jamais? -- Je te sauverai..
Je lui expliquai comment, & pourquoi le gros Moine s'en ťtait
alť; l'assurant que je l'aurais poignardť, s'il avait
entrepris de la violer sur-le-champ. Je lui detaillai comment
son abominable Mari me l'avait livrťe, comptant la donner au
Moine, auquel elle ťtait vendue. -- Tu sais, ma ravissante
Fille comme je te l'ai mis? c'est moi, contre tout espoir &
toute vražsemblance, qui ai ravi ŗ nos Ennemis, ton celeste
pucelage-?
ConquŤte me donna un joli baisťr sur la bouche. -- Mais comment
me sauveras-tu? -- Je viendrai te prendre dans une heure; je
t'emmŤnerai; tu coucheras dans ta pension: AussitŰt que tu
seras en sŻretť, je ferai entrer dans le cabinet obscur, avec
ta clťf, & coucher dans ton lit, la jolie Putain du Port-au-blťd,
deja prťvenue, comme pour y coucher avec moi. Je
guetterai: DŤs que VitnŤgre & le Moine seront arrivťs, je
m'ťchapperai. J'ťcouterai; et nous verrons demain-. Ma Fille
fut ravie.. Je la sauverai: mais j'aurais dŻ l'emmener au
moment mÍme. Aulieu de cela; je m'amusai ŗ lui faire raconter
la seconde et la troisiŤme nuit de son mariage.
XIII ChapÓtre.
Chap. Du Con & du Cul vendus.
Voici comme ma celeste fille reprit la narration que je
dťsirais:
-- Le second soir, VitnŤgre recomenÁa les mÍmes choses. Il me
prenait legŤrement la gorge: -- Ferme comme un gland-!
(disait-il)... Il me plaÁait comme s'il m'avait montrťe ŗ Quelqu'un
(ce qui n'ťtait que trop reel!) AprŤs avoir mis en vue ma
Conque, il me tournait pour faire voir mes fesses. -- Elle est
encore pucelle (dit-il, comme s'il se fŻt parlť ŗ lui-mÍme):
pour la perforer, il faudrait la pomader en diable, & se
pomader ŗ soi-mÍme le v...-. Il me gamahucha violemment; &
quand j'eķs ťmis suffisamment, selon lui, il me laissa
reposer. AprŤs un court sommeil, je m'ťveillai couchťe sur le
ventre, ayant sur moi un Homme, qui s'efforÁait de
m'introduire dans le fondement un fort gros membre. Mais
quoiqu'il n'eŻt aucun ťgard ŗ mes soupirs douloureux, il ne
put jamais s'ouvrir le passage par la rosette de mon anus (ce
fut son expression, prononcťe trŤs-bas ŗ Quelqu'un).
J'entendis ensuite, dans cette piŤce-ci: -- Il faudrait qu'un
v... moins gros que le miťn, me la fraye... Voyons, toi! Trop
gros, de beaucoup-!... Je n'y comprenais riťn. Je m'endormis,
& ne m'ťveillai plus.
Le lendemain, dans la journťe, VitnŤgre m'ayant beurrť la
rosette, & plongť son membre dans l'huile d'olive, me fit
coucher sur le ventre & retrousser. Il se mit sur moi, en
disant: -- Il faut que j'en t‚te de ce ragoŻt de Bougre-. Je
lui reprťsentai, qu'il m'avait essayťe toute la nuit. -- «a va
jusqu'ŗ toi (me repondit-il), & Áa te passe.... H‚! que
d'argent me vaudraient ces deux Bijoux-lŗ, s'ils ťtaient
connus-! Il fit tous ses efforts, me martyrisa deux heures
durant sans succŤs, & finit, parcequ'une copieuse dech--ge...
lui Űta sa roideur & ses forces....
Le troisiŤme soir, il repeta encore tout ce qu'il m'avait
fait... A mon reveil, dans mon premiťr somme, je me trouvai
sur le dos, ayant un Homme sur moi, qui m'attaquait le Bijou
de toutes ses forces. Je m'ťcriai! VitnŤgre me dit: "Decharges
tu, ma Fille"? On me quitta, & VitnŤgre ajouta: -- Si tu cries
comme au feu, dŤs que je voudrai te le mettre, nous voila
biťn!.. Alons, empoigne-moi le vit, que je dech--ge...
Chatouille-moi les coui-les de l'autre main... Tiťns, comme je
fais ŗ ton C-n. Va, va, va... vaah-. (Il ne m'appelait encore
ni Putain, ni Garse; ce ne fut qu'aubout de six semaines).
Mais ce n'ťtait pas lui que je maniais; j'en ai fait
l'observation depuis. On ťmit six fois de suite, je secouai
cet Homme plŻs d'une heure. Il en fut une autre ŗ me
gamahucher. Je n'en pouvais plus!... Il me fit ensuite lui
pisser dans la bouche, & n'en perdit pas une goutte, il avala
tout. Il me laissa enfin.... Si je n'avais pas ťtť dans une
securitť parfaite, je me serais biťn aperÁue, que VitnŤgre le
reconduisait, en disant. -- L'operation, l'operation-! Mais me
doutais-je de riťn?...
Je rebandais, malgrť quatre decharges, et deja je disais ŗ ma
Fille: -- Conin celeste, je n'en puis plus?... Je ne te
cacherai pas, ma delicieuse Amie, qu'outre ma passion pour
toi, qui est inexprimable comme ta beautť, j'ai un excitatif
puissant: c'est de faire cocu VitnŤgre. Je voudrais, s'il
ťtait possible sans triturer tes charmes divins, que toute la
Terre te pass‚t par le con, pour qu'il fŻt le cornard
universel... Viťns me donner le bonheur-? Et je l'emportais,
quand nous entendimes tourner la clťf. Je me cachai aussitŰt
dans le cabinet obscur.. C'ťtait VitnŤgre, qui rentrait avec
un Jeunehomme. Nous entendimes clairement, qu'il lui disait
avant d'entrer: -- Tu as le Vit cumme il le faut: c'est ce qui
me fait te donner pour six bougres de louis, un pucelage qui
en vaut mille. Il est essenciel que je te surprŤnne, et
veuille la tuer: Tu me supplieras, et je n'accorderai sa
gr‚ce, qu'autant qu'elle te secondera, pour l'enconner. Mes
gros Vits s'ennuient de ne pouvoir la Foutre ou l'Enculer. Ils
me paient une grosse pension: Aussi je la nourris biťn, et tu
vois comme elle est mise. Tu me l'enconneras dabord: c'est le
plus pressť: Demain, tu l'enculeras. Sache que son Mari
l'adore; s'il la rudoie, c'est pour la rendre souple ŗ toutes
ses volontťs. Elle me vaut trente-mille francs, en trois mois
de mariage. Entrons: elle va te ravir: mais point de pitiť-?
Tel fut le discours du Monstre.... Je poussai Conquette devant
moi; je la conduisis ŗ sa pension, d'oý elle revint avec moi.
Il ťtait nuit. Je pris Conillette la putain, arrangťe,
appetissante. Conquette nous prťcedait. Rassurťe par ma
prťsence, elle ouvrit le Cabinet obscur. Elle entra. Nous la
suivions. Je dis ŗ Conillette de s'ťtendre foutativement sur
le pied du lit... Cependant ma Fille se prťsentait. Elle fut
reÁue avec transport? Le Jeunehomme, appelť Lenfonceur, et
VitnŤgre lui-mÍme, la couvrirent de louanges. On ne lui baisa
que la main. VitnŤgre neanmoins, qui (de mÍme que les trois
Fouteurs ŗ gros vits, et le Moine), ťtait fou de sa chaussure
ŗ talons minces ťlevťs, lui baisa le piťd. Il lui dit ensuite:
-- Ha-Áa, ma Fille, alons-y par la douceur: Il serait
malheureux pour moi de renoncer ŗ te le mettre: il faut se
faire une raison: mon Vit est trop gros: non prťparťe, il te
dechirerait: Voici un vit mieux proportionnť, qui va te
perforer, sans decharger: ainsi percťe, mon gros Vit penetrera
cette nuit au fond de ton con: Voi-moi ce vit-lŗ-?... Et il
mit ŗ l'air le vit de l'Enfonceur, ou plŁtŰt de Timori... Il
falait que VitnŤgre eŻt decouvert, on ne sŠit comment,
l'inclination de sa Femme inspirťe par le beau Blond, pour en
user come on va le voir.
XIV Chapitre.
Chap. Le Jeunehomme, la Fille, le Moine.
Ma Fille, en reconnaissant son Amant, que son Mari lui amenait
pour l'enconner, avait rougi de pudeur, ou de desir. Elle
trouva moyen de venir ŗ moi, pour me dire: -- Faites
disparaÓtre la Fille; on ne l'emploiera que cette nuit-. Je
vis biťn qu'elle voulait Ítre foutue par son Galant. Je cachŠi
la Putain. Voici maintenant le recit de ce qui va se passer:
DŤs que Conillette se fut comodťment arrangťe derriŤre le
grand sofa, Conquette retourna auprŤs des deux Homes, qui la
rapportŤrent au foutoir, assise ŗ cýl-nu sur leurs mains
unies. "Alons, ma Petite Garse de Femme, (lui disait
VitnŤgre), tu vas pourtant Ítre depucelťe, foutue! Mais ce
n'est riťn! c'est quand tu auras Un gros Vit, cette nuit"!...
Il la troussait, l'arrangeait. "Lenfonceur, que je te mette le
vit dedans? "Non, non; ma Belle se le mettra elle-mÍme, "Tu as
raison: Il faut qu'elle s'y accoutume". VitnŤgre sortit, ťt
j'observai qu'il laissait la porte ouverte. J'en augurai
quelque noirceur: Mais j'ťtais lŗ... Timorž, biťn-bas, dit ŗ
ma Fille: "Vous le mettrai-je, ma bonne Amie? "Non, non! il
est alť chercher des Ecoutans [ce mot glaÁa Timorž]. "Mais il
vous estropiera? "Je ne couche pas ici". Alors l'Amant
satisfait, se mit ŗ la gamahucher doucement. Cependant la
Voluptueuse dechargea...
Elle ťtait aux Anges, quand j'entendis VitnŤgre revenir. Je
crus qu'il amenait le Moine. Il entra, passa rapidement, suivi
de trois Voisines, auxquelles il disait, -- Je vas vous
montrer-Áa-. Effectivement, il Leur montra que que-chose dans
sa chambre... Cependant mon amoureuse Fille, gamahuchťe par Un
Amant aimť, fit un profond soupir. Les trois Voisines
prťtŤrent l'oreille. "Ce n'est rien (dit VitnŤgre); ma Femme
est rentrťe, ťt je ne le savais pas. C'est pour elle cette
ťtofe-lŗ. "HŰ! il faut la Lui montrer! (s'ťcriŤrent les trois
Voisines). Le Monstre retint Celle qui alait La chercher. Il
prit la lumiŤre, en disant. "Je vais auparavant voir si elle
ne dort pas". Il ne fut qu'ŗ la porte, oý il s'arrÍta d'un air
de surprise ťt d'horreur!... Il recula. Mais les trois
Voisines avaient vu comme lui, pardessus son ťpaule, Conquette
troussťe, ťtendue ŗ la renverse sur le piťd du lit, la tÍte
d'Un Homme entre ses cuisses... Il Les fit sortir par le
corridor, en se frappant le front...
Il avait rempli son but. Si sa Femme criait pendant la nuit,
les trois Voisines, qui se croyaient biťn au-fait, y
mettraient les Autres: Sž Mad. VitnŤgre perissait ťcalventrťe
par le timon du Moine (qui ťtant extrÍmement riche, devait La
payer 60-mille francs, ťt qui en avait deja tuť plusieurs,
choisissant toujours les plŁs ťtroites), ce serait la Morte
qui aurait tort... Cependant VitnŤgre rentrait auprŤs des deux
Amans, qui avaient changť de position: Lenfonceur, aprŤs avoir
dechargť par terre, s'ťtait remis sur le ventre de ma Fille:
"Hť-biťn? (dit l'infame Mari), est-elle enfilťe? biťn
enconnťe?... Dechargťz vous? decharge-t-elle? "Nous avons
dechargť (repondit Timorž-Lenfonceur). "Je vas sortir (reprit
VitnŤgre): Ramone-la moi encore pendant une bonne demi-heure,
que je serai dehors... Et ne vous ťtonnez pas de ce que vous
alťz entendre: J'ai mes raisons". Il ala dans le corridor,
dont il ouvrit doucement la porte, ťt se mit ŗ crier
sourdement, comme s'il avait bourrť sa Femme ŗ coups-de-piťds,
"H‚ Garse! h‚ Putain!... Tu fous, sacrťe Salope! Quand je suis
sorti, tu raccroches!... Je vais chťz le Commissaire"! Il
ouvrit la porte bruyamment, ťt la referma de-mÍme. Mais il dit
tout-bas, avant de s'ťloigner: "Remue du cýl, ma Petite
Femme!... Courage; Lenfonceur! fraye-moi la biťn"!
"Voila un rusť Scelerat! (dis-je ŗ ma Fille, pendant que
Timorž observait la sortie de VitnŤgre): Le Moine t'aurait
tuťe, ťt il ne neglige riťn pour motiver ta mort. "Sauvons-nous!
(me dit-elle). "Non, non: nous sommes assťz pour te
defendre. Feins ŗ Timorž que j'arrive-... Le Jeunehomme
rentra. "Voici mon Papa, arrivť a-propos! "H‚-oui! (repondit
Timorž), sa prťsence pare ŗ tout; car j'alais proposer de nous
enfuir. Mais ŗ-prťsent, voyons ce qui arrivera". Je Lui
montrai Conillette, ťt je lui fis entrevoir notre plan, que
Timorž trouva merveilleux!... Le temps s'ťcoula vite. Nous
entendimes revenir. Timorž reporta la lumiŤre dans la chambre;
nous nous cachames ma Fille ťt moi; tandis que le Jeunehomme
s'ťtendait sur le ventre de Connillette troussťe... "Que ton
vit ne m'approche pas! (lui dit-elle), je suis g‚tťe; que tes
couilles ne me touchent pas le poil; jai des Morpions-!.....
VitnŤgre entrait, suivi du Moine, que le Voisinage aux
fenÍtres prit pour le Commissaire.
XV Chapitre.
Chap. Du Fouteur ŗ la Justine.
Le Moine Űta dabord sa robe. Mais nous l'avions tous vu. Il
mit ensuite ŗ l'air un vit, si monstrueux, que ma Fille
tremblante m'ťtreignit dans ses bras "HŰ! qu'il est gros (dit
VitnŤgre). "Il a tuť deux de mes Soeurs Religieuses, qui
avaient fait chacune deux Enfans de notre Prieur: J'ai tuť
toutes les Femmes que j'ai enconnťes: il n'y a que ma MŤre que
je n'ai pas ťcalventrťe; mais je n'eŁs pas de plaisir; La
Vieille Garse ne saigna presque pas! j'eŁs peu de plaisir...
Pour ta Femme... h‚. quelle rage!... Mais elle est foutue...
elle sera morte avant que j'aye achevť de l'enconner... Je
l'enculerai expirťe... Je t'en apporte le prix: 60-mille
francs en billets de la caisse.... Vitnegre le compta; les
serra. "Si je pouvais l'enconner une pauvre fois! "Tu te fous
de moi!... Apres, aprŤs: elle sera encore chaude".... Je
fremissais! et comme j'avais deux Pistolets chargťs, je fus
tentť de brŻler la cervelle ŗ ce Monstre: mais il alait avoir
la verole... "Voulťz-vous, avant qu'elle soit abÓmťe, lui voir
le con? sa jolie figure? "Non! cela m'amollirait le vit....
Conduis-moi sans lumiŤre". Ils vinrent ŗ t‚tons.
VitnŤgre prťcedait, pour ťloigner Lenfonceur. Trouvant une
Femme seule, ťt troussťe, il voulut Lui mettre, en soupirant,
sa langue dans le Con. Elle L'en empÍchait, quand le Moine
faillit de l'ťcr‚ser, en tombant sur la Fille. VitnŤgre fut
obligť de se retirer a quatre -- Le 1ťr acte du PŤre Foutŗmort
(comme VitnŤgre Le nomma), ce fut de mordre le bout des tetons
de sa Monture, en Lui dardant son engin, qui ne pouvait entrer
dans ce vaste Con, encore ťlargi par une ťponge, que la Fille
venait d'en Űter. ConillŤte fit un cri perÁant! et se sentant
dechirer le Con, elle voulut se derober, en ťgratignant des
deux mains. Foutŗmort, qui savait biťn qu'elle ne pouvait en
ťchapper, ťt dont le plaisir ťtait d'autant plŁs grand ŗ tuer
une Femme, qu'elle ťtait plŁs belle ťt plŁs ťtroite, ne la
menagea pas: tout en l'ťcartelant, il lui arracha le bout des
seins avec ses dents. Un profond ťvanouissement, ou la mort,
fit cesser ses cris... Je me repentis de n'avoir pas dabord
tirť un coup de pistolet ŗ bout-portant dans la tÍte du
Moine... Mais les Voisins au bruit auraient peutÍtre enfoncť
les portes: ce fut ce qui me retint... Foutŗmort parvenu au
fond du Con de la Fille ťcalventrťe, dechargea enfin en jurant
ťt rugissant.
"Fous un coup (dit-il ŗ VÓtnŤgre), avant que j'encule la
Garse"? Le Scelerat vint: mais sentant un cadavre plein de
sang, il se retira. "Elle est morte! (dit-il). Foutŗmort la
t‚ta: "Non; le coeur bat encore: vite que je l'encule". Le cýl
de ConillŤte ťtait biťn plŁs ťtroit que son con; le Moine
haletait. Il en vint cependant ŗ-bout: car il dit ŗ VitnŤgre:
"Je n'ai fait qu'un trou des deux". Et il dechargea
horriblement!.....
Ma Fille ťpouvantťe, m'ťtreignait par le milieu du corps.
VitnŤgre pleurait: "Ma pauvre Femme! je t'ai livrťe ŗ ton
Bourreau! "Ne te L'ai-je pas payťe? (dit le Moine): Elle est
biťn ŗ moi... Ainsi, va te coucher, ťt fous tes 60-mille
livres: tu me gÍnes. Pour moi, pendant qu'elle est encore
chaude, je vas, pour mon argent, foutre cinq ŗ six fois le cýl
ťt le con de ma Putain". VitnŤgre ala se coucher dans un petit
cabinet, oý il s'enferma.
AussitŰt Foutamort s'acharna inťpuisablemt sur sa Victime
expirťe.... Enfin ťpuisť, il ala chercher la lumiŤre, pour en
repaÓtre ses cruels regards... J'ai dit que la Fille ťtait
jolie. "Elle est belle encore! (dit le Monstre): Mais la
figure de la Putain est toute bouleversťe; elle ne se
ressemble plus ŗ elle-mÍme... Il lui regarda le Con, en lui
soulevant le cýl... Il la laissa retomber, en ťclatant de
rire: "Ma-foi, la Gueuse n'a plus qu'un cýl, ou qu'un Con...
je ne sais lequel... Mais est-elle biťn morte"?... Il la
deshabilla, l'emporta nue dans l'autre piŤce, la mit sur une
grande table; ala prendre un vaste saladiťr; tira un bistouri
[Nous Le voyions par la cloison vÓtrťe]: "Decharnons-La". Il
lui cerna la partie charnue des seins, la motte tout-entiŤre,
la chair des cuisses; lui fendit le ventre, lui arracha le
coeur, les poumons, le foie, La vessie, La matrice; La
retourna, LuÓ enleva la chair des fesses, lui coupa les piťds
chaussťs, qu'il mit dans une poche, les mains, qu'il serra
dans l'autre. Il La retourna encore; Lui coupa la langue, la
tÍte, Űta la chair des bras. Il vint ensuite chercher sa
chemise ťt un drap du lit, en disant: "Voila un bon regal pour
nos Moines ťt pour moi". Le terrible Anthropophage mit le
saladiťr dans la chemise; ensevelit le corps dans le drap; fit
lever VitnŤgre pour le coudre; puis il Lui dit de publier le
lendemain, que sa Femme se mourait; de La mettre le soir dans
une biťre, ťt que Lui Moine se chargeait de La faire enterrer.
Et aprŤs Lui avoir recomandť de biťn effacer au grand jour
toutes les traces de sang, il sortit vŽrs les 3 heures du
matin, emportant son saladiťr de chair humaine.
VitnŤgre pleura dabord. Mais nous ayant entendu remuer, pour
sortir, le L‚che eŁt une frayeur si grande, qu'il ala
s'enclore dans son petit cabinet. Nous sortimes donc tout ŗ
notre aise. Comme nous traversions la petite cour, nous
entendimes les Voisins qui disaient fort-bas: "Il ne l'a pas
tuťe; voilŗ qu'On l'emmŤne"!... Nous nous mimes ŗ fuir par de
petites ruŽs, dŤs que nous fumes dehors, de-peur d'Ítre
suivis. Et biťn ŗ-propos! nous entendimes courir. Mais On ne
prenait pas notre chemin. Je remenai ma Fille ŗ sa pension,
laissant lŗ Timorž, pour observer, ťt lui promettant de
revenir dans une demi-heure.
"Voila donc (me dit-elle), quel serait ŗ-prťsent mon sort, si,
en vous accordant mes faveurs, je n'avais pas reculť votre
depart! O mon cher Papa! tout mon corps est ŗ vous, pour en
faire ce que vous voudrťz"! Je lui demandai sa bouche. Elle me
darda sa langue; et nous arrivames. Je lui dis de se coucher.
"Non, non! ťt mes malles.. mes bijoux; si nous pouvions les
avoir"? J'admirai sa prťsence d'esprit!... Il ťtait prŤs de 5
heures. Je courus rejoindre Timorž, qui se promenait devant la
porte. "Riťn encore" (me dit-il). Un instant aprŤs, nous vimes
sortir VitnŤgre. Timorž le suivit, ťt j'alai chercher ma
Fille, sa prťsence nous ťtant necessaire, si d'officieux
Voisins nous arrÍtaient. A mon retour avec ma Fille, ťt deux
Crocheteurs, je retrouvaž Timorž, qui nous dit que VitnŤgre
avait passť le boulevard. Ma Fille ouvrit: Nous chargeames
quatre malles prťparťes, mais cachťes, nous sortimes sans Ítre
vus, ťt nous alames par des rues detournťes, chťz mes Affidťs.
Ce fut alors que ma ConquŤte fut tranquille! Elle se coucha,
ťt nous alames reposer chacun chťz nous Timorž ťt moi
XVI Chapitre.
Chap. Foutoir: Petit Magasin: Enterrement: Amour.
Nous en sommes aux fouteries par excellence; ŗ celles qui vont
agu rrir ma delicieuse Conquette-Ingenue, ma ravi sante
Victoire-Conquette, faire leur fortune, la miťnne, en leur
Űtant une fausse delicatesse, & decouvrir une chose admirable,
qu'On ne verra qu'ŗ la fin. La route que je vais prendre; pour
former ces deux Belles & leurs Compagnes, ťtonnera dabord!
mais en toutes choses, il faut attendre le derniťr resultat...
Reprenons ce charmant Recit, en fesant prťceder quelques
fouteries prťparatoires, qui amŤneront les grandes. Mais il
n'y aura plus dans le reste de l'Ouvrage, aucune horreur qui
ressemble ŗ celle du Moine Foutamort. Les horreurs ŗ la Dsds
sont aisťes ŗ prťsenter; c'est la peinture de la douce
voluptť, qui est le chťfd'oeuvre du Genie.
La premiŤre visite que reÁut ConquŤte, le lendemain, jour de
son enterrement, ťt ŗ la mÍme heure, fut celle de Timorž. Il
La trouva chťz ses Hůtes. Il venait Lui raconter, comment,
aprŤs ťtre morte la nuit prťcedente, elle venait d'ťtre
enterrťe. Mais Il ne pouvait parler devant le monde. Or,
j'avais dans cette mÍme maison, ŗ quelques marches au-dessous,
mais sur le derriŤre, un petit Magasin, oý je cachais chaque
Nį de mes ANNALES, que supprimait le Gouvernement d'alors. Ma
Fille y devait faire mettre son lit, le soir mÍme: il y aurait
sans-doute ťtť deja; mais elle ne fesait que de se lever. J'y
avais placť pour mon usage, celui de mon Secrťtaire, de sa
Soeur, de sa MaŪtresse ťt de sa BellemŤre, un Foutoir comode,
dans le ventre duquel on pouvait parfaitement se cacher.
[VitnŤgre en avait un tout pareil, dans lequel il se mussait,
quand Un de ses trois Payeurs venait, pour essayer de
depuceler le Con ou le cýl de sa Femme, qu'il appelait, sa
Poule aux oeufs d'or: il voulait tout voir, craignant qu'Un des
Trois ne la Lui enlev‚t: C'ťtait aussi par voluptť; il ťtait
passionnť pour la chaussure de sa Femme: Lors donc que
tendrement gamahuchťe par Un des trois Bougres (car ils
l'adoraient, ťt ils vont biťn La regretter); elle ťmettait, il
lui tirait un souliťr, qui se trouvant ťtroit vŽrs la pointe,
lui servait de cou: Aussi disait-il ŗ ses Intimes: "Je n'ai
jamais foutu ma Femme qu'en souliťr"]. Conquette sentant biťn
que Timorž avait biťn des choses ŗ luž dire, ťt qu'il ne
pouvait parler, prťtexta qu'elle avait laissť dans mon magasin
une Lettre ŗ Lui montrer. Elle avait une double clťf: Ils y
descendirent ensemble.
Je venais d'y arriver. J'entendis la marche de ma Fille, sa
voix basse, ťt celle de Timorž. Je me cachai dans le Foutoir.
Ils entrŤrent. Conquette ferma soigneusement la porte, la
couvrit du matelassement qui empÍchait qu'On ne fŻt entendu
audehors, ťt ils s'assirent sur Moi.
"H‚! Madame (dit Timorž), quelles scenes!... Il avait
decouvert que je vous aimais, ŗ mes regards, ťt parcequ'un-jour
ťtant avec Lui chťz vous, pendant qu'Un de vos Acheteurs
vous caressait sous son nom, il me vit baiser ŗ la derobťe une
de vos chaussures. Mais il paraissait ignorer non-seulement
que vous m'aimiťz, mais que je vous fusse connu. HiŽr, ŗ 3
heures, m'ayant trouvť au Caffť, il me dit: "Je ne saurais
depuceler ma Femme; j'ai le Vit trop gros: Tu es beau garson;
je tai choisi, pour La depuceler aujourd'hui, ŗ l'instant; je
te demande seulement six louis, qu'elle aura pour ses
ťpingles". Je les Lui donnai surlechamp, ťt nous partŪmes...
Vous savťz le reste... Ce matin, aprŤs vous avoir quittťe,
j'ai ťtť me reposer jusqu'a 10 heures, que j'ai ťtť ŗ mon
Bureau. Mažs passant devant sa porte, j'y ai frappť. J'ai
entendu deux Voisines qui se disaient fort-bas: "Le Confesseur
y est! ce n'est donc pas elle qu'On a emmenťe cette nuit"....
L'infame m'a ouvert. L'horrible Moine ťtait avec lui. Un FrŤre
avait apportť la biťre biťn enveloppťe, et il recitait tout-haut
des priŤres auprŤs du Cadavre dans le cabinet obscur.
"C'est un Ami (a dit VitnŤgre)... Ma pauvre Femme est morte!
"Morte! (ai-je dit). "Elle est expirťe dans les bras du
Reverend PŤre" J'ai fremi de l'expression!... Le Moine a dit:
"J'ai fait toutes les demarches: nous avons la permission de
l'enterrer sans bruit: ce sera pour 3 ou 4 heures". Je suis
sorti...
En revenant de dÓner, vŽrs les 4 heures, je suis repassť. Deux
PrÍtres, quatre Porteurs, le Moine ťt le FrŤre, ont emportť le
corps, sans chanter. Il est inhumť. Nous verrons la suite des
ťvŤnemens... Je les observerai.
Ma belle Amie! On vons croit morte: vous Ítes libre:
M'accorderťz-vous vos prťcieuses faveurs? "Mon Ami! (repondit
modestemt Conquette), je commence par vous remercier de
l'important service que vous m'avťz rendu! mais Un-autre m'en
a rendu un plŁs important encore: seul il m'aurait sauvťe: Si
mes faveurs ťtaient encore ŗ Moi, elles seraient ŗ vous. Mais
elles sont a mon premiťr Amant, qui cachť, a decouvert toute
la trame: Il venait de me deflorer; il me l'a mis encore
aprŤs. C'est votre unique Rival: mais il est adorť: son nom,
que je važs vous dire, va vous prouver toute mon estime, ťt
que vous avťz toute ma confiance: C'est mon Papa"... A ce mot,
Timorž tomba aux genoux de son Amante: "Fille angelique! Fille
divine! (Lui dit-il), je reconnais lŗ votre piťtť filiale ťt
la beautť de votre ‚me! Foutťz avec votre PŤre; que lui-seul
vous enconne! Vous seriťz digne de foutre avec Dieu, si Dieu
foutait!... Mais je demande ŗ vous gamahucher, ťt si votre
Papa le permet, ŗ vous enculer? "Mon aimable Ami! (lui
repondit Conquette, en le caressant de la main), vous Ítes
biťn raisonnable"!.
Timorž se deculota, Lui mit dans la main un vit ŗ pucelage,
plŁs petit que le miťn, se fit chatouiller les couilles, ťt La
voulut branler. Elle s'y refusa. Alors Timorž La renversa, La
troussa, ťt lui supa savoureusement le Con... Non, jamais l'On
n'entendit de pareils soupirs!... "H‚! Timorž.. ta langue vaut
un vit". Elle avait ťmis dŤs le troisiŤme coup de langue, ťt
dans son delire, elle ťlevait ses jambes en l'air, fesait
claquer ses jolis talons, haussait du cýl, pour favoriser
l'application de la bouche de son Gamahucheur, ťt
l'intromission de la langue qui lui chatouillait le clitoris.
Elle imitait sa MŤre, dans ce claquement de talons: car je ne
foutais Celle-ci que de jour, soit en Con, soit en cýl. soit
en bouche, pour Ítre excitť par ce qu'elle avait de mieux, la
jambe ťt le piťd: Je lui demandais le claquement des talons,
parcequ'il imitait la marche de Femme, son qui me fesait
toujours bander... Lorsque ma Fille eŁt amplement dechargť,
elle ťcarta Timorž.
XVII Chapitre.
Chap. Du Pucelage du Cul: Le PŤre enconneur.
La celeste Conquette-Ingenue fut toujrs aussi juste que belle
& sensible: qu'On ne soit donc pas surpris de ce qui va
suivre.
Elle se mit sur le ventre, ťt lui dit: "Mon second Amž!
pommade-moi: Mon premiťr Ami a eŁ le pucelage de mon Bijou; il
est juste que tu aies celui de ma RosŤte; mon Papa sŻrement
m'approuvera? "O Deesse! (repondit Timorž, en lui inserant de
la pomade dans l'anus avec une canule), que tu es raisonable!
Il aura le Conin, Moi la RosŤte, ťt nous jouiront chacun d'une
fouterie ŗ nous-seuls". Timorž enfonÁa, malgrť quelques petits
cris de ma chŤre Fille, et aprŤs de vives saccades, il
dechargea, en s'ťcriant: "Foutre! foutre! quel cýl.. quel
plaisir des Dieux"! Et il se p‚ma... Il fut ťpuisť, ťt de
sperme ťt de forces, par ce coup seul... Aussi se rapela-t-il,
ŗ mon grand contentement, qu'il ťtait atendu ŗ 7 heures. Il
laissa l'amoureuse ConquŤte-Ingenue ťtendue sur le lit, aprŤs
l'avoir remise sur le dos, afin de Lui donner quelques coups
de langue au Con, pour baisťr d'adieu. Il aluma sa bougie,
sortit, ťt tira la porte.
AussitŰt je quittai ma cachette, ťt je m'ťlanÁai sur mon
adorable Fille, que les trois dardemens de langue avaient
ťmue, ťt dont le Con oscillait vivement. "Quoi! vous ťtiťz lŗ?
"Oui, ma Divine. Il encule; moi j'enconne. Tu me causes une
ťrection terrible! "Adorť Papa, foutťz... foutťz-moi! (ťt
c'est la premiŤre-fois de sa vie qu'elle prononÁait ce mot);
je n'en puis plus moi-mÍme"... Elle me saisit le vit, ťt se le
mit dans le Connin: "Pousse! (me disait-elle): Il entre..
Pousse! vit de Dieu! vit paternel! ťmets du foutre dŠns le Con
de ta Fille"!... En parlant ainsi, elle remuait tellement du
cýl, que je me trouvai biťntŰt au fond de son Connin. Vive la
fouterie ordinaire! c'est la meilleure maniŤre des quarante!
J'avais la bouche, la langue, les blancs tetins de ma Fille,
ses caresses, la vue de son charmant visage, toujours joli au
double dans Une Femme qu'On fout, ses doux propos: "ChŽr Vit!
Vit divin! comme il me chatouille le Con!... Pousse!.. H‚!
Bougre! je me p‚me... Je dechar...arge du fou...outre!... Ta
langue! chŽr Amant! Enconneur adorť!... HÚ je redecharge, Fous
Sacrťbougre! Suce... mordille-moi les tetons"!;;; Je
dechargeai delicieusemt ŗ la seconde ťmission de ma celeste
Fille. Au fond de son ťtroit Connin, je me sentis adorablement
pincť par ce que le Vulgaire appelle le clitoris, ťt les Gens
de l'art, le bas du conceptoire ou de la Matrice; cet organe
de voluptť, qui n'est atteint que par un vit long, me suÁait
le bout de l'engin dechargeant... Et cette idťe delirante, en
me voyant sur la plŁs belle des Femmes, renversťe sur le dos,
biťn enconnťe, se p‚mant de plaisir, "Je fous ma Fille... Je
lui decharge dans le Con... Nos foutres mÍlťs peuvent lui
faire un Enfant tout de moi... Je fais cocý le gueux, le
scelerat de VituŤgre! Je fous sa Femme, qu'il croit morte,
qu'il n'a jamais foutue... Nous La foutons, Timorž ťt Moi,
l'Un en Con, l'Autre en cýl, tandis que le vil Jeanfoutre se
branle le vit ŗ sa divine intention... Il la croit ťcartelťe
par le Vit-timon de son exťcrable Moine... ťt son ťtroit Conin
decharge avec nous, comme celui d'une Princesse, foutue par Un
Jeune Garde-du-corps!... Ces idťes, rapidement roulťes dans
mon imagination, doublaient, triplaient ma voluptť.....
Ma Fille me fit dťconner: "J'en suis pleine, me dit-elle; le
devant, le derriŤre; il faut que je me purifie". Je courus lui
chercher de l'eau tiŤde chťz son HŰtesse, Mad. Brideconin, que
je trouvai seule auprŤs du feu, des tetons blancs comme neige
dťcouverts. Je les baisaŪ, pris l'eau qui chauffait pour elle.
Son Mari me dit: "Je viťns de le Luž mettre, ŗ l'intention de
votre Fille, la charmante Mad. Poilsoyeux (nom que je lui
avais donnť, pour qu'elle ne port‚t pas celui de son žnfame
Mari). Je rentrai. Je lavai moi-mÍme avec une fine ťponge les
charmes secrets de ma DeÔtť. Il y avait un peu de sang ŗ la
rosette, ťt mÍme au Conin. "Hť! quoi, ma Delicieuse, tu as
donc encore souffert? "Oui, mon chŽr Bourreau: mais le plaisir
l'a toujours emportť, mÍme en cýl"... Conquette purifiee, me
dit: "J'ťtais si pressťe de jouir avec vous, que je n'ai pas
pris le temps, Papa-Sauveur, de vous demander votre sentiment
sur ce qui s'est passť entre Moi ťt Timorž? "J'ai aussi biťn
des choses ŗ vous dire lŗ-dessus, mon Ange: mais nous alons
souper. Vous avťz besoin de repos, ťt Moi aussi; ce sera pour
demain"... Je lui donnai la langue; elle me darda la siťnne;
je baisaŪ les boutons rose de ses tetons, ťt nous alames nous
mettre ŗ table.
Pendant le soupťr, je racontai ŗ M. ťt Mad. Brideconin ce
qu'il falait qu'ils sÁussent de la prťtendue mort de Mad.
Poilsoyeux, afin qu'ils ne la compromÓssent jamais. Pendant le
repas, notre Porteur-d'eau ťt sa Femme placŤrent le lit de ma
Fille dans mon magasin; ťt dŤs qu'il fut arrangť, nous y
descendimes ensemble. Ma belle Amie me dit: "Je crois que
j'aurai peur: priťz Mad. Brideconin de venir coucher avec
Moi"? "Je vais rester, ma Reine. "H‚! j'aime biťn mieux cela!
non pour jouir; mais pour que mon Amant-papa s'endorme sur les
tetons de la Femme de VitnŤgre, pendant qu'il se morfondra, ou
qu'il ne .. qu'un de mes vieux souliťrs. "Ma divine Fille?
(repris-je), je vais, dŤs ce soir, te dire ce que je voulais
remettre ŗ demain. Couchons-nous".
Je deshabillai ma Deesse come Une Nouvelle-mariťe, baisant
tout ce que je decouvrais. Tous-deux au lit, je l'assis sur
mon vit:
XVIII Chapitre.
Chap. Des Avis paternels, tenant sa Fille enconnťe.
Ami Lecteur! j'ťprouve encore les oscillations de la plŁs
savoureuse voluptť, en me rappelant ces momens enchanteurs,
que m'a procurťs ma Conquette-Ingenue-L**!
"Appuie lentement, ma Reine; que je t'enfile sans limer"? Elle
le fit. Lorsqu'elle fut parfaitement enconnťe, je lui dis: "Tu
sais, trŤs-cherie Fille, que j'ai tout vu, tout entendu. Tes
sentimens divins ŗ mon ťgad, m'ont penetrť de reconnaissance
ťt d'admiration... J'approuve entiŤrement que tu ayes donnť ŗ
Timorž le pucelage de ton beau cýl. J'accepte avec transport
ton dťvoŻment pour Moi. Mais, celeste Fille! c'est ŗ ton
interÍt, ŗ ton bonheur, que je me propose de le faire servir.
Je ne prťtens pas, tel qu'Un Sultan, te garder pour mes
plaisirs exclusifs. Tu auras Un Payeur. Lequel des trois
Hommes auxquels ton pucelage ťtait vendu, aurais-tu prťferť?
"Le plŁs honnÍte, incomparable Papa: mais c'est justement
Celui quž l'a le plŻs gros. "Je te ferai donc ťlargir le Bijou
par Un gros Homme de ma connaissance: Il n'est pas aimable:
mais Un Homme aimable pourrait t'ťpuiser, en te fesant trop
decharger; outre qu'il pourrait te prendre le coeur; ce qu'il
ne faut pas; Un Fouteur prťparatoire ne doit te prendre que le
con... Ni Moi, ni Timorž ne te suffirions point; nous n'avons
pas le vit assťz gros; ce ne sont que des vits ŗ pucelage.
Mais j'ai plusieurs Ressources... Je sonderai Celui que tu
prťfŤres; puis les deux Autres, s'il ne fait pas ton affaire.
Je les ai ťpiťs: Je sais leur adresse; je ne nous
compromettraŪ pas. Je ne te demande que de la soumission?
"EntiŤre! divin Papa". Elle se tremoussa un peu, ťt dechargea.
"S'il te surviťnt beaucoup de temperament, comme je crois
l'entrevoir, j'aurai soin que tu ne manques pas de vits. Tu
verras comme tu seras rťgalťe!.... Je ne suis plus d'un ‚ge ŗ
te rassasier de voluptť. Ainsi, je te le ferai mettre par de
jolis Jeunesgens, graduant la grosseur des vits".
Ici, ma provocante Fille s'agita, en me disant: "Mon cher
Vit-papa! permets que je foute en con ŗ l'intention de Timorž, le
Vit de mon cýl? Tu m'as convertie; il m'enconnera, mais en ta
prťsence. "Oui. oui"... Je la saccadai. Elle s'ťcria:
"Fourgonne.. Vit de mon cher Timori! fourgonne mon Con! Fais-moi
p‚mer! Bougre.. foutre.. Ramonne.. ramonne!... ze deÁarze!
Et elle dechargeait, en se roidissant: "Hahaha, mon Papa!
hahaha! hahahŠh"! (avec un lŰng soupir)... Je n'ai jamais eŁ
tant de plažsir, qu'ŗ cette decharge... Nous avions de la
lumiŤre: ma Fille se mit sur le bidet, pour se rafraÓchir le
Bijou, tandis que je me mettais le vit ťt les couilles dans
l'eau froide, pour me faire debander. Je demandai ŗ ma Fille,
Qui lui avait appris les expressions dont elle s'ťtait servie,
en dťchargeant? "Des la troisiŤme semaine de notre mariage (me
rťpondit-elle), VitnŤgre fit coucher avec lui sa Filleule,
femme d'Un Espion de Police: cette Femme, par les ordres de
son Parein, feignait de delirer, quand il l'enfilait; ťt voila
quels ťtaient ses propos, avec beaucoup d'autres, qui
n'auraient pas ťtť placťs pour nous, comme Gros-bondon, Chiťn
de Vit de mulet, Foutŗmort le cadet! etc" Nous nous remimes au
lit, ťt nous nous endormimes enlacťs.
Le matin, je renouvelai mes instructions ŗ ma Fille. On
frappa. C'ťtait Mad. Brideconin, qui parla. Je me cachai dans
le foutoir. Elle apportait le dejeķnťr de Mad. Poilsoyeux. "On
cherche Une Fille du Port-au-blťd (dit-elle), disparue depuis
avanhier-soir. Une de ses Pareilles a dit, qu'elle devait aler
coucher avec Un Homme de 40 ans, qu'elle avait dit Avocat,
mais qui est Chirurgiťn; qu'ils l'ont tuťe ŗ deux pendant la
nuit, ťt dissequťe. C'est peutÍtre votre histoire, qu'On
denature comme Áa? Mon Mari doit aler s'informer". Elle
sortit; ťt je vins dejeŻner avec ConquŤte. Je la laissai, en
promettant de la voir ŗ dŪnťr.
Je fus exact. Brideconin ťtait sorti. C'ťtait effectivement de
ConillŤte, dont il ťtait question. Le Commissaire ťt les
Mouchards visitaient toutes les maisons de la ruŽ: mais On ne
trouvait riťn. Je changeai de costume par prťcaution... Je
revins le soir, ťt ne couchai pas. Je me reposai trois nuits,
et laissai reposer Conquete-Ingenue.
On sait que j'aimais ma Fille autant pour elle-mÍme, que pour
mon plaisir, ťt que je n'entendais pas rŤgler son appťtit de
19 ans, sur mes forces de 40. Mais j'avais encore d'autres
raisons. Je vais me conduire en-consequence.
XIX ChaÓtre.
Chap. Du PŤre Juste, & du Vit Grisonnant.
On sera sans-doute surpris de ce qu'On va lire, d'aprŤs les
sentimens que je viťns de professer!... Ne me prťjuge pas,
Temerŗire! Pour me connŗÓtre & prononcer, attens.
Je connaissais Un de ces Gourmets de plaisir, gros homme
vigoureux, lubrique ŗ l'excŤs, nommť Montencon. Il m'avait
donnť souvent ŗ dÓnťr, rue Troussevachť, oý il demeurait, m'y
avait fait enconner la Petite VitsuÁŤte, sa maÓtresse, en me
La tenant lui-mťme: Il m'avažt mÍme procurť la Fille de son
Hůtesse, Petit Bijou, sťduite par Un Noble, appelť De-Fout‚ne,
qui L'avait ensuite rendue Putain. Elle nous amusa toute une
aprŤsdinťe: Montencon ayant grisť la Jolie AdelaÔde-HŰchepine,
il eŁt la politesse de me la faire enconner le premiťr, ťt
chatouiller les couilles par sa MaÓtresse: Ensuite il
l'encula, ťgalement chatouillť par VitsuÁŤte. Je La refoutis,
aprŤs que la VitsuÁŤte de Montencon me l'eŁt lavťe. Mais
Celui-ci nous dit: "J'ai mes raisons: J'embouche la jolie
Garse". L'ayant embouchťe, ťt lui ayant fait avaler son
foutre, en haÓne de Fout‚ne, j'en fus degoŻtť, ainsi que de la
VitsuÁŤte, dite la Baiseuse, ŗ Laquelle il en fesait autant:
Je n'y ťtais plus retourne. Ce fut cet Homme que j'invitai ŗ
dÓnťr dans mon petit Magasin, pour aguerrir ťt m'ťlargir
un-peu ma Fille: (Car j'avais fait donner separťment aux trois
Payeurs ŗ gros Vits de VitnŤgre, MM. Lťlargisseur, PerÁecŁl ťt
Cognefort) l'espoir de la retrouver, ou sa Pareille.
Montencon ťtait connu de ConquŤte, dont il avait foutu la MŤre
avant la verole: Il n'en avait que plŁs envie de le mettre ŗ
la Fille. Je le trouvaž dans l'escaliťr, en arrivant Moi-mÍme.
Je l'introduisis. Il demeura immobile de joie ťt d'admiration,
en voyant Une Femme si belle!... J'avažs affŗire; je ne restai
qu'un moment, en lui disant, que je lui laissais ma Fille pour
compagnie. Il balbucia, en me reconduisant: "Elle est
ravissante! Quel goŻt dans sa parure! Comme elle est chaussťe!
ťt quel dommage qu'Un VitnŤgre ait eŁ ce pucelage-lŗ?
"VitnŤgre? Elle est pucelle. "O mon Ami! puis-je y tenter? ťt
t‚cher de mettre aumoins une corne ŗ ce Gredin-lŗ? "Fais-y ce
que tu pourras: Mais je doute du succŤs, avec ton poil gris:
Il n'y a que les Catins bl‚sťes, qui souffrent les Barbons
vigoureux ťt libertins: avec les Pucelles sages, il faut Ítre
tendre; ťt tu as la figure d'Un Satyre, ou d'Un Reprouvť. Mais
tente-s-y".
AprŤs mon depart, Montencon essŗya dabord de la galanterie.
Mais n'y g‚gnant riťn, il culbuta ConquŤte ŗ l'improviste sur
le FOUtoir; ťt comme il ťtait vigoureux, il lui approcha, en
la contenant d'une main, le vit des lŤvres du Con... Cependant
il ne put l'enfiler; Un coup de cýl en arriŤre le
debusquait... Il alait La menacer de La poignarder, lorsque je
rentrai. ConquŤte se rajusta, sans marquer d'humeur. Je dis
tout-bas ŗ Montencon: "Le pucelage? "C'est Un Diable! J'en
serai reduit ŗ me branler! "Tu la foutras".
Nous nous mimes ŗ table. ConquŤte parla comme ŗ l'ordinaire ŗ
son Vellivioleur, ťt rit mÍme avec lui. Tout-haut, devant Moi,
il lui demanda, D'oý-viťnt elle ne s'ťtait pas laissťe
enconner? "Fi-donc! (repondit-elle). Hť! d'oý-viťnt l'aurais-je
souffert? "Parceque je bandais comme Un Carme. "Vous parlťz
comme Un VitnŤgre"... Montencon ne m'en raconta pas moins ses
entreprises, en termes savoureux: Il loua la beautť de la
Conque, le soyeux du poil, la blancheur des fesses, la fermetť
des tetins, le rosť du bouton, l'ťburnitť ou l'ivoire du
ventre ťt des cuisses: Il extolla le piťd, la jambe de la
Belle... ConquŤtee, ainsi louťe, rougissait, ťt n'en ťtait que
plŁs modeste. Je repondis, Que j'ťtais le seul qui foutÓt ma
Fille, ŗ laquelle j'avais sauvť la vie, ťt que j'avais
deflorťe, il y avait 8 jours. Et je racontai toute l'histoire.
"Vous La foutťz? "Hť! qui donc La foutra? Je suis deux-fois
son PŤre"... Montencon se mordit les lŤvres. ConquŤte
m'embrassa.
Pendant tout le dÓnťr, nous admirions le voluptueux tour de
hanches de Mad. Poilsoyeux, ŗ chaque fois qu'elle se levait,
pour aler demander un plat, ou qu elle donnait des assiŤtes.
Elle avait un joli souliťr rose ŗ talons vŽrts, ťlevťs,
minces; des bas de soie blancs neufs, ŗ coins roses. Je Lui
demandai, Si elle ťtait jarretťe audessus du genou?
"Certainement! (repondit-elle); toujours. "En ce cas (repris-je),
montrťz-nous la plŁs jolie jambe qui soit au monde"? Elle
refusait Mais nous l'en pressames tant, que pour se
debarrasser de nos priŤres, elle mit le piťd sur une chaise,
ťt nous montra, jusqu'au dessus du genoux, une jambe ŗ faire
bander Un Moribond.... Nous entrames en rut, Montencon ťt Moi:
mais nous nous moderames. Cependant le grisonant Ribaud, dans
un moment oý ma Fille ťtŗit sortie, me proposa de l'enivrer,
en mettant du champagne, qu'il avait apportť, dans son vin-rouge,
aulieu d'eau? Je feignis d'y consentir: Mais avant que
ConquŤte rentr‚t, j'alai audevant d'elle, ťt l'avertit
de-tout. Puis j'ajoutai: "Ma raisonnable Fille: il faut qu'Il te
le mette; je l'ai amenť exprŤs pour cela; mais je ne savais
comment faire; J'y reflechissais, quand sa proposition m'a
tirť d'embarras. Tu feindras de t'enivrer: J'en ferai autant;
ťt par ce moyťn, jamais il n'aura un piťd sur toi. Il a
l'engin assťz gros, quoique moyťn. AprŤs lui, je t'aurai
Traitdamour., mon anciťn secretaire, Un joli Garson, qui
achŤvera de t'ťlargir suffisamment; pour l'engin du Payeur que
tu prťfŤres... Il est averti de ton ťxistance, ťt je n'ai
demandť que quelques semaines, pour Lui procurer ta vue.
Laisse-toi donc faire, ma Reine: j'empÍcherai tout ce qui ne
conviťndrait pas. "Je vous suis soumise; disposťz de Moi
(repondit-elle): Je me suis trop mal trouvťe de vous avoir
desobťÔ"!... Nous rentrames. Entre les deux portes, elle se
decouvrit un teton, ťt me le fit baiser.
Montencon avait arrangť la caraffe en vin de Champagne:
ConquŤte prťvenue le remarqua; s'en procura une autre d'eau,
ťt reserva le vin, pour griser Montencon lui-mÍme. Mais le
Ribaud ťtait inenivrable, autrement que par les beaux Ôeux et
les autres charmes de ma voluptueuse ConquŤte-Ingenue.
XX Chapitre.
Chap. Du, H‚, comme elle fut foutue!
DŤs que Mad. Poilsoyeux, qui affectait une ivresse aimable,
parut dans l'ťtat oý Le Montencon La desirait, je la saisis,
la premiŤre-fois qu'elle se leva, par la t‚ille d'une main, ťt
de l'autre, je Lui pris le con. (Outre que je desirais
vivement sa possession, je La voulais enhardir, ťt prťparer
son Bijou ŗ l'admission d'un plŁs gros Membre que le miťn). Je
la renversai, en demandant un morceau du beurre-frais restť
sur la table. Je lui en mis gros come une noix ŗ l'orifice; ťt
je poussai. "Laissťz, laissťz-moi donc! (me disait-elle
doucement). Cependant elle remuait admirablement de la
charniŤre, ťt le foutoir craquait sous nous... Je dechargeai,
en me recriant de plaisir!...... "A toi, Bougre"....
Montencon debout, son gros Vit bandant ŗ la main, nous
admirait!... J'eŁs ŗ-peine deconnť, qu'il se prťcipita sur ma
Fille, dont le conin oscillait encore: ťt doublement favorisť
par mon foutre ťt par le beurre fražs, il penetra. ConquŤte
fit un cri! Je m'avanÁai alarmť: Mais elle me sourit aussitŰt.
"Enfonces-tu? (dis-je au Fouteur). "Oui, oui! sacredieu! (me
repondit-il), ťt avec delices!.. Elle me pince le Vit!...
Mais.. quel connin!.. C'est un satin!... H‚!... h‚!.. je
fous!.. Remue du cŁl, celeste Houri!... Re..mue, divine
Bougresse!... Con delicieux! remue... sous Moi!.. saccade..
saccade!.. Je pa..ars!.. je decha..arge!... H‚‚h!...! Le
Grisonnant se p‚ma sur les tetons de ma Fille, qui elle-mÍme
nageŗit dans le foutre ťt la voluptť. J'avŗis craint qu'elle
ne remu‚t pas assťz avec Un Etrangťr: mais dŤs qu'elle fut
limťe, elle se mit ŗ remuer, ŗ saccader, ŗ osciller des reins,
ŗ decharger avec des soupirs ťt des cris... Montencon se remit
ŗ la fourgonner, sans deconner, criant, heurlant de luxure, ťt
murmurant par intervales: "Divine Garse!.. fais-toi Putain..
ťt.. je te rťpons. de ta fortune!.... Il recommenÁa ainsi
trois-fois sans desarÁonner. Enfin, il deconna.
"Voila un coup qui en vaut dix, ťt un con qui vaut cent, ťt
mille-fois tous ceux que je t'ai fait enconner, mÍme ma Petite
HŰtesse! On ne le quitte qu'ŗ regret!..... Mais refous-la, mon
Ami: Une Femme vaut seize Hommes au jeu couillard; ne la
laissons, ni refroidir, ni ch mer". A ce mot, ConquŤte-Ingenue,
restťe immobile, ťt se contractant seulement un-peu,
comme si On la tenŗit encore bourrťe... d'un vit, sauta du
foutoir, ťt courut se laver. Elle trouva de l'eau tiŤde
prťparťe. Nous fumes aussitŰt ŗ genoux devant notre Divinitť,
ťt nous lui ťpongeames l'Un le cýl, l'Autre le con, les fesses
ťt les cuisses: car elle ťtait pleine de foutre et d'un-peu de
sang, prenant garde de mouiller ni sa chemise, ni ses bas;
nous la fesions se tenir troussťe audessus des reins.... AprŤs
une scrupuleuse ablution, nous l'avons admirťe: car elle ťtŗit
ravissante ŗ cýl ťt ŗ con decouverts? Nous l'avons fait
marcher ainsi, ťt nous avons vu la magie de son divin tour
de-cýl... "Moi (disŗit le Grison), en la regardant venir ŗ nous),
ce qui me transporte, c'est ce con noir, sur une peau de lis;
ce poil soyeux, ťt cette raie de corail, quž le sťpare en deux
ťgales parties"!... La Belle se retourna, ťt montra d'autres
charmes: "H‚! (s'ťcria Montencon ravi), le beau cýl! il n'est
pas inferieur ŗ l'admirable conin"! Elle revenait. "H‚! le
beau con! Il est digne du divin cýl"! Quand ma Fille fut
auprŤs de nous, Il lui bŗisa le conin: Puis se levant: (car
nous ťtions restťs ŗ genoux pour mieux voir). il l'emporta sur
le foutoir, en me demandant la permission de gamahucher tous
ces charmes-lŗ, avant que je les refoutisse?... H‚! comme elle
fut gamahuchťe!... Il lui chatouilla de sa langue la Rosette,
ŗ la faire tressaillir. Puis il vint au Con. La Belle
chatouillťe, se tremoussa, puis ťmettant, elle hennissŗit,
comme Une jeune Cavale, dans la vulve de laquelle On insŤre
pour la premiere fois l'engin terrible ťt perforant de
l'Etalon vigoureux: les fesses potelťes de la Jument pucelle
tremblotent; elle frťmit de tout son corps, ťt rťpond, par
l'ťmission de son hippomanŤs, aux flots de sperme que lui
lance le Dominateur des haras... Telle ťtait ma voluptueuse
Fille, seulement gamahuchťe... Montencon deboucha, ťt Moi, me
prťcipitant sur ma Fouterie, cambrťe, tenant son cýl ŗ trois
doigts du foutoir, je plongeai brutalement: Elle ne fesait que
doucement osciller. Ce qui ne s'accordant pas avec ma ribaude
impatience, je dis ŗ Montencon: "Arrache-lui sa chaussure, ťt
chatouille moi la sous les piťds"? Il le fit: Mais le Coyon
s'amusait ŗ les flaÓrer, en disant: "C'est Cypris, ťt le
dedans de ses chaussures sent l'ambrosie. "Chatouille donc,
Jeanfoutre"? Il chatouil-La; ťt au second soubresaut; je
dechargeai copieusement!... Dans mon ťxt‚se de plaisir,
j'ťlevai mon ‚me vŽrs la Divinitť: "Mon Dieu! je vous remercie
de m'avoir donnť Une Fille si parfaite, dont le conin
trťmoussant viťnt de me donner une idťe du delice que vous
ťprouvťz vous-mÍme, en foutant votre Fille la Nature!... "Dieu
de mon Conin! (balbucia ConquŤte), sois beni! je re-decharge
encore! le cri de mon PŤre a fait entrer son vit plŻs avant!
"HŰ! quel digne PŤre! quelle pieuse Fille"! (s'ťcria Montencon
ťdifiť)..... Je deconnai.
"Mais d'oý viťnt (me demanda le vigoureux Grison, en se
remettant sur ma Fille, ťt l'enconnant sans laver), m'as-tu
fait chatouiller le dessous des piťds de ta celeste Fouteuse!
"Je tiťns cette recette d'Un Imprimeur foutant la Femme de son
ConfrŤre de l'aveu du Cocý: "Que lui avťz-vous donc fait,
qu'elle m'a donnť tant de plaisir ŗ la fin? "Vous avťz biťn vu
qu'elle ťtait dechaussťe? Or j'ai ouÔ-dire, Que les Fils de
mesd. Quillenpoche et Radball, ‚gťs de huit ans, ťtant entrťs
dans la chambre oý Un Avocat ťt Un Procureur vitoeuvraient
mesd. leurs MŤres; les petits Babouins ne voulant pas les
dťranger, leurs ŰtŤrent ŗ chaqu'une une mule delicate, ťt leur
chatouillŤrent le dessous des piťds: Ce qui fit faire aux deux
Dames des soubresauts, qui leur procurŤrent autant de plaisir
qu'elles en donnaient ŗ leurs Opťrateurs Aussi depuis se
firent-elles toujours chatouiller les piťds, en pareille
circonstance. "Tu vas me rendre la pareille"... Il saccadait.
"Alons, le foutre de ton PŤre.. ce foutre dont tu est faite,
amalgamť au tiťn dans ton sacrť conin de Poupťe, doit te le
pomader! Et j'ai de la peine"!... Je vis ŗ la rougeur de ma
Fille, qu'elle souffrŗÓt. "Deconne, Bougre (dis-je ŗ
l'Enfonceur), ton vit d'Ane, ton vit de Mulet donne les
bouchťes trop grosses ŗ ce conichonnet"! Il deconna, ťt je mis
un boulŤte de beurre-frais ŗ l'orifice du Bijou de ma Fille.
"HŰ! Áa me le rafraÓchit" (dit l'aimable Enfant)... Montencon
re-enconna avec fureur. Il entra mieux, ťt toucha le fond,
ConquŤte ayant saquť du cýl: "H‚! je te sens, petit joli chiťn
de pinÁoir! Alons, VitnŤgrŤte, encorne ton Jeanfoutre de
VitnŤgre! Pince.. ťt remue du cýl, Garse"! Ces mots grossiŽrs
me mirent en fureur ťrotique; je chatouillŗi sans pitiť les
piťds de ma Fille, en lui disant: "Fous, Deesse! Donne-nous
ton joli foutre!... Et toi, Sacrebougre, inonde-la! As-tu
jamais percť con ou conin, qui vaille le connin, le connichet
de ma celeste, de cette divine Putain"?... ConquŤte saccadait
ŗ desarÁonner son Enconneur (comme fesait Mlle Timon sous le
Grand-homme MIRABEAU): Mais Montencon se tenait ferme.
Cependant elle eŁt une decharge si convulsive, qu'il fut
presque-deconnť. Mais en retombant, le frottement serrť du
connin veloutť, le fit decharger avec ravissement...
Il lima quatre-fois sans deconner, ťt ŗ la quatriŤme, lui
ayant chŗtouillť les couilles, il ťmit aussi copieusement qu'ŗ
la premiŤre. Mažs il fut ťpuisť. "H‚! comme VitnŤgre es cocý!
(disŗit-il en deconnant); car sa Fouteuse de Femme a dechargť
le triple de Moi". ConquŤte sourit. "Combiťn? (lui demandai-je).
"HŰ! dans les neuf, trois fois-neuf". Je la baisai sur le
front, ťt elle ala au bidet. Je vis par-lŗ qu'elle aurŗit un
vigoureux temperament. Ainsi, je resolus de la faire un-peu
bl‚ser, avant de La livrer ŗ son gros Vit.
Mad. VitnŤgre voulant se rafraÓchir quelque-temps le con dans
sa cuvŤte ŗ bidet, nous pria, avec une modeste rougeur, de La
laisser libre? Nous La saluames aussi respectueusement qu'Une
Deesse biťnfesante, ťt nous sortimes. Montencon me dit: "Je
vous rens gr‚ces: Je serais plŁs glorieux d'Ítre son PŤre, que
de la Reine Marie-AntoinŤte. Elle est autant audessus des
Fouteries ordinaires, que Mlle CONTAT, ou Mlle LANGE sont
audessus d'une Putain des Pauvres, qui branle les vits
derriŤre les charrŤtes sur le quai du Louvre". Nous nous
separames, ŗ ces mots. "H‚! (disait Montencon, s'ťloignant),
comme elle a ťtť foutue"!
XXI Chapitre.
Chap. Du Ressouvenir, & De l'Episode.
Ho! que les Puristes ont dŻ se recrier au ChapÓtre
prťcedent!... Hť-biťn, Puristes, je m'en fous.
Le lendemŠin, je m'attendais ŗ un-peu de bouderie, ou de
sťrieux. Non: Ma ConquŤte me parla comme ŗ l'ordinaire... Je
fus huit jours, sans cherchťr ŗ le Lui mettre.... Le Samedi,
son Bijou biťn retabli des fatigues donnťes par Sourcilsgris,
dit Montencon, elle y sentit un chatouillement. Elle se
ressouvint alors de ce que je Lui avŗis dit, qu'elle pourrŗit
se laisser enconner par Timori. Elle fit une toilŤte de
voluptť, se couvrit d'une calťche, ťt sortit le soir. Mais je
L'observŗis, ťt La fesŗis soigneusement observer par Mad.
Brideconin, ou comme je l'appelŗis en badinant, Mad. CONBRID….
Je fus avertŪ; je La suivis, pour La prťserver de malheur.
Elle monta. J'ecoutai ŗ la porte; ťt j'entrevis mÍme par une
fente... ConquŤte se jeta dans les bras de Timorž. Mais il
ťtŗit malade: La Belle fut gamahuchťe seulement. Timorž,
aulieu de la caresser, comme elle s'y attendait, se mit ŗ Lui
racontťr la suite des ťvŤnemens relatifs ŗ VitnŤgre, ŗ
Foutŗmort, ťt ŗ ConillŤte:
"J'ai ťtť voir VitnŤgre aujourdhui, aulieu de me rendre ŗ mon
Bureau, ťtant malade. Je l'ai trouvť malade lui-mÍme, tant il
avait ťtť hiŽr effrayť des menaces de son Moine. Celui-ci
l'avait fait demandťr. VitnŤgre est accouru. Il a trouvť toute
la Communautť ŗ l'Infirmerie. Parvenu au lit de Foutŗmort,
Celui-ci lui a dit: "Gueux! si j'en avais la force, je
t'ťtoufferais... Mais si je suis pour en mourir, comme On
l'assure, je declarerai tout au Lieutenant-de-Police, ťt tu
seras pendu... Tu m'as vendu ta Femme: Elle ťtait si belle,
que j'ai eŁ un plaisir... infini... ŗ la faire expirer dans
des douleurs plŁs fortes que celles de l'accouchement... J'en
bande encore, mais avec des douleurs insupportables... Elle
ťtait si belle, que j'ai voulu en manger: je me suis fait
accomoder son con, sa matrice, ses poumons ses tetons ťt sa
tÍte, que j'avais deguisťe: Nos Moines ont mangť, sans le
savoir., son cŁl, ses fesses, ses mollets, ses piťds, ses
bras, ses mains, ses ťpaules, son coeur, son foie, etc... Tous,
eux ťt moi, nous avons la verole! Or, ta Femme, belle,
fraÓche, pucelle encore, ne l'avait pas.... Voici ce que tu as
fait, Coquin: Touchť d'une fausse compassion, tu as fait
ťvader ta Femme, que je t'avais payťe pour la foutre ŗ mort,
ťt tu lui as substituť une Putain... C'est une insigne
coquinerie... Si j'en reviťns, j'aurai ta Femme; si je meurs,
tu seras pendu"... VitnŤgre s'est donnť ŗ tous le Diables que
c'ťtait vous qu'il avait livrťe. Le Moine, qui venait d'Ítre
frottť de mercure, ťt dont la langue enflait, a fait signe
qu'il n'en croyait riťn. Le Chirurgiťn a tirť Vitnegre ŗ-part:
"Avťz-vous quelqu'affaire ŗ regler avec ce Scelerat? il n'a
pas 2 heures ŗ vivre, ŗ la maniŤre dont enfle sa langue. Il a
une verole si terrible, que j'ai ťtť obligť de le froter au
triple ds Autres, que voila dans leurs lits, ťt qui commencent
ŗ saliver. Je le connais; c'est Un Monstre ŗ Űter du monde, ťt
tout-ŗ-l'heure, il ne pourra parlťr. "EmpÍchťz qu'il n'ťcrive?
"HŰ! ne craignťz riťn! l'enflure luž.. g‚gne les Ôeux; il n'y
voit plus, ťt la langue commence ŗ lui sortir de la bouche...
Il.. souffre.. (lui t‚tant le pouls) comme un Damnť.. ťt il
n'a pas une demi-heure ŗ vivre"... Alors, VitnŤgre enhardi, a
dit au Moine; "Gueux! Infame!... c'est la Putain ConnillŤte,
que je t'ai donnťe, que tu as fait manger ŗ tes Moines, ťt
dont tu as dťvorť la matrice verolťe"! Le Moine s'est soulevť,
ťt a lancť ŗ VitnŤgre un si terrible coup de poing, qu'il
l'aurait tuť, si la colonne du lit n'avait pas amorti une
partie du coup, qui cependant a renversť VitnŤgre. On l'a fait
sortir. Mais il a appris ce matin, par le Chirurgiťn, que la
langue du Moine, devenue grosse comme celle d'un Boeuf, l'avait
ťtouffť un quart-d'heure aprťs... On a brŻlť sans lire, tout
ce qu'il avait ťcrit durant sa maladie.
Voila ce que VitnŤgre tranquilisť, viťnt de me raconter. Il
est tard: je ne saurais vous reconduire: Partťz, ma belle
Amie".
Tel fut le recit de Timorž, fait ŗ ma Fille, que j'entendis
tout-entier, ťt qu'elle me repetera. Elle s'en revint la tÍte
remplie d idťes noires. Je La suivŗis ŗ vingt pas, La couvant
des Ôeux, pour La prťserver de toute mauvaise rencontre. Je
bandais comme Un Carme, en voyant son joli tour de hanches...
Elle rentra. Je La prťcedai dans mon magasin, ťt je me cachai.
Elle revint avec de la lumiŤre ťt de l'eau tiŤde. Elle se lava
la motte, ťt soupira, en se disant ŗ elle-mÍme: "Il n'existe
plus, le Scelerat!... Je suis encore effrayťe"! Je frappai un
petit coup sur une comode. ConquŤte leva les Ôeux, ťt me vit.
Je Lui contai tout ce qu'elle venŗit de fŗire. Je Lui causai
un effroi salutaire, qui La guerit de l'envie de retourner
seule chťz Timorž, en Lui disant, que j'avŗis aperÁu VitnŤgre
sur le quai des Ormes. J'ajoutai: "Vous aliťz pour Ítre
bŗisťe; vous le serťz; car je couche avec vous". Elle
begueulait, disant que le recit de Timorž Lui avŗit Űtť ses
desirs. Je ne L'ťcoutai pas; je me mis au Lit, ťt elle vint se
coucher auprŤs de moi.
XX Chapitre.
Chap. De la Fouteuse mise en appÍtit.
L'appÍtit viťnt en mangeant (dit le Proverbe): & l'On va voir
combiťn il a raison, pour ConquŤte!
DŤs que ma Fille fut ŗ ma portťe, je m'encrai sur ses appas,
Lui suÁai les tetons, ťt L'enconnai. Je ne sais par quel
motif, humeur ou voluptť, ma divine Enfant ne remua pas. Je
fis de-mÍme, ťt La tins emmanchťe, sans me donner aucun
mouvement... Je m'endormis, aprŤs m'Ítre mis sur le cŰtť, sans
dťconner. ConquŤte, qui s'y ťtait prÍtťe, s'endormit comme
moi, sans-doute; puisqu'en m'eveillant, sur les 2 heures, je
me retrouvai dans son Bijou. Je m'agitai pour-lors. Elle me
serra dans ses bras, remua vivement du cýl, ťt me dit: "ChŽr
Amant? pou..ousse". Et elle saccada de toute la force de ses
rein... Elle dechargea... J'ťmis aussi... "H‚.. mon Dieu (dit-elle),
c'est mon Papa, qui me.. caracole... "Qui te fous, ma
Deesse. "Ah.. il n'y a que vous, pour ces choses-lŗ... Je ne
vous contrarierai plus; car vous avťz plŁs d'esprit que moi...
J'ai eŁ un plaisir.... que je ne dois qu'ŗ vous... ChŽr Papa,
recommencťz; que je decharge ŗ votre intention? Je vous
adore... Je La re-enconnai vigoureusement, en Lui disant: "Et
fous comme tout-ŗ-l'heure, ŗ l'intention de ton Amant"... Elle
remua du cýl comme Cleop‚tre ou Messaline, ťt elle se mit ŗ
dire, en saccadant: "Bougre de Timori.. fous... fous...
fous-moi... Fous ta Garse... fais cocu mon sacrť-gueux de Pere...
dont je suis la Femme.. la MaÓtresse.. la Putain... Ah.. je
sens ton vit, au fond de mon con... Ta langue... ta langue?...
Je me p‚me... Je de...cha.arge.... Foutre... Ah-a-a-ah... je
n'en puis plus........... Et en finissant, elle ala se laver
le con......
DŤs qu'elle fut de retour, je remontai sur elle. "Remue du
cýl, du con! (Lui dis-je): Trťmousse des fesses... Je sens ton
pinÁoir... HŰ! que tu fous biťn, Fille de mon Vit, pour Une
Novice!... Ayťz un mouvement encore plŻs rapide?... Bon...
excellent!... Quels reins ťlastiqs"!.... Elle fit trois
soubresauts, ťt dťchargea, en disant: "O mon Dieu! mettťz une
tŰne de foutre dans les couilles de mon PŤre, ťt que son vit
divin le decharge au fond de mon con"! Dieu l'exauÁa, car
j'ťmis aussitŰt, ťt nos foutres se mÍlŤrent. J'en esperai Un
Adonis... Elle resta ensuite immobile, ťt moi aussi. Elle fit
une copieuse ablution. Je me rafraÓchis le vit ťt les
couilles; puis nous nouz recouchames. Je La re-enconnai.
Je fus-lŗ plŁs d'une heure, Lui suÁotant ses boutons de roses,
Lui dardotant ťt Lui fesant dardoter la Langue; La fesant
dechargeoter, p‚moter, chatouilloter mes couilles. Je ne
pouvais me rťsoudre ŗ dťconner.... Tout-ŗ-coup ma Fille, que
je croyais ťpuisťe, se met ŗ trťmousser du cýl, ŗ
convulsionner du con, comme fesait autrefois sa MŤre, mais
mieux que Celle-ci... Je rebandai roide, mais loin de la
decharge.! Desorte que je La limai tant qu'elle voulut... Elle
me disait: "Papa! je ne parlerai pas d'Un VitnŤgre, qui n'a de
plaisir sur Une Femme, qu'autant qu'il brutalise sa Monture:
mais vous foutťz plŁs tendremt plŁs delicieusement, que Timorž
ne caresse: Vous limťz mon con comme Un Dieu!... A votre
intention cette decharge-ci... Papa! Papa, fourgonne! tu es
dans le con de ta Fille! Remue du cýl, Papa! Tu me fous.. tu
me fous.. tu m'enco..onnes!... Fous, Bougre! fous ta Fille!
Incestue, Jeanfoutre!... Enfonce, enfon..once,.. dans le
con..on de ta Fi..ille.. p‚..‚mťe"!... Et elle resta comme
morte, pendant une longue decharge.....
Je La relimai, voulant dťcharger aussi, pour la derniŤre-fois
de cette nuit-lŗ. Elle se ranima: "Fous, Maquereau! Je suis ta
Putain, ta Raccrocheuse... ta sacrťe-Salope... ta passionnťe
Fouteuse.., ta tendre Fille... Engrosse-moi? (remuant du cýl
avec fureur): mets-moi dans le con un Garson.. une Garse! si
une Fille, tu La.. dťpuceleras un-jour... si un Fils, il me
foutra... "Adorable fureur! (m'ťcriai-je)... Tiťns, Fille
adorťe, voila du fontre". J'ťmis delicieusement; ťt ma
Fouteuse dechargea plŁs delicieusement encore... "H‚! quelle
nuit! (me dit-elle)... Timorž ne me l'aurŗit pas donnťe si
voluptueuse"...... Elle s'ablua: je lavai, ťt nous endormimes.
XXIII Chapitre.
Chap. De la Tendresse Filiale: Amour paternel.
Etre reservťe, modeste, ou voluptueuse & fouteuse ŗ-propos,
c'est la vťritable sagesse.
Je ne raconte pas les bagatelles... Montencon ne put le
re-mettre ŗ Mad.. Poilsoyeux, ťt il en fut trŤs-ťtonnť! Elle
ťtŗit aussi modeste, aussi retenue avec Lui, qu'avant qu'il
l'eŻt foutue. C'est qu'elle suivŗit mon avis, de ne pas
laisser prendre un piťd sur elle, par les faveurs accordťes,
ou ravies.... Un-jour qu'elle se baissait, pour arranger le
feu, il lui prit le con. Elle Lui donna un soufflet. Je dis ŗ
Montencon: "Moi, qui la connais, je ne Lui touche jamais les
fesses, ou le poil du conin, sans sa permission, ťt sans
qu'elle m'ŗit dit: "Hť-biťn, faites donc vÓte"! Quand je Lui
demande cette faveur, elle est parťe, chaussťe comme les
Gr‚ces.. Je commence par Lui demander ŗ Lui baiser le piťd.
Puis Lui glissant la main sur la jambe, je Lui dis: "Tu l'as
si jolie! que je La baise"?... Je pousse ŗ la cuisse, en
disant: "Quel satin"! Je Lui passe delicatement la main sur la
motte, ťt je m'ťcrie: "Ma Reine? qu'en te voyant marcher dans
la ruŽ, ťt tortiller si joliment du cýl! faire bander tous les
Hommes; bisquer de jalousie toutes les Femmes, je puisse me
dire: "Je viťns de patiner, de baiser ces foutatifs appas"...
Je te suivrai; j'entendrai les Hommes dire, Que je la foutrais
biťn! Je verrai les Femmes penser: Sacrťe Coquette! cette
parure, ce goŻt, ce tour de cýl signifient: Je veux ťtre
foutue? Vits, foutťz-moi? "Bougresses! (Leur repondrai-je
tout-bas), je mťprise vos cons ťt vous! Je ne bande que pour
le beau connin que vous jalousťz"... Ma Fille sourit ŗ ces
propos; se laisse patiner, puis baiser tetons, fesses ťt
connin"... Montencon m'admira, ťt demanda pardon ŗ ConquŤte,
qui n'avait entendu ce que je venais de dire, qu'avec une
modeste rougeur.
Un jour de fÍte, que je L'avais conduite avec prťcaution chťz
Une Amie, ťt que j'ťtais retournť La chercher le soir, la
suivant ŗ quatre pas, son lubrique tour de fesses me fit
bander si fort, qu'en rentrant, je Lui h‚pai le con. Elle se
defendit, parcqu'elle entendait aler ťt venir Mad. Brideconin.
"En ce moment, Deesse, je suis si enragť de lubricitť, par ta
marche voluptueuse, que je te foutrais devant toute la Terre."
Et je grinÁais des dents, Lui tenant toujours le poil du con,
ce poil soyeux qui Lui formait une Longue ťt superbe perruque
ŗ la Louis-XIV. "Hť-biťn! (me dit-elle), alons: Mais ne me
chiffonnťz donc pas? "En dťshabillťr, Reine". Je Lui tenais
toujours le con, ťt je La suivais ŗ chaque pas qu'elle fesait.
Elle me donna un joli baisťr ŗ langue dardťe, pour me
remercier de ce que je Lui permettais de se mettre en
deshabillťr. "Ne me quittťz pas le poil: Áa me prťpare". Une
pareille complaisance me La fesait adorer. En un instant, elle
fut en corpset, en court jupon piquť, les tetons biťn
dťcouverts: "Ma chaussure est-elle assťz voluptueuse? ou
voulťz-vous des mules, avec d'autres bas? "Des mules". Je La
dechaussai d'une main, Lui chatouillant toujours le con. H‚!
quelle jambe blanche! quelle propretť! Elle se chaussa debout.
Je Lui mis le piťd dans une mule rose delicieuse, ŗ talons
roses aussi, minces, ťlevťs, ŗ falbalas d'or, ainsi que le
bout du talon. Je Lui quittai la motte, qu'elle lava. Ensuite
elle fit par la chambre quelques-tours, pour m'exciter
davantage. Me voyant hors de moi: "Je veux te griller"! (me
dit-elle). Tandis que je dťculotais, elle s'assit, croisa ses
genoux, ťt fit badiner la mule du piťd en l'air...
Je n'en pouvais plus... Me voyant prÍt ŗ m'ťlancer sur elle,
ConquŤte vint sur moi troussťe, me fit tenir ses jupes, appuya
ses deux coudes sur mes epaules, ťt s'enfila doucement elle-mÍme,
sans toucher mon vit de sa main delicate. Elle descendit
ainsi graduellement jusqu'ŗ ce que je touchasse ŗ son
pincevit: "Ne remue pas! (me dit ma Reine), je veux me foutre
moi-mÍme"! Quand elle sentžt le plŗisir, la divine Fouteuse
trop ťmue, s'abandonna de tout le poids de son corps, en me
disant: "Cher Vit... pou..ousse"! Elle mit sa bouche brŻlante
sur la miťnne, donna le mouvement interieur ŗ son con, me
darda sa Langue, ťt se p‚ma, en me lanÁant toute son ‚me....
Je dechargeai, avec un si delicieux frťmissement, qu'elle
foutait encore, au bout de cinq minutes d'ťmission. "H‚!
Fouterie adorťe, l'ťclair du bonheur dure... et se... prolonge
avec toi"... Je sentis, en cet instant, l'ťmotion de mes
premiŤres decharges, oý je perdais connaissance, ťt je crus
que j'alais expirer de voluptť dans son con. Je le dis, en
dťchargeant. Mon Enconnťe n'en fretilla que plŁs vivement: "Un
Fils?... une Fille?... ou tous-deux au fond de mon con (me
disŗit-elle), chŽr Vit de mon PŤre"!... Je jurŗis, je sacrŗis,
je divinisŗis ma Fille: "Con celeste.. Con divin.. Con de mon
vit.. est-ce Moi?.. est-ce Un Roi?.. est-ce Un Prince?.. est-ce
le beau Commis aux AÓdes, qui t'avons foutue dans le con de
ta Putain de MŤre?... H‚, mon vit te rend ma fille, en mÍlant
mon foutre au tiťn... Divine, sacrťe Garse.. Adorable
Bougresse enculťe, il faut que je t'encule aussi? "Non: ton
foutre m'est trop prťcieux, pour que je le perde sciemment:
Fous-moi en con, tant que tu le voudras; mažs non en cýl, en
bouche ou en tetons". Je l'approuvai avec respect.
Je Lui dis ensuite, pourquoi je la suivais toujours, en La
menant chťz son Amie, ou en La ramenant: "Mon premiťr motif
est de mieux voir le dangťr. Le second, d'entendre les
discours des Hommes ťt des Jeunesgens que tu fais bander. L'Un
dit: Quel mouvement de cýl!... O Garse! si nous ťtions seuls
ici, je me jetterais sur toi, ťt je t'enconnerais... "Je l'ai
entendu (me dit en souriant Mad. Poilsoyeux). "Un-autre (ce
soir) se secoue le vit en pleine ruŽ: Maman.. (dit-il),
delicieuse Maman.. je me branle... je decharge... ŗ ta divine
intention. "Je l'ai entendu: j'ai souri. Il a aussitŰt ajoutť:
HŰ, si vous Ítes putain... une divine Putain? cinquante louis
pour trois coups en une heure?... ou chťz moi, ou chťz
vous?... Je demeure ruŽ de-Bussi au 3me, nį 16. "Un joli Fat
(repris-je), disait assťz haut: Mon vÓt dans sa bouche, ťt ma
langue dans son con... Et il se branlait, branlait, branlait.
"Je l'ai vu, ťt je Lui ai donnť un petit coup d'ťventail sur
le vit... Il m'a biťn touchťe! Il m'occupait: PeutÍtre est-il
cause que j'ai montrť un-peu d'humeur, quand ŗ notre arrivťe,
vous m'avťz pris le con".
A ces mots, nous recomenÁames une scŤne, comme celle que je
viťns de raconter; si ce n'est que je renvesai ma Fille sur le
dos. "Vit-papa... (me dit-elle), tu es le Fat... c'est le Fat
qui me fout... Tu me fais foutre par tous-ceux qui m'ont
desirťe... Je dťcharge ŗ l'intention du Fat... son vit dans ma
bouche, ses couillŤtes sur mes tetons, ťt l'engin de mon PŤre
au fond de mon connin... J'avale son... joli foutre...
(convulsivant du con)... Je dťchar..ge"....... Jamais elle
n'avait eŁ autant de passion. Elle ťtait mÍme raisonnťe: car
entre deux dťcharges, elle me dit: "Vos lŤvres sont
appÍtissantes; elles me rappŤlent: aulieu que celles de
Montencon... Je ne veux plus qu'il m'encon..o..o..ne (dit-elle
en s'agitant): Langue en bouche: mon con pa..art"......... H‚,
si j'avais-lŗ l'Homme aux cinquante louis, moi qui ne suis pas
effrontťe, je crois que je ferais la Putain, que je les
exigerais d'avance, comme VitnŤgre disait que c'est l'usage
des Filles, que je Le dťculoterais, ťt que mon con martyrisť
g‚gnerait la somme"?
XXIV Chapitre.
Chap. Du Chefdoeuvre de Tendresse-paternelle.
Conquette ťtait naturellement sage; elle n'ťprouvait les
emportemens du libertinage que dans le delire de la
jouissance, effect d'un vigoureux Tempťramt.
J'ťtais ťpuisť par deux coups foutus avec trop d'emportement.
Cependant je La voyais haletante de voluptť. Je courus au
carrefour Bussi, nį 16, au 3e. Je trouvai le Jeunehomme aux
cinquante Louis: Je Le reconnus: Il me remit. "Je suis le PŤre
de la Jeune-Dame ŗ Laquelle vous avťz offert 50 Louis. "Je les
Lui tiťns: Trois coups en une heure? "Soit: En ma prťsence?
"Et de tout Paris, si vous voulťz. Mais, Bougre, ne va pas me
jouer! "Non: Mais une heure, sans bruit? "Foi d'Homme!
Partons"... Il prit les 50 Louis.
Arrivťs tous-deux, je dis ŗ ma Fille: "Voici l'Homme qui t'a
plu: Tu as besoin de 50 Louis: Il te les apporte: Il les faut
g‚gner"? ConquŤte rougit, sans riťn rťpondre. L'Homme se
deculota, Lui vint prendre les tetons, le con. Il me dit:
"Serrťz les 50 Louis; ce con satinť, ces tetons touchťs les
valent". Je les serraž, tandis qu'il renversŗit ma Fille sur
le foutoir. Elle fit un cri: "O Monsieur... mon chŽr
Monsieur... ne me fažtes pas trop de mal? "Seriťz-vous donc
pucelle? "Hťlas! oui"... Il L'enconna avec fureur. Elle
soupira, criota, pinÁa du con, dechargea. "Elle est adorable"
(disait le Fouteur enragť: car il foutit, ťt re-foutit, sans
pitiť, come sans deconner, ses trois coups de suite. Ma Fille,
tantŰt Le caressait, tantŰt Lui demandait gr‚ce: mais elle
dťchargeait toujours... Il dťconna ravi... Et voyant quelques
gouttes de sang, que ses brusques estocades avaient fait
couler, il dit. "Oui, vous Ítes d'honnÍtes-gens: Un pareil
pucelage n'est pas assťz pŗyť de 50 Louis: Je vais en envoyer
50 autres, Papa... (Ma Fille ťtait disparue pour s'abluer).
"Oui, si je n'ťtais pas mariť (ajouta-t-il attendri), je
l'ťpouserais, ťt pour son pucelage, ťt pour son amour... Vous
alťz recevoir 50 Louis: Je La regrŤterai toujours, ťt ne La
verrai jamais. Il partit. Ma Fille me remercia, ťt me dit,
qu'elle ťtait rassasiťe. Je Lui remettais les 50 Louis: "Non
(me dit-elle), chŽr papa, c'est pour nos dťpenses". Les 50
autres Louis arrivŤrent, ťt je ne pus jamais L'obliger ŗ en
mettre dans sa bourse plŻs de six. Je dťposaž les 94 autres ŗ
sa portťe dans mon Magasin.
Le Lendemain, ŗ mon arrivťe, ma Fille me dit: "Je brŻle
aujourdhui: Savťz-vous la demeure du Fat, ou du Vit dťcouvert?
"Non; ce sont des Sots. "Hť-biťn, sortons: L'Un ou L'Autre me
verra sans-doute, ťt vous Le suivrťz. "Divine Fille.. ťpuisť
dans ton celeste connin, j'ai toujours les mÍmes desirs; ťt si
je voulais mourir de plaÓsir, ťt dans le plaisir, je te
prierais de remuťr du cýl, ťt de me laisser expirer au fond de
ton con satinť... Foutons?... "Un seul coup. Vous m'Ítes trop
chŽr ťt trop necessaire, pour que je ne vous mťnage pas". En
montant sur le ventre de ma Fille, ťt tandis qu'elle
m'arrangeait le vit a l'entrťe de son con, je Lui disais: "Te
quitter, pour en suivre Un, est trop scabreux, ťt malheur peut
arriver... Et comme elle ne s'agitait pas: "Tu me mťnages?...
Remue du cýl, Mignone? saccade? dťcharge?... C'est mon seul
coup... Mais j'ai de quoi te satisfaire... Il le faut mÍme,
avant qu'Un de tes trois gros Vits te martyrise". Elle remua
du cýl ťt du con, comme Marie-Antoinette foutue en levrŤte ŗ
la Conciergerie, par un PoliÁon de Gendarme... Nous
dechargeames, ConquŤte, comme La Reine, Moi, comme Le
Gendarme... Je sortis. Elle lava.
XXV Chapitre.
Chap. Du bon PŤre qui fait foutre sa Fille.
Alťz au but, & bravťz le reste: c'est un con, qu'il s'agit
d'ťl‚rgir; il faut donc qu'il soit foutu.....
On sait que j'avais ŗ moi Un certain Trŗžtdamour, mon
secretaire, frŤre de Minone ťt amant de ConnŤte, qu'il m'avait
fait dťpuceler, l'ayant trop-gros. C'ťtait Un vigoureux Garson
de vingt ans. Il demeurait ŗ deux pas. Je l'alai chercher:
"Veux-tu foutre quatre ou cinq bons coups, avec Une Femme
charmante, que je veux rťgaler, ťt ŗ Laquelle je veux donner
haute opinion de Moi? Ainsi, tu n'auras pas de jour: Mais tu
L'auras vue avant de La foutre, pour La mieux servir. "Bon,
bon! il y a quinze jours que je ne l'ai mis, ni ŗ ConnŤte, ni
ŗ ma Soeur, ťt je n'en fous point d'Autres"... Nous arrivames.
Je Lui fis voir, par une portiŤre, ConquŤte, qu'il ne
connaissait pas. HŰ.. qu'elle est.. provoquante...
foutative?... J'entrai seul: "Detetonne-toi; trousse-toi
toi-mÍme (dis-je ŗ Mad. Poilsoyeux): Tu es vue par Un Jeunehomme
de vingt ans, beau comme l'Amour. "Mon Fat? "Ton Fat: Il se
nomme Traitd'amour. Ainsi, montre tout, en abluant. Je
retourne auprŤs de Lui". De-retour auprŤs de mon Etalon, je
Lui dis: "Regarde La biťn: Elle va s'abluer, ťt montrer con ťt
cýl"... L'Ame de mon Gendre momentanť passa dans ses Ôeux.
ConquŤte se dťcouvrit les tetons, ťpongea lťgŤrement les bouts
d'eau-rose. Ensuite elle se troussa audessus des reins, se
parfuma le cýl ťt le con avec une autre fine ťponge; tendit le
cýl, se faÁa biťn le con: Puis elle se renversa sur le
foutoir, avant de fermer les rideaux. Je Les alai tirer, en
disant ŗ Traitdamour de me suivre dans un instant. Je me jetai
sur La delicieuse Poilsoyeux; ťt L'enconnai. Traitdamour me
chatouilla Les couilles. J'ťmis avec fureur: Ma Fouteuse se
recriait de voluptť... Je me h‚tai de dťconner.
Trŗžtdamour attendŗit tout deculotť, Il se prťcipita sur ma
Fille, ťt je dis, en me penchant sur La tÍte de L'Enconnant:
"Alons, alons, ma Belle! les reins souples? j'ai repris une
vigueur nouvelle"? Tražtdamour cependant enfonÁait ŗ-peine son
beau vit dans cet ťtroit bijou, encore que mon foutre y servÓt
de pommade. ConquŤte, de-nouveau depucelťe. Criotait, en
soupirotant, ťt neanmoins remuant vivement du cýl, ŗ chaque
dardement de vit.
Je rebandais. Mais Trŗžtdamour foutit trois coups, ťt fit
trois copieuses ťjaculations avant de dťconner. Je Le tirai,
pour Le forcer ŗ reprendre haleine. "Je vais pendant ce
temps-lŗ (Lui dis-je trŤs-bas), faire une petite partie de
Trou-Madame. "Je vois (me dit-il de-mÍme), vous ne bandiťz plus
assťz roide, ťt je suis votre Boutentrain? Mais elle a Le con
plein de foutre"... Ma Fille se lavait... Je roidissais
de-plŻs-en-plŻs, par la vue des cuisses de neige, de la jambe
fine, du piťd parfait, du cýl, du con, du ventre d'ivoire, du
nombril biťn-fait, des tetons de ma Fouteuse. Je dis tout-haut
ŗ Trŗžtdamour: "Beau Fouteur, montre-toi; que ma Deesse voye
le superbe Vit dont je La rťgale"? Tražtdamour parut son Trŗžt
ŗ la main. Ce n'ťtait pas le Fat; mais Il ťtait plŻs beau. Ma
Fille sourit: Puis baÓssant la vue sur le Vit majeur, La Belle
dit en soupirant, ťt Le pressant de sa main blanche ťt
potelťe: "C'est donc toi, qui m'as fait tant de mal... ťt de
plaÓsir"?... Trŗžtdamour me La renversa; Lui fit ťcarter les
cuisses; me coucha sur elle; me mit l'engin dans la brŤche, en
disant: "Votre Belle a la main trop douce; pourrait vous
mettre ŗ nage, ťt il faut enconner roide... Poussťz, mon
MaÓtre... piquťz des deux..! la Cavale est belle... Alons,
Deesse enconnťe, haussťz le con.. Remuťz du cýl... C'est Un
Homme-d'esprit qui va vous humecter la matrice de son foutre
honorable"... Cette harangue fit sourire la Foutue, qui, pour
en dťguiser la cause, s'ťcria: "H‚, monsieur VitnŤgre, que de
cornes vous voila!... "Alons, Deesse (repržt Trŗžtdamour),
songťz qu'il faut que vous fassiťz les trois-quarts de
l'ouvrage... Du mouvement?... Bon... h‚! Áa va d'amitiť.. ťt..
vous remuťz du cýl comme une Princesse... Alons, des reins
souples? Avec votre connin satine, vous mettťz votre Fouteur
aux Anges!... Roide, mon MaÓtre? aidťz-vous.. votre jolie
Monture va comme une Jument barbe... Gzee.. gzee.. Un coup de
fouet... H‚! quels soubresauts... Ma-foi, elle decharge...
Piquťz des deux... Comme elle trťmousse des fesses, la celeste
petite Amie? comme elle en donne!... Que je vous chatouille
les couilles, pour vous y faire correspondre?... Vous
partťz?... Quels coups de cýl?... Quels soupirs?... Elle
redecharge"?...... Ma modeste Fille ne jurait jamais que
trŤs-emue, ťt dans le delire de la voluptť: Aussi, en cette
occasion, elle sincopa, en s'ťcriant: "Bou..ougre?..
fous..ous-moi? Mon... con a.. toute.. mon ‚me!... Je fous.. je
fons... en foutre... je decha..arge... Que.. n'ai-je.. deux
vits.. dans.. mon.. sacrť con? "Il est trop ťtroit, ma Belle
(Lui rťpondit Trŗžtdamour); sans quoi l'On s'arrangerait ŗ
vous donner ce plaisir-lŗ... Mais On pourra quelque-jour vous
enculer, pendant que votre Fouteur vous enconnera"...
AprŤs une delicieuse dťcharge, je me crus ťpuisť. Je deconnai
surlechamp. Ma Fille trťmoussait encore. Trŗžtdamour sauta sur
ce con fumant, ťt tout en Le re-enconnant, il me disait: "Vous
avťz foutu ma Petite Soeur; je L'ai foutue aussi, aprŤs vous:
Vous m'avťz dťpucelť ConnŤte ma Future: Dites-moi si Leurs
cons valent celui que votre bontť me fait enfiler? c'est un
satin?..... Mais, ŗ en juger par le soyeux du poil, j'augure
que l'interieur du con de ma jolie ChapeliŤre de la ruŽ
Bordet, en approchera... Ma Reine.. vous fais-je mal? "Et
plaisir... Va.. va..a va..a donc? je fous. "Hahah‚h, quel
satin.. quelles delices?... J'enconne.. je fous.. je
decha..arge... Remue.. divine.. sacrťe.. celeste Enconnťe?...
HŰ, l'aimable petite pincette qu'elle a au fond du conin?...
Pince.. serre.. sacrťe petite Convulsionnaire.. fais-moi..
convulsiver dans ton joli con?... Tu veux du foutre..
Deesse?... Quatre decharges de-suite vont t'inonder le conin..
conichon.. conichonnet?... Voila ma seconde... "Fous.. saccade
(murmurait ma Fille).. ne.. me quitte.. pas chŽr Vitdamour?
"Ne la quitte pas aprŤs avoir dechargť (dis-je ŗ mon ancien
Secretaire); qu'elle sente les derniŤres oscillations de ton
gros vit?... Qu'elle est jolie, en foutant?... (disais-je ŗ
Trŗžtdamour); je rebande... Elle a l'air d'une Deesse?...
Laisse-la achever... Farfouille... Lime.. lime-la?... Elle
gigote encore... Bon.. bon? Elle se p‚me?... H‚, qu'elle est
jolie, p‚mťe!..... "Elle n'ťmet plus? "Elle a ťmis quatre fois
dans le con, sans la desenconner, Quatre ťt trois c'est sept
(disait Trŗžtdamour, en me La lavant): vous alťz la refoutre:
Áa me reposera; j'irai ŗ mes douze. "Vous vous ferťz mal (me
dit ConquŤte); voila quatre fois que vous m'enconnťz
aujourd'hui; le reste de ses 12 me suffira: Áa fera mes 16"?
Pour toute rťponse, je me La fis renverser: Elle me darda sa
Langue, ťt je La foutis roide... Tražtdamour la prit ensuite,
ťt ne La quitta plus, quoiqu'elle L'en pri‚t, qu'il n'eŻt
arrosť de foutre cinq nouvelles fois ce beau con.... Elle se
leva aussitŰt qu'elle fut dťconnťe, en me disant: "Emmenťz cet
impŗyable Jeunehomme, ťt me laissťz libre: J'ai besoin de
rafraÓchir sur le bidet plŻs d'une demi-heure mon pauvre Bijou
martyrisť".... Nous La laissames; j'alai prendre ťt faire
prendre ŗ Trŗžtdamour un bouillon chťz Mad. Brideconin, que je
priai d'en tenir un prÍt pour Mad. Poilsoyeux. Ce qui La
surprit... ConquŤte rafraichie arriva, ťt parut aussi dťcente,
aussi modeste, que si elle n'avait pas foutu. Trŗžtdamour
partit, sans Ítre instruit: Mad. Brideconin ťtant prťvenue de
ne jamais decouvrir les relations entre ma Fille ťt moi.
XXVI Chapitre.
Chap. d'AVIS trÍs-utile au Lecteur, et ŗ l'Auteur.
Nous en sommes enfin au temps si souvent annoncť des fouteries
majeures. Si je les avais rŗpportťes sans prťparation, elles
auraient ťtonnť: Mais qu'On sache que j'ťtais sŻr, en les
commenÁant, non-seulement d'avoir pour mes Filles deux des
trois Payeurs qui soldaient VitnŤgre, mais encore de Les faire
prťceder par la jolie Chapeliťre de la rue Bordet, qui, vendue
au plus douteux, devait m'instruire de la moralitť de tous les
trois. Il ťtait donc essenciel, pour ťviter qu'elles ne
fussent estropiťes, de Les faire prodigieusemt ťlargir, en
ťvitant neanmoins de Les prodiguer ŗ trop de Dťchargeurs en
con. L'On verra comme je m'y prendrai pour cela.
On trouvera dans le Recit un Episode, ŗ chaque Seance, tant
pour varier la scŤne, et reposer l'imagination, que pour
raconter quelques Avantures, que j'ai cru devoir supprimer au
commencement. Chaque historiette lue ou racontťe, ne sortira
pas du genre. Riťn de plus dťplacť, dans un Ouvrage comme
celui-ci, qu'une Dissertation philosophique; elle y deviťnt
insipide, et par-lŗ mÍme dťgoŻte de la phlosophie. Mon but
moral, qui en vaut biťn un-autre, est de donner ŗ Ceux qui ont
le temperament paresseux, un Erotikon ťpicť, qui les fasse
servir convenablement une Epouse qui n'est plus belle. C'est
ce que j'ai vu faire ŗ plusieurs Hommes, qui se servaient pour
cela du Livre cruel ťt si dangereux de Justine, ou les
Malheurs de la Vertu. J'en ai un plus important encore; je
veux prťserver les Femmes du dťlire de la cruautť. L'Anti-Justine
non moins savoureuse, non moins emportťe que la
Justine, mais sans barbarie, empÍchera desormais les Hommes
d'avoir recours ŗ celle-ci. La publication de la Concurrante
antidotale est urgente, et je me deshonore volontiťrs aux ieux
des Sots, des Puristes ťt des Irrťflťchis, pour La donner ŗ
mes Concitoyťns.
L'Ouvrage aura II Parties: AprŤs le Recit formant la Ire,
succŤderont des LETTRES, non moins assaisonnťes, composant la
IIde. Les Filles de Cupidonnet Lui racontent les parties-de-plaisir
que Leur fesaient faire leurs Entreteneurs; parties
oķ, dans le delire de l'ivresse, Leurs Payeurs les fesaient
quelquefois possťder par 12 Hommes... Mais toutes ces Lettres
ne sont pas ťrotiques: il en est d'intťressantes par un autre
motif; tel est celui d'une Resurrection, avec la decouverte
importante de l'origine de Conquette-Ingenue, ťt de Victoire-Conquette,
noms de deux Filles que les miťnnes ont remplacťes:
Ce qui me justifiera d'une certaine chose, qui sans-doute a
dťja effarouchť plus d'un Lecteur... Je n'en dirai pas
davantage lŗ-dessus.
On ne peut trop multŪplier les observations sur les ScŤnes que
je vais mettre sous la vue du Lecteur: Pour remplacer la
JUSTINE, ťt faire prťferer l'ANTI-JUSTINE, il faut que
celle-ci surpasse l'Autre en voluptť, autant qu'elle Lui cŤde en
cruautť: Il faut qu'un seul Chapitre lu par un Homme, sur
l'inspection de la Table, Lui fasse exploiter sa Femme, Jeune
ou Vieille, Laide ou Jolie, pourvu que la Dame ait fait bidet,
ťt qu'elle soit biťn chaussťe.
XXVII Chapitre.
Chap. Du commencement des grandes Fouteries.
Egayťe come elle l'avait ťtť hiŤr, ma Fille devait Švoir
besoin de repos le lendemain: Elle avait le Bijou si fatiguť,
qu elle ne pouvait quitter sa chaise. Elle resta constamment
auprŤs de Mad. Brideconin, depeur que Persone ne vÓnt le lui
patiner. Le reste de la semaine, elle ťvita ťgalement, quoique
guťrie dŤs le 3me jour, de se trouver seule avec moi. Elle
amassait elle-mÍme du tempťrament; car elle ne s'ťtait jamais
branlťe.
Le Dimanche, ŗ une heure, elle ala pour la derniŤre-fois chťz
son Amie... Avant de partir, elle me prťsenta son joli Piťd ŗ
baiser, ťt me livra sans bťgueulerie le Poil de son conin. Je
La conduisis jusqu'ŗ la porte, promettant de La revenir
prendre avant 5 heures: ce qui la fit rougir: mais j'observai
qu'en montant, me croyant parti, elle souriait.
Je fus exact. En la ramenant, je la fis marcher devant moi,
m'apercevant qu'elle ťtait observťe par un Homme, que je pris
pour Un des Payeurs de VitnŤgre: Mais Il ne pouvait
reconnaÓtre que son joli tour-de-cķl ťt sa marche provocante,
tant elle ťtait biťn encalŤchťe. J'observais l'Inconnu: Je
demandai ŗ ma Fille, Si c'ťtait-lŗ Celui-ci qu'elle prťferait?
-- Oui- (me dit-elle). Alors, je La nommai distinctemt, Ma
Fille. Et l'Homme s'ťloigna.
J'avais averti Trŗžtdamour. Il avait une clťf de mon Magasin,
ťt nous L'y trouvames. Je Le crus seul, malgrť la
recomandation que je Lui avais faite, de m'amener quatre
Acteurs des deux-sexes. Je Lui dis en riant, que je bandŗis,
ťt que je voulŗis enconner. "Quoi! (dit ConquŤte), est-ce que
vous alťz faire tous-deux comme l'autre fois?... Je ne suis
pas disposťe, je vous en avertis. "Nous vous disposerons, ma
Belle (Lui dit ironiquement Trŗžtdamour, qui La crut ma
Putain): voyťz-moi ce vit-lŗ?"... Et il Lui en montra un
superbe... "Laissťz-moi dabord vous lŤcher le conin,
Ma'm'selle?... Mon MaÓtre vous enconnera, quand vous serťz
prťparťe? J'ai tout disposť, pour lui donner aujourdhui, ainsi
qu'ŗ vous, un plaisir de Fermiťr-general". Il La renversa
brutalement, ťt La gamahucha, en Lui disant, comme s'il
L'avŗit menacťe: "Ne rťsistťz pas! car je vous ferais mal"...
Mais Mad. Poilsoyeux, comme toutes les Femmes ŗ grand
temperament, aimŗit, dans la fouterie ťt ses accessoires, une
sorte de brutalite. Ainsi, en croyant La contraindre, il La
servait admirablement... La Belle commenÁait ŗ dťcharger...
Tandis que je roidissŗis avec oscillation, ŗ la vue du systole
ťt du diastole des fesses ťt du con de ma Fille, j'aperÁus
derriŤre un rideau de l'alcove quelque-chose qui remuait.
J'alai voir. C'ťtaient Minone ťt ConnŤte, auxquelles deux
Garsons amis, de Tražtdamour, excitťs par ce qu'ils voyaient,
lŤchaient le con. Je Leur fis entendre par signes, de ne pas
bruÔr, ťt je Les encourageai d'un geste.
Cependant Trŗžtdamour fellait ou suÁŗit le conin de Mad.
Poilsoyeux. Lorsqu'elle fut suffisamment en humeur, il se
dťrangea, me tžra sur la Belle, ťt insera mon vit bandant en
ce conin rempucelť par sept jours de repos. "Qu'avťz-vous ŗ me
donner ŗ vous suÁer? (dit-il ŗ l'Enconnťe). Elle Lui prťsenta
l'index de la main-droite qu'il se mit ŗ suÁer, aprŤs
neanmoins avoir appelť sa Soeur ťt sa MaÓtresse, en Leur
disant: "Ici, Bougresses, ťt qu'On montre son
savoir-faire"?... L'Une (Minone) qui avait la main aussi douce que ma
Fille avŗit le con, me chatouilla les couilles; l'Autre
(ConnŤte), fourrait un doigt pommadť dans le cýl de ma
Fouteuse, pour La faire tressaillir sous moi... Mad.
Poilsoyeux hennissŗit de plaÓsir. Elle me dardait sa langue,
en m'appelant son chŽr Fat.. son chŽr Centlouis.. son chŽr
Payeur ŗ gros vit.. son chŽr Traitdamour... Enfin, enivrťe de
fureur ťrotique, elle s'ťcria: "VitnŤgre?... Jeanfoutre...
Fous-moi? PinÁe-moi?... Que ton gros vit de Mul‚tre me
pourfende ťt m'encule"?... Et elle dťchargea comme une
EnergumŤne. En ce moment, j'avŗis dans la bouche la Langue
fretillante de mon Enconnťe; Une des deux Filles me
chatouillŗit de la siťnne le trou du cýl ťt les couilles;
l'Autre me suÁait dans la raie du dos entre les deux ťpaules,
prťcisťment sur le sensorium... Je croyais connaÓtre le
plŗÓsir de la dťcharge: mais je ne l'avŗis jamais ťprouvť,
comme cette fois-ci; ťt de ce coup, je fus rendu.... "Quelles
delices"!
Trŗžtdamour m'enleva de sur ma Fille, ťt se prťcipita dans son
con. "Voila un connin? (disŗit-il, en poussant ťt retirant,
alant toujours plŻs avant, ŗ chaque saccade): Il y a de la
difference de ce connin aux autres cons, comme du satin ŗ la
tapisserie de Bergame"... Les Jeunesfilles n'avŗient plus
besoin de chatouiller, quand Trŗžtdamour foutait; il avŗit
assťz de feu pour Lui-mÍme, ťt ne fesŗit que trop biťn
trťmousser sa Monture. Je fis signe aux deux Garsons,
Brisemotte ťt Cordŗboyau, d'ťtaler les Filles, l'Une sur un
vieux sofa, l'Autre sur un Lit-de-sangle ŗyant un simple
matelas, ťt de Les foutre ŗ la portťe du regard de la Belle au
con soyeux. Par un effet du hasard, ma Fille ťmettŗit sous
Trŗžtdamour pour la seconde-fois, ťt les deux Enconnťes
dťchargŤrent au mÍme instant, ainsi que les trois Hommes. La
belle Poilsoyeux, en roidissant les jarrÍts, fesŗit: "Hi
hi-hi-hťhť?.,. Minone: "Han-han-hanh"?... ConnŤte: "Houhi-houhin
houah-houah-hou‚h"?... Les trois Hommes disaient ensemble;
Trŗžtdamour: "Remue du cýl, Deesse"?.. Cordŗboyau: "Remue du
cýl, Garse"? Brisemotte: "R mu du cýl, petite Putain"?... En
dťchargeant, ils s'ťcriŗient: "Foutre... "Foutre... "Foutre...
Trŗžtdamour: "H‚, Deesse... Cordŗboyau: H‚, Bougresse...
Brisemotte: "H‚, M‚tine"! chacun suivant son caractŤre ťt sa
politesse....
Mad. Poilsoyeux fut la plŻs longue ŗ dťcharger; les deux
Autres ťtŗient dťconnťes ťt lavťŤs, qu'elle ťmettŗit encore.
Enfin elle cessa. Trŗžtdamour La lava: Et me voyant rebander:
"Vous la foutrťz sans-doute autant que la derniŤre-fois? (me
demanda-t-il). "TrŤs-certainement! (repondis-je). Je ne suis
vigoureux qu'avec cette Jeune-beautť: Je la foutrais jusqu'ŗ
extinction de vie ťt dessiccation de couilles; ťt tu vas voir
ce que je vaux. Qu'On m'anime seulement par la vue
d'enconnages redoublťs"?
XXVIII Chapitre.
Chap. De l'Enculo-connillerie.
Ma reponse fit sourire TraÓtdamour, qui sans-doute n'y ajouta
aucune foi.
"Hť-biťn (reprit Trŗžtdamour), je vais vous donner un plaisir,
que vous n'avťz jamais eŁ, ni ces Bougres-lŗ non-plŻs. Je
tiťns cette pratique de l'Abbť Chouanche, anciťn Genovefain,
qui m'a souvent enculť, avant que j'eŁsse de la barbe au
menton ťt du poil au vit.. Un-jour, voyant que je m'ennuyais
de son culetage, il me dit d'aler lui chercher la petite
Cýlfrŗyť la cadŤte, jolie come un coeur, ťt non encore vendue ŗ
un Lord. Il envoyait 12 francs ŗ la MŤre, ťt la Fille devait
en recevoir autant. L'Abbť la fit s'appuyer un coude sur une
commode; il se mit derriŤre elle, ťt l'encula: J'ťtais devant,
ťt il me la fit enconner. Nous limions; nos deux vits se
sentaient, ou la Jeune-garse tortillait du cýl de-faÁon, que
nous croyions le sentir. Chouanche la fesait tantŰt pousser du
con sur moi, ťt alors son vit dťculant ŗ-moitiť, il avait
l'agrťment de la re-enculer, quand elle foulait du cýl sur
lui. Je presque-dťconnais alors, puis je re-enconnais. Ce joli
jeu dura, tant que Chouanche put retenir son foutre. Car il ne
dechargeait pas: il se reservait pour mon cķl. En-consequence,
il fit metttre la jolie Cýlfrayť sur le dos; je l'enconnai;
l'Abbť m'encula, ťt nous dťchargeames tous-trois.... Nous ne
prendrons pas la maniŤre du Genovefain; elle est trop
fatigante pour la Foutue. Mais il payait la jolie Bougresse...
Payťz-vous Madame?... "Non certes: c'est une honnÍte-femme.
"Je m'en suis aperÁu ŗ sa fouterie: Une Putain ne fout pas
comme Madame... En ce cas, je vais vous donner une experience
fisique sur Une de ces deux FillŤtes... Alons, Minone.. Alons,
ConnŤte? laquelle des deux veut ťtre enculťe ťt enconnťe
tout-ŗ-la-fois ťt en-mÍme-temps? Qu'elle se trousse"?
Durant cet entretiťn, qui La laissŗit tranquile, ConquŤte
s'ťtŗit couvert le con ťt les tetons. Les deux Filles ťtŗient
assises ŗ-cŰtť d'elle, dťtetonnťes. Elle Leur baisa le
boutonnet, ťt Leur couvrit la gorge de sens-froid avec leurs
fichus. (Mad. Poilsoyeux redevenŗit toujours modeste, dŤs
qu'On ne La foutŗit plus)........ Les deux Filles rťpondirent
ensemble: "Moi... Moi! "L'Une aprŤs l'Autre (dit
Trŗžtdamour)... Vous avťz ici de la pomade, ou du beurre-frais?
"Oui (rťpondit en rougissant la belle Consatinť):
Tenťz, ma pomade est-lŗ... ťt voici du beurre. "Gardons ce
beurre-frais pour vous, belle Dame, aussi belle au cýl ťt au
con, qu'au visage (reprit Trŗžtdamour). Minone se pomandŗit la
rosŤte. "C'est donc toi qui passes la premiťre, ma Soeur? "Oui,
si c'est tÚi qui me dťpuÁŤles le cýl? "J'y suis pucelle aussi
(s'ťcria ConnŤte). "Ce ne sera pas moi qui aurai ton puÁelage
d'arriŤre (rťpondit Tražtdamour ŗ sa Soeur): Mon vit est
aujourdhui entiŤrement reservť ŗ Madame: Et quoique le
culetage m'ait toujours fait peine, Agent ou Patient, le cýl
satinť de Madame me tente autant que l'ťtroit fourreau de son
con, qui se rempuÁŤle en une semaine, ou seulement en fesant
bidet ŗ l'eau froide. Je suis sŻr que Madame n'a jamais ťtť
enculťe (ŗ-genoux, il Lui regardŗit au cýl), ťt que c'est
aussi un puÁelage"? ConquŤte rougissŗit.
Les deux Camarades de Trŗžtdamour tirŤrent au premiťr-Roi, ŗ
qui dťpucelerait le cýl de Minone: car tous-deux Le voulŗient
avoir. Ce fut Cordŗboyau (un Bellot ŗ vit moyťn), que le sort
favorisa. Il se pomada le vŪt jusqu'ŗ la racine. Trŗžtdamour
fit coucher Minone sur le cŰtť. Il mit Cordŗboyau devant son
cýl, ťt Brisemotte (un Beau ŗ gros Vit) devant son con. Il La
fit ainsi enfiler des deux cŰtťs; les Jeunesgens se La
poussant L'Un sur l'Autre ŗ qui mieux. Ce qui donnait un tel
plaÓsir Š Minone, qu'elle se recriŗit: "Dieu.. que j'ai de
delices... c'est... une fouterie de Princesse...... On dit..
que la Reine.. fout ainsi entre.. DArtois et WaudreuÓl.. ce
derniťr a.. le cýl.... "Alons (dit Tražtdamour), tachťz de
dťcharger tous-trois en-mÍme-temps"?... Cordaboyau poussait;
il retint la Gŗrse par les hanches, pour enfoncer plŻs ŗvant;
Brisemotte en fit autant; desorte que rendue immobile, elle
s'agitait nťanmoins en tout sens. "ExamÔnez biťn.. (dis je ŗ
ConquŤte-Ingenue), pour faire la mÍme chose ŗ votre tour: car
il faut que vous experimentiťz tous les genres de fouterie".
Elle considťra le jeu, ŗ-trŗvers les b‚tons de son ťventail.
Minone h‚letaÓt. ConnŤte ťbahie restait immobile ŗ La
contempler: "Que fais-tu lŗ, toi, Bougresse? (Lui dit
Trŗžtdamour, notre grand MaÓtre-des-cerťmonÓes): Patine-nous
Madame... Suce-lui le bout des tetins... Gamahuche-la; elle a
le con propre comme un visage de Mariťe"...........
Ces mots, ťnergiquement prononcťs, mirent en danse la ReÓne de
la FÍte, que je vais dťcrire.
ConnŤte, tandis que Minone travaillait, & qu'elle ťtait
travaillťe, decouvrit les tetons de Mad. Poilsoyeux, & les
siťns: Elle en suÁa les bouts; elle se les fit suÁer. Ce
chatouillement de la bouche de ConquŤte, aussi satinťe que son
con, mit la jeune ConnŤte en fureur amoureuse: Elle trousse
Mad. Poilsoyeux; lui insŤre sa langue dans le con; lui
chatouille le haut de la mote. La Belle ťmoustillťe, regardait
cependant Minone. Celle-ci avertit ses deux Fouteurs qu'elle
ťtait prÍte ŗ decharger. Ils redoublent le fourgonnage. Elle
s'ťcrie: "Vits de Dieu"! Et elle se p‚me. L'Enculeur &
l'Enconneur l'inondaient de foutre; il ruisselait des deux
cŰtťs... Ma Fille, vivement gamahuchťe par ConnŤte, est hors
d'elle-mÍme, & cette modeste Beautť dit ŗ la Jeunefille: --
Ote-Toi-, Garse! Un Fouteur? un fouteur?... deux... cent
Fouteurs-?... Tražtdamour l'entend: Il derange ConnŤte
acharnťe, en la tirant par la jolie criniŤre de son con blond:
Il emplit le trou-du-cķl de Mad. VitnŤgre de beurre-fraÓs;
s'en frote le Vit decalotť; se met le bas-ventre sur ses
fesses, enfile la rosette, sans ťcouter les petits cris de
l'Enculťe; l'ťtreint vigoureusement, se retourne, en se
mettant sur le dos, le vit dans le cýl de la Belle jusqu'ŗ la
garde, son con biťn facť:..... Il crie ŗ son MaÓtre: "A ce con
beant qui vous supe! Enconnťz roide... Piquťz des deux... la
Garse est enculťe, & je vas vous donner les mouvemens.....
Pardon, Deesse! je ne me connais plus...... ConnŤte? boulonne,
boulonne les Couilles de mon MaÓtre"......
Cependant j'enconnais ma delicieuse Fille: Et sentant le vit
de Tražtdamour, qui m'ťtrecissait encore le passage, & qui
donnait au connin des oscillations, que jamais Con n'a eķes,
je dťliraŪ, en m'ťcriant: -- Chiťn de VinŤgre! cocý tout-ŗ-la-fois
du con & du cul-. Cette idťe m'enfl‚mait, & sa brutalitť
m'empÍcha de dťcharger trop-tŰt. Je parvins au charmant
pinÁoir du fond du conin. Il me suÁa. Le vit de TraÓtdamour me
communiquait tous ses mouvemens, & en fesait faire d'insolites
ŗ mon adorable Fouteuse. Deja prťparťe par la langue de
ConnŤte, elle s'ťcrie: -- Ha-ha-hŰh!... ze dťÁa-arze....
Foutre! -- En voila.. du Foutre.. plein votre con... Reine des
Vits.. et des Dieux s'ťcria Tražtdamour-!..... Et je sentais
les oscillations de son gros Vit qui ťjaculait.... Enfin, je
dťchargeaŪ moi-mÍme. Ma Fille, inondťe de foutre tremoussait
rapidement: -- Con satinť de mon Vit (m'ťcriai-je), que tu es
delicieux-!... Mad. Vitnegre ťmettait encore, quand
Traitdamour decula.....
Ce mouvement la fit redecharger... Le Bougre se lavait
d'eau-tiŤde. ConquŤte, dans le Con de laquelle je laissais osciller
mon vit, aprŤs decharge, gigotait, tremoussait, tremblotait
sous moi. ConnŤte m'avait quittť les couilles. Tražtdamour
toujours bandant, ťtait revenu vers nous. -- Fous-la-moi
tout-chaud (lui dis-je); elle decharge encore.... Et toi (dis-je ŗ
ConnŤte), boulonne-lui la bouteille-ŗ-miel du Bourdon-d'amour-.
Elle m'obeÔt. Mais Minone, deculťe, deconnťe, lavťe, ťtait
libre: Elle vint remplacer ConnŤte, en me demandant, Si cela
ne signifiait pas tout uniment, de chatouiller les Couilles de
son FrŤre, pendant qu'il foutait ma MaÓtresse?... Cordŗboyau
cependant & Brisemotte hŠpaient ConnŤte, le premier, cette
fois enconnant, tandis que l'autre enculait, pour donner une
perspective encourageante ŗ ma Fille.
Mais tout finit. Mad. VitnŤgre cessa de decharger. On la
deconna: Traitdamour la mit an bidet: Elle se couvrit
modestemt le Con & les Tetons; puis elle dit aux deux
FillŤtes: -- Mes Bonnes-amies, alons aÓder mon HŰtesse, pour le
souper-? Elles y coururent. -- Si vous n'avťz prťparť (dit ma
Fille), que pour notre soupťr ordinaire, je vous avertis qu'il
faut le double. -- Je n'ai pas assťz donc (repondit mad.
Brideconin). -- VÓte au RŰtisseur de vis-ŗ-vis (reprit la Belle
VitnŤgre); & du bon vin? ou je ne boiraŪ que de l'eau. Un bon
mariage paiera tout-Áa-... On ala chťz le Successeur d'EllŤs,
qui promit un copieux soupťr pour dans une heure.
ConquŤte rentra auprŤs de nous avec les deux jolies Filles. --
Rebandťz-vous? (me dit Traitdamour): Il ne faut pas laisser
languir nos cons, avec l'expectative d'un bon soupťr? -- Je
brŻle, ŗ la vue du tour-de-cýl, & du piťd de ma Deesse: mais
je ne suis pas roide lui repondis-je. Traitdamour: Je roule
dans ma tÍte une idťe, qui vous roidira.
XXX Chapitre.
Chap. D'une nouvelle Actrice: Danse nťgre.
-- Alons, Garses, dit Traitdamour ŗ sa Soeur et ŗ sa Maitresse,
nues? Et vous, Bougres, deshabillťz-vous-?..... Il se mettait
nu lui-mÍme. -- Mais il nous faut encore une Actrice... Je
viťns de voir monter une jolie DrŰlesse, qui ferait notre
affaire? -- C'est mad. Brideconin, l'HŰtesse de notre belle
Dame, dit ConnŤte. -- Non, non, mon Amie: C'est une petite
Brune de fond de la cour, cadŤte d'une grande belle Blonde,
que nous aurons peutÍtre un-jour, & qui se nome Conindorť: La
CadŤte s'appŤle Rosemauve, & passe pour trŤs-rusťe. Mais On la
dit amoureuse comme une Chate, quoiqu'elle soit peutÍtre
pucelle encore; car sa MŤre la couve des ieux. Cependant quand
un Homme l'embrasse, elle ne fait aucune difficultť de donner
sa langue. -- Je la counais! dit modestement la belle
Poilsoyeux; & elle m'a... m'a... Traitd. Quoi? Deesse? -- Mais,
donnť sa jolie langue, &... -- Et quoi? -- Gam*******. --
Gamahuchťe... Va la chercher, ConnŤte. -- Non! dit vivement
Conquette, j'y vais moi-mÍme-. Elle sortit, & ayant rencontrť
Rosemauve qui redescendait, parcequ'elle n'avait pas trouvť un
vieil Oncle assťz riche, dont elle recreait l'impotente
lubricitť, en lui chatouillant le Croupion, le Scrotum & les
Testicules; ce qui le fesait bandocher, la Belle Poilsoyeux la
mit au fait, obtint son aveu, & l'introduisit.
Les deux Filles & les trois Hommes ťtaient nus comme la main:
Sans riťn dire ŗ la brune Rosemauve, ils se mirent tous-cinq ŗ
la deshabiller. On lui enleva jusqu'ŗ sa chemise. On lui
baigna Cul, Con, Cuisses, Piťds... Puis Traitdamour lui dit: --
Ma Belle, il faut; en Tout, fažre comme ma Soeur & mon Amie-.
AussitŰt commenÁa la Danse-nŤgre; oý chaque Fille fesait tous
les mouvemens d'une Noire ardente, qui fuit le Vit dont elle
brŻle d'Ítre enconnťe, que le Vit attrape, & qui saccade alors
en tremoussant du cýl, comme si le Vit la fourgonnait. Les
Garsons poursuivaient les Garses le vit en main; & dŤs qu'ils
les avaient attrappťes, elles se retournaient pour l'enconage,
ou ils paraissaient les foutre en levrette; culetant,
criotant, jurotant, comme s'ils eķssent perforť les cons. La
Danseuse prenait le vit, aulieu de la main; l'Homme la
saisissait par la barbe du con. Ils se fesaient ainsi tourner
de-temps-en-temps.
Je bandais roide. Je fis trousser ma Fille audessus des reins,
& je lui dis: -- Conque de Vťnus, imite tous les mouvemens de
cul et de con que tu vois-... Elle ťtait excitťe; elle se mit
au-milieu de la danse, & les executa rapidement... Traitdamour
me voyant en rut, & ses Camarades biťn-disposťs, leur dit: --
Au foutoir-... Il laissa Rosemauve, sa Danseuse, qui en parut
toute mortifiťe! -- Votre tour va venir, ma belle Danseuse-. Il
ťtendit ma Fille sur le sofa, dont il lui mit un des oreillťrs
sous le cul: -- Alons, ma Toute-ťveillťe, dit-il ŗ Rosemauve,
gamahuchťz-moi ce conin-lŗ, pendant que je vous le mettraŪ en
levrette, ou vous enculeraŪ, ŗ votre choix? -- On ne dťpucŤle
pas une Vierge en levrette (repondit-elle vivement): encule-moi,
s'il le faut, tandis que je gamahucheraŪ ce conin
d'amour-... Elle gamahucha la belle Epouse de mr VitnŤgre avec
fureur, & Traitdamour perÁa sans pitiť, par des efforts
redoublťs, le cul virginal de la Gamahuchante. La belle
Poilsoyeux appela le Vit? le Vit?
Je n'y pouvais plus tenir. Je derangeai la Rosemauve enculťe,
pour me prťcipiter dans le con de ma Fille haletante de
voluptť..... J'enconnais vigoureusement, lorsque j'eŁs la
delicieuse surprise de me sentir gamahuchea le Cýl, ainsi que
la racine des Couilles, par la bouche & la langue veloutťes de
Rosemauve!... Je cocufiai mons VitnŤgre aussi copieusement,
que si j'avais eŁ les couilles d'un Dieu!... On abluait: --
Avec la permission de ma Deesse (ŗ ConquŤte), il faut que je
m'acquitte avec Rosemauve-?... Tout le monde s'ťcria: -- Non,
non, Dimanche-? Je ne les ťcoutai pas; j'enfilai la Pucelle,
qui criota, sanglorina, & ils furent Temoins de ma nouvelle
victoire. Mais ConquŤte me gronda serieusement.. On ala
souper.
La conversation fut sage, rassise. Brideconin, sa Femme en
ťtaient ťdifiťs... Mais je ne tarderaŪ pas ŗ les mettre de nos
amusemens... Au dessert, Traitdamour me demanda une Histoire
dans genre de nos Amusemens? Je lui donaŪ ŗ lire une Lettre,
adressťe ŗ VitnŤgre, par Un de ses Trois Payeurs, Lettre que
j'avais trouvťe dans une des malles de ma Fille. La voici:
XXXI Chapitre.
Chap De la Piochťe, du Piochť, du Piochard.
Nous avons Un de nos ConfrŤrs, qui avait une MaÓtresse de
seize ans, dont il jouissait ŗ sa maniŤre, comme je prťtens
jouir de ta Femme ŗ la miťnne, quand une-fois je l'auraŪ
devirginťe. Tu seras alors prťsent ŗ nos fouteries, ŗ-peu-prŤs
come le Pťre dont je vais parler. J'aime ŗ ťcrire ces
histoires-lŗ; elles me font bander. Le PŤre de la Jeunefille
ťtait Un riche Marchand, qui l'avait delicatement ťlevťe: mais
il ťtait devenu si pauvre, qu'il ne pouvait plus la nourrir,
ni Un Fils de douze ans. La Fille Šyant plu ŗ mon ConfrŤre, il
la voulut acheter. Le PŤre la lui vendit douze-mille francs.
Mais comme Piochencýl (Á'est le nom du ConfrŤre), est un
libertin fort bl‚sť, il lui faut un ragoŻt pour le ranimer. Ce
ragoŻt est de faire trousser & laver la Fille par son PŤre,
avant d'en jouir. Le PŤre prend ensuite le vit du Fouteur, &
le dirige dans le con sans poil de la jolie Piochťe. Son PŤre
l'avait pomadťe la premiŤre-fois. Pendant l'acte, il l'excite
ŗ remuer du cýl, ŗ serrer le Fouteur dans ses bras, &c. Quand
elle est deconnťe, le PŤre lave le vit de son Gendre, le cýl,
le con de sa Fille, & les essuie.
Dans la conversation, Piochencýl apprit biťntŰt que Piochťe
avait un FrŤre beau comme Adonis; c'est-ŗ-dire parfaitement
ressemblant ŗ sa MŤre, qui avait ťtť trŤs-jolie femme. DŤs que
mon ConfrŤre le sut, il l'acheta, comme sa Soeur, & pomadť par
le PŤre, il l'encula. Peu de jours aprŤs, voulant foutre la
Soeur avec plŻs de vigueŁr, il la fit laver par le PŤre,
gamahucher par le jeune FrŤre, & il l'enconna, quand elle fut
prÍte ŗ decharger... Par la suite, il n'encula plus le joli
Enfant: "Bougre! dit-il au PŤre, je ne bande plus assťz pour
enconner ta Fille, sans Ítre excitť; encule moi lŗ ton petit
Garson; cela me fera roidir"? Le PŤre est forÁť par son
interťt, d'obťir au Bl‚sť: Ce qui fait tellement bander le
vieux Satyre, qu'il enconne, & mÍme encule la Jeunefille....
Il y a 4 ou 5 ans que cela dure. Quand le Garson a eķ 15 ans,
il lui a fait enconner sa Soeur: Il la fout ensuite sans laver,
pendant que le PŤre encule le Jeunehomme. D'autres fois le
FrŤre encule sa Soeur, tandis que le vieux Bougre l'enconne....
Voila. quelle est la vie que mŤne mon vieux ConfrŤre, & qu'il
trouve delicieuse ŗ son ‚ge... La Fille est delicate & jolie.
Le Garson est beau. Le PŤre est affreux. La Fille est devenue
grosse. Le Financiťr croit, avec raison, que c'est du jeune
FrŤre. Il desire que ce soit une Fille, esperant qu'elle sera
jolie, comme tous les Enfans incestueux. Car il faut savoir
que ce joli Garson est fils d'Un FrŤre-aÓnť, qui, dťvenu
ťperdŻment amoureux de sa MŤre, donna la courante ŗ son PŤre,
en mettant de la manne dans son potage au lait du soir. Le
PŤre fut obligť de se lever souvent, & le Fils, ŗ chaque
sortie, ala auprŤs de sa MŤre, qu'il enconna six-fois aumoins
pendant la nuit... Voila d'oý provenait le beau Garson,
ressemblance de sa MŤre avec une telle perfection, que vÍtu
des habits de la Belle, qui n'est plus, on le prend pour elle.
C'est en consequence, qu un Amant, piocheur de la MŤre,
entretint le Jeunehomme sur le mÍme piťd que sa feuŽ
MaÓtresse, ŗ-condicÔon que pour la jouÔssance, il prendražt
les habits de sa MŤre, en porteražt le nom, mad. BrouŤte-vÓt;
qu'il feražt la petite voÓx, diražt Mon cůn, aulieu de Mon
cýl; tandŪs que luŪ VÓtacon, se feražt ŪllusÔon, en dÓsant ŗ
sa MaÓtresse: -- Alons, ma chŤre BrouŤtevÓt, venez que je vous
le mette en levrŤte-?
XXXI. Chap. Suite des MÍmes. Piochťte. Dix ans aprŤs.
Je vais donner la suites de cette avanture.
PiÚchťe eķt effectivement une Fille, qui a 14 ans aujourdhuž,
et qui est jolÓe comme sa Grand'mŤre. Elle sert aux plaÓsÓrs
du vieux TraÓtant, qui ne pouvant plus encÚnner, s'en fažt
caresser, tandŪs que la MŤre lui suce le vÓt. C'est dans les
extases de ce plaÓsir lŰng ťt difficile, causť par le
chatouillement que fesait ťprouver ŗ son vit paralytÓtique le
palaÓs de PiŰchťe, qu'il conÁut le dessein de faire depuceler
PiŰchŤte ŗ 14 ans, par PiŰchť l'AdÚnis, son pŤre ťt son Oncle,
que justement la jeune Enfant aÓmažt žncestueusement; puÓs
enculer alternativement. "Bande, Bougre, (dit-il ŗ l'AdůnÓs),
et ne decharge pas! Tu me depuceleras ta petÓte Gŗrse de
Fille,... dÍs que tůn GrandpŤre t'aķrŗ decķlť". Lŗ PetŪte fut
gŠmŗhuķchťe pŠr le vÓeķx Singe; pķÓs pomadťe pŗr sa MŤre. Sůn
PŤre, deculť, biťn bandant vint sķr elle, et lķy darda son vit
dans le conin, důnt la MŤre ťcartŗit les bŗbines. Le Fouteur
n'enlrŗit pas; la PetÓte dechÓrťe se recrÓŗit; le vŪeýx Satyre
ťmůtiůnnť, bŠndÚchŗit, en s'ťcrÓant: "HŰ! pousse důnc, M‚tin!
Ű pousse důnc, Bougre! Fends, ponrfends le connichon de ta
Fille!... et mÍts-y Une petite Garse, que nous deflorerons
un-jour! Gzťe, gzťe, mon Etalon! fŗÓs-mŰy des CavŠles"!.... Et le
vieýx DecharnŤ, par un phenomŤne, ťmŪt quelques gouttes d'un
foutre clŗžr, dans lŗ bouche de PiŰchťe, au moment oý AdůnÓs
forÁant toutes les barricŗdes, mŗlgrť les crÓs de sa Fille,
lķy dechargeŗit au fůnd de sůn cÚnnžn ensŠnglŠntť! Le belÓtre
en fut si glorieux, qu'il fit ŗ Piochette mille ťcus de
rentes, et autŗnt ŗ PiŰchťe, oŻtre ce qu'elles avŗient dejŗ.
Son grand delÓce, pendant qu'iÔ fažt servÓr la bouche de la
MŤre de cůn ŗ son vÓt, qui ne decharge plus, est de voir
piŰcher PiŰchette, non-seulement pvr le vigoureux Adonis
PiŰchť, qui piŰche, sÚžt en cůn, sÚžt en cķl, mažs de faire
alÚrs enculer le PŤre qui fout sa Fille, par le GrandpŤre
qu'encule un LaquŗÓs, sur le cýl duquel est assise PÓŰchťe,
foutue par un autre LaquŗÓs..... Il a sůin qu'On fasse suÓvre
au vÓeux PiŰchard un regime ťchauffant, afin que ce Monstre
tantŰt encůnne sa FÓlle, tantŰt encule son FÓls. Pendant cette
sÁŤne, l'impuŪssant Ribaud patŪne les tetons et le connŪn du
Tendrůn, ou-biťn la gamahķche. Il luŪ prend quelquefůÓs des
vertigŰts de faire enconner la MŤre, enculer Adůnis par douze
de ses AmŪs en un-seule seance. La Jeunepersone est alŰrs nuŽ
en perspectŪve, montrant le cķl aux Encķleurs, et le cůn aux
Encůnneurs.... C'est le vŪeux PŪŰchard qui insŤre les vÓts
dans le cůn ou dans le cķl.
Tu vÚÓs par-lŗ quel parti nous pouvons tÓrer de ta Femme,
lorsqu'une-fÚÓs elle sera depuÁelťe. Tu ne seras pas pržvť; tu
mettras les vÓts dans le cůn et dans le cķl de ta Femme; tu en
seras le maquereau, et quand elle sera biťn ťlargie des deux
trous, peutÍtre te permettra-t-on de la foutre en cn ou mÍme
en cůn. Lťlargisseur.
P.-s. J'apprens par une derniŤre visite, faite ŗ PÓÚchencýl
que PÓŰchette a effectivement eķ la plŁs joliÓe petžte FÓlle;
On me l'a můntrťe; elle a 3 ans. MŗÓs ce quž Íst le cŰmble dķ
lžbertinŗge, le vÓeŻx PÓŻchencýl lķy fŗit dejŗ teter son vÓt
flasque, pendant que la jeune MŤre lķy chatoille les coŁilles.
Je luy en demandŠŪ la rŗÓsůn?" Je profite, repondil- du temps
oý l'Enfant n'a pas encore de discernement, nž de degoŻt ŗ me
sķÁer". Que džs-tķ dý vÓeýx Bůugre?
XXXII Chapitre.
Chap. Du Conin goŻtť.
Voila quel aurait ťtť votre sort, Madame, dis-je ŗ ConquŤte,
si vous n'ťtiťz pas dťcťdťe, ťt que vous fussiťz restťe
l'ťpouse de VitnŤgre-. Expressions qui ťtonnŤrent Tout le
monde, hors ma Fille, & les Brideconnin.
Cette Lettre, qui avŗit ťtť lue aprŤs le champagne, avŗit mis
les Jeunes-gens en rut. On descendit au magasin, pendant que
les HŰtes serraient les dťbris du soupťr. Lŗ, Trŗitdamour,
demi-grisť, me dit, en me designant ses Camarades: -- Comment
ces Bougres-lŗ peuvent-ils avoir une idťe de notre bonheur, &
de ce qu'est le Connin de votre MaÓtresse, s'ils n'en t‚tent
pas?... Je n'entens nullement qu'ils y dťchargent; maÓs
seulement qu'ils y plongent rapidement leurs vits, pour en
palper le satinť. DŤs qu'un des Enconneurs sera retirť, le
mieux en ťtat de nous-deux, vous ou moi, achŤvera Madame, & la
fera decharger? -- Je le veux biťn (repondis-je). Cordŗboyau
bandant rožde se prťsenta. Nous renversames ma Fille sur le
foutoir, nous la troussames, & nous declarames que nous nous
tenions prÍts ŗ le desarÁonner, dŤs qu'il aurait senti le
veloutť de l'ťtroit connin de notre Fouterie, & que le
clignotement de ses ieux annoncerait l'ťruptŪon du foutre. --
En ce cas (s'ťcria le Bougre), que l'Une de ces trois Garses
se couche-lŗ le Con pomadť, pour que mon vit convulsivant s'y
prťcŪpite & decharge-? On pomada Rosemauve. Cordŗboyau enconna
lentemt ConquŤte, dont le satinť le fit se recrier... mais il
plongea jusqu'au fond. On l'observait. Il clignota de l'oeil.
AussitŰt Brisemote & Tražtdamour l'enlevŤrent comme une plume,
en jurant, Le sacrťbougre! il va partir... Et ils le mirent
sur la brune Rosemauve biťn ťcartťe, & ConŤte dirigea le vit.
Cette Fille, la plŁs chaude des Garses, si Mad. VitnŤgre ne
l'eŻt pas surpassťe, engloutit le vit en trois coups de cul
sans intervale. Cordŗboyau dechargea en heurlant de voluptť,
Rosemauve l'ťtreignant avec une delicieuse fureur.
Cependant, ce que je voyais m'avait roidi, & j'enfonÁais dans
le Con humide de ma Deesse, qui suffisamment limťe, dechargea
deux-fois, avant que je l'humectasse de mon foutre paternel...
Elle gigotait, criotait, soupirotait. -- H‚! (s'ťcria
Tražtdamour), vous Ítes le Dieu de son Con, chŽr MaÓtre! il se
fond en jus d'amour, quand vous le perforťz! Voyťz comme elle
en donne, l'adorable Enfant?.. Alons, celeste Coquine,
tremousse, tremousse! Fous, divine Garse! decharge-...
Ce fut ensuite le tour de Brisemote. ConŤte pemadťe, fut
ťtendue sur le foutoir... Il enconna ma Fille. La grosseur du
vit & sa roideur lui arrachaient de sourds gemissemens; elle
travažllait de toutes ses forces, mais le terrible Engin avait
encore plŁs de trois pouces pour toucher le fond. Taut-ŗ-coup
nous nous apercevons que le perfide Brisemote veut inonder
d'un torrent de sperme, le Connin qu'il martyrise. Nous ne
pouvions l'enlever & l'arracher, son vit lapait comme celui
d'un gros Dogue, dans la vulve enflamťe d'une grande LevrŤte.
En ce pťril, nous implorames Tražtdamour & Moi, la pudeur de
ConquŤte? L'adorable Fouteuse, fidelle ŗ nos vits. donna un
coup-de-cul en-arriŤre, & se decona. Tražtdamour plongea
rapidemt son braquemart en furie dans le Con bťant.....
Brisemote enragť se jeta sur Rosemauve, qui ne s'y attendait
pas, & la foutit en levrŤte, avec tant de brutalitť, qu'il la
fit crier autant de douleur, que de plaÓsir... Et voyant
ConŤte se lever: -- Reste-lŗ, Garse! lui cria-t-il: Je suis
dans une rage, par ce Con veloutť que fout Tražtdamour, que
j'enconnerais la ruŽ Maubuť & celle de la Tannerie-... En-effet,
Rosemauve deconnťe, il fondit sur ConŤte, la fit crier;
enfila Minone sans intervale, & reprit Rosemauve.... -- Que
n'ai-je-lŗ notre Putain d'HŰtesse! la Garse boite avec gr‚ce,
elle a de blancs tetons: qu'on me l'appelle-?... Nous lui
prťparions Rosemauve, qu'il encula.
Pendant ce temps-lŗ, Tražtdamour se delectait sur Mad.
VitnŤgre, qui se plaignotait tendrement, & dechargeait sans-cesse,
parceque son Enconneur ne la deconnait pas. -- Que la
Bougresse qui est libre (nous dit-il), chatouille les petons
de ma Deesse; Áa la fera me secouer. -- Alons! m'ťcriai-je, que
Minone lui chatouille le haut de la motte, la douce main de
ConŤte les couilles du cruel Pourfendeur, & Moi je
chatouilleraŪ les pŪťds delicats de la belle Enconnťe-? Ce qui
s'executa: de violens soubresauts, des cris, des blasphŤmes de
voluptť, Foutu Dieu... Sacre-Dieu... Dieu-con... Dieu-vit...
marquaient l'ťgarement des deux Conoeuvrans.
Cependant Cordŗboyau flairait la chaussure mignone de
Conquťte-Ingenue, & alait y mettre son vit: -- Laisse-donc! lui
dit Rosemauve, tout-enculťe qu'elle ťtait; cela est
insensible; mon Con est libre; que ne le fous-tu-? Le Bougre
lui mit le ventre en l'air, & tandis que Brisemote lŠ
sousaccadait en cul, Cordŗboyau lui saccada le Con.
Je bandais si fort, en entendant & voyant tout-cela, que
j'alais enconner Minone ou ConŤte. Ma Fille qui dechargeait,
me dit tendremt: -- Un autre Con... que le miťn... peut-il vous
tenter-?... Cette tendresse vraÓment filiale, me toucha au
coeur. -- Ote-toi (dis-je ŗ Tražtdamour); tu dois avoir
dechargť-? Il deconna: Et Moi, ťmu d'un amour-paternel sans
bornes, j'enconnaŪ ma Fille, sans laver. -- MÍlons nos trois
foutres (lui disaÓs-je en enfonÁant): que ton Con filial
engouffre le Vit-paternel avec delices!... Remue du cul,
adorable Enfant! Rens-moi tout le foutre que j'aŪ dechargť
dans le Con de ta MŤre,... pour te faire!... H‚! comme la
Garse remuait du cul, oscillait du con, le jour oý je
l'engrossaŪ de toi! Elle ťtait chaussťe, parťe, un-peu
chiffonnťe, & si chaude, qu'elle se mit sur moi & s'euconna.
Pour m'exciter davantage, elle me disait, en saccadant:
Pousse... Enfonce... mon Con est frayť... je viťns d'ťtre
foutue par ce beau Commis aux AÓdes, dont tu es si jaloux...
Et elle saccadait... Pour moi,... je foutis avec fureur,...
comme je te fous ŗ-pťsent... C'est moi qui t'aŪ engendrťe,
enfoutrťe dans son Con satinť,... quoique tu ressemble ŗ
Louis-XV, qui,... dit-on, l'a aussi foutue... -- Mon cher
PŤre... Ű Vit divin! (rťpondit Ingťnue, oppressťe de foutre &
de tendresse), je sens.. ŗ mon insatiable Connin.. que je suis
votre fille.... je le sens au plaÓsir.. que me fait la celeste
idťe que mon... Pťre me fout.... Dťcha--argeons ensemble, chŽr
Papa!.. j'aŪ... plŻs de.. foutre avec toi, qu'avec
tout-autre?... H‚! h‚!.. fourgonne... fourgonne, Vit-papa... Le
foutre... est long... ŗ venir... J'ai tant foutu!... Mais je
n'en ai que plŻs de plaisir... H‚! h‚!... foutre!... Dieu!
Delices!... VitnŤgre!... Ű Monstre, qui me dechirais, sans me
pouvoir en--filer, que n'es-tu sur moi... ton Vit noir me
pourfendant le Con... Foutŗmort... enfondre-moi.....: ChŽr
Papa... Dieu-fouteur... je pars... je decha--a--arge... ŗ
l'intention... de... Foutŗmort-.... Et elle se p‚ma, dans un
ťgarement, un delire ineffables.
Cependant elle avait croisť ses jambes sur mes reins, & elle
me fesait une jolie bronette de ses cuisses & de son Con. Je
dis qu'On la rechauss‚t, & ŗ chaque coup de cul, elle fit
claquer l'un contre l'autre ses hauts talons, comme fesait sa
MŤre, pour me rappeler en foutant la beautť de son piťd. Ce
spectacle parut si delicieux ŗ mes trois Droles, qu'ils
enconnŤreut en furieux, TraŪtdamour Rosemauve, Cordŗboyau
ConŤte, & Brisemote Minone. & qu'ils les firent crier comme
des Depucelťes.
DŤs que j'eķs ťmis, je dis ŗ mon Secrťtaire, de dťconner, de
m'enlever, & de me porter sur un fauteuil. Il m'obťit. Ma
Fille palpitait. Je la montraŪ se chatouillant elle-mÍme le
Con. Tražtdamour rebanda come un Enragť; il se prťcipita sur
elle. -- Enculťz-moi, s'il vous plaÓt, Monsieur (lui dit-elle),
il me semble que Áa me fera mieux... -- Decharger ('ťcria le
Bougre): Vous avťz le Con trop fatiguť-. Et il lui perÁa le
cul sans mouiller. -- Je vais... redecharger (lui dit-elle, en
continuant de se branler elle-mÍme). -- Attendťz! attendťz!
(lui cria le jeune & vigoureux Perforeur); je vous branleraŪ,
en vous enculant-. ConquŤte enculťe & branlťe, roucouloit de
plaÓsir...
En ce moment, Brisemote, qui finissait Minone, se jeta sur
Rosemauve, abandonnťe par Tražtdamour, pour ma Fille: Elle se
fit enculer & branler. Cordŗboyau retourna ConnŤte, & lui en
fit autant. Minone libre ala gamahucher ma Fille, que son
FrŤre tenait enculťe; & moi, je branlaŪ Minone. Les trois
Bougresses se recriaient, que l'enculage branlť ťtait divin.
Pour moi, j'ťtais sur mon fauteuil, un doigt dans le Con de
Minone, que j'avais ŗ-peine la force de branler, tombant de
sommeil, & bandant encore pour toutes-quatre: il me devenait
indifferent laquelle j'enconnasse. Je le dis. Brisemote
m'avanÁa Rosemauve tout-enculťe. J'alais enconner la vive
Brune. Minone se retourna, mit ses fesses d'alb‚tre sur ce Con
noir, & me prťsenta son Con. -- Que je te voye! (s'ťcria
ConquŤte, en s'arrachant du cul le vit de Tražtdamour), si
Cupidonet doit mourir en rut, c'est dans mon Con!... Elle se
mit sur Minone, m'ťtreignit dans ses bras & m'engouffra. -- H‚!
(s'ťcria Brisemote, qui nous portait tous-quatre), que n'ai-je
le vit assťz long, pour les enculer toutes-trois?
Ainsi finit cette belle soirťe. La partie fut remise au
Dimanche suivant. ConquŤte, aprŤs avoir fait amplement bidet,
se coucha modestemt. Je ne pouvais marcher. Mes trois
Gaillards remenŤrent leurs Belles, & revinrent me prendre,
pour me porter chťz moi, oý ils me mirent au lit.
XXXIII Chapitre.
Chap. De la Fouteuse sensťe. Histoire.
Le lendemain, aprŤs mon travaŪl, je vins voir ma Fille. Elle
ťtait dans mon magazin. Elle m'embrassa la premiŤre, & me dit,
& me dit: -- Au nom de Dieu, chŽr Papa, mťnagťz-vous! j'ai
besoin de votre tendresse-paternelle, plŻsque jamais... Que
deviťndrais-je, si je vons perdais? Vous Ítes le meilleur des
PŤres: vous me donnťz le necessaire & la voluptť. J'aŪ un
Bijou insatiable: mais votre Tražtdamour l'emplit & le
satisfait audelŗ de toute vraisemblance. Je suis biťn sensible
au don que vous m'en avťz fait. Aussi la reconnaissance & la
tendresse sont pour vous; je ne lui donne que du... -- Foutre,
mon adorable Fille... Tu es toujours ťgalemt mondeste. -- J'aŪ
aussi beaucoup d'obligation ŗ Tražtdamour d'avoir amenť sa
petite Soeur & sa jolie MaÓtresse: surtout d'avoir donnť
Celle-ci ŗ ses deux vaillans Camarades, pour me rester plŁs entiťr,
& vous soulager d'autant, vu mon extrťme chalenr. Ces
Jeunesfilles sont de bonnes petites Creatures, & valent mieux
que Rosemauve, qui cependant n'est pas sans mťrite....
Menagťz-vous, chŽr Papa. Ne voyťz que moi: c'est biťn assťz.
Une partie, tous les huit jours, suffira pour vos forces.
Tražtdamour me donnera le surplŻs de ce qu'il me faut. En ne
jouissant que les Dimanches, les Garsons, les Petites,
tout-comme nous, l'appetit & le plaisir seront plŁs grands; nous
passerons une demi-journťe delicieuse... Mais je suis jalouse
de vous & du beau Traitdamour; ne le mettťz qu'ŗ moi.
Avertissťz-les tous de cela. C'est mon caractŤre que la
jalousie. Et-puis, oý trouveriťz-vous une Femme ou Fille qui
me vaille? Toujours propre, abluťe ŗ chaque pipi, autant par
voluptť que par delicatesse: car j'ai cet Endroit que vous
avťz la bontť de trouver charmant, toujours si chaud, que je
ne le mets jamais dans l'eau s qu'avec une voluptť qui
approche de la Jouissance. Ne me le mettťz donc pas de la
semaine, pour avoir plŁs de plaisir, sans vous tuer, le
Dimanche. Ne me touchťz ni le Bijou, ni le sein? -- Non
(rťpondis-je): durant la semaine, je ne baiseraŪ que ton joli
piťd. Et je veux toujours avoir une de tes chaussures au
trumeau de ma cheminťe! -- Riťn de si flateur, rťpondit-elle,
que d'Ítre ainsi adorťe, jusque dans sa parure: Aussi mon piťd
est-il soignť, comme vous l'adorťz. Je le lave ŗ l'eau-rose
deux-fois le jour matin & soir, & aprŤs avoir marchť. -- H‚!
celeste Fouteuse, que je le baise, que je le baÓse? -- Point de
ces mos-lŗ? dans la semaine: ils vous excitent.... Baisťz
votre idole? j'y ai autant de sensibilitť qu'ailleurs; mais
restťz-en lŗ.... Du-reste, je suis ŗ vous: Vendťz-moi, livrťz-moi,
quand vous le voudrťz; je me donnerai avec plaisir pour
vous; comme Une autre Ocyrhoť. [lacune. Je me privaŪ donc,
malgrť moi: mais par nťcessit; je me contraignais. [Autre
lacune... Mais j'avais ŗ ma cheminťe sa chaussure rose ŗ
talons-vŽrts, ŗ laquelle je rendais mon hommage tous les jours
en l'honneur de la Fille la plŁs pieuse & la plŁs devouťe quÓ
ait jamais existť. ConquŤte-Ingťnue, ŗ quÓ je le edis le
samedi, en fut transportťe de joie. Elle darda sa langue, me
fit sucer ses tetons, palper son poil soyeux, se mit ŗ genoux,
& dit avec ferveur: -- Mon Dieu! je vous remercie de m'avoir
fait naÓtre d'un si bon PŤre! Nous ne vous offensons pas; je
rens ŗ mon Papa en plaisirs delicieus les soins qu'il a pris
de mon enfance. Je suis le baume & le charme de sa vie; il est
le baume & le charme de la miťnne. Bťnissťz-nous-? Elle fit
trois signesdecroix, baÓsa la terre, & se releva, en disant:
Doux Jesus, qui le mettiťz ŗ MadelŤne, elle ťtait aussi votre
fille; & en amour, vous le savťz par experience, riťn n'est si
voluptueux que l'inceste-!... Je fus si ťdifiť de cette
priŤre, que je me propose de la faire recommencer, ŗ la fin de
nos parties.
Un-instan aprÍs, ŗ 8 heures-&-demie, toute la petite Sociťtť,
Tražtdamour, Minone sa soeur, ConŤte sa maÓtresse, Rosemauve,
Cordŗboyau & Brisemote, vinrent prendre langue pour la reŁnion
du lendemain. Je donnaŪ le mot & les retins ŗ soupťr. Il y
avait un excellent gigot de 18 livres, & du vin de Bourgogne,
avec un p‚tť chaud. AprŤs le repas, voulant les ťmoustiller
tous, & moi-mÍme, je fis lire par Rosemauve, devant nos HŰtes,
l'Histoire suivante:
XXXIV Chapitre.
Chap. De l'Homme-ŗ-queŻe.
Vous aimťz les Histoires, dis-je, ne voulant pas manger de
p‚tť; nour aurons demain toute autre chose ŗ faire: je vais
en-conter une, pendant que vous achŤverťz de souper-. Un rire
d'aise prťceda le silence.
Il y avait ŗ Sens, une Veuve encore belle, quoique mŤre de six
Filles, dont l'AÓnťe, qui atteignait vingt ans, ť se nommait
AdelaÔde. La seconde, Sophie, n'en comptait pas encore
dixneuf; la tsoisžŤme, Julie, en avait prŤs de dixhuit;
Justine dixsept; AglaŽ seize, ťt enfin Emilie la CadŤte quinze
ans. Quant ŗ la Maman, mariťe ŗ treize, accouchťe de son AÓnťe
ŗ quatorze, elle avait trentequatre ans. Mad. Lin‚rs (c'est
son nom), avait en-outre deux NiŤces de quinze ťt vingtdeux
ans, Lucie et AnnŤte-Bar, une jolie Femmedechambre de dixhuit,
outre une CuisiniŤre, grande ťt belle Fille de vingt ans. Le
Mari avŗit mal-fait ses affaires, avant que de mourir. La
Veuve ne soutenŗit sa nombreuse Famille qu'avec le revenu de
sa dot, qui rapportŗit cinq ŗ six-mille livres. On ťtŗit gÍnť;
car les NiŤces n'avŗient que quinze-cents livres de rentes
entre elles-deux. C'ťtŗit onze Jeunespersones ŗ entretenir
avec 7500 francs.
Il parut alors ŗ Sens un gros ťt bel Homme dont la phisionomie
annonÁŗit trente ans, encore qu'il n'en eŻt que 20. Il passŗit
pour trŤs-riche. Et en-effet, il l'ťtŗit. Ses bras ťt sa
poitrine ťtŗient couverts de poils. Il avŗÓt le regard dur ťt
presque fťroce: mais son sourire l'adoucissŗit, ťt il souriŗit
toujours, en voyant de jolies Femmes. L'AÓnťe des Dlles Linars
ťtŗit charmante: Fysitťre la vit ťt en devint ťperdŻment
amoureux, quoiqu'il eŻt alors dans son sťrŗil une Femme-mariťe
enlevťe ŗ Paris, de l'aveu du Mari mÍme; la Soeur d'icelui,
vendue par son PŤre, ťt une superbe Carmelite, leur cousine,
qui s'ťtŗit livrťe elle-mÍme, parcequ'elle ťtait hysterique.
Mais toutes ces MaÓtresses ťtaient alors enceintes, ťt
FysitŤre n'en jouissŗit, que pour avoir des Enfans. Il ala
chťz Mad. Linars, pour Lui demander en mariage AdelaÔde.
Le Velu, en voyant onze Femmes dans une seule maison,
tressaillit d'ŗise... Il ťtala sa fortune, ťt proposa
d'ťpouser l'AÓnťe. Trente-mille francs de rente qu'il prouva
(il en avŗit biťn davantage)! Le firent accepter sur-le-champ.
Il rendit ensuite des visites jusqu'au mariage, ťt fit des
prťsens, tant ŗ sa Prťtendue qu'ŗ la MŤre, aux Bellessoeurs, ŗ
Lucie ťt Annťte-Bar, les deux NiŤces, ainsi qu'ŗ Geoline ťt ŗ
Marťte, la Femmedechambre ťt la CuisiniŤre. Ce fut avec ces
prťsens qu'il attaqua leur vertu... Mais il faut quelques
prťliminaires, qui fassent mieux connaÓtre ce Personage.
FysitŤre ťtait Un de ces Hommes poilus, qui descendent d'un
mťlange de notre EspŤce, avec celle d'Hommes-ŗ-queŻe de
l'Isthme de Panama, ťt de l'Ile de Borneo. Il ťtŗit vigoureux
comme dix Hommes ordinaires; c'est-ŗ-dire, qu'il en aurŗit
batu dix ŗ armes ťgales, ťt qu'il Lui falŗit, ŗ Lui-seul,
autant de Femmes qu'ŗ dix Hommes.
A Paris, il avŗit achetť la Femme d'un nommť Guae, un
scelerat, qui La Lui avŗit vendue ťt L'avŗit livrťe. FysitŤre
La tenŗit exactement renfermťe depuis. Il jouissŗit de cette
Infortunťe, la plŁs provoquante des Femmes, ťt qui avait
beaucoup de temperament, dix ŗ 12 fois par jour. Ce qui la
fatiguŗit tellement.r qu'elle lui avŗit donnť le conseil
d'acheter de leur PŤre sa Soeur-cadŤte, nommťe DoucŤte, qui
partagerait le travŗžl. Il le fit. Mais ces deux Femmes
avŗŪent ťtť biťntŰt sur les dents. Heureusement un Confesseur
de Nones decouvrit alors pour le Velu, la Religieuse
histerique, cousine des deux Victimes: il La tira de son
Couvent, sous prťtexte de Lui faire prendre les eaux, ťt La
livra au FysitŤre, qu'elle occupa seule pendant quelques
semŗines. Ce qui avŗit reposť ses deux Cousines.
C'est ŗ cette ťpoque que l'Homme-ŗ-queŻe ťtŗit venu ŗ Sens, ťt
qu'il avŗit vu la Famille Linars. Avant qu'il eŻt Mad. Guae,
On Lui amenŗit trois Filles CouturiŤres chaque matin. Mais les
prťcautions qu'il ťtŗit obligť de prendre pour sa santť, avec
des Creatures qu'il lŗissŗit libres, Le degoŻtŤrent de cette
jouissance. Daillťurs, comme il avŗit formť le projet de
multiplier l'EspŤce des Hommes-ŗ-queŻe ťt d'en peupler l'Ile
entžťre de Borneo, Pays originŗire, il voulŗŪt pouvoir
surveŪller tous les Enfans qui Lui naÓtrŗient. Ses trois
Femmes ťtant grosses, il ne voulŗit plus Les fatiguťr. Quand
il fut liť avec Mad. Linars, il aurait biťn cherchť ŗ deflorer
sa Future, ou ŗ se donner Une des NiŤces; ou la Cuisiniťre, ou
la Femmedechambre. Mais il trouva que tout-cela avŗit ses
inconveniens. Il reserva ce-supplťment de ressources, pour
aprÍs son maržage. La PremiŤre qu'il attaqua, ce fut sa
BellemŤre future. Il Lui fit un-jonr un prťsent de deux-mille
ťcus en espŤces: Et La voyant dans l'extase de la
reconnaissance, il iui mit la mažn sous la jupe, en Lui
disant: "Autant tous les six mois, si Je vous Le mets. Et ne
craignťz pas de faire du tort ŗ votre Fille! Elle n'en aura
que trop de reste... Comme il ťtŗit extrťmement fort, tout en
parlant, il La renversŗit, L'enfilŗit. La Dame se trouva prise
sans l'avoir prťvu. Elle fut rabatelťe une dixaÓne de fois,
tant Elle ťtŗit vigoureusement contenue... Enfin devenue
libre, Elle Luž dit; "HŰ, quel Homme! "Je suis tel (repondit-il),
que votre Fille ťt vous, quand vous m'aurťz toutes-deux,
me donnerťz vous-mÍme des MaÓtresses, pour vous reposer". La
Dame, qui ažmŗit le jeu d'amour, sourit, en rougissant
d'esperance ťt de plaisÓr.
Elle fnt exploitťe tous les jours, en attendant celui du
mariage de sa Fille. Quand ce jour fut arrivť, effrayťe pour
Une jeune Vierge, Elle pria l'inťpuisable FysÓtŤre de La
menager? "Six-fois: repondit-il, pas plŻs, si vous me
promettez de me recevoir ensuite, ou de me donner Lucie,
l'AÓnťe de vos NiŤces? "Non; mais je vous donnerai Geoline, ou
MarŤte, celle que je pourrai avoir le plus facilement... Le
soir des noces, FysitŤrť, quoiqu'il eŻt toutes les nuits
fourbi Mad. Linars, ťtait impatient ŗ trťpigner, d'avoir sa
Mariťe. Il L'enIeva commť une plume, dŤs qu'on eŁt soupť, se
jeta sur Elle, ťt Lui fit pousser des cris effrayans. La MŤre
alarmťe, accoutut avec Geoline, au moment oý FysitŤre, sans
trop s'embarrasser des gŤmissemens de la Jeunepersone, La
recommenÁŗit. La MŤre Le laissa L'achever. Pužs, sur
l'instante pržŤre de sa Fille, Elle La retira du lit, pour
laver le sang ťt le suc d'homme, dont sa conque martyrisťe
ťtait remplie. FysitŤre saisit alors Geoline, ťt La viola,
malgrť ses clameurs. Il La retint sous Lui quatre ŗ cinq
fois.:. Elle profita d'un intervala, pour s'ťchapper Mais
FysitŤre menaÁa Mad. Liuars, si elle ne remplaÁŗit pas sa
Fille, de tourmenter Celle-ci jusqu'au jour... La Dame ťtŗžt
fatiguťe: Elle ala chercher MarŤte, qu'elle enferma dans la
chambre-nuptiale. FysitŤre La viola, ťt La contint sous Lui
quatre-fois: puis il Lui permit de dormir.
Dans le Jour, il assoupit les plaintes des deux Filles-domestiques,
ťt mÍme il Les g‚gna, en leur constituant Douze-cents
francs de rente ŗ chaqu'une. Mais elles demandŤrent du
repos, pour la nuit suivante.... Le soir, FysitŤre ramona
six-fois sa Nouvelle-Epouse, qui prit un-peu de gout ŗ la chose:
puis sa MŤre reposťe, fut ŗ son tour fourgonnťe six ‚utres
fois. Ce qui suffit ŗ l'Homme-ŗ-queŻe.
Le soir du troisiŤme jour, il ne ramona sa Femme qu'une-fois;
car Elle demanda gr‚ce. Il eŁt ensuite Geoline, six fois; puis
MarŤte, cinq fois. Ce qui fut la dose ŗ laquelle il se rŤgla.
Il eŁt le quatrŤme soir, sa Femme, une fois; sa BellemŤre
quatre; Geoline trois; Marťte quatre: douze en tout. Il en
agit ainsi pendant deux mois.
"Mais, Lui dit Mad. Linars, vous vous Ťpuisťz! A quoi bon nous
Le mettre tant de fois? "Mon but est de fažre des Enfans, pour
en repeupler une Ile des Indes, dont les Hommes de mon EspŤce
sont originaires. DŤs que vous serťz grosses, je ne vous Le
mettrai plus; vous m'en donnerťz d'Autres; mais surtout vos
Filles ťt vos NiŤces, parceque vous Ítes toutes d'un beau
sang. Je Leur ferai ŗ chaqu'une six-mille francs de revenu, ťt
douze-cents francs seulement aux EtrangŤres que vous
procurerťz-... Mad. Linars fut trŤs-ťtonnťe de cette
proposition! Mais les six-mille francs de revenu pour ses
Filles ťt ses NiŤces La tentŤrent.
Aubout des deux mois, ťt de six semaines de mariage, Mad.
Linars, la Nouvelle-Epouse, Geoline ťt MarŤte se trouvŤrent
enceintes. FysitŤre Leur dťclara, qu'il ne les verrŗit plus,
qu'aprÍs Leurs couches. Et il pressa Mad. Linars de Lui donner
ses NiŤces, ťt deux de ses filles?... Elle fut obligŤe d'y
consentir. Elle Les conduisŗÓt elle-mÍme, aprÍs Les avoir
instruites, ťt assistŗŪt ŗ Leur defloration, calmant leurs
cris par ses discours ťt ses caresses. "Ma rŗisonable Enfant,
disŗit-elle ŗ Lucie renversŤe sur le dos, ťt qu'On troussŗit,
il est doux d'avoir 6 mille fr. de rentes?... Cinq-cents
francs par mois, ajoutŗ-t-elle en La pomadant?.. Et fonciŤres,
ma chŤre NiŤce! dirigeant le gros Membre dans sa fente". Aussi
la belle Lucie, quoique vierge, ne cria-t-elle pas.
Vint ensuite AunÍte la seconde. Sa MŤre L'exhorta, La pomada,
inserant son index onctuť le plŁs profondement possible, pour
frŗyer la route. Elle introduisit le Membre dans la fente
ainsi prŤparťe. Cependaut AnnŤte perforťe, jeta les hauts-cris.
Mais ils n'arrÍtŤrent pas FysitŤre, dont Mad. Linars
caressŗit la queýe poilue, qui fretillait vivement. H‚! Maman!
(Lui dit-il), mets-toi sur moi, ťt te l'enfonce dans ta
conque; tu auras biťn du plaisir"! Elle le fit, ťt fut si
ravie, qu'elle appela sa Fille-aÓnťe ťt les ChambriŤres, pour
Leur procurer les mÍmes delices.
AnnŤte suffisamment ramonťe, ťt demandant gr‚ce, Geoline la
remmenŗ, pour laver le sang ťt le sperme, dont son Bijou ťtŗžt
barbouillť: ťt Mad. Linars ala chercher Sophie, sa seconde
Fille. Geoline et MarŤte l'apportŤrent nue assise sur leurs
mains jointes. Mad. Lin‚rs La pomada; puis elle intromit.
Geoline s'enfila avec la queýe poilue, au refus d'AlaÔde
l'ťpouse. Sophie ne poussa que quelques gťmissemens, an
premiťr Assaut; elle riposta aux deux autres. Elle fut
cependant ensanglantťe. Geoline se fourgonna de la queýe-ŗ-poil
durant toute la sťance.
FysitŤre n'avŗit joui que neuf fois: Il Lui en falŗit trois
encore. On ala Lui querir Julie la troisÓŤme Soeur, ‚gťe de
dixsept ans. Sa MŤre La pomada. Ce qui ne l'empÍcha pas de
crier, parcequ'elle ťtait fort ťtroite. Julie ťt sa cousine
AnnŤte furent les deux qui n'ťmirent pas dans le coÔt, les
quinze premiťrs jours. Lucie fut prise tout-de-suite, ťt
Sophie trois jours aprŤs. Mais elles n'en dirent riťn, aimant
le piaisžr. Quant ŗ Julie ťt Annette, il s'ťcoula trois mois
avant qu'elles fusseut enceintes... MarŤte se farfouillŗit
avec la queýe poilue, pendant les assauts de Julie.
Lorsqu'il fut biťn dťcidť que les quatre Belles avŗient le sac
rempli, Mad. Linars fut requise de donner ses trois derniŤres
Filles, ťt une Cousine du cŰtŤ-gauche, fille hors mariage de
son Mari, nommťe Naturelle-Linars? Elles Lui furent livrŽes,
et Justine, Aglať, Emilie mÍme, qui n'avŗžt pas quatorze ans
accomplis, se virent enfilťes dans une seule nuit, malgrť
leurs cris ťt la dechirure de leurs jeunes appas. Naturelle
avŗit vingt-un ans: ce fut une delicieuse jouissance, que
l'Homme-ŗ-queŻe fatiguť avŗit rťservťe pour la derniŤre.
Celle-ci fut engrossťe surlechamp; ťt les trois Autres, malgrť
leur jeunesse, ne l'ťchappŤrent pas dans le cours du mois.
Elles ťtŗient reguliŤrement fourgonnťes trois fois par nuit:
mais sožt qu'elles eŁssent moins de temperament, soit qu'ťtant
plŁs ťtroites, elles souffrÓssent toujours, elles furent
ravies, lorsqu'elles fudeclarŤes enceintes. L'Homme-ŗ-queŻe
avŗit en ce moment de fecondťes, 14 Femelles, qui Lui
promettŗient aumoins 14 Enfans.
A cette ťpoque, Mad. Linars accoucha d'une Fille. Un možs-ťt-demi
aprÍs, AdelaÔde, ou Mad. A-queue, mit ťgalement une Fille
au monde. Puis Geoline ťt MarŤte eŁrent chaqu'une un Garson.
AnnŤte Ťt Lucie chaqu'une une Fille. Toutes-six voulurent
nourrir. Ce qui fut executť dans une Terre ťcartťe, du-cŰtť de
Seignelŗi, ťloignťe des routes, comme de l'Yonne, mais sur la
petite RiviŤre de Serin.
Cependant comme les Unes nourrissŗient, ťt que les Autres
ťtŗient encore enceintes, il falŗit de nouvelles Femmes ŗ
FysitŤre. Il demanda permission ŗ Mad. Linars de refťconder
ses trois premiŤres Concubines, Mŗd. Guae, sa soeur DoucŤte, ťt
la Carmelite, qui n'ťtŗit plus hystere, depuis ses couches. La
BellemŤre y consentit avec la plŁs grande joie: car Elle ťtŗit
fort embarrassťe pour trouver ŗ son Gendre des Sujets
fecondables. Elle avŗit deja biťn marquť les quatres Pucelles
les moins lŗides du Village, ťt mÍme une cinquiŤme la plŁs
jolie, femme mariťe, sterile avec son Mari; Elle les avŗit
presque g‚gnťes, au moyťn des douze-cents francs par annťe,
mais Elle n'etait pas encore sŻre de leur discrťtion... Les
trois Concubines ťtŗient mandťes. Elles arrivŤrent.
DŤs le mÍme soir, Elles furent mises toutes.trois dans un
grand lit propre ŗ cinq Persones: FysitŤre s'y coucha au
milieu: Il Les palpa Toutes; puis il prit Mad. Guae, la plŁs
voluptueuse, qu'il fourgonna trois-fois avec fureur. Il saisit
ensuite Doucette, que ses tendres gemissemens Lui firent
ramoner en Enragť. En la quittant, il sauta sur la Carmelite,
qu'il exploita six fois, sans desarÁonner. Mais Elle l'assura
qu'Elle ťtŗit tguerie de sa maladie, ťt Elle Le pria de se
parrager ťgalement entr'elles trois? Ce qui fut arrÍtť.
Le lendemain, Mad. Linars, qui avŗit tout ťcoutť pendant la
nuit, demanda aux trois Parentes, Comment elles appartenŗient
ŗ Fysžteres! Mad. Guae repondit: "Nous alons vous faire notre
Histoire qui vous paraÓtra singuliŤre! en.mÍme-temps qu'elle
vous donnera une idťe juste de notre Mari ŗ Toutes, qui est Un
Homme d'une nature particuliŤre. Mad. Linars ne demanda pŗs
mieux que de l'entendre: Mais elle fit observer ŗ Mad. Guae,
que ce Recit ne seražt pŗs moins agreable aux 12 autres Femmes
de FysitŤre? Mad. Guae en convint, ťt AdelaÔde, Sophie, Julie,
Justine Aglať, Emilie, Lucie, AnnŤte, Geoline, MarŤte,
Naturelle, appelťes par Mad. Linars, vinrent avec elle
assister ŗ la narration que fit la belle Mad. Guae,
en-prťsence de Doucette sa soeur, ťt de de Victoire la Carmelite
leur cousine.
XXXV Chapitre.
Chap. Des la Garse insatiable.
"Vous me voyťz; J'ai toujours ťtť desirťe des Hommes: A huit
ans, un Ouvriťr qui travaillŗit dans la maison ŗ de la
menuiserie, me prit le bijou; ťt comme je ne criai pas, il me
mit son membre entre les cuisses, me les fit serrer, ťt me les
inonda, en dechargeant. Je le dis ŗ ma MŤre, qui me lava les
fesses, ala menacer le Menuisiťr, ťt le fit deguerpir... Ce
debut annonce que le Recit sera un-peu libre; mais il faut
Ítre sincŤre.
"A dix ans, mon PŤre dťculotť m'assťyŗit ŗ crŻ sur ses cuisses
nues, fesŗit aler son membre entre les miťnnes, comme le
batant d'une cloche, ťt, biťn ťchauffť, il alŗit enfiler ma
MŤre, une jeune Tante soeur de Celle-ci, ou ma Gouvernante.
"A treize ans, j'avŗis le Bijou cotonnť, ťt si joli, que mon
PŤre venŗit me Le lŤcher la nuit pendant mon sommeil. Enfin il
me sentit riposter ŗ ses coups de langue, ťt comprit que
j'avŗis du plaisir. Il dardŗit plŁs fort, ťt je partŗis...
AussitŰt mon PŤre se mettŗit sur moi, me suÁŗit mes petÓts
Tetons naissans, posŗit son membre ŗ l'orifice de ma petite
Conque, ťt me barbouillŗit toute la Mote de sperme.. Il me
lavŗit ŗ l'eau-rose.
"A qužnze ans, un Jeunehome, frŤre de ma MaÓtresse de modes,
me prit le Con ŗ la poignťe, an moment oý je regardŗis par la
fenÍtre, ťt voulut me chatouiller le Clitoris avec son doigt:
mais il me fit mal, ťt je Lui donnai un soufflet.
"A cette ťpoque, mon PŤre n'osŗit plus m'asseoir ŗ cýl-nu sur
ses genoux, ni me faire decharger en me lŤchant le Con; il se
retirŗit dŤs que je donnŗis le premiťr signe d'ťveil: Mais
comme j'ai le piťd joli, ťt que M. Dardevit, ažnsi que tous
les Hommes delicats, est infiniment sensible ŗ cet attrŗit-lŗ,
il fesŗit faire mes chaussures par un habile Cordonniťr, Celui
de ma MŤre ťt de la Marquise De-Marignž; le Voluptueux ne me
les donnŗit neuves, que lorsque j'alŗis chťz Lui; il me les
fesŗit mettre aprÍs un pťdiluve, avec des bas de fin coton, me
fesŗit marcher chaussťe, mettre ŗ la fenÍtre, pour mieux voir
ma jambe ťt mon piťd, qu'il baisŗit; il me fesŗit ensuite
asseoir, me tirŗit un soliťr, s'en coÓfŗit le vÓt, me fesŗit
Lui patiner les couilles avec mon piťd chaussť, poussŗit de
profonds soupirs, cognŗit au planchťr, ce qui fesŗit monter
Mad. MeziŤres voisine d'audessous; Elle Lui arrachŗit mon
souliťr, ou ma mule; Elle se renversŗit sur le dos; il La
troussŗit, Ťt La fourgonnŗit, en me fesant relever ma jupe en
perspective d'une glasse jusqu'au genou. "Votre PŤre me fŗit
ce qu'il ne peut vous faire, me disŗit La MeziŤres, parceque
tu es sa Fille; mais c'est Toj qui Le fais bander... H‚! si Tu
Luž montrais ton joli Conin, comme il me rab‚telerŗžt, ťt me
donnerŗit des coups de vit en Con"! Touchťe de ce langage,
souvent je me troussŗis, ťt montrŗis une mote ŗ poil folet ťt
soyeux, que mon PŤre trouvait adorable! Je m'en apercevais aux
vives estocades qu'il donnait ŗ la Dame... En La quittant, il
venaŪt me rechausser. Mais quelquefois La MeziŤres L'en
empÍchait, ťt furieuse de luxure, Elle me renversait, me
lŤchait le Connin, ťt mettait dans le siťn la pointe de mon
solliťr, ou de ma mule, comme un Godmichť... Pendant ce temps-lŗ,
mon PŤre me palpait doucement les fesses ou les tetons.
"Tu La foutras, Bougre (tu La depuceleras, ťt biťntŰt! ťt Elle
deviťndra grosse de Toi, si Tu ne La maries"! Ce propos,
souvent repetť, fit que je demandai vivement ŗ me marier.
"J'avais un Oncle, mari de ma Tante. L'escaliťr de leur
demeure ťtait obscnr. Un-jour que je le montais, mon Oncle me
suivait. Au beau milieu, il me glissa la main sous la jupe, ťt
me h‚pa ce qu'il nommait mon ConnŰt. Je me recriai! "Tais-Toi
donc (me dit-il): vas-tu troubler mon mťnage"?... Je me tus.
Et il me patžna le ConnŰt, le cýl, d'une main, les tetons de
l'autre; me mit son membre dans la main, me le fit serrer en
jurant, ťt tout en me suÁant les tetons, me dechargea dans les
doigts.
"J'entrai toute rouge chťz ma Tante. Mais je ne dis mot. Quand
je m'en retournai, mon Oncle me guettait; il m'accompagna, ťt
me dit: "Tu veux Te marier; J'ai un Parti, ťt il n'y a que moi
qui puis g‚gner ton PŤre; Je Le g‚gnerai, si je te le mets
seulement trois fois avant le mariage, ťt lorsqu'il sera biťn
sŻr? "Que me mettrťz,vous? (je fesais l'ignorante, puisque
j'avaÓs vu mon PŤre ťt La MeziŤres). Nous ťtions dans l'alťe.
Il mit son vŪt ŗ l'air, ťt m'empoigna le Con: "Ceci, dans ce
que je te tiťns". Je me debarrassai, ťt ne repondis riťn.
J'ťtais ŗ la porte de mon PŤre: J'entrai. Il ťtait absent:
J'attendis.
"Seule avec mož-mÍme, je resolus de pressentir mon PŤre, ŗ son
arrivťe, sur mon mariage? Il arriva: Je fus moins sevŤre avec
Lui qu'ŗ mon ordinaire, ťt lorsque je l'embrassai, aulieu des
ieux, j'appuyai sur ses lŤvres. Il fut ravi. Je dardai la
langue, comme je l'avais vu faire ŗ La MeziŤres. Il me mit la
main entre les cuisses, mais sur les jupes. Je m'abandonnai,
en Lui disant: "Je voudrais me marier? Et comptťz que vous
serťz biťn caressť, si vous y consentťz? "De tout mon coeur, ŗ
cette condition... As-tu un Parti? "Mon oncle en a Un, que je
n'ai jamais vu. "Bon! ce n'est pas une amourŤte... Il faut
dabord que je Te gamahuche aujourd'hui? "Qu'est-ce que c'est?
"Te lÍcher-lŗ (me prenant le Bijou). Je fis une petite
grimace. "Alons, prens cette ťponge fine, ťt lave le biťn,
ŗ-cause du joli poil, qui commence ŗ l'ombrager? Le plaisir que
tu auras, te dedommagera de la contrainte que Tu te fais? Il
me suÁa lťgŤrement les bouts des tetons, pendant que mes
fesses, mon cýl et mon Connin nageaient dans un bain tiťde.
"Mon amoureux PŤre ne me donna pas le temps de reflechir: DÍs
qu'une serviŤte fine eŁt pompť l'eau, il me renversa sur le
piťd de son lit, troussee audessus des reins, appliqua sa
bouche sur la fente de mon ConnŰt, qu'il lŤcha vivement, en
dardant sa langue, jusqu'ŗ ce que je donnasse des symptŰmes de
decharge. Ce quž arriva aubout d'un demi-quart d'heure. En me
sentant prÍte ŗ ťmettre, mon PŤre me quitta, me mit gros comme
une noix de beurre frais dans le bas de la fente du ConnŰt,
m'y insera son vit, avec beaucoup de peine. Il saccada: Je
dechargeais, et J'avais tant de plaisir, que je Le secondai,
malgrť quelques douleurs. Heureusement le vit de mon PŤre
n'ťtait pas gros, mais il ťtait long; il me donna un plaisir
complet; car il penetra si avant, qu'il me chatouilla le fond;
ťt au moyťn de ce que j'ťtais trŤs-ťtroite, il m'empliss‚it le
con, comme si j'y avais eŁ un Vit de Mulet... Voilŗ comme je
fus depucelťe.
Je priai mon PŤre, pendant qu'il me lavait le Con, de ne pŗs
differer son consentement, que je ne voulais pas devoir ŗ mon
Oncle; ťt je Lui en dis la raison. "Il ne faut qu'il te le
mette! me repondit-il vivement: Le Bougre a le VÓt trop gros:
il t'ťlargirait! Au lieu qu'aprťs moi, ton Futur, on tout
autre Fouteur, Te trouvera comme Pucelle". Je promis qu'il
n'obtiťndrait riťn. "Des bagatelles cependant, reprit mon
PŤre: Branle-Le, quand il Te prendra le Con. Tu pourrais mÍme
Te laisser enculer, s'il ťtait assťz raisonable pour s'en
tenir-lŗ. "Comment fait-on Áa? "Je vais Te le montrer". Et il
m'encula. J'eŁs du plaisir; car je dechargeai. Mon PŤre me dit
ensuite: "Quant ŗ mon consentement, envoie-moi ton Prťtendu:
Si c'est Un certain DrŰle que je soupÁonne, Tu n'en deviťndras
pas folle, ťt... Suffit". Je m'en retournai contente chťz mon
Oncle, oý sa Femme ťt Lui me prťsentŤrent leur Protegť, une
sorte de Mul‚tre, qu'ils nommŤrent M. Guae.
DÍs le mÍme soir, ayant eŁ, avec ce M. Guae, un entretiťn
trŤs-vif, pendant lequel je Le vis prÍt ŗ me prendre le Con,
sa laždeur ťt sa sotise ne me rebutŤrent pas, attendu que mon
Oncle ťt ma Tante m'avaient prŤvenue qu'il ťtait terrible pour
les Femmes; ce qui m'avait biťn tentťe! aucontraire, je Lui
dis, Que j'avais obtenu le consentement de mon PŤre, ťt qu'il
pouvažt se prťsenter. Il me pria de Le conduire, n'en ťtant
pas connu. Je remis au lendemain midi.
"Nous arrivames au moment oý mon PŤre alažt sortir. Guae
m'avažt pris le cýl dans l'escaliťr, ťt m'avažt fait empoigner
son Vit; ce qui me donnait un coloris brillant; j'ťtažs
ravissante! Je prťsentae Guae, comme mon Futur. Sa figure
hideuse ťt basse fit sourire mon PŤre, dont elle calma la
jalousie. Il nous dit: "Mes Enfans, j'ai une affaire pressťe:
mais elle sera courte; attendťz mon retour". AprÍs son depart,
Guae me dit: "Il paraÓt, ŗ son ton, qu'il vous tiťndra sa
parole, de consentir? "Je le crois; car il ne se contraint
pas, quand une chose Lui deplaÓt. "Ma Belle! (ajouta Guae,
dont l'oeil noir petillait de luxure, permettťz de vous Le
mettre icy, sur le piťd du Lit de votre PŤre?... Consentťz-y"?
Je ne demandažs pas mieux, ŗ-cause de mon depucelage, ťt
parceque le Bijou me demangeŗit, depuis que mon PŤre m'avŗit
perforťe: Mais je repondis: "HŰ-non! mon PŤre n'aurŗit qu'ŗ
rentrer! "Hť! quand il rentrerait? vous voir enfilťe, ne
ferŗit que h‚ter notre mariage".
"Il me renversa sur le piťd du Lit. Je me defeudis gaŻchement.
Il me mit le Vit entre les babines du Con, ťt poussŗit ŗ
m'enfondrer... Mais il ne put penetrer, quoiqu'il se mouill‚t
le gland. Il redoubla d'efforts, qui aboutirent ŗ me decharger
une chopine de sperme sur la mote, le ventre ťt les cuisses.
"Je me debarrassae, pour aler laver. "HŰ! vous Ítes biťn
Pucelle!, me disŗit Guae, en se reculotant. Comme je
m'essuyŗis, j'aperÁus mon PŤre cachť... Je n'en fis pas
semblant Un instant aprÍs mon retour vers Guae, ce PŤre rusť
entra auprÍs de nous. Guae me demanda en mariage? Mon PŤre Lui
repondit, Qu'il me laissažt la maÓtresse absolue. Et il signa
les bans. Il dit ensuite ŗ Guae, qu'il avŗit ŗ me parler, ťt
qu'il le priŗit de s'en retourner seul; qu'il me remŤnerŗit
chťz ma Tante, ŗ Laquelle il avŗit ŗ parler aussi. Guae s'en-ala.
"DÍs qu'Il fut sorti, mon PŤre me dit: "As-tu ťtť foutue"? Et
il me prit le Con ŗ la poignťe. "Vous avťz biťn entendu que
non. "Oý donc a-t-il dechargť? "Sur le poil. "Un-peu entre les
lÍvres? "Oui. "Il suffit: On peut devenir enceinte avec cela
seulement, Ít Tu n'šs plus riťn ŗ craindre. Mais va Le voir
chťz Lui, ťt qu'il ait toute-facilitť. En attendant, je vais
en frayer encore un peu-. Il me renversa, ťt a-l'aÓde du
beurre-frais, il m'enfila... avec quelque facilitť: ce qu'il
repeta trois-fois, excitť par ce qu'il venait de voir, ťt
parceque j'ťtais extrÍmement biťn chaussťe, en soliťrs de soie
neufs. Je dechargeae trois fois a chaque enconnage, comme
dŪsažt mon PŤre. Cela fit neuf fois. Mon PŤre me dit, que
j'avais beaucoup de temperament, ťt que j'alŗis Ítre une bonne
Fouteuse!... Je me lavae soigneusement, ťt il me remena.
"Nous trouv‚mes Guae chťz ma Tante. J'ťtažs plŁtůt mise en
appÍtit que rassasiťe, par le triple fourgonnage de mon PŤre:
Je dis bas ŗ mon Prťtendu: "Alťz chťz vous; j'ae ŗ vous
parler". Il y courut. Mon PŤre parlažt ŗ ma Tante, prenant des
mesures pour accelerer: car il craignait, ŗ la maniŤre dont
j'avais dechargť, que je ne devinsse grosse de Lui; ťt il le
desirait en-mÍme-temps: Mais il falait que je fŻsse mariťe...
Ma Tante sortit avec Lui.
"J'alais sortir aussi, pour laisser essayer ŗ Guae un
enconnage complet, lorsque mon Oncle rentra. J'ťtais si
envoluptťe, que je n'en fus pas f‚chťe, quoiqu'il me deplŻt.
Il ferma la porte au verrouil, ťt vint ŗ moi: "Tu vas donc te
marier? me dit-il: Alons, il faut en decoudre ŗ nous-deux?
Aussi-biťn Guae a le Membre si gros, qu'il te feražt souffrir
le maryre". (Ceci acheva de me determiner)... Il me saisit.
"Laissťz-moi! Laissťz-moi! dis-je faiblement). Mon Oncle ne
m'ťcouta pas, ťt voyant que je ne criais, ni n'ťgratignais, il
me renversa sur le Lit, me troussa, ťt dirigea son vit dans le
vagin de mon Con. J'eŁs l'art de paraÓtre me defendre, en le
secondant. Il me fit mal; je criae, ťt m'apercevant que les
cris Le facilitaient, je me mis ŗ crier de toutes mes forces.
Ce qui Le fit enfoncer jusqu'a la garde, avec tant de plaisir
de ma part, que mes gemissemens ťtaient de voluptť. Je me
debattais, mais mon Con supait le gros Vit, donnant de si bons
cups de cýl, que je dechargeae avec des convulsions terribles,
et des contractions des trompes qui pinÁoient le gland de mon
Oncle. Il se recrÓa,... ťt se p‚ma de plaisir... "H‚! pour une
Pucelle, que Tu fous biťn! me dit-il ensuite: Que sera-ce donc
un.jour?... RecommenÁons"... Il me recommenÁa trois-fois,
malgrť mes pleurs; car je sentis qu'il falait pleurer...
Quand il fut rassasiť; il deconna. "O celeste Fouterie, me
dit-il, si le merite de ton Con ťtait connu, Il ferait ta
fortune! "Oui! vous me L'avťz biťn accomodť! rťpondis-je en
sanglotant, sur un bidet prťparť par mon Oncle. Il Űta le
verrou, jeta l'eau mťlťe de sang ťt de foutre; puis craignant
le retour de sa Femme, il sortit, en disant: "Remerciťz-moi!
sans cette prťparation, Guae vous aurait estropiťe; et revenťz
ŗ moi, s'il le faut"?
Je ne fus point effrayťe de ce Langage. DÍs qu'il fut sorti,
j'essuyai biťn-vite mes larmes, ťt je pris un air riant. Ma
Tante revint. Je La prťvÓns de l'attaque de son Mari, mais non
du succÍs, pour Lui faire presser mon mariage; La priant de ne
Lui en riťn temoigner, depeur qu'Il ne lev‚t le masque. Je
promis de toujours biťn me defendre, comme je venais de faire;
ťt tout en parlant, le Con ťtant venu ŗ me redemanger, je
courus chťz Guae, esperant que prťparťe comme je l'ťtais, il
me L'enfoncerait enfin. Il m'attendait.
"J'ai biťn des choses ŗ vous dire"... Ce fut mon debut. Il ne
me laissa pas continuer; il me prit la Motte: "Foutons dabord,
me dit-il, en me renversant. Je n'en fus pas f‚chťe; car je ne
savais trop que Lui dire de-nouveau. Je me defendis
gaŻchement, comme avec mon Oncle ťt mon PŤre. Mais quoique je
fusse ťlargie, ses tentatives furent encore inutiles. Je
n'osais Lui dire de prendre du beurre, depeur de paraÓtre
instruite: Je m'attendais qu'il y songerait. Cela ne Lui vint
point en pensťe. "Tu Ís diablement Pucelle! me dit-il, en me
tutoyant... Il me tourna sur le ventre, me cracha au trou du
derriŤre, ťt m'y enfonÁa son engin, avec des efforts infinis.
Je poussais des cris horribles! mais il me tenait si ferme, en
m'empalant, que je ne pouvais remuer. Je Le secondae, pour
souffrir moins, ťt mes ripostes me firent decharger. Je
croyais avoir un timon de carrosse dans le cýl... Le retirť ne
fut pas sans plaisir... "Tu vaux ton pesant d'or! me dit Guae,
mÍme en cýl! Suffit"! Il me demanda ensuite pardon: "Votre
beau Con, votre beau cýl, vos blancs tetins m'avaient mis
comme un Enragť; ne pouvant vous enconer, je vous ai enculťe:
Pardon, ma belle MaÓtresse! j'ae plŁs d'un projet, pour vous
dedomager". Le cýl me fesait mal: Guae me le mit dans l'eau
tiťde; puis il me le baisa, me le lŤcha, alant quelquefois au
Con. Il rebanda: mais je voulus m'en-aler. Il fut obligť de me
remener en fiacre; je ne pouvais marcher qu'avec douleur. Ce
qui n'empÍcha pas qu'il ne me fit Le branler dans le carrosse,
Lui ayant le nťz dans une mule mignone, qu'il m'avait arrachťe
du piťd, ťt dans laquelle Il dechargea. Dans le delire du
plaisir, Il me dÓt: "Ma Reine: j'ae le Vit trop gros pour Toi;
choisis de l'oeil un joli Jeunehomme pour Te depuceler, ťt je
trouverae le moyťn de Te Le fažre avoir, sans Te
compromettre". Ceci me fit plaisir.... Guae me descendit, ťt
me porta. Je me mis au Lit; le sommeil calma mon cýl.
"Le lendemain, j'alae chťz mon PŤre, auquel je racontae tout
ce que Guae m'avait fait, ťt dit. "Bon! me repondit-il: Tu as
du temperament: Tu seras foutue, en con, en cýl, en bouche, ťt
Tu seras heureuse... Vous serťz mariťs dans huit jours, ťt je
t'aurae un Fouteur plŁs gros que moi. En attendant, je vais Te
Le mettre; On ne saurait trop ťlargir un Connin si mignon".
Mon pŤre m'enconna, recomenÁa trois fois. "Tu Ís toujours
Pucelle! me dit-il. "Et pourtant, m'ťcriae-je, mon vilain
Oncle, avec son gros Membre, m'a hier violťe trois fois!
"Trois-fois! reprit mon PŤre: quel Connichonnet as-tu donc? On
pourra vendre mille fois ton Pucelage!... Il faut que je Te
refoute". Et il me refoutit...
"Tandis que je me rinÁais le Con avec de l'eau tiťde, mon PŤre
s'ťtait mis ŗ la fenÍtre, ťt causait avec un jeune Procureur
son voisin, gros ťt beau garson de 30 ans. Le Con lavť, j'alae
regarder, en soulevant le rideau. Mais le jeune Procureur
m'ayant aperÁue, je me retirae. "Quelle est donc cette celeste
Persone? demŗnda-t-il. Mon PŤre ne repondit que par un geste,
qui, je crois, signifiait que j'ťtais sa MaÓtresse. Ils
gesticulŤrent encore. Puis le Procureur disparut. Mon PŤre me
dit aussitŰt: "Veux-tu que ce bel Homme Te Le mette, en
payant? "HŰ! hŰ! mon PŤre! "Appelle-moi Monsieur, devant
Lui"!... On frappa. Mon PŤre ouvrit; ťt j'entendÓs qu'il
disait tout-bas au Jeunehomme: "Aportťz-vous les 50 Louis?
"Les voilŗ. "Mademoiselle? me dit ŗlors mon PŤre; vous savťz
que je vous aime pour vous mÍme: Voici un bel Homme de mes
Amis, qui veut vous faire un prťsent; je sors; temoignťz-Lui
votre reconnaissance". Mon PŤre se cacha, ťt le Procureur le
crut sorti.
"As-tu ťtť foutue aujourdhuy, me dit-il, en venant pour me
prendre les Tetons. Je Le regalae d'un soufflet. "Apprenťz que
je suis icy chťz mon PŤre. "Vous Ítes Mademoiselle..... "Oui,
Monsieur. Je dois Ítre mariťe dans huit jours. C'est un
mariage de raison, ou d'interÍt. Mais mon PŤre ayant ťtť
instruit que mon Futur est... monstrueux;... ce bon PŤre a...
pris sur Lui de... me faire prťp‚rer. Je vous ae cru son Ami;
j'ae consenti, aprÍs vous avoir vu". Le Procureur ťtait ŗ mes
genoux. Il me demanda mille pardons! "Soyťz donc honnÍte?
repris-je. Alors il me caressa. Je Luy rendis enfin un baisťr.
Il me renversa. Il avait le Vit comme mon Oncle, mais il ťtait
moins adroit. "De la pomade! Luy criai-je: Mon Prťtendu
m'ayant fait entrer chťz Luy par surprise, il ferma les
portes, ťt voulut me violer... Ne le pouvant, il me pomada, ťt
ne rťŁssit pas encore. Vous, pomadťz-...moy"... En parlant
ainsi, ses tentatives me fesaient decharger. Je soupirais de
voluptť. Mon PŤre crut que c'ťtait de douleur. Il arriva; me
pomada; dirigea le Vit de mon Fouteur dans mon Con, ťt dit, ŗ
Lui: "Poussťz". A Moi: SoulŤve le cýl; ťtreins dans tes bras;
seconde ton Depuceleur, ŗ chaque coup, par un coup de croupe
en-avant; passe tes jambes sur ses reins, ťt serre, en remuant
du cýl... Bon! Bon! Saccadťz, vous!... Bon"! "H‚ Dieu! quel
plaisir! s'ťcriait le Fouteur: comme Elle a... le Con
ťtrait!... le... mouvement... delicieux"! Je Lui dardae ma
langue, en murmurant, "Mon coeur!.. Mon Roi!... Mon Dieu! je
t'adore!... "H‚! la chŤre Petite Amie! elle est tendre!... Je
decharge! Je La fous... H‚h!... "Il me fout, mon PŤre!... Tous
les Hommes foutent-ils?... H‚h!... Mon PŤre!... quel
plaisir!... Mon ‚me... va sortir par... le trou qu'il me
fait"!... Je dechargeais, en me roidissant. "HŰ! la Petite
Reine!... s'ťcria le jeune Procureur: Elle decharge!... Mon
Pťre... donnez La moi pÚur Femme; je l'ae depucelťe; je
L'ťpouse"?.....
"Mon Pťre, qui avait ses desseins sur MoŪ; refusa. Il en
resulta que le Procureur enragť, s'acharna sur Moi, ťt me
foutit 18 fois... Mon PŤre fut obligť de l'Űter de sur Moi, ťt
de Le porter chťz Luy; il ne pouvait marcher... Quant ŗ Moi,
j'ťtais ŗ-peine fatiguťe. Mon Con lavť, rafraÓchi, il n'y
parut plus. Au retour de mon PŤre, Le voyant tout ťmu, ŗ la
vue de mes Tetons, je Lui dis: "Si vous bandťz, satisfaites-vous,
en me foutant deux ou trožs fois?" O quelle scÍne!
s'ťcria-t-il: Mais Tu as un Con ťt un temperament impayables!
ils feront notre fortune... Voyons si Tu dechargeras encore:
foutons"?... En m'enconnaut, il me loua fort de m'Ítre avouťe
sa fille, ťt du soufflet donnť! "Les Fouteurs dedaignent les
Foutues; mais ave Toi, ce sera le contraire; je veux te mettre
audessus de ces Bougres-lŗ! "Je decharge! m'ťcriae-je. "Et mož
aussi! repondit-il en me saccadant. Il me re-enconna trois
fois, ťt toujours je dechargeae.. Je lavae, en Lui disant:
"J'ťpuiserais dix Hommes". Je Lui recommandae d'instruire mon
Futur de ce qu'il falait faire, pour m'enconner. Je Lui dardae
ma langue, ťt je partis.
"J'avaŪs ťtť foutue 25 fois dans la journťe, sept par mon
PŤre. Je retournaŪs chťz ma Marchande. Mais tous les Hommes
que je rencontrais, me tentaient. "Que les Putains sont
heureuses! (pensae-je) elles attaquent qui elles veulent"!
Tout-ŗ-coup une idťe me viťnt: "Alons chťz Guae; je Lui dirae
de me pomader: Qu'il m'estropie; mais qu'il me foute". J'y
volae.
Il ťtait avŤc un beau Jeunehomme, qu'il fit cacher, au bruit
de mes talons. Mais j'entrevis par le trou de la serrure. Guae
me reÁut mysterieusement, ťt me conduisit dans la PiŤce-obscure,
oý je Luy avais vu cacher le Jeunehomme. "Ma Reine!
ma belle Future (me dit-il), je crois que je pourrae vous
enfiler aujourdhuy: Ayťz seulement de la complaisance? "Oui!
mais, pomadťz... Ma Tante... "J'entens.. j'entens"... Je
sentis qu'il me remettait ŗ une main plŁs douce. On me prit
les Tetons, le Con; On me darda la langue. Je caressae. On me
troussa. Je fis beau Con. L'On se mit sur Moi, je sentis qu'On
m'žnserait un morceau de beurre-fražs ŗ l'entrťe de la vulve,
ou trou du Con. On poussa. Je ripostae un-peu. L'On entra. Je
secondae, m'apercevant avec ťtonnement, qu'On ne me fesait
presque pas mal. Enfin l'On parvint au fond sans m'avoir
blessťe, ťt l'On y dechargea. L'abondance ťt la douce chaleur
du foutre me firent partir aussi, mais avec un plaisir, des
ťlans, des transports incroyables! Je m'ťcriais: "ChŽr Amant!
divin Amant... j'expire... de bonheur... ťt de voluptť... Je
t'adore"!...
"Le Jeunehomme deconna. Il me suÁa les Tetons, les LÍvres, me
fit darder la Langue. Ce que je fis tendrement... AussitŰt Il
me re-enconna avec fureur. J'eŁs autant de plaisir que la
premiŤre fois... Bref, il me recommenÁait sans-cesse, ťt ce
fut Guae qui Le renvoya: car pour Moi, deja foutue 25 fois
dans la journťe, je crois que j'aurais lažssť aler ces deux
Hommes jusqu'ŗ 50, si tousdeux avaient pu me Le mettre. Guae
me voyant quelque difficultť ŗ marcher, envoya chercher un
fiacre, pendant que je me lavais le Con. "Hť-biťn, ma
charmante Reine, T'ai-je biťn foutue? me dit-il. Je rougis.
"Loin d'Ítre ťpuisť, je me meurs encore d'envie de T'enculer?
"HŰ-non, non! (m'ťcriae-je avec effroy). "Hť-biťn, branle-Moi
des deux mains, comme te voilŗ, le cýl dans l'eau". Je branlae
son Vit, qu'ŗ-peine je pouvais empoigner. Quand le foutre fut
prÍt ŗ venir, il heurlait de plaisir. "Ta bouche? (me disait-il),
ta bouche... ou je T'encule"? Je decalotai le gland, je
le pressai de mes lÍvres. Le foutre arrive, ťt depeur qu'il ne
tombe dans mes Tetons, j'ouvre la bouche, ťt il m'est lancť au
fond du gosiťr. Je l'avale comme un Lažt-de-poule. Il y en eŁt
une chopine: "Foutre! foutre... (s'ťcriait Guae), je me
p‚me,.. H‚... celeste Garse... Tu vaux mieux que toute la
Terre... Est-ce bon? "Ce qui fait tant de plaisir en-bas, doit
faire du biťn en-haut. "H‚, divine Putain... je T'en
nourrirae". Le fiacre arrivait; Guae m'y porta.
"On me L'avait mis 37 fois. Le FrŤre de ma Marchande se trouva
seul ŗ la maison, lors de mon retour. "Mademoiselle
Conveloutť! me dit-il, que vous Ítes cruelle pour Moi?... On
dit que vous alťz vous marier? Vous devriťz biťn favoriser un
Jeunehomme qui vous adore, aux dťpens du Futur? C'est Un Veuf,
Un Lažd... Vous Ťtes Pucelle, ťt si jolie?... Dailleurs, il
l'a trÍs-gros (dit votre Oncle), ťt il vous fera biťn mal? Si
un plŻs menu que le siťn vous prťparait? Voyťz? (Il mit ŗ
l'ŗir un vit charmant); c'est un veritable croque-pucelage,
sans faire mal.... Je sais m'y prendre: Le Mary de ma Soeur Ťst
Un BandŗlaÓse, ťt elle se fait de-temps-en-temps Űter par Moi
les Arŗignťes du Bijou". Ce langage me plut, ťt son vit me
tentŗit: Je luy repondis, en riant: "Je n'ai pas d'AraignÍes ŗ
Űter". Il vit, ŗ mon ŗir que je n'ťtais pas de mauvaise-humeur.
Il me prit les Tetons. "Finissťz donc, Libertin! (Luy
dis-je doucement et sans presque Le repousser). Il me prit la
Motte. "O c'est trop fort, ceci... Voulťz-vous biťn finir"!...
Il ťtait deculorť; il bandait rÚide; il me renversa sur le Lit
de sa Soeur, me retroussa, ťt se mit sur Moi tandis que je
disais nonchalamment: Hť-mais... c'est donc une violence"! ťt
que je me defendais d'une maniťre qui me lžvrait. Il me dit:
"H‚! celeste Innocente! je vous Le mettrae"!... Il m'enfila.
Je ripostais, en haussant du cýl, comme pour Le repousser. Il
n'en dardŗit son vit que plŁs fort. "Non! (s'ťcriŗit-il en
dechargeant), il n'Íst riťn tel que d'enconner
l'Innocence"!... Cependant crŗignant que je ne Me derobasse,
il Me foutit trois-coups sans deconner, (ce qui fit mes 40
fois dans la journťe), ťt ne Me quŪtta, qu'en entendant du
Monde.... Je courus Me laver.
"C'ťtait la Marchande. Elle dÓt ŗ son FrŤre: "Heureusement que
c'Íst avec Conveloutť! Toute-autre aurait sautť le pas,
PoliÁon?... Mais L'as-Tu attaquťe? "Oui. En ce cas, Tu dois
n'en pouvoir plus... Viťns que je Te soulage"? Il y avait
encore de l'huile dans la Lampe: Le Jeunehomť mit le verrouil,
nous enfermant ainsi Tous-trois, ťt il se jeta sur sa Soeur,
qu'il enfila d'un seul tražt. H‚! quels coups-de-cýls elle
donnait! "Lime (Luy disait-elle)... je decha...arge... Sors
ŗ-moitiť, ťt... rentre... vivement... Fous-Moy vingt fois... en
une"... Je Les voyais. Ranimťe par-lŗ, mon insatiable ConnŰt
redesiraÓt un vžt, lorsqu'On frappa doucement. J'ouvris, en
tirant le verrou plŁs doucement encore. J'esperais que ce
serait le Mari de ma Marchande, qui depuis longtemps brŻlait
de me Le mettre. Je me proposais de le pousser dans une autre
PiŤce. Point-du-tout! C'ťtait un beau Jeunehomme, qui avait
beaucoup d'air de Celui par quÓ Guae venait de Me faire
foutre.
"Mademoiselle (me dit-il), se nomme AgnŤs-Conveloutť? "Oui,
Monsieur. "Mademožselle Íst la Prťtendue de M. Guae? "Mais,
oui, Monsieur. "Aimťz-vous, fort ce M. Guae? "Monsieur, la
raison, ťt non la passion, fait mon mariage. "En ce cas,
Mademoiselle, je ne vous ferai pas de peine, en vous revelant
un secret? "Quel Íst-il, Monsieur? "C'Íst que tout-ŗ-l'heure,
vous avťz cru Ítre possedťe par votre Futur... "Quel conte
vous me faites-lŗ, Monsieur? "J'ťtais prťsent, mais cachť,
Mademoiselle: son Timon de carrosse ne pouvant vous perforer,
il m'a vendu votre Pucelage cent Louys, ťt c'Íst moy qui vous
ai deflorťe... Me prťfereriťz-vous? "Ce que vous me dites Íst
impossible, Monsieur! "Cela Íst: Il l'a trop gros; On viťnt de
vous Le mettre, ťt c'ťst Moi. (Je le savais biťn). "Il n'Íst
qu'un mot ŗ dire, Monsieur: Pouvťz-vous m'ťpouser?
"Mademoiselle, je suis mariť ŗ une Vieille de 78 ans, qui m'a
fait ma fortune, ťt je suis obligť d'attendre qu'elle soit
morte. "Et si je devenais grosse, Monsieur?... J'ťpouserais M.
Guae. "Voulťz-vous Ítre ma maÓtresse? "Cela ne conviťndrait
pas. "De son consentement? "Comme vous m'avťz eŁe dejŗ, ťt que
ce soit de son consentement, je m'y prÍterais; pourvu qu'il
ignor‚t que je le sais... "HŰ! de tout mon coeur! Ceci marque
votre honnÍtetť... Etes-vous seule? "Non; la Marchande Íst lŗ.
"Pourrais-je vous avoir ŗ coucher? "H‚-ciel! Je ne saurais
decoucher que sous le prťtexte d'aler veiller mon PŤre, en Le
supposant indisposť: Ainsi, cela Íst impossible. "J'irae, si
vous le permettťz, parler tout-unÓment ŗ votre PŤre: Je suis
riche; il vaudrait mieux que je vous donnasse le prix de vos
faveurs, qu'ŗ Un vil Malheureux, comme Guae? "Hť-biťn, parlťz
ŗ mon PŤre. "Je reviťndrae vous chercher, s'il m'accorde ma
demande? "Mais ne revenťz pas seul: Je veux voir Quelqu'un ŗ
Luy, ťt que je connaisse? "Vous serťz tranquilisťe".
Il ala chťz mon PŤre: Il luy raconta comment Guae n'ayant pu
me depuceler, Lui avait vendu mon Pucelage cent Louys, en
quatre seances, vingtcinq Louys par chaqu'une, dont la
premiŤre ťtait payťe: Qu'il m'avait enconnťe, en me pomadant.
ťt qu'il avait trouvť mon Bijou si delicieux, si satinť, qu'il
n'en voulait plus d'autre; Qu'il m'avait demandť de coucher
avec Moy, ťt que c'ťtait par mon conseil, qu'il s'adressait ŗ
Luy. Il offrit ensuite les 75 Louys restans pour les trois
nuits suivantes. Mon PŤre repondit: "Puisque Guae a voulu Ítre
cůcu, qu'ainsi soit. Je consens que vous couchiťz icy avec ma
Fille, si vous avťz cueilli sa Rose; ce qu'elle me dira. Alťz
La chercher, avec un Billet, par lequel je vais La demander".
Et il ťcrivit. Puis il accompagna le GalŠnt jusqu'ŗ la porte
de ma Marchande, que son FrŤre foutait encore.
"Cependant je M'amusais ŗ voir conniller le FrŤre ťt la Soeur.
J'ťtais en feu, quand le Jeunehomme reparut, avec le Billet de
mon PŤre: je vis par la fenÍtre, Celui-cž quž nous attendait
dans le carrosse de mon Depuceleur prťtendu. Je partis, en
avertissant que j'alais veiller mon PŤre malade- A notre
arrivťe, le Galant pŗya un heau soupťr, ťt remit vingtcinq
ťcus-d'or ŗ mon PŤre. On mangea; On but; puis je fus mise au
Lit. Le Jeunehomme exigea que mon PŤre me deshabill‚t, ťt me
lav‚t la Motte. S'ťtant ensuite Lui-mÍme mis nu, en un
instŗnt, il entra dans une chemise, fort large, ťt qu'il avait
apportťe, afin de me palper mieux. Il appela mon PŤre, pour
qu'il Lui mÓt le vit dans le trou de mon Con; puis il
poussa... Il eŁt autant de peine que chťz Guae (ce qui
m'ťtonna Moi-mÍme!) Aussi dit-il: "Elle a reellement le Connin
ťtroit: Elle se repucelerait en huit jours, si On La laissait
tranquile". Il me foutit six coups; mon PŤre, couchť ŗ-cŰtť de
nous, Lui mettant tonjours le vit dans mon Con. Il s'endormit
ensuite, ťt Moy aussi.
"Le lendemain-matin, il fit faire d'excellent chocolat, qui Me
refit. Je refusae la voiture pour retourner chťz ma Marchande.
On ne se douterait pas pourquoi! J'avais ouÔ-dire, que le
foutre avalť chaud, ťtait excellent pour la poitrine,
fortifiait, ťt blanchissait le teint. Je voulais aler en
avaler ma chopine en suÁant le Vit de Guae. J'y courus, dÍs
que je me vis libre. Il alait sortir. "Je viťns vous donner du
plaisir (Luy dis-je), mais sans en prendre: vous m'avťz trop
fatiguťe hiŽr". Alons, ma Toute-belle, que faut-il faire? Vous
enculer? vous encuisser, vous endosser, vous enaisseller, vous
enoreiller, vous encoller, vous entetonner, vous decharger sur
le nombril, me faire serrer le Vit entre vos deux mollets,
faire un Con de votre solliťr, ou de votre jolie mule: Tout,
je ferae tout, hors vous enconner; je ne le saurais, parceque
nous sommes, vous trop belle, ťt Moi trop beau"? Aulieu de
repondre ŗ ce Langage, qui ťtait de l'Arabe pour Moy, j'avais
deboutonnť sa culote, ťt je Le branlais d'une main, ťt
chatouillant par instinct les couilles de l'autre. Il se
recriait de plaisir; "Dťesse!... Sacrťe Garse!... Divine
Putain!... Branle!... branle!... Chatouille! chatouille les
couilles?... HŰ! hŰ! quelles delices!... Bougresse!...
Gueuse!... Putain!... Divinitť! le foutre... viťnt"!... A ce
mot, j'embouchae le gros Vit, le palpotant de ma LanguŤ ťt du
Palažs. Ce fut ŗlors que Guae en delire blasphÍma; "Foutu
Dieu! Bougre de Dieu! Sacrť Con de la Vierge Marie! Con de la
MagdelŤne connillť par Jesus! Con de Sainte ThŤcle, de Sainte
Theodore, de Sainte Catherine, de Sainte Cecile, d'AgnŤs-Sorel,
de Marion-Delorme, de Ninon, de La-Daubignť, de La-ValliŤre,
de La-Pompadour, de La Dutť, de La Lange, de La
jolie Mars, de l'adorable et provocante MŤzťray, de la jeune
et naÔve Hopkins, de la belle Henry, vous ne valťz pas...
cette Bouche-lŗ... Je fou..ou..ous... Je.. decha..a..arge!...
Ava..ale!... gorge-Toi de foutre, ma Reine"! Il deboucha
vivement, quoique je Luy suÁasse encore lť Vit. "C'Íst trop de
plaisir! (dit-il); On mourrait". Il me fit prendre quelques
cuillerťes de cafť. pour me rincer la bouchť. Puis je me remis
ŗ Le branler. Il me suÁa les Tetons, me fit Luy darder ma
Langue, ťt voulut me gamahucher. Je m'y refusae, devant Ítre
foutue le soir.... Il rebandait. Je secouai, je chatouillai;
le foutre revint, ťt j'en avalai une nouvelle dose. Ce qui eŁt
lieu trois fois de-suite. Le manque de temps nous obligea seul
de nous separer.
"Le soir, ŗ 9 heures, une voiture vint me prendre, ťt me
conduisit chťz mon PŤre. On y soupa, coucha ťt foutit comme la
veille. Le lendemain, aprŤs le chocolat, j'alai faire mon
dťjeŻner de foutre chťz Guae. J'en pris quatre doses...
De-retour chťz ma Marchande, son Mary. sans-doute instruit par le
FrŤre de sa Femme, voulut me le mettre. Je m'y refusae
absolument. Il s'en plaignit ŗ sa Femme, qui m'en fit des
reproches. Mais Luy ayant dit que mon Prťtendu me l'avait mis
six fois, en gardant mon PŤre avec Moi, elle fit mes excuses ŗ
son Mary, en Le priant d'attendre son tour.
"Le soir, On vint me prendre. Mad. Viťdase ma Marchande, Me
dit ŗ l'oreille: "T‚che de ne pas Ítre foutue; afin que mon
Mary puisse Te le mettre demain? il s'en meurt"?... Je trouvae
mon Amant chťz mon PŤre. En soupant, On parla de Guae, Mon
Amanr dit, qu'ayant ťtť enconnťe devant Luy, je ne devais pas
redouter la grossesse. "C'Íst pourquoi (ajouta-t-il,
j'enfourne ŗ plein Con, ťt decharge au fond. "Je vous mets le
vit dans le Connin de ma Fille avec plaisir (dit mon PŤre);
afin de mieux cocufier ce Jean-foutre de Guae, qui vous a
vendu son Pucelage. "C'Íst ce qui me met aussi en fureur
ťrotique, quand jť fous sa Future (repržt mon Galant): Je
pense: Encore une corne ŗ ce bougre de Guae... ťt je me trouve
intarissable... Il m'a mÍme passť une idťe par la tÍte: C'ÍIt
de vous donner ŗ chaqu'un 50 Louys, pour que vous foutiťz
ensemble tous-deux; pour que le M‚tin soit recocu, ťt surcocu?
"Top! (s'ťcria mon PŤre); ŗprŤs votre affaire faite. Vous me
mettrťz le vit dans le Con de ma Fille... "Non! non!
(m'Ícriai-je). "Vous me La tiťndrťz, si elle recalcitre. "Je
n'ai pas ces idťes (Leur dis-je): Si je remue du cýl, comme je
le fais, ŗlors que mon Amant Me fout, c'Íst que je l'aime:
QŁant ŗ M. Guae, je Luy dois beaucoup de reconnaissance! il
Íst ma Nourrice, ťt c'Íst Luy que je tťte". On ne comprit pas
le sens de ce mot. On Me coucha.
"Au Lit, mon Amant me foutit six fois. A la sixiÍme, mon
Fouteur dit ŗ mon PŤre: "Mets-Toy sur ta Fille. ťt fous.La: Je
vais T'introduire le vit"? Mon Pťre me grimpa, le Jeunehomme
Luy mit le vit dans mon con, ťt il poussa. Comme j'ťtais
amoureuse de Luy plŻsque de tout autre Homme, je remuai de la
charniŤre, comme Une Princesse foutant avec un Page... Le
Jeunehomme ranimť, entra dans un tel ťrotisme, en nous voyant
decharger, qu'il nous fit mettre sur le cŰtť, Ťt il m'encula,
tout enconnťe que j'ťtais... J'alai laver, ťt nous dormÓmes.
Le matin, au dejeŻnťr, le Jeunehomme paraissait yvre de joye!
"H‚! qu'il Íst cocu, le Bougre! (s'ťcriait-il.)... Bonhomme,
voilŗ un effet de cent Louys: Il faudra que Tu La foutes,
ŗprÍs le Mariage, ťt il y aura vingtcžnq Louys ŗ chaque fois".
Il partit, ťt je courus chťz Guae, que je commenÁais ŗ aimer
presque autant que mon PŤre.
"Il Me reÁut avec transport, Me tražtant de divine Garse, de
celeste Putain... Il M'alaita de foutre six copieuses fÚis. Ce
qui me mit dans un tel ťrotisme, que je retournai chťz mon
PŤre: "Ton Procureur? (Luy dis-je essoufflťe): Il doit Ítre
remis, depuis l'autre jour? Je brŻle... Cours-y, si Tu
M'aimes". Il y vola, en M'appelant, Cleop‚tre! Clep‚tre!... Il
trouva le Jeune Procureur ŗ la fenÍtre, son vit bandant ŗ la
main. "Je viťns de voir entrer votre Fille (Luy dit-il), ťt
j'alažs Me branler ŗ son intention. "Gardťz-vous en biťn!
Apportťz un petit prťsent, ťt venťz le Luy mettre? "Vingtcinq
Louis? "C'Íst trop pour une Pratique: Un Louys par coup.
"Soit: mais je n'en remettrai pas: Elle g‚gnera peutÍtre la
somme". Il vint avec Moi. En entrant, il jeta la bourse sur le
piťd du Lit. "Alons, ma Fille (Me dit mon PŤre), Tu Ís ŗ tes
piŤces; autant de coups foutus, autant de Louys: Mais il ne
faut pas tuer Un Amy! Il alait se branler ŗ ton intention,
quand je suis entrť". A ce mot, je Me jetai ŗ son cou, ťt Luy
dardai ma langue) en dÓsant: "ChŽr! ChŽr Amy! "H‚ je T'adore i
(Me repondit-il). Et il Me prit les Tetons, le Con. Je Me
renversai. Il se mit sur Moi. Je Me fourai son vit dans le
Con, ťt en quatre coups de cýl, je Le mis au fond. Il
dechargea, en Me sentant ťmettre... Il Me foutit dix coups.
"J'ai quinze Louys ŗ-compte (Luy dit mon PŤre, en Le voyant
laver ťt se reculoter: Vous reviendrťz quad il vous plaÓra".
"Nous en ťtions ŗ l'avantveille du Mariage. Tous les matins,
Guae m'avait alaitťe, ou plŁtŰt affoutrťe; ce qui M'avait
rendu la peau plŁs blanche, le teint plŁs bržllant, le Con
plŁs satinť, ťt me donnait un temperament si violent, que je
n'ťtais ŗ Mon aise, qu'un VIT au CON. Le Jeunehomme dit, en
dejeŻnant: "Guae doit Ítre surpris de ne pas Me revoir! Cela
pourrait faire tort dans son idťe, au Con de ma belle
Fouteuse: Ainsi, je veux Luy acheter la premiŤre nuit de sa
Mariťe, puisque l'impayable AgnŤs veut absolument l'ťpouser.
(Je le Luy avŗis dit, en foutant). Mon PŤre applaudit. Mais en
Me reconduisant chťz Guae, que j'alŗis teter, ce bon PŤre
ajouta: "Tu n'Ís pas une Mariťe ordinaire: ce qui ťteindrŗit
la sožf d'Une-autre, n'Ít qu'une goutte de foutre, pour Toy:
J'ai une idťe, C'ťst de M'arranger ŗ Te regaler, aprŤsdemain,
en Te Le fesant mettre jusqu'ŗ extinction de forces, par
Tous-ceux qui T'ont foutue; Moy dŗbord; Ton Oncle; Ton Procureur;
le FrŤre de Ta Marchande, ťt peutÍtre son Mary: S'il se trouve
quelques nouveaux Bougres, ils T'enculeront, sous prťtexte de
reserver Ton Pucelage ŗ Ton Epoux: c'Íst un delice que
d'enculer une Mariťe, le jour de ses noces, ťt ils le pŗyeront
biťn. Je M'arrangerai avec Guae pour tout-cela". Nous
arrivions. J'embrassai mon PŤre transportťe de reconnaissance,
en Le priant de t‚cher de Me suivre secrÍtement, pour Me voir
teter. J'entrai, pužs je L'introduisis.
"Guae courut ŗ Moy, en se deculotant. Il Me baisa dabord pied,
jambe, cýl, con ťt Tetons: Il Me fit ensuite Luy darder ma
langue; ŗprÍs quoy, il Me mit son Vit en main. Je Le secouais
vivement, lorsqu'il Me dit: "Garse, je suis raisonnable: Je ne
T'enconne pas; il faut que Ton PŤre ťt Ton Oncle te foutent le
jour du Mariage: Je T'aurai ensuite, pour la nuit, trois vits
frais, dont celuy qui T'a depucelťe sera Un... H‚! l'idťe que
Ton PŤre T'enconne va Me faire Te decharger une pinte de
foutre, ťt Te l'entonner dans le gosiťr"... Alons, Garse, je
sens que Áa viťnt: embouche-Moi le Vit... H‚-h‚-h‚... le
Bou...ougre fout... sa Fille... Ton PŤre Te fout, Garse! Te
fout, Putain... H‚! je decharge, ŗ cette divine Idťe!...
Hůnh"!... Il se p‚ma presque... Pendant l'interruption forcťe,
j'alai prendre Mon PŤre ŗ sa cachette: "Fous-Moy, Luy dis-je;
puisqu'il le faut pour le bonheur de Mon chŽr Prťtendu! "H‚!
Deesse! (s'ťcria Guae, en se prťcipžtant ŗ genoux, Tu incestue
pour Moy! je T'adorerai toute ma vie"... Il intromit le vit
paternel. Remue du cýl! (Me criŗit-il), saccade! "Je
de..cha..arge (Luy dis-je)... Viťns, chŽr Amy.. que je Te
branle"? Guae blasphÍmažt de plaisir, en sentant venir le
foutre... Il M'emboucha, sans que Mon PŤre me quitt‚t, ťt
en-mÍme.temps, j'avalai du foutre, j'en reÁus dans le Con, ťt
j'en donnai. Mon PŤre Me foutit quatre coups, Ťt Guae M'avŗit
embouchťe quatre fois, quand On frappa. Guae courut ouvrir,
tandis que je Me rinÁažs bouche ťt con. C'ťtait mon Oncle.
"Vous arrivťz ŗ point (Luy dit-il): On essŗye Ma Future, ťt
vous alťz L'essŗyer". Mon PŤre expliqua la chose; Guae Me
renversa sur le foutoir, ťt mon Oncle M'enconna. Il Me foutit
six coups, je tetai six nouvelles fožs le VIT de Guae; aprÍs
quoy, On Me lŗÓssa respirer. Il fut ensuite convenu, que douze
Fouteurs me passerŗžent sur le corps le jour de mon Mariage,
en con ou en cýl, ŗ mon choix, ťt que Guae, qui seul aurŗžt la
bouche, Me ferŗit foutre la nuit, ťt dans l'obscuritť, par
trois VITS nouveaux de son choix. Mon Oncle emerveillť,
s'ťcria: "Mais elle sera Putain? "C'Íst ce qu'il Me faut, pour
que je l'adore.... Et ne vous en faÓtes faute, ny son PŤre, ny
vous; puisque vous serťz les seuls qui ne payerťz pas". En
achevant ces Mots, il se prosterna devant Moy, en Me traÓtant
de Deesse.
"Je retournai chťz ma Marchande. Son Mary, ťt elle-mÍme Me
tourmentaient, pour que le Premiťr M'eŻt une seule fožs avant
Mariage. Ils Me pressŤrent plŁs fort que jamaÓs; ťt je cťdai.
La Femme Me mit dans le con le VIT de son Mary. Je ne fus
foutue qu'une fois, cet Homme ťtant faible, ťt sa Femme le
voulant Ítre aprŤs Moy. Ce fut de ma main, qu'elle regut dans
son Con brŻlant le VIT Marital..... Cette operation faite, ťt
repetťe, je Les quittais, en Leur disant Adieu. Ils
pleuraient: "Ce qui Me console de ta perte (Me disait ma
Marchande), c'est que mon chŽr Mary T'a foutue... Ta
voluptueuse idťe Me lť fera mettre plŁs souvent". Je partais,
quand le FrŤre entra. Sa Soeur Luy dit ce qui venait de se
passer. Il ne repondit riťn: Mais il Me ramena du-cŰtť du Lit,
M'y renversa, ťt Me foutit devant eux, sans prononcer une
parole. Il voulait Me recomencer. Je M'y refusai, en
L'invitant, ainsi que son BeaufrŤre, ŗ venir Me le mettre le
surlendemain jour de mon Mariage. On Me remercia.
XXXVI Chapitre.
Chap. De l'Homme-Poilu, la Conveloutť, Linars &c.
"A mon arrivťe chťz mon PŤre, je Luy con-racontai Tout ce que
je venais de faire. "Il ne faut pas (Me dit-il), quand On a
tant d'ouvrage pŗyť, en faire qui ne rapporte riťn. Il viťnt
de M'arriver Un Homme d'assťz agreable figure, trÍs-vigoureux,
car il Íst brun ťt tout poilu, qui offre une forte somme, pour
t'avoir cette Nuyt? "Que riťn ne vous empÍche de Le prendre!
(repondis-je en souriant): Je ne suis pas fatiguťe par si peu
de chose".
"Mon PŤre rassurť Me fit deshabiller nue, prendre un bain
tiťde, puis un froid, mettre au Lit, avec une chemise large;
Me fit avaler un excellent consommť: ensuite il Me laissa
dormir. Il ťtait ŗlors 5 heures du soir. A minuit, je
M'ťveillai, en Me sentant lŤcher le con. Je priai l'Homme de
se montrer? Il leva la tŤte, et je vis un Basanť d'une fort
belle figure. Je souris. Il Me suÁa les Tťrons, en Me disant
des choses agreables: "Vous avťz un beau Con... une superbe
Motte... un Ventre de Pucelle... un Cýl d'alb‚tre... des
Tťtons blancs comme neige.... un col degagť... des lÍvres
voluptueuses... de belles dents... les plŁs beaux ieux... les
cils, les sourcils ťt les cheveux comme la Deesse de la
Beautť... la jambe parfaite... le pied le mieux fait... Quand
je vous aurai foutue, je vous dirai le reste".
"Mon PŤre Me dit de Me lever pour souper. Le Basanť Me porta
toute-nue dans ses bras auprÍs du feu: Lŗ, je vis Guae avec
grande surprise! Je mis mon corpset souple; FysitŤre (le
Basanť) Me laÁa, Me priant de biťn faire refluer mes Tetons.
Mon PŤre Me chaussa une Jambe ťt un Piťd, Guae l'autre Jambe
ťt l'autre Piťd, en bas ťt en solliťrs de soye d'une
ťblouissante blancheur. On se mit ŗ table. Mon Fouteur voulut
que je restasse les Tetons decouverts. Nous soup‚mes. J'avaŪs
appÍtit, Le Basanť but ťt mangea comme Un Hercule. En sortant
de table, il dit ŗ mon PŤre ťt ŗ mon Futur: "Vous ne M'avťz
pas trompť; Elle Íst audessus de vos ťloges. SŪ l'interieur du
Con ressemble ŗ l'exterieur, Elle Íst ŗ Moy, coŻte qui coŻte.
"Voyons votre Vit (repondit Guae).... Elle ne sera que trop
parfaite!... Voici le miťn; ťt vous savez que je n'ai pu
l'enconner, puisque c'Íst ce qui vous a fait parler ŗ M.
Conveloutť mon beaupŤre. "Je verrai si Elle a le merite de ce
beau nom... Mais vous avťz un Vit ťpouvantable, M. Guae!...
Empoignťz-le, la Belle, que je voye comme il Íst biťn
bandant"? Je saisis le Vit de Guae, qui se recria de
plaisir... "Je bande (reprit FysitŤre): Mais faites bander
votre PŤre, ťt comparons". Je Luy prÓs cependant le Membre,
qui grossit en le serrant dans ma main. On compara ensuite.
Guae l'avait le triple de l'Homme-velu, qui Luy-mÍme ťtait le
double de mon PŤre. "Je voudrais Luy dire un mot"? (demanda
Guae furieux de luxure). Il Me poussa vŽrs une fenÍtre. Me
cacha derriŤre le rideau, et me dechargea dans la bouche. Mon
Pťre seul devina ce que Guae venait de me faire. Pour Moy, je
fus singuliŤrement fortifiťe par cette bavaroise! Je
brŻlais... Aussi, je fus ravÓe, lorsque FysitŤre dit: "Il faut
dabord que je la foute habillťe". Il Me porta sur le piťd du
Lit, Űta ses culores, ťt nous laissa voir un corps velu, comme
celuy d'un Singe. Il me fit Luy prendre son braquemart, ťt Me
dit: "Introduis-moi cela dans le trou de ton con, ťt tŤve du
cýl come il faut, ŗ chaque fois que je pousserai". Je
M'enconnai. AussitŰt il poussa. Je fis un cri: car il Me
dechirait, ťtant plŁs gros que mon Oncle, ťt que tous les vits
qui M'avaient foutue. "Ce n'est riťn (Me disait-il): je te
deflore... je te depucŤle: Remue du cýl". Je remuais de mon
mieux, tout en soupirant, ťt Luy rendant en coups de cýl, tous
ses coups de vits. Il parvint au fond. Mes trompes Luy
pincŤrent la tÍte du gland. Il heurla de voluptť. "Garse
adorable! (s'ťcriait-il), ton Con satinť pince le vit! Ta
fortune est faite, ainsi que celle de ton PŤre ťt du Futur,
qui t'ont vendue ŗ Moi!... Alons, fous biťn"!... Je remuai, je
tortillai du cýl, je soubresautai, de la maniŤre dont Me le
disaient mon PŤre, ťt Guae Luy-mÍme. "Je suis ravi! (s'ťcriait
le Basanť): Elle decharge!... H‚! Elle me fera un petit
Bougre-ŗ-queŻe!.... Il dit ŗ mon Futur: "Viens-Áa, Jean-foutre:
Passe-moi la main sous le croupion, ťt chatÚuille-moi
d'une main ce que tu y trouveras, ťt les couiiles de l'autre"?
Guae obťÔt. J'ai su depuis qu'au croupion, le Basanť avait une
queŻe, de la mÍme forme qu'un vit, mais velue comme son corps,
ťt que ce fut cette queŻe que mon Futur chatouilla).... "Je ne
quite pas d'une heure ce con celeste! (disait l'Homme-ŗ-queŻe,
en Me saccadant): chatouille, chatouille, Bougre! les couilles
ťt ma queŻe"! Il dechargea six fois, sans deconner... Je
demandai ŗlors ŗ laver. Mon Futur M'ťpongea le con, ťt Me le
baisa, en l'appelant Con d'Or. Mon PŤre Me suÁa les Tetons.
Guae dit au Basanť: "Elle Íst ŗ vous: Mais je bande comme un
Carme: permettťz que je L'encule?... "L'enculer, non; c'Íst du
foutre perdu. Encore moins l'enconner; je veux qu'Elle Me
fasse un Petit-ŗ-queŻe: Mais si Elle avalait le foutre, comme
j'ai vu certaines Femmes temperamenteuses, je consentirais que
tu l'embouchasses". A ce mot, je saisis le Vit de mon Futur,
ťt je l'aurais avalť, s'il n'avait pas etť si gros. Il me
dechargea au fond du gosiťr, en rugissant, ťt le foutre Me
descendit bouillonnant dans l'estomac. "H‚! Elle aime le
foutre! (s'ťcria le Basane); Elle a toutes les perfections!...
Et Elle sera aussi longtemps belle, que feconde!..... Alons,
Papa, embouche-la aussi: De tous les foutres, le paternel est
le meilleur". Je Me jetai sur mon PŤre, Le renversai sur le
Lit, saisit son vit bandant, que je fis aler ťt venir dans ma
bouche, jusqu'ŗ ce qu'il decharge‚t. Je suÁai son foutre avec
delices... "Bon! (s'ťcria le Poilu); Elle est dans les bons
principes; Elle est impayable"! Le Basanť Me deshabillait, Me
dechaussait: Mon PŤre ťt Guae Luy aÓdaient. Je fus mise nue,
patinťe, baisťe du haut-en-bas, tandis que je Me rinÁais la
bouche: On Me passa la grande chemise; l'Homme-ŗ-queŻe velu ťt
tout-nu, y entra, Me suÁa les Tetons, Me fit Luy darder la
Langue, puis dit ŗ mon Futur de Luy intromettre le vit dans
mon Con.
"Le Basanť Me foutit six nouveaux coups, sans deconner. Je Me
sentis fatiguťe: Je voulus laver. Je restai une heure sur le
bidet le Con dans l'eau. Le Basanť qui, pendant tout ce emps-lŗ
s'ťtait amusť ŗ faire bander Guae, ťt ŗ Luy faire Me
decharger trois fois dans la bouche, M'appela, en Me disant:
"Tu es assťz rafraÓchie; reviťns sur le foutoir, que je te
donne le bouquet"? Il se le fit introduire par mon PŤre; qui
Me dit: "Courage, mon Enfant! Voicy un Fouteur qui en vaut
dix: Mais je t‚cherai de Te faire soulager, si cela continue".
Je fus encore foutue six fois; mais avec tant de vťhťmence,
que je n'en pouvais plus. Sur ma plainte, le Basanť dit, que
le bouquet etait te double des autres assauts. "Hť! combiťn
donc l'alťz-vous foutre de coups? (Luy demanda mon PŤre).
"Vingtquatre est ma dose. "C'Ít trop, ťt Elle ne ferait pas
d'Enfans: Elle a une Cadete, aussi jolie que l'AÓnťe est
belle; je vous La donnerai, pour soulager sa Soeur? "Je
l'accepte! (s'ťcria FysitŤre): Et il m'en faudra biťn
d'Autres! car je ne les fout plus, dÍs qu'Elles sont plŤŪnes,
ni pendant qu'Elles alaitent leurs petits. La jeune Garse
est-elle lŗ? (Or il Me foutait toujours).. "Non: Vous ne pouvťz
l'avoir que demain-soir. "En ce cas, j'achŤve de foutre Celle-ci
mes 24 coups: Je dťconne; qu'elle lave; Elle n'en a plus
que cinq. Si son Futur se trouve en ťtat, qu'il luy donne ŗ
teter du foutre cela la fortifiera"? AussitŰt Guae M'apporta
ses couilles ŗ chatouiller, ťt son Vit ŗ branler. Je M'en
aquittai si biťn, qu'il hennit aubout de quelques minutes, ťt
qu'ŗ-peine eŁs-je embouchť son Vit, qu'Il dechargea, en
sacrant. "Elle a toutes les qualitťs... Elle est parfaite!
(s'ťcriait le Poilu, en Me re-enconnant): Si sa petite Soeur la
vaut, ce sont deux connins impayables"! Il acheva de Me foutre
cinq foÓs, sans deconner. Je puis Me rendre le temoignage, que
je dechargeai, ŗ chaque assaut, plŁtŰt deux ťt trois-fois
qu'une: Aussi FysitŤre en ťtait-il ťmerveillť! ťt Me nommait-il
la seule Fouteuse digne de luy. Mon PŤre Luy dit alors: "Cť
ne sera pas encore assťz de ma Cadete: Mais j'ai votre
affaire: Il Me reste une NiŤce Religieuse, qui a des vapeurs
hysteriques; je vous La donnerai, pour reposer mes Filles? "Je
leur ferai ŗ Toutes-trois 12 mille francs de rentes (repondit
le Basanť). Amenťz-les moi chaque soir, demain exceptť, que
j'ai ŗ fourgonner une grande Blonde, qui a ouž parler de moy,
ťt qui veut en t‚ter. Il s'en-ala.
"Cette scÍne changea tous nos projets. Je dormis jusqu'ŗ midy,
qu'On M'habilla. Je fus mariťe ŗ une heure. La noce fut gaye.
Ma Soeur y ťtait, ainsi que ma Cousine la Carmelite hysterique,
mon PŤre ayant trouvť le secret de l'avoir, au moyťn d'une
permission de prendre les Eaux, qu'Il sollicitait depuis
long-temps. J'eŁs reellement pitiť du Connichon de ma Soeur
Doucette, ťt je resolus de le voir dans la journťe. Mon PŤre
Me le montra, ťt le gamahucha devant Moy, en allegant le motif
de prťvenir une maladie. H‚! qu'il ťtaÓt mignon!... Je
l'aurais gamahuchť, ŗ mon tour. sans ma coÓfure d'Epousťe, car
son joly petit Foutre virginal Me tentait... Notre PŤre La
prťvint qu'il falait qu'Elle Me soulage‚t la nuit de mes
noces, ťt l'aimable Enfant y consentit avec naÔvetť. Je vis
aussi le Con de ma Cousine la Carmelite, ou la belle Victoire-LondÚ.
Il n'ťtait pas si mignon, mais il avait une superbe
perruque noire. Elle entra en fureur ťrotique dÍs qu'On le Luy
eŁt touchť du bout du doigt, ťt mon pauvre PŤre fut obligť de
le Luy mettre devant ma Soeur, ťt devant Moy. Ce qui ne La
calma que pour un instant. Nous appelames mon Oncle, qui La
foutit trois fois. Puis le Jeunehomme fut introduit. Ensuite
le Procureur. Tous ceux qui devaient Me le mettre ce jour-lŗ.
Les Enculeurs vinrent aprÍs. Elle fut foutue, refoutue,
enculťe, re-enculťe, ťt calmťe. Mais On n'appela pas M. Guae;
j'en ťtais jalouse... Pendant ce temps-lŗ, mon PŤre branlait
ma Soeur; l'enculage de la Religieuse Le fit entrer dans une
telle ťrection, qu'il La poussa dans un cabinet, oý je Les
sužvis, La renversa, et La depucela. J'insťrai le vit paternel
dans le joly Connin, en disant ŗ DoucŤte, que c'ťtait une
ponction necessaire.
"On lavait la Religieuse. M'ťtant aperÁue que Guae la
convoitait, je Luy temoignai une jalousie qui le flata. Il Me
promit de reserver son foutre azurť, ťt son gros Vit pour ma
bouche, en attendant que les Enfans M'eŁssent ťlargi le Con.
"Mais vous m'aviťz vendue )Luy dis-je), avant de m'avoir
livrťe ŗ l'Homme velu, pour Ítre foutue ťt enculťe ma nuit des
noces: Combiťn de Fouteurs ťt d'Enculeurs devais-je avoir?
"Six, ŗ 2 mille ťcus chaqu'un. "Vous voyťz que je n'ai besoin
que de repos: Mais il ne faut pas manquer une aussi jolie
somme: Vous avťz demandť le silence ťt l'obscuritť? "Ouy, ma
Reyne adorťe: Je ne me suis engagť qu'ŗ te faire voir toute-nue
sans chemise, comme en jouant avec Toy, nu aussi, dans la
chambre. Au-reste, le silence ťt l'obscuritť sant essenciels,
puisqu'ils eŁssent passť pour Moy. Les six Bougres placťs
chaqu'un dans une chambre separťe, devaient rťpŗÓtre leurs
regards de tes charmes, ťt t'esperer chaqu'un comme possesseur
unique, ŗ un signal donnť. "Tout-cela se fera. Je serai
remplacťe par 3 Persones. Nous donnerons le plŁs delicat ťt le
plŁs petit vit ŗ ma Soeur: Le plŁs vigoureux ťt le plŁs brutal
ŗ la Carmelite: Je vaÓs vous avoir ma Marchande, qui ne
demandera pas mieux que d'Ítre foutue, sans Ítre compromise.
Vous arrangerťz tout, pour qu'elles reÁůivent chaqu'une deux
Hommes; ce qui sera d'autant plŁs facile, que vous n'aurťz que
les Hommes ŗ tromper: ce qui sera facile". Guae admira mon
entente ťt mon ťconomie! Il Me promit une soumission entiŤre ŗ
mes ordres, ťt Me demanda la permission d'appeler ma Soeur, ou
la Religieuse, pour Le branler. Je Les appelai Toutes-deux. Je
dis ŗ la Carmelite, en Luy decouvrant les Tetons, de prendre
le Vit ťt les couilles de mon Mary. Je mis ensuite ma Soeur en
position, troussťe jusqu'audessus des reins, ťt comme Elle
avait le plŁs joly cýl du monde, Elle montra le derriŤre. Je
Me mis ŗ cŰtť d'Elle, troussť de-mťme, je montrai le devant.
Guae chatouillť par une main douce, ťt jouissant d'une triple
perspective aussi belle, en y comprenant la superbe gorge de
la Religieuse, ne tarda pas ŗ hennir de plaisir. BiťntŰt il
entra en fureur, ťt il alait enconner la Religieuse, si je ne
Luy avais sautť sur le Vit, que j'embouchai. Il Me dechargea
dans le gosiťr, en rugissant. Nous sortimes Tous-quatre, pour
aler danser, ťt ma Soeur, ma Cousine ťt Moy nous fumes reÁues
avec transport.
"Mes 6 Fouteurs pour la nuit suivante, ťtaient de la noce:
Guae qui se fŻt biťn gardť de Me Les montrer, si j'avais dŻ
Les avoir, s'en fit une fÍte, quand ce furent d'Autres qu'On
Leur alait livrer. Il Me Les designa. C'ťtaient 6 Monstres de
laždeur. Guae trouva le moyťn de Les faire mettre nue
successivement dans une PiŤce isolťe, sous le prťtexte de Les
froter d'un baume fortifiant. Le Premiťr ťtait un squelete
decharnť, ayant le vit comme mon PŤre. Il avait un long nťz
qui touchalt ŗ son menton, les joues creuses, l'oeil vif, des
verrues noires sur le corps. Je te reservai pour ma Soeur,
ŗ-cause de son vit, n'esperant pas mieux. Il se nommait Widewit.
"Le Second ťtait un gros petit Homme, trÍs-ventru, ayant le
vit de mon Oncle, la peau comme une Ecrevice cuite, pour nťz
une grosse bŤterave, de gros sourcils gris, une bouche ťvasťe,
ťt les lŤvres h‚lťes, gersťes des gros Mangeurs. Ce fut le
second de Doucette, si je ne trouvais pas mieux. On l'appelait
en russe Wiwitencoff de-la-CowilardiŤre.
"Le TroisiŤme ťtait fait come un Hťron ťt un Dromadaire: Il
ťtait juchť sur de longues jambes sans mollets; il portait sur
ses ťpaules une colline en cŰne aigŁ; son visage ťtait noir ťt
sec; ses cuisses grÍles n'ťtaient distinguťes de ses jambes
que par d'ťnorme genoux: Tout ce qui manquait ŗ ces parties se
retrouvait dans son Vit, plŁs gros que celui de notre
Homme-ŗ-queŻe, ťt moins que le double Wit de Gwae. Je destinai
Towtenwit ŗ ma Marchande, qui ťtait chaude, large ťt sterile.
"Le QuatriŤme etait un gros Marchand de blťd, aussi large que
haut, tout noir, tout bourgeannť, ayant quelques livres de
cowilles, ťt un vit trŤslong, gros comme celui de mon Oncle.
Je destinai Witplongeardow ŗ ma Cousine, ŗ-cause de ses
couilles.
"Le CinquiŤme avait le visage de la teinte d'un ventre de
Crapaud, la tÍte monstrueuse, le ventre de Desessarts, le vit
come Gwae (il devait m'enculer, de convention faite): Son
regard ťtait affreux, sa bouche degoŻtante, ťt son nťz encore
plŻs: Witcrwel fut vouť au large Con de ma Marchande.
"Le sixiŤme ťt derniťr ťtait grand, voŻtť, noir, bancroche,
roux, chassieux; il avait un wit ŗ bourelet, tant il ťtait
long; aussi en avait-il apportť un, qu'il devait ťcarter, pour
m'enculer. Perceawant fut le second de mon ardente Cousine.
"Le soir arrivť, l'On Me mit au Lit, ťt chaqu'un des six
Monstres crut qu'il alait avoir le plaisir d'Ítre mon
bourreau. Guae Me conduisit dans la chambre nuptiale, ťt parut
Me mettre au Lit: Mais il nous disrribua dans quatre Pieces,
ťt les lumiŤres furent exactement retirťes. Quant ŗ Moy,
j'ťtŗis restťe debout, fesaut ŗ chaqu'une des Lieutenantes de
mon Con, le portrait ťt l'ťloge du beau Jeunehomme qu'elles
alaient presser dans leurs bras. Je me croyais obligťe en
conscience de Leur donner des plažsirs imaginaires, ŗ defaut
de la realitť. "Ma Toute-belle! (dis-je ŗ ma Soeur), avec quel
plaisir tu me sacrifierais ton repos, si tu voyais le
jeunehomme charmant, qui doit froisser. tes appas? C'est un
Sylphe; c'est un Amour"..... J'alai ensuite ŗ la Religieuse:
"Tu vas sentir le difference de la couchŤte de ta cellule, au
lit d'un Nouvelle-mariťe, ma chaude Cousine: Un Bel-homme, un
gros vit... Crie, mais ne parle pas, puisque tu vas passer
pour Moy"... Je me rendis ensuite auprÍs de ma Marchande;
"Vous alťz Ítre rassasiťe de ce que vous aimťz tant, mon
aimable Maitresse: Un Jeunehomme superbe, ťt... peutŤtre deux,
qui me desirent avŤc emportement, vont me le mettre dans votre
Con brŻlant, jusqu'ŗ-extinction de forces. Les Vits sont gros!
ainsi faites-vous pomader comme une Pucelle, ťt remuťz du cýl,
pour avaler plŁs vÓte ces ťnormes morceaux"... Ma Marchande me
remercia, en me priant de La mettre promptement aux prises. Je
courus Luy chercher Toutenwit, le TroisiÍme... Mais je vais
mettre de l'ordre dans mes recits.
"Guae m'attendait. DÍs que je parus, il me fit parler, ťt
conduisit par la main Wždewit, le premiťr Monstre, auprÍs de
ma Soeur. "Mon chŽr Mary (dis-je doucement, la tÍte appuyťe sur
l'oreiller de Celle-cy), menagťz-moy? "Oui, oui; mais ne parle
pas: j'ai decouvert que toute la Noce nous ťcoutait, ŗ-cause
de mon gros Vit"..... Durant ce court Dialogue, Witdewit,
deshabillť d'avance, fourageait deja ma Soeur. Guae par mes
ordres, prit ensuite Witplongeardow le QuatriÍme, ťt Le
conduisit, avec les mÍmes prťcautions, auprÍs de la
Religieuse: Je parlai sur son oreillťr... Towtenwit le
TroisiÍme, fut le lot de ma Marchande. Les 3 Autres avaient
rendťz-vous quelques heures plŁtard.. Il faut ŗ-prťsent donner
chaque scÍne particuliŤre, en 6 Tableaux de la NUIT DE LA
MARIEE
XXXVII Chapitre.
Chap. Des six Fouteurs pour trožs Foutues.
"H‚pťe par le Monstre, Qu'elle croyait un Ange, ma timide Soeur
soupirait. J'entendais qu'On la gamahuchait, qu'elle
dechargeait. "Je me meurs! (murmura-t-elle). "Comme tu as la
voix douce, belle Mariťe! (luy dit Widewit biťn bas). Et
aussitŰt il grimpa sur elle, ťt l'enconna. La pauvre Petite,
quoique depucelťe, fit un cri! Je parlai pour la deguiser. Le
vieux Monstre la menageait ťt la caressait. Elle le secondait
de tout son pouvoir, ťt redechargea. Gr‚ces ŗ moi, elle avait
lť mÍme plaisir que si elle eŻt foutu avec Un beau Garson....
La voyant biťn enfilťe, j'alai ŗ la Religieuse.
"Witplongeardow s'ťtait avisť de ne pas mettre son bourrelet:
je m'en doutai aux gemissemens de la pauvre Martyre. Je le dis
ŗ Guae, qui le desarÁonna, ťt luy donva quelquec soufflets.
J'entendis qu'il luy disait biťn bas: "Bougre! vas-tu
m'estropier ma Femme? Ton bovrrelet"? Le Fouteur le prit, ťt
la Foutue n'eŁt plus que du plaisir.
"Je courus ŗ ma Marchande, que Toutenwit ne pouvait enconner
par maladresse. Je mis la tÍte sur l'oreillťr, ťt je dis en
soupirant: "Priťz donc mon PŤre de vous l'introduire"?...
Guae, qui me suivait doucement, vint faire l'intromission, ťt
tout ala biťn.
"Chaqu'une des 3 Belles fut foutue deux-fois en con. Ensuite,
comme de-concert, les 3 Bougres retournťrent la medaille.
Toutes-trois avaient leur pucelage de cýl. Ma Marchande crut
qu'On alait le luy mettre en levrette; mais les deux Autres ne
s'attendaient ŗ riťn. On leur perÁa le cýl ŗ toutes-trois au
mÍme instant, ťt elles s'ťcriŤrent, malgrť la defense,
toutes-ŗ-la-fois: DOUC. HŰ le fondement! LA RELIG. HŰ l'anus! LA
MARCH. HŰ le trÚu du cýl!... On n'y fit pas attention.
Heureusement ma Soeur avait le cýl large; elle souffrit moins.
Quant ŗ la Religieuse, que Witplongeardow enculait sans
bourrelet, elle avait une aune de vit dans ses entrailles, ťt
elle sentait celui de son Enculeur luy chatouiller le nombril.
Elle souffrait beaucoup de son farfouillage; car il retirait
ťt reenfonÁait brutalement. Elle n'ťŁt de plaisir qu'ŗ la
decharge, par la douce chaleur du foutre, qui luy onctua le
gros boyau. Ma Marchande ťtait la plŁs maltraitťe par
Towtenwit. Elle avait le trou-du-cýl aussi ťtroit, qu'elle
avait le Con large: le Vit enorme la pourfendait. Elle jurait
entre ses dents. Enfin la decharge l'abreuva, et elle fut
soulagťe.
"Les 3 Vieillards en avaient autant qu'il leur en falait. Guae
vint les faire retirer, de-sorte qu'ils ne se rencontrassent
pas... On ťtuva les 3 cons ťt les 3 cýls: On fit les lÓts, On
changea les draps, recoucha la triple Mariťe, ťt Guae
introduisit les trois nouveaux Acteurs.
"Il ala chercher Wiwitencoff, que je mis dans les bras ťt sur
le ventre de ma Soeur. Un peu agguerrie, elle caresse
tendrement le Monstre, qui l'enconna, le vit introduit par
Guae, qui profita de l'occasion, pour patiner ma Soeur, ťt la
chatouiller. Ce qui fit tellement tressaillir la pauvre
Petite, que son Fouteur s'ecria, croyant parler ŗ moi: "H‚!
que tu es putain"!... Voyant Guae acharnť sur ma Soeur,
j'Óntroduisais les deux Autres. Je donnais Perceawant ŗ la
Religieuse, ťt j'eŁs soin qu'il eŻt son bourrelet. "Voilŗ une
main biťn douce qui me touche", dit-il en voulant saisir la
miťnne); mais j'ťchappai. "Remue du cýl, Bougresse, (disait-il
ŗ sa Monture); je te tiťns, je suis dans ton con; ainsi tu ne
saurais m'ťchaper. Je ne suis pas ton Mary; j'ai payť pour
coucher avec toy, ťt te depuceler; ainsi tu es ma Putain.
Fous, Garse, ťt remue du cul; j'ai payť pour Áa".... Guae
l'entendit. Il vint ŗ luy, le saisit ŗ l'ťtouffer. "Tu manques
ŗ nos conventions! (luy džt-il); je ne les tiťndrai pas non-plŻs:
fous-moy le camp, MalhonnÍte-homme! "Ouy; mais quand je
l'aurai enculťe". Et il encula la Carmelite, malgrť les coups
de poing dont Guae le gourmait. La Religieuse, poussait dťs
cris horribles... J'ťtais aupres de ma Marchande, que
j'accouplais avec le gros Witerwel. Il ne devait qu'enculer:
mais la chaude Coquine se dirigea elle-mÍme le vit dans le
con. "Tu n'es donc pas pucelle, Garse, crut-il me dire, que tu
connais si biťn la route des vits?... Alons, fous, Putain, ťt
comme il faut! j'ay payť ton Maquereau de Mary"! Comme elle
ripostait biťn, il alait disant: "HŰ! elle est putain! elle
est putain! j'ay le reste des autres"! Et tout en dechargeant,
il la pinÁa, la souffleta. Elle se recria! "En bouche, sacree
Putain? (dit-il en deconnant); ťt tu avaleras mon foutre; sans
quoy je t'assomme"! Guae, qui venait de laisser enculer la
Carmelite, ťt de chasser son brutal Fouteur, entendit le
grabuge; il accourut, apostropha le sale Bougre d'un violent
coup de poing, en luy disant: "Lave-toy donc au-moins, sacrť
M‚tin, avant de l'emboucher! Je ne l'embouche jamais que je ne
me sois lavť le vit ŗ l'eau-rose, ťt que je ne l'aye ensuite
trempť dans du lait. Execrable Bougre! vray Desades, tu veux
luy faire soulever le coeur?... Mais tu as manquť aux
conditions; tu ne merites plus de l'avoir. "Voila cent
louys... "Ils seront pour elle. Lave-toy... Voilŗ de
l'eau-rose... Voicy du lait..... Alons, souffre, m'Amie: Voilŗ tes
cent louys". Le vieux ReÓtre, cru Un beau Jeunehomme,
emhoucha, encula, entetonna tant qu'il voulut. "H‚ que tu es
putain, sacrťe Chiťnne"! (repetait-il).... Guae se mourait
d'envie de luy montrer qu'il ne m'avait pas eŁe. En le mettant
ŗ ta porte, il me fit trouver sur son passage toute-habillťe.
Ce fut comme une vision; car je m'enfuis. "H‚ je suis fait!
(s'ecria le Monstre): le Scelerat m'a donnť une Putain, aulieu
de sa Femme"!... Et il jura, sacra.... Quant ŗ moy, pendant
ces scŤnes, j'assistais ŗ la fouterie de ma jeune Soeur. La
pauvre Petite fut enconnťe, embouchťe, enculťe comme les
Autres, par son AdorŤ Witwitencoff de-la-CowillardiŤre, qui
ala jusqu'ŗ extinction de forces. Il m'adorait. Ce qui le tua,
c'est que, lorsqu'i se sentait ťpuisť, il se fesait sucer le
vit bien appropriť ŗ l'eau-chaude, et baiser les couilles par
sa jolie Monture. Il luy mettait encore couilles Ťt vit sur le
cýl ou les tetons: Puis il se fesait donner au gland un suÁon.
Il bandait alors, ťt enculait. Au derniťr culetage, il eŁt un
priapisme, et crut ne faire que bander. Il fourgonna dans le
cýl de ma Soeur jusqu'ŗ ce qu'il s'ťvanouÓt. J'appelai Guae,
qui la decula, en enlevant son Enculeur. On le porta ťvanoni
dans sa voiture. Arrivť chťz Luy, des cordiaux, que demanda
Guae, ranimŤrent le vieuu Libertin: "H‚! (s'ťcria-t-il), je
vis encore! je voulais mourir dans son cýl!.... je bande
encore... Qu'On me La rende... que je L'enfile... ťt.. que...
j'expire.".... Et il expira......
["H‚! la belle mort! (s'ťcria Tražtdamour ťt toute la
Compagnie en dit autant)... Mad. Guae acheva.
"Voilŗ comme s'est passťe la nuit de mon mariage. Gnae, ŗ son
retour, ťtait furieux de Luxure: Il voulait toutes nous
enculer, puis nous emboucher. On s'arrangea: Il m'emboucha;
encula ma Soeur ťt ma Cousine, enconna ma Marchande, qui en fut
estropiťe pour un mois, ťt L'engrossa, deux choses qui
L'empÍchŤrent d'Ítre achetťe par Fysitťre. Pour Guae, je suis
sa MaÓtresse, ťt son gros Vit me fortifie par son foutre qui
me nourrit. Je serai enconnťe par Luy, de convention faite
avec FysitŤre, apres mon douziŤme Enfant.
XXXVIII Chapitre.
Chap. De la Conclusion de l'Histoire des 3 Garses.
"Persone ne sait comment l'Homme-caud decouvrit que Guae avait
vendu la premiŤre nuit de ses noces. Il arriva furieux. Il me
demanda. J'ťtais au Lit. Ce fut la reponse de Guae. "Je le
crois! (repondit FysitŤre), ťt Un Homme est mort d'ťpuisement
dans ses bras. "Elle a vaquť toute la nuit: mais c'est pour
autre chose: Sa Cousine la Religieuse ayant ťtť un-peu
courtisťe dans le jour, ses vapeurs hysteriques l'ont reprise
la nuit, par un rÍve, oý elle croyait Ítre foutue. J'ai ťtť
appelť. N'ayant pu l'enconner, je l'ai enculťe. "Je me fous de
son cýl: Mais si Tu l'avait enconnťe. "Quant ŗ ma Femme. elle
dort; ťt vous pouvťz voir ŗ la fraÓcheur de son con ťt de son
cýl, que je ne luy ai pas touchť. "Voyons dabord la Carmelite?
"Elle dort aussi". Ils y alŤrent. Guae la decouvrit, sans
l'ťveiller. Elle etait couchťe sur le cŰtť, ne pouvant se
tenir sur le dos, ŗ-cause de son cýl, qui luy fesait mal. Elle
l'avait en marmelade. "Comme Tu les accomodes!... Et le
con?.... Il n'Íst pas si maltraitť... "Je l'ai un-peu fatiguťe
par mes inutiles efforts; ťt-puis elle s'Íst branlťe. "Voyons
la Mariťe"?... Ils vinrent ŗ Moy. On sait que je me repucelais
par le bain, ťt un-peu de repos. Mon con ťt mon cýl furent
trouvťs si appÍtissans, si jolis, que FysitŤre les baisa
tous-deux. Puis Il signifia au cupide Guae qu'il avait un logement
cloÓtrť, pour nous sequestrer, pendant tout le temps que nous
Luy ferions des Enfans, Moy, ma Soeur, ťt ma Cousine. Il ne vit
Doucette qu'habillťe! ťt elle l'enchanta. Il nous emmena
toutes-trois, en disant, que jusqu'ŗ notre grossesse biťn
declarťe, On ne nous verrait qu'ŗ un parloir.
"FysitŤre Íst extrÍmement riche. Il donne 20-mille francs par
an ŗ Guae pour Moy, 40-mille ŗ mon PŤre pour ma Soeur ťt ma
Cousine. Le soir, aprÍs un excellent soupťr, il nous fit
coucher Toutes-trois ensemble dans un large Lit, oý il se mit
avec nous. Il me foutit dabord. Puis ma Soeur. Ensuite la
Carmelite, qui le fut deux-fois sans deconner. Il me repržt.
Puis ma Soeur. Bref, nous fumes ainsi foutues 8-fois chaqu'une
dans la nuit. Ce qui fesait les 24 de FysitŤre. Quand il en
foutait Une, les deux Autres luy chatouillaient, Une la queŻe
du cýl, la Seconde les couilles.
"Nous devinmes grosses Toutes-trois ŗ-la-fois. Alors il nous
declara, qu'il ne nous le mettrait plus qu'aprÍs nos coŻches
ťt l'alaitement. Il vint icy. Il vous vit, Madame; il vous
foutit. Il ťpousa votre Fille-AÓnťe, enconna les 5 Autres,
fourbit vos deux NiŤces, ramona la B‚tarde de votre Mary,
viola vos 2 ChambriŤres, Ít vous engrossa Toutes. Durant ce
temps-lŗ, nous accouch‚mes, nous alait‚mes, nous nous
trouv‚mes libres, ťt il nous refout. T‚chťz d'Ítre libres
aussi, quand nous serons prises afin qu'Il nous refoute
alternativement.
"Telle Ťst notre Histoire: vožlŗ ce que nous savons sur
l'Homme ŗ-queŻe. J'ajoŻterai seulement, que dans le temps oý
M. FysitŤre ne nous l'a plus mis, nous ŗyant des desirs, nous
avons eŁ recours ŗ mon PŤre, ŗ mon Oncle, ŗ Guae, au
Procureur, ťt ŗ mon premiťr Galant, qui nous ont fourbies,
Guae en bouche, les Autres en con. Cependant nous avons Toutes
voulu avoir Guae, ŗ la premiŤre douleur pour l'accouchement;
son Vit, gros comme l'Enfant, frayait le passage, ťt son
foutre l'onctuažt.
"AprŤs nos coŻches, nous avons priť mon PŤre de nous choisir
de jolis petits Garsons non pubŤres, mais bandans roide, pour
nous ramoner le con: ces Enfans, dont les petits vŪts huilťs
entraient calotťs, ne dechargeaient pas, ťt cependant
farfouillaient agreablement dans le connŰt".
Les 12 BELLES furent trŤs-excitťes par ce Recit, ťt QUELQUES-UNES
alŤrent surlechamp ťt successivement se faire ramoner par
FysitŤre, qui fut trťs-ťtonnť de cette boutade! Il se servit
de ses 2 QueŻes, en expediant ainsi 2 ŗ-la-fois, Une dessous,
Une dessus.
Cette bourasque appaisťe, FysitŤre revint ŗ ses Us ťt
coutŻmes. Mais biťntŰt ses 3 Coucheuses parurent enceintes. Il
les pria, ainsi que Mad. Linars, de luy en procurer 3 ou 4
Autres, pour luy faire des Enfans, en attendant leur libertť?
Mad. Guae seule en procura 3, Une Tetonnette, son Amie d'ťtant
fille, ťt deux Soeurs, Biťnouverte, grande blonde, avec
Dardenbauche, aimable ťt vive brunette, trÍs-caressante,
dechargeant comme quatre. Tetonnette ťtait Une de ces Brunes ŗ
peau blanche, qui ont toujours Une si belle gorge. FysitŤre
assura les 12-cents fr. de rentes ŗ ces 3 Filles, se chargea
de leur ample entretiťn durant tout le temps de leur
feconditť, les fit coucher au grand Lit, ťt les depucela 8
fois chaqu'une la premiŤre nuit. Il commenÁa pŗr Dardenbouche,
lŗ plŁs jeune. Elle ťtŗit si amoureuse, biťn-que pucelle,
qu'elle ripostŗ, dŤs le premiťr coup de vit. Elle soutint les
8 Assauts de-suite avec Un courŗge hťroÔque... FysitŤre prit
ensuite Biťnouverte. Elle fut plŁs modťrťe. Elle criŗ,
quoique-peu ťtroite; pŗrceque ne dechŗrgeŗnt pŗs dŗbord, Elle
ne s'humectait que fŗiblement le Conin. Elle ťtŗit pucelle
neanmoins. Malgrť sŗ langueur, elle fut foutue 8 fois, comme
DardenbÚuche; FysitŤre aurŗit eŁ peur d'en mortifier Une... Il
prit ensuite la belle Tetonnette. Il l'enfilŗ plŁs
difficilement que Biťnouverte: mŗis elle remuŗ si
delicieusement du cýl, ses tetons ťtŗient si appÍtissans, Elle
avŗit le connin si ťtrait, qu'Elle donnŗ autant de plŗisir que
Dardenbouche....
AprÍs les 24 Assauts, FisitŤre lŗissŗ dormir. Le lendemain-mŗtin,
3 Valets-de-chŗmbre entrŤrent, pour lui demŗnder ses
ordres? Il s'ťveillŗ; mŗis il feignit de dormir, lŗ bouche sur
lŗ gorge de Tetonnette, ťt une mŗin sur les Tetons de
chŗqu'une des 2 Autres. "Voilŗ Un Bougre biťnheureux! (dit Un
des Vŗlets). "Oui"! (repondit Un-Autre). Et ils se mirent
Tous-trois ŗ se brŗnler. Alors FYSITERE feignŗnt de
s'ťveiller, leur dit: "Je vous ai entendus, Jean-foutres: Vous
ne les enconnerťz pŗs; je veux qu'elles ne soient grosses que
de Moy: mŗis tournez-les sur le ventre, et m'en enculťz Une
chaqu'un". Il n'avŗit pŗs achevť, que les 3 Belles poussŤrent
un cri simultŗnť, causť pŗr les 3 vits, qui leur entrŗient
dŗns le cýl. FYSITERE les exhorta ŗ lŗ pŗtience, pŗr l'idťe
d'une bonne oeUVRE; il les assurŗ que ces 2 Hommes alŗient
dechŗrger pŗr tŤrre. Elles se rendirent ŗ cette Rŗison, ťt
cýletŤrent ŗ QuÓ mieux mieux.
Explicit L'HOMME-A-QUEUE.
A cette longue Histoire, Tous & Toutes se recriŤrent: -- Nous
ne sommes que de la Saint- Jean, auprÍs de ces Fouteurs & de
ces Fouteuses-lŗ! Que ne sommes-nous ŗ demain-! -- N'alťz pas
vous branler, Bougres! (leur dis-je). -- Nous nous en garderons
biťn! notre foutre n'est pas ŗ nous; il est ŗ nos Belles. Qui
ťtait ťtonnť de nous entendre parler ainsi devant ma Fille,
c'ťtaient Brideconnin & sa Femme... Mais ils en verront biťn
d'autres.
SUJETS DES ESTAMPES.
I. Cupidonet, & Jenovefette.
L'Adolescente ŗ quatre, troussťe, ťt le jeune Cupidonnet
ŗ-genoux, la couvrant cynÓquement, t‚chant de l'enfiler. Elle se
cambre les reins, pour Ítre atteinte: "Hausse, hausse le cul".
p. 5
II. Cupidonnet, & le Con soyeux.
Cupidonnet sur MadelŤne, ‚gee de dŪx-sept ans, dont il lŤche
le con poilu: Elle est sur le dos, les jambes ecartees, et se
prÍte en poussant sur la bouche de son jeune FrŤre, qui la
gamahuche. "Darde ta langue dedans, chŽr petit Ami". p. 9
III. La MŤre foutue.
Cupidonnet enconnnant une Femme de quarante ans, au lit, les
draps ŗ-terre: Il enconne pour la prťmiŤre-fois, et parait se
p‚mer. La Femme: "Jamŗis... jamais... vous ne m'avez donnť
tant de plŠisir". p. 12
IV. Cupidonnet, & la belle Marie.
Cupidonnet evanoui, le vit en l'air aprŤs avoir decharge dans
le con de sa Soeur la belle, mariťe ŗ Paris, & parťe, un-jour
de Vierge, Marie detetonnťe, & con & cul visibles. Elle dit:
"H‚.. Grand-Dieu.. c'est Cupidonnet." p. 16
V. Cupidonnnet, & l'OrlogŤre.
Cupidonnet au lit, sans couvertures ni draps, foutant la belle
O logŤre, ŗ laquelle son Mari, couchť de l'autre cŰte d'elle,
dit: "Courage, ma Femme.. hausse le cul". p. 20
VI. Cupidonnet, avec sa Femme le cul decouvert. 20
Il est appele par sa Femme debout, mais courbťe sur un lit,
troussee audessus des reins, & montrant le plýs beau cul: Il
court ŗ elle, le vit bandant. "Si j'ai la verole (pense-t-elle),
fous-moi en cul".
VII. Cupidonnet, & Conquette.
Cupidonnet gamahuchant Conquette la nuit, sa lampe sur un
garde-sel: Elle est ŗ-dťcouvert, & se tremousse toute
endormie, quand elle sent la langue entre les lŤvres de son
conin ŗ poil naissant. "H‚.. h‚.. h‚.. Áa m'chatouille". p. 25
VIII. Conquette, et Cupidonnet.
Conquette qui vient d'Ítre gamahuchťe, & que Cupidonnet le vit
bandant, t‚che d'enconner. p. 30 "H‚! ce joli gamahuchage,
tant que vous voudriez".
IX. Cupidonnet, et Victoire.
Cupidonnet tenant Victoire troussťe jusqu'aux dessus du genou,
& se fesant empoigner le vit, qu'elle ne voit pas: "Mignone..
serre moi le doigt, fort... fort". p. 32
X. Conquette, Culant, Vitnegre.
Conqette assise devant le feu, entre VitnŤgre & Culant
deculotťs, bandans; Elle troussťe: p. 36 "Alons, Bougresse.
branle-nous Tous-deux".
XI. Cupidonnet, Conqette, VitnŤgre, le Moine.
Cupidonnet dans un cabinet obscur, voyant VitnŤgre le vit ŗ
l'air, montrant ŗ nu les appas de sa Femme: Un Moine debout
dans le cabinet, vu par le PŤre de Conquette, cachť derriŤre
un Sofa, & qui n'est pas vu. Le Moine tenant en main son vit
monstrueux, regarde la scŤne: "Troussee, Putain, audessus des
reins". p. 39
XII. Cupidonnet, et Conquette en levrette.
Conquette le ventre appuyť sur le piťd d'un lit: Cupidonnet
l'a troussťe audessus des reins; elle cambre la t‚ille, & il
l'enfile en levrette. "Remue du Croupion... mon Ange". p. 44
XIII. Conquette, VitnŤgre, un Payeur.
VitnŤgre debout ŗ-cŰtť du lit, cachť par un rideau, tandis
qu'Un-autre le remplace sur sa Femme. Le Mari dit ŗ Celle-ci:
"Decharges-tu"? p. 48
XIV. Cupidonet, Conquette, VitnŤgre, le Jeunehomme.
Cupidonnet cachť: VitnŤgre une lumiŤre en mains trouvant le
Jeunehomme sur sa Femme troussťe: "He-bien, est-elle
enconnťe". (dit-il). p. 53
XV. Le Fouteur ŗ la Justine.
Le Moine Foutŗmort, ayant mis Conillette nue, expirťe &
dechirťe sur une table, lui cerne les Tetons avec un bistouri,
&c: "Decharnons-la." p. 56
XVI. Cupidonnet, Conqette, TimorŪ.
Cupidonet cachť dans le sofa, avanÁant la tÍte, pendant que
Conquette gamahauchee par Timori, lŤve les jambes en l'air, &
fait claquer ses talons: "H‚.. Timori.. ta langue vaut un
vit". p. 62
XVII. Conquette enculťe.
Cupidonet sous un Sofa: Timorž enculant Conquettte, courbťe,
dont le cul est bien perfore: L'Enculeur s'ecrie: "Quel cul?
quel plaisir des Dieux". p. 63
XVIII. Conquette s'enconnant du Vit paternel. 67
Cupidonnet au lit avec Conquette, deux flambeaux sur la
Table-de-nuit: Il est sur le cŰtť, le vit biťn bandant: Il dit ŗ sa
Fille nue, cherchant ŗ s'enfiler: "Appuie lentement, ma
Reine".
XIX. Montencon, Cupidonnet, Hochepine, VitsuÁete.
Montencon embouchant Adelaide Hochepine en presence de
Cupidonnet & et de Vit suÁŤte. "J'embouche la jolie Garse". p.
70
XX. Cupidonnet, Conquette, Montencou.
Cupidonnet sortant du con de Conquette: Montencon le vit en
main, alant se mettre sur elle dont le con & les cuisses sont
bien ŗ-decouvert. "A toi, Bougre". p. 7
XXI. Les Moines verolťs.
Tous les lits sont couverts de robes monacales: VitnŤgre assis
auprŤs du lit de Foutŗmort, qui lui montre un tableau,
reprťsentant une Femme ŗ laquelle il viťnt de ne faire qu'un
trou du cul & de la mote, & dont il cerne les Tetons: "Je me
suis fait accommoder son con". p. 81
XXII. Le Sommeil enconnť.
Cupidonnet encormi, le vit dans le con de Conquette, qui dort
ťgalement encounťe. En commenÁant ŗ s'ťveiller, elle dit: "H‚!
Mon dieu! c'est mon Papa, qui me..." p. 83
XXIII. Cupidonet, Conquette.
Cupidonet devant Conquette assise, en court jupon, les tetons
decouverts: Il vient de se mettre le vit ŗ l'air: Elle joue
avec sa mule mignone, qu'elle fait badiner avec le bout de son
piťd: "Je veux te griller". p. 88
XXIV. Conquette, Cupidonnet, Centlouis.
Centlouis prenant les tetons & le con de Conquette, en
prťsence de Cupidonet, auquel il dit de serrer les cinquante
louis. p. 91 "Ce con satinť, ces tetons touchťs les valent".
XXV. Conquet:, Cupidonnet, Traitdamour. p. 95
Conquette renversťe, troussťe audessus du nombril, & ŗ
laquelle Cupidonnet prťsente Tražtamour, qui tient ŗ la main &
montre son gros & superbe vit. Conquette avanÁant sa main,
pour prendre le vit: "C'est donc toi qui m'as fait tant de
mal... & de plaisir"...
XXVI. Cupidonnet, Conquette, Traitdamour, Minone, ConnŤte.
Cupidonnet foutant Conquette, qui lui darde sa langue:
Traitdamour tenant les tetons de sa Soeur, qui lŤche le trou du
cul du Fouteur; tandis que ConnŤte le suce dans la raie du
dos: "Quels delices!... Je suis rendu"... p. 100
XXVII. Minone, Connette, Cordŗhoyau, Brisemotte (1 grouppe).
108
ConnŤte chatouille les couilles de Cupidonet debout, tandis
que Cordŗboyau enconne Minone, que Brisemotte encule couchťe
sur le cŰtť. "C'est une Fouterie de Princesse...".
XXVIII. Cupidonnet, Conquette, Traitamour. 110 (2 grouppe):
Conquette sur Traitdamour, qui la tient enculťť sur lui!:
Cupidonnet dans le con de la Belle, ainsi limťe entre deux
feux: "Piquez... des deux: la Garse est enculťe"....
XXIX. La Danse Negre. 114
Cupidonnet habillť, mais le vit ŗ l'air, regardant la danse,
dans laquelle il pousse Conquette nue par les fesses.
Traitdamour danse avec Rosemauve, une nouvelle Actrice;
Cordaboyau avec Connette; Brisemote avec Minone; Tous six nus
de la tÍte aux piťds: Ils figurent les mouvemens voluptueux;
un Couple paraÓt prÍt d'enconner; Un-autre d'enculer; le
TroisiŤme, en se contournant, met les Tetons sous la bouche,
le vit sous la main, & montre le con qui l'appŤte. "Alons! Du
mouvement, Garses"?
XXX. La Piochťe, & ses Piocheurs. 117
La Piochťe sur le Foutoir; Piocheur-pŤre enculant Piocheur-fils;
Piochencul les excitant, & se fesant bander, ŗ l'aÓde de
la main & des Tetons de la Jeunefille. "Bougre... encule ton
petit Garson".
XXXI. Piochette. 119
Le vieux Piochencul patinant les Tetins de Piochette, ‚gťe de
14 ans, & fille du FrŤre & de la Soeur, pendant que ces 2
Individus sont enconťs, & que le vieux Piocheur grand-pŤre
encule son Fils. "Tu me depuceleras ta Fille, dŤs que ton
Grand-pŤre t'aura deculť".
XXXII. Les Gourmets de Con. 123
Conquette enconnťe par Cordaboyau, seulement comme Gourmet du
satinť de son con, est enlevť de sur elle, prÍt ŗ decharger,
par Traitdamour & Brisemote, le vit bandant et decalotť, pour
le plonger tout-brandi dans le Con de Rosemauve, ťtendue sur
un Foutoir haussant du cul: "Le Sacrťbougre alait partir"....
XXXIII. HonnÍte Entretiťn du Pere et de la Fille.
Cupidonnet prenant le con de sa Fille d'une main, les Tetons
de l'autre: Elle dÓt: 133 "Mon Dieu: je vous remercie d'un si
bon PŤre".
XXXIV. L'Homme enfilant deux cons d'une volte.
L'Homme-ŗ-queŻe foutant Sophie-Linars de son vit, tandis que
Geoline s'enconne avec la queŻe velue qu'il a au croupion.
Celle-ci dit: 141 "Et moi, je vais me servir de cette queŻe
raide".
XXXV. La Fouteuse insatiŗble. 157
La belle AgnŤs, livrŤe par son PŤre, enfilŤe par le jeune
Procureur, qui se loue de ses delicieux mouvemens: Elle
s'Ťcrie, en dechargeant: "H‚... mon ‚me va sortir... par le
trou qu'il me fait".
XXXVI. Indicibles Fouteries! 175
AgnŤs, aprŤs souper, ayant un corpset refluant, cachŤe
derriŤre un rideau de fenÍtre, desorte que l'Homme-ŗ-queŁe
seul, qui lui prend le con, ne voit pas son visage: Elle tient
d'une-main le vit de son PŤre; de l'autre, elle retient ŗ
l'entrŤe de sa bouche, & presse de ses lÍvres, le Gros Membre
de Guae qui decharge, & lui lance le Fontre au fond du gosier.
FysitŤre leur dit: "Il faut dabord que je foute
habillŤe.......".
XXXVII. Les Six Fouteurs des Trois Foutues.
AgnŤs, Doucette, la Carmelite, & la Marchande-de-modes
maÓtresse d'AgnÍs-ConveloutŤ. La 1re en deshabiller de gaze
transparente, avec le chapeau de MariŤe; les 3 autres nues,
sont instruites par AgnÍs, [] Coupure. Six Vieillards, le Vit
en main, nus, endoctrinŤs separement par Guae, nu assi, ‚
l'entrťe d'une autre piŤce, oý il les attire les Uns aprÍs les
Autres.... Le premier est Un grand, maigre, dont le nez touche
au menton; vit ordinaire. Le second, gros, trŤs-ventru; le nez
comme une grosse betterave (le vit long. Le troisiŤme monte
sur de longues jambes sŤches; ayanr un pain-de sucre sur les
Ťpaules; le Vit gros comme celui de l'Homme-a-queŻe aumoins.
Le quatriŤme aussi large que haut, a le vit de l'Oncle
d'AgnÍs. Le cinquiŤme a la tÍte monstrueuse, le ventre comme
un tonnneau, le Vit comme celui de Guae. Le sixiŤme est grand,
voŻtť, bancroche; ayant un bourelet ŗ son long Vit. Quant au
laid Guae, On voit son Vit, gros comme Un Timon de carrosse
soulever sa chemise... "Chaqu'un des 6 monstres crut qu'il
alait avoir le Plaisir d'Ítre mon Bourreau". 183
XXXVIII. FysitŤre au grand lit avec ses 3 Fouteuses.
Elles sont nues: FysitŤre nu enconne Doucette; AgnŤs lui
chatouille les couilles; la Carmelite lui branle le queŻe
velue, dont elle se dispose ŗ s'enfiler. Le mot est pris de
l'Histoire par AgnÍs "Nous fumes ainsi foutues 8 fois
chaqu'une dans la nuit; ce qui fesait les 24, ordinaire de
FysitŤre" p. 192
Table des Chapitres
La Prťface. 3
I. Chapitre De l'Enfant qui bande. 5
II. Chap. Du Con soyeux. 8
III. Chap. De la MŤre foutue! 11
IV. Chap. D'un autre Beaufrťre Cocu. 14
V. Chap. Du bon Mari spartiate. 18
VI. Chap. De l'Epouse qui se fait enculer. 20
VII. Chap. Du Conin au Poil-Follet. 25
VIII. Chap. Des Conditions de mariage. 28
IX. Chap. Des Dedommagemens. 31
X. Chap. De l'infame Mari. 33
XI. Chap. Pucelage destinť aux gros Vits, pris par un petit.
39
XII. Chap. Du plus delicieux des Incestes. 41
XIII. Chap. Du Con & du Cul vendus. 46
XIV. Chap. Le Jeunehomme, la Fille, le Moine. 51
XV. Chap. Du Fouteur ŗ la Justine. 54
XV.I Chap. Foutoir: Petit Magasin: Enterrement: Amour. 58
XVII. Chap. Du Pucelage du Cul: Le PŤre enconneur. 63
XVIII. Chap. Des Avis paternels, tenant sa Fille enconnťe. 67
XIX. Chap. Du PŤre juste, & du Vit grisonnant. 70
XX. Chap. Du, H‚, comme elle fut foutue! 74
XXI. Chap. Du Ressouvenir, & De l'Episode. 80
XXII. Chap. De la Fouteuse mise en appÍtit. 83
XXIII. Chap. De la Tendresse Filiale: & de l'Amour Paternel.
86
XXIV. Chap. Du Chefd'oeuvre de Tendresse-paternelle. 91
XXV. Chap. Du bon Pere qui fait foutre sa fille. 93
XXVI. Chap. d'AVIS trÍs-utile au Lecteur, & ŗ l'Auteur. 98
XXVII. Chap. Du commencement des grandes Fouteries. 101
XXVIII. Chap. De l'Enculo-connillerie. 106
XXIX. Chap. D'une nouvelle Actrice: Danse NÍgre. 112
XXX. Chap. Le Piochť, la Piochťe, le Piochard. 116
XXXI. Chap. Suite des MÍmes, Piochette. 119
XXXII. Chap. Du Conin goŻtť. 122
XXXIII. Chap. La Fouteuse sensťe. 130
XXXIV. Histoire de l'Homme-‚-QueŻe. 134
XXXV. Chap. de la Garse insatiable. 144
XXXVI. Chap. Des Fouteries de la Conveloutť, &c. 174
XXXVII. Chap. Des six Fouteurs pour trois Foutues. 185
XXXVIII. Chap. Conclusinn de l'Histoire des trois Foutues. 191
XXXIX. Chap. Du Fauteuil. 207
Fin de la Table de la I Partie.
EPILOGUE de la Ire PARTIE.
JaÓ lůngtemps hťsitť, si je publierais cet Ouvrage posthķme du
trop fameux Avocat LingŁŽt. Tout considerť, le c‚sement deja
commencť, j'ai resolķ de ne tirer que quelques Exemplaires,
pour mettre deux ou trÚis AmÓs ťclaÓrťs, et autant de Femmes
d'esprÓt, ŗ-portťe de juger sainement de son effet, et s'il ne
fera pas autant de mal que l'oeuvre infernale ŗ laquelle On
veut le faire servžr de contre-pÚison? Je ne suis pas assťz
depouroķ de sens, pour ne pas sentir que l'ANTI-JUSTINE est Un
pÚÓson: mŗÓs ce n'est pas lŗ ce dont il s'agÓt. Serŗ-ce le
cŰntre-pÚÓson de la fatale JUSTINE? Voilŗ ce que je veux
consulter, ŗ des Hommes, ŗ des Femmes desinteressťs, quž
jugeront de l'effet que le Livre imprimť prodķÓra sķr eux et
sķr elles. L'Auteýr a prťtendķ ťlůÓgner de la crŁaķtť, de la
sÚÓf dķ sŗng et de la mort de la Femme pÚssedťes: A-t-il
reŁssi? Il a prťtendķ ranimer les MarÓs bl‚sťs, pour les faire
joŁÔr de leurs Femmes avec goŻt, ŗ l'aÓde de la lecture d'ķn
demi-ChapÓtre de son Ouvrage: A-t-il atteint ce být? C'est ce
qu'On decidera.
On a vŻ, par la Table seule, combiťn cet Ouvrage est sŠlŗce!
m‚Ós il le falŗžt pour produÓre l'effet attendŻ. JŁgťx-le, mes
AmÓs, et crŗÓgnťz de m'indŁÔre ťn erreur!
L'ANTI-JUSTINE aurŗ VII ou VIII PartÓes comme celle-cy.
FIN de la I. Partie.
L'ANTI-JUSTINE,
OU
LES DELICES DE L'AMOUR.
Par M. LINGUET, Av. au et en Parlem.
Avec Figures.
[Seconde Partie.]
AU PALAIS-ROYAL
Chez feue la Veuve GIROUARD, trŤs-connu
1798.
Je suis parvenu au IId Volume de cet Ouvrage, destinť ŗ
ranimer les Maris blasťs, auxquels leurs Femmes n'inspirent
plus riťn: Tel est le but des nequices de cet excellente
Production! que le nom de LingŁet rendra immortelle.
L'ANTI-JUSTINE.
XXXIX Chapitre.
Chap. Du Fauteuil.
Le Dimanche arrivť, il y eķt un joli dÓnťr, qui fut servi dans
mon Magasin. J'y avais fait mettre, oŻtre le LÓt & le vÓeux
sofa, un 3me Foutoir commode, que j'avais trouvť par-hazard
chťz un Serruriťr de la ruŽ de-la-Parcheminerie, qui l'avait
achetť pour le fťr & l'aciťr seulemt, ŗ l'inventaire de
certain Duc. J'en fis l'histoire ŗ ma Sociťtť:
"Ce Fauteuil, ou Foutoir, se monte. Le Serruriťr le monta
un-jour, pour en voir le mecanisme. Il alait s'y asseoir, au 1er.
La jeune Femme trŤ-potelťe de son vÓeux Voisin Aupetit le
Perruquiťr arriva. La jolie Voisine essoufflťe, se jeta sur le
diable de Fauteuil. AussitŰt elle fut saisie par les bras. Un
ressort la troussa, & un-autre lui ťcarta les cuissee.
Un-autre lui fit faire beau con; un troisiŤme la fit osciller. --
Hť! qu'est-ce donc que ce machin-lŗ? s'ťcriait-elle. -- Ma
bonne-foi si je le savais! repondit le Serruriťr: j'aŪ montť
la Machine pour la connaÓtre; maÓs je voÓs que c'est celle
avec laquelle le Duc de-Fronsac essayait les Filles
recalcitrantes, que des Parens maladroits lui avaient vendues.
Si vous voulťz, ma Voisine, je vais vous essŠyer? -- Alons
donc! Est-ce qu'On viole jamais Une Femme malgrť elle? Je
mordraÓs-... L'Homme-de-forge se deculote; se met sur elle. La
Traquenardťe veut le mordre. Un ressort assťz doux lui fait
ouvrir la bouche, & en l'angoissant un-peu, la force ŗ darder
sa langue. Le SuppŰt de Vulcain profite de tout-cela, & enfile
la PerruquiŤre, qui ne put l'empÍcher, ni mÍme crier...
L'operation faite, la machine se trouva aubout de ses
rouleaux, & Mad. Aupetit ne fut plus contenue. C'est alors
qu'elle se mit ŗ pleurasser, ŗ criasser, comme si elle avait
ťtť au-desespoir. -- Grand'bÍte! (lui dit le Cyclope), je vous
aŪ trop biťn operťe, pour que vous ne deveniťz pas grosse:
vous aurťz un Enfant, que votre vÓeux Jeanfoutre ne vous
aurait jamaÓs fait. MaÓs il faut un-peu de ruse: DÍs
aujourdhui dites-lui que vous achevťz une neuvaine ŗ St
Juliťn, qu'il vous travaille Á'te nuÓt, & que le Saint benÓra
ses travaux. Remuťz du cul, quand il vous le mettra; dites-lui
des foutŤses, & s'il dechargeote un-peu, p‚mťz-vous, en disant
qu'il vous inonde-. Mad. Aupetit s'en-ala munie de ces
instructions, qu'elle mit en pratique. Le Fauteuil me fut
prÍtť le lendemain.
Le Cyclope m'Šyant vu passer, m'appela, me montra la Machine,
me la vanta, & me mit au-fait de son usage. Elle me fut donnťe
ŗ-l'essaž, & je la destinaŪ aux Begueules, s'il nous en venait
ŗ nos Orgyes. Je remis ŗ monter la machine, quand il seraÓt
ŗ-propos, afin de ne pas en ťventer le secret. Nous nous y
assimes trois en dÓnant, Mad. Poilsoyeux, une jolie ChapeliŤre
de la ruŽ Bordet ou Bordel, amenťe par Tražtdamour, & nommťe
Tendrelys; j'ťtais au-milieu. In petto je reservais le
Fauteuil montť ŗ la jolie Tendrelys, encore pucelle, quoique
Tražtdamour lui eŻt quelquefois dechargť entre cuisses; ou, si
la ChapeliŤre ťtait docile, ŗ Rosemauve, ou ŗ sa Soeur Rosalbe
la blonde, ou enfin ŗ notre HŰtesse Mad. Brideconin, que je
voulais mettre de nos fÍtes, ainsi que son Mari, voulant le
faire cocu en sa prťsence.. Nous dÓnames biťn, mais sans trop
manger, ni trop boire. Nous avions dailleurs de la volaÓlle, &
toutes choses de facile digestion. On ne tardera pas ŗ voir
comment j'executerai tous mes projets.
XL Chapitre.
Chap. Des Cons Rasťs.
En sortant de table, Tražtdamour nous dit: -- Toute la semaine,
il m'a roulť dans la tÍte de rendre le connin de Mad.
Conquette-Ingenue-PÚilsůyeux ce qu'il doit Ítre; c'est-ŗ-dire,
PUCEL: car je suÓs sŻr que depuÓs huit jours qu'elle n'a
foutķ, il s'est retrťci en Diable!.. Brisemote, Cordaboyau,
vÓts implacables, troussťz-moi Minone & ConŤte; il ne serait
pas seant qu'elles se troussassent elles-mÍmes-. On les
troussa jusqu'audessus du nombril. Pas un pÚil! Je les ai
rasťes ce matin (dit Tražtdamour, pour voir l'effet, avant de
proposer la mÍme chose ŗ notre Deesse. Vous voyťz comme elles
sont propres? Tout le corps l'est de-mÍme: Elles se sont
baignťes tous les jours, depuis qu'elles savent que la belle
Fouteuse met tous les jours son Con dans l'onde limpide, & y
plonge entiťr son corps appÍtissant. Elles m'ont assurť que,
lorsqu'elles ťtaient en chaleur, l'eau-fraÓche dans laquelle
trempaient leurs Cons brŻlans, leur donnait un plaÓsir presque
fouteýr... MaÓs vŰyťz-moi ces Cons-lŗ? Ne dirait-On pas des
connins de FillŤtes de 12 ŗ 13 ans? On en convint.
En-consequence, je priae ma Fille de se laisser raser la Mote.
Elle se cacha le visage dans mon sein. Tražtdamour aussitŰt la
renversa sur un FoutÚir, le Con au grand jour. -- C'est
pourtant domage! (dit-il eu le maniotant;; la perruque en est
superbe!... Je vais dabord employer les cÓseaux: Nous mettrons
ce pÚil sůyeux sous verre dans un c‚dre dorť: ce seront de
prťcieuses Reliques-. Il coupa. Ensuite il tira d'une jolÓe
boÓte une savonnŤte parfumťe, & savonna longtemps le Connin.
Comme cette operation excitait ConquŤte, elle me pria
d'appuyer mes lÍvres sur sa bouche. Elle me dardota sa langue,
pendant tout le temps qu'On fit la barbe ŗ son Con, &
lorsqu'il fut rasť, On le lui lava d'eau-rose; On lui sŤcha
les cuisses avec des linges doux, & Tendrelys mit le beau pŰil
de la depouille sous le verre-ŗ-c‚dre. Puis le Conin sans
barbe fut livrť ŗ l'admiration de l'Assemblťe. Tout le Monde,
surtout les Filles, jusqu'ŗ la modeste Tendrelys, qui, disait-elle,
n'ťtait venue que pour voir, & rougissait de tout, le
trouvaient si appÍtissant, qu'elles demandŤrent ŗ le baÓser, &
qu'elles se jetŤrent dessus. La jolÓe Chapeliťre cola ses
lÍvres vermeilles sur le Con rasť, & sa langue ala dans la
fente exciter la voluptť: Rosemauve, qui arrivait, vint sur
elle comme Une Enragťe, la debusqua, & gamahucha si vivemt la
Deesse, qu'elles ťmÓrent toutes-deux. Les Hommes ťurent leur
tour; ils sucŤrent le ConŰt dechargeant, & le firent decharger
encore.. Pour MÚi, j'admiraÓs, les deux mains plongťes dans
les TetÓns de Tendrelys, qui les avait charmans, & n'Űsait se
deffendre, -- H‚! quelle partie? me dit-elle. -- Tu ne vÚÓs
riťn! lui repondit Minone.
En-effet, Tražtdamour Šyant fait retirer les Gamahucheurs du
Con de Conquette-Ingenue, qu'ils ne quittaÓent pas, dit ŗ ses
Camarades: -- Imitťz-mÚi-? AussitŰt tous les vits en ťrection
furent ŗ l'aÓr. -- Alons! alons! au Con! au Con-! Tendrelys
baissait ses beaux ieux: maÓs Conquette Ťtendue sur le
FoutůÓr, la Mote legŤremt branlťe par Rosemauve, soulevait la
tÍte pour vÚÓr les vÓts. -- Laquelle enconnťz-vous, me dit mon
vigoureux Secretaire: Laquelle enconnťz-vous de la voluptieuse
Conquette, de moi, ou de la pucelle Tendrelys-? J'hťsitaÓs
pour ma reponse, lorsque tout-a-coup j'entendis ma Fille
s'ťcrier faiblemt: "Le vÓt! le vÓt"? Tražtdamour se prťcipita
sous elle, la prit sur son důs, me la prťsentant oscillante: --
Enconnťz, me dit-il, la Fouteuse fait beau con-... J'enfonÁae.
Je bandažs si rÚide, que je la fis crÓer en la perforant. MaÓs
elle foutit aussitŰt, en me disant: -- Bon... (haussant le
cýl), bon!... H‚! que tu bandes biťn!.... Fous... fou----
fourgonne... Fou---fourage, chŽr Pap.. je dech----a----a----
(Tražtdamour la secouait) arge-... Je dechargeaÓs aussi. Son
delicÓeux Connin me pinÁait. La Deesse m'enivrait. Tražtdamour
la fesait osciller, comme le Corax de PETRONE son MaÓtre
Eumolpe... Cependant Brisemote avait mis sur son dos Rosemauve
nue, que foutait Cordabůyau sans chemÓse: Les 2 petites
Enragťes MÓnone & Connette nues comme la maÓn, venaÓent de
mettre Tendrelys nue comme elles, & la tenaÓent entr'elles, se
frotant le cŰn sur ses cuisses d'alb‚tre, en lui chatouillant
l'Une la mÚte, l'Autre le trou du cýl: Elles dechargťrent
Toutes-trŰÓs avec les 2 FoutŻes: "Grand-Dieu! s'ťcÓa la jolÓe
ChapelÓťre, comme vous savťz Ítre heureux"!
XLI Chapitre.
Chap. Vit inatendu.
En ce moment, l'On entendit frapper des maÓns ŗ la porte.
(C'ťtait un signal que j'avaÓs donnť.) J'avaÓs deconnť; j'alaŪ
ouvrir. C'ťtait le Cyclope. Il ne devait pas entrer: maÓs il
me poussa Un Homme qui avait les Óeux bandťs & les maÓns lÓťes
derriŤre le dŰs. Il ťtait couvert d'un grand surtout de laine
blanche, sous lequel Ól ťtait nķ sans chemÓse. Je le prÓs par
le corps: je le poussaŪ vŽrs le FoutÚÓr ŗ Fronsac, sur lequel
Tražtdamour jeta sa Soeur; On le monta, & dÍs que l'Enfant fut
prÓse, On fit tomber sur elle, en lķi arrachant son
couvretout, l'Inconnu que je venaÓs d'intrŰdķire. Quand il fut
nķ, son grŰs VÓt ťpouvanta tout le Monde, & il se fit Un H‚!
universel. Conquette le reconnut, & p‚lit. (Observťz que Tous
pouvaÓent parler, exceptť Conquette & MŰi). Minone (la
Traquenardťe), fut la seule que ce VÓt, qui ne le cedait qu'ŗ
Foutamort, n'effrŠya pas. Elle le saisit courageusement, & lui
mit la tÍte entre les lÍvres de son CŰn, en lķi dÓsant: --
Pousse, Bougre-. Il estocada, comme un Beliťr de siťge. MaÓs
il ne penetrait pas. -- SoulŤve du cýl, Pķtain! lķi dit le
Brutal; je suÓs trop-haut-. Minone souleva. Le VÓt trouva
l'ouvertķre; & quŰÓqu'elle ne fŻt que la mŰÓtiť de qu'il lýi
falait, il la forÁa. Minone souffrait le martyre. La sueur &
les larmes sillonnaÓent ses joues. Enfin, le grůs VÓt, parvenķ
au fond, injecta son baume-de-vÓe, & adoucit, en les onctuant,
les parÚÓs dilacerťs: MÓnone qui venait de clamer de douleur,
s'exclama de plaÓsir: -- H‚h! h‚h!.. il m'inonde!... je fous...
je decharge... je me p‚me-! Et la jolÓe Petite remuait du cýl
comme Une Garse, foutue par Un Moine au bordel.
Nous ťtions dabord tous stupefaits d'admiration! PuÓs nous
bandames tous comme des Enragťs. BrÓsemote le mit en levrette
ŗ Rosemauve; Cordaboyau enfila Conette par-devant; Tražtdamour
consulta mes Óeux, en me designant Conquette ou Tendrelys: je
permis la Ire, ajoutant fort-bas: -- Il fout ta Soeur; fous-mÚi
sa Femme. -- C'est VÓtnŤgre-! Et Ól se jeta comme Un Fķrieux
sur l'Epouse du Jeanfoutre, si brutalemt enconnťe, qu'elle en
crÓa... MaÓs elle dechargea presqu'aussitŰt: ce qui changea sa
douleur en plaÓsir. "Toute Femme qui decharge comme Áa,
balbķcÓait Tražtdamour, en la fourgonnant, est bonne; il n'y a
que Celles qui ne dechargent jamaÓs, qui sont mechantes-.
Cependant VÓtnŤgre refoutait, sans deconner, & MÓnone
redechargeait: Rosemauve hennissait sous BrÓsemote; Conette
sous Cordaboyau; Tendrelys ťmue, appķyťe sur mon ťpaule, me
prťsentait sa jolÓe bouche, & Conquette martyrisťe par
Tražtdamour, pleurant, cýletant, ťmettant, crÓotant de doleur
& de volķptť, envÓait encore les tÚurmens de MÓnone. Son
Fouteýr me crÓa: -- Sacre-Dieu! pomadťz donc,... & depķcelťz-mÚÓ...
cette Garse de Tendrelys-? L'aÓmable Enfant me lanÁa Un
lŰng regard, en se mettant la maÓn devant le CÚn, comme pour
le deffendre. Nous avÓons-lŗ du beŻrre-fraÓs; j'onctķaŪ le
ConnÓn, renversae la VÓerge sur Un FoutÚÓr, malgrť ses tendre
prÓŤres, & mon vŪt pťnetra. -- AumoÓns, me dÓsait-elle, en le
sentant entrer, vous ne me lÓvrerťz pas au Bourreau de MÓnone,
nÓ ŗ ces au----tres-lŗ? ---- Remue du cýl, Bougresse! lķi crÓa
l'ÓmpitÚyable Tražtdamour. Est-ce comme Áa qu'On fout? Regarde
ma Belle, & ces... 3 autres ---- Garses?... Tiťns, ---- PutaÓn
---- pucelle, ---- nous de----char----geons! ---- La pauvre
Petite, ŗ cette exhortatÓon ťnergique, gigota sous mÚÓ comme
elle put. Je pťnetraÓs doucemt; je caressaÓs, dardotant la
langue, dÓsotant des tendresses... ---- Vous la menťz trůp
bellemt, s'ťcrÓa Tražtdamour, fouragťz cůmme můi, ou cůmme ce
CŰcķ, que voila sur le Fauteuil?... Tenťz? il mord les TetŰns
qu'il ne saurait patiner?.. Ne va pas lķÓ faire trop de mal,
Bougre! c'est ---- ma Soeur, & ---- je t'assommeraÓs.... Je de----
charge..... ---- H‚! qu'il me devŰre, s'ťcrÓa MÓnone; pourvŻ
qu'il ---- me foute!.... Je decha----arge-.... "Je fous..? je
dťcha----arge! s'ťcrÓa Rosemauve. ---- Je dech‚rge!... crÓa
Conette. ---- H‚hahah-! fit Conquette... Pour Tendrelys, dont
j'ateignaÓs le fond du Connin, elle dŪt: ---- Ze suÓs
depķcelťe! ze deÁarze!... Que džra Maman? ---- Elle ne le verra
pas, jolÓe Fouteuse: Le vit de mon MaÓtre conserve les
pķcelages (crÓa Traitdam.)
En ce moment, VÓtnŤgre deconna MÓnone trop fatiguťe. On lķi
pomada Rosemauve, que BrÓsemote deconnait (car les tourmens de
la courageuse MÓnoue avaÓent ťpouvantť toutes nos Bellles. Le
VÓt de Mulet l'enconna plŁs vÓte; maÓs elle n'en souffrit pas
moÓns: Elle pleura, sanglota, & enfin... dechargea.... Elle
fut ramonťe 3-foÓs sans deconner. MÓnone l'avait ťtť quatre.
C'ťtait le tour de ConŤte. Elle fut pomadťe avec plŁs de soin
que Rosemauve; & cependant elle jeta les hauts-crÓs: Si elle
n'avait pas ťtť sur le Fronsac, elle aurait desarÁonnť son
Bourreau.... Elle dechargea enfin, & les plaÓsirs succedŤrent.
MaÓs On ne s'attendait pas ŗ l'effet qu'ils produisÓrent!
C'est que Mad. Poilsoyeux eŁt envÓe du gros VÓt de son Mari.
Elle demanda tout-bas et voulŗit qu'On la mÓt sur le Fronsac,
aumoment oý VÓtnŤgre deconna la ConŤte, quoique Celle-ci eŻt
le Con aussi barbouillť de sang que de foutre. MaÓs
Tražtdamout la h‚pant, la renversant & l'enconnant, lui dit
tout-bas: ---- Garse! je suÓs jaloux de toÓ pour mon MaÓtre &
pour moÓ: je t'ťtrangleraÓs plŁtŰt, que de te laÓsser foutre
par ton Cocý de Mari en ma prťsence. -- Pardon! VÓt dŪvin!
leurs douleurs m'ont tentťe! Fourgonne-moi, ŗ m'en Űter
l'envie? Car je ne compte plus que sur toi: voila M. LingŁet
qui donne son fou----outre... je decha----arge.... ŗ la ----
sacrťe Ma----‚tine... de Teudrelys... -- H‚! ReÓne des PķtaÓns,
tu es jalouse! Tiťns, tiťns, voila des coups de VÓt dans ton
Connin-dieu... Hah!... hah!... ze redeza----arze-! murmura-t-elle...
Cependant, que fesait VÓtnŤgre? Il prenait du repos & quelques
liqueŻrs brŻlantes, tout en patinant les Tetons de ses 3
FoutŁes, qui le branlaÓent pour s'amuser. Tout-ŗ-coup Mlle
LÓngŁet dit ŗ son Foutant: "MaÓs ce Bougre est Un-autre Guae?
il faut qu'il me restaure? Qu'On lui lave biťn le VÓt ŗ l'Žau-rose;
je veux le teter, comme fesait Mad. Guae le gros VÓt de
son Mari-? Nous ne pouvions nous refuser ŗ Une proposition
aussi raÓsonnable. On lava le VÓt monstrŁeux; 2 des 3 Garses
soutinrent VÓtnŤgre de chaque cŰtť, en lķi livrant leurs
Tetons; Rosemauve lķi chatoŁilla les covilles & le trou du
cýl; Tražtd'amour se coucha par-terre sur le dos sous ma Fille
ŗ genoux qu'il enconna; Mlle LÓngŁet baisa 5-ŗ-6-foÓs le gros
Vit, tout en ripostant aux saccades de son FouteŻr: PrÍte ŗ
decharger, elle emboucha, fesant aler & venir l'ťnorme Wit du
bord de ses lÍvres de corail, au fond de son gosiťr satinť. En
dechargeant, elle mordit... Telle la voluptŁeuse Femelle du
Serpent-Geant ťcrase dans sa gueule, la tÍte de son M‚le trop
amoureux... VitnŤgre mordķ se recria de voluptť! Il ťmit Un
torrent, quoiqu'il eŻt deja foutķ 9 coups, & Mlle LingŁet fut
inondťe de foutre au mÍme instant dans la bouche & dans le
con... Elle voulut teter 3-foÓs VitnŤgre, que les 3 Garses qui
le chatoŁillaÓent, secouaÓent tellemt, qu'il rebandait
aussitŰt. Dailleurs, il s'ťcriait ŗ tout-momt: -- Ma Femme
n'est pas morte! c'est elle que j'embouche; je le sens au
veloŻtť de son palaÓs-?... Et cette idťe le fesait decharger ŗ
flots... Mlle LingŁet fut obligťe de cesser ce jeý, dans
lequel On voulait faire expirer VitnŤgre; maÓs Mlle Conquette-LingŁet
avait sucť le double Wit avec tant de fureýr, qu'elle
avait la bouche tout en feý... On obligea WinŤgre d'encýler
ses 3 FoutŁes; ce qui lui fit 15 copieuses decharges, parceque
les Belles de-relaÓs lui manipulaÓent impitoyablemt les
covilles.. Les excessives douleurs de l'encýlage n'en
effrŠyťrent Auqu'Une; aucontraire, les tourmens de la Patiente
excitaÓent leur passion, & elles la pinÁaÓent; pour la forcer
ŗ s'agiter, & ŗ faciliter ainsi l'intromission du gros Wit
dans son cýl.
Vitnťgre n'en pouvait plus. Ce fut prťcisťmt ce qui excita
Mlle LingŁet: Elle exigea de nous qu'il decharge‚t Une 16me
fois, & que ce fŻt dans son cýl, ŗ elle? Tražtdamour se vit
obligť de ceder. On manipula VitnŤgre, On lķi chatoŁilla les
covilles; On l'assura qu'il alait encýler Mlle LingŁet sa
Femme. A ne nom, il ťrectionna. On lui fit sucer les Tetons de
Rosemauve, comme ceux de Conquette. Il banda roide. AussitŰt
On coucha l'Encýlande sur le ventre; On lui beŻrra la rosette,
puÓs le rectom avec Une grosse canule; Tendrelys prit
dťlicatemt le gros Wit avec ses doÓgts de rose; pour le
diriger dans l'anýss, tandis-que Minone & Conťte ťcartaÓent
chaqu'Une Une Fesse: Rosemauve, prÍte ŗ manipuler les
covilles, frŠyait avec son doÓgt beŻrť l'entrťe du Wit-monstre
dans le cýl de la Patiente... Enfin, il penetra, en
dechirant... Mad. VitnŤgre poussait des cris sourds, que son
Mari crut reconnaÓtre. Ce qui lui fit redoubler ses estocades.
Alors l'Encýlťe jeta Un cri,... qui logea le Monstre
tout-entiťr dans son gros-boyau.... VitnŤgre ne doutant presque
plus, y fourgonnait avec rage.. Il ne decýla pas aprŤs
avoir-dechargť; Rosemauve lui chatoŁillait les couilles, l'anýs, &
s'appŻyant du con sur son cýl, foutait avec lui, en poussant ŗ
chaque-foÓs... VitnŤgre dechargea 3-ondťes de foutre dans les
boyaux de sa Femme; ce qui fesait 18 pour la seance. Il tomba
en faiblesse ŗ la derniŤre...
On le tÓra du cŻl de Mlle LingŁet, qui ala se le mettre dans
l'eau-fraÓche, pour se le raffermir. On jeta Vitnťgre dans Une
aŻge d'eau-de-puÓts qui ťtait dans la cour, pour lui faire
reprendre ses sens: Le Cyclope parut. On porta VitnŤgre dans
son Fiacre. Il le le remena. -- SaŪs-tu quÓ j'aŪ foutu (lui
dÓsait-il en route), dans ton sacrť Fronsac?..... Ah! comme
elle fout!... Elle a biťn appris, depuÓs qu'elle m'a
quittť!... Je l'aŪ foutķe 16-foÓs, tant en con, qu'en bouche &
eu cŻl-... Le Serruriťr, aprŤs avoir remis VitnŤgre ŗ sa
Filleule, s'ťvada.
VitnÍgre rencontra le Serruriťr quelques moÓs aprÍs. -- Veux-tu
m'y remener? lui dit-il. -- C'est l'impossible, rťpondit le
Cyclope; tout est disparu. -- Ah! la Garse! si je la retenaÓs,
je passeraÓs le reste de ma vÓe dans son cŻl & dans son con-.
Ainsi finit cette Aventķre.
XLII Chapitre.
Chap. La Jalousie de deux Connins.
Nous restions tous sept ťmerveillťs des 16
enconnades-embouchades-enculades de VitnŤgre! quand TraÓtdamour regardant
la jolie ChapeliŤre, nŁe comme toutes les Autres, lui dit: --
Te voila depucelťe, Mignone, & mon divin MaÓtre a cueilli ta
rose? C'est Un grand honneur & bonheur ŗ toi & ŗ moi! Je te
regarde ŗ-prťsent comme les DevŰts regardent leur
Vierge-MarÓe, qui, foutŻe par l'Ange-GabriŽl, puÓs par le
Saintesprit, dont elle fut la PŻtain, n'en ťtait que plŻs
vierge: Te voila consacree au vit de mon MaÓtre; conserve-lui
religieusemt ton Connin, ou ne le prÍte qu'avec sa
permission... A-prťsent, celeste Mignone, votre jolie Mote va
Ítre savonnťe & rasťe-? Tendrelys objecta sa MŤre, qui toutes
les nuits lui visitait le Con, pour voir si l'On ne touchait
pas ŗ son pucelage, deja vendu, & qu'On devait biťntŰt livrer.
-- Je m'en-fous, Deesse, repondit Tražtdamour, en me voyant
monter le Fronsac; On lui dira tout-. Et il la poussa sur le
Fauteuil, qui l'ťtreignit. Il la savonna, & prťpara son
rasoir.
En ce moment, artiva Mlle Conquette-Ingenue-LingŁet, qui
venait de se laver le cýl ŗ l'eau-de-puÓts, pour se le
raffermir. -- On va donc aussi raser le con de Mlle? (dit-elle
avťc un-peu d'humeur). -- Ah! ma belle Deesse! empÍchťz-en,
ŗ-cause de Maman, qui ne saura ce que Áa veut dire? s'ťcria
Tendrelys suppliante, en lui baisant une main, qu'elle ťtait
parvenue ŗ saisir. -- Non, Mlle, je ne m'y opposeraŪ pas!
Votre con rasť laessera mieux voir ŗ votre Maman que mon
InfidŤle vous a deflorťe... Nous verrons aussi, aprÍs qu'On
lui aura enlevť cette charmante perruque, si votre Bijou,
Mlle, l'emporte sur le miťn, tout fatiguť qu'il est? -- Ah!
mon adorable Amie! il n'est pas besoin de cela: Riťn ne vous
ťgale. -- Alons, Mr, rasťz donc? Et je crois biťn qu'aprÍs,
mon infidŤle Amant qui a depucelť cette jolie conque, vous
permettra biťn de vous y loger-? TraÓtdamour tout en coupant
la belle Toison-d'Or, reprťsentait ŗ Conquette-Ingťnue, que
tous les Pucelages m'ťtaient devolus, & que j'ťtais obligť en
conscience de les prendre, sous peine de mortifier la
Neophite. Conquette ne savait que repondre: mais elle bouda.
Je m'approchaŪ d'elle, & comme elle ťtait nue, je lui baisaŪ
les Tetons, & lui mit mon vit en main. -- Vous aimeriťz mieux
qu'il fŻt entre les jolis doigts de Tendrelys! -- Non: Persone
ne me faÓt bander comme vous; mais aprÍs vous, Tendrelys. On
lui rase la Mote; il le faut biťn, pour comparer vos Cons
celestes, abstraction faite de la fatigue du vŰtre. On les
gamahuchera dabord: Ensuite je verraŪ auquel des 2 mon
Vit-Sultan donnera le mouchoir: Le mieux rempucelť l'obtiťndra.
Mlle ConquŤte fit une petite grimace de Jolie-femme sŻre
d'elle-mÍme, & se tŻt. Le Rasemote acheva. Le Connin de
Tendrelys fut lavť ŗ l'eau-rose; Mlle LingŁet fit rafraÓchir
le siťn, & les deux Cons furent comparťs... Ils furent
desinteressťmt trouvťs ťgaux. Ce qui ťtait biťn donner la
supťrioritť au Conin de la belle ConquŤte, deja tant foutŁe...
Ce fut l'avis general. Rosemauve, Minone vinrent se comparer.
Mais leurs Cons ťtaient loin d avoir cette physionomie
virginale de ceux de ma Fille & de Tendrelys. -- Vos Cons sont
aimables (leur dit TraÓtdamour), cent-fois audessus des
Conasses de Putains; mais ils ne peuvent se comparer ŗ ces 2
Connins de Houris-. Conquette se pavana. Mais genereuse comme
elle l'ťtait, elle prit vÓte son parti. -- Puisque nos Cons
sont ťgaux, me dit-elle, en baisant Tendrelys sur la bouche,
lui patinant le Con, redťpucelťz la, & que votre Lieutenant me
refoute, s'il en a la force-. Elle n'avait pas achevť la
derniťre sillabe, qu'elle ťtait enconnťe. -- Fous-la! me
cria-t-elle, fous la Garse-! J'enfilaŪ la jolie Nymphe... Mais
prÍte ŗ decharger, Mlle Conquťte-IngenuŽ entra en fureur
ťrotique (& je compris par-lŗ comment les Hťros de Dsds,
sur-le-point d'ťmettre, deviťnnent cruŽls), l'Enconnťe s'ťcriait:
-- Foutťz-moi tous cette Putain de Tendrelys!... Brisemote! ne
fais qu'un trou de son cýl & de son con-!... Elle dechargea; &
un-peu calmťť, elle se mit ŗ dire: -- Pardon! pardon, ma
petite Soeur!... c'est le foutre.. qui me portait ŗ la tÍte, &
me rendait cruelle!... Qu'On lui conserve son joli con...
toujours pucel,... pour les plaisirs de mon... Papa-
fouteur;... c'est biťn assťz.. du miťn qui est...
martyrisť!... Alons pousse... fous... ne me mťnage plus!
(dit-elle ŗ son Bourreau)..... Et elle se mit ŗ coupdecýler plŻs
fort que jamais. Ce qui fit re-enconner Rosemauve & ConŤte,
dont les cýls ťtaient moins malades que celui de Minone: Cette
bonne Soeur de TraÓtdamour vint me chatouiller les covilles, &
j'ťmis.
XLIII Chapitre.
Chap. Minone et Conette jadis depucelťes: Vieille.
Cette scŤne achevťe, il y eķt du rťpos. Nous avions legŤremt
dÓnť, exprÍs pour faire colation. Nous mangeames des fraÓses
au vin-muscat, avec des pains-můlets du Pont-Michel: Puis nous
primes d'excellent cafť, fait par TraÓtdamour, & nous goŻtames
aux liqueurs. Ensuite, nous jasames... -- Mon Ami (me dit
ConquŤte-Ingenue, en montrant Minone & ConŤte), vous avťz eķ
ces 2 jolies Compagnes, ainsi que Rosemauve, & vous venťz de
depuceler Tendrelys sous nos ieux: Faites-nous le recit de
votre premiŤre-fois, & dites-nous coment vous les avťz
seduites? -- Ah! oui, oui? s'ťcriťrent Tendrelys, Rosemauve, &
tout le Monde. -- Je feraŪ ce recit trŤs-volontiťts; mais
ŗ-condition qu'On ira chercher Mad. Brideconin notre hŰtesse,
pour qu'elle y assiste: Nous comencerons ŗ l'apprivoiser
par-lŗ-? Mes 3 Sacripands, pour quÓ elle ťtait un Morceau nouveau,
ne demandťrent pas mieux: Ils l'enlevťrent ŗ son Mari, qui en
ce moment, lui tenait les tetons; sans mÍme daigner lui
repondre, l'assirent ŗ-cru sur les mains jointes de deux,
tandis que le 3me la soutenait par-derriŤre, & l'apportťrent
ainsi moitiť troussťe & detetonnťe. On la půsa sur le Fronsac,
& si je n'en avais empÍchť, On lui fesait une histůire, aulieu
d'ťcouter la miťnne. Lůrsque tout fut tranquille, je
commenÁaŪ:
-- Je m'ťtais mis en pension chťz la BellemŤre de Tražtdamour,
blanchisseuse, rue d'Ablon, pendant que ma Femme courait la
ProvÓnce avec un Galant; le mÍme qui la foutait avec tant de
passion, qu'il se mettait dans sa chemise, pour la palper &
l'enconner mieux. Tražtdamour m'apportait Š dÓnťr les
jours-ouvrables; maÓs j'alais dÓner ŗ la maison de la bonne
MŤre-Wallon les Dimanches & FÍtes. Un-jour, que nous y alžons
ensemble, il me pria de montrer ŗ ťcrire ŗ sa petite Soeur? Je
le voulus biťn. En montrant ŗ Minone, J'avais souvent sous les
ieux ses tetons naissans, blancs come lys... [-- Faites entrer
mon Mari; je suis biťn-aise qu'il ait sa part de cette
histoire-lŗ-? interrompit la Brideconin. AussitŰt Traitdamour,
sur un signe de mes ieux, l'ala chercher; tandis que sur
un-autre signe, Brisemote & Cordaboyau prirent l'Un la mote,
l'Autre les tetons de la Dame. Elle ťtait ainsi rŠyonnante
entre 2 M‚les, quand son Mari parut. Brideconin fut dabord
ťbaubi: puis il n'en fit ni un ni deux, il ala s'emparer du
con de Rosemauve, & des tetons de Conette; Traitdamour prit le
con & les tetons de sa Soeur: Quant ŗ moi, je fis asseoir
Conquette & Tendrelys l'Une sur l'Autre entre mes jambes,
laissant de-temps-en-temps tomber mes mains sur la gorge de ma
Fille, oķ de sa jolie Rivale... Je repris:]
"Je dis ŗ Traitdamour, en-particuliťr: -- Il ne faut plus que
je montre ŗ la Petite; elle me fait trÚp bander, & je la
foutrais au Ier jour. -- Ah! mon chŽr MaÓtre! quel bonhr pour
elle & pour moi, si vous la depuceliťz! La pauvre Orpheline!
elle n'a aucun plaÓsir! (c'est que leur MŤre ťtait morte, &
que le PŤre, remariť ŗ une Bonne-amie de feue son Epouse, ŗ
l'instante priŤre de Celle-ci, avait mourant lui-mÍme, laissť
pour bellemŤre aux 2 Orphelins la Bonne-amie de leur tendre
MŤre). Je repondis, Que cela ťtait biťn difficil!... que la
petite Soeur parlerait. -- Non, je vous en repous: Minone a deja
des desirs pour vous. Elle m'a dit, qu'elle aimait biťn quand
vous lui tonchiťz le Chose par-dessus la jupe- Ce discours
m'enhardit.
Un-Dimanche que j'ťtais seul avec Minone, ŗ la faire ťcrire,
je ne pus rťsister ŗ l'envie de lui baiser sa jolie bouche;
puis un tetin; & de-lŗ mŠ main descendit rapidemt ŗ son
Connichon sans pÚil. J'ťprouvaŪ une ťrection terrible! Mon vit
me gÍnait. Je me deboutonnaŪ. Il s'ťlanÁa audehors. -- Qu'est-ce
que c'est que Áa? me dit la Petite. -- Un vit, mon Enfant. --
A quoi cela sert-il? -- A mettre dans un Con. -- Mais j'aŪ un
Connin, ŗ ce que dit mon FrŤre, & ma BellemŤre a une Connasse.
Depuis qu'il est grand, & qu'il a ce qu'il nomme du Foutre, il
met son engin dans la Connasse de ma BellemŤre, que Áa fait
tremousser & crioter... Il a voulu me le fourrer, ŗ moi: mais
j'ai le conin trop ťtroit, ou il a l'engin trop gros: jamais
il n'a pu... Ma BellemŤre l'a surpris, & elle l'a biťn grondť!
Il lui a dit: -- Alons, foutťz-nous la paix: venťz que je vous
enconne, vieille Truande: car je ne saurais m'en passer, en ce
moment-. Et elle s'est aussitŰt renversťe sur son lit, en se
troussant; il l'a, ce qu'il appelle foutue... HŰ! comme elle
gigotait! comme elle jurait des B. & des F. comme elle ťtait
contente!... Et il me disait: -- Voi, Minone, comme c'est bon!
Comme la vieille Garse se demťne, en supant le b‚ton de
sucre-d'orge... Montre-moi ton petit connin, que je decharge ŗ ton
intension-.....
Ce recit de Minone acheva de me faire bander outre mesure. Je
demandaŪ ŗ la Petite, S'il y avait du beurre ŗ la maison? Elle
m'en donna. J'alais la beurrer, quand la BellemŤre, bonne-femme
au possible, rentra, Šyant oubliť son ťventail. Elle vit
mon trouble, & la rougeur de la Petite. Elle me dit: -- Gage
que vous alez la tourmenter?... «a n'est pas mŻre. Venťz-. La
Vieille m'entraÓna sur le piťd de son lit, se troussa, me tira
sur elle, & m'engloutit, malgrť ma defense..... Pour sauver le
pucelage de sa Bellefille, elle me retint une heure ŗ
con‚iller. Je ne dechargeaŪ cependant qu'une-fois, contre la
Vieile une dizaine; car je m'aperÁus qu'elle m'aimait. Ensuite
elle s'en-ala, sans laver, en disant? -- J'en marche mieux, la
charniŤre graissťe-.
DŤs qu'elle fut partie, je fis mettre Minone, qui avait tout
vu, ŗ la fenÍtre: je la troussaŪ audessus des reins; je lui
beurraŪ le connin, & je rebandaŪ roide. Je dis ŗ la Petite, en
la commenÁant, de se cambrer la t‚ille, pour mettre son petit
trou biťn ŗ la portťe du vit qui l'alait percer? Elle le
prťsenta de son mieux. Avec des peines infinies, ŗ l'aÓde des
douloureuses oscillations de son joli cýl, & parceque la
decharge ťtait retardťe par le degoŻt que m'avait causť le Con
gris de la Vieille, je parvins en levrette jusques au fond;
car je sentis sa celeste petite matrice me pincer... L'Enfant
s'agitait par mes ordres, mais sans dťcharger.
Son Frťre arriva dans ce moment. Il fut transportť de joie...
-- Ah! vous la depucelťz! quel honneur & quel bonheur, pour
elle & pour moi!... Decharge-t-elle?... As-tu du plaisir, ma
petite Soeur? -- Elle ne decharge pas (repondis-je), la chŤre
Mignone; elle souffre: mais c'est avec un courage!.. Voi ce
tortillonnemt de croupion-... Traitdŗmour touchť, glissa une
main sous le ventre de la Petite, & lui chatouilla le haut de
la fente de sa motinette imberbe... Les ieux de l'Enfant se
vÓtrŤrent; elle se roidit. & tournant sa j lie bouche de mon
cŰtť, elle me darda sa petite langue, dťchargea pour la Ire_
fois, & se p‚ma... Je dťchargeaŪ comme elle: je n'avais jamais
eķ tant de plaisir...
Quand j eķs deconnť, son FrŤre me demanda, Si j'en ťtais
jalous? -- Oui, de tout Autre que de toi -- Hť-bien, votre
foutre va servir de pomade ŗ son joli conichet-. Cependant
Minone voulut pisser. Son FrŤre la renversa sur le dos, au pi
d du lit, & l'enconna vžgoureusemt, malgrť la grosseur de son
Membre. La Petite cria. -- Remue du cýl, & decharge avec
delices, pauvre Orpheline, lui disait-il, en la saccadant; tu
es enconťe avec amour-. La Petite dechargea 3-fois; mais elle
n'en pouvait plus... Il me lava, & je la re-enconnaŪ... J'eķs
encore plŻs de plaisir, parceque la Petite avait aquis de
l'usage, & que le gros Vit de son FrŤre avait frŠyť la
route... Depuis ce jour-lŗ, nous foutimes Minone tous les
Dimanches & FÍtes. La BellemŤre s'en-aperÁut pour moi; mais
elle ne dit mot.
Enfin un-jour Traitdamour me demanda, Si je voudrais aussi
montrer ŗ ťcrire ŗ ConŤte, sa MaÓtresse pour le mariage,
depuis que la MŤre de Tendrelys, qui craignait un depucelemt,
lui avait absolumt Űtť toute esperance. -- Soit (lui repondis-je).
Je montraŪ donc ŗ ConŤte. Aubout de 2 mois, cette
Jeunefille ťtant un-jour ŗ la fenÍtre, fort panchťe en-dehors,
& montrant une jambe fine, que mes ieux devoraient, Minone qui
prenažt son exemple d'ťcriture, le remarqua. Je lui tenais les
tetins, & la priais de me prendre les couilles. Elle me
quitte; va vers ConnŤte; lui dŪt tout-bas, -- Laisse-toi
faire- .... La trousse; me mŤne sur elle; lui beurre le con & ŗ moi
le vit; lui dit: -- Cambre-toi, ma Fille-... Et ŗ moi: --
Enfilťz jýste; vous voila dedans-... ConŤte se cambra, &
suivit toutes les indications de son Amie: Desorte que quoique
la Pķcelle fŻt trŤs-ťtroite, je penetrais. Traitdamour arriva.
Il nous fit Űter de la fenÍtre; se coucha sur le ventre au
piťd du lit; fit ťtendre sa MaÓtresse sur son dos, cýl sur
cýl: Il me dit d'enconner, le vit dirigť par la mŗin de sa
Soeur; et Š chaque sacade que je donnais, il me repoussait d'un
coup de son cýl le con de sa MaÓtresse, ŗ me faire avancer
d'un pouce. ConŤte ťprouvait des souffrances inouÔes.... Mais
ťtant parvenu au fond, par un violent coup-de-croupion de
Traitdamour, qui ne donna plus que de petits coups de
trot-de-cheval, ConŤte clignota de l'euil, et biťntŰt ťmit avec
d'ineffables delices.....
Je croyais que Traitdamour alait se jeter sur elle et
l'enconner tout-chaud? -- Non, me dit-il; c'est ma Future: si
j'avais le bonheur qu'elle me fÓt un Petit de vous, cela
ennoblirait ma Race-. Et il foutit sa Soeur, pendant que je
refoutais sa MaÓtresse. Aussi depuis aŪ-je partagť avec lui Ce
que j'avais de plŁs prťcieux-.
XLIV Chapitre.
Chap. Du Bouquet de Fouterie.
Il le merite! Il le merite! (s'ťcriŤrent tous les Hommes, et
surtout Brideconin, qui patinait ŗ 2 mains le Con de
Rosemauve, tandis que Brisemote et Cordaboyau maniaient l'Un
le Con, l'Autre les tetons de sa Femme... Mon Recit fesait
bander tous mes Droles comme des Carmes, malgrť les fatigues
de la journťe. Les Belles, mÍme Celles ťconnťes par VžtnŤgre,
ťtaient en rut. -- Comme vous avťz su les rendre aimables! (me
dit Conquette, en me dardant sa langue). -- Ah-oui! (ajouta
Tendrelys, en me baisant de-mÍme).... En cet instant, Mad.
Brideconnin ťtait tiraÓllťe par Brisemote et Cordaboyau, qui
tous-2 la voulaient enfiler ŗ-la-fůis. -- Je n'aŪ qu'un chose,
mes chŽrs Amis! si j'en avais 2, ils seraient biťn ŗ votre
service; mais l'Un aprŤs l'Autre-... Elle fut empallťe par
tous-2, Cordaboyau en con, Brisemote en cýl. Brideconnin
s'ťcrie: -- On enconne, On encule ma Femme! Moi, je fous
Celle-ci-. Et il renverse Rosemauve, qu'il empale. Traitdamour, le
plŁs furieux des Ribauds, saisit Conquette: Je crus qu'il
l'alait enconer. Point! Il se coucha sur le dos, la tira sur
son vit, tenue par-dessous les bras par ConÍte et Minone; elle
se baissait avec lenteur sur le Vit bandant dirigť par la main
de Tendrelys, ConquŤte s'enculant ainsi elle-mÍme par le seul
poids de son beau Corps. Lorsque le gros Vit fut enfoncť
jusqu'ŗ la garde, Traitdamour me dit: -- Alons! le plŁs beau
des cons vous appelle-.... Je me prťcipitaŪ dans le bijou de
ma Fille, la jolie Tendrelys me dirigeant le vit. Mad.
Brideconnin, putaÓn comme Persone, puisqu'ŗ cet instant, On
lui bourrait les 2 trous, fit 3 signes-de-croix. On luŪ
demanda, Ce qu'elle avait: -- On me fout devant mon Mari; mais
je suis sur le Fauteuil ŗ ressort, qui m'empÍche de me
defendre: Mon Mari voyant que je le fais coquķ, me fait
coquŤte; c'est dans l'ordre: Mais notre MaÓtre, fout,...
enconne sa Fille enculťe! -- Sa fille?... sa fille-!...
(s'ťcria-t-On 5-fois). -- Oui, sa Fille (balbucia Rosemauve,
qui dechargeait sous Brideconnin): AprÍs?... -- Ah! dirent les
4 Fouteurs et les 4 Fouteuses, ceci nous met en rage de
vit.... en rage de con... et nous foutrons jusqu'ŗ extinction
de forces-. Et les Enconeurs, les Enconnťes; les Enculeurs,
les Enculťes, s'agitaient ŗ quÓ mieux, dessus, dessous, comme
des Diables & des Diablesses dans un benÓtiťr. Tendrelys me
chatouillait les couilles & celles de Tražtdamour; Minone
celles de Brisemote et de Cordaboyau; ConŤte celles de
Brideconnin, et fourrŠit son index dans le trou du cýl de
Rosemauve. Le Fouteur qui n'ťtait pas accoutumť ŗ ce rafinemt,
se recriait de voluptť: -- Ah que vous foutťz biťn ici!
(disait-il en dechargeant); On ne fait que connailler
ailleurs. -- Oh! vous anťz biťn raison, mon Mari? (lui repondit
sa Femme en dechargeant aussi), onc je ne fus ramonťe comme je
le suis en ce moment, par les deux Vits qui Vous plantent
chacun une corne, l'Vn dans mon con, l'Autre dans mon cul-.
ConquŤte remarquant que j'alais mieux, lorsque Tendrelys me
chatouillait les couilles, l'en remercia tendremt: -- ChŤre
Amie?... ma main en fera... autant ŗ ton Fouteur,... quand tu
seras enconnťe... Et Vous, ma chŤre Hotesse, Vous Ítes donc
biťn foutue-?... Ce joli mot, foutue, avait tant de gr‚ces
dans la belle bouche de ConquŤte, que je l'alais refourgonner,
si Traitdamour, qui la deculait et qui alait laver, ne m'avait
pas priť instanment de la lui laisser enconner... Mais j'ťtais
trop ťmu pour rester spectateur; j'ordonnaŪ ŗ Tendrelys de me
faire beau con? Minone et ConŤte la renversŤrent sur le dos et
lui ťcartŤrent les cuisses. Ma Fille, avant d'Ítre enconnťe
par son Fouteur, voulut inserer mon vit; elle baisa la
Patiente sur la bouche, en lui disant: -- Tendrelys! remue du
cul, et donne biťn du plaisir ŗ mon PŤre-! Et comme elle avait
remarquť que le mot foutue, m'avait fait beaucoup
d'impression, dans sa bouche, elle s'ťcria, tout en secondant
son Enconneur: -- Fou...ou... outre!..... Sacrť Vit!...
perce-moi... dechire-moi le conot!... mon PŤre! poignarde...
estropie ta Tendrelys!... ze decha... arge-!........... Ah!
cette Femme si modeste, s'ťcria la Bridecononin, comme elle
fout-!... Ce fut le Bouquet. On ala souper.
XLV Chapitre.
Soupťr d'Adieux; Graces que dit Mad. Vitnegre.
On soupa. Les tetons ťtaient couverts; les propos furent
decens..... -- Mais, me džt Minone, On dit que vous avťz-eķ 8
jolies Femmes connues, et On les nomme? -- HŰh! Interrompit
ConquŤte, ne faites plus lire de ces Histoires-lŗ: La journťe
de voluptť est finie, et nous sommes ŗ-prťsent des Persones
ordinaires. -- Il faut donc les remettre, repondit Traitdamour,
pour une interruption de seance-.
Comme on se disposait ŗ sortir, et qu'il n'y avait plus de
dangťr de nous faire bandocher, On me pria d'exiger que nos 6
Cons et nos 12 Tetons fussent mis ŗ l'air, et baisťs ŗ
discrťtion pour les Adieux? J'y consentis. AussitŰt ConquŤte,
Tendrelys, Rosemauve, Minone, ConŤte et La-Brideconin, furent
defichutťes, troussťes et renversťes sur les foutoirs par les
4 DerniŤres, qui se defichutŤrent, se troussŤrent et se
renversŤrent elles-mÍmes. On leur lecha le Con; Les 5 Hommes
sucťrent les 12 Tetons: Les Belles prirent, dťcalotťrent et
baisťrent les 5 Vits, embouchťrent seulemt le miťn, en disant:
Vit incomparable..... adieu... pour Huit jours...
On alait sortir, quand On vit la belle Epouse de VitnŤgre se
prosterner toute detetonnťe, en s'ťcriant:
"Sainte & jolŪe Vierge MARIE; que PANTHERE, branlait,
gamahuchait, enculait, entetonnait, embouchait, & qu'il
enconna enfin une nuit, ŗ-cŰtť du Cornard endormi le bon S.
Joseph; duquel cocufiage provint le doux Jesus, ce bon fouteur
de la Putain publique la belle Madelene, Marquise de Bethanie,
dont le vagabond JESUS ťtait en-outre le souteneur, autrement
le maquereau, lequel, au grand regret de la sainte Garse,
enculait encore S. Jean son giton: S.te & jolie MARIE, Vierge
comme moi, nous vous remercions de cette heureuse journťe de
fouterie. Faites-nous la gr‚ce, par les merites de votre Fils,
d'en avoir une pareille Dimanche-prochain!.... Et vous, Sainte
MADELENE, que foutait l'Abbť JESUS, ainsi que Jean l'enculť,
Obtenťz-moi la gr‚ce de foutre autant que vous, soit en con,
soit en cul, 15 ou 20 fois par jour, sans Ítre ťpuisťe, mais
toujours dechargeant...... Vous foutiťz avec des Pharisiens,
avec Herode, & mÍme avec Ponce-Pilate, pour avoir de-quoi
nourrir le gourgandin JESUS, votre greluchon, & les Vagabonds
qui lui servaient de Chouans: Obtenťz-moi de votre Maquereau
JESUS, qui ťtant dieu, a sans-doute quelque pouvoir, d'avoir,
sous peu, ce riche Entreteneur, qui est un-jour descendu de
carrosse bandant ŗ mon intension, comme je revenais de chťz
mon Amie Mad. CongrÍlť; ŗ-celle-fin, qu'au-moyťn de l'argent
que je g‚gnerai, ŗ votre imitation, avec mon con, mon cýl, mes
tetons & ma langue dardťe, je puisse soulager mon digne PŤre,
dans sa vieillesse; non-seulement en foutant avec lķi, pour
lķi donner le plaisir, mais en me laissant vendre, comme la
pieuse Fille d'Eresictton le famelique, ou la pieuse Ocyrhoť,
fille du Centaure ChirÚn, qui toutes-deux devinrent cavales,
c'est-ŗ-dire Montures d'Hommes ou saintes Putains!... ModŤle
des Maquereaux, doux JESUS! fouteur acharnť, Greluchon
complaisant de la brŻlante & exemplaire Putain MadelŤne, qui
ťtait si amoureuse de votre Vit divin & de vos sacrťes
Couilles, maintenťz, par votre toutepuissance, mon conin
toujours ťtroit & satinť, mes tetons toujours fermes, ma peau,
mon cýl, mes fesses, mes bras, mes mains, mon cou, mes
ťpaules, mon dos ou mes arriŤre-tetons, toujours blancs, mes
reins toujours ťlastiques; les Vits de mes Amans, celui de mon
PŤre compris, toujours roides, leurs couilles toujours
pleines; car vous teniťz en cela du saint Roi David, si fort
suivant le coeur de Dieu, parcequ'il ťtait le premiťr fouteur
de son temps!... Faites, Ű JESUS! que mes hauts talons, qui me
prÍtent tant de gr‚ces, & font bander tant de monde, ne me
donnent jamais de cores aux piťds, mais que ces piťds
tentatifs restent toujours foutatifs, comme ils le sont!...
Amen! -- Amen! s'ťcria toute la Sociťtť, Vits et Cons.
Tout le monde sortit ťdifiť de la piťtť ťclairťe de ma Fille,
et en s'en-alant, on disait: -- Voilŗ ce qui s'appelle
connaitre la vraie religion, et prier Dieu comme il conviťnt,
en Lui demandant des choses raisonnables! Hoh! c'est une Fille
exemplaire-!
XLVI Chapitre.
Chapitre. Premiere Negociacion du con de ma Fille.
Le surlendemain, quand je vis Conquette [que j'avais ťvitťe le
Lundi], je La trouvai coÓffťe en batant-l'oeil: Ce qui, avec
ses grands ieux ŗ longs cils La rendait charmante... Elle
avait des souliťrs de coutil de soie neufs, qu'elle essayait.
Je me jetai ŗ ses genoux, en Lui disant: -- Coquette: Ton piťd
est le mieux-fait possible; mais il est un-peu grand, & ce
soliťr biťn pointu, ces talons minces, trŤs-ťlevťs, le font
paraÓtre plŁs petit de-moitiť: Il est divin!.... & je bande...
comme tu vois?.... -- Mon cher Papa: comme je sais ŗ quel point
vous m'ŗdorťz, j'ai voulu consacrer cette chaussure, avant de
vous la prťter pour orner vÚtre cheminťe... Voici les blancs
d'hiŽr, avec lesquels j'ai tant ťtť..... ce que vous
savťz....... Voyťz la jolie forme que leur a donnťe mon piťd?
Ils sont plŻs voluptueux qu'avant d'avoir ťtť mis... Je
flairai avidemt le dedans de ces divins soliers: -- Hah! je
bande! m'ťcriai-je; Les sacrťs-bougres sont embaumťs... Je
suis perdu... j'aurai la colique, si je ne t'enconne une
pauvre fois?... Laisseras-tu decharger par-terre ce
Vit-paternel? -- Mon cher Papa, mettťz-vous le cýl & les couilles
dŠns cette grande terrine, prťparťe pour mon cůn & mon cýl;
l'eau froide vous ferait debander. C'est mon remŤde quand j'ai
le cÚn brŻlant-. Ce qu'elle me disait me parut raisonnable, et
je Le fis: Elle cacha ses piťds comme une Dame Espagnole, et
je fus calmť. -- J'en ai fait autant tout-ŗ-l'heure: Timori
vžťnt de venir: J'ťtais encore au lit; Il m'a pris les tetons,
puis le cÚn: La vue de son Vit, qui bandait rÚide, m'a fait
impression. Mais mon coeur n'a riťn senti. Cependant il voulait
me gamahucher, me priant de le branler aprŤs? -- Je ne suis
pas une Putain. -- Tu es bien frÚide-? (C'est que reellement
je ne l'aime plus; vous Ítes mon amant, cher PŤre? &
Tražtdamour est votre lieutenant dans mon cÚn; il est votre
double Vit, & c'est encore Vous qui me foutťz, quand il me
l'enfonce)... J'ai cependant eķ des remords de ma dķretť: Je
lui ai saisi le Vit, & me le mettant dans la bouche biťn
decalotť, je l'y ai fait decharger, avalant son foutre avec
delices. Ce qui m'a fortifiťe. Mon chocolat m'a rincť la
bouche...... Mais revenons. Si Vous voulťz que votre Fille
cherie ait ķn plaisir ineffable, caressez-La, quand on La
fout. Langue en bouche, la siťnne dans la vŰtre... Vous
prenant les couillŤtes, vous serrant le vit ŗ la poignťe, elle
dechargerait au double? -- Hoh! tu es trop adorable... Foutons
un petit coup? -- Je m'ťtais rafraichi le con: mais tu y remets
le feu, cher Papa, et le foutre seul peut l'ťteindre...
Foutons... Enconne ta Fille... Mais va doucemt, que je
decharge plusieurs-fois, tout en te racontant quelque-chose-.
Elle se renversa, me mit le vit dans son con, me fit entrer
lentemt, par de petits coups-de-cul insensibles. La fraÓcheur
de l'eau m'avait fait roidir, ťt retardait l'ťmission. Enfin,
elle ne fut plus maÓtresse de se retenir; elle coupdecula,
elle saccada, en s'ťcriant: -- Ze deÁa--arse-!... Elle resta
ensuite immobile, en me disant: -- J'ai oubliť de vous remettre
l'adresse que l'Entreteneur d'avant-hier m'a glissťe, pour
l'aler voir, ťt... foutre avec Lui... Hah! fourgonne... je
redeÁarge... Tu pars... Hah divin PŤre!... Et elle se mit ŗ
soubresauter, en gigotant, comme jamais ne gigota Fouteuse...
AprŤs une copieuse decharge, elle reprit: -- La voila. Dis-Lui,
ou ťcris-Lui, Que je ne vais chťz Persone. Et laissez-Lui
votre adresse. -- "Oui, Deesse Fututrix", Lui repondis-je. La
Brideconin nous apporta notre excellent chocolat; et je
partis.
AprÍs les affaires, j'alai chťz le futur Fouteur de ma Fille.
Je Le trouvai: je Lui donnai un mot de Conquette-Ingenue, par
lequel elle Lui marquait, Que s'il avait un mot a repondre, il
pouvait tout dire a son PŤre... Je fus biťn reÁu. Le Richard
me dit, Qu'il demandait une MaÓtresse aimable, et qui sŻt
donner, en foutant, biťn du plaisir. -- Monsieur (Lui repondis-je),
ma Fille a ťtť mal-mariťe; elle peut vous apartenir,
ŗ-condition qu'elle gardera son logement voisin du miťn. Vous y
mangerťz, coucherťz avec elle, sans que je m'en mÍle. Quant ŗ
la voluptť, ťt aux mouvemens. du cŻl ou des reins, un Mari
libertin ne Lui a donnť que de trop douloureuses LeÁons...
Mais en vous La livrant, je veux que son sort soit assurť,
qu'il s'amťliore mÍme un-peu chaque annťe... Je vous rťpons
d'Ítre alors le Gardiťn de sa fidelitť. Dailleurs, elle est
sage: L'assŻrance d'un sort independant de son monstre de
Mari, peut seule La dťterminer-. Ceci convint fort! et la
decision definitive fut remise aprŤs un voyage d'affaires et
d'argent, dont il devait Ítre de-retour dans 8 ou 10 jours.
Je revins apporter ces nouvelles ŗ ma Conquette-Ingenue. -- Mon
Papa, repondit-elle, pour peu qu'il me foute, vous me sufirťz
vous ťt Lui; vous serťz mes deux pŤres. Je renoncerai mÍme ŗ
votre beau Secrťtaire, si vous me promettťz de n'enconner que
Moi? OŻ trouverťz-vous un Con qui vaille le miťn?... Garde-moi
tout ton foutre, comme tout ton coeur, Ű le plŻs ribaud des
Papas-? Ie vis qu'elle ťtait jalouse, ťt je l'en aimai
avantage. Mais j'ťtais encore trop libertin, pour me borner ŗ
foutre uniquemt Celle que j'aimais le mieux.
La Brideconin nous apporta de la limonade. Elle boitait de
naissance, mais d'une maniťre voluptueuse. Elle Ítait coifťe
en cheveux, ťt quoique grÍlťe, trÍs-provoquante. Ie le dis ŗ
ma Fille. ConquŤte-Ingenue me repondit: -- DÍs avant nos
parties, son Mari voulait me le mettre; mais il me deplaÓt. La
Femme a demandť, depuis qu'ils ont tout vu, Š me gamahucher.
Tous-deux m'adorent. Je ne leur avais, jusqu'au boulevari
d'hiŽr, laissť baÓser que mon piťd. Le Mari enconne sa Femme
dÍs que je le veux. C'est un amusement que je me donnais dans
la semaine; je n'avais besoin que de m'asseoir en vue de
Brideconin, les jupes troussťes jusqu'au mollet; il est
tellement excitť par ma mi-jambe ťt mon piťd, qu'il se jŤte
sur la Putain, ťt la fout tant que je veux; en haussant
toujours un-peu la jupe. Enfin, s'il aperÁoit un commencemt de
la cuisse, il heurle de luxure. Un-jour, trop ťchauffťe par ce
que je voyais, je me donnai de l'air au con, en le dťcouvrant.
Le Fouteur s'est mis ‚ braire, en fourgonnant avec fureur. Il
dechargeait, refourgonnair, ťt alait se tuer, quand sa Femme
me regarda.... Elle se h‚ta de decharger, ťt vint me baisser
les jupes. Alors Brideconin ťpuisť se trouva mal-. A ce recit
de ConquŤte, je rebandais. Mais je me remis le Vit et les
Couilles dans l'eau, ťt biťn rafistolť, je sortis sans
finaler. Nous fumes Tous sages le reste de la semaine.
XLVII Chapitre.
Chapitre du Rabachages Š Faire bandocher.
Le Dimanche arrivť, tout notre Monde accourut, ŗ-l'exception
de Rosemauve, qui se dit malade. Tendrelys vint seule, &
d'elle-mÍme: TraÓtdamour ne l'avait pas trouvťe chťz elle, &
il ťtait dťja f‚chť. MaÓs il fut ravi, en entrant avec sa Soeur
& sa MaÓtresse, de la voir auprŤs d'Ingenue, qui lui suÁait le
sein decouvert!... Il l'en remercia, en lui baisant le cýl &
le con. Cordaboyau & BrÓsemote arrivŤrent les derniťrs. On se
mit ŗ Table, dÍs que Cordaboyau, envoyť chťz Rosemauve, eķt
annoncť, qu'elle ne viťndrait pas. Il remit en-mÍme-temps un
Billet de la Malade pour ma Fille. Ingenue le parcourut bas
dabord: puis elle nous le passa. TraŪtdamour lut par mes
ordres. Le voici:
Divine Amie! ReÁoi les actions de gr‚ces que je rens ŗ ton
Conin et ŗ tes Soliťrs... HiŽr jeudi fÍtedieu (la Lettre ťtait
du vendredi), j'avais mis la chaussure que tu m'as prÍtťe,
pour faire bander un Clerc de No aire, amant de ma Soeur
Rosalbe, ŗ laquelle je le voulais enlever. J'avais aussi ton
grand bonnet battantl'oeil, qui me va si biťn, ŗ cause de mes
grands yeux noirs, la robe, la jupe blanches sur fond rose,
comme toi. Je m'avisai de me donner ton joli tourdecýl. Dans
la rŁe des Cinqdiamans, j'entendis derriŤre moi: "C'est
elle!... Oui, c'est elle! c'est ma Deesse"!... On m'aborde.
"H‚! ma Belle! vous voila si prÍs de chťz moi, que vous y
monterťz, puisque votre PŤre y est venu"?... Il m'a pris le
bras; je me suis laissťe mener; pensant biťn qu'en me
reconnaissant, il me laisserait aler, surtout aprÍs m'avoir
foutue. Point! il ne se desabuse pas!... Il est vrai qu'il
m'avait introduite dans un appartement au premiťr ŗ trŤs
sombre jour. Il tombe ŗ mes genoux, ou plŁtŰt aux vŰtres "Vos
tražts, belle Saxancour, sont un peu differens de ce qu'ils
m'avaient paru; mais vous n'en Ítes pas moins une Brune
adorable. C'est que j'ai toujours plŻs regardť vos piťds, dont
je suis fou, que votre visage, tout charmant qu'il est. Aussi
les reconnais-je parfaitement, ainsi que tout le reste de
votre parure... M'aimerťz-vous"? J'ai cru devoir repondre,
"OuÓ. "H‚! je suis trop heureux"! Il m'a pris mille baisťrs,
en me fesant darder la langue, m'a patinť les tetons, saisi la
mote, renversťe sur un large sofa, troussťe, foutue... J'ai
remuť du cýl! je lui ai donnť du plaisir... h‚! vous me
connaissťz?... «a fait, il m'a prťsentť ŗ laver, m'a fait lui
verser de l'eau sur le vit, m'a essuyť cÚn et cýl, m'a baisť
la mote et les fesses: puis a dit ŗ sa Femme de charge: "Le
dÓnťr est-il prÍt? "Dans un demi-quart d'heure. "AprÍs le
verre d'Alicaute, descendons, ma Belle"! Nous sommes descendus
chťz le Notaire voisin. Six-mille francs par an, 500 francs
par moi, d'avance.... J'ai signť la minute, ťt je suÓs
remontťe dotťe, comme j'ťtaÓs descendue foutue. Nous avons
dÓnť tÍte-ŗ-tÍte. Des que les Domestiques ont ťtť retirťs, il
m'a fait mettre ŗ nud mes tetons; puÓs il m'a enyvrťe de
champagne. Il s'Íst lavť le vit dans un verre mousseux. Je
l'aŪ aussitŰt avalť... Enchantť de ce tražt, il m'a mis son
vit sur les lÍvres. Je le lui aŪ embouchť, suÁť! Il s'Íst
recriť de plaÓsir, en me dÓsant: "Tu Ís ma deesse, la putain
faite pour moi. Je ne veux pas te decharger en bouche; je veux
garder mon foutre pour ton CÚn. Montre-le moi, que je le
baÓse; ťt adieu jusqu'ŗ demain... Mon carrosse? (a-t-il dit ŗ
sa Femmedecharge, qui m'ťpongeait le cýl ťt le cŰn]. Il m'a
remenťe.
J'auraÓ mon apportement chťz lui ce sožr. Je suÓs restťe tard
au lit, y ťtant toute embaumťe, et envelopťe dans deux peaux
de veaux, qui m'ont ťtť apportťes hÓŽr-sožr encore chaudes;
afin d'avůŪr la peau des cuÓsses ťt des fesses presqu'aussi
satinťe que vous. Ainsi, belle ConquŤte! je vous dÚis ma
fortune. J'en remercie votre adorable Cůn, ťt surtout votre
voluptueuse chaussure. En chemin, mon genereux Fouteur m'a
promis que dans trÍs-peu de temps, il me ferait enculer en sa
prťsence, par un joli Jockey, auquel il s'Íst deja fŗit
enculer Lui-mÍme 2-fois, dans deux circonstances, oý il avait
ressenti au trou du cýl un violent prurit. C'a ťtť son
expression. Adieu... ou Avit, Ű divine Fouteuse!
Nous fumes tous ťbahis! Tendrelys embrassa ConquŤte-Ingenue,
en s'ťcriant: -- H‚! si l'On vous connaÓssait-!... Je voulais
aler dťtromper mon Gendre volť. Ma Fille m'en empÍcha: -- Il
n'ťtait l'amant que de ma chaussure; il ne lui est pas
infidŤle; il a tout ce qu'il lui faut-. Tendrelys applaudit ŗ
cette rťponse: -- Je ne dis mot: mais je n'en pense pas moins-,
ajouta-t-elle.
La Brideconin, pour Ítre plŻs ŗ nos parties, qui lui donaient
des plaisirs inconnus, avait fait venir chťz elle, ce jour-lŗ,
Une Soeur de son Mari, fort-grÍlťe; mais la plŻs provocante
TetonniŤre de 18 ans qu'On puisse voir. La Garse ne croyait
pas que la Laideron tenterait, toutes nos Dames ťtant jolies,
& 2 parfaitemt belles. Ce fut cette TetoniŤre, faite-au-tour,
ŗ t‚ille guÍpťe, comme les Comtoises, qui nous servit. Mais
dÍs qu'elle eŁt fait bander, pour lui ťviter de la peine, les
Hommes alŤrent chercher les assiŤtes...... Au dessert, On me
somma de raconter l'histoire des Cons depucelťs dont avait
parlť Minone, & que Mad. Ingenue-ConquŤte m'avait empÍchť de
faire ŗ soupťr, depeur qu'elles ne fussent trop savoureuses?
J'y consentis.
HISTOIRE des Phťnixs dťnichťs.
"Je vais (dis-je en m'essuyant la bouche, ťt baisant les
tetons de mon active Fouteuse, vous conter comment j'ai
depucelť Victoire-Beauxtalons; Virginie-Moteblonde;
Rosalie-Con-Rose, ainsi que SuzonŤte sa soeur-cadŤte;
Manon-Aurore-Sourismignard; Lťonor-Robť, femme de Marg‚ne le
Parfumeur; la Seconde ťt la TroisiŤme Consfriands, Saccadine ťt
VoixflŻtťe.
La premiŤre-fois que je vis la voluptueuse Beauxtalons, elle
ťtait en deshabillťr brun, bas fins de coton, soliťrs de
maroquin noir; talons plŁs hauts que ceux de ConquŤte. Elle me
donna des desirs violens; je la suivis: c'ťtait le soir: Elle
entra dans l'alťe ŗ-cŰtť de la boutique de sa MŤre. L'escaliťr
ťtait obscur. J'ťtais sur ses talons. Elle ouvrit le premiťr,
dont les volets ťtaient fermťs. Nuit profonde. J ťtais entrť
avec elle. "H‚! c'est vous, Monsieur CopahŁ, dit-elle en
m'entendant rťspirer... Je Lui mis la main sous la jupe. "HŰ!
voila toujours come vous faites!... Laissons donc les volets
fermťs". Je cherchais un Lit. Elle y recula. Je L'y renversai.
"Mon dieu! alťz, que vous Ítes tŤrible"! Et elle s'arrangeŗit
nťanmoins commodťment pour tous-deux. J'insŤre. Elle riposte,
en disant: "Il faut biťn faire comme Áa, sans quoi vous dites
qu'On ne vous aime pas". La jouissance fut delicieuse, quoique
simple ťt sans accessoires. Mais Victoire ťtait si belle, ťt
je L'avais tant desirťe!... Je voulais sortir sans Ítre connu.
On frappa. Je suivis ma Monture effrayťe qui courait ouvrir,
quoique je La retÓnsse. en disant: "C'est mŗ MŤre, ou mŗ Soeur:
Restťz ou sortťz, come il vous conviťndra"? "Je sors". Elle
[ici s'arrÍte le volume imprimť]
Transcription en franÁais moderne:
Quelle excuse peut se donner ŗ lui-mÍme, l'homme qui publie un
ouvrage, tel que celui qu'on va lire? J'en ai cent, pour une.
Un auteur doit avoir pour lui le bonheur de ses lecteurs.. Il
n'est rien qui contribue autant au bonheur, qu'une lecture
agrťable. Fontenelle disait: "Il n'est point de chagrin qui
tienne contre une heure de lecture". Or, de toutes les
lectures la plus entraÓnante est celle des ouvrages ťrotiques,
surtout lorsqu'ils sont accompagnťs de figures expressives.
Blasť sur les femmes depuis longtemps, la Justine de Dsds me
tomba sous la main. Elle me mit en feu; je voulus jouir, et ce
fut avec fureur: je mordis les seins de ma monture; je lui
tordis la chair des bras... Honteux de ces excŤs, effets de ma
lecture, je me fis moi-mÍme un Erotikon savoureux, mais non
cruel, qui m'excita au point de me faire enfiler une bossue
bancroche, haute de deux pieds. Prenez, lisez, et vous en
ferez autant.
L'ANTI-JUSTINE.
Personne n'a ťtť plus indignť que moi des sales ouvrages de
l'inf‚me DsDs; c'est-ŗ-dire, de Justine, Aline, le Boudoir, la
Thťorie du Libertinage, que je lis dans ma prison. Ce scťlťrat
ne prťsente les dťlices de l'amour, pour les hommes,
qu'accompagnťes de tourments, de la mort mÍme, pour les
femmes. Mon but est de faire un livre plus savoureux que les
siens, et que les ťpouses pourront faire lire ŗ leurs maris,
pour en Ítre mieux servies; un livre oý les sens parleront au
coeur; oý le libertinage n'ait rien de cruel pour le sexe des
Gr‚ces, et lui rende plutŰt la vie, que de lui causer la mort;
oý l'amour ramenť ŗ la nature, exempt de scrupules et de
prťjugťs, ne prťsente que des images riantes et voluptueuses.
On adorera les femmes, en le lisant: on les chťrira, en les
enconnant; mais l'on en abhorra davantage le vivodissťqueur,
le mÍme qui fut tirť de la Bastille avec une longue barbe
blanche le 14 juillet 1789. Puisse l'ouvrage enchanteur que je
publie, faire tomber les siens!
Mauvais livre fait dans de bonnes vues.
Moi, Jean-Pierre Linguet, maintenant dťtenu ŗ la Conciergerie,
dťclare, que je n'ai composť cet ouvrage, tout savoureux qu'il
est, que dans des vues utiles; l'inceste, par exemple, ne s'y
trouve, que pour ťquivaloir, au goŻt corrompu des libertins,
les affreuses cruautťs, par lesquelles Dsds les stimule.
Florťal, an 2.
Chapitre I De l'enfant qui bande.
Je suis nť dans un village prŤs de Reims, et je me nomme
Cupidonet. DŤs mon enfance, j'aimais les jolies filles.
J'avais surtout un faible pour les jolis pieds et les jolies
chaussures; en quoi je ressemblais au Grand-Dauphin, fils de
Louis XIV, et ŗ Thevenard, acteur de l'Opťra.
La premiŤre fille qui me fit bander, fut une jolie paysanne,
qui me portait ŗ vÍpres la main posťe ŗ nu sur mes fesses;
elle me chatouillait les couillettes, et me sentant bander,
elle me baisait sur la bouche avec un emportement virginal:
car elle ťtait chaude, parce qu'elle ťtait sage.
La premiŤre fille ŗ laquelle je fis des attouchements, en
consťquence de mon goŻt pour une jolie chaussure, fut ma
premiŤre puÓnťe, qui s'appelait Jenovefette. J'avais huit
soeurs, cinq aÓnťes d'un premier lit, et trois puÓnťes. La
seconde de celles-lŗ, ťtait jolie au possible; il en sera
question. La quatriŤme avait le poil du Bijou tellement
soyeux, que c'ťtait une voluptť seulement de le toucher. Les
autres ťtaient laides. Mes puÓnťes ťtaient toutes trois
provoquantes.
Or ma mŤre prťfťrait Jenovefette, la plus voluptueusement
jolie, et dans un voyage qu'elle fit ŗ Paris, elle lui apporta
des souliers dťlicats. Je les lui vis essayer, et j'eus une
violente ťrection. Le lendemain dimanche, Jenovefette mit des
bas fins blancs et neufs de coton, un corset qui lui pinÁait
la taille; et avec son lubrique tour de cul, elle faisait
bander, quoique si jeune, mon pŤre lui-mÍme; car il dit ŗ ma
mŤre de la renvoyer. (J'ťtais cachť sous le lit, pour mieux
voir le soulier et le bas de la jambe de ma jolie cadette)...
DŤs que ma soeur fut sortie, mon pŤre renversa ma mŤre, et la
carillonna sur le pied du lit sous lequel j'ťtais, en lui
disant:
-- Oh! prenez garde ŗ votre fille chťrie! Elle aura un furieux
tempťrament, je vous en avertis... Mais elle a de qui tenir;
car je baise bien! et voilŗ que vous m'en donnez, du jus de
con, comme une princesse...
Je m'aperÁus que Jenovefette ťcoutait et voyait... Mon pŤre
avait raison. Ma jolie cadette fut depuis dťpucelťe par son
confesseur; ensuite foutue par tout le monde. Mais elle n'en
est que plus sage ŗ prťsent... Dans l'aprŤs-dÓner, Jenovefette
vint au jardin, oý j'ťtais seul. Je l'admirai; je bandai.
L'ayant abordťe, je lui pressai la taille, sans parler; je lui
touchai le pied, les cuisses, un connin imberbe et joli, s'il
en fut jamais! Jenovefette ne disait mot. Alors, je la fis
mettre ŗ quatre; c'est-ŗ-dire, sur les mains et sur les
genoux, et, ŗ l'imitation des chiens, je la voulais enfiler
ainsi, en hennequinant et saccadant de toutes mes forces,
comme fait le chien, et lui comprimant fortement les aines de
mes deux mains: je lui faisais cambrer les reins, de sorte que
son connin ťtait aussi ŗ ma portťe que le trou de son cul: je
l'atteignis donc et je mis le bout entre les lŤvres, en
disant:
-- Hausse, hausse le cul, que j'entre.
Mais on sent aussi qu'un connichon aussi jeune, ne pouvait
admettre un vit, qui ne dťcalottait pas encore (Il me fallait
une connasse, comme je l'aurai bientŰt). Je ne pus
qu'entr'ouvrir un peu les lŤvres de la fente. Je ne dťchargeai
point, je n'ťtais pas assez formť... Ne pouvant enfiler, je me
mis, aussi ŗ l'imitation de mes modŤles, ŗ lťcher le jeune
connin... Jenovefette sentit un chatouillement agrťable sans
doute; car elle ne s'ennuyait pas du jeu, et elle me donna
cent baisers sur la bouche, lorsque je fus debout. On
l'appela, et elle courut.
Comme elle n'avait pas encore de gorge, dŤs le lendemain elle
se mit des tťtons postiches, sans doute parce qu'elle avait
ouÔ vanter ceux de sa mŤre, ou de ses aÓnťes. Je les
remarquai: je la fis chausser, et l'ayant placťe commodťment
sur son lit, je m'escrimai prŤs de deux heures. Je crois en
vťritť qu'elle ťmit; car elle s'agitait comme une petite
enragťe ŗ mon lŤchement de con... DŤs le surlendemain, on
l'envoya en apprentissage ŗ Paris, oý elle remplit l'horoscope
tirť par mon pŤre.
Chapitre II Du con soyeux.
Mes autres soeurs ťtaient l'une sťrieuse; elle me retint dans
les bornes; mais j'ai depuis foutu ses deux filles ŗ Paris. Ma
troisiŤme ťtait encore trop jeune: Á'a ťtť une superbe fille ŗ
dix-huit ans! Je me rejetai nťanmoins sur cette enfant,
lorsque je m'aperÁus que Cathos, jumelle de Jenovefette, ťtait
inabordable. Il me fallait un con, depuis que j'en avais palpť
un: je patinai Babiche. Enfin un dimanche, qu'elle ťtait bien
arrangťe, et que ma mŤre l'avait baignťe, je la gamahuchai.
Ce fut ŗ cette bťnigne opťration, que je fus surpris par
l'ardente Madeleine au con soyeux. Elle nous examina longtemps
avant de nous troubler, et voyant que la petite avait du
plaisir, elle fut tentťe. Elle parla. Nous nous remÓmes
dťcemment. Madeleine ne dit mot. Elle renvoya Babiche. Puis
elle hasarda de badiner avec moi. Elle me renversa sur la
paille de la grange, oý j'avais attirť Babiche; et lorsque je
fus par terre, elle me chatouilla, passant par-dessus moi,
jambe de Áŗ, jambe de lŗ. Par hasard, je portai la main sous
ses jupes, et j'y trouvai l'admirable con soyeux. Ce poil
divin dťtermina mon goŻt pour elle. Je devins fou du con de
Madeleine Linguet: je lui demandai ŗ le baiser!
-- Petit coquin! (me dit-elle), attends un moment.
Elle alla au puits, tira un seau d'eau, et s'accroupit
dessus... Elle revint, et badina encore. Enflammť, hors de
moi, je lui dis, dans ma petite fureur ťrotique:
-- Il faut que je lŤche ce joli trou.
Elle se mit sur le dos, les jambes ťcartťes. Je lťchai; la
belle Madeleine hocha du cul.
-- Darde ta langue dedans, cher petit ami! (me disait-elle).
Et je dardais, et elle haussait la motte. Je fourgonnais avec
rage!... Elle eut tant de plaisir, qu'elle se rťcria. Je
bandais comme un petit carme; et comme je ne dťchargeais pas,
j'avais toujours la mÍme ardeur. Aussi m'adorait-elle. Obligťe
de me quitter, Madeleine me donna des friandises, que je
mangeai avec Babiche.
Un soir, ma soeur au con soyeux me dit:
-- Cupidonet! ta jolie broquette est toujours bien roide, quand
tu me lŤches! Il me semble que si nous ťtions dans le mÍme
lit, tu pourrais la faire entrer dans la bouche de ma petite
marmotte, que tu aimes tant ŗ sucer, et dont le poil est si
doux! j'aurais sŻrement bien du plaisir! et peut-Ítre toi
aussi? Viens c'te nuit...
Quand tout le monde fut endormi, je me glissai dans le lit de
ma grande soeur. Elle me dit:
-- J'ai vu mon pŤre, un jour qu'il venait de caresser ma soeur
la belle Marie, qui partait pour Paris, courir sur ta mŤre, sa
grosse broche bien roide, et lui fendre la marmotte: je vas te
montrer; tu feras comme lui.
-- Et moi aussi, je l'ai vu.
-- Bon! bon!
Elle se disposa, me plaÁa sur elle, me dit de pousser, et
riposta. Mais elle ťtait pucelle, et quoique bandant roide, je
ne pus introduire; je me faisais mal. Pour Madeleine Linguet,
elle dťchargea sans doute; car elle se p‚ma.
Oh! que je regrettai ce joli con soyeux, que je lťchais et
fourgonnais depuis six mois! Mon pŤre, Claude Linguet, qui ne
me ressemblait pas, ťloignait ses filles, dŤs qu'elles
l'avaient fait bander. On prťtend que Madeleine avait tentť de
se le faire mettre par lui... Quoi qu'il en soit, trois jours
aprŤs, elle partit pour la capitale, oý notre frŤre aÓnť,
l'ecclťsiastique, lui avait trouvť une place de gouvernante
d'un chanoine de Saint-Honorť. Ce cafard ne tarda pas ŗ
connaÓtre ce qu'elle valait. Il y avait une porte dťrobťe, de
lui seul connue, qui donnait dans la chambre de ses
gouvernantes, qu'il allait patiner durant la nuit. Mais il
n'avait jamais trouvť de con aussi joli, que le con soyeux de
Mlle Linguet! Il voulut le voir. Sa beautť le ravit, et il
n'eut plus de repos qu'il ne l'eŻt foutu. Une nuit, qu'elle
dormait d'autant plus fort qu'elle en faisait semblant, il la
gamahucha. Elle dťchargea sensiblement. AussitŰt le chanoine
monte sur elle, et l'enconne. Elle le pressa dans ses bras, en
remuant du cul.
-- Ha! Mignonne! (lui dit-il), que tu as le mouvement bon!...
Mais n'as-tu pas de mal? car je te crois un peu putain?...
Sa chemise et les draps ensanglantťs lui prouvŤrent qu'elle
ťtait pucelle. Il l'adora! Elle foutit saintement avec ce
saint homme pendant deux ans, et le mit au tombeau. Cependant
il la dota. Ce qui fit qu'elle ťpousa le fils du premier mari
de ma mŤre.
Chapitre III De la mŤre foutue!
Comme aprŤs le mariage de Madeleine et son retour ŗ Reims
j'ťtais un peu plus formť, je dťsirai vivement de le lui
mettre. Depuis plus de deux ans, j'en ťtais rťduit ŗ patiner
et gamahucher ma soeur Babiche, avec quelques-unes de nos
cousines germaines. Mais, ou mon vit grossissait, ou tous ces
connins imberbes rťtrťcissaient... Je demandai un rendez-vous
nocturne ŗ la nouvelle Mme Bourgelat! Elle me l'accorda pour
le soir mÍme. Nous ťtions ŗ notre ferme, et son mari venait de
partir, pour se rendre ŗ Reims, oý une affaire l'appelait. Je
ne sais par quelle aventure, cette mÍme nuit, mon pŤre se
trouva incommodť. Ma mŤre, aprŤs l'avoir secouru, craignant de
le gÍner, alla se mettre auprŤs de sa bru. Celle-ci, la voyant
endormie, se leva doucement, pour venir coucher avec moi,
tandis que de mon cŰtť, j'allais ŗ elle. Nous ne nous
rencontr‚mes pas, malheureusement!... Je me mis ŗ cŰtť de la
femme que je trouvai dans le lit. Elle ťtait sur le dos: je la
montai, toute endormie; et l'enconnai. J'ťtais surpris
d'entrer aussi largement! Elle me serra dans ses bras, hocha
quelques coups de cul, moitiť assoupie, en disant:
-- Jamais! jamais vous ne m'avez donnť tant de plaisir!...
Je dťchargeai aussi; mais je m'ťvanouis sur ses tťtons encore
fermes, parce qu'elle n'avait pas nourri, et qu'on ne les lui
avait jamais patinťs. Mme Bourgelat revint auprŤs de nous, au
moment oý je m'ťvanouissais.
Elle fut bien ťtonnťe des mots que venait de prononcer sa
doublement belle-mŤre! Elle comprit que je l'avais foutue, et
elle me reporta dans mon lit encore ťvanoui... Ainsi donc
c'est dans le con maternel que je venais d'ťmettre ma premiŤre
semence!... Ma mŤre, entiŤrement ťveillťe, dit ŗ Madeleine:
-- Mais, que faites-vous donc, ma fille?
J'ťtais revenu ŗ moi. Ma soeur retourna au lit de ma mŤre, qui
lui dit tout bas:
-- Ma bru! vous avez de drŰles de faÁons?
-- Mon mari (rťpondit Mme Bourgelat), me fait souvent mettre
dessus; je rÍvais, et je l'ai fait. Eveillťe, je suis sautťe
du lit.
Ma mŤre crut cela.
Cependant le coup porta: Mme Linguet devint grosse, et
accoucha secrŤtement d'un fils, beau comme Adonis; et elle eut
l'adresse de le substituer ŗ un garÁon de son fils, cet enfant
ťtant mort en naissant. C'est de lui dont il sera un jour
question, sous le surnom de Cupidonnet, dit Petitcoq, mon
neveu.
Huit jours s'ťcoulŤrent. AprŤs quoi, bien remis de mon
ťvanouissement, j'eus un autre rendez-vous. Mais admirez mon
malheur! Nous avions ťtť entendus d'une grosse tťtonniŤre,
notre moissonneuse, qui dormait dans la grange. Comme Mme
Bourgelat devait venir dans mon lit, Mammelasse, qui m'aimait,
car elle se branlait souvent ŗ mon intention, et qui
d'ailleurs n'ťtait pas mťchante, se contenta de dire ŗ mon
frŤre, de fermer les nuits la porte de sa chambre ŗ la clef,
et de la cacher, pour cause... Il le fit. Mais jugez de mon
ťtonnement, quand au lieu d'un con soyeux, et de tťtons ronds
et dťlicats, je patinai une connasse ŗ crins de cheval, et
deux gros ballons bien gonflťs. Elle se le mit; je poussai, et
j'eus assez de plaisir. Mais je fus encore prÍt ŗ m'ťvanouir.
Enfin, je le mis ŗ Madeleine, dans le grenier ŗ foin. J'allais
comme un fou, en l'enconnant. Mais au troisiŤme coup de cul
qu'elle donna, je m'ťvanouis...
Chapitre IV D'un autre beau-frŤre cocu.
Madeleine ťvita de m'accorder des faveurs, dont les suites
l'effrayaient! Mais je ne sentis pas longtemps cette
privation. Huit jours aprŤs la derniŤre scŤne, je partis pour
venir ŗ Paris. J'y allais pour apprendre. Mais il ne sera pas
ici question de mes ťtudes. Je fus logť chez la belle Marie,
la seconde de mes aÓnťes.
J'avais, pour mon pucelage, fait cocu mon pŤre; j'avais
cornifiť mon frŤre utťrin, en faisant dťcharger, et foutant
enfin avec ťmission une soeur paternelle, qu'il avait ťpousťe,
et que j'engrossai: car Bourgelat n'a jamais eu que cet
enfant, venu au monde neuf mois aprŤs ma fouterie au grenier ŗ
foin. Mais j'avais encore bien de l'ouvrage, avec huit soeurs,
dont six, ou du moins cinq, ťtaient souverainement
enconnables. Mais revenons ŗ Marie, la plus belle de toutes...
Un jour de Vierge, Marie ťtait parťe, chaussťe avec ce goŻt
particulier aux jolies femmes, et un superbe bouquet
ombrageait ses blancs tťtins. Elle me fit bander. J'avais
quatorze ans; j'avais dťjŗ foutu et engrossť trois femmes; car
Mammelasse avait une fille, qu'elle se vantait que je lui
avais faite, et qui ressemblait comme deux gouttes d'eau ŗ
Jenovefette Linguet. Ainsi, je n'eus pas des dťsirs vagues; je
tendais directement au con de ma provoquante aÓnťe. AprŤs le
dÓner, elle alla dormir, dans une alcŰve obscure, et s'ťtendit
sur le lit conjugal. Elle avait vu bander son mari, dont la
culotte blanche ťtait juste, et elle voulait lui donner le
plaisir de le lui mettre parťe. Je me cachai pour les guetter.
Mais mon beau-frŤre, aprŤs avoir pris les tťtons et le con de
ma soeur, avoir admirť ce dernier, en ťclairant l'alcŰve, se
rťserva sans doute pour la nuit suivante. Il se retira
doucement. Je lui vis prendre sa canne, son chapeau, et
sortir. J'allai pousser un verrou. En revenant, je refermai
les rideaux; le mari les avait laissťs ouverts, et sa femme
troussťe. Je me mis sur elle dťculottť, bien bandant, et
j'enfilai sa fente, suÁant tantŰt ses tťtons dťcouverts,
tantŰt ses lŤvres entr'ouvertes. Elle me croyait son mari. Un
bout de langue me chatouilla. J'ťtais entrť tout calottť. Le
filet, que je n'avais pas encore coupť, recourbait mon vit, et
le faisait paraÓtre gros comme celui de l'ťpoux. Je poussai.
Ma belle s'agita, et mon long vit atteignit le fond. Alors ma
soeur, demi-p‚mťe, se trťmoussa. Je dťchargeai... et je
m'ťvanouis...
Ce fut ce qui me fit reconnaÓtre. La belle savoura les
derniŤres oscillations de mon vit. Mais dŤs qu'elle eut
ťprouvť tout le charme d'une copieuse dťcharge, elle se
dťconna en me jetant sur le cŰtť. Elle ouvrit les deux rideaux
de l'alcŰve; et, me regardant:
-- Ha! Grand Dieu! c'est Cupidonet! Il m'a dťchargť tout au
fond! Il s'est ťvanoui de plaisir!...
Je revenais ŗ moi. Elle me gronda, en me demandant qui m'avait
appris cela?
-- Ta beautť (lui dis-je), adorable soeur.
-- Mais si jeune?
Je lui racontai alors toute ma vie: comme j'avais patinť,
lťchť le connin de Jenovefette: comme j'avais gamahuchť, enfin
enfilť le con soyeux de Madeleine; foutu Mme Linguet, la
croyant Mme Bourgelat: comment Mammelasse s'ťtait fait
enconner par moi; comment, ne pouvant me passer de con, je
lťchottais le connichon de Babiche; comment j'avais engrossť
les trois femmes que j'avais enconnťes.
-- Ah ciel!... Mais tu es bien indiscret!
-- Je ne le suis avec toi, que parce que tu es ma soeur aÓnťe,
que je t'ai foutue (le rťcit que je venais de dťbiter, les
tťtons de ma soeur, sa chaussure me faisaient rebander), et que
je vais, divine Marie, te foutre encore.
-- Mais mon mari...
-- J'ai poussť le verrou...
Elle me pressa la tÍte contre son beau sein, en me disant tout
bas:
-- Petit coquin, fais-moi aussi un enfant?...
Je la re-enconnai, j'ťmis sans m'ťvanouir. La belle Marie
n'avait pas encore eu d'enfants: je fus pŤre de Mlle
Beauconnin, fille unique de mon beau-frŤre de ce nom.
[Je passerai toutes les fouteries communes; ce n'est qu'ŗ
force de voluptť, de tableaux libidineux, tels que les
savoureuses jouissances qui vont suivre, qu'on peut combattre
avantageusement dans le coeur et l'esprit des libertins blasťs,
les goŻts atroces ťveillťs par les abominables productions de
l'inf‚me et cruel de Dsds! Ainsi, je rťserve toute ma chaleur
pour dťcrire des jouissances ineffables, au-dessus de tout ce
qu'a pu inventer l'imagination exquisement bourrelle de
l'auteur de Justine.]
Chapitre V Du bon mari spartiate.
Il faut nťanmoins, avant de passer aux tableaux que je viens
de promettre, rapporter en peu de mots, une aventure
extraordinaire, que j'eus, rue Saint-Honorť, ŗ vingt ans
accomplis, en faisant mon droit.
J'ťtais voisin vis-ŗ-vis d'un vieil horloger, qui avait une
femme jeune et charmante. C'ťtait sa troisiŤme. La premiŤre
l'avait rendu parfaitement heureux pendant douze ans; c'ťtait
une ivresse. La seconde, durant dix-huit ans, ŗ l'aide d'une
soeur plus jeune, par laquelle la dame se faisait remplacer au
lit dans ses moindres indispositions, pour que son mari ne
foutÓt jamais avec dťgoŻt. Cette excellente ťpouse ayant cessť
de vivre, l'horloger avait ťpousť, ‚gť de soixante ans, la
jolie, la dťlicieuse Fidelette, putative d'un architecte, et
fille naturelle d'un marquis. La beautť de cette troisiŤme
femme n'avait pas d'ťgale, pour le moelleux et le provoquant.
Son mari l'adorait; mais il n'ťtait plus jeune! Cependant,
comme il ťtait riche, il lui prodiguait tout ce qu'elle
paraissait dťsirer. Mais il n'atteignait pas le but, et
Fidelette ťtait chaque jour plus triste. Enfin, un soir, ce
bon mari lui dit:
-- Mon ange! je t'adore, tu le sais! Cependant tu es triste, et
je crains pour tes jours prťcieux! Tout ce que je fais ne te
flatte en rien? Parle! c'est un ami tendre qui t'en conjure!
Dis-moi ce que tu dťsires? Tout, tout ce qui sera en mon
pouvoir, va t'Ítre accordť!
-- Oh! tout (dit la jeune femme).
-- Oui, tout, fŻt-ce... Est-ce ŗ ton coeur? est-ce ŗ ton divin
connin, qu'il manque quelque chose?
-- Tu remplis mon coeur, cher mari! Mais j'ai des sens trop
chauds, et, quoique blonde cendrťe, mon bijou a des
dťmangeaisons... terribles!
-- T'est-il indiffťrent qui le satisfasse; ou aurais-tu un
goŻt?
-- Sans aimer, j'ai un goŻt... un caprice... Mais je n'aime que
toi.
-- Qui excite ta main, que je vois en ce moment chercher ton
gentil petit chose?
-- Tiens! ce voisin... qui me regarde... et dont... je me suis
dťjŗ plainte...
-- J'entends!... Tu as dŻ me trouver bien bouchť!... Passe au
bain, mon ange adorť.. je reviens dans l'instant.
Il courut me trouver.
-- Jeune voisin! On dit que vous aimez Mme Folin l'horlogŤre?
-- Ma foi, on dit vrai; je l'adore.
-- Venez.
-- Il en arrivera ce qu'il pourra. Allons.
Il me prit la main, et nous all‚mes chez lui.
-- Dťshabillez-vous; passez dans ce bain, que ma femme quitte.
Voilŗ de mon linge. Rťgalez-la en nouvelle mariťe - ou
mťnagez-vous pour diffťrentes nuits; ŗ votre choix et au
sien.... J'adore ma Fidelette; mais, pour cette ťpouse chťrie,
je suis content dŤs que je la vois satisfaite, heureuse. Quand
vous l'aurez foutue, que son petit connin aura bien dťchargť,
je l'enconnerai ŗ mon tour, pour lui porter mon petit prťsent.
Et il me fit entrer dans le lit oý sa femme ťtait depuis le
bain. Il s'en allait.
-- Mon cher mari! (s'ťcria cette timide Colombe), tu me laisses
seule avec un inconnu! Oh! reste! et si tu m'aimes, sois
tťmoin des plaisirs que je ne devrai qu'ŗ toi!...
Et elle nous baisa tous deux sur la bouche... Le lit ťtait
vaste. Le bon Folin s'y mit avec nous... Je grimpai sur le
ventre de la jeune ťpouse, aux flambeaux allumťs, au vu du
mari, et j'enconnai roide... Elle rťpercutait avec fureur.
-- Courage, ma femme! (criait l'excellent mari, en me
chatouillant les bourses) ... Dťcharge, ma fille! Hausse le
cul!.. darde ta langue... ton fouteur va t'inonder!... Toi,
jeune vit, plonge... plonge!... Lime... Lime-la...
Nous dťcharge‚mes comme deux anges... Je la foutis six fois
dans la nuit, et les deux ťpoux furent trŤs contents de moi...
J'ai eu cette jouissance cťleste, et plus qu'humaine,
jusqu'aux couches de Fidelette, qui perdit la vie, en la
donnant au fruit de notre fouterie.
Chapitre VI De l'ťpouse qui se fait enculer.
Je passerai sous silence mes connilleries avec ma femme
clandestine, puisque je n'ai jamais avouť ce mariage.
Conquette-EllŤs ťtait une jolie grÍlťe, faite au tour, ayant
un con tellement insatiable, que je fus obligť de lui mettre
la bride sur le cou, et de la laisser foutre avec qui elle
voudrait. Elle ťtait fille d'un traiteur de la rue Saint-Jacques,
et soeur du libraire PetiteBeautť. Elle est morte
syphilisťe, longtemps aprŤs m'avoir donnť deux filles... Ah!
qu'elle foutait bien! jamais femme enconnťe n'a brouettť son
cavalier comme Conquette!... Elle est la seule crťature que
j'aie enculťe, mais sur son invitation, quand sa santť fut
douteuse. Elle me donna ensuite le cul de sa soeur cadette, en
me disant que c'ťtait encore le sien. Et je le croyais. Mais
la jeune personne se faisant enconner, je m'aperÁus de la
tricherie, dont je ne tťmoignai rien... Cela fut dťlicieux!
mais ce n'est que de la fouterie ordinaire... Quand ma
belle-soeur fut mariťe, ma femme sťduisit sa coiffeuse, ŗ laquelle
elle recommanda bien de se faire enculer, allťguant que j'y
ťtais accoutumť. Mais cette fille m'ayant averti dans la
journťe, je l'enconnai la nuit, sans que Conquette s'en
aperÁŻt. J'eus ainsi successivement six coiffeuses, toutes
jolies, pendant douze ans, ma femme, qui les payait, croyant
me cacher, par ce moyen, qu'elle avait la vťrole. Ce fut ainsi
que j'attendis les connins dťlicieux qui m'ťtaient destinťs
par la nature... C'est aprŤs la derniŤre coiffeuse, que
Conquette mourante, ayant remarquť qu'un de mes cadets
courtisait ma fille-niŤce Beauconnin, qu'on ne voulait pas lui
donner, et qu'il en ťtait aimť, proposa ŗ Mariette de se le
laisser mettre par son amant! Mais, craignant que le jeune
homme ne pŻt la dťpuceler, elle me dit que la derniŤre
coiffeuse m'envoyait une de ses ťlŤves, qu'il fallait
enconner, et sans parler, parce que, ma niŤce couchant dans la
chambre voisine, il y avait des raisons pour ne pas envoyer
l'ťlŤve-coiffeuse dans la mienne... Pourvu que je foutisse un
jeune con, que m'importait? J'allai nu au lit. Je trouvai des
tťtons naissants, un connin qui tressaillait. Je dťpucelai...
J'avais enconnť trois fois, lorsqu'on vint me faire retirer.
Je crus que c'ťtait la convention. Mais, ayant ťcoutť, je fus
trŤs ťtonnť d'entendre ťperonner de nouveau ma monture, et ma
femme instruire, en les encourageant, son neveu et sa
niŤce!... Je me remis dans mon lit tout pensif... Le
lendemain, je demandai une explication ŗ Conquette.
-- Eh bien, quoi? (me rťpondit-elle) vous avez dťpucelť votre
niŤce Beauconnin avant que son cousin le lui mÓt parce que je
craignais qu'il ne pŻt la dťflorer...
Je fus enchantť! J'avais eu les prťmices de la fille que
j'avais implantťe un jour de Vierge dans le con de la belle
Marie Linguet. Mais je dissimulai ma joie. C'ťtait un
excellent pronostic pour les plaisirs dont je me flattais de
jouir depuis longtemps! et dont le moment approchait. J'y
touche enfin.
Chapitre VII Du connin au poil follet.
On sait que j'avais deux filles, ou que du moins ma
clandestine les avait; car je me rappelle qu'elle prťtendait
que ses vťritables filles ťtaient mortes en nourrice, et
que... et que... Elle parlait du Roi... d'une princesse...
Mais elle ťtait si menteuse que c'eŻt ťtť une folie de la
croire.
Conquette-Ingťnue, ma fille aÓnťe, me causait des dťsirs dŤs
l'‚ge de dix ans. Pendant que sa mŤre non encore vťrolťe
couchait et foutait avec un galant, elle envoyait Conquette
dans mon lit. Cette enfant avait la plus jolie conque. Je me
fis une rŤgle dŤs lors de la lui baiser tous les soirs, aprŤs
lui avoir ťcartť les cuisses, durant son premier sommeil.
J'introduisais lťgŤrement la langue, mais sans lťcher. Je
m'endormais ensuite, elle remise sur le cŰtť, ses fesses sur
mes cuisses, et mon vit pressť entre les siennes. Dans le
jour, j'enconnais, ou la maÓtresse d'un certain MiviŤre,
avocat, ou une jolie bossue toujours bien chaussťe, qui
demeurait dans la maison; ou une boiteuse des deux cŰtťs, mais
d'une dťlicieuse figure, et prÍte ŗ se marier. Elle s'ťtait
laissťe dťflorer par son futur, et depuis ce temps-lŗ, elle ne
mťnageait plus un trŤs joli con blond. Quand ces trois
fouteries me laissaient chŰmer trop longtemps, je fourgonnais,
le vit serrť entre les cuisses de Conquette-Ingťnue, qui, se
sentant gÍnťe, l'empoignait toute endormie, et me faisait
ťjaculer. Elle avait onze ans. Elle sentit quelque chose, et
parla. On la mit dans un cabinet fermť.
Elle apprit ŗ dessiner. Lorsqu'elle eut treize ŗ quatorze ans,
aprŤs une interruption de plus de deux ans, je me trouvai
veuf, et elle revint ŗ la maison. Elle coucha dans une petite
chambre ŗ cŰtť de la mienne. Elle ťtait grandie, faite au
tour; elle avait le pied le plus parfait. Je la fis chausser
par l'artiste le plus habile, sur la forme de sa mŤre, qui
ťtait celle de la marquise de Marigni. Puis je devins
ťperdument amoureux de mon ouvrage.
Mais personne jamais ne fut plus chaste que cette cťleste
fille; quoique ses mŤres, soit rťelle ou putative, fussent
putains, et soient toutes deux mortes de la vťrole.
Conquette-Ingťnue ne souffrait pas qu'on prÓt sur elle la moindre
libertť... La Providence le voulut sans doute, pour qu'elle en
fŻt un jour plus dťsirable et plus voluptueuse... Ainsi, je me
trouvai rťduit ŗ la gamahucher pendant son sommeil, qu'elle
avait profond, heureusement! Je profitais de son premier somme
pour la dťcouvrir, admirer son dťlicieux connin, qu'un joli
poil follet commenÁait d'ombrager, et la gamahucher
modťrťment. Ce ne fut qu'ŗ la dixiŤme nuit, que je la sentis
me riposter. Je redoublai les coups de langue, et elle
ťmit.... La lumiŤre ťtait ťteinte, quand Ingťnue s'ťveilla, en
disant:
-- Ah! Ah! Ah! Áa me chatouille! Ahh!...
Elle crut qu'elle avait rÍvť. Cependant elle dagua sa jeune
soeur, couchťe avec elle, de plusieurs coups de coude, comme si
elle eŻt pensť que cette enfant l'avait chatouillťe.
Je me remis dans mon lit, enchantť que ma fille eŻt dťchargť.
Cette ťmission me fit espťrer qu'ayant ťveillť son
tempťrament, je pourrais l'enconner bientŰt, en faire ma
maÓtresse, et me trouver le plus heureux des hommes. Mais que
j'ťtais loin de compte! et combien de vits devaient tenter de
martyriser ce divin connin avant le mien! Hťlas! il fut prÍt
d'essuyer une Iliade de malheurs!..... Quoi qu'il en soit, Á'a
ťtť ma vťritable inclination, la plus constante, la plus
voluptueuse, que cette adorable fille, qui n'a eu de rivale
que sa soeur... Non (je le dis, d'aprŤs l'expťrience), il n'est
pas au monde de plaisir comparable ŗ celui de plonger son vit
bandant, jusqu'au fond du con satinť d'une fille chťrie,
surtout si remuant du cul avec courage, elle dťcharge
copieusement! Heureux! heureux qui cocufie, et fait cocufier
un gendre ťgalement dťtestť de tous deux!
Conquette-Ingťnue eut ses rŤgles la semaine suivante de celle
oý elle avait enfin dťchargť. Ainsi elle ťtait parfaitement
nubile. Mais, ťveillťe, je ne pouvais lui ravir aucune faveur
essentielle. Ma soeur Marie, qui me connaissait, la mit en
apprentissage de modes et du commerce de la bijouterie, chez
une jolie marchande, dont le mari ťtait chef de bureau; et le
bijou de la belle Conprenant me dťdommagea, mais sans m'en
consoler, des rigueurs de celui de ma fille. Je le mis aussi ŗ
ma niŤce Beauconnin, alors mariťe ŗ son cousin. Et, sans ce
double soulagement, aurais-je pu m'empÍcher de violer la
provocante Conquette-Ingťnue? Eperdument amoureux d'elle,
n'osant lui prendre de jour son joli poil follet, et ne
l'ayant pas la nuit, je me contentais de la faire regarder
dans la rue, par une fenÍtre ŗ large rebord, ce qui lui
mettait ŗ dťcouvert un pied exquisement chaussť, une partie de
la plus belle jambe; de sorte qu'en me baissant, je voyais la
cuisse, et le connin dans certains mouvements, ou lorsqu'elle
se disposait ŗ descendre. Je bandais comme un carme. Mais en
ce moment arrivaient ŗ point nommť, ou la maÓtresse de
Conquette-Ingťnue, ou ma jolie niŤce Beauconnin, que j'allais
enfiler dans ma chambre, aprŤs avoir dit ŗ ma fille de se
remettre ŗ la fenÍtre, pour les voir arriver; et, au moyen de
ma porte entr'ouverte, je voyais le pied provoquant, la jambe
voluptueuse de celle qui me faisait bander, en foutant soit sa
maÓtresse, soit sa cousine.
Quatre ans s'ťcoulŤrent ainsi; et je n'eus plus de fouteries.
Alors, plus amoureux que jamais de Conquette-Ingťnue, qui
ťtait superbe ŗ dix-huit ans, je rťsolus de la faire coucher
quelquefois chez moi, en la retenant tard, sous prťtexte d'une
indisposition subite. Elle avait toujours le sommeil aussi
profond. Ainsi, dŤs qu'elle ťtait endormie, je la gamahuchais,
et je la faisais copieusement dťcharger. Elle avait une motte
superbe, ombragťe d'un poil noir doux et soyeux. Je brŻlais
d'envie de le lui mettre. Mais elle s'ťveillait toujours en
dťchargeant. Aussi me disait-elle:
-- Je ne fais que chez vous de singuliers rÍves, qui me rendent
toute je ne sais comment!...
La seule chose que je me permisse ťtait de demander ŗ baiser
son joli pied chaussť; quelquefois sa jambe. J'allai un jour,
en la tourmentant beaucoup, jusqu'ŗ obtenir de toucher le poil
satinť de son bijou. Mais elle fut ensuite si fort
effarouchťe, craignant que je ne parvinsse ŗ la dťflorer avant
mariage, qu'elle prťcipita, aidťe de sa maÓtresse Mme
Conprenant, un mauvais ťtablissement avec un inf‚me. Ce fut ce
que j'ai eu tant de peine ŗ lui pardonner!... Mais la pauvre
enfant en a trop souffert... elle s'en est assez repentie...
son charmant connin a depuis trop bien mťritť de moi, pour que
des torts de jeunesse et d'inexpťrience ne soient pas oubliťs.
J'y ťtais obligť d'ailleurs par un autre motif: c'est que je
dois ŗ cet exťcrable mariage d'indicibles dťlices (comme on va
le voir), ainsi que ma fortune prťsente.
Chapitre VIII Des conditions de mariage.
Le dimanche suivant, Conquette-Ingťnue ťtant chez moi, suivant
son usage, elle ne put s'empÍcher de voir que je bandais ŗ
n'en pouvoir plus! Elle tremblait pour sa virginitť!... Je lui
avais baisť le pied, la jambe; mais elle avait dťfendu son
connin. Tout ŗ coup je me lŤve, et m'appuyant sur le dossier
de sa chaise, je plonge les deux mains dans son corset; je lui
prends les tťtons.... Ah! qu'ils ťtaient jolis!... petits,
mais fermes! et d'une blancheur... Elle ne put se dťrober...
Elle me dťclara pour lors sťrieusement, qu'elle voulait se
marier. A ce mot, je passai devant elle, le vit ŗ l'air et
bien bandant. Elle devint rouge comme une cerise. Elle
bouillait. Enflammť d'amour et de luxure, je lui notifiai, que
je ne signerais rien, qu'ŗ la condition de la dťpuceler
auparavant. Elle se rťcria!... Je lui pris le con par force.
Elle se recueillit, et me dit:
-- Signez du moins pour ceci!
-- Oui; si je te gamahuche.
Elle ne m'entendait pas. Je m'expliquai, ajoutant:
-- Et jusqu'ŗ la dťcharge, ou le plaisir, de ta part,
inclusivement!
Elle rťflťchit... Puis soupirant:
-- Ah! combien vous me l'avez fait! Mes rÍves ťtaient causťs
par vous!...
Elle se mit ŗ la renverse sur le lit, en me disant:
-- Satisfaites-vous! et... ne me... trompez pas!...
Gamahuchez... mais je veux Ítre pucelle le jour de mon mariage
avec M. VitnŤgre; c'est un homme veuf, et Mme Conprenant dit
qu'il s'y connaÓt.
Pendant ce discours, je rassasiais mes yeux d'abord de la vue
du plus ravissant des connins; de celle d'un ventre uni comme
l'ivoire; d'une cuisse d'alb‚tre; d'un cul de satin.
-- DťpÍchez-vous!
-- J'inventorie ce que nous devons livrer ŗ ce M. VitnŤgre, et
tout est bien conditionnť, une chose que je te dirai exceptťe.
Gamahuchons.
J'ťtais enragť! Je la lťchais avec fureur, guettant l'instant
de l'ťmission de sa liqueur virginale, pour me jeter sur elle,
et l'enfiler. Elle ťmit dŤs le sixiŤme coup de langue; de
sorte que je ne le pouvais croire. Mais bientŰt ses
trťmoussements m'en convainquirent. Alors, quittant le connin,
je me jetai sur elle. Enivrťe de plaisir, il est certain
qu'elle m'aurait laissť tout faire; mais son jeune connichon,
quoique bien humectť de son foutre et de ma salive, ne put
Ítre pťnťtrť. L'expťrience qu'il faut, pour enfiler certaines
pucelles, de la pommade ou du beurre frais, ne m'ťtait pas
encore acquise... A la fin, elle me saisit le vit, pour me
dťbusquer. Pressť, de sa main douce et blanche, il dťchargea,
et couvrit d'un foutre azurť son con, son ventre, ses cuisses
et sa main. Propre comme elle le fut toujours, elle se
dťbarrasse, et court se laver.
-- Qui ne dirait (m'ťcriai-je en la voyant s'ťponger cul,
cuisses et conniche), que je l'ai enconnťe!...
-- Ah! si vous ťtiez raisonnable! (rťpondit Conquette-Ingťnue)
ce joli gamahuchage, tant que vous voudriez; car j'ai eu bien
du plaisir!
-- Voilŗ un joli mot!
Et je lui fis darder la langue dans ma bouche, moi lui tenant
le connin.
-- Mais (reprit-elle), pas ce qui m'a salie, dans ce que je
viens de laver! je veux Ítre honnÍte femme.
-- Tu dois ton joli con ŗ ton pŤre, ma charmante fille!
-- Si vous ťtiez plus riche, je renoncerais au mariage, et je
me dťvouerais ŗ vos plaisirs. Mais il me faut un mari, pour
cesser de vous Ítre ŗ charge.
Touchť, je la baisai des pieds ŗ la tÍte, soulier, jambe,
front, oeil, bouche, cou, tťtons, cuisses, cul, enfin motte,
jusqu'ŗ ce qu'elle dťcharge‚t... Ensuite, je signai tout ce
qu'elle voulut... Elle ťtait adorťe, en ce moment.. Elle se
maria, sans me revoir, et m'ťvita pendant trois mois. Une
pareille conduite me rendit furieux contre elle, et je jurai
de la foutre et faire foutre, si elle retombait entre mes
mains, mille et une fois, avant que de lui pardonner!... Mais
savais-je alors qu'elle ťtait malheureuse?
Chapitre IX Des dťdommagements.
Victoire-Conquette, ma seconde fille, ťtait en province,
depuis la mort de sa mŤre, chez sa tante Jenovefette, alors
mariťe avec son dernier entreteneur. N'ayant plus de con ŗ ma
dťvotion, je redemandai Victoire. En attendant qu'elle
arriv‚t, je m'accommodai de deux petits connins encore
imberbes, ou du moins ŗ poil follet, que je parvins ŗ
perforer, en les pommadant. C'ťtaient la soeur et la maÓtresse
de mon secrťtaire, qui lui-mÍme me les livra, comme on le
verra par la suite. Nous foutions jusqu'ŗ sa vieille belle-mŤre;
ne voulant pas aller aux putains.
DŤs que Victoire fut arrivťe, je la fis chausser comme sa
soeur, ŗ talons minces ťlevťs; et cette enfant, qui atteignait
quinze ans, me fit autant bander que son aÓnťe. Mais je ne
cherchai pas ŗ la dťflorer; elle ne me servait qu'ŗ me mettre
en humeur, et ŗ me faire enconner plus vigoureusement et
Minone, et Conette, soeur et maÓtresse de Traitdamour mon
secrťtaire, ou leur belle-mŤre. Pour cela, quand Victoire
rentrait parťe, chaussťe, je la saisissais par la jupe, et je
l'asseyais sur mes genoux, ŗ crŻ, moi dťculottť, quand je le
pouvais; je me faisais caresser, donner de petits coups de
langue. Si j'ťtais ŗ crŻ, mon vit lui allait entre les cuisses
comme le battant d'une cloche; si elle n'ťtait pas troussťe,
comme elle ťtait fort innocente, je me faisais empoigner le
vit, en lui disant:
-- Mignonne, serre-moi le doigt, fort! fort!
Minone, Conette, ou la belle-mŤre arrivaient toujours,
Traitdamour en allant chercher une dŤs qu'il me voyait
m'enfermer avec Victoire. En les entendant, je remettais la
charmante enfant dans sa chambre par une porte dťrobťe;
j'ouvrais, et je foutais dťlicieusement, les couilles
chatouillťes par Traitdamour. Il enconnait ensuite la mÍme,
soeur ou belle-mŤre, et je lui maniais les couilles.
Je me serais contentť de cette vie pendant longtemps, quoique
toujours amoureux de Conquette-Ingťnue, devenue Mme VitnŤgre,
si mes soeurs Marie et Jenovefette n'eussent trouvť indťcent
que je gardasse Victoire seule chez moi. Elles m'obligŤrent ŗ
la mettre en apprentissage pour le linge chez des dťvotes
qu'elles m'indiquŤrent. Mme Beauconnin l'y conduisit.
Heureusement que la chŤre enfant m'avait, depuis quelques
jours, donnť la connaissance d'une grande et superbe femme
sťparťe, son amoureuse ťperdue, sans que la naÔve Victoire
s'en dout‚t, et que cette belle femme m'en croyant amoureux
aussi, foutÓt sous moi avec fureur. Car elle m'appelait alors
son papa, et me disait:
-- Enconne; enconne... enconne ta... provocante Victoire! ta...
passionnťe, ta... tendre fille!
Chapitre X De l'inf‚me mari.
Mais le moment approche oý je dois recouvrer Conquette-Ingťnue.
Mon dťsir le plus vif, mÍme dans les bras de Mme
Moresquin (l'amie de Victoire), ťtait de faire VitnŤgre cocu!
Un jour, ma Conquette me rencontra sur le pont Notre-Dame.
Elle ťtait malheureuse; elle vint se jeter dans mes bras. Je
fus si ťmu, que toute mon ancienne colŤre s'ťvapora. Ma
dťlicieuse fille ťtait encore embellie dans les douleurs. Mon
premier mouvement fut de lui prendre le con. Mais nous ťtions
dans la rue... J'allai la voir dŤs le lendemain soir, ŗ
l'heure oý elle m'avait dit que son mari, ou plutŰt son
monstre, n'y ťtait jamais. Je la trouvai seule en effet; et
dŤs cette premiŤre visite, elle m'avoua qu'elle avait un
amant. Ravi de cette confidence, qui m'annonÁait le cocuage de
VitnŤgre, je la flattai, je l'amadouai; je l'engageai ŗ se le
laisser mettre par Timori (son galant). Mais je compris
bientŰt que c'ťtait, des deux cŰtťs, un amour absolument
platonique, oý Conquette-Ingťnue se consolait, auprŤs d'un
bandalaise, des brutalitťs d'un dťbauchť. Elle aimait ŗ parler
de son amant. Et, comme j'ťtais le seul avec qui elle le pŻt
en sŻretť, que je promis de leur procurer des entrevues, je
fus chťri.
A la seconde visite, Conquette me dťcouvrit quelques infamies
rťcentes de VitnŤgre. Un jour qu'elle se baissait, pour
ramasser quelque chose, il lui fit prendre le con par un de
ses amis. Elle s'ťcria.
-- Ce n'est rien qu'un con de pris (dit froidement VitnŤgre)...
(ŗ son ami):
-- Ne t'avais-je pas bien dit qu'elle avait le poil du con plus
satinť que de la soie?... Eh bien! le dedans est plus doux
encore...
Conquette voulut se retirer. Il la retint brutalement, la fit
mettre sur lui, la troussa jusqu'aux cuisses, et lui tint le
con, s'efforÁant de le faire voir, ou de la branler, pendant
tout le temps qu'il fut ŗ raconter combien, quand elle le
voulait, elle donnait de plaisir ŗ son caresseur.
-- Mais (ajouta-t-il), elle est comme les putains; il faut la
rosser, pour lui faire faire son devoir.
Il voulut ensuite lui dťcouvrir la gorge. Elle s'ťchappa. Mais
il l'atteignit d'un coup de pied... Quelques jours aprŤs, le
mÍme ťtant venu dÓner, aprŤs le cafť, VitnŤgre s'ťtant aperÁu
que sa femme, aprŤs avoir pissť, avait fait bidet, dit ŗ
Culant son ami:
-- Voilŗ un con bien propre! il faut le gamahucher tous les
deux, d'adresse ou de force! Mais, dans ce dernier cas, ne
t'ťtonne pas du bruit!... Pour le premier, voilŗ une clef;
elle ouvre la porte du cabinet qui donne sur le corridor. Tu
entreras quand, lassť, je dirai trŤs haut:
-- Allons, Madame, faites-moi beau con, et recommenÁons. Et
donne-t'en! car je voudrais que toute la Terre foutÓt la
garce; elle n'est pas assez large...
Conquette fut rappelťe. Le mari la fit asseoir au milieu
devant le feu, mit ŗ l'air son vit, ses couilles de mul‚tre,
et dit ŗ son ami d'en faire autant. Comme il hťsitait:
-- Dťculotte-le tout ŗ l'instant, bougresse, ou je t'arrache
les poils du con ŗ la poignťe!
Et il y porta la main. Elle fit un cri. Culant mit aussitŰt ŗ
l'air son vit et ses couilles, en demandant gr‚ce pour elle.
-- Allons, bougresse, branle-nous tous deux, un de chaque
main!...
-- Je suis son maÓtre (ajouta le scťlťrat); elle m'est
abandonnťe.
Conquette pleurait. L'ami demanda encore gr‚ce pour elle...
-- Eh bien, qu'elle me suce le vit, lŗ, ŗ genoux devant moi,
que je lui dťcharge dans la bouche! Je dťchargeais dans celle
de ma premiŤre femme, qui en est morte, et c'ťtait mon dťlice.
Culant observa, que ce serait g‚ter la plus jolie des bouches.
-- Hť bien donc, je vais la gamahucher.
-- Je banderais trop! (dit Culant) passez dans ce cabinet.
VitnŤgre y poussa Conquette, et se substitua Culant. Puis il
sortit pour aller jouer. Culant gamahucha, et n'osa foutre
Conquette, ayant le vit si petit, qu'il ne pouvait Ítre pris
pour VitnŤgre. Mais il dťchargea six fois, et Conquette le
double. Il se retira, en lui donnant un coup de poing, afin
qu'elle fŻt persuadťe que c'ťtait VitnŤgre. Mais le soir, ŗ sa
rentrťe, le monstre dit ŗ sa femme:
-- Eh bien, bougresse? as-tu ťtť assez gamahuchťe? ce n'ťtait
pas moi; je ne t'aurais fait l'honneur de dťcharger six fois;
c'ťtait mon ami. Mais, garce, tu l'as reconnu, puisque tu en
as dťchargť douze, et que tu ne bandes pas pour moi. Et le bon
coup de poing qu'il t'a donnť, hein? l'as-tu senti? (l'inf‚me
ťclata de rire). Allons, garce de b‚tarde d'avocat, te voilŗ
putain; j'entends que ton con me rapporte.
Effrayťe, Conquette se promit de le quitter. Ce fut le
lendemain qu'elle me rencontra, et de ce moment elle prit de
la fermetť contre le monstre.
Ce rťcit de ma fille, quoique plus gazť dans sa bouche,
m'avait rťvoltť! je lui promis un prompt secours... Mais en
mÍme temps il me faisait bander en carme, comme tous les
rťcits de brutalitťs libidineuses. Je demandai des faveurs. On
rougit; mais on me laissa baiser un joli soulier vert, qu'on
portait pour la premiŤre fois. Je m'en tins lŗ. Cependant, ŗ
la visite du lendemain, je glissai, en riant, une main dans
son dos; insensiblement j'en vins aux tťtons, qu'elle
dťfendit, mais qui me restŤrent enfin. Je me fis ensuite
donner de ses cheveux; puis, voulant voir jusqu'oý je pourrais
la mener, sans l'effaroucher, je la tourmentai pour avoir une
petite touffe des poils de son con soyeux. Elle me la donna;
mais en tremblant que son mari ne s'en aperÁŻt! Pour la
remettre, je la fis parler de son amant; et pendant cet
entretien, de libertťs en libertťs, je parvins au con. Elle
ťtait si parfaitement Š son sujet, que je crois en vťritť
qu'elle s'imagina que c'ťtait Timori qui lui tenait la
motte!... Je lui dis, en la patinant, que je lui avais trouvť
une pension, pour quand elle aurait quittť VitnŤgre. Elle
rougit de plaisir, et m'embrassa. Je lui dardai ma langue, et
elle me fit sentir la sienne... Ravi, j'allais lui demander le
rťcit de la maniŤre dont elle avait ťtť dťpucelťe, quand,
VitnŤgre s'ťtant fait entendre, je me jetai dans le cabinet
obscur, me proposant de m'ťvader par la porte du corridor.
Mais je fus ťtrangement surpris de voir un moine introduit par
cette porte! Il ne m'aperÁut pas; je me cachai derriŤre un
grand sofa. VitnŤgre entra aussitŰt par la porte de la piŤce
que je quittais:
-- Mon rťvťrend PŤre, voulez-vous la foutre avant dÓner?...
Le moine, qui dťvorait des yeux la belle Conquette ŗ travers
les vitrages, parut concentrť... Au bout d'un moment, il
rťpondit:
Chapitre XI Pucelage destinť aux gros vits, pris par un petit.
-- Non: comme nous en sommes convenus, passez dans la chambre
ťclairťe; faites-moi voir, en badinant avec elle, tťtons, cul
et con; je me rťserve pour la nuit.
-- Oh! ce coup-ci serait par-dessus le marchť.
-- Non: j'aime ŗ foutre au lit, ŗ suÁoter langue et tťtons; ŗ
enconner, enculer, entťtonner, etc., ŗ mordre, arracher les
bouts... Allez... Ayez le vit ŗ l'air, et qu'elle soit bien
chaussťe... De la brutalitť!
VitnŤgre rentra dťculottť auprŤs de sa femme toujours
tremblante devant lui.
-- Allons, bougresse, il me faut du plaisir! Vois comme je
bande, ŗ la vue de ce joli soulier vert!... J'ai entendu hier
un jean-foutre derriŤre toi qui disait qu'il aurait voulu
dťcharger dedans... A bas ce fichu, que je voie tes tťtons...
Comme ils sont jolis! blancs!... fermes! Ah! garce!
j'arracherais ce joli bouton, si je ne craignais de les
g‚ter!... Marche.... Quel tour de croupion foutatif!...
Troussťe, putain, au-dessus des reins et du nombril, que je
voie ce mťcanisme-lŗ!... Marche en avant, prťsentant le con...
Retourne-t'en montrant le cul... Ah! le joli mouvement!...
Continue, garce ŗ cul et ŗ con, jusqu'ŗ ce que je te dise,
Holŗ... (Elle fit ainsi cent tours, montrant alternativement
son cul, son con)...
Cependant le moine disait:
-- Ce bougre-lŗ n'a pas le vit si gros que moi, et il n'a pu la
dťpuceler! Oh! comme elle criera cette nuit!... Mais je n'y
tiendrais pas; je la tuerais; elle crierait ŗ faire venir le
voisinage... Je m'en vais.
Et il sortit doucement, en murmurant:
-- Elle est ŗ tuer; elle le sera!...
Au mÍme instant, VitnŤgre dit:
-- Holŗ, garce engarcťe.
Et il vint dans le cabinet...
-- Qu'en dites-vous? (dit-il) la voulez-vous essayer?
Je bandais ŗ n'en pouvoir plus. Je rťpondis bien bas pour le
moine:
-- Oui.
VitnŤgre alla chercher sa femme; et, la poussant brutalement:
-- Allons, de par Dieu, garce, putain, que je te foute... Ah!
comme tu vas crier! Mais songe, sacrť connin de poupťe, ŗ ne
pas faire venir ici les voisines! ou je les laisse tous
entrer, sans me dťranger de sur ton sacrť ventre!...
En achevant ces mots, il me la renversa troussťe sur le
foutoir mis lŗ exprŤs, et se retira. Je me prťcipitai sur ma
fille, qui se sentant enfilťe presque sans douleur, ne criait
pas.
-- Crie donc! (lui dis-je bien bas).
Et elle cria ŗ tue-tÍte, en se reconnaissant enconnťe par un
ťtranger. DŤs que j'eus dťchargť dťlicieusement, en lui
faisant osciller le con, je m'ťchappai, avant que les voisines
arrivassent; et comme elle continuait ŗ crier, je les envoyai
ŗ son secours. On la trouva debout.
-- C'est ma femme que je baisais (dit VitnŤgre). Regardez-y; il
en est encore tout barbouillť. Mais elle est du naturel des
chattes; elle mord et crie, quand on la fait bien aise.
Les voisines rirent, et se retirŤrent. VitnŤgre dÓna, et fut
assez honnÍte; il craignait que sa femme n'eŻt connu qu'elle
ťtait foutue par un moine, et qu'elle ne parl‚t. Je dÓnais
dans un cabaret en face. Je le vis sortir, et aussitŰt je
retournai chez ma fille, qui me conta tout. Je me tus d'abord.
Je lui fis raconter la maniŤre dont je croyais qu'elle avait
ťtť dťpucelťe; parce que ce rťcit avait du haut goŻt pour moi,
et qu'il me ranimerait assez, pour me la faire foutre encore.
Elle le fit, dŤs que je l'eus mise en goŻt, en lui rappelant
de son amant.
-- Notre premiŤre nuit et les trois suivantes ont valu chacune
cinq cents louis ŗ VitnŤgre, ŗ ce qu'il m'a dit par la suite.
DŤs que nous fumes arrivťs ŗ sa demeure, il alluma quatre
bougies, qu'il mit autour du lit, sur lequel il me renversa
troussťe jusqu'aux reins. Il me tourna, retourna, m'examinant,
me baisant partout. Il me faisait lever les jambes en l'air,
puis mettre debout sur le lit.
-- Remue du cul (me disait-il), ainsi, ainsi (me montrant),
comme si je te foutais.
Je lui observai que cela ťtait indťcent.
-- Bast! une femme est la putain de son mari...
Il me gamahucha. Il s'ťcria de toutes ses forces:
-- Elle dťcharge!
Et il me fit empoigner son gros membre, de la couleur et de la
grosseur de celui d'un cheval.
-- Allons! allons, que je te foute, ŗ prťsent.
Il se jeta sur moi. Mais il ne put rien.
-- Foutre! Celles qui disent que ton pŤre t'a dťpucelťe sont
des garces! tu es pucelle comme quatre. Je voudrais que tout
le monde fŻt lŗ, pour en Ítre tťmoin...
Il me pommada... devant, derriŤre. Il ťteignit les bougies
(mon pucelage ťtait vendu), et il parut se coucher. Mais ce
fut un autre; car toute la nuit je fus tourmentťe par un gros
membre, qui ne put rien...
Depuis le mot de son rťcit, Elle dťcharge! elle dťcharge!
j'avais glissť une main entre les cuisses de ma fille, sans
qu'elle s'en plaignÓt. Ici, je lui happais le con.
-- Ah! Papa! ne me mťnagerez-vous donc pas plus que les autres,
un jour oý... j'ai ťtť dťpucelťe!
-- Dťpucelťe! Ah! cťleste fille!... Est-il bien vrai?
-- Jamais on n'est entrť... dans ce que vous me tenez...
qu'aujourd'hui!
-- O fille adorťe! je suis un dieu, et non pas un homme... Mais
tu m'as fait trop bander: ta prťcieuse faveur!... ou...
j'aurais... une colique spermatique ťpouvantable!
Et je l'enlevai vivement dans mes bras; je la portai dans le
cabinet obscur.
Chapitre XII Du plus dťlicieux des incestes.
-- Vous voilŗ tous! (me dit-elle); et mon papa lui-mÍme ne me
recherche que pour ce trou-lŗ!
-- Et pour ton cul, tes tťtons, ta bouche, tes yeux, ta taille
voluptueuse, ton tour provocant, ta jambe, ton pied foutatif,
ton ‚me naÔve et virginale, malgrť tout ce qu'on a fait, pour
te rendre putain.
En parlant ainsi, je la troussais par derriŤre, courbťe
qu'elle ťtait sur le foutoir, et je me disposais ŗ le lui
mettre en levrette; mais il la fallut pommader. Elle reprit:
-- Mais c'est ma faute! ces rťcits-lŗ enflamment tous les
hommes. Timori n'a ťtť prÍt ŗ me dťflorer qu'une seule fois;
et ce fut aprŤs ce mÍme rťcit moins dťtaillť.
Cependant elle faufuyait, pour que je ne l'enfilasse pas. Je
m'en plaignis tendrement:
-- Tu veux donc me rendre malade, ma chŤre enfant?
Elle s'attendrit; ses beaux grands yeux bleus devinrent
humides; elle se cambra, pour me l'insťrer elle-mÍme, et me
dit, en me secondant, malgrť quelque douleur, adoucie par la
pommade:
-- Quand ma soeur et moi nous vous l'avons vu tant de fois
mettre ainsi ŗ ma mŤre, sur le pied de votre lit, vous criiez
de plaisir!.... n'allez pas en faire autant! VitnŤgre peut
revenir!
Je lui promis le silence, telles dťlices que j'ťprouvasse...
J'enconnais. Ma belle faisait de petits mouvements de
contraction du connin. Jamais satin ne fut aussi doux que
l'intťrieur de ce connin cťleste; connin encore imberbe n'est
pas plus ťtroit!
-- Ah! si ton gueux avait connu le prix de ton divin con, il
t'aurait dťfoncťe, eusses-tu dŻ en pťrir!
-- Non: comme il l'a trop gros, il craignait de m'avachir. Il
se branle, ou me fait le branler, en me tenant le poil, ou une
fesse, et dťcharge... en... blasphťmant (Elle se contracta, et
dťchargea).
Je partis alors dťlicieusement, en me rťcriant, malgrť ma
promesse.
-- Remue du croupion (ne cessais-je de dire), remue du connin,
mon ange!... Bon... bon!... encore! encore!...
Et elle se contractait, en redťchargeant, au point que le fond
de son con me pinÁait, et me suÁait le bout du vit... Je
dťchargeai trois fois sans dťconner; et elle, peut-Ítre dix
fois. Ce que je sentais ŗ ses trťmoussements convulsifs.
Enfin, elle se p‚ma... Je dťconnai, dŤs qu'elle cessa
d'ťmettre. Elle se lava aussitŰt, craignant que VitnŤgre, en
arrivant, ne lui prÓt et ne lui flair‚t le con, suivant son
usage, mÍme devant le monde qu'il amenait.
Pour nous reposer, nous all‚mes causer ŗ la lumiŤre. Je lui
rťvťlai lŗ toute l'aventure du moine, pour lequel VitnŤgre lui
avait fait si longtemps tenir en vue tťtons, cul, connin. Je
lui peignis la grosseur du vit du moine, le double de celui de
son monstre; la joie barbare qu'avait marquťe l'exťcrable
moine, ŗ cŰtť duquel j'ťtais cachť, de la pourfendre et de la
tuer, la nuit prochaine, avec son vit comme un timon de
carrosse... Elle se jeta dans mes bras:
-- O mon cher papa? sauve-moi! et je te suis dťvouťe ŗ jamais!
-- Je te sauverai...
Je lui expliquai comment et pourquoi le gros moine s'en ťtait
allť; l'assurant que je l'aurais poignardť, s'il avait
entrepris de la violer sur-le-champ. Je lui dťtaillai comment
son abominable mari me l'avait livrťe, comptant la donner au
moine, auquel elle ťtait vendue.
-- Tu sais, ma ravissante fille comme je te l'ai mis? c'est
moi, contre tout espoir et toute vraisemblance, qui ai ravi ŗ
nos ennemis, ton cťleste pucelage!
Conquette me donna un joli baiser sur la bouche.
-- Mais comment me sauveras-tu?
-- Je viendrai te prendre dans une heure; je t'emmŤnerai; tu
coucheras dans ta pension. AussitŰt que tu seras en sŻretť, je
ferai entrer dans le cabinet obscur, avec ta clef, et coucher
dans ton lit, la jolie putain du Port-au-Blť, dťjŗ prťvenue,
comme pour y coucher avec moi. Je guetterai. DŤs que VitnŤgre
et le moine seront arrivťs, je m'ťchapperai. J'ťcouterai; et
nous verrons demain.
Ma fille fut ravie. Je la sauverai: mais j'aurais dŻ l'emmener
au moment mÍme. Au lieu de cela, je m'amusai ŗ lui faire
raconter la seconde et la troisiŤme nuit de son mariage.
Chapitre XIII Du con et du cul vendus.
Voici comme ma cťleste fille reprit la narration que je
dťsirais:
-- Le second soir, VitnŤgre recommenÁa les mÍmes choses. Il me
prenait lťgŤrement la gorge:
-- Ferme comme un gland! (disait-il)...
Il me plaÁait comme s'il m'avait montrťe ŗ quelqu'un (ce qui
n'ťtait que trop rťel!). AprŤs avoir mis en vue ma conque, il
me tournait pour faire voir mes fesses.
-- Elle est encore pucelle (dit-il, comme s'il se fŻt parlť ŗ
lui-mÍme); pour la perforer, il faudrait la pommader en
diable, et se pommader ŗ soi-mÍme le v...
Il me gamahucha violemment; et quand j'eus ťmis suffisamment,
selon lui, il me laissa reposer. AprŤs un court sommeil, je
m'ťveillai couchťe sur le ventre, ayant sur moi un homme, qui
s'efforÁait de m'introduire dans le fondement un fort gros
membre. Mais quoiqu'il n'eŻt aucun ťgard ŗ mes soupirs
douloureux, il ne put jamais s'ouvrir le passage par la
rosette de mon anus (ce fut son expression, prononcťe trŤs bas
ŗ quelqu'un). J'entendis ensuite, dans cette piŤce-ci:
-- Il faudrait qu'un v... moins gros que le mien me la fraye...
Voyons, toi! Trop gros, de beaucoup!...
Je n'y comprenais rien. Je m'endormis, et ne m'ťveillai plus.
Le lendemain, dans la journťe, VitnŤgre m'ayant beurrť la
rosette, et plongť son membre dans l'huile d'olive, me fit
coucher sur le ventre et retrousser. Il se mit sur moi, en
disant:
-- Il faut que j'en t‚te de ce ragoŻt de bougre.
Je lui reprťsentai, qu'il m'avait essayťe toute la nuit.
-- «a va jusqu'ŗ toi (me rťpondit-il), et Áa te passe.... Ah!
que d'argent me vaudraient ces deux bijoux-lŗ, s'ils ťtaient
connus!
Il fit tous ses efforts, me martyrisa deux heures durant sans
succŤs, et finit, parce qu'une copieuse dťch--ge... lui Űta sa
roideur et ses forces...
Le troisiŤme soir, il rťpťta encore tout ce qu'il m'avait
fait... A mon rťveil, dans mon premier somme, je me trouvai
sur le dos, ayant un homme sur moi, qui m'attaquait le bijou
de toutes ses forces. Je m'ťcriai! VitnŤgre me dit:
-- Dťcharges tu, ma fille?
On me quitta, et VitnŤgre ajouta:
-- Si tu cries comme au feu dŤs que je voudrai te le mettre,
nous voilŗ bien!.. Allons, empoigne-moi le vit, que je
dťch-- ge... Chatouille-moi les couilles de l'autre main... Tiens,
comme je fais ŗ ton c-n. Va, va, va... vaah (Il ne m'appelait
encore ni putain, ni garce; ce ne fut qu'au bout de six
semaines).
Mais ce n'ťtait pas lui que je maniais; j'en ai fait
l'observation depuis. On ťmit six fois de suite, je secouai
cet homme plus d'une heure. Il en fut une autre ŗ me
gamahucher. Je n'en pouvais plus!... Il me fit ensuite lui
pisser dans la bouche, et n'en perdit pas une goutte, il avala
tout. Il me laissa enfin.... Si je n'avais pas ťtť dans une
sťcuritť parfaite, je me serais bien aperÁue, que VitnŤgre le
reconduisait, en disant:
-- L'opťration, l'opťration!
Mais me doutais-je de rien?...
Je rebandais, malgrť quatre dťcharges, et dťjŗ je disais ŗ ma
fille:
-- Connin cťleste, je n'en puis plus!... Je ne te cacherai pas,
ma dťlicieuse amie, qu'outre ma passion pour toi, qui est
inexprimable comme ta beautť, j'ai un excitatif puissant:
c'est de faire cocu VitnŤgre. Je voudrais, s'il ťtait possible
sans triturer tes charmes divins, que toute la Terre te pass‚t
par le con, pour qu'il fŻt le cornard universel... Viens me
donner le bonheur!
Et je l'emportais, quand nous entendÓmes tourner la clef. Je
me cachai aussitŰt dans le cabinet obscur... C'ťtait VitnŤgre,
qui rentrait avec un jeune homme. Nous entendÓmes clairement,
qu'il lui disait avant d'entrer:
-- Tu as le vit comme il le faut; c'est ce qui me fait te
donner pour six bougres de louis un pucelage qui en vaut
mille. Il est essentiel que je te surprenne, et veuille la
tuer. Tu me supplieras, et je n'accorderai sa gr‚ce, qu'autant
qu'elle te secondera, pour l'enconner. Mes gros vits
s'ennuient de ne pouvoir la foutre ou l'enculer. Ils me paient
une grosse pension. Aussi je la nourris bien, et tu vois comme
elle est mise. Tu me l'enconneras d'abord: c'est le plus
pressť. Demain, tu l'enculeras. Sache que son mari l'adore;
s'il la rudoie, c'est pour la rendre souple ŗ toutes ses
volontťs. Elle me vaut trente mille francs, en trois mois de
mariage. Entrons; elle va te ravir: mais point de pitiť!
Tel fut le discours du monstre.... Je poussai Conquette devant
moi; je la conduisis ŗ sa pension, d'oý elle revint avec moi.
Il ťtait nuit. Je pris Conillette, la putain, arrangťe,
appťtissante. Conquette nous prťcťdait. Rassurťe par ma
prťsence, elle ouvrit le cabinet obscur. Elle entra. Nous la
suivions. Je dis ŗ Conillette de s'ťtendre foutativement sur
le pied du lit... Cependant ma fille se prťsentait. Elle fut
reÁue avec transport. Le jeune homme, appelť Lenfonceur, et
VitnŤgre lui-mÍme, la couvrirent de louanges. On ne lui baisa
que la main. VitnŤgre, nťanmoins, qui (de mÍme que les trois
fouteurs ŗ gros vits, et le moine), ťtait fou de sa chaussure
ŗ talons minces ťlevťs, lui baisa le pied. Il lui dit ensuite:
-- Ah Áa, ma fille, allons-y par la douceur. Il serait
malheureux pour moi de renoncer ŗ te le mettre; il faut se
faire une raison: mon vit est trop gros; non prťparťe, il te
dťchirerait. Voici un vit mieux proportionnť, qui va te
perforer, sans dťcharger; ainsi percťe, mon gros vit pťnťtrera
cette nuit au fond de ton con. Vois-moi ce vit-lŗ!...
Et il mit ŗ l'air le vit de l'Enfonceur, ou plutŰt de
Timori... Il fallait que VitnŤgre eŻt dťcouvert, on ne sait
comment, l'inclination de sa femme inspirťe par le beau blond,
pour en user comme on va le voir.
Chapitre XIV Le jeune homme, la fille, le moine.
Ma fille, en reconnaissant son amant, que son mari lui amenait
pour l'enconner, avait rougi de pudeur, ou de dťsir. Elle
trouva moyen de venir ŗ moi, pour me dire:
-- Faites disparaÓtre la fille; on ne l'emploiera que cette
nuit.
Je vis bien qu'elle voulait Ítre foutue par son galant. Je
cachai la putain. Voici maintenant le rťcit de ce qui va se
passer.
DŤs que Conillette se fut commodťment arrangťe derriŤre le
grand sofa, Conquette retourna auprŤs des deux hommes, qui la
rapportŤrent au foutoir, assise ŗ cul nu sur leurs mains
unies.
-- Allons, ma petite garce de femme (lui disait VitnŤgre), tu
vas pourtant Ítre dťpucelťe, foutue! Mais ce n'est rien! c'est
quand tu auras un gros vit, cette nuit!...
Il la troussait, l'arrangeait.
-- Lenfonceur, que je te mette le vit dedans!
-- Non, non; ma belle se le mettra elle-mÍme.
-- Tu as raison. Il faut qu'elle s'y accoutume.
VitnŤgre sortit, et j'observai qu'il laissait la porte
ouverte. J'en augurai quelque noirceur. Mais j'ťtais lŗ...
Timori, bien bas, dit ŗ ma fille:
-- Vous le mettrai-je, ma bonne amie?
-- Non, non! il est allť chercher des ťcoutants [ce mot glaÁa
Timori].
-- Mais il vous estropiera?
-- Je ne couche pas ici.
Alors l'amant satisfait, se mit ŗ la gamahucher doucement.
Cependant la Voluptueuse dťchargea...
Elle ťtait aux anges, quand j'entendis VitnŤgre revenir. Je
crus qu'il amenait le moine. Il entra, passa rapidement, suivi
de trois voisines, auxquelles il disait:
-- Je vas vous montrer Áa.
Effectivement, il leur montra quelque chose dans sa chambre...
Cependant mon amoureuse fille, gamahuchťe par un amant aimť,
fit un profond soupir. Les trois voisines prÍtŤrent l'oreille.
-- Ce n'est rien (dit VitnŤgre); ma femme est rentrťe, et je ne
le savais pas. C'est pour elle cette ťtoffe-lŗ.
-- Oh! il faut la lui montrer! (s'ťcriŤrent les trois
voisines).
Le monstre retint celle qui allait la chercher. Il prit la
lumiŤre, en disant:
-- Je vais auparavant voir si elle ne dort pas.
Il ne fut qu'ŗ la porte, oý il s'arrÍta d'un air de surprise
et d'horreur!... Il recula. Mais les trois voisines avaient vu
comme lui, par-dessus son ťpaule, Conquette troussťe, ťtendue
ŗ la renverse sur le pied du lit, la tÍte d'un homme entre ses
cuisses... Il les fit sortir par le corridor, en se frappant
le front...
Il avait rempli son but. Si sa femme criait pendant la nuit,
les trois voisines, qui se croyaient bien au fait, y
mettraient les autres. Si Mme VitnŤgre pťrissait ťcalventrťe
par le timon du moine (qui, ťtant extrÍmement riche, devait la
payer 60 mille francs, et qui en avait dťjŗ tuť plusieurs,
choisissant toujours les plus ťtroites), ce serait la morte
qui aurait tort... Cependant VitnŤgre rentrait auprŤs des deux
amants, qui avaient changť de position: Lenfonceur, aprŤs
avoir dťchargť par terre, s'ťtait remis sur le ventre de ma
fille:
-- Eh bien? (dit l'inf‚me mari) est-elle enfilťe? bien
enconnťe?... Dťchargez-vous? dťcharge-t-elle?
Nous avons dťchargť (rťpondit Timori-Lenfonceur).
-- Je vas sortir (reprit VitnŤgre). Ramone-la-moi encore
pendant une bonne demi-heure, que je serai dehors... Et ne
vous ťtonnez pas de ce que vous allez entendre. J'ai mes
raisons.
Il alla dans le corridor, dont il ouvrit doucement la porte,
et se mit ŗ crier sourdement, comme s'il avait bourrť sa femme
ŗ coups de pieds:
-- Ah garce! ah putain!... Tu fous, sacrťe salope! Quand je
suis sorti, tu raccroches!... Je vais chez le commissaire!
Il ouvrit la porte bruyamment, et la referma de mÍme. Mais il
dit tout bas, avant de s'ťloigner:
-- Remue du cul, ma petite femme!... Courage, Lenfonceur!
fraye-moi la bien!
-- Voilŗ un rusť scťlťrat! (dis-je ŗ ma fille, pendant que
Timori observait la sortie de VitnŤgre) Le moine t'aurait
tuťe, et il ne nťglige rien pour motiver ta mort.
-- Sauvons-nous! (me dit-elle).
-- Non, non; nous sommes assez pour te dťfendre. Feins ŗ Timori
que j'arrive...
Le jeune homme rentra.
-- Voici mon papa, arrivť ŗ propos!
-- Ah oui! (rťpondit Timori), sa prťsence pare ŗ tout; car
j'allais proposer de nous enfuir. Mais, ŗ prťsent, voyons ce
qui arrivera.
Je lui montrai Conillette, et je lui fis entrevoir notre plan,
que Timori trouva merveilleux!... Le temps s'ťcoula vite. Nous
entendÓmes revenir. Timori reporta la lumiŤre dans la chambre;
nous nous cach‚mes ma fille et moi; tandis que le jeune homme
s'ťtendait sur le ventre de Conillette troussťe...
-- Que ton vit ne m'approche pas! (lui dit-elle) je suis g‚tťe;
que tes couilles ne me touchent pas le poil; j'ai des
morpions!...
VitnŤgre entrait, suivi du moine, que le voisinage aux
fenÍtres prit pour le commissaire.
Chapitre XV Du fouteur ŗ la Justine.
Le moine Űta d'abord sa robe. Mais nous l'avions tous vu. Il
mit ensuite ŗ l'air un vit, si monstrueux que ma fille
tremblante m'ťtreignit dans ses bras.
-- Oh! qu'il est gros (dit VitnŤgre).
-- Il a tuť deux de mes soeurs religieuses, qui avaient fait
chacune deux enfants de notre Prieur. J'ai tuť toutes les
femmes que j'ai enconnťes; il n'y a que ma mŤre que je n'ai
pas ťcalventrťe; mais je n'eus pas de plaisir; la vieille
garce ne saigna presque pas! j'eus peu de plaisir... Pour ta
femme... Ah, quelle rage!... Mais elle est foutue... elle sera
morte avant que j'aie achevť de l'enconner... Je l'enculerai
expirťe... Je t'en apporte le prix: 60 mille francs en billets
de la caisse...
VitnŤgre le compta; les serra.
-- Si je pouvais l'enconner une pauvre fois!
-- Tu te fous de moi!... AprŤs, aprŤs; elle sera encore
chaude...
Je frťmissais! et comme j'avais deux pistolets chargťs, je fus
tentť de brŻler la cervelle ŗ ce monstre; mais il allait avoir
la vťrole...
-- Voulez-vous, avant qu'elle soit abÓmťe, lui voir le con? sa
jolie figure?
-- Non! cela m'amollirait le vit.... Conduis-moi sans lumiŤre.
Ils vinrent ŗ t‚tons.
VitnŤgre prťcťdait, pour ťloigner Lenfonceur. Trouvant une
femme seule, et troussťe, il voulut lui mettre, en soupirant,
sa langue dans le con. Elle l'en empÍchait, quand le moine
faillit de l'ťcraser, en tombant sur la fille. VitnŤgre fut
obligť de se retirer a quatre. Le premier acte du PŤre
Foutamort (comme VitnŤgre le nomma), ce fut de mordre le bout
des tťtons de sa monture, en lui dardant son engin, qui ne
pouvait entrer dans ce vaste con, encore ťlargi par une
ťponge, que la fille venait d'en Űter. Conillette fit un cri
perÁant! Et, se sentant dťchirer le con, elle voulut se
dťrober, en ťgratignant des deux mains. Foutamort, qui savait
bien qu'elle ne pouvait en ťchapper, et dont le plaisir ťtait
d'autant plus grand ŗ tuer une femme, qu'elle ťtait plus belle
et plus ťtroite, ne la mťnagea pas; tout en l'ťcartelant, il
lui arracha le bout des seins avec ses dents. Un profond
ťvanouissement, ou la mort, fit cesser ses cris... Je me
repentis de n'avoir pas d'abord tirť un coup de pistolet ŗ
bout portant dans la tÍte du moine... Mais les voisins au
bruit auraient peut-Ítre enfoncť les portes; ce fut ce qui me
retint... Foutamort, parvenu au fond du con de la fille
ťcalventrťe, dťchargea enfin en jurant et rugissant.
-- Fous un coup (dit-il ŗ VitnŤgre), avant que j'encule la
garce!
Le scťlťrat vint; mais, sentant un cadavre plein de sang, il
se retira.
-- Elle est morte! (dit-il).
Foutamort la t‚ta:
-- Non; le coeur bat encore; vite que je l'encule.
Le cul de Conillette ťtait bien plus ťtroit que son con; le
moine haletait. Il en vint cependant ŗ bout, car il dit ŗ
VitnŤgre:
-- Je n'ai fait qu'un trou des deux.
Et il dťchargea horriblement!...
Ma fille, ťpouvantťe, m'ťtreignait par le milieu du corps.
VitnŤgre pleurait:
-- Ma pauvre femme! je t'ai livrťe ŗ ton bourreau!
-- Ne te l'ai-je pas payťe? (dit le moine) Elle est bien ŗ
moi... Ainsi, va te coucher, et fous tes 60 mille livres; tu
me gÍnes. Pour moi, pendant qu'elle est encore chaude, je vas,
pour mon argent, foutre cinq ŗ six fois le cul et le con de ma
putain.
VitnŤgre alla se coucher dans un petit cabinet, oý il
s'enferma.
AussitŰt Foutamort s'acharna inťpuisablement sur sa victime
expirťe... Enfin, ťpuisť, il alla chercher la lumiŤre, pour en
repaÓtre ses cruels regards... J'ai dit que la fille ťtait
jolie.
Elle est belle encore! (dit le monstre) Mais la figure de la
putain est toute bouleversťe; elle ne se ressemble plus ŗ
elle-mÍme...
Il lui regarda le con, en lui soulevant le cul... Il la laissa
retomber, en ťclatant de rire:
-- Ma foi, la gueuse n'a plus qu'un cul, ou qu'un con... je ne
sais lequel... Mais est-elle bien morte?
Il la dťshabilla, l'emporta nue dans l'autre piŤce, la mit sur
une grande table; alla prendre un vaste saladier; tira un
bistouri [Nous le voyions par la cloison vitrťe].
-- Dťcharnons-la.
Il lui cerna la partie charnue des seins, la motte tout
entiŤre, la chair des cuisses; lui fendit le ventre, lui
arracha le coeur, les poumons, le foie, la vessie, la matrice;
la retourna, lui enleva la chair des fesses, lui coupa les
pieds chaussťs, qu'il mit dans une poche, les mains, qu'il
serra dans l'autre. Il la retourna encore; lui coupa la
langue, la tÍte, Űta la chair des bras. Il vint ensuite
chercher sa chemise et un drap du lit, en disant:
-- Voilŗ un bon rťgal pour nos moines et pour moi.
Le terrible anthropophage mit le saladier dans la chemise;
ensevelit le corps dans le drap; fit lever VitnŤgre pour le
coudre; puis il lui dit de publier le lendemain que sa femme
se mourait; de la mettre le soir dans une biŤre, et que lui
moine se chargeait de la faire enterrer. Et, aprŤs lui avoir
recommandť de bien effacer au grand jour toutes les traces de
sang, il sortit vers les 3 heures du matin, emportant son
saladier de chair humaine.
VitnŤgre pleura d'abord. Mais, nous ayant entendu remuer pour
sortir, le l‚che eut une frayeur si grande qu'il alla
s'enclore dans son petit cabinet. Nous sortÓmes donc tout ŗ
notre aise. Comme nous traversions la petite cour, nous
entendÓmes les voisins qui disaient fort bas:
-- Il ne l'a pas tuťe; voilŗ qu'on l'emmŤne!...
Nous nous mimes ŗ fuir par de petites rues, dŤs que nous fumes
dehors, de peur d'Ítre suivis. Et bien ŗ-propos! nous
entendÓmes courir. Mais on ne prenait pas notre chemin. Je
remenai ma fille ŗ sa pension, laissant lŗ Timori, pour
observer, et lui promettant de revenir dans une demi-heure.
-- Voilŗ donc (me dit-elle), quel serait ŗ prťsent mon sort,
si, en vous accordant mes faveurs, je n'avais pas reculť votre
dťpart! O mon cher papa! tout mon corps est ŗ vous, pour en
faire ce que vous voudrez!
Je lui demandai sa bouche. Elle me darda sa langue; et nous
arriv‚mes. Je lui dis de se coucher.
-- Non, non! et mes malles.. mes bijoux; si nous pouvions les
avoir?
J'admirai sa prťsence d'esprit!... Il ťtait prŤs de 5 heures.
Je courus rejoindre Timori, qui se promenait devant la porte.
-- Rien encore (me dit-il).
Un instant aprŤs, nous vÓmes sortir VitnŤgre. Timori le
suivit, et j'allai chercher ma fille, sa prťsence nous ťtant
nťcessaire, si d'officieux voisins nous arrÍtaient. A mon
retour avec ma fille et deux crocheteurs, je retrouvai Timori,
qui nous dit que VitnŤgre avait passť le boulevard. Ma fille
ouvrit. Nous charge‚mes quatre malles prťparťes, mais cachťes;
nous sortÓmes sans Ítre vus, et nous all‚mes par des rues
dťtournťes, chez mes affidťs.
Ce fut alors que ma Conquette fut tranquille! Elle se coucha,
et nous all‚mes reposer chacun chez nous, Timori et moi.
Chapitre XVI Foutoir; petit magasin; enterrement; amour.
Nous en sommes aux fouteries par excellence; ŗ celles qui vont
aguerrir ma dťlicieuse Conquette-Ingťnue, ma ravissante
Victoire-Conquette, faire leur fortune, la mienne, en leur
Űtant une fausse dťlicatesse, et dťcouvrir une chose
admirable, qu'on ne verra qu'ŗ la fin. La route que je vais
prendre, pour former ces deux belles et leurs compagnes,
ťtonnera d'abord! mais en toutes choses, il faut attendre le
dernier rťsultat... Reprenons ce charmant rťcit, en faisant
prťcťder quelques fouteries prťparatoires, qui amŤneront les
grandes. Mais il n'y aura plus, dans le reste de l'ouvrage,
aucune horreur qui ressemble ŗ celle du moine Foutamort. Les
horreurs ŗ la Dsds sont aisťes ŗ prťsenter; c'est la peinture
de la douce voluptť qui est le chef-d'oeuvre du gťnie.
La premiŤre visite que reÁut Conquette, le lendemain, jour de
son enterrement, et ŗ la mÍme heure, fut celle de Timori. Il
la trouva chez ses hŰtes. Il venait lui raconter comment,
aprŤs Ítre morte la nuit prťcťdente, elle venait d'Ítre
enterrťe. Mais Il ne pouvait parler devant le monde. Or,
j'avais dans cette mÍme maison, ŗ quelques marches au-dessous,
mais sur le derriŤre, un petit magasin, oý je cachais chaque
numťro de mes Annales, que supprimait le gouvernement d'alors.
Ma fille y devait faire mettre son lit, le soir mÍme. Il y
aurait sans doute ťtť dťjŗ; mais elle ne faisait que de se
lever. J'y avais placť pour mon usage, celui de mon
secrťtaire, de sa soeur, de sa maÓtresse et de sa belle-mŤre,
un foutoir commode, dans le ventre duquel on pouvait
parfaitement se cacher. [VitnŤgre en avait un tout pareil,
dans lequel il se mussait, quand un de ses trois payeurs
venait, pour essayer de dťpuceler le con ou le cul de sa
femme, qu'il appelait, sa poule aux oeufs d'or; il voulait tout
voir, craignant qu'un des trois ne la lui enlev‚t. C'ťtait
aussi par voluptť; il ťtait passionnť pour la chaussure de sa
femme. Lors donc que, tendrement gamahuchťe par un des trois
bougres (car ils l'adoraient, et ils vont bien la regretter),
elle ťmettait, il lui tirait un soulier qui, se trouvant
ťtroit vers la pointe, lui servait de con. Aussi disait-il ŗ
ses intimes:
-- Je n'ai jamais foutu ma femme qu'en soulier.
Conquette, sentant bien que Timori avait bien des choses ŗ lui
dire, et qu'il ne pouvait parler, prťtexta qu'elle avait
laissť dans mon magasin une lettre ŗ lui montrer. Elle avait
une double clef. Ils y descendirent ensemble.
Je venais d'y arriver. J'entendis la marche de ma fille, sa
voix basse, et celle de Timori. Je me cachai dans le foutoir.
Ils entrŤrent. Conquette ferma soigneusement la porte, la
couvrit du matelassement qui empÍchait qu'on ne fŻt entendu au
dehors, et ils s'assirent sur moi.
"Ah! Madame (dit Timori), quelles scŤnes!... Il avait
dťcouvert que je vous aimais, ŗ mes regards, et parce qu'un
jour ťtant avec lui chez vous, pendant qu'un de vos acheteurs
vous caressait sous son nom, il me vit baiser ŗ la dťrobťe une
de vos chaussures. Mais il paraissait ignorer non seulement
que vous m'aimiez, mais que je vous fusse connu. Hier, ŗ 3
heures, m'ayant trouvť au cafť, il me dit:
-- Je ne saurais dťpuceler ma femme; j'ai le vit trop gros. Tu
es beau garÁon; je t'ai choisi, pour la dťpuceler aujourd'hui,
ŗ l'instant; je te demande seulement six louis, qu'elle aura
pour ses ťpingles.
Je les lui donnai sur-le-champ, et nous partÓmes... Vous savez
le reste... Ce matin, aprŤs vous avoir quittťe, j'ai ťtť me
reposer jusqu'ŗ 10 heures, que j'ai ťtť ŗ mon bureau. Mais,
passant devant sa porte, j'y ai frappť. J'ai entendu deux
voisines qui se disaient fort bas:
-- Le confesseur y est! ce n'est donc pas elle qu'on a emmenťe
cette nuit...
L'inf‚me m'a ouvert. L'horrible moine ťtait avec lui. Un frŤre
avait apportť la biŤre bien enveloppťe, et il rťcitait tout
haut des priŤres auprŤs du cadavre dans le cabinet obscur.
-- C'est un ami (a dit VitnŤgre)... Ma pauvre femme est morte!
-- Morte! (ai-je dit)
-- Elle est expirťe dans les bras du rťvťrend pŤre.
J'ai frťmi de l'expression!... Le moine a dit:
-- J'ai fait toutes les dťmarches; nous avons la permission de
l'enterrer sans bruit; ce sera pour 3 ou 4 heures.
Je suis sorti...
En revenant de dÓner, vers les 4 heures, je suis repassť. Deux
prÍtres, quatre porteurs, le moine et le frŤre, ont emportť le
corps, sans chanter. Il est inhumť. Nous verrons la suite des
ťvťnements... Je les observerai.
-- Ma belle amie! On vous croit morte: vous Ítes libre.
M'accorderez-vous vos prťcieuses faveurs?
-- Mon ami! (rťpondit modestement Conquette) je commence par
vous remercier de l'important service que vous m'avez rendu!
mais un autre m'en a rendu un plus important encore. Seul il
m'aurait sauvťe. Si mes faveurs ťtaient encore ŗ moi, elles
seraient ŗ vous. Mais elles sont ŗ mon premier amant, qui,
cachť, a dťcouvert toute la trame. Il venait de me dťflorer;
il me l'a mis encore aprŤs. C'est votre unique rival: mais il
est adorť; son nom, que je vais vous dire, va vous prouver
toute mon estime, et que vous avez toute ma confiance. C'est
mon papa...
A ce mot, Timori tomba aux genoux de son amante:
-- Fille angťlique! Fille divine! (lui dit-il) je reconnais lŗ
votre piťtť filiale et la beautť de votre ‚me! Foutez avec
votre pŤre; que lui seul vous enconne! Vous seriez digne de
foutre avec Dieu, si Dieu foutait!... Mais je demande ŗ vous
gamahucher, et, si votre papa le permet, ŗ vous enculer!
-- Mon aimable ami! (lui rťpondit Conquette, en le caressant de
la main) vous Ítes bien raisonnable!
Timor se dťculotta, lui mit dans la main un vit ŗ pucelage,
plus petit que le mien, se fit chatouiller les couilles, et la
voulut branler. Elle s'y refusa. Alors Timori la renversa, la
troussa, et lui supa savoureusement le con... Non, jamais l'on
n'entendit de pareils soupirs!...
-- Ah! Timori... ta langue vaut un vit.
Elle avait ťmis dŤs le troisiŤme coup de langue, et, dans son
dťlire, elle ťlevait ses jambes en l'air, faisait claquer ses
jolis talons, haussait du cul, pour favoriser l'application de
la bouche de son gamahucheur, et l'intromission de la langue
qui lui chatouillait le clitoris. Elle imitait sa mŤre, dans
ce claquement de talons; car je ne foutais celle-ci que de
jour, soit en con, soit en cul, soit en bouche, pour Ítre
excitť par ce qu'elle avait de mieux, la jambe et le pied. Je
lui demandais le claquement des talons, parce qu'il imitait la
marche de femme, son qui me faisait toujours bander... Lorsque
ma fille eut amplement dťchargť, elle ťcarta Timori.
Chapitre XVII Du pucelage du cul: le pŤre enconneur.
La cťleste Conquette-Ingťnue fut toujours aussi juste que
belle et sensible: qu'on ne soit donc pas surpris de ce qui va
suivre.
Elle se mit sur le ventre, et lui dit:
-- Mon second ami! pommade-moi. Mon premier ami a eu le
pucelage de mon bijou; il est juste que tu aies celui de ma
rosette; mon papa sŻrement m'approuvera!
-- O dťesse! (rťpondit Timori, en lui insťrant de la pommade
dans l'anus avec une canule) que tu es raisonnable! Il aura le
connin, moi la rosette, et nous jouirons chacun d'une fouterie
ŗ nous seuls.
Timori enfonÁa, malgrť quelques petits cris de ma chŤre fille,
et aprŤs de vives saccades, il dťchargea, en s'ťcriant:
-- Foutre! foutre! quel cul.. quel plaisir des Dieux!
Et il se p‚ma... Il fut ťpuisť, et de sperme et de forces, par
ce coup seul... Aussi se rappela-t-il, ŗ mon grand
contentement, qu'il ťtait attendu ŗ 7 heures. Il laissa
l'amoureuse Conquette-Ingťnue ťtendue sur le lit, aprŤs
l'avoir remise sur le dos, afin de lui donner quelques coups
de langue au con, pour baiser d'adieu. Il alluma sa bougie,
sortit, et tira la porte.
AussitŰt je quittai ma cachette, et je m'ťlanÁai sur mon
adorable fille, que les trois dardements de langue avaient
ťmue, et dont le con oscillait vivement.
-- Quoi! vous ťtiez lŗ?
-- Oui, ma divine. Il encule; moi j'enconne. Tu me causes une
ťrection terrible!
-- Adorť Papa, foutez... foutez-moi! (et c'est la premiŤre fois
de sa vie qu'elle prononÁait ce mot) je n'en puis plus moi-mÍme...
Elle me saisit le vit, et se le mit dans le connin:
-- Pousse! (me disait-elle) Il entre.. Pousse! vit de Dieu! vit
paternel! ťmets du foutre dans le con de ta fille!...
En parlant ainsi, elle remuait tellement du cul, que je me
trouvai bientŰt au fond de son connin. Vive la fouterie
ordinaire! c'est la meilleure maniŤre des quarante! J'avais la
bouche, la langue, les blancs tťtins de ma fille, ses
caresses, la vue de son charmant visage, toujours joli au
double dans une femme qu'on fout, ses doux propos:
-- Cher vit! vit divin! comme il me chatouille le con!...
Pousse!... Ah! bougre! je me p‚me... Je dťchar...arge du
fou...outre!... Ta langue! cher amant! Enconneur adorť!... Oh
je redťcharge! Fous, sacrť bougre! Suce... mordille-moi les
tťtons!...
Je dťchargeai dťlicieusement ŗ la seconde ťmission de ma
cťleste fille. Au fond de son ťtroit connin, je me sentis
adorablement pincť par ce que le vulgaire appelle le clitoris,
et les gens de l'art, le bas du conceptoire ou de la matrice;
cet organe de voluptť, qui n'est atteint que par un vit long,
me suÁait le bout de l'engin dťchargeant... Et cette idťe
dťlirante, en me voyant sur la plus belle des femmes,
renversťe sur le dos, bien enconnťe, se p‚mant de plaisir,
-- Je fous ma fille... Je lui dťcharge dans le con... Nos
foutres mÍlťs peuvent lui faire un enfant tout de moi... Je
fais cocu le gueux, le scťlťrat de VitnŤgre! Je fous sa femme,
qu'il croit morte, qu'il n'a jamais foutue... Nous la foutons,
Timori et moi, l'un en con, l'autre en cul, tandis que le vil
jean-foutre se branle le vit ŗ sa divine intention... Il la
croit ťcartelťe par le vit-timon de son exťcrable moine... et
son ťtroit connin dťcharge avec nous, comme celui d'une
princesse, foutue par un jeune garde du corps!...
Ces idťes, rapidement roulťes dans mon imagination,
doublaient, triplaient ma voluptť...
Ma fille me fit dťconner:
-- J'en suis pleine, me dit-elle; le devant, le derriŤre; il
faut que je me purifie.
Je courus lui chercher de l'eau tiŤde chez son hŰtesse, Mme
Brideconnin, que je trouvai seule auprŤs du feu, des tťtons
blancs comme neige dťcouverts. Je les baisai, pris l'eau qui
chauffait pour elle. Son mari me dit:
-- Je viens de le lui mettre, ŗ l'intention de votre fille, la
charmante Mme Poilsoyeux (nom que je lui avais donnť, pour
qu'elle ne port‚t pas celui de son inf‚me mari).
Je rentrai. Je lavai moi-mÍme avec une fine ťponge les charmes
secrets de ma dťitť. Il y avait un peu de sang ŗ la rosette,
et mÍme au connin.
-- Eh! quoi, ma dťlicieuse, tu as donc encore souffert?
-- Oui, mon cher bourreau; mais le plaisir l'a toujours
emportť, mÍme en cul...
Conquette, purifiťe, me dit:
-- J'ťtais si pressťe de jouir avec vous que je n'ai pas pris
le temps, papa-sauveur, de vous demander votre sentiment sur
ce qui s'est passť entre moi et Timor?
-- J'ai aussi bien des choses ŗ vous dire lŗ-dessus, mon ange;
mais nous allons souper. Vous avez besoin de repos, et moi
aussi; ce sera pour demain...
Je lui donnai la langue; elle me darda la sienne; je baisai
les boutons rose de ses tťtons, et nous all‚mes nous mettre ŗ
table.
Pendant le souper, je racontai ŗ M. et Mme Brideconnin ce
qu'il fallait qu'ils sussent de la prťtendue mort de Mme
Poilsoyeux afin qu'ils ne la compromissent jamais. Pendant le
repas, notre porteur d'eau et sa femme placŤrent le lit de ma
fille dans mon magasin; et, dŤs qu'il fut arrangť, nous y
descendÓmes ensemble. Ma belle amie me dit:
-- Je crois que j'aurai peur; priez Mme Brideconnin de venir
coucher avec moi!
-- Je vais rester, ma reine.
-- Ah! j'aime bien mieux cela! non pour jouir; mais pour que
mon amant-papa s'endorme sur les tťtons de la femme de
VitnŤgre, pendant qu'il se morfondra, ou qu'il ne ... qu'un de
mes vieux souliers.
-- Ma divine fille? (repris-je) je vais, dŤs ce soir, te dire
ce que je voulais remettre ŗ demain. Couchons-nous.
Je dťshabillai ma dťesse comme une nouvelle-mariťe, baisant
tout ce que je dťcouvrais. Tous deux au lit, je l'assis sur
mon vit.
Chapitre XVIII Des avis paternels, tenant sa fille enconnťe.
Ami lecteur! j'ťprouve encore les oscillations de la plus
savoureuse voluptť, en me rappelant ces moments enchanteurs,
que m'a procurťs ma Conquette-Ingťnue-L**!
-- Appuie lentement, ma reine; que je t'enfile sans limer!
Elle le fit. Lorsqu'elle fut parfaitement enconnťe, je lui
dis:
-- Tu sais, trŤs chťrie fille, que j'ai tout vu, tout entendu.
Tes sentiments divins ŗ mon ťgard, m'ont pťnťtrť de
reconnaissance et d'admiration... J'approuve entiŤrement que
tu aies donnť ŗ Timori le pucelage de ton beau cul. J'accepte
avec transport ton dťvouement pour moi. Mais, cťleste fille!
c'est ŗ ton intťrÍt, ŗ ton bonheur, que je me propose de le
faire servir. Je ne prťtends pas, tel qu'un sultan, te garder
pour mes plaisirs exclusifs. Tu auras un payeur. Lequel des
trois hommes auxquels ton pucelage ťtait vendu aurais-tu
prťfťrť?
-- Le plus honnÍte, incomparable papa; mais c'est justement
celui qui l'a le plus gros.
-- Je te ferai donc ťlargir le bijou par un gros homme de ma
connaissance. Il n'est pas aimable; mais un homme aimable
pourrait t'ťpuiser, en te faisant trop dťcharger; outre qu'il
pourrait te prendre le coeur; ce qu'il ne faut pas; un fouteur
prťparatoire ne doit te prendre que le con... Ni moi, ni
Timori ne te suffirions point; nous n'avons pas le vit assez
gros; ce ne sont que des vits ŗ pucelage. Mais j'ai plusieurs
ressources... Je sonderai celui que tu prťfŤres; puis les deux
autres, s'il ne fait pas ton affaire. Je les ai ťpiťs. Je sais
leur adresse; je ne nous compromettrai pas. Je ne te demande
que de la soumission!
-- EntiŤre! divin papa.
Elle se trťmoussa un peu, et dťchargea.
-- S'il te survient beaucoup de tempťrament, comme je crois
l'entrevoir, j'aurai soin que tu ne manques pas de vits. Tu
verras comme tu seras rťgalťe!... Je ne suis plus d'un ‚ge ŗ
te rassasier de voluptť. Ainsi, je te le ferai mettre par de
jolis jeunes gens, graduant la grosseur des vits.
Ici, ma provocante fille s'agita, en me disant:
-- Mon cher vit-papa! permets que je foute en con ŗ l'intention
de Timori, le vit de mon cul! Tu m'as convertie; il
m'enconnera, mais en ta prťsence.
-- Oui. oui...
Je la saccadai. Elle s'ťcria:
-- Fourgonne.. vit de mon cher Timori! fourgonne mon con!
Fais-moi p‚mer! bougre.. foutre.. Ramone.. ramone!... ze dťÁarze!
Et elle dťchargeait, en se roidissant:
-- Ahahah, mon papa! Ahahah! Ahahahh! (avec un long soupir)...
Je n'ai jamais eu tant de plaisir qu'ŗ cette dťcharge... Nous
avions de la lumiŤre; ma fille se mit sur le bidet pour se
rafraÓchir le bijou, tandis que je me mettais le vit et les
couilles dans l'eau froide, pour me faire dťbander. Je
demandai ŗ ma fille, Qui lui avait appris les expressions dont
elle s'ťtait servie, en dťchargeant? "DŤs la troisiŤme semaine
de notre mariage (me rťpondit-elle), VitnŤgre fit coucher avec
lui sa filleule, femme d'un espion de police; cette femme, par
les ordres de son parrain, feignait de dťlirer, quand il
l'enfilait; et voilŗ quels ťtaient ses propos, avec beaucoup
d'autres, qui n'auraient pas ťtť placťs pour nous, comme
gros-bondon, chien de vit de mulet, Foutamort le cadet! etc. Nous
nous remÓmes au lit, et nous nous endormÓmes enlacťs.
Le matin, je renouvelai mes instructions ŗ ma fille. On
frappa. C'ťtait Mme Brideconnin, qui parla. Je me cachai dans
le foutoir. Elle apportait le dťjeuner de Mme Poilsoyeux.
-- On cherche une fille du Port-au-Blť (dit-elle), disparue
depuis avant-hier soir. Une de ses pareilles a dit, qu'elle
devait aller coucher avec un homme de 40 ans, qu'elle avait
dit avocat, mais qui est chirurgien; qu'ils l'ont tuťe ŗ deux
pendant la nuit, et dissťquťe. C'est peut-Ítre votre histoire,
qu'on dťnature comme Áa? Mon mari doit aller s'informer.
Elle sortit; et je vins dťjeuner avec Conquette. Je la
laissai, en promettant de la voir ŗ dÓner.
Je fus exact. Brideconnin ťtait sorti. C'ťtait effectivement
de Conillette dont il ťtait question. Le commissaire et les
mouchards visitaient toutes les maisons de la rue; mais on ne
trouvait rien. Je changeai de costume par prťcaution... Je
revins le soir, et ne couchai pas. Je me reposai trois nuits,
et laissai reposer Conquette-Ingťnue.
On sait que j'aimais ma fille autant pour elle-mÍme, que pour
mon plaisir, et que je n'entendais pas rťgler son appťtit de
19 ans, sur mes forces de 40. Mais j'avais encore d'autres
raisons. Je vais me conduire en consťquence.
Chapitre XIX Du pŤre juste, et du vit grisonnant.
On sera sans doute surpris de ce qu'on va lire, d'aprŤs les
sentiments que je viens de professer!... Ne me prťjuge pas,
tťmťraire! Pour me connaÓtre et prononcer, attends.
Je connaissais un de ces gourmets de plaisir, gros homme
vigoureux, lubrique ŗ l'excŤs, nommť Montencon. Il m'avait
donnť souvent ŗ dÓner, rue Troussevachť, oý il demeurait, m'y
avait fait enconner la petite Vitsucette, sa maÓtresse, en me
la tenant lui-mÍme. Il m'avait mÍme procurť la fille de son
hŰtesse, Petit Bijou, sťduite par un noble, appelť de Fout‚ne,
qui l'avait ensuite rendue putain. Elle nous amusa toute une
aprŤs-dÓner; Montencon ayant grisť la jolie AdťlaÔde
Hochepine, il eut la politesse de me la faire enconner le
premier, et chatouiller les couilles par sa maÓtresse. Ensuite
il l'encula, ťgalement chatouillť par Vitsucette. Je la
refoutis, aprŤs que la Vitsucette de Montencon me l'eut lavťe.
Mais celui-ci nous dit:
-- J'ai mes raisons. J'embouche la jolie garce.
L'ayant embouchťe, et lui ayant fait avaler son foutre, en
haine de Fout‚ne, j'en fus dťgoŻtť, ainsi que de la
Vitsucette, dite la Baiseuse, ŗ laquelle il en faisait autant.
Je n'y ťtais plus retournť. Ce fut cet homme que j'invitai ŗ
dÓner dans mon petit magasin, pour aguerrir et m'ťlargir un
peu ma fille (car j'avais fait donner sťparťment aux trois
payeurs ŗ gros vits de VitnŤgre, MM. Lťlargisseur, Percecul et
Cognefort, l'espoir de la retrouver, ou sa pareille).
Montencon ťtait connu de Conquette, dont il avait foutu la
mŤre avant la vťrole. Il n'en avait que plus envie de le
mettre ŗ la fille. Je le trouvai dans l'escalier, en arrivant
moi-mÍme. Je l'introduisis. Il demeura immobile de joie et
d'admiration, en voyant une femme si belle!... J'avais
affaire; je ne restai qu'un moment, en lui disant, que je lui
laissais ma fille pour compagnie. Il balbutia, en me
reconduisant:
-- Elle est ravissante! Quel goŻt dans sa parure! Comme elle
est chaussťe! et quel dommage qu'un VitnŤgre ait eu ce
pucelage-lŗ!
-- VitnŤgre? Elle est pucelle.
-- O mon ami! puis-je y tenter? et t‚cher de mettre au moins
une corne ŗ ce gredin-lŗ?
-- Fais-y ce que tu pourras. Mais je doute du succŤs, avec ton
poil gris. Il n'y a que les catins blasťes, qui souffrent les
barbons vigoureux et libertins; avec les pucelles sages, il
faut Ítre tendre; et tu as la figure d'un satyre, ou d'un
rťprouvť. Mais tente-z-y.
AprŤs mon dťpart, Montencon essaya d'abord de la galanterie.
Mais n'y gagnant rien, il culbuta Conquette ŗ l'improviste sur
le foutoir; et, comme il ťtait vigoureux, il lui approcha, en
la contenant d'une main, le vit des lŤvres du con... Cependant
il ne put l'enfiler; un coup de cul en arriŤre le
dťbusquait... Il allait la menacer de la poignarder, lorsque
je rentrai. Conquette se rajusta, sans marquer d'humeur. Je
dis tout bas ŗ Montencon:
-- Le pucelage?
-- C'est un diable! J'en serai rťduit ŗ me branler!
-- Tu la foutras.
Nous nous mimes ŗ table. Conquette parla comme ŗ l'ordinaire ŗ
son vellivioleur, et rit mÍme avec lui. Tout haut, devant moi,
il lui demanda, d'oý vient elle ne s'ťtait pas laissťe
enconner?
-- Fi donc! (rťpondit-elle). Eh! d'oý vient l'aurais-je
souffert?
-- Parce que je bandais comme un carme.
-- Vous parlez comme un VitnŤgre...
Montencon ne m'en raconta pas moins ses entreprises, en termes
savoureux. Il loua la beautť de la conque, le soyeux du poil,
la blancheur des fesses, la fermetť des tťtins, le rosť du
bouton, l'ťburnitť ou l'ivoire du ventre et des cuisses: Il
extolla le pied, la jambe de la belle... Conquette, ainsi
louťe, rougissait, et n'en ťtait que plus modeste. Je
rťpondis, Que j'ťtais le seul qui foutÓt ma fille, ŗ laquelle
j'avais sauvť la vie, et que j'avais dťflorťe, il y avait 8
jours. Et je racontai toute l'histoire.
-- Vous la foutez?
-- Eh! qui donc la foutra? Je suis deux fois son pŤre...
Montencon se mordit les lŤvres. Conquette m'embrassa.
Pendant tout le dÓner, nous admirions le voluptueux tour de
hanches de Mme Poilsoyeux, ŗ chaque fois qu'elle se levait,
pour aller demander un plat, ou qu'elle donnait des assiettes.
Elle avait un joli soulier rose ŗ talons verts, ťlevťs,
minces; des bas de soie blancs neufs, ŗ coins roses. Je lui
demandai si elle ťtait jarretťe au-dessus du genou?
-- Certainement! (rťpondit-elle) toujours.
-- En ce cas (repris-je), montrez-nous la plus jolie jambe qui
soit au monde!
Elle refusait. Mais nous l'en press‚mes tant que, pour se
dťbarrasser de nos priŤres, elle mit le pied sur une chaise,
et nous montra, jusqu'au dessus du genoux, une jambe ŗ faire
bander un moribond... Nous entr‚mes en rut, Montencon et moi;
mais nous nous modťr‚mes. Cependant le grisonnant Ribaud, dans
un moment oý ma fille ťtait sortie, me proposa de l'enivrer,
en mettant du champagne, qu'il avait apportť, dans son vin
rouge, au lieu d'eau. Je feignis d'y consentir. Mais, avant
que Conquette rentr‚t, j'allai au devant d'elle, et l'avertit
de tout. Puis j'ajoutai:
-- Ma raisonnable fille, il faut qu'il te le mette; je l'ai
amenť exprŤs pour cela; mais je ne savais comment faire. J'y
rťflťchissais, quand sa proposition m'a tirť d'embarras. Tu
feindras de t'enivrer. J'en ferai autant; et, par ce moyen,
jamais il n'aura un pied sur toi. Il a l'engin assez gros,
quoique moyen. AprŤs lui, je t'aurai Traitdamour, mon ancien
secrťtaire, un joli garÁon, qui achŤvera de t'ťlargir
suffisamment pour l'engin du Payeur que tu prťfŤres... Il est
averti de ton existence, et je n'ai demandť que quelques
semaines pour lui procurer ta vue. Laisse-toi donc faire, ma
reine; j'empÍcherai tout ce qui ne conviendrait pas.
-- Je vous suis soumise; disposez de moi (rťpondit-elle). Je me
suis trop mal trouvťe de vous avoir dťsobťi!...
Nous rentr‚mes. Entre les deux portes, elle se dťcouvrit un
tťton, et me le fit baiser.
Montencon avait arrangť la carafe en vin de Champagne.
Conquette, prťvenue, le remarqua; s'en procura une autre
d'eau, et rťserva le vin, pour griser Montencon lui-mÍme. Mais
le Ribaud ťtait inenivrable, autrement que par les beaux yeux
et les autres charmes de ma voluptueuse Conquette-Ingťnue.
Chapitre XX Du, Ah, comme elle fut foutue!
DŤs que Mme Poilsoyeux, qui affectait une ivresse aimable,
parut dans l'ťtat oý le Montencon la dťsirait, je la saisis,
la premiŤre fois qu'elle se leva, par la taille d'une main, et
de l'autre, je lui pris le con (Outre que je dťsirais vivement
sa possession, je la voulais enhardir, et prťparer son bijou ŗ
l'admission d'un plus gros membre que le mien). Je la
renversai, en demandant un morceau du beurre frais restť sur
la table. Je lui en mis gros comme une noix ŗ l'orifice; et je
poussai.
-- Laissez, laissez-moi donc! (me disait-elle doucement)
Cependant elle remuait admirablement de la charniŤre, et le
foutoir craquait sous nous... Je dťchargeai, en me rťcriant de
plaisir!...
-- A toi, bougre...
Montencon, debout, son gros vit bandant ŗ la main, nous
admirait!... J'eus ŗ peine dťconnť qu'il se prťcipita sur ma
fille, dont le connin oscillait encore; et, doublement
favorisť par mon foutre et par le beurre frais, il pťnťtra.
Conquette fit un cri! Je m'avanÁai, alarmť. Mais elle me
sourit aussitŰt.
-- Enfonces-tu? (dis-je au fouteur)
-- Oui, oui! sacredieu! (me rťpondit-il) et avec dťlices!..
Elle me pince le vit!... Mais... quel connin!... C'est un
satin!... Ah!... Ah!... je fous!... Remue du cul, cťleste
houri!... Re..mue, divine bougresse!... Con dťlicieux!
remue... sous moi!... saccade... saccade!... Je pa..ars!... je
dťcha..arge!... Ahah!...!
Le grisonnant se p‚ma sur les tťtons de ma fille, qui
elle-mÍme nageait dans le foutre et la voluptť. J'avais craint
qu'elle ne remu‚t pas assez avec un ťtranger; mais, dŤs
qu'elle fut limťe, elle se mit ŗ remuer, ŗ saccader, ŗ
osciller des reins, ŗ dťcharger avec des soupirs et des
cris... Montencon se remit ŗ la fourgonner, sans dťconner,
criant, hurlant de luxure, et murmurant par intervalles:
-- Divine garce!... fais-toi putain... et... je te rťponds...
de ta fortune!..
Il recommenÁa ainsi trois fois sans dťsarÁonner. Enfin, il
dťconna.
-- Voilŗ un coup qui en vaut dix, et un con qui vaut cent, et
mille fois tous ceux que je t'ai fait enconner, mÍme ma petite
hŰtesse! On ne le quitte qu'ŗ regret!... Mais refous-la, mon
ami. Une femme vaut seize hommes au jeu couillard; ne la
laissons ni refroidir, ni chŰmer.
A ce mot, Conquette-Ingťnue, restťe immobile, et se
contractant seulement un peu, comme si on la tenait encore
bourrťe... d'un vit, sauta du foutoir, et courut se laver.
Elle trouva de l'eau tiŤde prťparťe. Nous fumes aussitŰt ŗ
genoux devant notre divinitť, et nous lui ťponge‚mes l'un le
cul, l'autre le con, les fesses et les cuisses, car elle ťtait
pleine de foutre et d'un peu de sang, prenant garde de
mouiller ni sa chemise, ni ses bas; nous la faisions se tenir
troussťe au-dessus des reins.... AprŤs une scrupuleuse
ablution, nous l'avons admirťe; car elle ťtait ravissante ŗ
cul et ŗ con dťcouverts! Nous l'avons fait marcher ainsi, et
nous avons vu la magie de son divin tour de cul...
-- Moi (disait le Grison, en la regardant venir ŗ nous), ce qui
me transporte, c'est ce con noir, sur une peau de lis; ce poil
soyeux, et cette raie de corail, qui le sťpare en deux ťgales
parties!...
La belle se retourna, et montra d'autres charmes:
-- Ah! (s'ťcria Montencon ravi) le beau cul! il n'est pas
infťrieur ŗ l'admirable connin!
Elle revenait.
-- Ah! le beau con! Il est digne du divin cul!
Quand ma fille fut auprŤs de nous, il lui baisa le connin.
Puis, se levant (car nous ťtions restťs ŗ genoux pour mieux
voir), il l'emporta sur le foutoir, en me demandant la
permission de gamahucher tous ces charmes-lŗ, avant que je les
refoutisse... Ah! comme elle fut gamahuchťe!... Il lui
chatouilla de sa langue la rosette, ŗ la faire tressaillir.
Puis il vint au con. La belle, chatouillťe, se trťmoussa, puis
ťmettant, elle hennissait, comme une jeune cavale, dans la
vulve de laquelle on insŤre pour la premiŤre fois l'engin
terrible et perforant de l'ťtalon vigoureux; les fesses
potelťes de la jument pucelle tremblotent; elle frťmit de tout
son corps, et rťpond, par l'ťmission de son hippomanŤs, aux
flots de sperme que lui lance le dominateur des haras... Telle
ťtait ma voluptueuse fille, seulement gamahuchťe... Montencon
dťboucha, et moi, me prťcipitant sur ma fouterie, cambrťe,
tenant son cul ŗ trois doigts du foutoir, je plongeai
brutalement. Elle ne faisait que doucement osciller. Ce qui ne
s'accordant pas avec ma ribaude impatience, je dis ŗ
Montencon:
-- Arrache-lui sa chaussure, et chatouille-moi-la sous les
pieds!
Il le fit. Mais le couillon s'amusait ŗ les flairer, en
disant:
-- C'est Cypris, et le dedans de ses chaussures sent
l'ambroisie.
-- Chatouille donc, jean-foutre!
Il chatouilla; et, au second soubresaut, je dťchargeai
copieusement!... Dans mon extase de plaisir, j'ťlevai mon ‚me
vers la divinitť:
-- Mon Dieu! je vous remercie de m'avoir donnť une fille si
parfaite, dont le connin trťmoussant vient de me donner une
idťe du dťlice que vous ťprouvez vous-mÍme, en foutant votre
fille la Nature!...
-- Dieu de mon connin! (balbutia Conquette) sois bťni! je
re-dťcharge encore! le cri de mon pŤre a fait entrer son vit plus
avant!
-- Oh! quel digne pŤre! quelle pieuse fille! (s'ťcria Montencon
ťdifiť)...
Je dťconnai.
-- Mais d'oý vient (me demanda le vigoureux grison, en se
remettant sur ma fille, et l'enconnant sans laver), m'as-tu
fait chatouiller le dessous des pieds de ta cťleste fouteuse!
-- Je tiens cette recette d'un imprimeur foutant la femme de
son confrŤre de l'aveu du cocu.
-- Que lui avez-vous donc fait, qu'elle m'a donnť tant de
plaisir ŗ la fin?
-- Vous avez bien vu qu'elle ťtait dťchaussťe? Or j'ai ouÔ dire
que les fils de mesdames Quillenpoche et Radball, ‚gťs de huit
ans, ťtant entrťs dans la chambre oý un avocat et un procureur
vitoeuvraient mesdames leurs mŤres, les petits babouins, ne
voulant pas les dťranger, leurs ŰtŤrent ŗ chacune une mule
dťlicate, et leur chatouillŤrent le dessous des pieds. Ce qui
fit faire aux deux dames des soubresauts qui leur procurŤrent
autant de plaisir qu'elles en donnaient ŗ leurs opťrateurs.
Aussi depuis se firent-elles toujours chatouiller les pieds en
pareille circonstance.
-- Tu vas me rendre la pareille...
Il saccadait.
-- Allons, le foutre de ton pŤre... ce foutre dont tu es faite,
amalgamť au tien dans ton sacrť connin de poupťe, doit te le
pommader! Et j'ai de la peine!...
Je vis ŗ la rougeur de ma fille qu'elle souffrait.
-- Dťconne, bougre (dis-je ŗ l'Enfonceur), ton vit d'‚ne, ton
vit de mulet donne les bouchťes trop grosses ŗ ce
connichonnet!
Il dťconna, et je mis une boulette de beurre frais ŗ l'orifice
du bijou de ma fille.
-- Oh! Áa me le rafraÓchit (dit l'aimable enfant)...
Montencon re-enconna avec fureur. Il entra mieux, et toucha le
fond, Conquette ayant saquť du cul:
-- Ah! je te sens, petit joli chien de pinÁoir! Allons,
Vitnťgrette, encorne ton jean-foutre de VitnŤgre! Pince.. et
remue du cul, garce!
Ces mots grossiers me mirent en fureur ťrotique; je
chatouillai sans pitiť les pieds de ma fille, en lui disant:
-- Fous, dťesse! Donne-nous ton joli foutre!... Et toi, sacrť
bougre, inonde-la! As-tu jamais percť con ou connin, qui
vaille le connin, le connichet de ma cťleste, de cette divine
putain?...
Conquette saccadait ŗ dťsarÁonner son enconneur (comme faisait
Mlle Timon sous le grand homme Mirabeau). Mais Montencon se
tenait ferme. Cependant elle eut une dťcharge si convulsive
qu'il fut presque dťconnť. Mais, en retombant, le frottement
serrť du connin veloutť le fit dťcharger avec ravissement...
Il lima quatre fois sans dťconner, et, ŗ la quatriŤme, lui
ayant chatouillť les couilles, il ťmit aussi copieusement qu'ŗ
la premiŤre. Mais il fut ťpuisť. "Ah! comme VitnŤgre est cocu!
(disait-il en dťconnant) car sa fouteuse de femme a dťchargť
le triple de moi.
Conquette sourit.
-- Combien? (lui demandai-je).
-- Oh! dans les neuf, trois fois neuf.
Je la baisai sur le front, et elle alla au bidet. Je vis par
lŗ qu'elle aurait un vigoureux tempťrament. Ainsi, je rťsolus
de la faire un peu blaser, avant de la livrer ŗ son gros vit.
Mme VitnŤgre, voulant se rafraÓchir quelque temps le con dans
sa cuvette ŗ bidet, nous pria, avec une modeste rougeur, de la
laisser libre. Nous la salu‚mes aussi respectueusement qu'une
dťesse bienfaisante, et nous sortÓmes. Montencon me dit:
-- Je vous rends gr‚ces. Je serais plus glorieux d'Ítre son
pŤre que de la reine Marie-Antoinette. Elle est autant au-dessus
des fouteries ordinaires, que Mlle Contat ou Mlle Lange
sont au-dessus d'une putain des pauvres, qui branle les vits
derriŤre les charrettes sur le quai du Louvre.
Nous nous sťpar‚mes, ŗ ces mots.
-- Ah! (disait Montencon, s'ťloignant), comme elle a ťtť
foutue!
Chapitre XXI Du ressouvenir, et de l'ťpisode.
Oh! que les puristes ont dŻ se rťcrier au chapitre
prťcťdent!... Eh bien, puristes, je m'en fous.
Le lendemain, je m'attendais ŗ un peu de bouderie, ou de
sťrieux. Non. Ma Conquette me parla comme ŗ l'ordinaire... Je
fus huit jours, sans chercher ŗ le lui mettre... Le samedi,
son bijou bien rťtabli des fatigues donnťes par Sourcilsgris,
dit Montencon, elle y sentit un chatouillement. Elle se
ressouvint alors de ce que je lui avais dit, qu'elle pourrait
se laisser enconner par Timori. Elle fit une toilette de
voluptť, se couvrit d'une calŤche, et sortit le soir. Mais je
l'observais, et la faisais soigneusement observer par Mme
Brideconnin, ou comme je l'appelais en badinant, Mme Conbridť.
Je fus averti; je la suivis, pour la prťserver de malheur.
Elle monta. J'ťcoutai ŗ la porte; et j'entrevis mÍme par une
fente... Conquette se jeta dans les bras de Timori. Mais il
ťtait malade. La belle fut gamahuchťe seulement. Timori, au
lieu de la caresser, comme elle s'y attendait, se mit ŗ lui
raconter la suite des ťvťnements relatifs ŗ VitnŤgre, ŗ
Foutamort, et ŗ Conillette:
-- J'ai ťtť voir VitnŤgre aujourd'hui, au lieu de me rendre ŗ
mon bureau, ťtant malade. Je l'ai trouvť malade lui-mÍme, tant
il avait ťtť hier effrayť des menaces de son moine. Celui-ci
l'avait fait demander. VitnŤgre est accouru. Il a trouvť toute
la communautť ŗ l'infirmerie. Parvenu au lit de Foutamort,
celui-ci lui a dit:
-- Gueux! si j'en avais la force, je t'ťtoufferais... Mais si
je suis pour en mourir, comme On l'assure, je dťclarerai tout
au Lieutenant de Police, et tu seras pendu... Tu m'as vendu ta
femme. Elle ťtait si belle que j'ai eu un plaisir... infini...
ŗ la faire expirer dans des douleurs plus fortes que celles de
l'accouchement... J'en bande encore, mais avec des douleurs
insupportables... Elle ťtait si belle que j'ai voulu en
manger: je me suis fait accommoder son con, sa matrice, ses
poumons ses tťtons et sa tÍte, que j'avais dťguisťe. Nos
moines ont mangť, sans le savoir, son cul, ses fesses, ses
mollets, ses pieds, ses bras, ses mains, ses ťpaules, son
coeur, son foie, etc... Tous, eux et moi, nous avons la vťrole!
Or, ta femme, belle, fraÓche, pucelle encore, ne l'avait
pas... Voici ce que tu as fait, coquin. Touchť d'une fausse
compassion, tu as fait ťvader ta femme, que je t'avais payťe
pour la foutre ŗ mort, et tu lui as substituť une putain...
C'est une insigne coquinerie... Si j'en reviens, j'aurai ta
femme; si je meurs, tu seras pendu...
VitnŤgre s'est donnť ŗ tous les diables que c'ťtait vous qu'il
avait livrťe. Le moine, qui venait d'Ítre frottť de mercure,
et dont la langue enflait, a fait signe qu'il n'en croyait
rien. Le chirurgien a tirť VitnŤgre ŗ part:
-- Avez-vous quelque affaire ŗ rťgler avec ce scťlťrat? il n'a
pas 2 heures ŗ vivre, ŗ la maniŤre dont enfle sa langue. Il a
une vťrole si terrible, que j'ai ťtť obligť de le frotter au
triple des autres, que voilŗ dans leurs lits, et qui
commencent ŗ saliver. Je le connais; c'est un monstre ŗ Űter
du monde, et tout ŗ l'heure, il ne pourra parler.
-- EmpÍchez qu'il n'ťcrive!
-- Oh! ne craignez rien! l'enflure lui... gagne les yeux; il
n'y voit plus, et la langue commence ŗ lui sortir de la
bouche... Il... souffre... (lui t‚tant le pouls) comme un
damnť... et il n'a pas une demi-heure ŗ vivre...
Alors, VitnŤgre, enhardi, a dit au moine:
-- Gueux! Inf‚me!... c'est la putain Conillette que je t'ai
donnťe, que tu as fait manger ŗ tes moines, et dont tu as
dťvorť la matrice vťrolťe!
Le moine s'est soulevť, et a lancť ŗ VitnŤgre un si terrible
coup de poing, qu'il l'aurait tuť, si la colonne du lit
n'avait pas amorti une partie du coup, qui cependant a
renversť VitnŤgre. On l'a fait sortir. Mais il a appris ce
matin, par le chirurgien, que la langue du moine, devenue
grosse comme celle d'un boeuf, l'avait ťtouffť un quart d'heure
aprŤs... On a brŻlť, sans lire, tout ce qu'il avait ťcrit
durant sa maladie.
-- Voilŗ ce que VitnŤgre, tranquillisť, vient de me raconter.
Il est tard; je ne saurais vous reconduire. Partez, ma belle
amie.
Tel fut le rťcit de Timori, fait ŗ ma fille, que j'entendis
tout entier, et qu'elle me rťpťtera. Elle s'en revint la tÍte
remplie d'idťes noires. Je la suivais ŗ vingt pas, la couvant
des yeux, pour la prťserver de toute mauvaise rencontre. Je
bandais comme un carme, en voyant son joli tour de hanches...
Elle rentra. Je la prťcťdai dans mon magasin, et je me cachai.
Elle revint avec de la lumiŤre et de l'eau tiŤde. Elle se lava
la motte, et soupira, en se disant ŗ elle-mÍme: "Il n'existe
plus, le scťlťrat!... Je suis encore effrayťe! Je frappai un
petit coup sur une commode. Conquette leva les yeux, et me
vit. Je lui contai tout ce qu'elle venait de faire. Je lui
causai un effroi salutaire, qui la guťrit de l'envie de
retourner seule chez Timorž, en lui disant que j'avais aperÁu
VitnŤgre sur le quai des Ormes. J'ajoutai:
-- Vous alliez pour Ítre baisťe; vous le serez; car je couche
avec vous.
Elle bťgueulait, disant que le rťcit de Timori lui avait Űtť
ses dťsirs. Je ne l'ťcoutai pas; je me mis au lit, et elle
vint se coucher auprŤs de moi.
Chapitre XXII De la fouteuse mise en appťtit.
L'appťtit vient en mangeant (dit le proverbe); et l'on va voir
combien il a raison, pour Conquette!
DŤs que ma fille fut ŗ ma portťe, je m'ancrai sur ses appas,
lui suÁai les tťtons, et l'enconnai. Je ne sais par quel
motif, humeur ou voluptť, ma divine enfant ne remua pas. Je
fis de mÍme, et la tins emmanchťe, sans me donner aucun
mouvement... Je m'endormis, aprŤs m'Ítre mis sur le cŰtť, sans
dťconner. Conquette, qui s'y ťtait prÍtťe, s'endormit comme
moi, sans doute; puisqu'en m'ťveillant, sur les 2 heures, je
me retrouvai dans son bijou. Je m'agitai pour lors. Elle me
serra dans ses bras, remua vivement du cul, et me dit:
-- Cher amant! pou..ousse".
Et elle saccada de toute la force de ses reins... Elle
dťchargea... J'ťmis aussi...
-- Ah... mon Dieu (dit-elle), c'est mon papa, qui me...
caracole...
-- Qui te fous, ma dťesse.
-- Ah... il n'y a que vous, pour ces choses-lŗ... Je ne vous
contrarierai plus; car vous avez plus d'esprit que moi... J'ai
eu un plaisir... que je ne dois qu'ŗ vous... Cher papa,
recommencez; que je dťcharge ŗ votre intention! Je vous
adore...
Je la re-enconnai vigoureusement, en lui disant:
-- Et fous comme tout ŗ l'heure, ŗ l'intention de ton amant...
Elle remua du cul comme Clťop‚tre ou Messaline, et elle se mit
ŗ dire, en saccadant:
-- Bougre de Timori... fous... fous... fous-moi... Fous ta
garce... fais cocu mon sacrť gueux de pŤre... dont je suis la
femme... la maÓtresse... la putain... Ah... je sens ton vit,
au fond de mon con... Ta langue... ta langue!... Je me p‚me...
je dť...cha.arge... Foutre... Ah-a-a-ah... je n'en puis
plus...
Et, en finissant, elle alla se laver le con...
DŤs qu'elle fut de retour, je remontai sur elle.
-- Remue du cul, du con! (lui dis-je) Trťmousse des fesses...
Je sens ton pinÁoir... Oh! que tu fous bien, fille de mon vit,
pour une novice!... Ayez un mouvement encore plus rapide!...
Bon... excellent!... Quels reins ťlastiques!...
Elle fit trois soubresauts, et dťchargea, en disant:
-- O mon Dieu! mettez une tonne de foutre dans les couilles de
mon pŤre, et que son vit divin le dťcharge au fond de mon con!
Dieu l'exauÁa, car j'ťmis aussitŰt, et nos foutres se
mÍlŤrent. J'en espťrai un Adonis... Elle resta ensuite
immobile, et moi aussi. Elle fit une copieuse ablution. Je me
rafraÓchis le vit et les couilles; puis nous nous recouch‚mes.
Je la re-enconnai.
Je fus lŗ plus d'une heure, lui suÁotant ses boutons de roses,
lui dardotant et lui faisant dardoter la langue; la faisant
dťchargeoter, p‚moter, chatouilloter mes couilles. Je ne
pouvais me rťsoudre ŗ dťconner... Tout ŗ coup ma fille, que je
croyais ťpuisťe, se met ŗ trťmousser du cul, ŗ convulsionner
du con, comme faisait autrefois sa mŤre, mais mieux que
celle-ci... Je rebandai roide, mais loin de la dťcharge! De sorte
que je la limai tant qu'elle voulut... Elle me disait:
-- Papa! je ne parlerai pas d'un VitnŤgre, qui n'a de plaisir
sur une femme qu'autant qu'il brutalise sa monture; mais vous
foutez plus tendrement, plus dťlicieusement, que Timori ne
caresse. Vous limez mon con comme un dieu!... A votre
intention cette dťcharge-ci... Papa! Papa, fourgonne! tu es
dans le con de ta fille! Remue du cul, papa! Tu me fous... tu
me fous... tu m'enco..onnes!... Fous, bougre! fous ta fille!
incestue, jean-foutre!... Enfonce, enfon..once... dans le
con..on de ta fi..ille... p‚..‚mťe!...
Et elle resta comme morte, pendant une longue dťcharge...
Je la relimai, voulant dťcharger aussi, pour la derniŤre fois
de cette nuit-lŗ. Elle se ranima:
-- Fous, maquereau! Je suis ta putain, ta raccrocheuse... ta
sacrťe salope... ta passionnťe fouteuse... ta tendre fille...
Engrosse-moi! (remuant du cul avec fureur) mets-moi dans le
con un garÁon... une garce! si une fille, tu la...
dťpucelleras un jour... si un fils, il me foutra...
-- Adorable fureur! (m'ťcriai-je)... Tiens, fille adorťe, voilŗ
du foutre.
J'ťmis dťlicieusement; et ma fouteuse dťchargea plus
dťlicieusement encore...
-- Ah! quelle nuit! (me dit-elle)... Timori ne me l'aurait pas
donnťe si voluptueuse...
Elle s'ablua; je lavai, et nous endormÓmes.
Chapitre XXIII De la tendresse filiale; amour paternel.
Etre rťservťe, modeste, ou voluptueuse et fouteuse ŗ propos,
c'est la vťritable sagesse.
Je ne raconte pas les bagatelles... Montencon ne put le
re-mettre ŗ Mme Poilsoyeux, et il en fut trŤs ťtonnť! Elle ťtait
aussi modeste, aussi retenue avec lui, qu'avant qu'il l'eŻt
foutue. C'est qu'elle suivait mon avis, de ne pas laisser
prendre un pied sur elle, par les faveurs accordťes, ou
ravies.... Un jour qu'elle se baissait, pour arranger le feu,
il lui prit le con. Elle lui donna un soufflet. Je dis ŗ
Montencon:
-- Moi, qui la connais, je ne lui touche jamais les fesses, ou
le poil du connin, sans sa permission, et sans qu'elle m'ait
dit: "Eh bien, faites donc vite!" Quand je lui demande cette
faveur, elle est parťe, chaussťe comme les Gr‚ces... Je
commence par lui demander ŗ lui baiser le pied. Puis, lui
glissant la main sur la jambe, je lui dis: "Tu l'as si jolie!
que je la baise!..." Je pousse ŗ la cuisse, en disant: "Quel
satin!" Je lui passe dťlicatement la main sur la motte, et je
m'ťcrie: "Ma reine! qu'en te voyant marcher dans la rue, et
tortiller si joliment du cul! faire bander tous les hommes,
bisquer de jalousie toutes les femmes, je puisse me dire: 'Je
viens de patiner, de baiser ces foutatifs appas...' Je te
suivrai; j'entendrai les hommes dire: 'Que je la foutrais
bien!' Je verrai les femmes penser: 'Sacrťe coquette! cette
parure, ce goŻt, ce tour de cul signifient: Je veux Ítre
foutue! Vits, foutez-moi!' 'Bougresses! (leur rťpondrai-je
tout bas), je mťprise vos cons et vous! Je ne bande que pour
le beau connin que vous jalousez'..."
Ma fille sourit ŗ ces propos; se laisse patiner, puis baiser
tťtons, fesses et connin... Montencon m'admira, et demanda
pardon ŗ Conquette, qui n'avait entendu ce que je venais de
dire, qu'avec une modeste rougeur.
Un jour de fÍte, que je l'avais conduite avec prťcaution chez
une amie, et que j'ťtais retournť la chercher le soir, la
suivant ŗ quatre pas, son lubrique tour de fesses me fit
bander si fort qu'en rentrant, je lui happai le con. Elle se
dťfendit, parce qu'elle entendait aller et venir Mme
Brideconnin.
-- En ce moment, dťesse, je suis si enragť de lubricitť, par ta
marche voluptueuse, que je te foutrais devant toute la Terre.
Et je grinÁais des dents, lui tenant toujours le poil du con,
ce poil soyeux qui lui formait une longue et superbe perruque
ŗ la Louis XIV.
-- Eh bien! (me dit-elle), allons: Mais ne me chiffonnez donc
pas?
-- En dťshabillť, reine.
Je lui tenais toujours le con, et je la suivais ŗ chaque pas
qu'elle faisait. Elle me donna un joli baiser ŗ langue dardťe,
pour me remercier de ce que je lui permettais de se mettre en
dťshabillť.
-- Ne me quittez pas le poil; Áa me prťpare.
Une pareille complaisance me la faisait adorer. En un instant,
elle fut en corset, en court jupon piquť, les tťtons bien
dťcouverts:
-- Ma chaussure est-elle assez voluptueuse? ou voulez-vous des
mules, avec d'autres bas?
-- Des mules.
Je la dťchaussai d'une main, lui chatouillant toujours le con.
Ah! quelle jambe blanche! quelle propretť! Elle se chaussa
debout. Je lui mis le pied dans une mule rose dťlicieuse, ŗ
talons roses aussi, minces, ťlevťs, ŗ falbalas d'or, ainsi que
le bout du talon. Je lui quittai la motte, qu'elle lava.
Ensuite elle fit par la chambre quelques tours, pour m'exciter
davantage. Me voyant hors de moi:
-- Je veux te griller! (me dit-elle).
Tandis que je dťculottais, elle s'assit, croisa ses genoux, et
fit badiner la mule du pied en l'air...
Je n'en pouvais plus... Me voyant prÍt ŗ m'ťlancer sur elle,
Conquette vint sur moi troussťe, me fit tenir ses jupes,
appuya ses deux coudes sur mes ťpaules, et s'enfila doucement
elle-mÍme, sans toucher mon vit de sa main dťlicate. Elle
descendit ainsi graduellement jusqu'ŗ ce que je touchasse ŗ
son pincevit:
-- Ne remue pas! (me dit ma reine) je veux me foutre moi-mÍme!
Quand elle sentit le plaisir, la divine fouteuse, trop ťmue,
s'abandonna de tout le poids de son corps, en me disant:
-- Cher vit... pou..ousse!
Elle mit sa bouche brŻlante sur la mienne, donna le mouvement
intťrieur ŗ son con, me darda sa langue, et se p‚ma, en me
lanÁant toute son ‚me... Je dťchargeai, avec un si dťlicieux
frťmissement, qu'elle foutait encore, au bout de cinq minutes
d'ťmission.
-- Ah! Fouterie adorťe, l'ťclair du bonheur dure... et se...
prolonge avec toi...
Je sentis, en cet instant, l'ťmotion de mes premiŤres
dťcharges, oý je perdais connaissance, et je crus que j'allais
expirer de voluptť dans son con. Je le dis, en dťchargeant.
Mon enconnťe n'en frťtilla que plus vivement:
-- Un fils?... une fille?... ou tous deux au fond de mon con
(me disait-elle), cher vit de mon pŤre!...
Je jurais, je sacrais, je divinisais ma fille:
-- Con cťleste... Con divin... Con de mon vit... est-ce moi?...
est-ce un roi?... est-ce un prince?... est-ce le beau commis
aux aides, qui t'avons foutue dans le con de ta putain de
mŤre?... Ah, mon vit te rend ma fille, en mÍlant mon foutre au
tien... Divine, sacrťe garce... Adorable bougresse enculťe, il
faut que je t'encule aussi?
-- Non; ton foutre m'est trop prťcieux, pour que je le perde
sciemment. Fous-moi en con, tant que tu le voudras; mais non
en cul, en bouche ou en tťtons.
Je l'approuvai avec respect.
Je lui dis ensuite pourquoi je la suivais toujours, en la
menant chez son amie, ou en la ramenant:
-- Mon premier motif est de mieux voir le danger. Le second,
d'entendre les discours des hommes et des jeunes gens que tu
fais bander. L'un dit: "Quel mouvement de cul!... O garce! si
nous ťtions seuls ici, je me jetterais sur toi, et je
t'enconnerais..."
-- Je l'ai entendu (me dit en souriant Mme Poilsoyeux).
-- Un autre (ce soir) se secoue le vit en pleine rue: "Maman...
(dit-il) dťlicieuse maman... je me branle... je dťcharge... ŗ
ta divine intention."
-- Je l'ai entendu; j'ai souri. Il a aussitŰt ajoutť: "Oh, si
vous Ítes putain... une divine putain? cinquante louis pour
trois coups en une heure?... ou chez moi, ou chez vous?... Je
demeure rue de Bussi au 3Ťme, nį 16."
-- Un joli fat (repris-je), disait assez haut: "Mon vit dans sa
bouche, et ma langue dans son con..." Et il se branlait,
branlait, branlait.
-- Je l'ai vu, et je lui ai donnť un petit coup d'ťventail sur
le vit... Il m'a bien touchťe! Il m'occupait. Peut-Ítre est-il
cause que j'ai montrť un peu d'humeur, quand, ŗ notre arrivťe,
vous m'avez pris le con.
A ces mots, nous recommenÁ‚mes une scŤne, comme celle que je
viens de raconter; si ce n'est que je renversai ma fille sur
le dos.
-- Vit-papa... (me dit-elle) tu es le fat... c'est le fat qui
me fout... Tu me fais foutre par tous ceux qui m'ont
dťsirťe... Je dťcharge ŗ l'intention du fat... son vit dans ma
bouche, ses couillettes sur mes tťtons, et l'engin de mon pŤre
au fond de mon connin... J'avale son... joli foutre...
(convulsivant du con)... Je dťchar..ge...
Jamais elle n'avait eu autant de passion. Elle ťtait mÍme
raisonnťe; car, entre deux dťcharges, elle me dit:
-- Vos lŤvres sont appťtissantes; elles me rappellent; au lieu
que celles de Montencon... Je ne veux plus qu'il
m'encon..o..o..ne (dit-elle en s'agitant). Langue en bouche;
mon con pa..art... Ah, si j'avais lŗ l'homme aux cinquante
louis, moi qui ne suis pas effrontťe, je crois que je ferais
la putain, que je les exigerais d'avance, comme VitnŤgre
disait que c'est l'usage des filles, que je le dťculotterais,
et que mon con martyrisť gagnerait la somme!
Chapitre XXIV Du chef-d'oeuvre de tendresse paternelle.
Conquette ťtait naturellement sage; elle n'ťprouvait les
emportements du libertinage que dans le dťlire de la
jouissance, effet d'un vigoureux tempťrament.
J'ťtais ťpuisť par deux coups foutus avec trop d'emportement.
Cependant je la voyais haletante de voluptť. Je courus au
carrefour Bussi, nį 16, au 3Ťme. Je trouvai le jeune homme aux
cinquante louis. Je le reconnus; il me remit.
-- Je suis le pŤre de la jeune dame ŗ laquelle vous avez offert
50 louis.
-- Je les lui tiens. Trois coups en une heure?
-- Soit. En ma prťsence?
-- Et de tout Paris, si vous voulez. Mais, bougre, ne va pas me
jouer!
-- Non. Mais une heure, sans bruit?
-- Foi d'homme! Partons...
Il prit les 50 louis.
Arrivťs tous deux, je dis ŗ ma fille:
-- Voici l'homme qui t'a plu. Tu as besoin de 50 louis. Il te
les apporte. Il les faut gagner!
Conquette rougit, sans rien rťpondre. L'homme se dťculotta,
lui vint prendre les tťtons, le con. Il me dit:
-- Serrez les 50 louis; ce con satinť, ces tťtons touchťs les
valent.
Je les serrai, tandis qu'il renversait ma fille sur le
foutoir. Elle fit un cri:
-- O monsieur... mon cher monsieur... ne me faites pas trop de
mal!
-- Seriez-vous donc pucelle?
-- Hťlas! oui...
Il l'enconna avec fureur. Elle soupira, criota, pinÁa du con,
dťchargea.
-- Elle est adorable (disait le fouteur enragť; car il foutit,
et re-foutit, sans pitiť, comme sans dťconner, ses trois coups
de suite).
Ma fille, tantŰt le caressait, tantŰt lui demandait gr‚ce:
mais elle dťchargeait toujours... Il dťconna ravi... Et voyant
quelques gouttes de sang, que ses brusques estocades avaient
fait couler, il dit:
-- Oui, vous Ítes d'honnÍtes gens. Un pareil pucelage n'est pas
assez payť de 50 louis. Je vais en envoyer 50 autres, papa...
(Ma fille ťtait disparue pour s'abluer). Oui, si je n'ťtais
pas mariť (ajouta-t-il attendri), je l'ťpouserais, et pour son
pucelage, et pour son amour... Vous allez recevoir 50 louis.
Je la regretterai toujours, et ne la verrai jamais.
Il partit. Ma fille me remercia, et me dit qu'elle ťtait
rassasiťe. Je lui remettais les 50 louis.
-- Non (me dit-elle), cher papa, c'est pour nos dťpenses.
Les 50 autres louis arrivŤrent, et je ne pus jamais l'obliger
ŗ en mettre dans sa bourse plus de six. Je dťposai les 94
autres ŗ sa portťe dans mon magasin.
Le Lendemain, ŗ mon arrivťe, ma fille me dit:
-- Je brŻle aujourd'hui. Savez-vous la demeure du fat, ou du
vit dťcouvert?
-- Non; ce sont des sots.
-- Eh bien, sortons. L'un ou l'autre me verra sans doute, et
vous le suivrez.
-- Divine fille... ťpuisť dans ton cťleste connin, j'ai
toujours les mÍmes dťsirs; et, si je voulais mourir de
plaisir, et dans le plaisir, je te prierais de remuer du cul,
et de me laisser expirer au fond de ton con satinť...
Foutons!...
-- Un seul coup. Vous m'Ítes trop cher et trop nťcessaire pour
que je ne vous mťnage pas.
En montant sur le ventre de ma fille, et tandis qu'elle
m'arrangeait le vit ŗ l'entrťe de son con, je lui disais:
-- Te quitter, pour en suivre un, est trop scabreux, et malheur
peut arriver...
Et comme elle ne s'agitait pas,
-- Tu me mťnages?... Remue du cul, mignonne! Saccade!
Dťcharge!... C'est mon seul coup... Mais j'ai de quoi te
satisfaire... Il le faut mÍme, avant qu'un de tes trois gros
vits te martyrise.
Elle remua du cul et du con, comme Marie-Antoinette foutue en
levrette ŗ la Conciergerie par un polisson de gendarme... Nous
dťcharge‚mes, Conquette, comme la reine, moi, comme le
gendarme... Je sortis. Elle lava.
Chapitre XXV Du bon pŤre qui fait foutre sa fille.
Allez au but, et bravez le reste: c'est un con, qu'il s'agit
d'ťlargir; il faut donc qu'il soit foutu...
On sait que j'avais ŗ moi un certain Traitdamour, mon
secrťtaire, frŤre de Minone et amant de ConnŤte, qu'il m'avait
fait dťpuceler, l'ayant trop gros. C'ťtait un vigoureux garÁon
de vingt ans. Il demeurait ŗ deux pas. Je l'allai chercher:
-- Veux-tu foutre quatre ou cinq bons coups, avec une femme
charmante, que je veux rťgaler, et ŗ laquelle je veux donner
haute opinion de moi? Ainsi, tu n'auras pas de jour. Mais tu
l'auras vue avant de la foutre, pour la mieux servir.
-- Bon, bon! il y a quinze jours que je ne l'ai mis, ni ŗ
ConnŤte, ni ŗ ma soeur, et je n'en fous point d'autres...
Nous arriv‚mes.
Je lui fis voir, par une portiŤre, Conquette, qu'il ne
connaissait pas.
-- Oh... qu'elle est... provoquante... foutative!...
J'entrai seul:
-- Dťtťtonne-toi; trousse-toi toi-mÍme (dis-je ŗ Mme
Poilsoyeux). Tu es vue par un jeune homme de vingt ans, beau
comme l'Amour.
-- Mon fat?
-- Ton fat. Il se nomme Traitdamour. Ainsi, montre tout, en
abluant. Je retourne auprŤs de lui.
De retour auprŤs de mon ťtalon, je lui dis:
-- Regarde-la bien. Elle va s'abluer, et montrer con et cul...
L'‚me de mon gendre momentanť passa dans ses yeux. Conquette
se dťcouvrit les tťtons, ťpongea lťgŤrement les bouts d'eau-rose.
Ensuite elle se troussa au-dessus des reins, se parfuma
le cul et le con avec une autre fine ťponge; tendit le cul, se
faÁa bien le con. Puis elle se renversa sur le foutoir, avant
de fermer les rideaux. Je les allai tirer, en disant ŗ
Traitdamour de me suivre dans un instant. Je me jetai sur la
dťlicieuse Poilsoyeux; et l'enconnai. Traitdamour me
chatouilla les couilles. J'ťmis avec fureur. Ma fouteuse se
rťcriait de voluptť... Je me h‚tai de dťconner.
Traitdamour attendait tout dťculottť. Il se prťcipita sur ma
fille, et je dis, en me penchant sur la tÍte de l'enconnant:
-- Allons, allons, ma belle! les reins souples! j'ai repris une
vigueur nouvelle!
Traitdamour cependant enfonÁait ŗ peine son beau vit dans cet
ťtroit bijou, encore que mon foutre y servÓt de pommade.
Conquette, de nouveau dťpucelťe, criotait en soupirotant, et
nťanmoins remuant vivement du cul, ŗ chaque dardement de vit.
Je rebandais. Mais Traitdamour foutit trois coups, et fit
trois copieuses ťjaculations avant de dťconner. Je le tirai,
pour le forcer ŗ reprendre haleine.
-- Je vais pendant ce temps-lŗ (lui dis-je trŤs bas), faire une
petite partie de Trou-Madame.
-- Je vois (me dit-il de mÍme), vous ne bandiez plus assez
roide, et je suis votre Boutentrain! Mais elle a le con plein
de foutre...
Ma fille se lavait... Je roidissais de plus en plus, par la
vue des cuisses de neige, de la jambe fine, du pied parfait,
du cul, du con, du ventre d'ivoire, du nombril bien fait, des
tťtons de ma fouteuse. Je dis tout haut ŗ Traitdamour:
-- Beau fouteur, montre-toi; que ma dťesse voie le superbe vit
dont je la rťgale!
Traitdamour parut son trait ŗ la main. Ce n'ťtait pas le fat;
mais il ťtait plus beau. Ma fille sourit. Puis, baissant la
vue sur le vit majeur, la belle dit en soupirant, et le
pressant de sa main blanche et potelťe:
-- C'est donc toi qui m'as fait tant de mal... et de
plaisir!...
Traitdamour me la renversa; lui fit ťcarter les cuisses; me
coucha sur elle; me mit l'engin dans la brŤche, en disant:
-- Votre belle a la main trop douce; elle pourrait vous mettre
ŗ nage, et il faut enconner roide... Poussez, mon maÓtre...
piquez des deux!... la cavale est belle... Allons, dťesse
enconnťe, haussez le con... Remuez du cul... C'est un homme
d'esprit qui va vous humecter la matrice de son foutre
honorable...
Cette harangue fit sourire la foutue, qui, pour en dťguiser la
cause, s'ťcria:
-- Ah, monsieur VitnŤgre, que de cornes vous voilŗ!...
-- Allons, dťesse (reprit Traitdamour), songez qu'il faut que
vous fassiez les trois quarts de l'ouvrage... Du mouvement!...
Bon... Ah! Áa va d'amitiť... et... vous remuez du cul comme
une princesse... Allons, des reins souples! Avec votre connin
satinť, vous mettez votre fouteur aux anges!... Roide, mon
maÓtre! aidez-vous... votre jolie monture va comme une jument
barbe... Gzee... gzee... Un coup de fouet... Ah! quels
soubresauts... Ma foi, elle dťcharge... Piquez des deux...
Comme elle trťmousse des fesses, la cťleste petite amie! comme
elle en donne!... Que je vous chatouille les couilles, pour
vous y faire correspondre!... Vous partez!... Quels coups de
cul!... Quels soupirs!... Elle redťcharge!...
Ma modeste fille ne jurait jamais que trŤs ťmue, et dans le
dťlire de la voluptť. Aussi, en cette occasion, elle syncopa,
en s'ťcriant:
-- Bou..ougre!... fous..ous-moi! Mon... con a... toute... mon
‚me!... Je fous... je fonds... en foutre... je dťcha..arge...
Que... n'ai-je... deux vits... dans... mon... sacrť con!
-- Il est trop ťtroit, ma belle (lui rťpondit Traitdamour);
sans quoi l'on s'arrangerait ŗ vous donner ce plaisir-lŗ...
Mais on pourra quelque jour vous enculer, pendant que votre
fouteur vous enconnera...
AprŤs une dťlicieuse dťcharge, je me crus ťpuisť. Je dťconnai
sur-le-champ. Ma fille trťmoussait encore. Traitdamour sauta
sur ce con fumant, et, tout en le re-enconnant, il me disait:
-- Vous avez foutu ma petite soeur; je l'ai foutue aussi, aprŤs
vous. Vous m'avez dťpucelť ConnŤte ma future. Dites-moi si
leurs cons valent celui que votre bontť me fait enfiler? c'est
un satin!..... Mais, ŗ en juger par le soyeux du poil,
j'augure que l'intťrieur du con de ma jolie chapeliŤre de la
rue Bordet en approchera... Ma reine... vous fais-je mal?
-- Et plaisir... Va... va..a va..a donc! je fous.
-- Ahahahh, quel satin.. quelles dťlices!... J'enconne... je
fous... je dťcha..arge... Remue... divine... sacrťe... cťleste
enconnťe!... Oh, l'aimable petite pincette qu'elle a au fond
du connin!... Pince... serre... sacrťe petite
convulsionnaire... fais-moi... convulsiver dans ton joli
con!... Tu veux du foutre... Dťesse?... Quatre dťcharges de
suite vont t'inonder le connin... connichon...
connichonnet!... Voilŗ ma seconde...
-- Fous... saccade (murmurait ma fille)... ne... me quitte...
pas, cher vitdamour!
-- Ne la quitte pas aprŤs avoir dťchargť (dis-je ŗ mon ancien
secrťtaire); qu'elle sente les derniŤres oscillations de ton
gros vit!... Qu'elle est jolie, en foutant!... (disais-je ŗ
Traitdamour); je rebande... Elle a l'air d'une dťesse!...
Laisse-la achever... Farfouille... Lime.. lime-la!... Elle
gigote encore... Bon... bon! Elle se p‚me?!... Ah, qu'elle est
jolie, p‚mťe!.....
-- Elle n'ťmet plus?
-- Elle a ťmis quatre fois dans le con, sans la dťsenconner.
-- Quatre et trois, c'est sept (disait Traitdamour, en me la
lavant); vous allez la refoutre; Áa me reposera; j'irai ŗ mes
douze.
-- Vous vous ferez mal (me dit Conquette); voilŗ quatre fois
que vous m'enconnez aujourd'hui; le reste de ses 12 me
suffira; Áa fera mes 16!
Pour toute rťponse, je me la fis renverser. Elle me darda sa
langue, et je la foutis roide... Traitdamour la prit ensuite,
et ne la quitta plus, quoiqu'elle l'en pri‚t, qu'il n'eŻt
arrosť de foutre cinq nouvelles fois ce beau con.... Elle se
leva aussitŰt qu'elle fut dťconnťe, en me disant:
-- Emmenez cet impayable jeune homme, et me laissez libre. J'ai
besoin de rafraÓchir sur le bidet plus d'une demi-heure mon
pauvre bijou martyrisť...
Nous la laiss‚mes; j'allai prendre et faire prendre ŗ
Traitdamour un bouillon chez Mme Brideconnin, que je priai
d'en tenir un prÍt pour Mme Poilsoyeux. Ce qui la surprit...
Conquette rafraÓchie arriva, et parut aussi dťcente, aussi
modeste, que si elle n'avait pas foutu. Traitdamour partit,
sans Ítre instruit, Mme Brideconnin ťtant prťvenue de ne
jamais dťcouvrir les relations entre ma fille et moi.
Chapitre XXVI D'avis trŤs utile au lecteur, et ŗ l'auteur.
Nous en sommes enfin au temps si souvent annoncť des fouteries
majeures. Si je les avais rapportťes sans prťparation, elles
auraient ťtonnť. Mais qu'on sache que j'ťtais sŻr, en les
commenÁant, non seulement d'avoir pour mes filles deux des
trois payeurs qui soldaient VitnŤgre, mais encore de les faire
prťcťder par la jolie chapeliŤre de la rue Bordet, qui, vendue
au plus douteux, devait m'instruire de la moralitť de tous les
trois. Il ťtait donc essentiel, pour ťviter qu'elles ne
fussent estropiťes, de les faire prodigieusement ťlargir, en
ťvitant nťanmoins de les prodiguer ŗ trop de dťchargeurs en
con. L'on verra comme je m'y prendrai pour cela.
On trouvera dans le rťcit un ťpisode, ŗ chaque sťance, tant
pour varier la scŤne, et reposer l'imagination, que pour
raconter quelques aventures, que j'ai cru devoir supprimer au
commencement. Chaque historiette lue ou racontťe ne sortira
pas du genre. Rien de plus dťplacť, dans un ouvrage comme
celui-ci, qu'une dissertation philosophique; elle y devient
insipide, et par lŗ mÍme dťgoŻte de la philosophie. Mon but
moral, qui en vaut bien un autre, est de donner ŗ ceux qui ont
le tempťrament paresseux, un Erotikon ťpicť, qui les fasse
servir convenablement une ťpouse qui n'est plus belle. C'est
ce que j'ai vu faire ŗ plusieurs hommes, qui se servaient pour
cela du livre cruel et si dangereux de Justine, ou les
Malheurs de la Vertu. J'en ai un plus important encore; je
veux prťserver les femmes du dťlire de la cruautť. L'Anti-Justine,
non moins savoureuse, non moins emportťe que la
Justine, mais sans barbarie, empÍchera dťsormais les hommes
d'avoir recours ŗ celle-ci. La publication de la concurrente
antidotale est urgente, et je me dťshonore volontiers aux yeux
des sots, des puristes et des irrťflťchis, pour la donner ŗ
mes concitoyens.
L'ouvrage aura deux parties. AprŤs le rťcit formant la
premiŤre, succťderont des lettres, non moins assaisonnťes,
composant la seconde. Les filles de Cupidonnet lui racontent
les parties de plaisir que leur faisaient faire leurs
entreteneurs; parties oý, dans le dťlire de l'ivresse, leurs
payeurs les faisaient quelquefois possťder par 12 hommes...
Mais toutes ces lettres ne sont pas ťrotiques: il en est
d'intťressantes par un autre motif; tel est celui d'une
rťsurrection, avec la dťcouverte importante de l'origine de
Conquette-Ingťnue, et de Victoire-Conquette, noms de deux
filles que les miennes ont remplacťes. Ce qui me justifiera
d'une certaine chose, qui sans doute a dťjŗ effarouchť plus
d'un lecteur... Je n'en dirai pas davantage lŗ-dessus.
On ne peut trop multiplier les observations sur les scŤnes que
je vais mettre sous la vue du lecteur. Pour remplacer la
Justine, et faire prťfťrer l'Anti-Justine, il faut que
celle-ci surpasse l'autre en voluptť, autant qu'elle lui cŤde en
cruautť. Il faut qu'un seul chapitre lu par un homme, sur
l'inspection de la table, lui fasse exploiter sa femme, jeune
ou vieille, laide ou jolie, pourvu que la dame ait fait bidet,
et qu'elle soit bien chaussťe.
Chapitre XXVII Du commencement des grandes fouteries.
Egayťe comme elle l'avait ťtť hier, ma fille devait avoir
besoin de repos le lendemain. Elle avait le bijou si fatiguť
qu'elle ne pouvait quitter sa chaise. Elle resta constamment
auprŤs de Mme Brideconnin, de peur que personne ne vÓnt le lui
patiner. Le reste de la semaine, elle ťvita ťgalement, quoique
guťrie dŤs le troisiŤme jour, de se trouver seule avec moi.
Elle amassait elle-mÍme du tempťrament; car elle ne s'ťtait
jamais branlťe.
Le dimanche, ŗ une heure, elle alla pour la derniŤre fois chez
son amie... Avant de partir, elle me prťsenta son joli pied ŗ
baiser, et me livra sans bťgueulerie le poil de son connin. Je
la conduisis jusqu'ŗ la porte, promettant de la revenir
prendre avant 5 heures; ce qui la fit rougir; mais j'observai
qu'en montant, me croyant parti, elle souriait.
Je fus exact. En la ramenant, je la fis marcher devant moi,
m'apercevant qu'elle ťtait observťe par un homme, que je pris
pour un des payeurs de VitnŤgre. Mais il ne pouvait
reconnaÓtre que son joli tour de cul et sa marche provocante,
tant elle ťtait bien encalťchťe. J'observais l'inconnu. Je
demandai ŗ ma fille si c'ťtait lŗ celui-ci qu'elle prťfťrait?
-- Oui (me dit-elle).
Alors, je la nommai, distinctement, ma fille. Et l'homme
s'ťloigna.
J'avais averti Traitdamour. Il avait une clef de mon magasin,
et nous l'y trouv‚mes. Je le crus seul, malgrť la
recommandation que je lui avais faite de m'amener quatre
acteurs des deux sexes. Je lui dis, en riant, que je bandais,
et que je voulais enconner.
-- Quoi! (dit Conquette) est-ce que vous allez faire tous deux
comme l'autre fois?... Je ne suis pas disposťe, je vous en
avertis.
-- Nous vous disposerons, ma belle (lui dit ironiquement
Traitdamour, qui la crut ma putain); voyez-moi ce vit-lŗ!...
Et il lui en montra un superbe...
-- Laissez-moi d'abord vous lťcher le connin, Ma'm'selle?...
Mon maÓtre vous enconnera, quand vous serez prťparťe! J'ai
tout disposť, pour lui donner aujourd'hui, ainsi qu'ŗ vous, un
plaisir de fermier gťnťral.
Il la renversa brutalement, et la gamahucha, en lui disant,
comme s'il l'avait menacťe:
-- Ne rťsistez pas! car je vous ferais mal...
Mais Mme Poilsoyeux, comme toutes les femmes ŗ grand
tempťrament, aimait, dans la fouterie et ses accessoires, une
sorte de brutalitť. Ainsi, en croyant la contraindre, il la
servait admirablement... La belle commenÁait ŗ dťcharger...
Tandis que je roidissais avec oscillation, ŗ la vue du systole
et du diastole des fesses et du con de ma fille, j'aperÁus
derriŤre un rideau de l'alcŰve quelque chose qui remuait.
J'allai voir. C'ťtaient Minone et ConnŤte, auxquelles deux
garÁons amis de Traitdamour, excitťs par ce qu'ils voyaient,
lťchaient le con. Je leur fis entendre, par signes, de ne pas
bruire, et je les encourageai d'un geste.
Cependant Traitdamour fellait ou suÁait le connin de Mme
Poilsoyeux. Lorsqu'elle fut suffisamment en humeur, il se
dťrangea, me tira sur la belle, et insťra mon vit bandant en
ce connin rempucelť par sept jours de repos.
-- Qu'avez-vous ŗ me donner ŗ vous sucer? (dit-il ŗ
l'enconnťe).
Elle lui prťsenta l'index de la main droite qu'il se mit ŗ
sucer, aprŤs nťanmoins avoir appelť sa soeur et sa maÓtresse,
en leur disant:
-- Ici, bougresses, et qu'on montre son savoir-faire!...
L'une (Minone), qui avait la main aussi douce que ma fille
avait le con, me chatouilla les couilles; l'autre (ConnŤte)
fourrait un doigt pommadť dans le cul de ma fouteuse, pour la
faire tressaillir sous moi... Mme Poilsoyeux hennissait de
plaisir. Elle me dardait sa langue, en m'appelant son cher
fat... son cher Centlouis... son cher payeur ŗ gros vit... son
cher Traitdamour... Enfin, enivrťe de fureur ťrotique, elle
s'ťcria:
-- VitnŤgre!... Jean-foutre... Fous-moi! Pince-moi!... Que ton
gros vit de mul‚tre me pourfende et m'encule!...
Et elle dťchargea comme une ťnergumŤne. En ce moment, j'avais
dans la bouche la langue frťtillante de mon enconnťe; une des
deux filles me chatouillait de la sienne le trou du cul et les
couilles; l'autre me suÁait dans la raie du dos entre les deux
ťpaules, prťcisťment sur le sensorium... Je croyais connaÓtre
le plaisir de la dťcharge; mais je ne l'avais jamais ťprouvť,
comme cette fois-ci; et, de ce coup, je fus rendu.... --
Quelles dťlices!
Traitdamour m'enleva de sur ma fille, et se prťcipita dans son
con.
-- Voilŗ un connin! (disait-il, en poussant et retirant, allant
toujours plus avant, ŗ chaque saccade) Il y a de la diffťrence
de ce connin aux autres cons, comme du satin ŗ la tapisserie
de Bergame... Les jeunes filles n'avaient plus besoin de
chatouiller, quand Traitdamour foutait; il avait assez de feu
pour lui-mÍme, et ne faisait que trop bien trťmousser sa
monture. Je fis signe aux deux garÁons, Brisemote et
Cordaboyau, d'ťtaler les filles, l'une sur un vieux sofa,
l'autre sur un lit de sangle ayant un simple matelas, et de
les foutre ŗ la portťe du regard de la belle au con soyeux.
Par un effet du hasard, ma fille ťmettait sous Traitdamour
pour la seconde fois, et les deux enconnťes dťchargŤrent au
mÍme instant, ainsi que les trois hommes. La belle Poilsoyeux,
en roidissant les jarrets, faisait:
-- Hi hi-hi-hťhť!...
Minone:
-- Han-han-hanh!...
ConnŤte:
-- Houhi-houhin houah-houah-hou‚h!...
Les trois hommes disaient ensemble: Traitdamour:
-- Remue du cul, dťesse!...
Cordaboyau:
-- Remue du cul, garce!
Brisemote:
-- Remue du cul, petite putain!...
En dťchargeant, ils s'ťcriaient:
-- Foutre...
-- Foutre...
-- Foutre...
Traitdamour:
-- Ah, dťesse...
Cordaboyau:
-- Ah, bougresse...
Brisemote:
-- Ah, m‚tine!
chacun suivant son caractŤre et sa politesse...
Mme Poilsoyeux fut la plus longue ŗ dťcharger; les deux autres
ťtaient dťconnťes et lavťes, qu'elle ťmettait encore. Enfin
elle cessa. Traitdamour la lava. Et me voyant rebander:
-- Vous la foutrez sans doute autant que la derniŤre fois? (me
demanda-t-il).
-- TrŤs certainement! (rťpondis-je). Je ne suis vigoureux
qu'avec cette jeune beautť. Je la foutrais jusqu'ŗ extinction
de vie et dessiccation de couilles; et tu vas voir ce que je
vaux. Qu'on m'anime seulement par la vue d'enconnages
redoublťs!
Chapitre XXVIII De l'enculo-connillerie.
Ma rťponse fit sourire Traitdamour, qui sans doute n'y ajouta
aucune foi.
-- Eh bien (reprit Traitdamour), je vais vous donner un
plaisir, que vous n'avez jamais eu, ni ces bougres-lŗ non
plus. Je tiens cette pratique de l'abbť Chouanche, ancien
Genovefain, qui m'a souvent enculť, avant que j'eusse de la
barbe au menton et du poil au vit. Un jour, voyant que je
m'ennuyais de son culetage, il me dit d'aller lui chercher la
petite Culfrayť la cadette, jolie comme un coeur, et non encore
vendue ŗ un Lord. Il envoyait 12 francs ŗ la mŤre, et la fille
devait en recevoir autant. L'abbť la fit s'appuyer un coude
sur une commode; il se mit derriŤre elle, et l'encula. J'ťtais
devant, et il me la fit enconner. Nous limions; nos deux vits
se sentaient, ou la jeune garce tortillait du cul de faÁon que
nous croyions le sentir. Chouanche la faisait tantŰt pousser
du con sur moi, et alors son vit dťculant ŗ moitiť, il avait
l'agrťment de la re-enculer quand elle foulait du cul sur lui.
Je presque-dťconnais alors, puis je re-enconnais. Ce joli jeu
dura tant que Chouanche put retenir son foutre. Car il ne
dťchargeait pas; il se rťservait pour mon cul. En consťquence,
il fit mettre la jolie Culfrayť sur le dos; je l'enconnai;
l'abbť m'encula, et nous dťcharge‚mes tous trois... Nous ne
prendrons pas la maniŤre du Genovefain; elle est trop
fatigante pour la foutue. Mais il payait la jolie bougresse...
Payez-vous, Madame?...
-- Non certes: c'est une honnÍte femme.
-- Je m'en suis aperÁu ŗ sa fouterie. Une putain ne fout pas
comme Madame... En ce cas, je vais vous donner une expťrience
physique sur une de ces deux fillettes... Allons, Minone...
Allons, ConnŤte! laquelle des deux veut Ítre enculťe et
enconnťe tout ŗ la fois et en mÍme temps! Qu'elle se trousse!
Durant cet entretien, qui la laissait tranquille, Conquette
s'ťtait couvert le con et les tťtons. Les deux filles ťtaient
assises ŗ cŰtť d'elle, dťtťtonnťes. Elle leur baisa le
boutonnet, et leur couvrit la gorge de sens-froid avec leurs
fichus (Mme Poilsoyeux redevenait toujours modeste, dŤs qu'on
ne la foutait plus)... Les deux filles rťpondirent ensemble:
-- Moi... Moi!
-- L'une aprŤs l'autre (dit Traitdamour)... Vous avez ici de la
pommade, ou du beurre frais?
-- Oui (rťpondit en rougissant la belle Consatinť). Tenez, ma
pommade est lŗ... et voici du beurre.
-- Gardons ce beurre frais pour vous, belle dame, aussi belle
au cul et au con qu'au visage (reprit Traitdamour).
Minone se pommadait la rosette.
-- C'est donc toi qui passes la premiŤre, ma soeur?
-- Oui, si c'est toi qui me dťpucelles le cul?
-- J'y suis pucelle aussi (s'ťcria ConnŤte).
-- Ce ne sera pas moi qui aurai ton pucelage d'arriŤre
(rťpondit Traitdamour ŗ sa soeur). Mon vit est aujourd'hui
entiŤrement rťservť ŗ Madame. Et, quoique le culetage m'ait
toujours fait peine, agent ou patient, le cul satinť de Madame
me tente autant que l'ťtroit fourreau de son con, qui se
rempucelle en une semaine, ou seulement en faisant bidet ŗ
l'eau froide. Je suis sŻr que Madame n'a jamais ťtť enculťe (ŗ
genoux, il lui regardait au cul), et que c'est aussi un
pucelage?
Conquette rougissait.
Les deux camarades de Traitdamour tirŤrent au premier roi ŗ
qui dťpucellerait le cul de Minone; car tous deux le voulaient
avoir. Ce fut Cordaboyau (un bellot ŗ vit moyen) que le sort
favorisa. Il se pommada le vit jusqu'ŗ la racine. Traitdamour
fit coucher Minone sur le cŰtť. Il mit Cordaboyau devant son
cul, et Brisemote (un beau ŗ gros vit) devant son con. Il la
fit ainsi enfiler des deux cŰtťs; les jeunes gens se la
poussant l'un sur l'autre ŗ qui mieux. Ce qui donnait un tel
plaisir ŗ Minone, qu'elle se rťcriait:
-- Dieu... que j'ai de dťlices... c'est... une fouterie de
princesse... On dit... que la Reine... fout ainsi entre...
d'Artois et Vaudreuil... ce dernier a... le cul...
-- Allons (dit Traitdamour), tachez de dťcharger tous trois en
mÍme temps!
Cordaboyau poussait; il retint la garce par les hanches, pour
enfoncer plus avant; Brisemote en fit autant; de sorte que,
rendue immobile, elle s'agitait nťanmoins en tout sens.
-- Examinez bien.. (dis je ŗ Conquette-Ingťnue) pour faire la
mÍme chose ŗ votre tour; car il faut que vous expťrimentiez
tous les genres de fouterie.
Elle considťra le jeu, ŗ travers les b‚tons de son ťventail.
Minone haletait. ConnŤte, ťbahie, restait immobile ŗ la
contempler.
-- Que fais-tu lŗ, toi, bougresse? (lui dit Traitdamour, notre
grand maÓtre des cťrťmonies) Patine-nous Madame... Suce-lui le
bout des tťtins... Gamahuche-la; elle a le con propre comme un
visage de mariťe...
Ces mots, ťnergiquement prononcťs, mirent en danse la reine de
la fÍte, que je vais dťcrire.
ConnŤte, tandis que Minone travaillait, et qu'elle ťtait
travaillťe, dťcouvrit les tťtons de Mme Poilsoyeux, et les
siens. Elle en suÁa les bouts; elle se les fit sucer. Ce
chatouillement de la bouche de Conquette, aussi satinťe que
son con, mit la jeune ConnŤte en fureur amoureuse. Elle
trousse Mme Poilsoyeux; lui insŤre sa langue dans le con; lui
chatouille le haut de la motte. La belle, ťmoustillťe,
regardait cependant Minone. Celle-ci avertit ses deux fouteurs
qu'elle ťtait prÍte ŗ dťcharger. Ils redoublent le
fourgonnage. Elle s'ťcrie:
-- Vits de Dieu!
Et elle se p‚me. L'enculeur et l'enconneur l'inondaient de
foutre; il ruisselait des deux cŰtťs... Ma fille, vivement
gamahuchťe par ConnŤte, est hors d'elle-mÍme, et cette modeste
beautť dit ŗ la jeune fille:
-- Ote-toi, garce! Un fouteur! Un fouteur!... deux... cent
fouteurs!...
Traitdamour l'entend. Il dťrange ConnŤte acharnťe, en la
tirant par la jolie criniŤre de son con blond. Il emplit le
trou du cul de Mme VitnŤgre de beurre frais; s'en frotte le
vit dťcalottť; se met le bas-ventre sur ses fesses, enfile la
rosette, sans ťcouter les petits cris de l'enculťe; l'ťtreint
vigoureusement, se retourne, en se mettant sur le dos, le vit
dans le cul de la belle jusqu'ŗ la garde, son con bien facť...
Il crie ŗ son maÓtre:
-- A ce con bťant qui vous supe! Enconnez roide... Piquez des
deux... la garce est enculťe, et je vas vous donner les
mouvements... Pardon, dťesse! je ne me connais plus...
ConnŤte! boulonne, boulonne les couilles de mon maÓtre...
Cependant j'enconnais ma dťlicieuse fille. Et, sentant le vit
de Traitdamour qui m'ťtrťcissait encore le passage, et qui
donnait au connin des oscillations que jamais con n'a eues, je
dťlirai, en m'ťcriant:
-- Chien de VitnŤgre! cocu tout ŗ la fois du con et du cul.
Cette idťe m'enflammait, et sa brutalitť m'empÍcha de
dťcharger trop tŰt. Je parvins au charmant pinÁoir du fond du
connin. Il me suÁa. Le vit de Traitdamour me communiquait tous
ses mouvements, et en faisait faire d'insolites ŗ mon adorable
fouteuse. Dťjŗ prťparťe par la langue de ConnŤte, elle
s'ťcrie:
-- Ah-ah-ohh!... ze dťÁa-arze.... Foutre!
-- En voilŗ... du foutre... plein votre con... Reine des
vits... et des dieux, s'ťcria Traitdamour!...
Et je sentais les oscillations de son gros vit qui
ťjaculait... Enfin, je dťchargeai moi-mÍme. Ma fille, inondťe
de foutre, trťmoussait rapidement:
-- Con satinť de mon vit (m'ťcriai-je), que tu es dťlicieux!...
Mme VitnŤgre ťmettait encore, quand Traitdamour dťcula...
Ce mouvement la fit redťcharger... Le bougre se lavait d'eau
tiŤde. Conquette, dans le con de laquelle je laissais osciller
mon vit aprŤs dťcharge, gigotait, trťmoussait, tremblotait
sous moi. ConnŤte m'avait quittť les couilles. Traitdamour,
toujours bandant, ťtait revenu vers nous.
-- Fous-la-moi tout chaud (lui dis-je); elle dťcharge encore...
Et toi (dis-je ŗ ConnŤte), boulonne-lui la bouteille-ŗ-miel du
bourdon d'amour.
Elle m'obťit. Mais Minone, dťculťe, dťconnťe, lavťe, ťtait
libre. Elle vint remplacer ConnŤte, en me demandant si cela ne
signifiait pas tout uniment de chatouiller les couilles de son
frŤre pendant qu'il foutait ma maÓtresse?... Cordaboyau
cependant et Brisemote happaient ConnŤte, le premier, cette
fois enconnant, tandis que l'autre enculait, pour donner une
perspective encourageante ŗ ma fille.
Mais tout finit. Mme VitnŤgre cessa de dťcharger. On la
dťconna. Traitdamour la mit au bidet. Elle se couvrit
modestement le con et les tťtons; puis elle dit aux deux
fillettes:
-- Mes bonnes amies, allons aider mon hŰtesse, pour le souper!
Elles y coururent.
-- Si vous n'avez prťparť (dit ma fille) que pour notre souper
ordinaire, je vous avertis qu'il faut le double.
-- Je n'ai pas assez donc (rťpondit Mme Brideconnin).
-- Vite au rŰtisseur de vis-ŗ-vis (reprit la belle VitnŤgre);
et du bon vin! ou je ne boirai que de l'eau. Un bon mariage
paiera tout Áa...
On alla chez le successeur d'EllŤs, qui promit un copieux
souper pour dans une heure.
Conquette rentra auprŤs de nous avec les deux jolies filles.
-- Rebandez-vous? (me dit Traitdamour) Il ne faut pas laisser
languir nos cons avec l'expectative d'un bon souper!
-- Je brŻle, ŗ la vue du tour de cul et du pied de ma dťesse;
mais je ne suis pas roide, lui rťpondis-je.
Traitdamour:
-- Je roule dans ma tÍte une idťe, qui vous roidira.
Chapitre XXIX D'une nouvelle actrice. Danse nŤgre.
-- Allons, garces, dit Traitdamour ŗ sa soeur et ŗ sa maÓtresse,
nues! Et vous, bougres, dťshabillez-vous!...
Il se mettait nu lui-mÍme.
-- Mais il nous faut encore une actrice... Je viens de voir
monter une jolie drŰlesse, qui ferait notre affaire?
-- C'est Mme Brideconnin, l'hŰtesse de notre belle dame, dit
ConnŤte.
-- Non, non, mon amie. C'est une petite brune de fond de la
cour, cadette d'une grande belle blonde, que nous aurons
peut-Ítre un jour, et qui se nomme Connindorť. La Cadette s'appelle
Rosemauve, et passe pour trŤs rusťe. Mais on la dit amoureuse
comme une chatte, quoiqu'elle soit peut-Ítre pucelle encore;
car sa mŤre la couve des yeux. Cependant, quand un homme
l'embrasse, elle ne fait aucune difficultť de donner sa
langue.
-- Je la connais! dit modestement la belle Poilsoyeux; et elle
m'a... m'a...
Traitdamour:
-- Quoi? dťesse?
-- Mais, donnť sa jolie langue, et...
-- Et quoi?
-- Gam*******.
-- Gamahuchťe... Va la chercher, ConnŤte.
-- Non! dit vivement Conquette, j'y vais moi-mÍme.
Elle sortit, et, ayant rencontrť Rosemauve qui redescendait,
parce qu'elle n'avait pas trouvť un vieil oncle assez riche,
dont elle recrťait l'impotente lubricitť, en lui chatouillant
le croupion, le scrotum et les testicules; ce qui le faisait
bandocher, la belle Poilsoyeux la mit au fait, obtint son
aveu, et l'introduisit.
Les deux filles et les trois hommes ťtaient nus comme la main.
Sans rien dire ŗ la brune Rosemauve, ils se mirent tous cinq ŗ
la dťshabiller. On lui enleva jusqu'ŗ sa chemise. On lui
baigna cul, con, cuisses, pieds... Puis Traitdamour lui dit:
-- Ma belle, il faut, en tout, faire comme ma soeur et mon amie.
AussitŰt commenÁa la danse nŤgre; oý chaque fille faisait tous
les mouvements d'une Noire ardente qui fuit le vit dont elle
brŻle d'Ítre enconnťe, que le vit attrape, et qui saccade
alors en trťmoussant du cul, comme si le vit la fourgonnait.
Les garÁons poursuivaient les garces le vit en main; et dŤs
qu'ils les avaient attrapťes, elles se retournaient pour
l'enconnage, ou ils paraissaient les foutre en levrette;
culetant, criotant, jurotant, comme s'ils eussent perforť les
cons. La danseuse prenait le vit, au lieu de la main; l'homme
la saisissait par la barbe du con. Ils se faisaient ainsi
tourner de temps en temps.
Je bandais roide. Je fis trousser ma fille au-dessus des
reins, et je lui dis:
-- Conque de Vťnus, imite tous les mouvements de cul et de con
que tu vois...
Elle ťtait excitťe; elle se mit au milieu de la danse, et les
exťcuta rapidement... Traitdamour, me voyant en rut, et ses
camarades bien disposťs, leur dit:
-- Au foutoir...
Il laissa Rosemauve, sa danseuse, qui en parut toute
mortifiťe!
-- Votre tour va venir, ma belle danseuse.
Il ťtendit ma fille sur le sofa, dont il lui mit un des
oreillers sous le cul:
-- Allons, ma toute ťveillťe, dit-il ŗ Rosemauve, gamahuchez-moi
ce connin-lŗ, pendant que je vous le mettrai en levrette,
ou vous enculerai, ŗ votre choix?
-- On ne dťpucelle pas une vierge en levrette (rťpondit-elle
vivement): encule-moi, s'il le faut, tandis que je
gamahucherai ce connin d'amour...
Elle gamahucha la belle ťpouse de M. VitnŤgre avec fureur, et
Traitdamour perÁa sans pitiť, par des efforts redoublťs, le
cul virginal de la gamahuchante. La belle Poilsoyeux appela:
-- le vit! le vit!
Je n'y pouvais plus tenir. Je dťrangeai la Rosemauve enculťe,
pour me prťcipiter dans le con de ma fille haletante de
voluptť... J'enconnais vigoureusement, lorsque j'eus la
dťlicieuse surprise de me sentir gamahucher le cul, ainsi que
la racine des couilles, par la bouche et la langue veloutťes
de Rosemauve!... Je cocufiai Monsieur VitnŤgre aussi
copieusement que si j'avais eu les couilles d'un Dieu!... On
abluait.
-- Avec la permission de ma dťesse (ŗ Conquette), il faut que
je m'acquitte avec Rosemauve!...
Tout le monde s'ťcria:
-- Non, non, dimanche! Je ne les ťcoutai pas; j'enfilai la
pucelle, qui criota, sanglotina, et ils furent tťmoins de ma
nouvelle victoire. Mais Conquette me gronda sťrieusement. On
alla souper.
La conversation fut sage, rassise. Brideconnin, sa femme, en
ťtaient ťdifiťs... Mais je ne tarderai pas ŗ les mettre de nos
amusements... Au dessert, Traitdamour me demanda une histoire
dans le genre de nos amusements! Je lui donnai ŗ lire une
lettre, adressťe ŗ VitnŤgre, par un de ses trois payeurs,
lettre que j'avais trouvťe dans une des malles de ma fille. La
voici:
Chapitre XXX De la Piochťe, du Piochť, du Piochard.
Nous avons un de nos confrŤres, qui avait une maÓtresse de
seize ans, dont il jouissait ŗ sa maniŤre, comme je prťtends
jouir de ta femme ŗ la mienne, quand une fois je l'aurai
dťvirginťe. Tu seras alors prťsent ŗ nos fouteries, ŗ peu prŤs
comme le pŤre dont je vais parler. J'aime ŗ ťcrire ces
histoires-lŗ; elles me font bander. Le pŤre de la jeune fille
ťtait un riche marchand, qui l'avait dťlicatement ťlevťe; mais
il ťtait devenu si pauvre qu'il ne pouvait plus la nourrir, ni
un fils de douze ans. La fille ayant plu ŗ mon confrŤre, il la
voulut acheter. Le pŤre la lui vendit douze mille francs. Mais
comme Piochencul (c'est le nom du confrŤre) est un libertin
fort blasť, il lui faut un ragoŻt pour le ranimer. Ce ragoŻt
est de faire trousser et laver la fille par son pŤre, avant
d'en jouir. Le pŤre prend ensuite le vit du fouteur, et le
dirige dans le con sans poil de la jolie Piochťe. Son pŤre
l'avait pommadťe la premiŤre fois. Pendant l'acte, il l'excite
ŗ remuer du cul, ŗ serrer le fouteur dans ses bras, etc. Quand
elle est dťconnťe, le pŤre lave le vit de son gendre, le cul,
le con de sa fille, et les essuie.
Dans la conversation, Piochencul apprit bientŰt que Piochťe
avait un frŤre beau comme Adonis; c'est-ŗ-dire parfaitement
ressemblant ŗ sa mŤre, qui avait ťtť trŤs jolie femme. DŤs que
mon confrŤre le sut, il l'acheta, comme sa soeur, et, pommadť
par le pŤre, il l'encula. Peu de jours aprŤs, voulant foutre
la soeur avec plus de vigueur, il la fit laver par le pŤre,
gamahucher par le jeune frŤre, et il l'enconna, quand elle fut
prÍte ŗ dťcharger... Par la suite, il n'encula plus le joli
enfant:
-- Bougre! dit-il au pŤre, je ne bande plus assez pour enconner
ta fille, sans Ítre excitť; encule-moi lŗ ton petit garÁon;
cela me fera roidir!
Le pŤre est forcť, par son intťrÍt, d'obťir au blasť. Ce qui
fait tellement bander le vieux satyre qu'il enconne, et mÍme
encule la jeune fille...
Il y a 4 ou 5 ans que cela dure. Quand le garÁon a eu 15 ans,
il lui a fait enconner sa soeur. Il la fout ensuite sans laver,
pendant que le pŤre encule le jeune homme. D'autres fois le
frŤre encule sa soeur, tandis que le vieux bougre l'enconne...
Voilŗ quelle est la vie que mŤne mon vieux confrŤre, et qu'il
trouve dťlicieuse ŗ son ‚ge... La fille est dťlicate et jolie.
Le garÁon est beau. Le pŤre est affreux. La fille est devenue
grosse. Le financier croit, avec raison, que c'est du jeune
frŤre. Il dťsire que ce soit une fille, espťrant qu'elle sera
jolie, comme tous les enfants incestueux. Car il faut savoir
que ce joli garÁon est fils d'un frŤre aÓnť, qui, devenu
ťperdument amoureux de sa mŤre, donna la courante ŗ son pŤre,
en mettant de la manne dans son potage au lait du soir. Le
pŤre fut obligť de se lever souvent, et le fils, ŗ chaque
sortie, alla auprŤs de sa mŤre, qu'il enconna six fois au
moins pendant la nuit... Voilŗ d'oý provenait le beau garÁon,
ressemblance de sa mŤre avec une telle perfection, que, vÍtu
des habits de la belle, qui n'est plus, on le prend pour elle.
C'est en consťquence qu'un amant, piocheur de la mŤre,
entretint le jeune homme sur le mÍme pied que sa feu
maÓtresse, ŗ condition que, pour la jouissance, il prendrait
les habits de sa mŤre, en porterait le nom, Mme Brouette-vit;
qu'il ferait la petite voix, dirait mon con, au lieu de mon
cul; tandis que lui, Vitacon, se ferait illusion, en disant ŗ
sa maÓtresse:
-- Allons, ma chŤre Brouettevit, venez que je vous le mette en
levrette!
Chapitre XXXI Suite des mÍmes. PiochŤte. Dix ans aprŤs.
Je vais donner la suite de cette aventure.
Piochťe eut effectivement une fille, qui a 14 ans aujourd'hui,
et qui est jolie comme sa grand'mŤre. Elle sert aux plaisirs
du vieux traitant qui, ne pouvant plus enconner, s'en fait
caresser, tandis que la mŤre lui suce le vit. C'est dans les
extases de ce plaisir long et difficile, causť par le
chatouillement que faisait ťprouver ŗ son vit paralytique le
palais de Piochťe, qu'il conÁut le dessein de faire dťpuceler
PiochŤte ŗ 14 ans, par Piochť l'Adonis, son pŤre et son oncle,
que justement la jeune enfant aimait incestueusement; puis
enculer alternativement.
-- Bande, bougre (dit-il ŗ l'Adonis), et ne dťcharge pas! Tu me
dťpucelleras ta petite garce de fille... dŤs que ton grand-pŤre
t'aura dťculť. La petite fut gamahuchťe par le vieux
singe; puis pommadťe par sa mŤre. Son pŤre, dťculť, bien
bandant, vint sur elle, et lui darda son vit dans le connin,
dont la mŤre ťcartait les babines. Le fouteur n'entrait pas;
la petite dťchirťe se rťcriait; le vieux satyre, ťmotionnť,
bandochait, en s'ťcriant:
-- Oh! pousse donc, m‚tin! Ű pousse donc, bougre! Fends,
pourfends le connichon de ta fille!... et mets-y une petite
garce, que nous dťflorerons un jour! Gzťe, gzťe, mon ťtalon!
fais-moi des cavales!...
Et le vieux dťcharnť, par un phťnomŤne, ťmit quelques gouttes
d'un foutre clair, dans la bouche de Piochťe, au moment oý
Adonis, forÁant toutes les barricades, malgrť les cris de sa
fille, lui dťchargeait au fond de son connin ensanglantť! Le
bťlÓtre en fut si glorieux qu'il fit ŗ Piochette mille ťcus de
rentes, et autant ŗ Piochťe, outre ce qu'elles avaient dťjŗ.
Son grand dťlice, pendant qu'il fait servir la bouche de la
mŤre de con ŗ son vit, qui ne dťcharge plus, est de voir
piocher Piochette, non seulement par le vigoureux Adonis
Piochť, qui pioche, soit en con, soit en cul, mais de faire
alors enculer le pŤre, qui fout sa fille, par le grand-pŤre
qu'encule un laquais, sur le cul duquel est assise Piochťe,
foutue par un autre laquais... Il a soin qu'on fasse suivre au
vieux Piochard un rťgime ťchauffant, afin que ce monstre
tantŰt enconne sa fille, tantŰt encule son fils. Pendant cette
scŤne, l'impuissant Ribaud patine les tťtons et le connin du
tendron, ou bien la gamahuche. Il lui prend quelquefois des
vertigŰts de faire enconner la mŤre, enculer Adonis par douze
de ses amis en une seule sťance. La jeune personne est alors
nue en perspective, montrant le cul aux enculeurs, et le con
aux enconneurs... C'est le vieux Piochard qui insŤre les vits
dans le con ou dans le cul.
Tu vois par-lŗ quel parti nous pouvons tirer de ta femme,
lorsqu'une fois elle sera dťpucelťe. Tu ne seras pas privť; tu
mettras les vits dans le con et dans le cul de ta femme; tu en
seras le maquereau, et quand elle sera bien ťlargie des deux
trous, peut-Ítre te permettra-t-on de la foutre en con ou mÍme
en cul. Lťlargisseur.
P.-S. J'apprends par une derniŤre visite faite ŗ Piochencul
que Piochette a effectivement eu la plus jolie petite fille;
on me l'a montrťe; elle a 3 ans. Mais, ce qui est le comble du
libertinage, le vieux Piochencul lui fait dťjŗ tťter son vit
flasque, pendant que la jeune mŤre lui chatouille les
couilles. Je lui en demandai la raison?
-- Je profite, rťpondit-il, du temps oý l'enfant n'a pas encore
de discernement, ni de dťgoŻt ŗ me sucer.
Que dis-tu du vieux bougre?
Chapitre XXXII Du connin goŻtť.
-- Voilŗ quel aurait ťtť votre sort, Madame, dis-je ŗ
Conquette, si vous n'ťtiez pas dťcťdťe, et que vous fussiez
restťe l'ťpouse de VitnŤgre.
Expressions qui ťtonnŤrent tout le monde, hors ma fille, et
les Brideconnin.
Cette lettre, qui avait ťtť lue aprŤs le champagne, avait mis
les jeunes gens en rut. On descendit au magasin, pendant que
les hŰtes serraient les dťbris du souper. Lŗ, Traitdamour,
demi-grisť, me dit, en me dťsignant ses camarades:
-- Comment ces bougres-lŗ peuvent-ils avoir une idťe de notre
bonheur, et de ce qu'est le connin de votre maÓtresse, s'ils
n'en t‚tent pas?... Je n'entends nullement qu'ils y
dťchargent; mais seulement qu'ils y plongent rapidement leurs
vits, pour en palper le satinť. DŤs qu'un des enconneurs sera
retirť, le mieux en ťtat de nous deux, vous ou moi, achŤvera
Madame, et la fera dťcharger!
-- Je le veux bien (rťpondis-je).
Cordaboyau, bandant roide, se prťsenta. Nous renvers‚mes ma
fille sur le foutoir, nous la trouss‚mes, et nous dťclar‚mes
que nous nous tenions prÍts ŗ le dťsarÁonner, dŤs qu'il aurait
senti le veloutť de l'ťtroit connin de notre fouterie, et que
le clignotement de ses yeux annoncerait l'ťruption du foutre.
-- En ce cas (s'ťcria le bougre), que l'une de ces trois garces
se couche-lŗ le con pommadť, pour que mon vit convulsivant s'y
prťcipite et dťcharge!
On pommada Rosemauve. Cordaboyau enconna lentement Conquette,
dont le satinť le fit se rťcrier... mais il plongea jusqu'au
fond. On l'observait. Il clignota de l'oeil. AussitŰt Brisemote
et Traitdamour l'enlevŤrent comme une plume, en jurant:
-- Le sacrť bougre! il va partir...
Et ils le mirent sur la brune Rosemauve bien ťcartťe, et
Conette dirigea le vit. Cette fille, la plus chaude des
garces, si Mme VitnŤgre ne l'eŻt pas surpassťe, engloutit le
vit en trois coups de cul sans intervalle. Cordaboyau
dťchargea en hurlant de voluptť, Rosemauve l'ťtreignant avec
une dťlicieuse fureur.
Cependant, ce que je voyais m'avait roidi, et j'enfonÁais dans
le con humide de ma dťesse qui, suffisamment limťe, dťchargea
deux fois, avant que je l'humectasse de mon foutre paternel...
Elle gigotait, criotait, soupirotait.
-- Ah! (s'ťcria Traitdamour) vous Ítes le dieu de son con, cher
maÓtre! il se fond en jus d'amour, quand vous le perforez!
Voyez comme elle en donne, l'adorable enfant!... Allons,
cťleste coquine, trťmousse, trťmousse! Fous, divine garce!
dťcharge...
Ce fut ensuite le tour de Brisemote. Conette, pommadťe, fut
ťtendue sur le foutoir... Il enconna ma fille. La grosseur du
vit et sa roideur lui arrachaient de sourds gťmissements; elle
travaillait de toutes ses forces, mais le terrible engin avait
encore plus de trois pouces pour toucher le fond. Tout ŗ coup
nous nous apercevons que le perfide Brisemote veut inonder,
d'un torrent de sperme, le connin qu'il martyrise. Nous ne
pouvions l'enlever et l'arracher, son vit lapait comme celui
d'un gros dogue dans la vulve enflammťe d'une grande levrette.
En ce pťril, nous implor‚mes, Traidamour et moi, la pudeur de
Conquette! L'adorable fouteuse, fidŤle ŗ nos vits, donna un
coup de cul en arriŤre, et se dťconna. Traitdamour plongea
rapidement son braquemart en furie dans le con bťant...
Brisemote, enragť, se jeta sur Rosemauve, qui ne s'y attendait
pas, et la foutit en levrette, avec tant de brutalitť qu'il la
fit crier autant de douleur que de plaisir... Et, voyant
Conette se lever:
-- Reste-lŗ, garce! lui cria-t-il. Je suis dans une rage, par
ce con veloutť que fout Traitdamour, que j'enconnerais la rue
Maubuť et celle de la Tannerie...
En effet, Rosemauve, dťconnťe, il fondit sur Conette, la fit
crier; enfila Minone sans intervalle, et reprit Rosemauve...
-- Que n'ai-je lŗ notre putain d'hŰtesse! la garce boite avec
gr‚ce, elle a de blancs tťtons: qu'on me l'appelle!...
Nous lui prťparions Rosemauve, qu'il encula.
Pendant ce temps-lŗ, Traitdamour se dťlectait sur Mme
VitnŤgre, qui se plaignotait tendrement, et dťchargeait sans
cesse, parce que son enconneur ne la dťconnait pas.
-- Que la bougresse qui est libre (nous dit-il), chatouille les
petons de ma dťesse; Áa la fera me secouer.
-- Allons! m'ťcriai-je, que Minone lui chatouille le haut de la
motte, la douce main de Conette les couilles du cruel
pourfendeur, et moi je chatouillerai les pieds dťlicats de la
belle enconnťe!
Ce qui s'exťcuta: de violents soubresauts, des cris, des
blasphŤmes de voluptť, Foutu Dieu... Sacredieu... Dieu-con...
Dieu-vit... marquaient l'ťgarement des deux conoeuvrants.
Cependant Cordaboyau flairait la chaussure mignonne de
Conquette-Ingťnue, et allait y mettre son vit:
-- Laisse donc! lui dit Rosemauve, tout enculťe qu'elle ťtait;
cela est insensible; mon con est libre; que ne le fous-tu?
Le bougre lui mit le ventre en l'air, et, tandis que Brisemote
la sousaccadait en cul, Cordaboyau lui saccada le con.
Je bandais si fort, en entendant et voyant tout cela, que
j'allais enconner Minone ou Conette. Ma fille, qui
dťchargeait, me dit tendrement:
-- Un autre con... que le mien... peut-il vous tenter?...
Cette tendresse vraiment filiale, me toucha au coeur.
-- Ote-toi (dis-je ŗ Traitdamour); tu dois avoir dťchargť!
Il dťconna. Et moi, ťmu d'un amour paternel sans bornes,
j'enconnai ma fille, sans laver.
-- MÍlons nos trois foutres (lui disais-je en enfonÁant); que
ton con filial engouffre le vit paternel avec dťlices!...
Remue du cul, adorable enfant! Rends-moi tout le foutre que
j'ai dťchargť dans le con de ta mŤre... pour te faire!... Ah!
comme la garce remuait du cul, oscillait du con, le jour oý je
l'engrossai de toi! Elle ťtait chaussťe, parťe, un peu
chiffonnťe, et si chaude qu'elle se mit sur moi et s'enconna.
Pour m'exciter davantage, elle me disait en saccadant:
"Pousse... Enfonce... mon con est frayť... je viens d'Ítre
foutue par ce beau commis aux Aides, dont tu es si jaloux..."
Et elle saccadait... Pour moi... je foutis avec fureur...
comme je te fous ŗ prťsent... C'est moi qui t'ai engendrťe,
enfoutrťe dans son con satinť... quoique tu ressembles ŗ Louis
XV qui... dit-on, l'a aussi foutue...
-- Mon cher pŤre... Ű vit divin! (rťpondit Ingťnue, oppressťe
de foutre et de tendresse) je sens... ŗ mon insatiable
connin... que je suis votre fille... je le sens au plaisir...
que me fait la cťleste idťe que mon... pŤre me fout.... Dťcha--argeons
ensemble, cher papa!... j'ai... plus de... foutre
avec toi, qu'avec tout autre?... Ah! Ah!.. fourgonne...
fourgonne, vit-papa... Le foutre... est long... ŗ venir...
J'ai tant foutu!... Mais je n'en ai que plus de plaisir... Ah!
Ah!... foutre!... Dieu! Dťlices!... VitnŤgre!... Ű monstre,
qui me dťchirais, sans me pouvoir en--filer, que n'es-tu sur
moi... ton vit noir me pourfendant le con... Foutamort...
enfondre-moi... Cher papa... dieu-fouteur... je pars... je
dťcha--a--arge... ŗ l'intention... de... Foutamort...
Et elle se p‚ma, dans un ťgarement, un dťlire ineffables.
Cependant elle avait croisť ses jambes sur mes reins, et elle
me faisait une jolie brouette de ses cuisses et de son con. Je
dis qu'on la rechauss‚t, et, ŗ chaque coup de cul, elle fit
claquer l'un contre l'autre ses hauts talons, comme faisait sa
mŤre, pour me rappeler en foutant la beautť de son pied. Ce
spectacle parut si dťlicieux ŗ mes trois drŰles qu'ils
enconnŤrent en furieux, Traitdamour Rosemauve, Cordaboyau
Conette, et Brisemote Minone, et qu'ils les firent crier comme
des dťpucelťes.
DŤs que j'eus ťmis, je dis ŗ mon secrťtaire de dťconner, de
m'enlever, et de me porter sur un fauteuil. Il m'obťit. Ma
fille palpitait. Je la montrai se chatouillant elle-mÍme le
con. Traitdamour rebanda comme un enragť; il se prťcipita sur
elle.
-- Enculez-moi, s'il vous plaÓt, Monsieur (lui dit-elle), il me
semble que Áa me fera mieux...
-- Dťcharger (s'ťcria le bougre). Vous avez le con trop
fatiguť.
Et il lui perÁa le cul sans mouiller.
-- Je vais... redťcharger (lui dit-elle, en continuant de se
branler elle-mÍme).
-- Attendez! attendez! (lui cria le jeune et vigoureux
perforeur); je vous branlerai, en vous enculant.
Conquette enculťe et branlťe, roucoulait de plaisir...
En ce moment, Brisemote, qui finissait Minone, se jeta sur
Rosemauve, abandonnťe par Traitdamour, pour ma fille. Elle se
fit enculer et branler. Cordaboyau retourna ConnŤte, et lui en
fit autant. Minone, libre, alla gamahucher ma fille, que son
frŤre tenait enculťe; et moi, je branlai Minone. Les trois
bougresses se rťcriaient que l'enculage branlť ťtait divin.
Pour moi, j'ťtais sur mon fauteuil, un doigt dans le con de
Minone, que j'avais ŗ peine la force de branler, tombant de
sommeil, et bandant encore pour toutes quatre; il me devenait
indiffťrent laquelle j'enconnasse. Je le dis. Brisemote
m'avanÁa Rosemauve tout enculťe. J'allais enconner la vive
Brune. Minone se retourna, mit ses fesses d'alb‚tre sur ce con
noir, et me prťsenta son con.
-- Que je te voie! (s'ťcria Conquette, en s'arrachant du cul le
vit de Traitdamour) si Cupidonnet doit mourir en rut, c'est
dans mon con!...
Elle se mit sur Minone, m'ťtreignit dans ses bras et
m'engouffra.
-- Ah! (s'ťcria Brisemote, qui nous portait tous quatre) que
n'ai-je le vit assez long pour les enculer toutes trois!
Ainsi finit cette belle soirťe. La partie fut remise au
dimanche suivant. Conquette, aprŤs avoir fait amplement bidet,
se coucha modestement. Je ne pouvais marcher. Mes trois
gaillards remenŤrent leurs belles, et revinrent me prendre,
pour me porter chez moi, oý ils me mirent au lit.
Chapitre XXXIII De la fouteuse sensťe. Histoire.
Le lendemain, aprŤs mon travail, je vins voir ma fille. Elle
ťtait dans mon magasin. Elle m'embrassa la premiŤre, et me
dit:
-- Au nom de Dieu, cher papa, mťnagez-vous! j'ai besoin de
votre tendresse paternelle plus que jamais... Que deviendrais-je
si je vous perdais? Vous Ítes le meilleur des pŤres; vous
me donnez le nťcessaire et la voluptť. J'ai un bijou
insatiable; mais votre Traitdamour l'emplit et le satisfait au
delŗ de toute vraisemblance. Je suis bien sensible au don que
vous m'en avez fait. Aussi la reconnaissance et la tendresse
sont pour vous; je ne lui donne que du...
-- Foutre, mon adorable fille... Tu es toujours ťgalement
modeste.
-- J'ai aussi beaucoup d'obligation ŗ Traitdamour d'avoir amenť
sa petite soeur et sa jolie maÓtresse; surtout d'avoir donnť
celle-ci ŗ ses deux vaillants camarades pour me rester plus
entier et vous soulager d'autant, vu mon extrÍme chaleur. Ces
jeunes filles sont de bonnes petites crťatures, et valent
mieux que Rosemauve, qui cependant n'est pas sans mťrite...
Mťnagez-vous, cher papa. Ne voyez que moi; c'est bien assez.
Une partie, tous les huit jours, suffira pour vos forces.
Traitdamour me donnera le surplus de ce qu'il me faut. En ne
jouissant que les dimanches, les garÁons, les petites, tout
comme nous, l'appťtit et le plaisir seront plus grands; nous
passerons une demi-journťe dťlicieuse... Mais je suis jalouse
de vous et du beau Traitdamour; ne le mettez qu'ŗ moi.
Avertissez-les tous de cela. C'est mon caractŤre que la
jalousie. Et puis, oý trouveriez-vous une femme ou fille qui
me vaille? Toujours propre, abluťe ŗ chaque pipi, autant par
voluptť que par dťlicatesse; car j'ai cet endroit, que vous
avez la bontť de trouver charmant, toujours si chaud que je ne
le mets jamais dans l'eau qu'avec une voluptť qui approche de
la jouissance. Ne me le mettez donc pas de la semaine, pour
avoir plus de plaisir, sans vous tuer, le dimanche. Ne me
touchez ni le bijou, ni le sein!
-- Non (rťpondis-je); durant la semaine, je ne baiserai que ton
joli pied. Et je veux toujours avoir une de tes chaussures au
trumeau de ma cheminťe!
-- Rien de si flatteur, rťpondit-elle, que d'Ítre ainsi adorťe
jusque dans sa parure. Aussi mon pied est-il soignť, comme
vous l'adorez. Je le lave ŗ l'eau-rose deux fois le jour matin
et soir, et aprŤs avoir marchť.
-- Ah! cťleste fouteuse, que je le baise, que je le baise!
-- Point de ces mots-lŗ! dans la semaine: ils vous excitent...
Baisez votre idole! j'y ai autant de sensibilitť qu'ailleurs;
mais restez-en-lŗ... Du reste, je suis ŗ vous. Vendez-moi,
livrez-moi, quand vous le voudrez; je me donnerai avec plaisir
pour vous; comme une autre Ocyrhoť.
[lacune]
Je me privai donc, malgrť moi; mais par nťcessitť; je me
contraignais.
[autre lacune]
Mais j'avais ŗ ma cheminťe sa chaussure rose ŗ talons verts, ŗ
laquelle je rendais mon hommage tous les jours en l'honneur de
la fille la plus pieuse et la plus dťvouťe qui ait jamais
existť. Conquette-Ingťnue, ŗ qui je le dis le samedi, en fut
transportťe de joie. Elle darda sa langue, me fit sucer ses
tťtons, palper son poil soyeux, se mit ŗ genoux, et dit avec
ferveur:
-- Mon Dieu! je vous remercie de m'avoir fait naÓtre d'un si
bon pŤre! Nous ne vous offensons pas; je rends ŗ mon papa en
plaisirs dťlicieux les soins qu'il a pris de mon enfance. Je
suis le baume et le charme de sa vie; il est le baume et le
charme de la mienne! Bťnissez-nous!
Elle fit trois signes de croix, baisa la terre, et se releva,
en disant:
-- Doux Jťsus, qui le mettiez ŗ Madeleine, elle ťtait aussi
votre fille; et en amour, vous le savez par expťrience, rien
n'est si voluptueux que l'inceste!...
Je fus si ťdifiť de cette priŤre que je me propose de la faire
recommencer, ŗ la fin de nos parties.
Un instant aprŤs, ŗ 8 heures et demie, toute la petite
sociťtť, Traitdamour, Minone sa soeur, Conette sa maÓtresse,
Rosemauve, Cordaboyau et Brisemote, vinrent prendre langue
pour la rťunion du lendemain. Je donnai le mot et les retins ŗ
souper. Il y avait un excellent gigot de 18 livres, et du vin
de Bourgogne, avec un p‚tť chaud. AprŤs le repas, voulant les
ťmoustiller tous, et moi-mÍme, je fis lire par Rosemauve,
devant nos hŰtes, l'histoire suivante:
Chapitre XXXIV De l'homme-ŗ-queue.
-- Vous aimez les histoires, dis-je, ne voulant pas manger de
p‚tť; nous aurons demain toute autre chose ŗ faire: je vais en
conter une, pendant que vous achŤverez de souper.
Un rire d'aise prťcťda le silence.
Il y avait ŗ Sens, une veuve encore belle, quoique mŤre de six
filles, dont l'aÓnťe, qui atteignait vingt ans et se nommait
AdťlaÔde. La seconde, Sophie, n'en comptait pas encore
dix-neuf; la troisiŤme, Julie, en avait prŤs de dix-huit; Justine
dix-sept; Aglať seize, et enfin Emilie, la cadette, quinze
ans. Quant ŗ la maman, mariťe ŗ treize, accouchťe de son aÓnťe
ŗ quatorze, elle avait trente-quatre ans. Mme Linars (c'est
son nom) avait en outre deux niŤces de quinze et vingt-deux
ans, Lucie et Annette-Bar, une jolie femme de chambre de
dix-huit, outre une cuisiniŤre, grande et belle fille de vingt
ans. Le mari avait mal fait ses affaires, avant que de mourir.
La veuve ne soutenait sa nombreuse famille qu'avec le revenu
de sa dot, qui rapportait cinq ŗ six mille livres. On ťtait
gÍnť; car les niŤces n'avaient que quinze cents livres de
rentes entre elles deux. C'ťtait onze jeunes personnes ŗ
entretenir avec 7500 francs.
Il parut alors ŗ Sens un gros et bel homme dont la physionomie
annonÁait trente ans, encore qu'il n'en eŻt que 20. Il passait
pour trŤs riche. Et, en effet, il l'ťtait. Ses bras et sa
poitrine ťtaient couverts de poils. Il avait le regard dur et
presque fťroce; mais son sourire l'adoucissait, et il souriait
toujours en voyant de jolies femmes. L'aÓnťe des demoiselles
Linars ťtait charmante; FysitŤre la vit et en devint
ťperdument amoureux, quoiqu'il eŻt alors dans son sťrail une
femme mariťe enlevťe ŗ Paris, de l'aveu du mari mÍme; la soeur
d'icelui, vendue par son pŤre, et une superbe carmťlite, leur
cousine, qui s'ťtait livrťe elle-mÍme, parce qu'elle ťtait
hystťrique. Mais toutes ces maÓtresses ťtaient alors
enceintes, et FysitŤre n'en jouissait que pour avoir des
enfants. Il alla chez Mme Linars, pour lui demander en mariage
AdťlaÔde.
Le velu, en voyant onze femmes dans une seule maison,
tressaillit d'aise... Il ťtala sa fortune, et proposa
d'ťpouser l'aÓnťe. Trente mille francs de rente qu'il prouva
(il en avait bien davantage!) le firent accepter sur-le-champ.
Il rendit ensuite des visites jusqu'au mariage, et fit des
prťsents, tant ŗ sa prťtendue qu'ŗ la mŤre, aux belles-soeurs,
ŗ Lucie et Annette-Bar, les deux niŤces, ainsi qu'ŗ Geoline et
ŗ MarŤte, la femme de chambre et la cuisiniŤre. Ce fut avec
ces prťsents qu'il attaqua leur vertu... Mais il faut quelques
prťliminaires, qui fassent mieux connaÓtre ce personnage.
FysitŤre ťtait un de ces hommes poilus qui descendent d'un
mťlange de notre espŤce avec celle d'hommes-ŗ-queue de
l'isthme de Panama, et de l'Óle de Bornťo. Il ťtait vigoureux
comme dix hommes ordinaires; c'est-ŗ-dire, qu'il en aurait
battu dix ŗ armes ťgales, et qu'il lui fallait, ŗ lui seul,
autant de femmes qu'ŗ dix hommes.
A Paris, il avait achetť la femme d'un nommť Guae, un
scťlťrat, qui la lui avait vendue et l'avait livrťe. FysitŤre
la tenait exactement renfermťe depuis. Il jouissait de cette
infortunťe, la plus provoquante des femmes, et qui avait
beaucoup de tempťrament, dix ŗ 12 fois par jour. Ce qui la
fatiguait tellement qu'elle lui avait donnť le conseil
d'acheter de leur pŤre sa soeur cadette, nommťe DoucŤte, qui
partagerait le travail. Il le fit. Mais ces deux femmes
avaient ťtť bientŰt sur les dents. Heureusement, un confesseur
de nonnes dťcouvrit alors pour le velu la religieuse
hystťrique, cousine des deux victimes; il la tira de son
couvent, sous prťtexte de lui faire prendre les eaux, et la
livra au FysitŤre, qu'elle occupa seule pendant quelques
semaines. Ce qui avait reposť ses deux cousines.
C'est ŗ cette ťpoque que l'homme-ŗ-queue ťtait venu ŗ Sens, et
qu'il avait vu la famille Linars. Avant qu'il eŻt Mme Guae, on
lui amenait trois filles couturiŤres chaque matin. Mais les
prťcautions qu'il ťtait obligť de prendre pour sa santť, avec
des crťatures qu'il laissait libres, le dťgoŻtŤrent de cette
jouissance. D'ailleurs, comme il avait formť le projet de
multiplier l'espŤce des hommes-ŗ-queue et d'en peupler l'Óle
entiŤre de Bornťo, pays originaire, il voulait pouvoir
surveiller tous les enfants qui lui naÓtraient. Ses trois
femmes ťtant grosses, il ne voulait plus les fatiguer. Quand
il fut liť avec Mme Linars, il aurait bien cherchť ŗ dťflorer
sa future, ou ŗ se donner une des niŤces; ou la cuisiniŤre, ou
la femme de chambre. Mais il trouva que tout cela avait ses
inconvťnients. Il rťserva ce supplťment de ressources pour
aprŤs son mariage. La premiŤre qu'il attaqua, ce fut sa
belle-mŤre future. Il lui fit un jour un prťsent de deux mille ťcus
en espŤces. Et, la voyant dans l'extase de la reconnaissance,
il lui mit la main sous la jupe, en lui disant:
-- Autant tous les six mois, si je vous le mets. Et ne craignez
pas de faire du tort ŗ votre fille! Elle n'en aura que trop de
reste...
Comme il ťtait extrÍmement fort, tout en parlant, il la
renversait, l'enfilait. La dame se trouva prise sans l'avoir
prťvu. Elle fut rabatelťe une dizaine de fois, tant elle ťtait
vigoureusement contenue... Enfin devenue libre, elle lui dit:
-- Oh, quel homme!
-- Je suis tel (rťpondit-il) que votre fille et vous, quand
vous m'aurez toutes deux, me donnerez vous-mÍme des
maÓtresses, pour vous reposer.
La dame, qui aimait le jeu d'amour, sourit, en rougissant
d'espťrance et de plaisir.
Elle fut exploitťe tous les jours, en attendant celui du
mariage de sa fille. Quand ce jour fut arrivť, effrayťe pour
une jeune vierge, elle pria l'inťpuisable FysitŤre de la
mťnager!
-- Six fois, rťpondit-il, pas plus, si vous me promettez de me
recevoir ensuite, ou de me donner Lucie, l'aÓnťe de vos
niŤces?
-- Non; mais je vous donnerai Geoline, ou MarŤte, celle que je
pourrai avoir le plus facilement...
Le soir des noces, FysitŤre, quoiqu'il eŻt toutes les nuits
fourbi Mme Linars, ťtait impatient ŗ trťpigner, d'avoir sa
mariťe. Il l'enleva comme une plume, dŤs qu'on eut soupť, se
jeta sur elle, et lui fit pousser des cris effrayants. La
mŤre, alarmťe, accourut avec Geoline, au moment oý FysitŤre,
sans trop s'embarrasser des gťmissements de la jeune personne,
la recommenÁait. La mŤre le laissa l'achever. Puis, sur
l'instante priŤre de sa fille, elle la retira du lit, pour
laver le sang et le suc d'homme dont sa conque martyrisťe
ťtait remplie. FysitŤre saisit alors Geoline, et la viola,
malgrť ses clameurs. Il la retint sous lui quatre ŗ cinq
fois... Elle profita d'un intervalle pour s'ťchapper. Mais
FysitŤre menaÁa Mme Linars, si elle ne remplaÁait pas sa
fille, de tourmenter celle-ci jusqu'au jour... La dame ťtait
fatiguťe. Elle alla chercher MarŤte, qu'elle enferma dans la
chambre nuptiale. FysitŤre la viola, et la contint sous lui
quatre fois; puis il lui permit de dormir.
Dans le jour, il assoupit les plaintes des deux filles
domestiques, et mÍme il les gagna, en leur constituant douze
cents francs de rente ŗ chacune. Mais elles demandŤrent du
repos, pour la nuit suivante... Le soir, FysitŤre ramona six
fois sa nouvelle ťpouse, qui prit un peu de goŻt ŗ la chose;
puis sa mŤre, reposťe, fut ŗ son tour fourgonnťe six autres
fois. Ce qui suffit ŗ l'homme-ŗ-queue.
Le soir du troisiŤme jour, il ne ramona sa femme qu'une fois;
car elle demanda gr‚ce. Il eut ensuite Geoline, six fois; puis
MarŤte, cinq fois. Ce qui fut la dose ŗ laquelle il se rťgla.
Il eut, le quatriŤme soir, sa femme, une fois; sa belle-mŤre
quatre; Geoline trois; MarŤte quatre: douze en tout. Il en
agit ainsi pendant deux mois.
-- Mais, lui dit Mme Linars, vous vous ťpuisez! A quoi bon nous
le mettre tant de fois?
-- Mon but est de faire des enfants, pour en repeupler une Óle
des Indes, dont les hommes de mon espŤce sont originaires. DŤs
que vous serez grosses, je ne vous le mettrai plus; vous m'en
donnerez d'autres; mais surtout vos filles et vos niŤces,
parce que vous Ítes toutes d'un beau sang. Je leur ferai ŗ
chacune six mille francs de revenu, et douze cents francs
seulement aux ťtrangŤres que vous procurerez...
Mme Linars fut trŤs ťtonnťe de cette proposition! Mais les six
mille francs de revenu pour ses filles et ses niŤces la
tentŤrent.
Au bout des deux mois, et de six semaines de mariage, Mme
Linars, la nouvelle ťpouse, Geoline et MarŤte se trouvŤrent
enceintes. FysitŤre leur dťclara qu'il ne les verrait plus
qu'aprŤs leurs couches. Et il pressa Mme Linars de lui donner
ses niŤces, et deux de ses filles?... Elle fut obligťe d'y
consentir. Elle les conduisait elle-mÍme, aprŤs les avoir
instruites, et assistait ŗ leur dťfloration, calmant leurs
cris par ses discours et ses caresses.
-- Ma raisonnable enfant, disait-elle ŗ Lucie renversťe sur le
dos, et qu'on troussait, il est doux d'avoir 6 mille fr. de
rente!... Cinq cents francs par mois! ajouta-t-elle en la
pommadant... Et fonciŤres, ma chŤre niŤce! (dirigeant le gros
membre dans sa fente).
Aussi la belle Lucie, quoique vierge, ne cria-t-elle pas.
Vint ensuite Annette, la seconde. Sa mŤre l'exhorta, la
pommada, insťrant son index onctuť le plus profondťment
possible, pour frayer la route. Elle introduisit le membre
dans la fente ainsi prťparťe. Cependant Annette, perforťe,
jeta les hauts cris. Mais ils n'arrÍtŤrent pas FysitŤre, dont
Mme Linars caressait la queue poilue, qui frťtillait vivement.
-- Ah! maman! (lui dit-il) mets-toi sur moi, et te l'enfonce
dans ta conque; tu auras bien du plaisir!
Elle le fit, et fut si ravie qu'elle appela sa fille aÓnťe et
les chambriŤres, pour leur procurer les mÍmes dťlices.
Annette suffisamment ramonťe, et demandant gr‚ce, Geoline la
remmena, pour laver le sang et le sperme, dont son bijou ťtait
barbouillť; et Mme Linars alla chercher Sophie, sa seconde
fille. Geoline et MarŤte l'apportŤrent nue assise sur leurs
mains jointes. Mme Linars la pommada; puis elle intromit.
Geoline s'enfila avec la queue poilue, au refus d'AdťlaÔde,
l'ťpouse. Sophie ne poussa que quelques gťmissements au
premier assaut; elle riposta aux deux autres. Elle fut
cependant ensanglantťe. Geoline se fourgonna de la queue ŗ
poil durant toute la sťance.
FysitŤre n'avait joui que neuf fois. Il lui en fallait trois
encore. On alla lui quťrir Julie, la troisiŤme soeur, ‚gťe de
dix-sept ans. Sa mŤre la pommada. Ce qui ne l'empÍcha pas de
crier, parce qu'elle ťtait fort ťtroite. Julie et sa cousine
Annette furent les deux qui n'ťmirent pas dans le coÔt, les
quinze premiers jours. Lucie fut prise tout de suite, et
Sophie trois jours aprŤs. Mais elles n'en dirent rien, aimant
le plaisir. Quant ŗ Julie et Annette, il s'ťcoula trois mois
avant qu'elles fussent enceintes... MarŤte se farfouillait
avec la queue poilue pendant les assauts de Julie.
Lorsqu'il fut bien dťcidť que les quatre belles avaient le sac
rempli, Mme Linars fut requise de donner ses trois derniŤres
filles, et une cousine du cŰtť gauche, fille hors mariage de
son mari, nommťe Naturelle-Linars! Elles lui furent livrťes,
et Justine, Aglať, Emilie mÍme, qui n'avait pas quatorze ans
accomplis, se virent enfilťes dans une seule nuit, malgrť
leurs cris et la dťchirure de leurs jeunes appas. Naturelle
avait vingt-et-un ans; ce fut une dťlicieuse jouissance, que
l'homme-ŗ-queue, fatiguť, avait rťservťe pour la derniŤre.
Celle-ci fut engrossťe sur-le-champ; et les trois autres,
malgrť leur jeunesse, ne l'ťchappŤrent pas dans le cours du
mois. Elles ťtaient rťguliŤrement fourgonnťes trois fois par
nuit; mais soit qu'elles eussent moins de tempťrament, soit
qu'ťtant plus ťtroites, elles souffrissent toujours, elles
furent ravies lorsqu'elles furent dťclarťes enceintes.
L'homme-ŗ-queue avait en ce moment, de fťcondťes, 14 femelles,
qui lui promettaient au moins 14 enfants.
A cette ťpoque, Mme Linars accoucha d'une fille. Un mois et
demi aprŤs, AdťlaÔde, ou Mme A-queue, mit ťgalement une fille
au monde. Puis Geoline et MarŤte eurent chacune un garÁon.
Annette et Lucie chacune une fille. Toutes six voulurent
nourrir. Ce qui fut exťcutť dans une terre ťcartťe, du cŰtť de
Seignelai, ťloignťe des routes, comme de l'Yonne, mais sur la
petite riviŤre de Serin.
Cependant, comme les unes nourrissaient, et que les autres
ťtaient encore enceintes, il fallait de nouvelles femmes ŗ
FysitŤre. Il demanda permission ŗ Mme Linars de refťconder ses
trois premiŤres concubines, Mme Guae, sa soeur DoucŤte, et la
carmťlite, qui n'ťtait plus hystťrique depuis ses couches. La
belle-mŤre y consentit avec la plus grande joie; car elle
ťtait fort embarrassťe pour trouver ŗ son gendre des sujets
fťcondables. Elle avait dťjŗ bien marquť les quatre pucelles
les moins laides du village, et mÍme une cinquiŤme, la plus
jolie, femme mariťe, stťrile avec son mari; elle les avait
presque gagnťes, au moyen des douze cents francs par annťe,
mais elle n'ťtait pas encore sŻre de leur discrťtion... Les
trois concubines ťtaient mandťes. Elles arrivŤrent.
DŤs le mÍme soir, elles furent mises toutes trois dans un
grand lit propre ŗ cinq personnes; FysitŤre s'y coucha au
milieu: Il les palpa toutes; puis il prit Mme Guae, la plus
voluptueuse, qu'il fourgonna trois fois avec fureur. Il saisit
ensuite Doucette, que ses tendres gťmissements lui firent
ramoner en enragť. En la quittant, il sauta sur la carmťlite,
qu'il exploita six fois, sans dťsarÁonner. Mais elle l'assura
qu'elle ťtait guťrie de sa maladie, et elle le pria de se
partager ťgalement entre elles trois! Ce qui fut arrÍtť.
Le lendemain, Mme Linars, qui avait tout ťcoutť pendant la
nuit, demanda aux trois parentes comment elles appartenaient ŗ
FysitŤre! Mme Guae rťpondit:
-- Nous allons vous faire notre histoire qui vous paraÓtra
singuliŤre! En mÍme temps qu'elle vous donnera une idťe juste
de notre mari ŗ toutes, qui est un homme d'une nature
particuliŤre.
Mme Linars ne demanda pas mieux que de l'entendre. Mais elle
fit observer ŗ Mme Guae que ce rťcit ne seraž t pas moins
agrťable aux 12 autres femmes de FysitŤre! Mme Guae en
convint, et AdťlaÔde, Sophie, Julie, Justine, Aglať, Emilie,
Lucie, Annette, Geoline, MarŤte, Naturelle, appelťes par Mme
Linars, vinrent avec elle assister ŗ la narration que fit la
belle Mme Guae, en prťsence de Doucette sa soeur, et de
Victoire, la carmťlite leur cousine.
Chapitre XXXV De la garce insatiable.
-- Vous me voyez; j'ai toujours ťtť dťsirťe des hommes. A huit
ans, un ouvrier qui travaillait dans la maison ŗ de la
menuiserie me prit le bijou; et, comme je ne criai pas, il me
mit son membre entre les cuisses, me les fit serrer, et me les
inonda, en dťchargeant. Je le dis ŗ ma mŤre, qui me lava les
fesses, alla menacer le menuisier, et le fit dťguerpir... Ce
dťbut annonce que le rťcit sera un peu libre; mais il faut
Ítre sincŤre.
A dix ans, mon pŤre dťculottť m'asseyait ŗ crŻ sur ses cuisses
nues, faisait aller son membre entre les miennes, comme le
battant d'une cloche, et, bien ťchauffť, il allait enfiler ma
mŤre, une jeune tante soeur de celle-ci, ou ma gouvernante.
A treize ans, j'avais le bijou cotonnť, et si joli que mon
pŤre venait me le lťcher la nuit pendant mon sommeil. Enfin,
il me sentit riposter ŗ ses coups de langue, et comprit que
j'avais du plaisir. Il dardait plus fort, et je partais...
AussitŰt mon pŤre se mettait sur moi, me suÁait mes petits
tťtons naissants, posait son membre ŗ l'orifice de ma petite
conque, et me barbouillait toute la motte de sperme... Il me
lavait ŗ l'eau-rose.
A quinze ans, un jeune homme, frŤre de ma maÓtresse de modes,
me prit le con ŗ la poignťe, au moment oý je regardais par la
fenÍtre, et voulut me chatouiller le clitoris avec son doigt;
mais il me fit mal, et je lui donnai un soufflet.
A cette ťpoque, mon pŤre n'osait plus m'asseoir ŗ cul nu sur
ses genoux, ni me faire dťcharger en me lťchant le con; il se
retirait dŤs que je donnais le premier signe d'ťveil. Mais
comme j'ai le pied joli, et que M. Dardevit, ainsi que tous
les hommes dťlicats, est infiniment sensible ŗ cet attrait-lŗ,
il faisait faire mes chaussures par un habile cordonnier,
celui de ma mŤre et de la Marquise de Marigni; le voluptueux
ne me les donnait neuves que lorsque j'allais chez lui; il me
les faisait mettre aprŤs un pťdiluve, avec des bas de fin
coton, me faisait marcher chaussťe, mettre ŗ la fenÍtre, pour
mieux voir ma jambe et mon pied, qu'il baisait; il me faisait
ensuite asseoir, me tirait un soulier, s'en coiffait le vit,
me faisait lui patiner les couilles avec mon pied chaussť,
poussait de profonds soupirs, cognait au plancher, ce qui
faisait monter Mme MťziŤres, voisine d'au-dessous. Elle lui
arrachait mon soulier, ou ma mule. Elle se renversait sur le
dos; il la troussait, et la fourgonnait, en me faisant relever
ma jupe en perspective d'une glace jusqu'au genou.
-- Votre pŤre me fait ce qu'il ne peut vous faire, me disait la
MťziŤres, parce que tu es sa fille; mais c'est toi qui le fais
bander... Ah! si tu lui montrais ton joli connin, comme il me
rabatellerait, et me donnerait des coups de vit en con!
Touchťe de ce langage, souvent je me troussais, et montrais
une motte ŗ poil follet et soyeux, que mon pŤre trouvait
adorable! Je m'en apercevais aux vives estocades qu'il donnait
ŗ la dame... En la quittant, il venait me rechausser. Mais
quelquefois la MťziŤres l'en empÍchait, et, furieuse de
luxure, elle me renversait, me lťchait le connin, et mettait
dans le sien la pointe de mon soulier, ou de ma mule, comme un
godmichť... Pendant ce temps-lŗ, mon pŤre me palpait doucement
les fesses ou les tťtons.
-- Tu la foutras, bougre (tu la dťpucelleras, et bientŰt! et
elle deviendra grosse de toi, si tu ne la maries!
Ce propos, souvent rťpťtť, fit que je demandai vivement ŗ me
marier.
J'avais un oncle, mari de ma tante. L'escalier de leur demeure
ťtait obscur. Un jour que je le montais, mon oncle me suivait.
Au beau milieu, il me glissa la main sous la jupe, et me happa
ce qu'il nommait mon connŰt. Je me rťcriai!
-- Tais-toi donc (me dit-il); vas-tu troubler mon mťnage?...
Je me tus. Et il me patina le connŰt, le cul, d'une main, les
tťtons de l'autre; me mit son membre dans la main, me le fit
serrer en jurant, et, tout en me suÁant les tťtons, me
dťchargea dans les doigts.
J'entrai toute rouge chez ma tante. Mais je ne dis mot. Quand
je m'en retournai, mon oncle me guettait; il m'accompagna, et
me dit:
-- Tu veux te marier. J'ai un parti, et il n'y a que moi qui
puis gagner ton pŤre; je le gagnerai, si je te le mets
seulement trois fois avant le mariage, et lorsqu'il sera bien
sŻr?
-- Que me mettrez-vous? (je faisais l'ignorante, puisque
j'avais vu mon pŤre et la MťziŤres).
Nous ťtions dans l'allťe. Il mit son vit ŗ l'air, et
m'empoigna le con:
-- Ceci, dans ce que je te tiens.
Je me dťbarrassai, et ne rťpondis rien. J'ťtais ŗ la porte de
mon pŤre. J'entrai. Il ťtait absent: J'attendis.
Seule avec moi-mÍme, je rťsolus de pressentir mon pŤre, ŗ son
arrivťe, sur mon mariage. Il arriva. Je fus moins sťvŤre avec
lui qu'ŗ mon ordinaire, et, lorsque je l'embrassai, au lieu
des yeux, j'appuyai sur ses lŤvres. Il fut ravi. Je dardai la
langue, comme je l'avais vu faire ŗ la MťziŤres. Il me mit la
main entre les cuisses, mais sur les jupes. Je m'abandonnai,
en lui disant:
-- Je voudrais me marier! Et comptez que vous serez bien
caressť, si vous y consentez!
-- De tout mon coeur, ŗ cette condition... As-tu un parti?
-- Mon oncle en a un, que je n'ai jamais vu.
-- Bon! ce n'est pas une amourette... Il faut d'abord que je te
gamahuche aujourd'hui?
-- Qu'est-ce que c'est?
-- Te lťcher lŗ (me prenant le bijou).
Je fis une petite grimace.
-- Allons, prends cette ťponge fine, et lave le bien, ŗ cause
du joli poil, qui commence ŗ l'ombrager! Le plaisir que tu
auras, te dťdommagera de la contrainte que tu te fais!
Il me suÁa lťgŤrement les bouts des tťtons, pendant que mes
fesses, mon cul et mon connin nageaient dans un bain tiŤde.
Mon amoureux pŤre ne me donna pas le temps de rťflťchir. DŤs
qu'une serviette fine eut pompť l'eau, il me renversa sur le
pied de son lit, troussťe au-dessus des reins, appliqua sa
bouche sur la fente de mon connŰt, qu'il lťcha vivement, en
dardant sa langue, jusqu'ŗ ce que je donnasse des symptŰmes de
dťcharge. Ce qui arriva au bout d'un demi-quart d'heure. En me
sentant prÍte ŗ ťmettre, mon pŤre me quitta, me mit gros comme
une noix de beurre frais dans le bas de la fente du connŰt,
m'y insťra son vit, avec beaucoup de peine. Il saccada. Je
dťchargeais, et j'avais tant de plaisir que je le secondai,
malgrť quelques douleurs. Heureusement, le vit de mon pŤre
n'ťtait pas gros, mais il ťtait long; il me donna un plaisir
complet; car il pťnťtra si avant qu'il me chatouilla le fond;
et au moyen de ce que j'ťtais trŤs ťtroite, il m'emplissait le
con, comme si j'y avais eu un vit de mulet... Voilŗ comme je
fus dťpucelťe.
Je priai mon pŤre, pendant qu'il me lavait le con, de ne pas
diffťrer son consentement, que je ne voulais pas devoir ŗ mon
oncle; et je lui en dis la raison.
-- Il ne faut qu'il te le mette! me rťpondit-il vivement. Le
bougre a le vit trop gros: il t'ťlargirait! Au lieu qu'aprŤs
moi, ton futur, on tout autre fouteur, te trouvera comme
pucelle.
Je promis qu'il n'obtiendrait rien.
-- Des bagatelles cependant, reprit mon PŤre. Branle-le, quand
il te prendra le con. Tu pourrais mÍme te laisser enculer,
s'il ťtait assez raisonnable pour s'en tenir lŗ.
-- Comment fait-on Áa?
-- Je vais te le montrer.
Et il m'encula. J'eus du plaisir; car je dťchargeai. Mon pŤre
me dit ensuite:
-- Quant ŗ mon consentement, envoie-moi ton prťtendu: Si c'est
un certain drŰle que je soupÁonne, tu n'en deviendras pas
folle, et... Suffit.
Je m'en retournai contente chez mon oncle, oý sa femme et lui
me prťsentŤrent leur protťgť, une sorte de mul‚tre, qu'ils
nommŤrent M. Guae.
DŤs le mÍme soir, ayant eu, avec ce M. Guae, un entretien trŤs
vif, pendant lequel je le vis prÍt ŗ me prendre le con, sa
laideur et sa sottise ne me rebutŤrent pas, attendu que mon
oncle et ma tante m'avaient prťvenue qu'il ťtait terrible pour
les femmes; ce qui m'avait bien tentťe! Au contraire, je lui
dis que j'avais obtenu le consentement de mon pŤre, et qu'il
pouvait se prťsenter. Il me pria de le conduire, n'en ťtant
pas connu. Je remis au lendemain midi.
Nous arriv‚mes au moment oý mon pŤre allait sortir. Guae
m'avait pris le cul dans l'escalier, et m'avait fait empoigner
son vit; ce qui me donnait un coloris brillant; j'ťtais
ravissante! Je prťsentai Guae comme mon futur. Sa figure
hideuse et basse fit sourire mon pŤre, dont elle calma la
jalousie. Il nous dit:
-- Mes enfants, j'ai une affaire pressťe; mais elle sera
courte; attendez mon retour.
AprŤs son dťpart, Guae me dit:
-- Il paraÓt, ŗ son ton, qu'il vous tiendra sa parole, de
consentir?
-- Je le crois; car il ne se contraint pas, quand une chose lui
dťplaÓt.
-- Ma belle! (ajouta Guae, dont l'oeil noir pťtillait de luxure)
permettez de vous le mettre ici, sur le pied du lit de votre
pŤre!... Consentez-y!
Je ne demandais pas mieux, ŗ cause de mon dťpucelage, et parce
que le bijou me dťmangeait, depuis que mon pŤre m'avait
perforťe. Mais je rťpondis:
-- Oh non! mon pŤre n'aurait qu'ŗ rentrer!
-- Eh! quand il rentrerait? vous voir enfilťe ne ferait que
h‚ter notre mariage.
Il me renversa sur le pied du lit. Je me dťfendis gauchement.
Il me mit le vit entre les babines du con, et poussait ŗ
m'enfondrer... Mais il ne put pťnťtrer, quoiqu'il se mouill‚t
le gland. Il redoubla d'efforts, qui aboutirent ŗ me dťcharger
une chopine de sperme sur la motte, le ventre et les cuisses.
Je me dťbarrassai, pour aller laver.
-- Oh! vous Ítes bien pucelle! me disait Guae, en se
reculottant. Comme je m'essuyais, j'aperÁus mon pŤre cachť...
Je n'en fis pas semblant. Un instant aprŤs mon retour vers
Guae, ce pŤre rusť entra auprŤs de nous. Guae me demanda en
mariage. Mon pŤre lui rťpondit qu'il me laissait la maÓtresse
absolue. Et il signa les bans. Il dit ensuite ŗ Guae qu'il
avait ŗ me parler, et qu'il le priait de s'en retourner seul;
qu'il me remŤnerait chez ma tante, ŗ laquelle il avait ŗ
parler aussi. Guae s'en alla.
DŤs qu'il fut sorti, mon pŤre me dit:
-- As-tu ťtť foutue?
Et il me prit le con ŗ la poignťe.
-- Vous avez bien entendu que non.
-- Oý donc a-t-il dťchargť?
-- Sur le poil.
-- Un peu entre les lŤvres?
-- Oui.
-- Il suffit. On peut devenir enceinte avec cela seulement, et
tu n'as plus rien ŗ craindre. Mais va le voir chez lui, et
qu'il ait toute facilitť. En attendant, je vais en frayer
encore un peu.
Il me renversa, et ŗ l'aide du beurre frais, il m'enfila...
avec quelque facilitť; ce qu'il rťpťta trois fois, excitť par
ce qu'il venait de voir, et parce que j'ťtais extrÍmement bien
chaussťe, en souliers de soie neufs. Je dťchargeai trois fois
ŗ chaque enconnage, comme disait mon pŤre. Cela fit neuf fois.
Mon pŤre me dit que j'avais beaucoup de tempťrament et que
j'allais Ítre une bonne fouteuse!... Je me lavai
soigneusement, et il me remena.
Nous trouv‚mes Guae chez ma tante. J'ťtais plutŰt mise en
appťtit que rassasiťe, par le triple fourgonnage de mon pŤre.
Je dis bas ŗ mon prťtendu:
-- Allez chez vous; j'ai ŗ vous parler.
Il y courut. Mon pŤre parlait ŗ ma tante, prenant des mesures
pour accťlťrer; car il craignait, ŗ la maniŤre dont j'avais
dťchargť, que je ne devinsse grosse de lui; et il le dťsirait
en mÍme temps. Mais il fallait que je fusse mariťe... Ma tante
sortit avec lui.
J'allais sortir aussi, pour laisser essayer ŗ Guae un
enconnage complet, lorsque mon oncle rentra. J'ťtais si
envoluptťe que je n'en fus pas f‚chťe, quoiqu'il me dťplŻt. Il
ferma la porte au verrou et vint ŗ moi:
-- Tu vas donc te marier! me dit-il. Allons, il faut en
dťcoudre ŗ nous deux! Aussi bien Guae a le membre si gros,
qu'il te ferait souffrir le martyre (Ceci acheva de me
dťterminer)...
Il me saisit.
-- Laissez-moi! Laissez-moi! (dis-je faiblement).
Mon oncle ne m'ťcouta pas, et, voyant que je ne criais, ni
n'ťgratignais, il me renversa sur le lit, me troussa, et
dirigea son vit dans le vagin de mon con. J'eus l'art de
paraÓtre me dťfendre, en le secondant. Il me fit mal; je
criai, et, m'apercevant que les cris le facilitaient, je me
mis ŗ crier de toutes mes forces. Ce qui le fit enfoncer
jusqu'ŗ la garde, avec tant de plaisir de ma part que mes
gťmissements ťtaient de voluptť. Je me dťbattais, mais mon con
supait le gros vit, donnant de si bons coups de cul que je
dťchargeai avec des convulsions terribles et des contractions
des trompes qui pinÁaient le gland de mon oncle. Il se
rťcria... et se p‚ma de plaisir...
-- Ah! pour une pucelle, que tu fous bien! me dit-il ensuite.
Que sera-ce donc un jour?... RecommenÁons...
Il me recommenÁa trois fois, malgrť mes pleurs; car je sentis
qu'il fallait pleurer...
Quand il fut rassasiť, il dťconna.
-- O cťleste fouterie, me dit-il, si le mťrite de ton con ťtait
connu, il ferait ta fortune!
-- Oui! vous me l'avez bien accommodť! rťpondis-je en
sanglotant, sur un bidet prťparť par mon oncle.
Il Űta le verrou, jeta l'eau mÍlťe de sang et de foutre; puis
craignant le retour de sa femme, il sortit, en disant:
-- Remerciez-moi! sans cette prťparation, Guae vous aurait
estropiťe; et revenez ŗ moi, s'il le faut!
Je ne fus point effrayťe de ce langage. DŤs qu'il fut sorti,
j'essuyai bien vite mes larmes, et je pris un air riant. Ma
tante revint. Je la prťvins de l'attaque de son mari, mais non
du succŤs, pour lui faire presser mon mariage; la priant de ne
lui en rien tťmoigner, de peur qu'il ne lev‚t le masque. Je
promis de toujours bien me dťfendre, comme je venais de faire;
et tout en parlant, le con ťtant venu ŗ me redťmanger, je
courus chez Guae, espťrant que, prťparťe comme je l'ťtais, il
me l'enfoncerait enfin. Il m'attendait.
-- J'ai bien des choses ŗ vous dire...
Ce fut mon dťbut. Il ne me laissa pas continuer; il me prit la
motte.
-- Foutons d'abord, me dit-il, en me renversant.
Je n'en fus pas f‚chťe; car je ne savais trop que lui dire de
nouveau. Je me dťfendis gauchement, comme avec mon oncle et
mon pŤre. Mais, quoique je fusse ťlargie, ses tentatives
furent encore inutiles. Je n'osais lui dire de prendre du
beurre, de peur de paraÓtre instruite. Je m'attendais qu'il y
songerait. Cela ne lui vint point en pensťe.
-- Tu es diablement pucelle! me dit-il, en me tutoyant...
Il me tourna sur le ventre, me cracha au trou du derriŤre, et
m'y enfonÁa son engin, avec des efforts infinis. Je poussais
des cris horribles! mais il me tenait si ferme, en m'empalant,
que je ne pouvais remuer. Je le secondai, pour souffrir moins,
et mes ripostes me firent dťcharger. Je croyais avoir un timon
de carrosse dans le cul... Le retirer ne fut pas sans
plaisir...
-- Tu vaux ton pesant d'or! me dit Guae, mÍme en cul! Suffit!
Il me demanda ensuite pardon:
-- Votre beau con, votre beau cul, vos blancs tťtins m'avaient
mis comme un enragť; ne pouvant vous enconner, je vous ai
enculťe. Pardon, ma belle maÓtresse! j'ai plus d'un projet,
pour vous dťdommager.
Le cul me faisait mal. Guae me le mit dans l'eau tiŤde; puis
il me le baisa, me le lťcha, allant quelquefois au con. Il
rebanda; mais je voulus m'en aller. Il fut obligť de me
remener en fiacre; je ne pouvais marcher qu'avec douleur. Ce
qui n'empÍcha pas qu'il ne me fit le branler dans le carrosse,
lui ayant le nez dans une mule mignonne, qu'il m'avait
arrachťe du pied, et dans laquelle il dťchargea. Dans le
dťlire du plaisir, il me dit:
-- Ma reine: j'ai le vit trop gros pour toi; choisis de l'oeil
un joli jeune homme pour te dťpuceler, et je trouverai le
moyen de te le faire avoir, sans te compromettre.
Ceci me fit plaisir... Guae me descendit, et me porta. Je me
mis au lit; le sommeil calma mon cul.
Le lendemain, j'allai chez mon pŤre, auquel je racontai tout
ce que Guae m'avait fait, et dit.
-- Bon! me rťpondit-il. Tu as du tempťrament. Tu seras foutue,
en con, en cul, en bouche, et tu seras heureuse... Vous serez
mariťs dans huit jours, et je t'aurai un fouteur plus gros que
moi. En attendant, je vais te le mettre; on ne saurait trop
ťlargir un connin si mignon.
Mon pŤre m'enconna, recommenÁa trois fois.
-- Tu es toujours pucelle! me dit-il.
-- Et pourtant, m'ťcriai-je, mon vilain oncle, avec son gros
membre, m'a hier violťe trois fois!
-- Trois fois! reprit mon pŤre; quel connichonnet as-tu donc?
On pourra vendre mille fois ton pucelage!... Il faut que je te
refoute. Et il me refoutit...
Tandis que je me rinÁais le con avec de l'eau tiŤde, mon pŤre
s'ťtait mis ŗ la fenÍtre, et causait avec un jeune procureur
son voisin, gros et beau garÁon de 30 ans. Le con lavť,
j'allai regarder, en soulevant le rideau. Mais le jeune
procureur m'ayant aperÁue, je me retirai.
-- Quelle est donc cette cťleste personne? demanda-t-il.
Mon pŤre ne rťpondit que par un geste qui, je crois,
signifiait que j'ťtais sa maÓtresse. Ils gesticulŤrent encore.
Puis le procureur disparut. Mon pŤre me dit aussitŰt:
-- Veux-tu que ce bel homme te le mette, en payant?
-- Oh! oh! mon pŤre!
-- Appelle-moi Monsieur, devant lui!...
On frappa. Mon pŤre ouvrit; et j'entendis qu'il disait tout
bas au jeune homme:
-- Apportez-vous les 50 louis?
-- Les voilŗ.
-- Mademoiselle? me dit alors mon pŤre; vous savez que je vous
aime pour vous mÍme: Voici un bel homme de mes amis, qui veut
vous faire un prťsent; je sors; tťmoignez-lui votre
reconnaissance.
Mon pŤre se cacha, et le procureur le crut sorti.
As-tu ťtť foutue aujourd'hui, me dit-il, en venant pour me
prendre les tťtons.
Je le rťgalai d'un soufflet.
-- Apprenez que je suis ici chez mon pŤre.
-- Vous Ítes Mademoiselle...
-- Oui, Monsieur. Je dois Ítre mariťe dans huit jours. C'est un
mariage de raison, ou d'intťrÍt. Mais mon pŤre ayant ťtť
instruit que mon futur est... monstrueux... ce bon pŤre a...
pris sur lui de... me faire prťparer. Je vous ai cru son ami;
j'ai consenti, aprŤs vous avoir vu.
Le procureur ťtait ŗ mes genoux. Il me demanda mille pardons!
-- Soyez donc honnÍte! repris-je.
Alors il me caressa. Je lui rendis enfin un baiser. Il me
renversa. Il avait le vit comme mon oncle, mais il ťtait moins
adroit.
-- De la pommade! lui criai-je. Mon prťtendu m'ayant fait
entrer chez lui par surprise, il ferma les portes, et voulut
me violer... Ne le pouvant, il me pommada, et ne rťussit pas
encore. Vous, pommadez-...moi...
En parlant ainsi, ses tentatives me faisaient dťcharger. Je
soupirais de voluptť. Mon pŤre crut que c'ťtait de douleur. Il
arriva; me pommada; dirigea le vit de mon fouteur dans mon
con, et dit, ŗ lui:
-- Poussez. (A moi) SoulŤve le cul; ťtreins dans tes bras;
seconde ton dťpuceleur, ŗ chaque coup, par un coup de croupe
en avant; passe tes jambes sur ses reins, et serre, en remuant
du cul... Bon! Bon! Saccadez, vous!... Bon!
-- Ah Dieu! quel plaisir! s'ťcriait le fouteur; comme elle a...
le con ťtroit!... le... mouvement... dťlicieux!
Je lui dardai ma langue, en murmurant:
-- Mon coeur!.. Mon roi!... Mon Dieu! je t'adore!...
-- Ah! la chŤre petite amie! elle est tendre!... Je dťcharge!
Je la fous... Ah!...
-- Il me fout, mon pŤre!... Tous les hommes foutent-ils?...
Ahh!... Mon pŤre!... quel plaisir!... Mon ‚me... va sortir
par... le trou qu'il me fait!...
Je dťchargeais en me roidissant.
-- Oh! la petite reine!... s'ťcria le jeune procureur. Elle
dťcharge!... Mon pŤre... donnez-la-moi pour femme; je l'ai
dťpucelťe; je l'ťpouse!...
Mon pŤre, qui avait ses desseins sur moi, refusa. Il en
rťsulta que le procureur enragť, s'acharna sur moi, et me
foutit 18 fois... Mon pŤre fut obligť de l'Űter de sur moi, et
de le porter chez lui; il ne pouvait marcher... Quant ŗ moi,
j'ťtais ŗ peine fatiguťe. Mon con lavť, rafraÓchi, il n'y
parut plus. Au retour de mon pŤre, le voyant tout ťmu, ŗ la
vue de mes tťtons, je lui dis:
-- Si vous bandez, satisfaites-vous, en me foutant deux ou
trois fois!
-- O quelle scŤne! s'ťcria-t-il. Mais tu as un con et un
tempťrament impayables! ils feront notre fortune... Voyons si
tu dťchargeras encore; foutons!...
En m'enconnant, il me loua fort de m'Ítre avouťe sa fille, et
du soufflet donnť!
-- Les fouteurs dťdaignent les foutues; mais avec toi, ce sera
le contraire; je veux te mettre au-dessus de ces bougres-lŗ!
-- Je dťcharge! m'ťcriai-je.
-- Et moi aussi! rťpondit-il en me saccadant.
Il me re-enconna trois fois, et toujours je dťchargeai... Je
lavai, en lui disant:
-- J'ťpuiserais dix hommes.
Je lui recommandai d'instruire mon futur de ce qu'il fallait
faire pour m'enconner. Je lui dardai ma langue, et je partis.
J'avais ťtť foutue 25 fois dans la journťe, sept par mon pŤre.
Je retournais chez ma marchande. Mais tous les hommes que je
rencontrais me tentaient.
-- Que les putains sont heureuses! (pensai-je) elles attaquent
qui elles veulent!
Tout ŗ coup une idťe me vient:
-- Allons chez Guae; je lui dirai de me pommader. Qu'il
m'estropie; mais qu'il me foute.
J'y volai.
Il ťtait avec un beau jeune homme, qu'il fit cacher, au bruit
de mes talons. Mais j'entrevis par le trou de la serrure. Guae
me reÁut mystťrieusement, et me conduisit dans la piŤce
obscure, oý je lui avais vu cacher le jeune homme.
-- Ma reine! ma belle future (me dit-il), je crois que je
pourrai vous enfiler aujourd'hui. Ayez seulement de la
complaisance!
-- Oui! mais, pommadez... Ma tante...
-- J'entends... j'entends...
Je sentis qu'il me remettait ŗ une main plus douce. On me prit
les tťtons, le con; on me darda la langue. Je caressai. On me
troussa. Je fis beau con. L'on se mit sur Moi, je sentis qu'on
m'insťrait un morceau de beurre frais ŗ l'entrťe de la vulve,
ou trou du con. On poussa. Je ripostai un peu. L'on entra. Je
secondai, m'apercevant, avec ťtonnement, qu'on ne me faisait
presque pas mal. Enfin l'on parvint au fond sans m'avoir
blessťe, et l'on y dťchargea. L'abondance et la douce chaleur
du foutre me firent partir aussi, mais avec un plaisir, des
ťlans, des transports incroyables! Je m'ťcriais:
-- Cher amant! divin amant... j'expire... de bonheur... et de
voluptť... Je t'adore!...
Le jeune homme dťconna. Il me suÁa les tťtons, les lŤvres, me
fit darder la langue. Ce que je fis tendrement... AussitŰt il
me re-enconna avec fureur. J'eus autant de plaisir que la
premiŤre fois... Bref, il me recommenÁait sans cesse, et ce
fut Guae qui le renvoya; car, pour moi, dťjŗ foutue 25 fois
dans la journťe, je crois que j'aurais laissť aller ces deux
hommes jusqu'ŗ 50, si tous deux avaient pu me le mettre. Guae,
me voyant quelque difficultť ŗ marcher, envoya chercher un
fiacre, pendant que je me lavais le con.
-- Eh bien, ma charmante reine, t'ai-je bien foutue? me dit-il.
Je rougis.
-- Loin d'Ítre ťpuisť, je me meurs encore d'envie de t'enculer!
-- Oh non, non! (m'ťcriai-je avec effroi).
-- Eh bien, branle-moi des deux mains, comme te voilŗ, le cul
dans l'eau.
Je branlai son vit, qu'ŗ peine je pouvais empoigner. Quand le
foutre fut prÍt ŗ venir, il hurlait de plaisir.
-- Ta bouche! (me disait-il), ta bouche... ou je t'encule!
Je decalottai le gland, je le pressai de mes lŤvres. Le foutre
arrive, et, de peur qu'il ne tombe dans mes tťtons, j'ouvre la
bouche, et il m'est lancť au fond du gosier. Je l'avale comme
un lait de poule. Il y en eut une chopine:
-- Foutre! foutre... (s'ťcriait Guae) je me p‚me... Ah...
cťleste garce... Tu vaux mieux que toute la Terre... Est-ce
bon?
-- Ce qui fait tant de plaisir en bas, doit faire du bien en
haut.
-- Ah, divine putain... je t'en nourrirai.
Le fiacre arrivait; Guae m'y porta.
On me l'avait mis 37 fois. Le frŤre de ma marchande se trouva
seul ŗ la maison, lors de mon retour.
-- Mademoiselle Conveloutť! me dit-il, que vous Ítes cruelle
pour moi!... On dit que vous allez vous marier? Vous devriez
bien favoriser un jeune homme qui vous adore, aux dťpens du
futur! C'est un veuf, un laid... Vous Ítes pucelle, et si
jolie?... D'ailleurs, il l'a trŤs gros (dit votre oncle), et
il vous fera bien mal! Si un plus menu que le sien vous
prťparait? Voyez! (Il mit ŗ l'air un vit charmant) c'est un
vťritable croque-pucelage, sans faire mal... Je sais m'y
prendre. Le mari de ma soeur est un bandalaise, et elle se fait
de temps en temps Űter par moi les araignťes du bijou.
Ce langage me plut, et son vit me tentait: Je lui rťpondis, en
riant:
-- Je n'ai pas d'araignťes ŗ Űter.
Il vit, ŗ mon air que je n'ťtais pas de mauvaise humeur. Il me
prit les tťtons.
-- Finissez donc, libertin! (lui dis-je doucement et sans
presque le repousser). Il me prit la motte.
-- O c'est trop fort, ceci... Voulez-vous bien finir!...
Il ťtait dťculottť; il bandait roide; il me renversa sur le
lit de sa soeur, me retroussa, et se mit sur moi tandis que je
disais nonchalamment:
-- Eh mais... c'est donc une violence!
et que je me dťfendais d'une maniŤre qui me livrait. Il me
dit:
-- Ah! cťleste innocente! je vous le mettrai!...
Il m'enfila. Je ripostais, en haussant du cul, comme pour le
repousser. Il n'en dardait son vit que plus fort.
-- Non! (s'ťcriait-il en dťchargeant) il n'est rien tel que
d'enconner l'innocence!...
Cependant, craignant que je ne me dťrobasse, il me foutit
trois coups sans dťconner (ce qui fit mes 40 fois dans la
journťe), et ne me quitta qu'en entendant du monde... Je
courus me laver.
C'ťtait la marchande. Elle dit ŗ son frŤre:
-- Heureusement que c'est avec Conveloutť! Toute autre aurait
sautť le pas, polisson!... Mais l'as-tu attaquťe?
-- Oui. En ce cas, tu dois n'en pouvoir plus... Viens que je te
soulage?
Il y avait encore de l'huile dans la lampe: Le jeune homme mit
le verrou, nous enfermant ainsi tous trois, et il se jeta sur
sa soeur, qu'il enfila d'un seul trait. Ah! quels coups de culs
elle donnait!
-- Lime (lui disait-elle)... je dťcha...arge... Sors ŗ moitiť,
et... rentre... vivement... Fous-moi vingt fois... en une...
Je les voyais. Ranimťe par lŗ, mon insatiable connŰt
redťsirait un vit, lorsqu'on frappa doucement. J'ouvris, en
tirant le verrou plus doucement encore. J'espťrais que ce
serait le mari de ma marchande, qui depuis longtemps brŻlait
de me le mettre. Je me proposais de le pousser dans une autre
piŤce. Point du tout! C'ťtait un beau jeune homme, qui avait
beaucoup d'air de celui par qui Guae venait de me faire
foutre.
-- Mademoiselle (me dit-il) se nomme AgnŤs-Conveloutť?
-- Oui, Monsieur.
-- Mademoiselle est la prťtendue de M. Guae?
-- Mais, oui, Monsieur.
-- Aimez-vous, fort ce M. Guae?
-- Monsieur, la raison, et non la passion, fait mon mariage.
-- En ce cas, Mademoiselle, je ne vous ferai pas de peine en
vous rťvťlant un secret?
-- Quel est-il, Monsieur?
-- C'est que, tout ŗ l'heure, vous avez cru Ítre possťdťe par
votre futur...
-- Quel conte vous me faites-lŗ, Monsieur?
-- J'ťtais prťsent, mais cachť, Mademoiselle; son timon de
carrosse ne pouvant vous perforer, il m'a vendu votre pucelage
cent louis, et c'est moi qui vous ai dťflorťe... Me
prťfťreriez-vous?
-- Ce que vous me dites est impossible, Monsieur!
-- Cela est. Il l'a trop gros; on vient de vous le mettre, et
c'est moi (Je le savais bien).
-- Il n'est qu'un mot ŗ dire, Monsieur. Pouvez-vous m'ťpouser?
-- Mademoiselle, je suis mariť ŗ une vieille de 78 ans, qui m'a
fait ma fortune, et je suis obligť d'attendre qu'elle soit
morte.
-- Et si je devenais grosse, Monsieur?... J'ťpouserais M. Guae.
-- Voulez-vous Ítre ma maÓtresse?
-- Cela ne conviendrait pas.
-- De son consentement?
-- Comme vous m'avez eue dťjŗ, et que ce soit de son
consentement, je m'y prÍterais; pourvu qu'il ignor‚t que je le
sais...
-- Oh! de tout mon coeur! Ceci marque votre honnÍtetť...
Etes-vous seule?
-- Non; la marchande est lŗ.
-- Pourrais-je vous avoir ŗ coucher?
-- Ah ciel! Je ne saurais dťcoucher que sous le prťtexte
d'aller veiller mon pŤre, en le supposant indisposť. Ainsi,
cela est impossible.
-- J'irai, si vous le permettez, parler tout uniment ŗ votre
pŤre. Je suis riche; il vaudrait mieux que je vous donnasse le
prix de vos faveurs, qu'ŗ un vil malheureux, comme Guae?
-- Hť bien, parlez ŗ mon pŤre.
-- Je reviendrai vous chercher, s'il m'accorde ma demande!
-- Mais ne revenez pas seul. Je veux voir quelqu'un ŗ lui, et
que je connaisse!
-- Vous serez tranquillisťe".
Il alla chez mon pŤre. Il lui raconta comment Guae n'ayant pu
me dťpuceler, lui avait vendu mon pucelage cent louis, en
quatre sťances, vingt-cinq louis par chacune, dont la premiŤre
ťtait payťe; qu'il m'avait enconnťe, en me pommadant, et qu'il
avait trouvť mon bijou si dťlicieux, si satinť, qu'il n'en
voulait plus d'autre; qu'il m'avait demandť de coucher avec
moi, et que c'ťtait par mon conseil qu'il s'adressait ŗ lui.
Il offrit ensuite les 75 louis restants pour les trois nuits
suivantes. Mon pŤre rťpondit:
-- Puisque Guae a voulu Ítre cocu, qu'ainsi soit. Je consens
que vous couchiez ici avec ma fille, si vous avez cueilli sa
rose; ce qu'elle me dira. Allez la chercher, avec un billet,
par lequel je vais la demander.
Et il ťcrivit. Puis il accompagna le galant jusqu'ŗ la porte
de ma marchande, que son frŤre foutait encore.
Cependant je m'amusais ŗ voir conniller le frŤre et la soeur.
J'ťtais en feu quand le jeune homme reparut, avec le billet de
mon pŤre; je vis, par la fenÍtre, celui-ci qui nous attendait
dans le carrosse de mon dťpuceleur prťtendu. Je partis, en
avertissant que j'allais veiller mon pŤre malade. A notre
arrivťe, le galant paya un beau souper, et remit vingt-cinq
ťcus d'or ŗ mon pŤre. On mangea; on but; puis je fus mise au
lit. Le jeune homme exigea que mon pŤre me dťshabill‚t, et me
lav‚t la motte. S'ťtant ensuite lui-mÍme mis nu, en un
instant, il entra dans une chemise, fort large, et qu'il avait
apportťe, afin de me palper mieux. Il appela mon pŤre, pour
qu'il lui mÓt le vit dans le trou de mon con; puis il
poussa... Il eut autant de peine que chez Guae (ce qui
m'ťtonna moi-mÍme!). Aussi dit-il:
-- Elle a rťellement le connin ťtroit. Elle se repucellerait en
huit jours si on la laissait tranquille.
Il me foutit six coups; mon pŤre, couchť ŗ cŰtť de nous, lui
mettant toujours le vit dans mon con. Il s'endormit ensuite,
et moi aussi.
Le lendemain matin, il fit faire d'excellent chocolat, qui me
refit. Je refusai la voiture pour retourner chez ma marchande.
On ne se douterait pas pourquoi! J'avais ouÔ dire que le
foutre, avalť chaud, ťtait excellent pour la poitrine,
fortifiait, et blanchissait le teint. Je voulais aller en
avaler ma chopine en suÁant le vit de Guae. J'y courus, dŤs
que je me vis libre. Il allait sortir.
-- Je viens vous donner du plaisir (lui dis-je), mais sans en
prendre; vous m'avez trop fatiguťe hier.
-- Allons, ma toute belle, que faut-il faire? vous enculer?
vous encuisser, vous endosser, vous enaisseller, vous
enoreiller, vous encoller, vous entťtonner, vous dťcharger sur
le nombril, me faire serrer le vit entre vos deux mollets,
faire un con de votre soulier, ou de votre jolie mule. Tout,
je ferai tout, hors vous enconner; je ne le saurais, parce que
nous sommes, vous trop belle, et moi trop beau!
Au lieu de rťpondre ŗ ce langage, qui ťtait de l'arabe pour
moi, j'avais dťboutonnť sa culotte, et je le branlais d'une
main, et chatouillant par instinct les couilles de l'autre. Il
se rťcriait de plaisir:
-- Dťesse!... Sacrťe garce!... Divine putain!... Branle!...
branle!... Chatouille! chatouille les couilles!... Oh! oh!
quelles dťlices!... Bougresse!... Gueuse!... Putain!...
Divinitť! le foutre... vient!...
A ce mot, j'embouchai le gros vit, le palpotant de ma langue
et du palais. Ce fut alors que Guae en dťlire blasphťma:
-- Foutu Dieu! Bougre de Dieu! Sacrť con de la Vierge Marie!
Con de la Madeleine connillť par Jťsus! Con de Sainte ThŤcle,
de Sainte Thťodore, de Sainte Catherine, de Sainte Cťcile,
d'AgnŤs Sorel, de Marion Delorme, de Ninon, de la Daubignť, de
la ValliŤre, de la Pompadour, de la Dutť, de la Lange, de la
jolie Mars, de l'adorable et provocante Mťzťray, de la jeune
et naÔve Hopkins, de la belle Henry, vous ne valez pas...
cette bouche-lŗ... Je fou..ou..ous... Je... dťcha..a..arge!...
Ava..ale!... gorge-toi de foutre, ma reine!
Il dťboucha vivement, quoique je lui suÁasse encore le vit.
-- C'est trop de plaisir! (dit-il) on mourrait.
Il me fit prendre quelques cuillerťes de cafť, pour me rincer
la bouchť. Puis je me remis ŗ le branler. Il me suÁa les
tťtons, me fit lui darder ma langue, et voulut me gamahucher.
Je m'y refusai, devant Ítre foutue le soir... Il rebandait. Je
secouai, je chatouillai; le foutre revint, et j'en avalai une
nouvelle dose. Ce qui eut lieu trois fois de suite. Le manque
de temps nous obligea seul de nous sťparer.
Le soir, ŗ 9 heures, une voiture vint me prendre, et me
conduisit chez mon pŤre. On y soupa, coucha et foutit comme la
veille. Le lendemain, aprŤs le chocolat, j'allai faire mon
dťjeuner de foutre chez Guae. J'en pris quatre doses... De
retour chez ma marchande, son mari. Sans doute instruit par le
frŤre de sa femme, voulut me le mettre. Je m'y refusai
absolument. Il s'en plaignit ŗ sa femme, qui m'en fit des
reproches. Mais, lui ayant dit que mon prťtendu me l'avait mis
six fois, en gardant mon pŤre avec moi, elle fit mes excuses ŗ
son mari, en le priant d'attendre son tour.
"Le soir, on vint me prendre. Mme Viťdase, ma marchande, me
dit ŗ l'oreille:
-- T‚che de ne pas Ítre foutue; afin que mon mari puisse te le
mettre demain? Il s'en meurt!...
Je trouvai mon amant chez mon pŤre. En soupant, on parla de
Guae; mon amant dit qu'ayant ťtť enconnťe devant lui, je ne
devais pas redouter la grossesse.
-- C'est pourquoi (ajouta-t-il), j'enfourne ŗ plein con, et
dťcharge au fond.
-- Je vous mets le vit dans le connin de ma fille avec plaisir
(dit mon pŤre); afin de mieux cocufier ce jean-foutre de Guae,
qui vous a vendu son pucelage.
-- C'est ce qui me met aussi en fureur ťrotique, quand je fous
sa future (reprit mon galant). Je pense: encore une corne ŗ ce
bougre de Guae... et je me trouve intarissable... Il m'a mÍme
passť une idťe par la tÍte. C'est de vous donner ŗ chacun 50
louis, pour que vous foutiez ensemble tous deux; pour que le
m‚tin soit recocu, et surcocu!
-- Top! (s'ťcria mon pŤre) aprŤs votre affaire faite. Vous me
mettrez le vit dans le con de ma fille...
-- Non! non! (m'ťcriai-je).
-- Vous me la tiendrez, si elle rťcalcitre.
-- Je n'ai pas ces idťes (leur dis-je). Si je remue du cul,
comme je le fais, alors que mon amant me fout, c'est que je
l'aime. Quant ŗ M. Guae, je lui dois beaucoup de
reconnaissance! il est ma nourrice, et c'est lui que je tŤte.
On ne comprit pas le sens de ce mot. On me coucha.
Au lit, mon amant me foutit six fois. A la sixiŤme, mon
fouteur dit ŗ mon pŤre:
-- Mets-toi sur ta fille, et fous-la. Je vais t'introduire le
vit.
Mon pŤre me grimpa, le jeune homme lui mit le vit dans mon
con, et il poussa. Comme j'ťtais amoureuse de lui plus que de
tout autre homme, je remuai de la charniŤre, comme une
princesse foutant avec un page... Le jeune homme, ranimť,
entra dans un tel ťrotisme, en nous voyant dťcharger, qu'il
nous fit mettre sur le cŰtť, et il m'encula, tout enconnťe que
j'ťtais... J'allai laver, et nous dormÓmes.
Le matin, au dťjeuner, le jeune homme paraissait ivre de joie!
-- Ah! qu'il est cocu, le bougre! (s'ťcriait-il.)... Bonhomme,
voilŗ un effet de cent louis. Il faudra que tu la foutes,
aprŤs le mariage, et il y aura vingt-cinq louis ŗ chaque fois.
Il partit, et je courus chez Guae, que je commenÁais ŗ aimer
presque autant que mon pŤre.
Il me reÁut avec transport, me traitant de divine garce, de
cťleste putain... Il m'allaita de foutre six copieuses fois.
Ce qui me mit dans un tel ťrotisme que je retournai chez mon
pŤre:
-- Ton procureur? (lui dis-je essoufflťe) Il doit Ítre remis,
depuis l'autre jour? Je brŻle... Cours-y, si tu m'aimes.
Il y vola, en m'appelant:
-- Clťop‚tre! Clťop‚tre!...
Il trouva le jeune procureur ŗ la fenÍtre, son vit bandant ŗ
la main.
-- Je viens de voir entrer votre fille (lui dit-il), et
j'allais me branler ŗ son intention.
-- Gardez-vous en bien! Apportez un petit prťsent, et venez le
lui mettre!
-- Vingt-cinq louis?
-- C'est trop pour une pratique. Un louis par coup.
-- Soit; mais je n'en remettrai pas. Elle gagnera peut-Ítre la
somme.
Il vint avec moi. En entrant, il jeta la bourse sur le pied du
lit:
-- Allons, ma fille (me dit mon pŤre), tu es ŗ tes piŤces;
autant de coups foutus, autant de louis. Mais il ne faut pas
tuer un ami! Il allait se branler ŗ ton intention, quand je
suis entrť.
A ce mot, je me jetai ŗ son cou, et lui dardai ma langue, en
disant:
-- Cher! Cher ami!
-- Ah je t'adore! (me rťpondit-il).
Et il me prit les tťtons, le con. Je me renversai. Il se mit
sur moi. Je me fourrai son vit dans le con, et, en quatre
coups de cul, je le mis au fond. Il dťchargea, en me sentant
ťmettre... Il me foutit dix coups.
-- J'ai quinze louis ŗ compte (lui dit mon pŤre, en le voyant
laver et se reculotter). Vous reviendrez quand il vous plaira.
Nous en ťtions ŗ l'avant-veille du mariage. Tous les matins,
Guae m'avait allaitťe, ou plutŰt affoutrťe; ce qui m'avait
rendu la peau plus blanche, le teint plus brillant, le con
plus satinť, et me donnait un tempťrament si violent, que je
n'ťtais ŗ mon aise qu'un VIT au CON. Le jeune homme dit, en
dťjeunant:
-- Guae doit Ítre surpris de ne pas me revoir! Cela pourrait
faire tort, dans son idťe, au con de ma belle fouteuse. Ainsi,
je veux lui acheter la premiŤre nuit de sa mariťe, puisque
l'impayable AgnŤs veut absolument l'ťpouser (Je le lui avais
dit, en foutant).
Mon pŤre applaudit. Mais, en me reconduisant chez Guae, que
j'allais tťter, ce bon pŤre ajouta:
-- Tu n'es pas une mariťe ordinaire; ce qui ťteindrait la soif
d'une autre n'est qu'une goutte de foutre pour toi; j'ai une
idťe, c'est de m'arranger ŗ te rťgaler, aprŤs-demain, en te le
faisant mettre, jusqu'ŗ extinction de forces, par tous ceux
qui t'ont foutue; moi d'abord; ton oncle; ton procureur; le
frŤre de ta marchande, et peut-Ítre son mari. S'il se trouve
quelques nouveaux bougres, ils t'enculeront, sous prťtexte de
rťserver ton pucelage ŗ ton ťpoux; c'est un dťlice que
d'enculer une mariťe, le jour de ses noces, et ils le payeront
bien. Je m'arrangerai avec Guae pour tout cela.
Nous arrivions. J'embrassai mon pŤre transportťe de
reconnaissance, en le priant de t‚cher de me suivre
secrŤtement, pour me voir tťter. J'entrai, puis je
l'introduisis.
Guae courut ŗ moi, en se dťculottant. Il me baisa d'abord
pied, jambe, cul, con et tťtons: Il me fit ensuite lui darder
ma langue; aprŤs quoi, il me mit son vit en main. Je le
secouais vivement, lorsqu'il me dit:
-- Garce, je suis raisonnable. Je ne t'enconne pas; il faut que
ton pŤre et ton oncle te foutent le jour du mariage. Je
t'aurai ensuite, pour la nuit, trois vits frais, dont celui
qui t'a dťpucelťe sera un... Ah! l'idťe que ton pŤre t'enconne
va me faire te dťcharger une pinte de foutre, et te l'entonner
dans le gosier... Allons, garce, je sens que Áa vient;
embouche-moi le vit... Ah-ah-ah... le bou...ougre fout... sa
fille... Ton pŤre te fout, garce! te fout, putain... Ah! je
dťcharge, ŗ cette divine idťe!... Honh!...
Il se p‚ma presque... Pendant l'interruption forcťe, j'allai
prendre mon pŤre ŗ sa cachette:
-- Fous-moi, lui dis-je; puisqu'il le faut pour le bonheur de
mon cher prťtendu!
-- Ah! dťesse! (s'ťcria Guae, en se prťcipitant ŗ genoux), tu
incestues pour moi! je t'adorerai toute ma vie...
Il intromit le vit paternel.
-- Remue du cul! (me criait-il), saccade!
-- Je dť..cha..arge (lui dis-je)... Viens, cher ami... que je
te branle!
Guae blasphťmait de plaisir, en sentant venir le foutre... Il
m'emboucha, sans que mon pŤre me quitt‚t, et, en mÍme temps,
j'avalai du foutre, j'en reÁus dans le con, et j'en donnai.
Mon pŤre me foutit quatre coups, et Guae m'avait embouchťe
quatre fois, quand on frappa. Guae courut ouvrir, tandis que
je me rinÁais bouche et con. C'ťtait mon oncle.
-- Vous arrivez ŗ point (lui dit-il). On essaye ma future, et
vous allez l'essayer.
Mon pŤre expliqua la chose; Guae me renversa sur le foutoir,
et mon oncle m'enconna. Il me foutit six coups, je tťtai six
nouvelles fois le vit de Guae; aprŤs quoi on me laissa
respirer. Il fut ensuite convenu que douze fouteurs me
passeraient sur le corps le jour de mon mariage, en con ou en
cul, ŗ mon choix, et que Guae, qui seul aurait la bouche, me
ferait foutre la nuit, et dans l'obscuritť, par trois vits
nouveaux de son choix. Mon oncle ťmerveillť, s'ťcria:
-- Mais elle sera putain!
-- C'est ce qu'il me faut, pour que je l'adore.... Et ne vous
en faites faute, ni son pŤre, ni vous; puisque vous serez les
seuls qui ne payerez pas.
En achevant ces mots, il se prosterna devant moi, en me
traitant de dťesse.
Je retournai chez ma marchande. Son mari et elle-mÍme me
tourmentaient pour que le premier m'eŻt une seule fois avant
mariage. Ils me pressŤrent plus fort que jamais; et je cťdai.
La femme me mit dans le con le vit de son mari. Je ne fus
foutue qu'une fois, cet homme ťtant faible, et sa femme le
voulant Ítre aprŤs moi. Ce fut de ma main qu'elle reÁut dans
son con brŻlant le vit marital... Cette opťration faite, et
rťpťtťe, je les quittais, en leur disant adieu. Ils
pleuraient:
-- Ce qui me console de ta perte (me disait ma marchande),
c'est que mon cher mari t'a foutue... Ta voluptueuse idťe me
le fera mettre plus souvent.
Je partais, quand le frŤre entra. Sa soeur lui dit ce qui
venait de se passer. Il ne rťpondit rien. Mais il me ramena du
cŰtť du lit, m'y renversa, et me foutit devant eux, sans
prononcer une parole. Il voulait me recommencer. Je m'y
refusai, en l'invitant, ainsi que son beau-frŤre, ŗ venir me
le mettre le surlendemain, jour de mon mariage. On me
remercia.
Chapitre XXXVI De l'homme-poilu, la Conveloutť, Linars etc.
A mon arrivťe chez mon pŤre, je lui con-racontai tout ce que
je venais de faire.
-- Il ne faut pas (me dit-il), quand on a tant d'ouvrage payť,
en faire qui ne rapporte rien. Il vient de m'arriver un homme
d'assez agrťable figure, trŤs vigoureux, car il est brun et
tout poilu, qui offre une forte somme, pour t'avoir cette
nuit!
-- Que rien ne vous empÍche de le prendre! (rťpondis-je en
souriant) Je ne suis pas fatiguťe par si peu de chose.
Mon pŤre, rassurť, me fit dťshabiller nue, prendre un bain
tiŤde, puis un froid, mettre au lit, avec une chemise large;
me fit avaler un excellent consommť; ensuite il me laissa
dormir. Il ťtait alors 5 heures du soir. A minuit, je
m'ťveillai, en me sentant lťcher le con. Je priai l'homme de
se montrer! Il leva la tŤte, et je vis un basanť d'une fort
belle figure. Je souris. Il me suÁa les tťtons, en me disant
des choses agrťables:
-- Vous avez un beau con... une superbe motte... un ventre de
pucelle... un cul d'alb‚tre... des tťtons blancs comme
neige.... un col dťgagť... des lŤvres voluptueuses... de
belles dents... les plus beaux yeux... les cils, les sourcils
et les cheveux comme la dťesse de la Beautť... la jambe
parfaite... le pied le mieux fait... Quand je vous aurai
foutue, je vous dirai le reste.
Mon pŤre me dit de me lever pour souper. Le basanť me porta
toute nue dans ses bras auprŤs du feu. Lŗ, je vis Guae avec
grande surprise! Je mis mon corset souple; FysitŤre (le
basanť) me laÁa, me priant de bien faire refluer mes tťtons.
Mon pŤre me chaussa une jambe et un pied, Guae l'autre jambe
et l'autre pied, en bas et en souliers de soie d'une
ťblouissante blancheur. On se mit ŗ table. Mon fouteur voulut
que je restasse les tťtons dťcouverts. Nous soup‚mes. J'avais
appťtit, Le basanť but et mangea comme un hercule. En sortant
de table, il dit ŗ mon pŤre et ŗ mon futur:
-- Vous ne m'avez pas trompť; elle est au-dessus de vos ťloges.
Si l'intťrieur du con ressemble ŗ l'extťrieur, elle est ŗ moi,
coŻte qui coŻte.
-- Voyons votre vit (rťpondit Guae)... Elle ne sera que trop
parfaite!... Voici le mien; et vous savez que je n'ai pu
l'enconner, puisque c'est ce qui vous a fait parler ŗ M.
Conveloutť mon beau-pŤre.
-- Je verrai si elle a le mťrite de ce beau nom... Mais vous
avez un vit ťpouvantable, M. Guae!... Empoignez-le, la belle,
que je voie comme il est bien bandant!
Je saisis le vit de Guae, qui se rťcria de plaisir...
-- Je bande (reprit FysitŤre). Mais faites bander votre pŤre,
et comparons.
Je lui pris cependant le membre, qui grossit en le serrant
dans ma main. On compara ensuite. Guae l'avait le triple de
l'homme velu, qui lui-mÍme ťtait le double de mon pŤre.
-- Je voudrais lui dire un mot (demanda Guae furieux de
luxure).
Il me poussa vers une fenÍtre, me cacha derriŤre le rideau, et
me dťchargea dans la bouche. Mon pŤre seul devina ce que Guae
venait de me faire. Pour moi, je fus singuliŤrement fortifiťe
par cette bavaroise! Je brŻlais... Aussi, je fus ravie,
lorsque FysitŤre dit: "
-- Il faut d'abord que je la foute habillťe.
Il me porta sur le pied du lit, Űta ses culottes, et nous
laissa voir un corps velu, comme celui d'un singe. Il me fit
lui prendre son braquemart, et me dit:
-- Introduis-moi cela dans le trou de ton con, et lŤve du cul
comme il faut, ŗ chaque fois que je pousserai.
Je m'enconnai. AussitŰt il poussa. Je fis un cri; car il me
dťchirait, ťtant plus gros que mon oncle, et que tous les vits
qui m'avaient foutue.
-- Ce n'est rien (me disait-il); je te dťflore... je te
dťpucelle. Remue du cul.
Je remuais de mon mieux, tout en soupirant, et lui rendant en
coups de cul, tous ses coups de vits. Il parvint au fond. Mes
trompes lui pincŤrent la tÍte du gland. Il hurla de voluptť.
-- Garce adorable! (s'ťcriait-il) ton con satinť pince le vit!
Ta fortune est faite, ainsi que celle de ton pŤre et du futur,
qui t'ont vendue ŗ moi!... Allons, fous bien!...
Je remuai, je tortillai du cul, je soubresautai, de la maniŤre
dont me le disaient mon pŤre, et Guae lui-mÍme.
-- Je suis ravi! (s'ťcriait le basanť) Elle dťcharge!... Ah!
Elle me fera un petit bougre-ŗ-queue!...
Il dit ŗ mon futur:
-- Viens-Áa, jean-foutre. Passe-moi la main sous le croupion,
et chatouille-moi d'une main ce que tu y trouveras, et les
couilles de l'autre!
Guae obťit (J'ai su depuis qu'au croupion, le basanť avait une
queue, de la mÍme forme qu'un vit, mais velue comme son corps,
et que ce fut cette queue que mon futur chatouilla)....
-- Je ne quitte pas d'une heure ce con cťleste! (disait
l'homme-ŗ-queue, en me saccadant) chatouille, chatouille,
bougre! les couilles et ma queue!
Il dťchargea six fois, sans dťconner... Je demandai alors ŗ
laver. Mon futur m'ťpongea le con, et me le baisa, en
l'appelant Con d'Or. Mon pŤre me suÁa les tťtons. Guae dit au
basanť:
-- Elle est ŗ vous. Mais je bande comme un carme; permettez que
je l'encule?...
-- L'enculer, non; c'est du foutre perdu. Encore moins
l'enconner; je veux qu'elle me fasse un petit-ŗ-queue. Mais si
elle avalait le foutre, comme j'ai vu certaines femmes
tempťramenteuses, je consentirais que tu l'embouchasses.
A ce mot, je saisis le vit de mon futur, et je l'aurais avalť,
s'il n'avait pas ťtť si gros. Il me dťchargea au fond du
gosier, en rugissant, et le foutre me descendit bouillonnant
dans l'estomac.
Ah! Elle aime le foutre! (s'ťcria le basanť) Elle a toutes les
perfections!... Et elle sera aussi longtemps belle, que
fťconde!..... Allons, papa, embouche-la aussi. De tous les
foutres, le paternel est le meilleur.
Je me jetai sur mon pŤre, le renversai sur le lit, saisit son
vit bandant, que je fis aller et venir dans ma bouche, jusqu'ŗ
ce qu'il dťcharge‚t. Je suÁai son foutre avec dťlices...
-- Bon! (s'ťcria le poilu) Elle est dans les bons principes;
elle est impayable!
Le basanť me dťshabillait, me dťchaussait: Mon PŤre et Guae
lui aidaient. Je fus mise nue, patinťe, baisťe du haut en bas,
tandis que je me rinÁais la bouche. On me passa la grande
chemise; l'homme-ŗ-queue velu et tout nu y entra, me suÁa les
tťtons, me fit lui darder la langue, puis dit ŗ mon futur de
lui intromettre le vit dans mon con.
Le basanť me foutit six nouveaux coups, sans dťconner. Je me
sentis fatiguťe. Je voulus laver. Je restai une heure sur le
bidet le con dans l'eau. Le basanť, qui, pendant tout ce
temps-lŗ, s'ťtait amusť ŗ faire bander Guae, et ŗ lui faire me
dťcharger trois fois dans la bouche, m'appela, en me disant:
-- Tu es assez rafraÓchie; reviens sur le foutoir, que je te
donne le bouquet!
Il se le fit introduire par mon pŤre; qui me dit:
-- Courage, mon enfant! Voici un fouteur qui en vaut dix. Mais
je t‚cherai de te faire soulager, si cela continue.
Je fus encore foutue six fois; mais avec tant de vťhťmence que
je n'en pouvais plus. Sur ma plainte, le basanť dit, que le
bouquet ťtait le double des autres assauts.
-- Eh! combien donc l'allez-vous foutre de coups? (lui demanda
mon pŤre).
-- Vingt-quatre est ma dose.
-- C'est trop, et elle ne ferait pas d'enfants. Elle a une
cadette, aussi jolie que l'aÓnťe est belle; je vous la
donnerai, pour soulager sa soeur!
-- Je l'accepte! (s'ťcria FysitŤre) Et il m'en faudra bien
d'autres! car je ne les fous plus dŤs qu'elles sont pleines,
ni pendant qu'elles allaitent leurs petits. La jeune garce
est-elle lŗ? (Or il me foutait toujours)...
-- Non: Vous ne pouvez l'avoir que demain soir.
-- En ce cas, j'achŤve de foutre celle-ci mes 24 coups. Je
dťconne; qu'elle lave. Elle n'en a plus que cinq. Si son futur
se trouve en ťtat, qu'il lui donne ŗ tťter du foutre, cela la
fortifiera!
AussitŰt Guae m'apporta ses couilles ŗ chatouiller, et son vit
ŗ branler. Je m'en acquittai si bien qu'il hennit au bout de
quelques minutes, et qu'ŗ peine eus-je embouchť son vit qu'il
dťchargea, en sacrant:
-- Elle a toutes les qualitťs... Elle est parfaite! (s'ťcriait
le poilu, en me re-enconnant) Si sa petite soeur la vaut, ce
sont deux connins impayables!
Il acheva de me foutre cinq fois, sans dťconner. Je puis me
rendre le tťmoignage que je dťchargeai, ŗ chaque assaut,
plutŰt deux et trois fois qu'une. Aussi FysitŤre en ťtait-il
ťmerveillť! et me nommait-il la seule fouteuse digne de lui.
Mon pŤre lui dit alors:
-- Ce ne sera pas encore assez de ma cadette. Mais j'ai votre
affaire. Il me reste une niŤce religieuse qui a des vapeurs
hystťriques; je vous la donnerai, pour reposer mes filles!
-- Je leur ferai ŗ toutes trois 12 mille francs de rentes
(rťpondit le basanť). Amenez-les-moi chaque soir, demain
exceptť, que j'ai ŗ fourgonner une grande blonde qui a ouÔ
parler de moi et qui veut en t‚ter. Il s'en alla.
Cette scŤne changea tous nos projets. Je dormis jusqu'ŗ midi,
qu'on m'habilla. Je fus mariťe ŗ une heure. La noce fut gaie.
Ma soeur y ťtait, ainsi que ma cousine la carmťlite hystťrique,
mon pŤre ayant trouvť le secret de l'avoir, au moyen d'une
permission de prendre les eaux qu'il sollicitait depuis
longtemps. J'eus rťellement pitiť du connichon de ma soeur
DoucŤte, et je rťsolus de le voir dans la journťe. Mon pŤre me
le montra, et le gamahucha devant moi, en allťguant le motif
de prťvenir une maladie. Ah! qu'il ťtait mignon!... Je
l'aurais gamahuchť, ŗ mon tour, sans ma coiffure d'ťpousťe,
car son joli petit foutre virginal me tentait... Notre pŤre la
prťvint qu'il fallait qu'elle me soulage‚t la nuit de mes
noces, et l'aimable enfant y consentit avec naÔvetť. Je vis
aussi le con de ma cousine la carmťlite, ou la belle
Victoire-Londo. Il n'ťtait pas si mignon, mais il avait une superbe
perruque noire. Elle entra en fureur ťrotique dŤs qu'on le lui
eut touchť du bout du doigt, et mon pauvre pŤre fut obligť de
le lui mettre devant ma soeur, et devant moi. Ce qui ne la
calma que pour un instant. Nous appel‚mes mon oncle, qui la
foutit trois fois. Puis le jeune homme fut introduit. Ensuite
le procureur. Tous ceux qui devaient me le mettre ce jour-lŗ.
Les enculeurs vinrent aprŤs. Elle fut foutue, refoutue,
enculťe, re-enculťe, et calmťe. Mais on n'appela pas M. Guae;
j'en ťtais jalouse... Pendant ce temps-lŗ, mon pŤre branlait
ma soeur; l'enculage de la religieuse le fit entrer dans une
telle ťrection qu'il la poussa dans un cabinet, oý je les
suivis, la renversa, et la dťpucela. J'insťrai le vit paternel
dans le joli connin, en disant ŗ DoucŤte que c'ťtait une
ponction nťcessaire.
On lavait la religieuse. M'ťtant aperÁue que Guae la
convoitait, je lui tťmoignai une jalousie qui le flatta. Il me
promit de rťserver son foutre azurť et son gros vit pour ma
bouche, en attendant que les enfants m'eussent ťlargi le con.
-- Mais vous m'aviez vendue (lui dis-je), avant de m'avoir
livrťe ŗ l'homme velu, pour Ítre foutue et enculťe ma nuit des
noces. Combien de fouteurs et d'enculeurs devais-je avoir?
-- Six, ŗ 2 mille ťcus chacun.
-- Vous voyez que je n'ai besoin que de repos. Mais il ne faut
pas manquer une aussi jolie somme: Vous avez demandť le
silence et l'obscuritť?
-- Oui, ma reine adorťe. Je ne me suis engagť qu'ŗ te faire
voir toute nue sans chemise, comme en jouant avec toi, nu
aussi, dans la chambre. Au reste, le silence et l'obscuritť
sont essentiels, puisqu'ils eussent passť pour moi. Les six
bougres, placťs chacun dans une chambre sťparťe, devaient
repaÓtre leurs regards de tes charmes, et t'espťrer chacun
comme possesseur unique, ŗ un signal donnť.
-- Tout cela se fera. Je serai remplacťe par 3 personnes. Nous
donnerons le plus dťlicat et le plus petit vit ŗ ma soeur. Le
plus vigoureux et le plus brutal ŗ la carmťlite: Je vais vous
avoir ma marchande, qui ne demandera pas mieux que d'Ítre
foutue, sans Ítre compromise. Vous arrangerez tout pour
qu'elles reÁoivent chacune deux hommes; ce qui sera d'autant
plus facile que vous n'aurez que les hommes ŗ tromper; ce qui
sera facile.
Guae admira mon entente et mon ťconomie! Il me promit une
soumission entiŤre ŗ mes ordres, et me demanda la permission
d'appeler ma soeur, ou la religieuse, pour le branler. Je les
appelai toutes deux. Je dis ŗ la carmťlite, en lui dťcouvrant
les tťtons, de prendre le vit et les couilles de mon mari. Je
mis ensuite ma soeur en position, troussťe jusqu'au-dessus des
reins, et, comme elle avait le plus joli cul du monde, elle
montra le derriŤre. Je me mis ŗ cŰtť d'elle, troussťe de mÍme,
je montrai le devant. Guae, chatouillť par une main douce, et
jouissant d'une triple perspective aussi belle, en y
comprenant la superbe gorge de la religieuse, ne tarda pas ŗ
hennir de plaisir. BientŰt il entra en fureur, et il allait
enconner la religieuse si je ne lui avais sautť sur le vit,
que j'embouchai. Il me dťchargea dans le gosier, en rugissant.
Nous sortÓmes tous quatre, pour aller danser, et ma soeur, ma
cousine et moi nous fumes reÁues avec transport.
Mes 6 fouteurs pour la nuit suivante ťtaient de la noce. Guae,
qui se fŻt bien gardť de me les montrer, si j'avais dŻ les
avoir, s'en fit une fÍte quand ce furent d'autres qu'on leur
allait livrer. Il me les dťsigna. C'ťtaient 6 monstres de
laideur. Guae trouva le moyen de les faire mettre nus
successivement dans une piŤce isolťe, sous le prťtexte de les
frotter d'un baume fortifiant. Le premier ťtait un squelette
dťcharnť, ayant le vit comme mon pŤre. Il avait un long nez
qui touchait ŗ son menton, les joues creuses, l'oeil vif, des
verrues noires sur le corps. Je le rťservai pour ma soeur, ŗ
cause de son vit, n'espťrant pas mieux. Il se nommait Widevit.
Le second ťtait un gros petit homme, trŤs ventru, ayant le vit
de mon oncle, la peau comme une ťcrevisse cuite, pour nez une
grosse betterave, de gros sourcils gris, une bouche ťvasťe, et
les lŤvres h‚lťes, gercťes des gros mangeurs. Ce fut le second
de DoucŤte, si je ne trouvais pas mieux. On l'appelait en
russe Wivitencoff de la CowilardiŤre.
Le troisiŤme ťtait fait comme un hťron et un dromadaire: Il
ťtait juchť sur de longues jambes sans mollets; il portait sur
ses ťpaules une colline en cŰne aigu; son visage ťtait noir et
sec; ses cuisses grÍles n'ťtaient distinguťes de ses jambes
que par d'ťnormes genoux. Tout ce qui manquait ŗ ces parties
se retrouvait dans son vit, plus gros que celui de notre
homme-ŗ-queue, et moins que le double vit de Guae. Je destinai
Towtenvit ŗ ma marchande, qui ťtait chaude, large et stťrile.
Le quatriŤme ťtait un gros marchand de blť, aussi large que
haut, tout noir, tout bourgeonnť, ayant quelques livres de
couilles, et un vit trŤs long, gros comme celui de mon oncle.
Je destinai Vitplongeardow ŗ ma cousine, ŗ cause de ses
couilles.
Le cinquiŤme avait le visage de la teinte d'un ventre de
crapaud, la tÍte monstrueuse, le ventre de Desessarts, le vit
comme Guae (il devait m'enculer, de convention faite). Son
regard ťtait affreux, sa bouche dťgoŻtante, et son nez encore
plus. Vitcrwel fut vouť au large con de ma marchande.
Le sixiŤme et dernier ťtait grand, voŻtť, noir, bancroche,
roux, chassieux; il avait un vit ŗ bourrelet, tant il ťtait
long; aussi en avait-il apportť un, qu'il devait ťcarter, pour
m'enculer. Perceawant fut le second de mon ardente cousine.
Le soir arrivť, l'on me mit au lit, et chacun des six monstres
crut qu'il allait avoir le plaisir d'Ítre mon bourreau. Guae
me conduisit dans la chambre nuptiale, et parut me mettre au
lit. Mais il nous distribua dans quatre piŤces, et les
lumiŤres furent exactement retirťes. Quant ŗ moi, j'ťtais
restťe debout, faisant, ŗ chacune des lieutenantes de mon con,
le portrait et l'ťloge du beau jeune homme qu'elles allaient
presser dans leurs bras. Je me croyais obligťe en conscience
de leur donner des plaisirs imaginaires, ŗ dťfaut de la
rťalitť.
-- Ma toute belle! (dis-je ŗ ma soeur) avec quel plaisir tu me
sacrifierais ton repos, si tu voyais le jeune homme charmant
qui doit froisser tes appas! C'est un sylphe; c'est un
amour...
J'allai ensuite ŗ la religieuse:
-- Tu vas sentir la diffťrence de la couchette de ta cellule au
lit d'un nouvelle mariťe, ma chaude cousine. Un bel homme, un
gros vit... Crie, mais ne parle pas, puisque tu vas passer
pour moi...
Je me rendis ensuite auprŤs de ma marchande:
-- Vous allez Ítre rassasiťe de ce que vous aimez tant, mon
aimable maÓtresse. Un jeune homme superbe, et... peut-Ítre
deux, qui me dťsirent avec emportement, vont me le mettre dans
votre con brŻlant, jusqu'ŗ extinction de forces. Les vits sont
gros! ainsi faites-vous pommader comme une pucelle, et remuez
du cul, pour avaler plus vite ces ťnormes morceaux...
Ma marchande me remercia, en me priant de la mettre
promptement aux prises. Je courus lui chercher Toutenvit, le
troisiŤme... Mais je vais mettre de l'ordre dans mes rťcits.
Guae m'attendait. DŤs que je parus, il me fit parler, et
conduisit par la main Wždevit, le premier monstre, auprŤs de
ma soeur.
-- Mon cher mari (dis-je doucement, la tÍte appuyťe sur
l'oreiller de celle-ci), mťnagez-moi!
-- Oui, oui; mais ne parle pas; j'ai dťcouvert que toute la
noce nous ťcoutait, ŗ cause de mon gros vit...
Durant ce court dialogue, Vitdevit, dťshabillť d'avance,
fourrageait dťjŗ ma soeur. Guae, par mes ordres, prit ensuite
Vitplongeardow, le quatriŤme, et le conduisit, avec les mÍmes
prťcautions, auprŤs de la religieuse. Je parlai sur son
oreiller... Towtenvit, le troisiŤme, fut le lot de ma
marchande. Les 3 autres avaient rendez-vous quelques heures
plus tard.. Il faut ŗ prťsent donner chaque scŤne
particuliŤre, en 6 tableaux de la NUIT DE LA MARIEE.
Chapitre XXXVII Des six fouteurs pour trois foutues.
"Happťe par le monstre, qu'elle croyait un ange, ma timide
soeur soupirait. J'entendais qu'on la gamahuchait, qu'elle
dťchargeait.
-- Je me meurs! (murmura-t-elle).
-- Comme tu as la voix douce, belle mariťe! (lui dit Widevit
bien bas).
Et aussitŰt il grimpa sur elle, et l'enconna. La pauvre
petite, quoique dťpucelťe, fit un cri! Je parlai pour la
dťguiser. Le vieux monstre la mťnageait et la caressait. Elle
le secondait de tout son pouvoir, et redťchargea. Gr‚ce ŗ moi,
elle avait le mÍme plaisir que si elle eŻt foutu avec un beau
garÁon... La voyant bien enfilťe, j'allai ŗ la religieuse.
Vitplongeardow s'ťtait avisť de ne pas mettre son bourrelet;
je m'en doutai aux gťmissements de la pauvre martyre. Je le
dis ŗ Guae, qui le dťsarÁonna, et lui donna quelques
soufflets. J'entendis qu'il lui disait bien bas:
-- Bougre! vas-tu m'estropier ma femme? Ton bourrelet!
Le fouteur le prit, et la foutue n'eut plus que du plaisir.
Je courus ŗ ma marchande, que Toutenvit ne pouvait enconner,
par maladresse. Je mis la tÍte sur l'oreiller, et je dis en
soupirant:
-- Priez donc mon pŤre de vous l'introduire!...
Guae, qui me suivait doucement, vint faire l'intromission, et
tout alla bien.
Chacune des 3 belles fut foutue deux fois en con. Ensuite,
comme de concert, les 3 bougres retournŤrent la mťdaille.
Toutes trois avaient leur pucelage de cul. Ma marchande crut
qu'on allait le lui mettre en levrette; mais les deux autres
ne s'attendaient ŗ rien. On leur perÁa le cul ŗ toutes trois
au mÍme instant, et elles s'ťcriŤrent, malgrť la dťfense,
toutes ŗ la fois:
-- DoucŤte: Oh le fondement!
-- La religieuse: Oh l'anus!
-- La marchande: Oh le trou du cul!...
On n'y fit pas attention. Heureusement ma soeur avait le cul
large; elle souffrit moins. Quant ŗ la religieuse, que
Vitplongeardow enculait sans bourrelet, elle avait une aune de
vit dans ses entrailles, et elle sentait celui de son enculeur
lui chatouiller le nombril. Elle souffrait beaucoup de son
farfouillage; car il retirait et re-enfonÁait brutalement.
Elle n'eut de plaisir qu'ŗ la dťcharge, par la douce chaleur
du foutre, qui lui onctua le gros boyau. Ma marchande ťtait la
plus maltraitťe, par Towtenvit. Elle avait le trou du cul
aussi ťtroit qu'elle avait le con large; le vit ťnorme la
pourfendait. Elle jurait entre ses dents. Enfin la dťcharge
l'abreuva, et elle fut soulagťe.
Les 3 vieillards en avaient autant qu'il leur en fallait. Guae
vint les faire retirer, de sorte qu'ils ne se rencontrassent
pas... On ťtuva les 3 cons et les 3 culs. On fit les lits, on
changea les draps, recoucha la triple mariťe, et Guae
introduisit les trois nouveaux acteurs.
Il alla chercher Wivitencoff, que je mis dans les bras et sur
le ventre de ma soeur. Un peu aguerrie, elle caressa tendrement
le monstre, qui l'enconna, le vit introduit par Guae, qui
profita de l'occasion pour patiner ma soeur, et la chatouiller.
Ce qui fit tellement tressaillir la pauvre petite que son
fouteur s'ťcria, croyant parler ŗ moi:
-- Ah! que tu es putain!...
Voyant Guae acharnť sur ma soeur, j'introduisais les deux
autres. Je donnais Perceawant ŗ la religieuse, et j'eus soin
qu'il eŻt son bourrelet.
-- Voilŗ une main bien douce qui me touche
dit-il en voulant saisir la mienne; mais j'ťchappai.
-- Remue du cul, bougresse, (disait-il ŗ sa monture); je te
tiens, je suis dans ton con; ainsi tu ne saurais m'ťchapper.
Je ne suis pas ton mari; j'ai payť pour coucher avec toi, et
te dťpuceler; ainsi tu es ma putain. Fous, garce, et remue du
cul; j'ai payť pour Áa...
Guae l'entendit. Il vint ŗ lui, le saisit ŗ l'ťtouffer.
-- Tu manques ŗ nos conventions! (lui dit-il) je ne les
tiendrai pas non plus; fous-moi le camp, malhonnÍte homme!
-- Oui; mais quand je l'aurai enculťe.
Et il encula la carmťlite, malgrť les coups de poing dont Guae
le gourmait. La religieuse poussait des cris horribles...
J'ťtais auprŤs de ma marchande, que j'accouplais avec le gros
Vitcrwel. Il ne devait qu'enculer; mais la chaude coquine se
dirigea elle-mÍme le vit dans le con.
-- Tu n'es donc pas pucelle, garce (crut-il me dire), que tu
connais si bien la route des vits?... Allons, fous, putain, et
comme il faut! j'ai payť ton maquereau de mari!
Comme elle ripostait bien, il allait disant:
-- Oh! elle est putain! elle est putain! j'ai le reste des
autres!
Et, tout en dťchargeant, il la pinÁa, la souffleta. Elle se
rťcria!
-- En bouche, sacrťe putain? (dit-il en dťconnant) et tu
avaleras mon foutre; sans quoi je t'assomme!
Guae, qui venait de laisser enculer la carmťlite, et de
chasser son brutal fouteur, entendit le grabuge; il accourut,
apostropha le sale bougre d'un violent coup de poing, en lui
disant:
-- Lave-toi donc au moins, sacrť m‚tin, avant de l'emboucher!
Je ne l'embouche jamais que je ne me sois lavť le vit ŗ
l'eau-rose, et que je ne l'aie ensuite trempť dans du lait.
Exťcrable bougre! vrai de Sade, tu veux lui faire soulever le
coeur?... Mais tu as manquť aux conditions; tu ne mťrites plus
de l'avoir.
-- Voilŗ cent louis...
-- Ils seront pour elle. Lave-toi... Voilŗ de l'eau-rose...
Voici du lait... Allons, souffre, m'amie. Voilŗ tes cent
louis.
Le vieux reÓtre, cru un beau jeune homme, emboucha, encula,
entťtonna tant qu'il voulut.
-- Ah que tu es putain, sacrťe chienne! (rťpťtait-il)...
Guae se mourait d'envie de lui montrer qu'il ne m'avait pas
eue. En le mettant ŗ ta porte, il me fit trouver sur son
passage toute habillťe. Ce fut comme une vision; car je
m'enfuis.
Ah je suis fait! (s'ťcria le monstre) le scťlťrat m'a donnť
une putain au lieu de sa femme!...
Et il jura, sacra... Quant ŗ moi, pendant ces scŤnes,
j'assistais ŗ la fouterie de ma jeune soeur. La pauvre petite
fut enconnťe, embouchťe, enculťe comme les autres, par son
adorť Vitvitencoff de la CowillardiŤre, qui alla jusqu'ŗ
extinction de forces. Il m'adorait. Ce qui le tua, c'est que,
lorsqu'il se sentait ťpuisť, il se faisait sucer le vit bien
appropriť ŗ l'eau chaude, et baiser les couilles par sa jolie
monture. Il lui mettait encore couilles et vit sur le cul ou
les tťtons. Puis il se faisait donner au gland un suÁon. Il
bandait alors, et enculait. Au dernier culetage, il eut un
priapisme, et crut ne faire que bander. Il fourgonna dans le
cul de ma soeur jusqu'ŗ ce qu'il s'ťvanouÓt. J'appelai Guae,
qui la dťcula, en enlevant son enculeur. On le porta ťvanoui
dans sa voiture. Arrivť chez lui, des cordiaux, que demanda
Guae, ranimŤrent le vieux libertin:
-- Ah! (s'ťcria-t-il) je vis encore! je voulais mourir dans son
cul!... je bande encore... Qu'on me la rende... que je
l'enfile... et... que... j'expire... Et il expira..."
[Ah! la belle mort! s'ťcria Traitdamour, et toute la compagnie
en dit autant...]
Mme Guae acheva.
"Voilŗ comme s'est passťe la nuit de mon mariage. Guae, ŗ son
retour, ťtait furieux de luxure: Il voulait toutes nous
enculer, puis nous emboucher. On s'arrangea. Il m'emboucha;
encula ma soeur et ma cousine, enconna ma marchande, qui en fut
estropiťe pour un mois, et l'engrossa, deux choses qui
l'empÍchŤrent d'Ítre achetťe par FysitŤre. Pour Guae, je suis
sa maÓtresse, et son gros vit me fortifie par son foutre qui
me nourrit. Je serai enconnťe par lui, de convention faite
avec FysitŤre, aprŤs mon douziŤme enfant."
Chap. XXXVIII De la conclusion de l'histoire des 3 garces.
"Personne ne sait comment l'homme-caud dťcouvrit que Guae
avait vendu la premiŤre nuit de ses noces. Il arriva furieux.
Il me demanda. J'ťtais au lit. Ce fut la rťponse de Guae.
-- Je le crois! (rťpondit FysitŤre), et un homme est mort
d'ťpuisement dans ses bras.
-- Elle a vaquť toute la nuit; mais c'est pour autre chose. Sa
cousine la religieuse ayant ťtť un peu courtisťe dans le jour,
ses vapeurs hystťriques l'ont reprise la nuit, par un rÍve, oý
elle croyait Ítre foutue. J'ai ťtť appelť. N'ayant pu
l'enconner, je l'ai enculťe.
-- Je me fous de son cul. Mais si tu l'avais enconnťe.
-- Quant ŗ ma femme, elle dort; et vous pouvez voir ŗ la
fraÓcheur de son con et de son cul que je ne lui ai pas
touchť.
-- Voyons d'abord la carmťlite!
-- Elle dort aussi.
Ils y allŤrent. Guae la dťcouvrit, sans l'ťveiller. Elle ťtait
couchťe sur le cŰtť, ne pouvant se tenir sur le dos, ŗ cause
de son cul qui lui faisait mal. Elle l'avait en marmelade.
-- Comme tu les accommodes!... Et le con?... Il n'est pas si
maltraitť...
-- Je l'ai un peu fatiguťe par mes inutiles efforts; et puis
elle s'est branlťe.
-- Voyons la mariťe!...
Ils vinrent ŗ moi. On sait que je me repucelais par le bain et
un peu de repos. Mon con et mon cul furent trouvťs si
appťtissants, si jolis, que FysitŤre les baisa tous deux. Puis
il signifia au cupide Guae qu'il avait un logement cloÓtrť
pour nous sťquestrer pendant tout le temps que nous lui
ferions des enfants, moi, ma soeur, et ma cousine. Il ne vit
DoucŤte qu'habillťe! et elle l'enchanta. Il nous emmena toutes
trois, en disant que jusqu'ŗ notre grossesse bien dťclarťe, on
ne nous verrait qu'ŗ un parloir.
FysitŤre est extrÍmement riche. Il donne 20 mille francs par
an ŗ Guae pour moi, 40 mille ŗ mon pŤre pour ma soeur et ma
cousine. Le soir, aprŤs un excellent souper, il nous fit
coucher toutes trois ensemble dans un large lit, oý il se mit
avec nous. Il me foutit d'abord. Puis ma soeur. Ensuite la
carmťlite, qui le fut deux fois sans dťconner. Il me reprit.
Puis ma soeur. Bref, nous fumes ainsi foutues 8 fois chacune
dans la nuit. Ce qui faisait les 24 de FysitŤre. Quand il en
foutait une, les deux autres lui chatouillaient, une la queue
du cul, la seconde les couilles.
Nous devÓnmes grosses toutes trois ŗ la fois. Alors il nous
dťclara qu'il ne nous le mettrait plus qu'aprŤs nos couches et
l'allaitement. Il vint ici. Il vous vit, Madame; il vous
foutit. Il ťpousa votre fille aÓnťe, enconna les 5 autres,
fourbit vos deux niŤces, ramona la b‚tarde de votre mari,
viola vos 2 chambriŤres, et vous engrossa toutes. Durant ce
temps-lŗ, nous accouch‚mes, nous allait‚mes, nous nous
trouv‚mes libres, et il nous refout. T‚chez d'Ítre libres
aussi, quand nous serons prises, afin qu'il nous refoute
alternativement.
Telle est notre histoire; voilŗ ce que nous savons sur l'homme
ŗ queue. J'ajouterai seulement que, dans le temps oý M.
FysitŤre ne nous l'a plus mis, nous ayant des dťsirs, nous
avons eu recours ŗ mon pŤre, ŗ mon oncle, ŗ Guae, au
procureur, et ŗ mon premier galant, qui nous ont fourbies,
Guae en bouche, les autres en con. Cependant nous avons toutes
voulu avoir Guae, ŗ la premiŤre douleur pour l'accouchement;
son vit, gros comme l'enfant, frayait le passage, et son
foutre l'onctuait.
AprŤs nos couches, nous avons priť mon pŤre de nous choisir de
jolis petits garÁons non pubŤres, mais bandant roide, pour
nous ramoner le con: ces enfants, dont les petits vits huilťs
entraient calottťs, ne dťchargeaient pas, et cependant
farfouillaient agrťablement dans le connŰt".
Les 12 belles furent trŤs excitťes par ce rťcit, et quelques-unes
allŤrent sur-le-champ et successivement se faire ramoner
par FysitŤre, qui fut trŤs ťtonnť de cette boutade! Il se
servit de ses 2 queues, en expťdiant ainsi 2 ŗ la fois, une
dessous, une dessus.
Cette bourrasque apaisťe, FysitŤre revint ŗ ses us et
coutumes. Mais bientŰt ses 3 coucheuses parurent enceintes. Il
les pria, ainsi que Mme Linars, de lui en procurer 3 ou 4
autres, pour lui faire des enfants, en attendant leur libertť!
Mme Guae seule en procura 3, une Tťtonnette, son amie d'ťtant
fille, et deux soeurs, Bienouverte, grande blonde, avec
Dardenbouche, aimable et vive brunette, trŤs caressante,
dťchargeant comme quatre. Tťtonnette ťtait une de ces brunes ŗ
peau blanche qui ont toujours une si belle gorge. FysitŤre
assura les 12 cents fr. de rentes ŗ ces 3 filles, se chargea
de leur ample entretien durant tout le temps de leur
fťconditť, les fit coucher au grand lit, et les dťpucela 8
fois chacune la premiŤre nuit. Il commenÁa par Dardenbouche,
lŗ plus jeune. Elle ťtait si amoureuse, bien que pucelle,
qu'elle riposta, dŤs le premier coup de vit. Elle soutint les
8 assauts de suite avec un courage hťroÔque... FysitŤre prit
ensuite Bienouverte. Elle fut plus modťrťe. Elle cria, quoique
peu ťtroite; parce que, ne dťchargeant pas d'abord, elle ne
s'humectait que faiblement le connin. Elle ťtait pucelle
nťanmoins. Malgrť sa langueur, elle fut foutue 8 fois, comme
Dardenbouche; FysitŤre aurait eu peur d'en mortifier une... Il
prit ensuite la belle Tťtonnette. Il l'enfila plus
difficilement que Bienouverte; mais elle remua si
dťlicieusement du cul, ses tťtons ťtaient si appťtissants,
elle avait le connin si ťtroit, qu'elle donna autant de
plaisir que Dardenbouche...
AprŤs les 24 assauts, FysitŤre laissa dormir. Le lendemain
matin, 3 valets de chambre entrŤrent, pour lui demander ses
ordres? Il s'ťveilla; mais il feignit de dormir, lŗ bouche sur
lŗ gorge de Tťtonnette, et une main sur les tťtons de chacune
des 2 autres.
-- Voilŗ un bougre bienheureux! (dit un des valets)
-- Oui! (rťpondit un autre).
Et ils se mirent tous trois ŗ se branler. Alors FysitŤre,
feignant de s'ťveiller, leur dit:
-- Je vous ai entendus, jean-foutres. Vous ne les enconnerez
pas; je veux qu'elles ne soient grosses que de moi; mais
tournez-les sur le ventre, et m'en enculez une chacun.
Il n'avait pas achevť que les 3 belles poussŤrent un cri
simultanť, causť par les 3 vits qui leur entraient dans le
cul. FysitŤre les exhorta ŗ lŗ patience, par l'idťe d'une
bonne oeuvre; il les assura que ces 2 hommes allaient dťcharger
par terre. Elles se rendirent ŗ cette raison, et culetŤrent ŗ
qui mieux mieux."
Explicit L'HOMME-A-QUEUE.
A cette longue histoire, tous et toutes se rťcriŤrent:
-- Nous ne sommes que de la Saint-Jean, auprŤs de ces fouteurs
et de ces fouteuses-lŗ! Que ne sommes-nous ŗ demain!
-- N'allez pas vous branler, bougres! (leur dis-je)
-- Nous nous en garderons bien! notre foutre n'est pas ŗ nous;
il est ŗ nos belles. Qui ťtait ťtonnť de nous entendre parler
ainsi devant ma fille, c'ťtaient Brideconnin et sa femme...
Mais ils en verront bien d'autres.
SUJETS DES ESTAMPES.
I. Cupidonet et Jenovefette.
L'adolescente ŗ quatre, troussťe, et le jeune Cupidonet ŗ
genoux, la couvrant cyniquement, t‚chant de l'enfiler. Elle se
cambre les reins, pour Ítre atteinte: "Hausse, hausse le cul".
p. 5
II. Cupidonet et le con soyeux.
Cupidonet sur Madeleine, ‚gťe de dix-sept ans, dont il lŤche
le con poilu. Elle est sur le dos, les jambes ťcartťes, et se
prÍte en poussant sur la bouche de son jeune frŤre, qui la
gamahuche. "Darde ta langue dedans, cher petit ami". p. 9
III. La mŤre foutue.
Cupidonet enconnant une femme de quarante ans, au lit, les
draps ŗ terre. Il enconne pour la premiŤre fois, et paraÓt se
p‚mer. La Femme: "Jamais... jamais... vous ne m'avez donnť
tant de plaisir". p. 12
IV. Cupidonet et la belle Marie.
Cupidonet, ťvanoui, le vit en l'air aprŤs avoir dťchargť dans
le con de sa soeur la Belle, mariťe ŗ Paris, et parťe, un jour
de Vierge, Marie dťtťtonnťe, et con et cul visibles. Elle dit:
"Ah... Grand Dieu... c'est Cupidonet." p. 16
V. Cupidonet et l'horlogŤre.
Cupidonet au lit, sans couvertures ni draps, foutant la belle
horlogŤre, ŗ laquelle son mari, couchť de l'autre cŰtť d'elle,
dit: "Courage, ma femme... hausse le cul". p. 20
VI. Cupidonet, avec sa femme le cul dťcouvert.
Il est appelť par sa femme debout, mais courbťe sur un lit,
troussťe au-dessus des reins, et montrant le plus beau cul. Il
court ŗ elle, le vit bandant. "Si j'ai la vťrole (pense-t-elle),
fous-moi en cul". p. 20
VII. Cupidonet et Conquette.
Cupidonet gamahuchant Conquette la nuit, sa lampe sur un
garde-sel. Elle est ŗ dťcouvert, et se trťmousse toute
endormie, quand elle sent la langue entre les lŤvres de son
connin ŗ poil naissant. "Ah... Ah... Ah... Áa m'chatouille".
p. 25
VIII. Conquette et Cupidonet.
Conquette, qui vient d'Ítre gamahuchťe, et que Cupidonet, le
vit bandant, t‚che d'enconner. "Ah! ce joli gamahuchage, tant
que vous voudriez". p. 30
IX. Cupidonet et Victoire.
Cupidonet tenant Victoire troussťe jusqu'aux dessus du genou,
et se faisant empoigner le vit, qu'elle ne voit pas:
"Mignonne... serre-moi le doigt, fort... fort". p. 32
X. Conquette, Culant, VitnŤgre.
Conquette assise devant le feu, entre VitnŤgre et Culant
dťculottťs, bandants; elle troussťe: "Allons, bougresse.
branle-nous tous deux". p. 36
XI. Cupidonet, Conquette, VitnŤgre, le moine.
Cupidonet dans un cabinet obscur, voyant VitnŤgre le vit ŗ
l'air, montrant ŗ nu les appas de sa femme. Un moine, debout
dans le cabinet, vu par le pŤre de Conquette, cachť derriŤre
un sofa, et qui n'est pas vu. Le moine tenant en main son vit
monstrueux, regarde la scŤne: "Troussťe, putain, au-dessus des
reins". p. 39
XII. Cupidonet et Conquette en levrette.
Conquette, le ventre appuyť sur le pied d'un lit. Cupidonet
l'a troussťe au-dessus des reins; elle cambre la taille, et il
l'enfile en levrette. "Remue du croupion... mon ange". p. 44
XIII. Conquette, VitnŤgre, un payeur.
VitnŤgre debout ŗ cŰtť du lit, cachť par un rideau, tandis
qu'un autre le remplace sur sa femme. Le mari dit ŗ celle-ci:
"Dťcharges-tu"? p. 48
XIV. Cupidonet, Conquette, VitnŤgre, le jeune homme.
Cupidonet cachť; VitnŤgre une lumiŤre en main trouvant le
jeune homme sur sa femme troussťe: "Hť bien, est-elle
enconnťe". (dit-il). p. 53
XV. Le fouteur ŗ la Justine.
Le moine Foutamort, ayant mis Conillette nue, expirťe et
dťchirťe sur une table, lui cerne les tťtons avec un bistouri,
etc.: "Dťcharnons-la." p. 56
XVI. Cupidonet, Conquette, Timori.
Cupidonet, cachť dans le sofa, avanÁant la tÍte, pendant que
Conquette, gamahuchťe par Timori, lŤve les jambes en l'air, et
fait claquer ses talons: "Ah... Timori... ta langue vaut un
vit". p. 62
XVII. Conquette enculťe.
Cupidonet sous un sofa; Timori enculant Conquette, courbťe,
dont le cul est bien perforť: L'enculeur s'ťcrie: "Quel cul!
quel plaisir des Dieux". p. 63
XVIII. Conquette s'enconnant du vit paternel.
Cupidonet au lit avec Conquette, deux flambeaux sur la table
de nuit. Il est sur le cŰtť, le vit bien bandant. Il dit ŗ sa
fille nue, cherchant ŗ s'enfiler: "Appuie lentement, ma
reine". p. 67
XIX. Montencon, Cupidonet, Hochepine, Vitsucette.
Montencon embouchant AdťlaÔde Hochepine en prťsence de
Cupidonet et de Vitsucette. "J'embouche la jolie garce". p. 70
XX. Cupidonet, Conquette, Montencon.
Cupidonet sortant du con de Conquette. Montencon, le vit en
main, allant se mettre sur elle dont le con et les cuisses
sont bien ŗ dťcouvert. "A toi, bougre". p. 7
XXI. Les moines vťrolťs.
Tous les lits sont couverts de robes monacales. VitnŤgre assis
auprŤs du lit de Foutamort, qui lui montre un tableau,
reprťsentant une femme ŗ laquelle il vient de ne faire qu'un
trou du cul et de la motte, et dont il cerne les tťtons: "Je
me suis fait accommoder son con". p. 81
XXII. Le sommeil enconnť.
Cupidonet endormi, le vit dans le con de Conquette, qui dort
ťgalement enconnťe. En commenÁant ŗ s'ťveiller, elle dit: "Ah!
Mon Dieu! c'est mon papa, qui me..." p. 83
XXIII. Cupidonet, Conquette.
Cupidonet devant Conquette assise, en court jupon, les tťtons
dťcouverts: Il vient de se mettre le vit ŗ l'air. Elle joue
avec sa mule mignonne, qu'elle fait badiner avec le bout de
son pied: "Je veux te griller". p. 88
XXIV. Conquette, Cupidonet, Centlouis.
Centlouis prenant les tťtons et le con de Conquette, en
prťsence de Cupidonet, auquel il dit de serrer les cinquante
louis: "Ce con satinť, ces tťtons touchťs les valent". p. 91
XXV. Conquette, Cupidonet, Traitdamour.
Conquette renversťe, troussťe au-dessus du nombril, et ŗ
laquelle Cupidonet prťsente Traitdamour, qui tient ŗ la main
et montre son gros et superbe vit. Conquette avanÁant sa main,
pour prendre le vit: "C'est donc toi qui m'as fait tant de
mal... et de plaisir"... p. 95
XXVI. Cupidonet, Conquette, Traitdamour, Minone, ConnŤte.
Cupidonet foutant Conquette, qui lui darde sa langue.
Traitdamour tenant les tťtons de sa soeur, qui lŤche le trou du
cul du fouteur; tandis que ConnŤte le suce dans la raie du
dos: "Quels dťlices!... Je suis rendu"... p. 100
XXVII. Minone, Conette, Cordaboyau, Brisemote (1er groupe).
ConnŤte chatouille les couilles de Cupidonet debout, tandis
que Cordaboyau enconne Minone, que Brisemote encule couchťe
sur le cŰtť. "C'est une fouterie de princesse...". p. 108
XXVIII. Cupidonet, Conquette, Traitdamour (2Ťme groupe):
Conquette sur Traitdamour, qui la tient enculťe sur lui!
Cupidonet dans le con de la belle, ainsi limťe entre deux
feux: "Piquez... des deux; la garce est enculťe"... p. 110
XXIX. La danse nŤgre.
Cupidonet habillť, mais le vit ŗ l'air, regardant la danse,
dans laquelle il pousse Conquette nue par les fesses.
Traitdamour danse avec Rosemauve, une nouvelle actrice;
Cordaboyau avec Conette; Brisemote avec Minone; tous six nus
de la tÍte aux pieds. Ils figurent les mouvements voluptueux;
un couple paraÓt prÍt d'enconner; un autre d'enculer; le
troisiŤme, en se contournant, met les tťtons sous la bouche,
le vit sous la main, et montre le con qui l'appŤte. "Allons!
Du mouvement, garces!" p. 114
XXX. La Piochťe et ses piocheurs.
La Piochťe sur le foutoir; Piocheur-pŤre enculant Piocheur-fils;
Piochencul les excitant, et se faisant bander, ŗ l'aide
de la main et des tťtons de la jeune fille. "Bougre... encule
ton petit garÁon". p. 117
XXXI. Piochette.
Le vieux Piochencul patinant les tťtins de Piochette, ‚gťe de
14 ans, et fille du frŤre et de la soeur, pendant que ces 2
individus sont enconnťs, et que le vieux Piocheur grand-pŤre
encule son fils. "Tu me dťpucelleras ta fille, dŤs que ton
grand-pŤre t'aura dťculť". p. 119
XXXII. Les gourmets de con.
Conquette enconnťe par Cordaboyau, seulement comme gourmet du
satinť de son con, est enlevť de sur elle, prÍt ŗ dťcharger,
par Traitdamour et Brisemote, le vit bandant et dťcalottť,
pour le plonger tout brandi dans le con de Rosemauve, ťtendue
sur un foutoir haussant du cul: "Le sacrť bougre allait
partir"... p. 123
XXXIII. HonnÍte entretien du pŤre et de la fille.
Cupidonet prenant le con de sa fille d'une main, les tťtons de
l'autre. Elle dit: "Mon Dieu: je vous remercie d'un si bon
pŤre". p. 133
XXXIV. L'homme enfilant deux cons d'une volte.
L'homme-ŗ-queue foutant Sophie Linars de son vit, tandis que
Geoline s'enconne avec la queue velue qu'il a au croupion.
Celle-ci dit: "Et moi, je vais me servir de cette queue
raide". p. 141
XXXV. La fouteuse insatiable.
La belle AgnŤs, livrťe par son pŤre, enfilťe par le jeune
procureur, qui se loue de ses dťlicieux mouvements; elle
s'ťcrie, en dťchargeant: "Ah... mon ‚me va sortir... par le
trou qu'il me fait". p. 157
XXXVI. Indicibles fouteries!
AgnŤs, aprŤs souper, ayant un corset refluant, cachťe derriŤre
un rideau de fenÍtre, de sorte que l'homme-ŗ-queue seul, qui
lui prend le con, ne voit pas son visage: Elle tient d'une
main le vit de son pŤre; de l'autre, elle retient ŗ l'entrťe
de sa bouche, et presse de ses lŤvres, le gros membre de Guae
qui dťcharge, et lui lance le foutre au fond du gosier.
FysitŤre leur dit: "Il faut d'abord que je foute habillťe...".
p. 175
XXXVII. Les six fouteurs des trois foutues.
AgnŤs, DoucŤte, la carmťlite, et la marchande de modes,
maÓtresse d'AgnŤs Conveloutť. La 1re en dťshabillť de gaze
transparente, avec le chapeau de mariťe; les 3 autres nues,
sont instruites par AgnŤs [Coupure.] Six vieillards, le vit en
main, nus, endoctrinťs sťparťment par Guae, nu aussi, ŗ
l'entrťe d'une autre piŤce, oý il les attire les uns aprŤs les
autres... Le premier est un grand, maigre, dont le nez touche
au menton; vit ordinaire. Le second, gros, trŤs ventru; le nez
comme une grosse betterave; le vit long. Le troisiŤme montť
sur de longues jambes sŤches; ayant un pain de sucre sur les
ťpaules; le vit gros comme celui de l'homme-ŗ-queue au moins.
Le quatriŤme aussi large que haut, a le vit de l'oncle
d'AgnŤs. Le cinquiŤme a la tÍte monstrueuse, le ventre comme
un tonneau, le vit comme celui de Guae. Le sixiŤme est grand,
voŻtť, bancroche; ayant un bourrelet ŗ son long vit. Quant au
laid Guae, on voit son vit, gros comme un timon de carrosse,
soulever sa chemise... "Chacun des 6 monstres crut qu'il
allait avoir le plaisir d'Ítre mon bourreau". p. 183
XXXVIII. FysitŤre au grand lit avec ses 3 fouteuses.
Elles sont nues. FysitŤre nu enconne DoucŤte; AgnŤs lui
chatouille les couilles; la carmťlite lui branle le queue
velue, dont elle se dispose ŗ s'enfiler. Le mot est pris de
l'histoire par AgnŤs "Nous fumes ainsi foutues 8 fois chacune
dans la nuit; ce qui faisait les 24, ordinaire de FysitŤre" p.
192
Table des Chapitres
La Prťface. 3
I. Chapitre De l'enfant qui bande. 5
II. Chap. Du con soyeux. 8
III. Chap. De la mŤre foutue! 11
IV. Chap. D'un autre beau-frŤre cocu. 14
V. Chap. Du bon mari spartiate. 18
VI. Chap. De l'ťpouse qui se fait enculer. 20
VII. Chap. Du connin au poil follet. 25
VIII. Chap. Des conditions de mariage. 28
IX. Chap. Des dťdommagements. 31
X. Chap. De l'inf‚me mari. 33
XI. Chap. Pucelage destinť aux gros vits, pris par un petit.
39
XII. Chap. Du plus dťlicieux des incestes. 41
XIII. Chap. Du con et du cul vendus. 46
XIV. Chap. Le jeune homme, la fille, le moine. 51
XV. Chap. Du fouteur ŗ la Justine. 54
XVI. Chap. Foutoir. Petit magasin. Enserrement. Amour. 58
XVII. Chap. Du pucelage du cul. Le pŤre enconneur. 63
XVIII. Chap. Des avis paternels, tenant sa fille enconnťe. 67
XIX. Chap. Du pŤre juste, et du vit grisonnant. 70
XX. Chap. Du, Ah, comme elle fut foutue! 74
XXI. Chap. Du ressouvenir, et de l'ťpisode. 80
XXII. Chap. De la fouteuse mise en appťtit. 83
XXIII. Chap. De la tendresse filiale; et de l'amour paternel.
86
XXIV. Chap. Du chef-d'oeuvre de tendresse paternelle. 91
XXV. Chap. Du bon pŤre qui fait foutre sa fille. 93
XXVI. Chap. d'AVIS trŤs utile au lecteur, et ŗ l'auteur. 98
XXVII. Chap. Du commencement des grandes fouteries. 101
XXVIII. Chap. De l'enculo-connillerie. 106
XXIX. Chap. D'une nouvelle actrice. Danse nŤgre. 112
XXX. Chap. Le Piochť, la Piochťe, le Piochard. 116
XXXI. Chap. Suite des mÍmes, Piochette. 119
XXXII. Chap. Du connin goŻtť. 122
XXXIII. Chap. La fouteuse sensťe. 130
XXXIV. Histoire de l'homme-ŗ-queue. 134
XXXV. Chap. de la garce insatiable. 144
XXXVI. Chap. Des fouteries de la Conveloutť, etc. 174
XXXVII. Chap. Des six fouteurs pour trois foutues. 185
XXXVIII. Chap. Conclusion de l'histoire des trois foutues. 191
XXXIX. Chap. Du fauteuil. 207
Fin de la table de la 1re partie.
EPILOGUE de la Ire PARTIE.
J'ai longtemps hťsitť si je publierais cet ouvrage posthume du
trop fameux avocat Linguet. Tout considťrť, le casement dťjŗ
commencť, j'ai rťsolu de ne tirer que quelques exemplaires,
pour mettre deux ou trois amis ťclairťs, et autant de femmes
d'esprit, ŗ portťe de juger sainement de son effet, et s'il ne
fera pas autant de mal que l'oeuvre infernale ŗ laquelle on
veut le faire servir de contrepoison! Je ne suis pas assez
dťpourvu de sens pour ne pas sentir que l'ANTI-JUSTINE est un
poison: mais ce n'est pas lŗ ce dont il s'agit. Sera-ce le
contrepoison de la fatale JUSTINE? Voilŗ ce que je veux
consulter, ŗ des hommes, ŗ des femmes dťsintťressťs, qui
jugeront de l'effet que le livre imprimť produira sur eux et
sur elles. L'auteur a prťtendu ťloigner de la cruautť, de la
soif du sang et de la mort de la femme possťdťes. A-t-il
rťussi? Il a prťtendu ranimer les maris blasťs, pour les faire
jouir de leurs femmes avec goŻt, ŗ l'aide de la lecture d'un
demi-chapitre de son ouvrage. A-t-il atteint ce but? C'est ce
qu'on dťcidera.
On a vu, par la table seule, combien cet ouvrage est salace!
mais il le fallait pour produire l'effet attendu. Jugez-le,
mes amis, et craignez de m'induire en erreur!
L'ANTI-JUSTINE aura VII ou VIII parties comme celle-ci.
FIN de la 1re partie.
L'ANTI-JUSTINE,
OU
LES DELICES DE L'AMOUR
Par M. LINGUET, Av. au et en Parlem.
Avec Figures.
[Seconde Partie.]
AU PALAIS-ROYAL
Chez feue la Veuve GIROUARD, trŤs-connue.
1798
Je suis parvenu au second volume de cet ouvrage, destinť ŗ
ranimer les maris blasťs, auxquels leurs femmes n'inspirent
plus rien. Tel est le but des nequices de cette excellente
production! que le nom de Linguet rendra immortelle.
L'ANTI-JUSTINE.
Chapitre XXXIX Du fauteuil.
Le dimanche arrivť, il y eut un joli dÓner, qui fut servi dans
mon magasin. J'y avais fait mettre, outre le lit et le vieux
sofa, un 3me foutoir commode, que j'avais trouvť par hasard
chez un serrurier de la rue de la Parcheminerie, qui l'avait
achetť pour le fer et l'acier seulement, ŗ l'inventaire de
certain duc. J'en fis l'histoire ŗ ma sociťtť:
"Ce fauteuil, ou foutoir, se monte. Le serrurier le monta un
jour, pour en voir le mťcanisme. Il allait s'y asseoir, au
1er. La jeune femme trŤs potelťe de son vieux voisin Aupetit,
le perruquier, arriva. La jolie voisine, essoufflťe, se jeta
sur le diable de fauteuil. AussitŰt elle fut saisie par les
bras. Un ressort la troussa, et un autre lui ťcarta les
cuisses. Un autre lui fit faire beau con; un troisiŤme la fit
osciller.
-- Eh! qu'est-ce donc que ce machin-lŗ? s'ťcriait-elle.
-- Ma bonne foi si je le savais! rťpondit le serrurier; j'ai
montť la machine pour la connaÓtre; mais je vois que c'est
celle avec laquelle le duc de Fronsac essayait les filles
rťcalcitrantes, que des parents maladroits lui avaient
vendues. Si vous voulez, ma voisine, je vais vous essayer?
-- Allons donc! Est-ce qu'on viole jamais une femme malgrť
elle? Je mordrais...
L'homme-de-forge se dťculotte; se met sur elle. La
traquenardťe veut le mordre. Un ressort assez doux lui fait
ouvrir la bouche, et, en l'angoissant un peu, la force ŗ
darder sa langue. Le suppŰt de Vulcain profite de tout cela,
et enfile la perruquiŤre, qui ne put l'empÍcher, ni mÍme
crier... L'opťration faite, la machine se trouva au bout de
ses rouleaux, et Mme Aupetit ne fut plus contenue. C'est alors
qu'elle se mit ŗ pleurasser, ŗ criasser, comme si elle avait
ťtť au dťsespoir.
-- Grand'bÍte! (lui dit le Cyclope) je vous ai trop bien opťrťe
pour que vous ne deveniez pas grosse; vous aurez un enfant,
que votre vieux jean-foutre ne vous aurait jamais fait. Mais
il faut un peu de ruse. DŤs aujourd'hui dites-lui que vous
achevez une neuvaine ŗ Saint Julien, qu'il vous travaille Á'te
nuit, et que le Saint bťnira ses travaux. Remuez du cul, quand
il vous le mettra; dites-lui des foutaises, et, s'il
dťchargeote un peu, p‚mez-vous, en disant qu'il vous inonde.
Mme Aupetit s'en alla munie de ces instructions, qu'elle mit
en pratique. Le fauteuil me fut prÍtť le lendemain.
Le Cyclope, m'ayant vu passer, m'appela, me montra la machine,
me la vanta, et me mit au fait de son usage. Elle me fut
donnťe ŗ l'essai, et je la destinai aux bťgueules, s'il nous
en venait ŗ nos orgies. Je remis ŗ monter la machine quand il
serait ŗ-propos, afin de ne pas en ťventer le secret. Nous
nous y assÓmes trois en dÓnant, Mme Poilsoyeux, une jolie
chapeliŤre de la rue Bordet ou Bordel, amenťe par Traitdamour,
et nommťe Tendrelys; j'ťtais au milieu. In petto je rťservais
le fauteuil montť ŗ la jolie Tendrelys, encore pucelle,
quoique Traitdamour lui eŻt quelquefois dťchargť entre
cuisses; ou, si la chapeliŤre ťtait docile, ŗ Rosemauve, ou ŗ
sa soeur Rosalbe la blonde, ou enfin ŗ notre hŰtesse Mme
Brideconnin, que je voulais mettre de nos fÍtes, ainsi que son
mari, voulant le faire cocu en sa prťsence... Nous dÓn‚mes
bien, mais sans trop manger, ni trop boire. Nous avions
d'ailleurs de la volaille, et toutes choses de facile
digestion. On ne tardera pas ŗ voir comment j'exťcuterai tous
mes projets.
Chapitre XL Des cons rasťs.
En sortant de table, Traitdamour nous dit:
-- Toute la semaine, il m'a roulť dans la tÍte de rendre le
connin de Mme Conquette-Ingťnue-Poilsoyeux ce qu'il doit Ítre;
c'est-ŗ-dire, PUCEL; car je suis sŻr que depuis huit jours
qu'elle n'a foutu, il s'est rťtrťci en diable!... Brisemote,
Cordaboyau, vits implacables, troussez-moi Minone et Conette;
il ne serait pas sťant qu'elles se troussassent elles-mÍmes.
On les troussa jusqu'au-dessus du nombril. Pas un poil!
-- Je les ai rasťes ce matin (dit Traitdamour), pour voir
l'effet, avant de proposer la mÍme chose ŗ notre dťesse. Vous
voyez comme elles sont propres! Tout le corps l'est de mÍme.
Elles se sont baignťes tous les jours depuis qu'elles savent
que la belle fouteuse met tous les jours son con dans l'onde
limpide et y plonge entier son corps appťtissant. Elles m'ont
assurť que, lorsqu'elles ťtaient en chaleur, l'eau fraÓche
dans laquelle trempaient leurs cons brŻlants, leur donnait un
plaisir presque fouteur... Mais voyez-moi ces cons-lŗ? Ne
dirait-on pas des connins de fillettes de 12 ŗ 13 ans?
On en convint.
En consťquence, je priai ma fille de se laisser raser la
motte. Elle se cacha le visage dans mon sein. Traitdamour
aussitŰt la renversa sur un foutoir, le con au grand jour.
-- C'est pourtant dommage! (dit-il en le maniotant); la
perruque en est superbe!... Je vais d'abord employer les
ciseaux. Nous mettrons ce poil soyeux sous verre dans un cadre
dorť; ce seront de prťcieuses reliques.
Il coupa. Ensuite il tira d'une jolie boÓte une savonnette
parfumťe, et savonna longtemps le connin. Comme cette
opťration excitait Conquette, elle me pria d'appuyer mes
lŤvres sur sa bouche. Elle me dardota sa langue, pendant tout
le temps qu'on fit la barbe ŗ son con, et lorsqu'il fut rasť,
on le lui lava d'eau-rose; on lui sťcha les cuisses avec des
linges doux, et Tendrelys mit le beau poil de la dťpouille
sous le verre ŗ cadre. Puis le connin sans barbe fut livrť ŗ
l'admiration de l'assemblťe. Tout le monde, surtout les
filles, jusqu'ŗ la modeste Tendrelys, qui, disait-elle,
n'ťtait venue que pour voir, et rougissait de tout, le
trouvaient si appťtissant qu'elles demandŤrent ŗ le baiser, et
qu'elles se jetŤrent dessus. La jolie chapeliŤre colla ses
lŤvres vermeilles sur le con rasť, et sa langue alla dans la
fente exciter la voluptť. Rosemauve, qui arrivait, vint sur
elle comme une enragťe, la dťbusqua, et gamahucha si vivement
la dťesse qu'elles ťmirent toutes deux. Les hommes eurent leur
tour; ils sucŤrent le connŰt dťchargeant, et le firent
dťcharger encore... Pour moi, j'admirais, les deux mains
plongťes dans les tťtins de Tendrelys, qui les avait
charmants, et n'osait se dťfendre.
-- Ah! quelle partie! me dit-elle.
-- Tu ne vois rien! lui rťpondit Minone.
En effet, Traitdamour, ayant fait retirer les gamahucheurs du
con de Conquette-Ingťnue, qu'ils ne quittaient pas, dit ŗ ses
camarades:
-- Imitez-moi!
AussitŰt tous les vits en ťrection furent ŗ l'air.
-- Allons! allons! au con! au con!
Tendrelys baissait ses beaux yeux; mais Conquette, ťtendue sur
le foutoir, la motte lťgŤrement branlťe par Rosemauve,
soulevait la tÍte pour voir les vits.
-- Laquelle enconnez-vous (me dit mon vigoureux secrťtaire),
laquelle enconnez-vous de la voluptueuse Conquette, de moi, ou
de la pucelle Tendrelys?
J'hťsitais pour ma rťponse, lorsque tout ŗ coup j'entendis ma
fille s'ťcrier faiblement:
-- Le vit! le vit!
Traitdamour se prťcipita sous elle, la prit sur son dos, me la
prťsentant oscillante:
-- Enconnez (me dit-il), la fouteuse fait beau con...
J'enfonÁai. Je bandais si roide que je la fis crier en la
perforant. Mais elle foutit aussitŰt, en me disant:
-- Bon... (haussant le cul), bon!... Ah! que tu bandes
bien!.... Fous... fou----fourgonne... Fou----fourrage, cher
pap... je dťch----a----a---- (Traitdamour la secouait) arge...
Je dťchargeais aussi. Son dťlicieux connin me pinÁait. La
dťesse m'enivrait. Traitdamour la faisait osciller, comme le
Corax de Pťtrone son maÓtre Eumolpe... Cependant Brisemote
avait mis sur son dos Rosemauve nue, que foutait Cordaboyau
sans chemise. Les 2 petites enragťes Minone et Conette, nues
comme la main, venaient de mettre Tendrelys nue comme elles,
et la tenaient entre elles, se frottant le con sur ses cuisses
d'alb‚tre, en lui chatouillant l'une la motte, l'autre le trou
du cul. Elles dťchargŤrent toutes trois avec les 2 foutues:
"Grand Dieu! s'ťcria la jolie chapeliŤre, comme vous savez
Ítre heureux"!
Chapitre XLI Vit inattendu.
En ce moment, l'on entendit frapper des mains ŗ la porte.
(C'ťtait un signal que j'avais donnť.) J'avais dťconnť;
j'allai ouvrir. C'ťtait le Cyclope. Il ne devait pas entrer;
mais il me poussa un homme qui avait les yeux bandťs et les
mains liťes derriŤre le dos. Il ťtait couvert d'un grand
surtout de laine blanche, sous lequel il ťtait nu sans
chemise. Je le pris par le corps; je le poussai vers le
foutoir ŗ Fronsac, sur lequel Traitdamour jeta sa soeur; on le
monta, et, dŤs que l'enfant fut prise, on fit tomber sur elle,
en lui arrachant son couvre-tout, l'inconnu que je venais
d'introduire. Quand il fut nu, son gros vit ťpouvanta tout le
monde, et il se fit un Ah! universel. Conquette le reconnut,
et p‚lit. (Observez que tous pouvaient parler, exceptť
Conquette et moi.) Minone (la traquenardťe) fut la seule que
ce vit, qui ne le cťdait qu'ŗ Foutamort, n'effraya pas. Elle
le saisit courageusement, et lui mit la tÍte entre les lŤvres
de son con, en lui disant:
-- Pousse, bougre.
Il estocada, comme un bťlier de siŤge. Mais il ne pťnťtrait
pas.
-- SoulŤve du cul, putain! lui dit le brutal; je suis trop
haut.
Minone souleva, le vit trouva l'ouverture; et, quoiqu'elle ne
fŻt que la moitiť de qu'il lui fallait, il la forÁa. Minone
souffrait le martyre. La sueur et les larmes sillonnaient ses
joues. Enfin, le gros vit, parvenu au fond, injecta son baume
de vie, et adoucit, en les onctuant, les parois dilacťrťes.
Minone, qui venait de clamer de douleur, s'exclama de plaisir:
-- Ahh! Ahh!... il m'inonde!... je fous... je dťcharge... je me
p‚me!
Et la jolie petite remuait du cul comme une garce, foutue par
un moine au bordel.
Nous ťtions d'abord tous stupťfaits d'admiration! Puis nous
band‚mes tous comme des enragťs. Brisemote le mit en levrette
ŗ Rosemauve; Cordaboyau enfila Conette par-devant; Traitdamour
consulta mes yeux, en me dťsignant Conquette ou Tendrelys: je
permis la premiŤre, ajoutant fort bas:
-- Il fout ta soeur; fous-moi sa femme.
-- C'est VitnŤgre!
Et il se jeta comme un furieux sur l'ťpouse du jean-foutre, si
brutalement enconnťe qu'elle en cria... Mais elle dťchargea
presque aussitŰt; ce qui changea sa douleur en plaisir.
-- Toute femme qui dťcharge comme Áa (balbutiait Traitdamour),
en la fourgonnant, est bonne; il n'y a que celles qui ne
dťchargent jamais, qui sont mťchantes.
Cependant VitnŤgre refoutait, sans dťconner, et Minone
redťchargeait; Rosemauve hennissait sous Brisemote; Conette
sous Cordaboyau; Tendrelys, ťmue, appuyťe sur mon ťpaule, me
prťsentait sa jolie bouche, et Conquette, martyrisťe par
Traitdamour, pleurant, culetant, ťmettant, criotant de douleur
et de voluptť, enviait encore les tourments de Minone. Son
fouteur me cria:
-- Sacredieu! pommadez donc... et dťpucelez-moi... cette garce
de Tendrelys!
L'aimable enfant me lanÁa un long regard, en se mettant la
main devant le con, comme pour le dťfendre. Nous avions lŗ du
beurre frais; j'onctuai le connin, renversai la vierge sur un
foutoir, malgrť ses tendres priŤres, et mon vit pťnťtra.
-- Au moins, me disait-elle, en le sentant entrer, vous ne me
livrerez pas au bourreau de Minone, ni ŗ ces au...tres-lŗ!...
-- Remue du cul, bougresse! (lui cria l'impitoyable
Traitdamour) Est-ce comme Áa qu'on fout? Regarde ma belle, et
ces... 3 autres... garces!... Tiens... putain... pucelle...
nous dť...char...geons!...
La pauvre petite, ŗ cette exhortation ťnergique, gigota sous
moi comme elle put. Je pťnťtrais doucement; je caressais,
dardotant la langue, disotant des tendresses...
-- Vous la menez trop bellement (s'ťcria Traitdamour),
fourragez comme moi, ou comme ce cocu, que voilŗ sur le
fauteuil!... Tenez! il mord les tťtons qu'il ne saurait
patiner!... Ne va pas lui faire trop de mal, bougre! c'est...
ma soeur, et... je t'assommerais... Je dť...charge...
-- Ah! qu'il me dťvore (s'ťcria Minone); pourvu qu'il... me
foute!... Je dťcha...arge...
-- Je fous!... je dťcha...arge! s'ťcria Rosemauve.
-- Je dťcharge!... cria Conette.
-- Ahhahah! fit Conquette...
Pour Tendrelys, dont j'atteignais le fond du connin, elle dit:
-- Ze suis dťpucelťe! ze dťÁarze!... Que dira maman?
-- Elle ne le verra pas, jolie fouteuse. Le vit de mon maÓtre
conserve les pucelages (cria Traitdamour).
En ce moment, VitnŤgre dťconna Minone trop fatiguťe. On lui
pommada Rosemauve, que Brisemote dťconnait (car les tourments
de la courageuse Minone avaient ťpouvantť toutes nos belles.
Le vit de mulet l'enconna plus vite; mais elle n'en souffrit
pas moins: Elle pleura, sanglota, et enfin... dťchargea....
Elle fut ramonťe 3 fois sans dťconner. Minone l'avait ťtť
quatre.
C'ťtait le tour de Conette. Elle fut pommadťe avec plus de
soin que Rosemauve; et cependant elle jeta les hauts cris. Si
elle n'avait pas ťtť sur le Fronsac, elle aurait dťsarÁonnť
son bourreau... Elle dťchargea enfin, et les plaisirs
succťdŤrent. Mais on ne s'attendait pas ŗ l'effet qu'ils
produisirent!
C'est que Mme Poilsoyeux eut envie du gros vit de son mari.
Elle demanda tout bas et voulait qu'on la mÓt sur le Fronsac,
au moment oý VitnŤgre dťconna la Conette, quoique celle-ci eŻt
le con aussi barbouillť de sang que de foutre. Mais
Traitdamour, la happant, la renversant et l'enconnant, lui dit
tout bas:
-- Garce! je suis jaloux de toi pour mon maÓtre et pour moi; je
t'ťtranglerais plutŰt que de te laisser foutre par ton cocu de
mari en ma prťsence.
-- Pardon! Vit divin! leurs douleurs m'ont tentťe! Fourgonne-moi,
ŗ m'en Űter l'envie! Car je ne compte plus que sur toi;
voilŗ M. Linguet qui donne son fou...outre... je
dťcha...arge... ŗ la... sacrťe ma...‚tine... de Tendrelys...
-- Ah! reine des putains, tu es jalouse! Tiens, tiens, voilŗ
des coups de vit dans ton connin-dieu... Ahh!... Ahh!... ze
redťza...arze! murmura-t-elle...
Cependant, que faisait VitnŤgre? Il prenait du repos et
quelques liqueurs brŻlantes, tout en patinant les tťtons de
ses 3 foutues, qui le branlaient pour s'amuser. Tout ŗ coup
Mlle Linguet dit ŗ son foutant: "Mais ce bougre est un autre
Guae! il faut qu'il me restaure! Qu'on lui lave bien le vit ŗ
l'eau-rose; je veux le tťter, comme faisait Mme Guae le gros
vit de son mari! Nous ne pouvions nous refuser ŗ une
proposition aussi raisonnable. On lava le vit monstrueux; deux
des trois garces soutinrent VitnŤgre de chaque cŰtť, en lui
livrant leurs tťtons; Rosemauve lui chatouilla les couilles et
le trou du cul; Traitdamour se coucha par terre sur le dos
sous ma fille ŗ genoux qu'il enconna; Mlle Linguet baisa 5 ŗ 6
fois le gros vit, tout en ripostant aux saccades de son
fouteur. PrÍte ŗ dťcharger, elle emboucha, faisant aller et
venir l'ťnorme vit du bord de ses lŤvres de corail, au fond de
son gosier satinť. En dťchargeant, elle mordit... Telle la
voluptueuse femelle du serpent gťant ťcrase dans sa gueule la
tÍte de son m‚le trop amoureux... VitnŤgre, mordu, se rťcria
de voluptť! Il ťmit un torrent, quoiqu'il eŻt dťjŗ foutu 9
coups, et Mlle Linguet fut inondťe de foutre au mÍme instant
dans la bouche et dans le con... Elle voulut tťter 3 fois
VitnŤgre, que les 3 garces qui le chatouillaient, secouaient
tellement qu'il rebandait aussitŰt. D'ailleurs, il s'ťcriait ŗ
tout moment:
-- Ma Femme n'est pas morte! c'est elle que j'embouche; je le
sens au veloutť de son palais!...
Et cette idťe le faisait dťcharger ŗ flots... Mlle Linguet fut
obligťe de cesser ce jeu, dans lequel on voulait faire expirer
VitnŤgre; mais Mlle Conquette-Linguet avait sucť le double vit
avec tant de fureur qu'elle avait la bouche tout en feu... On
obligea VitnŤgre d'enculer ses 3 foutues; ce qui lui fit 15
copieuses dťcharges, parce que les belles de relais lui
manipulaient impitoyablement les couilles... Les excessives
douleurs de l'enculage n'en effrayŤrent aucune; au contraire,
les tourments de la patiente excitaient leur passion, et elles
la pinÁaient pour la forcer ŗ s'agiter, et ŗ faciliter ainsi
l'intromission du gros vit dans son cul.
VitnŤgre n'en pouvait plus. Ce fut prťcisťment ce qui excita
Mlle Linguet. Elle exigea de nous qu'il dťcharge‚t une 16Ťme
fois, et que ce fŻt dans son cul, ŗ elle! Traitdamour se vit
obligť de cťder. On manipula VitnŤgre, on lui chatouilla les
couilles; on l'assura qu'il allait enculer Mlle Linguet sa
femme. A ce nom, il ťrectionna. On lui fit sucer les tťtons de
Rosemauve, comme ceux de Conquette. Il banda roide. AussitŰt
on coucha l'enculande sur le ventre; on lui beurra la rosette,
puis le rectum avec une grosse canule; Tendrelys prit
dťlicatement le gros vit avec ses doigts de rose pour le
diriger dans l'anus, tandis que Minone et Conette ťcartaient
chacune une fesse. Rosemauve, prÍte ŗ manipuler les couilles,
frayait avec son doigt beurrť l'entrťe du vit-monstre dans le
cul de la patiente... Enfin, il pťnťtra, en dťchirant... Mme
VitnŤgre poussait des cris sourds, que son mari crut
reconnaÓtre. Ce qui lui fit redoubler ses estocades. Alors
l'enculťe jeta un cri... qui logea le monstre tout entier dans
son gros boyau... VitnŤgre, ne doutant presque plus, y
fourgonnait avec rage... Il ne dťcula pas aprŤs avoir
dťchargť; Rosemauve lui chatouillait les couilles, l'anus, et
s'appuyant du con sur son cul, foutait avec lui, en poussant ŗ
chaque fois... VitnŤgre dťchargea 3 ondťes de foutre dans les
boyaux de sa femme; ce qui faisait 18 pour la sťance. Il tomba
en faiblesse ŗ la derniŤre...
On le tira du cul de Mlle Linguet, qui alla se le mettre dans
l'eau fraÓche, pour se le raffermir. On jeta VitnŤgre dans une
auge d'eau de puits qui ťtait dans la cour, pour lui faire
reprendre ses sens. Le Cyclope parut. On porta VitnŤgre dans
son fiacre. Il le remena.
-- Sais-tu qui j'ai foutu (lui disait-il en route) dans ton
sacrť Fronsac?... Ah! comme elle fout!... Elle a bien appris,
depuis qu'elle m'a quittť!... Je l'ai foutue 16 fois, tant en
con, qu'en bouche et en cul...
Le serrurier, aprŤs avoir remis VitnŤgre ŗ sa filleule,
s'ťvada.
VitnŤgre rencontra le serrurier quelques mois aprŤs.
-- Veux-tu m'y remener? lui dit-il.
-- C'est l'impossible, rťpondit le Cyclope; tout est disparu.
-- Ah! la garce! si je la retenais, je passerais le reste de ma
vie dans son cul et dans son con.
Ainsi finit cette aventure.
Chapitre XLII La jalousie de deux connins.
Nous restions tous sept ťmerveillťs des 16
enconnades-embouchades-enculades de VitnŤgre! quand Traitdamour,
regardant la jolie chapeliŤre, nue comme toutes les autres,
lui dit:
-- Te voilŗ dťpucelťe, mignonne, et mon divin maÓtre a cueilli
ta rose! C'est un grand honneur et bonheur ŗ toi et ŗ moi! Je
te regarde ŗ prťsent comme les dťvots regardent leur Vierge
Marie, qui, foutue par l'ange Gabriel, puis par le
Saint-Esprit, dont elle fut la putain, n'en ťtait que plus vierge.
Te voilŗ consacrťe au vit de mon maÓtre; conserve-lui
religieusement ton connin, ou ne le prÍte qu'avec sa
permission... A prťsent, cťleste mignonne, votre jolie motte
va Ítre savonnťe et rasťe!
Tendrelys objecta sa mŤre, qui toutes les nuits lui visitait
le con pour voir si l'on ne touchait pas ŗ son pucelage, dťjŗ
vendu, et qu'on devait bientŰt livrer.
-- Je m'en fous, dťesse, rťpondit Traitdamour, en me voyant
monter le Fronsac; on lui dira tout.
Et il la poussa sur le fauteuil, qui l'ťtreignit. Il la
savonna, et prťpara son rasoir.
En ce moment, arriva Mlle Conquette-Ingťnue-Linguet, qui
venait de se laver le cul ŗ l'eau de puits, pour se le
raffermir.
-- On va donc aussi raser le con de mademoiselle? (dit-elle
avec un peu d'humeur)
-- Ah! ma belle dťesse! empÍchez-en, ŗ cause de maman, qui ne
saura ce que Áa veut dire! s'ťcria Tendrelys suppliante, en
lui baisant une main, qu'elle ťtait parvenue ŗ saisir.
-- Non, mademoiselle, je ne m'y opposerai pas! Votre con rasť
laissera mieux voir ŗ votre maman que mon infidŤle vous a
dťflorťe... Nous verrons aussi, aprŤs qu'on lui aura enlevť
cette charmante perruque, si votre bijou, mademoiselle,
l'emporte sur le mien, tout fatiguť qu'il est!
-- Ah! mon adorable amie! il n'est pas besoin de cela. Rien ne
vous ťgaler.
-- Allons, monsieur, rasez donc! Et je crois bien qu'aprŤs, mon
infidŤle amant qui a dťpucelť cette jolie conque vous
permettra bien de vous y loger!
Traitdamour, tout en coupant la belle Toison-d'Or,
reprťsentait ŗ Conquette-Ingťnue que tous les pucelages
m'ťtaient dťvolus, et que j'ťtais obligť en conscience de les
prendre, sous peine de mortifier la nťophyte. Conquette ne
savait que rťpondre; mais elle bouda. Je m'approchai d'elle,
et, comme elle ťtait nue, je lui baisai les tťtons, et lui mit
mon vit en main.
-- Vous aimeriez mieux qu'il fŻt entre les jolis doigts de
Tendrelys!
-- Non. Personne ne me fait bander comme vous; mais, aprŤs
vous, Tendrelys. On lui rase la motte; il le faut bien, pour
comparer vos cons cťlestes, abstraction faite de la fatigue du
vŰtre. On les gamahuchera d'abord. Ensuite je verrai auquel
des deux mon vit-sultan donnera le mouchoir. Le mieux
rempucelť l'obtiendra.
Mlle Conquette fit une petite grimace de jolie femme sŻre
d'elle-mÍme, et se tŻt. Le rasemotte acheva. Le connin de
Tendrelys fut lavť ŗ l'eau-rose; Mlle Linguet fit rafraÓchir
le sien, et les deux cons furent comparťs... Ils furent
dťsintťressťment trouvťs ťgaux. Ce qui ťtait bien donner la
supťrioritť au connin de la belle Conquette, dťjŗ tant
foutue... Ce fut l'avis gťnťral. Rosemauve, Minone vinrent se
comparer. Mais leurs cons ťtaient loin d'avoir cette
physionomie virginale de ceux de ma fille et de Tendrelys.
-- Vos cons sont aimables (leur dit Traitdamour), cent fois
au-dessus des connasses de putains; mais ils ne peuvent se
comparer ŗ ces deux connins de houris.
Conquette se pavana. Mais, gťnťreuse comme elle l'ťtait, elle
prit vite son parti.
-- Puisque nos cons sont ťgaux, me dit-elle, en baisant
Tendrelys sur la bouche, lui patinant le con, redťpucelez-la,
et que votre lieutenant me refoute, s'il en a la force.
Elle n'avait pas achevť la derniŤre syllabe, qu'elle ťtait
enconnťe.
-- Fous-la! me cria-t-elle, fous la garce!
J'enfilai la jolie nymphe... Mais, prÍte ŗ dťcharger, Mlle
Conquette-Ingťnue entra en fureur ťrotique (et je compris par
lŗ comment les hťros de Dsds, sur le point d'ťmettre,
deviennent cruels); l'enconnťe s'ťcriait:
-- Foutez-moi tous cette putain de Tendrelys!... Brisemote! ne
fais qu'un trou de son cul et de son con!...
Elle dťchargea; et, un peu calmťe, elle se mit ŗ dire:
-- Pardon! pardon, ma petite soeur!... c'est le foutre... qui me
portait ŗ la tÍte, et me rendait cruelle!... Qu'on lui
conserve son joli con... toujours pucel... pour les plaisirs
de mon... papa-fouteur... c'est bien assez.. du mien qui
est... martyrisť!... Allons pousse... fous... ne me mťnage
plus! (dit-elle ŗ son bourreau)... Et elle se mit ŗ
coupdeculer plus fort que jamais. Ce qui fit re-enconner
Rosemauve et Conette, dont les culs ťtaient moins malades que
celui de Minone: Cette bonne soeur de Traitdamour vint me
chatouiller les couilles, et j'ťmis.
Chapitre XLIII Minone et Conette jadis dťpucelťes. Vieille.
Cette scŤne achevťe, il y eut du repos. Nous avions lťgŤrement
dÓnť, exprŤs pour faire collation. Nous mange‚mes des fraises
au vin muscat, avec des pains mollets du Pont-Michel. Puis
nous prÓmes d'excellent cafť, fait par Traitdamour, et nous
goŻt‚mes aux liqueurs. Ensuite, nous jas‚mes...
-- Mon ami (me dit Conquette-Ingťnue, en montrant Minone et
Conette), vous avez eu ces deux jolies compagnes, ainsi que
Rosemauve, et vous venez de dťpuceler Tendrelys sous nos yeux:
Faites-nous le rťcit de votre premiŤre fois, et dites-nous
comment vous les avez sťduites?
-- Ah! oui, oui! s'ťcriŤrent Tendrelys, Rosemauve, et tout le
monde.
-- Je ferai ce rťcit trŤs volontiers; mais ŗ condition qu'on
ira chercher Mme Brideconnin notre hŰtesse, pour qu'elle y
assiste: Nous commencerons ŗ l'apprivoiser par lŗ!
Mes trois sacripants, pour qui elle ťtait un morceau nouveau,
ne demandŤrent pas mieux. Ils l'enlevŤrent ŗ son mari, qui, en
ce moment, lui tenait les tťtons; sans mÍme daigner lui
rťpondre, l'assirent ŗ cru sur les mains jointes de deux,
tandis que le 3Ťme la soutenait par-derriŤre, et l'apportŤrent
ainsi moitiť troussťe et dťtťtonnťe. On la posa sur le
Fronsac, et, si je n'en avais empÍchť, on lui faisait une
histoire, au lieu d'ťcouter la mienne. Lorsque tout fut
tranquille, je commenÁai:
Je m'ťtais mis en pension chez la belle-mŤre de Traitdamour,
blanchisseuse, rue d'Ablon, pendant que ma femme courait la
province avec un galant; le mÍme qui la foutait avec tant de
passion qu'il se mettait dans sa chemise pour la palper et
l'enconner mieux. Traitdamour m'apportait ŗ dÓner les jours
ouvrables; mais j'allais dÓner ŗ la maison de la bonne mŤre
Wallon les dimanches et fÍtes. Un jour que nous y allions
ensemble, il me pria de montrer ŗ ťcrire ŗ sa petite soeur! Je
le voulus bien. En montrant ŗ Minone, j'avais souvent sous les
yeux ses tťtons naissants, blancs comme lys...
[Faites entrer mon mari; je suis bien aise qu'il ait sa part
de cette histoire-lŗ! interrompit la Brideconnin. AussitŰt
Traitdamour, sur un signe de mes yeux, l'alla chercher; tandis
que, sur un autre signe, Brisemote et Cordaboyau prirent l'un
la motte, l'autre les tťtons de la dame. Elle ťtait ainsi
rayonnante, entre deux m‚les, quand son mari parut.
Brideconnin fut d'abord ťbaubi; puis il n'en fit ni un ni
deux, il alla s'emparer du con de Rosemauve, et des tťtons de
Conette; Traitdamour prit le con et les tťtons de sa soeur.
Quant ŗ moi, je fis asseoir Conquette et Tendrelys l'une sur
l'autre entre mes jambes, laissant de temps en temps tomber
mes mains sur la gorge de ma fille, ou de sa jolie rivale...
Je repris:]
Je dis ŗ Traitdamour, en particulier:
-- Il ne faut plus que je montre ŗ la petite; elle me fait trop
bander, et je la foutrais au premier jour.
-- Ah! mon cher maÓtre! quel bonheur pour elle et pour moi, si
vous la dťpuceliez! La pauvre orpheline! elle n'a aucun
plaisir! (c'est que leur mŤre ťtait morte, et que le pŤre,
remariť ŗ une bonne amie de feu son ťpouse, ŗ l'instante
priŤre de celle-ci, avait mourant lui-mÍme, laissť pour
belle-mŤre aux deux orphelins la bonne amie de leur tendre mŤre)
Je rťpondis que cela ťtait bien difficile!... que la petite
soeur parlerait.
-- Non, je vous en rťponds. Minone a dťjŗ des dťsirs pour vous.
Elle m'a dit qu'elle aimait bien quand vous lui touchiez la
chose par-dessus la jupe.
Ce discours m'enhardit.
Un dimanche que j'ťtais seul avec Minone, ŗ la faire ťcrire,
je ne pus rťsister ŗ l'envie de lui baiser sa jolie bouche;
puis un tťtin; et de lŗ ma main descendit rapidement ŗ son
connichon sans poil. J'ťprouvai une ťrection terrible! Mon vit
me gÍnait. Je me dťboutonnai. Il s'ťlanÁa au dehors.
-- Qu'est-ce que c'est que Áa? me dit la petite.
-- Un vit, mon enfant.
-- A quoi cela sert-il?
-- A mettre dans un con.
-- Mais j'ai un connin, ŗ ce que dit mon frŤre, et ma
belle-mŤre a une connasse. Depuis qu'il est grand, et qu'il a ce
qu'il nomme du foutre, il met son engin dans la connasse de ma
belle-mŤre, que Áa fait trťmousser et crioter... Il a voulu me
le fourrer, ŗ moi: mais j'ai le connin trop ťtroit, ou il a
l'engin trop gros: jamais il n'a pu... Ma belle-mŤre l'a
surpris, et elle l'a bien grondť! Il lui a dit: 'Allons,
foutez-nous la paix; venez que je vous enconne, vieille
truande: car je ne saurais m'en passer, en ce moment.' Et elle
s'est aussitŰt renversťe sur son lit, en se troussant; il l'a,
ce qu'il appelle foutue... Oh! comme elle gigotait! comme elle
jurait des b. et des f.! comme elle ťtait contente!... Et il
me disait: 'Vois, Minone, comme c'est bon! Comme la vieille
garce se dťmŤne, en supant le b‚ton de sucre d'orge...
Montre-moi ton petit connin, que je dťcharge ŗ ton intention....'
Ce rťcit de Minone acheva de me faire bander outre mesure. Je
demandai ŗ la petite, s'il y avait du beurre ŗ la maison? Elle
m'en donna. J'allais la beurrer, quand la belle-mŤre, bonne
femme au possible, rentra, ayant oubliť son ťventail. Elle vit
mon trouble, et la rougeur de la petite. Elle me dit:
-- Gage que vous allez la tourmenter?... «a n'est pas mŻre.
Venez.
La vieille m'entraÓna sur le pied de son lit, se troussa, me
tira sur elle, et m'engloutit, malgrť ma dťfense... Pour
sauver le pucelage de sa belle-fille, elle me retint une heure
ŗ connailler. Je ne dťchargeai cependant qu'une fois, contre
la vieille une dizaine; car je m'aperÁus qu'elle m'aimait.
Ensuite elle s'en alla, sans laver, en disant:
-- J'en marche mieux, la charniŤre graissťe.
DŤs qu'elle fut partie, je fis mettre Minone, qui avait tout
vu, ŗ la fenÍtre; je la troussai au-dessus des reins; je lui
beurrai le connin, et je rebandai roide. Je dis ŗ la petite,
en la commenÁant, de se cambrer la taille, pour mettre son
petit trou bien ŗ la portťe du vit qui l'allait percer! Elle
le prťsenta de son mieux. Avec des peines infinies, ŗ l'aide
des douloureuses oscillations de son joli cul, et parce que la
dťcharge ťtait retardťe par le dťgoŻt que m'avait causť le con
gris de la vieille, je parvins en levrette jusque au fond; car
je sentis sa cťleste petite matrice me pincer... L'enfant
s'agitait par mes ordres, mais sans dťcharger.
Son frŤre arriva dans ce moment. Il fut transportť de joie...
-- Ah! vous la dťpucelez! quel honneur et quel bonheur, pour
elle et pour moi!... Dťcharge-t-elle?... As-tu du plaisir, ma
petite soeur?
-- Elle ne dťcharge pas (rťpondis-je), la chŤre mignonne; elle
souffre; mais c'est avec un courage!... Vois ce
tortillonnement de croupion...
Traitdamour, touchť, glissa une main sous le ventre de la
petite, et lui chatouilla le haut de la fente de sa mottinette
imberbe... Les yeux de l'enfant se vitrŤrent; elle se roidit,
et, tournant sa jolie bouche de mon cŰtť, elle me darda sa
petite langue, dťchargea pour la premiŤre fois, et se p‚ma...
Je dťchargeai comme elle; je n'avais jamais eu tant de
plaisir...
Quand j'eus dťconnť, son frŤre me demanda, si j'en ťtais
jaloux?
-- Oui, de tout autre que de toi
-- Eh bien, votre foutre va servir de pommade ŗ son joli
connichet.
Cependant Minone voulut pisser. Son frŤre la renversa sur le
dos, au pied du lit, et l'enconna vigoureusement, malgrť la
grosseur de son membre. La petite cria.
-- Remue du cul, et dťcharge avec dťlices, pauvre orpheline,
lui disait-il, en la saccadant; tu es enconnťe avec amour.
La petite dťchargea 3 fois; mais elle n'en pouvait plus... Il
me lava, et je la re-enconnai... J'eus encore plus de plaisir,
parce que la petite avait acquis de l'usage et que le gros vit
de son frŤre avait frayť la route... Depuis ce jour-lŗ, nous
foutÓmes Minone tous les dimanches et fÍtes. La belle-mŤre
s'en aperÁut pour moi; mais elle ne dit mot.
Enfin un jour Traitdamour me demanda, si je voudrais aussi
montrer ŗ ťcrire ŗ Conette, sa maÓtresse pour le mariage,
depuis que la mŤre de Tendrelys, qui craignait un
dťpucellement, lui avait absolument Űtť toute espťrance.
-- Soit (lui rťpondis-je).
Je montrai donc ŗ Conette. Au bout de deux mois, cette jeune
fille ťtant un jour ŗ la fenÍtre, fort penchťe en-dehors, et
montrant une jambe fine, que mes yeux dťvoraient, Minone, qui
prenait son exemple d'ťcriture, le remarqua. Je lui tenais les
tťtins, et la priais de me prendre les couilles. Elle me
quitte; va vers ConnŤte; lui dit tout bas:
-- Laisse-toi faire...
la trousse; me mŤne sur elle; lui beurre le con et ŗ moi le
vit; lui dit:
-- Cambre-toi, ma fille...
Et ŗ moi:
-- Enfilez juste; vous voilŗ dedans...
Conette se cambra, et suivit toutes les indications de son
amie. De sorte que, quoique la pucelle fŻt trŤs ťtroite, je
pťnťtrais. Traitdamour arriva. Il nous fit Űter de la fenÍtre;
se coucha sur le ventre au pied du lit; fit ťtendre sa
maÓtresse sur son dos, cul sur cul. Il me dit d'enconner, le
vit dirigť par la main de sa soeur; et, ŗ chaque saccade que je
donnais, il me repoussait d'un coup de son cul le con de sa
maÓtresse, ŗ me faire avancer d'un pouce. Conette ťprouvait
des souffrances inouÔes... Mais, ťtant parvenu au fond, par un
violent coup de croupion de Traitdamour, qui ne donna plus que
de petits coups de trot de cheval, Conette clignota de l'oeil,
et bientŰt ťmit avec d'ineffables dťlices...
Je croyais que Traitdamour allait se jeter sur elle et
l'enconner tout chaud!
-- Non (me dit-il); c'est ma future; si j'avais le bonheur
qu'elle me fÓt un petit de vous, cela ennoblirait ma race.
Et il foutit sa soeur, pendant que je refoutais sa maÓtresse.
Aussi depuis ai-je partagť avec lui ce que j'avais de plus
prťcieux.
Chapitre XLIV Du bouquet de fouterie.
-- Il le mťrite! Il le mťrite! (s'ťcriŤrent tous les hommes, et
surtout Brideconnin, qui patinait ŗ deux mains le con de
Rosemauve, tandis que Brisemote et Cordaboyau maniaient l'un
le con, l'autre les tťtons de sa femme...)
Mon rťcit faisait bander tous mes drŰles comme des carmes,
malgrť les fatigues de la journťe. Les belles, mÍme celles
ťconnťes par VitnŤgre, ťtaient en rut.
-- Comme vous avez su les rendre aimables! (me dit Conquette,
en me dardant sa langue).
-- Ah oui! (ajouta Tendrelys, en me baisant de mÍme)....
En cet instant, Mme Brideconnin ťtait tiraillťe par Brisemote
et Cordaboyau, qui tous deux la voulaient enfiler ŗ la fois.
-- Je n'ai qu'un chose, mes chers amis! si j'en avais deux, ils
seraient bien ŗ votre service; mais l'un aprŤs l'autre...
Elle fut empalťe par tous deux, Cordaboyau en con, Brisemote
en cul. Brideconnin s'ťcrie:
-- On enconne, on encule ma femme! Moi, je fous celle-ci.
Et il renverse Rosemauve, qu'il empale. Traitdamour, le plus
furieux des ribauds, saisit Conquette. Je crus qu'il l'allait
enconner. Point! Il se coucha sur le dos, la tira sur son vit,
tenue par-dessous les bras par Conette et Minone; elle se
baissait avec lenteur sur le vit bandant dirigť par la main de
Tendrelys, Conquette s'enculant ainsi elle-mÍme par le seul
poids de son beau corps. Lorsque le gros vit fut enfoncť
jusqu'ŗ la garde, Traitdamour me dit:
-- Allons! le plus beau des cons vous appelle....
Je me prťcipitai dans le bijou de ma fille, la jolie Tendrelys
me dirigeant le vit. Mme Brideconnin, putain comme personne,
puisqu'ŗ cet instant, on lui bourrait les 2 trous, fit 3
signes de croix. On lui demanda ce qu'elle avait:
-- On me fout devant mon mari; mais je suis sur le fauteuil ŗ
ressort, qui m'empÍche de me dťfendre. Mon mari, voyant que je
le fais cocu, me fait cocuette; c'est dans l'ordre. Mais notre
maÓtre, fout... enconne sa fille enculťe!
-- Sa fille?... sa fille!... (s'ťcria-t-on 5 fois).
-- Oui, sa fille (balbutia Rosemauve, qui dťchargeait sous
Brideconnin). AprŤs?...
-- Ah! dirent les 4 fouteurs et les 4 fouteuses, ceci nous met
en rage de vit.... en rage de con... et nous foutrons jusqu'ŗ
extinction de forces.
Et les enconneurs, les enconnťes; les enculeurs, les enculťes,
s'agitaient ŗ qui mieux, dessus, dessous, comme des diables et
des diablesses dans un bťnitier. Tendrelys me chatouillait les
couilles et celles de Traitdamour; Minone celles de Brisemote
et de Cordaboyau; Conette celles de Brideconnin, et fourrait
son index dans le trou du cul de Rosemauve. Le fouteur, qui
n'ťtait pas accoutumť ŗ ce raffinement, se rťcriait de
voluptť:
-- Ah que vous foutez bien ici! (disait-il en dťchargeant). On
ne fait que connailler ailleurs.
-- Oh! vous avez bien raison, mon mari! (lui rťpondit sa femme
en dťchargeant aussi), oncques je ne fus ramonťe comme je le
suis en ce moment, par les deux vits qui vous plantent chacun
une corne; l'un dans mon con, l'autre dans mon cul.
Conquette, remarquant que j'allais mieux lorsque Tendrelys me
chatouillait les couilles, l'en remercia tendrement:
-- ChŤre amie!... ma main en fera... autant ŗ ton fouteur...
quand tu seras enconnťe... Et vous, ma chŤre hŰtesse, vous
Ítes donc bien foutue!...
Ce joli mot, foutue, avait tant de gr‚ces dans la belle bouche
de Conquette que je l'allais refourgonner, si Traitdamour, qui
la dťculait et qui allait laver, ne m'avait pas priť
instamment de la lui laisser enconner... Mais j'ťtais trop ťmu
pour rester spectateur; j'ordonnai ŗ Tendrelys de me faire
beau con! Minone et Conette la renversŤrent sur le dos et lui
ťcartŤrent les cuisses. Ma fille, avant d'Ítre enconnťe par
son fouteur, voulut insťrer mon vit; elle baisa la patiente
sur la bouche, en lui disant:
-- Tendrelys! remue du cul, et donne bien du plaisir ŗ mon
pŤre!
Et, comme elle avait remarquť que le mot foutue m'avait fait
beaucoup d'impression, dans sa bouche, elle s'ťcria, tout en
secondant son enconneur:
-- Fou...ou... outre!... Sacrť vit!... perce-moi... dťchire-moi
le connot!... mon pŤre! poignarde... estropie ta Tendrelys!...
ze dťcha... arge!...
-- Ah! cette femme si modeste, s'ťcria la Brideconnin, comme
elle fout!... Ce fut le bouquet. On alla souper.
Chapitre XLV Souper d'adieux; gr‚ces que dit Mme VitnŤgre.
On soupa. Les tťtons ťtaient couverts; les propos furent
dťcents.....
-- Mais, me dit Minone, on dit que vous avez eu 8 jolies femmes
connues, et on les nomme!
-- Oh! interrompit Conquette, ne faites plus lire de ces
histoires-lŗ. La journťe de voluptť est finie, et nous sommes
ŗ prťsent des personnes ordinaires.
-- Il faut donc les remettre, rťpondit Traitdamour, pour une
interruption de sťance.
Comme on se disposait ŗ sortir, et qu'il n'y avait plus de
danger de nous faire bandocher, on me pria d'exiger que nos 6
cons et nos 12 tťtons fussent mis ŗ l'air, et baisťs ŗ
discrťtion pour les adieux! J'y consentis. AussitŰt Conquette,
Tendrelys, Rosemauve, Minone, Conette et la Brideconnin,
furent dťfichutťes, troussťes et renversťes sur les foutoirs
par les 4 derniŤres, qui se dťfichutŤrent, se troussŤrent et
se renversŤrent elles-mÍmes. On leur lťcha le con; les 5
hommes sucŤrent les 12 tťtons. Les belles prirent,
dťcalottŤrent et baisŤrent les 5 vits, embouchŤrent seulement
le mien, en disant:
-- Vit incomparable... adieu... pour huit jours...
On allait sortir, quand on vit la belle ťpouse de VitnŤgre se
prosterner toute dťtťtonnťe, en s'ťcriant:
-- Sainte et jolie Vierge Marie; que PanthŤre branlait,
gamahuchait, enculait, entťtonnait, embouchait, et qu'il
enconna enfin, une nuit, ŗ cŰtť du cornard endormi, le bon
Saint Joseph; duquel cocufiage provint le doux Jťsus, ce bon
fouteur de la putain publique, la belle Madeleine, marquise de
Bťthanie, dont le vagabond Jťsus ťtait en outre le souteneur,
autrement le maquereau, lequel, au grand regret de la sainte
garce, enculait encore Saint Jean, son giton. Sainte et jolie
Marie, vierge comme moi, nous vous remercions de cette
heureuse journťe de fouterie. Faites-nous la gr‚ce, par les
mťrites de votre fils, d'en avoir une pareille dimanche
prochain!... Et vous, Sainte Madeleine, que foutait l'abbť
Jťsus, ainsi que Jean l'enculť, obtenez-moi la gr‚ce de foutre
autant que vous, soit en con, soit en cul, 15 ou 20 fois par
jour, sans Ítre ťpuisťe, mais toujours dťchargeant... Vous
foutiez avec des Pharisiens, avec Hťrode, et mÍme avec
Ponce-Pilate, pour avoir de quoi nourrir le gourgandin Jťsus, votre
greluchon, et les vagabonds qui lui servaient de Chouans.
Obtenez-moi de votre maquereau Jťsus, qui, ťtant dieu, a sans
doute quelque pouvoir, d'avoir, sous peu, ce riche
entreteneur, qui est un jour descendu de carrosse bandant ŗ
mon intention, comme je revenais de chez mon amie Mme
CongrÍlť; ŗ celle fin qu'au moyen de l'argent que je gagnerai,
ŗ votre imitation, avec mon con, mon cul, mes tťtons et ma
langue dardťe, je puisse soulager mon digne pŤre dans sa
vieillesse; non seulement en foutant avec lui, pour lui donner
le plaisir, mais en me laissant vendre, comme la pieuse fille
d'Eresictton le famťlique, ou la pieuse Ocyrhoť, fille du
centaure Chiron, qui toutes deux devinrent cavales, c'est-ŗ-dire
montures d'hommes ou saintes putains!... ModŤle des
maquereaux, doux Jťsus! fouteur acharnť, greluchon complaisant
de la brŻlante et exemplaire putain Madeleine, qui ťtait si
amoureuse de votre vit divin et de vos sacrťes couilles,
maintenez, par votre toute puissance, mon connin toujours
ťtroit et satinť, mes tťtons toujours fermes, ma peau, mon
cul, mes fesses, mes bras, mes mains, mon cou, mes ťpaules,
mon dos ou mes arriŤre-tťtons, toujours blancs, mes reins
toujours ťlastiques; les vits de mes amants, celui de mon pŤre
compris, toujours roides, leurs couilles toujours pleines; car
vous teniez en cela du saint roi David, si fort suivant le
coeur de Dieu, parce qu'il ťtait le premier fouteur de son
temps!... Faites, Ű Jťsus! que mes hauts talons, qui me
prÍtent tant de gr‚ces, et font bander tant de monde, ne me
donnent jamais de cors aux pieds, mais que ces pieds tentatifs
restent toujours foutatifs, comme ils le sont!... Amen!
-- Amen! s'ťcria toute la sociťtť, vits et cons.
Tout le monde sortit ťdifiť de la piťtť ťclairťe de ma fille,
et, en s'en allant, on disait:
-- Voilŗ ce qui s'appelle connaÓtre la vraie religion, et prier
Dieu comme il convient, en lui demandant des choses
raisonnables! Oh! c'est une fille exemplaire!
Chapitre XLVI PremiŤre nťgociation du con de ma fille.
Le surlendemain, quand je vis Conquette (que j'avais ťvitťe le
lundi), je la trouvai coiffťe en battant-l'oeil; ce qui, avec
ses grands yeux ŗ longs cils, la rendait charmante... Elle
avait des souliers de coutil de soie neufs, qu'elle essayait.
Je me jetai ŗ ses genoux, en lui disant:
-- Conquette, ton pied est le mieux fait possible, mais il est
un peu grand, et ce soulier bien pointu, ces talons minces,
trŤs ťlevťs, le font paraÓtre plus petit de moitiť. Il est
divin!... et je bande... comme tu vois!...
-- Mon cher papa, comme je sais ŗ quel point vous m'adorez,
j'ai voulu consacrer cette chaussure, avant de vous la prÍter
pour orner votre cheminťe... Voici les blancs d'hier, avec
lesquels j'ai tant ťtť... ce que vous savez... Voyez la jolie
forme que leur a donnťe mon pied! Ils sont plus voluptueux
qu'avant d'avoir ťtť mis...
Je flairai avidement le dedans de ces divins souliers:
-- Ahh! je bande! m'ťcriai-je; les sacrťs bougres sont
embaumťs... Je suis perdu... j'aurai la colique si je ne
t'enconne une pauvre fois!... Laisseras-tu dťcharger par terre
ce vit paternel?
-- Mon cher papa, mettez-vous le cul et les couilles dans cette
grande terrine, prťparťe pour mon con et mon cul; l'eau froide
vous ferait dťbander. C'est mon remŤde quand j'ai le con
brŻlant.
Ce qu'elle me disait me parut raisonnable, et je le fis. Elle
cacha ses pieds comme une dame espagnole, et je fus calmť.
-- J'en ai fait autant tout ŗ l'heure. Timori vient de venir.
J'ťtais encore au lit; il m'a pris les tťtons, puis le con. La
vue de son vit, qui bandait roide, m'a fait impression. Mais
mon coeur n'a rien senti. Cependant il voulait me gamahucher,
me priant de le branler aprŤs: 'Je ne suis pas une putain' --
'Tu es bien froide!' (C'est que rťellement je ne l'aime plus;
vous Ítes mon amant, cher pŤre! et Traitdamour est votre
lieutenant dans mon con; il est votre double vit, et c'est
encore vous qui me foutez, quand il me l'enfonce)... J'ai
cependant eu des remords de ma duretť. Je lui ai saisi le vit,
et me le mettant dans la bouche bien dťcalottť, je l'y ai fait
dťcharger, avalant son foutre avec dťlices. Ce qui m'a
fortifiťe. Mon chocolat m'a rincť la bouche... Mais revenons.
Si vous voulez que votre fille chťrie ait un plaisir
ineffable, caressez-la, quand on la fout. Langue en bouche, la
sienne dans la vŰtre... Vous prenant les couillettes, vous
serrant le vit ŗ la poignťe, elle dťchargerait au double!
-- Oh! tu es trop adorable... Foutons un petit coup!
-- Je m'ťtais rafraÓchi le con; mais tu y remets le feu, cher
papa, et le foutre seul peut l'ťteindre... Foutons... Enconne
ta fille... Mais va doucement, que je dťcharge plusieurs fois,
tout en te racontant quelque chose.
Elle se renversa, me mit le vit dans son con, me fit entrer
lentement, par de petits coups de cul insensibles. La
fraÓcheur de l'eau m'avait fait roidir, et retardait
l'ťmission. Enfin, elle ne fut plus maÓtresse de se retenir;
elle coupdecula, elle saccada, en s'ťcriant:
-- Ze dťÁa--arge!...
Elle resta ensuite immobile, en me disant:
-- J'ai oubliť de vous remettre l'adresse que l'entreteneur
d'avant-hier m'a glissťe, pour l'aller voir, et... foutre avec
lui... Ah! fourgonne... je redťÁarge... Tu pars... Ah divin
pŤre!...
Et elle se mit ŗ soubresauter, en gigotant, comme jamais ne
gigota fouteuse... AprŤs une copieuse dťcharge, elle reprit:
-- La voilŗ. Dis-lui, ou ťcris-lui, que je ne vais chez
personne. Et laissez-lui votre adresse.
-- Oui, dťesse Fututrix, lui rťpondis-je.
La Brideconnin nous apporta notre excellent chocolat; et je
partis.
AprŤs les affaires, j'allai chez le futur fouteur de ma fille.
Je le trouvai; je lui donnai un mot de Conquette-Ingťnue, par
lequel elle lui marquait que s'il avait un mot ŗ rťpondre, il
pouvait tout dire ŗ son pŤre... Je fus bien reÁu. Le richard
me dit qu'il demandait une maÓtresse aimable, et qui sŻt
donner, en foutant, bien du plaisir.
-- Monsieur (lui rťpondis-je), ma fille a ťtť mal mariťe; elle
peut vous appartenir, ŗ condition qu'elle gardera son logement
voisin du mien. Vous y mangerez, coucherez avec elle, sans que
je m'en mÍle. Quant ŗ la voluptť, et aux mouvements du cul ou
des reins, un mari libertin ne lui a donnť que de trop
douloureuses leÁons... Mais, en vous la livrant, je veux que
son sort soit assurť, qu'il s'amťliore mÍme un peu chaque
annťe... Je vous rťponds d'Ítre alors le gardien de sa
fidťlitť. D'ailleurs, elle est sage. L'assurance d'un sort
indťpendant de son monstre de mari peut seule la dťterminer.
Ceci convint fort! et la dťcision dťfinitive fut remise aprŤs
un voyage d'affaires et d'argent, dont il devait Ítre de
retour dans 8 ou 10 jours.
Je revins apporter ces nouvelles ŗ ma Conquette-Ingťnue.
-- Mon papa, rťpondit-elle, pour peu qu'il me foute, vous me
suffirez, vous et lui; vous serez mes deux pŤres. Je
renoncerai mÍme ŗ votre beau secrťtaire, si vous me promettez
de n'enconner que moi! Oý trouverez-vous un con qui vaille le
mien?... Garde-moi tout ton foutre, comme tout ton coeur, Ű le
plus ribaud des papas!
Je vis qu'elle ťtait jalouse, et je l'en aimai avantage. Mais
j'ťtais encore trop libertin pour me borner ŗ foutre
uniquement celle que j'aimais le mieux.
La Brideconnin nous apporta de la limonade. Elle boitait de
naissance, mais d'une maniŤre voluptueuse. Elle ťtait coiffťe
en cheveux, et, quoique grÍlťe, trŤs provocante. Je le dis ŗ
ma fille. Conquette-Ingťnue me rťpondit:
-- DŤs avant nos parties, son mari voulait me le mettre; mais
il me dťplaÓt. La femme a demandť, depuis qu'ils ont tout vu,
ŗ me gamahucher. Tous deux m'adorent. Je ne leur avais,
jusqu'au boulevari d'hier, laissť baiser que mon pied. Le mari
enconne sa femme dŤs que je le veux. C'est un amusement que je
me donnais dans la semaine; je n'avais besoin que de m'asseoir
en vue de Brideconnin, les jupes troussťes jusqu'au mollet; il
est tellement excitť par ma mi-jambe et mon pied, qu'il se
jette sur la putain, et la fout tant que je veux; en haussant
toujours un peu la jupe. Enfin, s'il aperÁoit un commencement
la cuisse, il hurle de luxure. Un jour, trop ťchauffťe par ce
que je voyais, je me donnai de l'air au con, en le dťcouvrant.
Le fouteur s'est mis ‚ braire, en fourgonnant avec fureur. Il
dťchargeait, refourgonnait, et allait se tuer, quand sa femme
me regarda... Elle se h‚ta de dťcharger, et vint me baisser
les jupes. Alors Brideconnin ťpuisť se trouva mal.
A ce rťcit de Conquette, je rebandais. Mais je me remis le vit
et les couilles dans l'eau, et, bien rafistolť, je sortis sans
finaler. Nous fŻmes tous sages le reste de la semaine.
Chapitre XLVII Du rabachage ŗ faire bandocher.
Le dimanche arrivť, tout notre monde accourut, ŗ l'exception
de Rosemauve, qui se dit malade. Tendrelys vint seule, et
d'elle-mÍme. Traitdamour ne l'avait pas trouvťe chez elle, et
il ťtait dťjŗ f‚chť. Mais il fut ravi, en entrant avec sa soeur
et sa maÓtresse, de la voir auprŤs d'Ingťnue, qui lui suÁait
le sein dťcouvert!... Il l'en remercia, en lui baisant le cul
et le con. Cordaboyau et Brisemote arrivŤrent les derniers. On
se mit ŗ table, dŤs que Cordaboyau, envoyť chez Rosemauve, eut
annoncť qu'elle ne viendrait pas. Il remit en mÍme temps un
billet de la malade pour ma fille. Ingťnue le parcourut bas
d'abord; puis elle nous le passa. Traidamour lut par mes
ordres. Le voici:
'Divine amie! ReÁois les actions de gr‚ces que je rends ŗ ton
connin et ŗ tes souliers... Hier jeudi fÍte-Dieu (la lettre
ťtait du vendredi), j'avais mis la chaussure que tu m'as
prÍtťe, pour faire bander un clerc de notaire, amant de ma
soeur Rosalbe, ŗ laquelle je le voulais enlever. J'avais aussi
ton grand bonnet battant-l'oeil, qui me va si bien, ŗ cause de
mes grands yeux noirs, la robe, la jupe blanche sur fond rose,
comme toi. Je m'avisai de me donner ton joli tour de cul. Dans
la rue des Cinq-diamants, j'entendis derriŤre moi: "C'est
elle!... Oui, c'est elle! c'est ma dťesse!..." On m'aborde.
"Ah! ma belle! vous voilŗ si prŤs de chez moi, que vous y
monterez, puisque votre pŤre y est venu!..." Il m'a pris le
bras; je me suis laissťe mener; pensant bien qu'en me
reconnaissant, il me laisserait aller, surtout aprŤs m'avoir
foutue. Point! il ne se dťsabuse pas!... Il est vrai qu'il
m'avait introduite dans un appartement au premier ŗ trŤs
sombre jour. Il tombe ŗ mes genoux, ou plutŰt aux vŰtres. "Vos
traits, belle Saxancour, sont un peu diffťrents de ce qu'ils
m'avaient paru; mais vous n'en Ítes pas moins une brune
adorable. C'est que j'ai toujours plus regardť vos pieds, dont
je suis fou, que votre visage, tout charmant qu'il est. Aussi
les reconnais-je parfaitement, ainsi que tout le reste de
votre parure... M'aimerez-vous?" J'ai cru devoir rťpondre oui.
"Ah! je suis trop heureux!" Il m'a pris mille baisers, en me
faisant darder la langue, m'a patinť les tťtons, saisi la
motte, renversťe sur un large sofa, troussťe, foutue... J'ai
remuť du cul! je lui ai donnť du plaisir... Ah! vous me
connaissez?... «a fait, il m'a prťsentť ŗ laver, m'a fait lui
verser de l'eau sur le vit, m'a essuyť con et cul, m'a baisť
la motte et les fesses; puis a dit ŗ sa femme de charge: "Le
dÓner est-il prÍt?" -- "Dans un demi-quart d'heure" -- "AprŤs le
verre d'Alicante, descendons, ma belle!" Nous sommes descendus
chez le notaire voisin. Six mille francs par an, 500 francs
par moi, d'avance... J'ai signť la minute, et je suis remontťe
dotťe, comme j'ťtais descendue foutue. Nous avons dÓnť
tÍte-ŗ-tÍte. DŤs que les domestiques ont ťtť retirťs, il m'a fait
mettre ŗ nu mes tťtons; puis il m'a enivrťe de champagne. Il
s'est lavť le vit dans un verre mousseux. Je l'ai aussitŰt
avalť... Enchantť de ce trait, il m'a mis son vit sur les
lŤvres. Je le lui ai embouchť, sucť! Il s'est rťcriť de
plaisir, en me disant: "Tu es ma dťesse, la putain faite pour
moi. Je ne veux pas te dťcharger en bouche; je veux garder mon
foutre pour ton con. Montre-le-moi, que je le baise; et adieu
jusqu'ŗ demain... Mon carrosse! (a-t-il dit ŗ sa femme de
charge, qui m'ťpongeait le cul et le con). Il m'a remenťe.
J'aurai mon appartement chez lui ce soir. Je suis restťe tard
au lit, y ťtant toute embaumťe, et enveloppťe dans deux peaux
de veaux, qui m'ont ťtť apportťes hier soir encore chaudes;
afin d'avoir la peau des cuisses et des fesses presque aussi
satinťe que vous. Ainsi, belle Conquette! je vous dois ma
fortune. J'en remercie votre adorable con, et surtout votre
voluptueuse chaussure. En chemin, mon gťnťreux fouteur m'a
promis que dans trŤs peu de temps il me ferait enculer en sa
prťsence, par un joli jockey, auquel il s'est dťjŗ fait
enculer lui-mÍme deux fois, dans deux circonstances oý il
avait ressenti au trou du cul un violent prurit. C'a ťtť son
expression. Adieu... ou avit, Ű divine fouteuse!'
Nous fŻmes tous ťbahis! Tendrelys embrassa Conquette-Ingťnue,
en s'ťcriant:
-- Ah! si l'on vous connaissait!...
Je voulais aller dťtromper mon gendre volť. Ma fille m'en
empÍcha:
-- Il n'ťtait l'amant que de ma chaussure; il ne lui est pas
infidŤle; il a tout ce qu'il lui faut.
Tendrelys applaudit ŗ cette rťponse:
-- Je ne dis mot: mais je n'en pense pas moins, ajouta-t-elle.
La Brideconnin, pour Ítre plus ŗ nos parties, qui lui
donnaient des plaisirs inconnus, avait fait venir chez elle,
ce jour-lŗ, une soeur de son mari, fort grÍlťe; mais la plus
provocante tťtonniŤre de 18 ans qu'on puisse voir. La garce ne
croyait pas que la laideron tenterait, toutes nos dames ťtant
jolies, et deux parfaitement belles. Ce fut cette tťtonniŤre,
faite au tour, ŗ taille guÍpťe, comme les Comtoises, qui nous
servit. Mais dŤs qu'elle eut fait bander, pour lui ťviter de
la peine, les hommes allŤrent chercher les assiettes... Au
dessert, on me somma de raconter l'histoire des cons dťpucelťs
dont avait parlť Minone, et que Mme Ingťnue-Conquette m'avait
empÍchť de faire ŗ souper, de peur qu'elles ne fussent trop
savoureuses! J'y consentis.
Chapitre XLVIII Histoire des phťnix dťnichťs.
Je vais (dis-je en m'essuyant la bouche, et baisant les tťtons
de mon active fouteuse) vous conter comment j'ai dťpucelť
Victoire-Beauxtalons; Virginie-Moteblonde; Rosalie-Con-Rose,
ainsi que SuzonŤte, sa soeur cadette; Manon-Aurore-Sourismignard;
Lťonor-Robť, femme de Marg‚ne le parfumeur; la
seconde et la troisiŤme Consfriands, Saccadine et VoixflŻtťe.
La premiŤre fois que je vis la voluptueuse Beauxtalons, elle
ťtait en dťshabillť brun, bas fins de coton, souliers de
maroquin noir; talons plus hauts que ceux de Conquette. Elle
me donna des dťsirs violents; je la suivis; c'ťtait le soir.
Elle entra dans l'allťe ŗ cŰtť de la boutique de sa mŤre.
L'escalier ťtait obscur. J'ťtais sur ses talons. Elle ouvrit
le premier, dont les volets ťtaient fermťs. Nuit profonde.
J'ťtais entrť avec elle.
-- Ah! c'est vous, Monsieur CopahŁ, dit-elle en m'entendant
respirer...
Je lui mis la main sous la jupe.
-- Oh! voilŗ toujours comme vous faites!... Laissons donc les
volets fermťs.
Je cherchais un lit. Elle y recula. Je l'y renversai.
-- Mon dieu! allez, que vous Ítes terrible!
Et elle s'arrangeait nťanmoins commodťment pour tous deux.
J'insŤre. Elle riposte, en disant:
-- Il faut bien faire comme Áa, sans quoi vous dites qu'on ne
vous aime pas.
La jouissance fut dťlicieuse, quoique simple et sans
accessoires. Mais Victoire ťtait si belle, et je l'avais tant
dťsirťe!... Je voulais sortir sans Ítre connu. On frappa. Je
suivis ma monture effrayťe qui courait ouvrir, quoique je la
retinsse. en disant:
-- C'est ma mŤre, ou ma soeur. Restez ou sortez, comme il vous
conviendra?
-- Je sors.
Elle
[ici s'arrÍte le volume imprimť]
End of the Project Gutenberg EBook of L'Anti-Justine, by
Nicolas-Edmť Restif de la Bretonne
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L'Anti-Justine; ou, Les Delices de l'amour
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Project Gutenberg's L'Anti-Justine, by Nicolas-Edmť Restif de la Bretonne
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Title: L'Anti-Justine
ou, Les Delices de l'amour
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— End of L'Anti-Justine; ou, Les Delices de l'amour —
Book Information
- Title
- L'Anti-Justine; ou, Les Delices de l'amour
- Author(s)
- Restif de La Bretonne
- Language
- French
- Type
- Text
- Release Date
- October 7, 2008
- Word Count
- 123,635 words
- Library of Congress Classification
- PQ
- Bookshelves
- FR Séduction et libertinage, Browsing: Literature, Browsing: Sexuality & Erotica, Browsing: Fiction
- Rights
- Public domain in the USA.
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